ECHO
LE MAGAZINE DE L’ECONOMIE FRIBOURGEOISE DAS FREIBURGER WIRTSCHAFTSMAGAZIN
DOSSIER SPÉCIAL
Incertitudes pour les entreprises
L’activité décélère, mais reste solide
La chaise qui vous sied.
LE MAGAZINE DE L’ECONOMIE FRIBOURGEOISE DAS FREIBURGER WIRTSCHAFTSMAGAZIN
Incertitudes pour les entreprises
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Les entreprises fribourgeoises font face à une accumulation d’incertitudes dont on peine à percevoir l’issue. Après la pandémie, il y a eu les ruptures de chaînes d’approvisionnement, la guerre en Ukraine, la flambée des prix des matières premières et de l’énergie, puis l’inflation généralisée, la hausse des taux d’intérêts et le risque de pénuries d’électricité en hiver, appelé à se répéter chaque année, tant que la Suisse n’aura pas accru fortement sa capacité de production autonome. Bouquet final : le marché de l’emploi local est asséché.
Malgré ces forts vents contraires, la marche des affaires de la majeure partie des entreprises a jusqu’ici résisté aux chocs. Si l’économie décélère, comme l’a montré l’enquête conjoncturelle de printemps 2023 réalisée auprès de nos membres (lire p. 8), elle n’en reste pas moins orientée positivement pour la plupart des branches d’activités. Mieux, une part importante des entreprises continue à recruter, en dépit de marges sous pression, particulièrement dans l’industrie, la construction et le commerce.
Cette excellente nouvelle pour le marché de l’emploi, signe que les entreprises continuent à miser sur l’avenir, ne va pas sans défis. Parmi ces derniers, il s’agit notamment d’amener davantage de jeunes vers la voie de l’apprentissage, et plus particulièrement vers certains secteurs qui peinent à pourvoir toutes les places mises à disposition. La CCIF s’implique dans le salon START ! Forum des métiers, sur lequel nous planchons sur l’édition 2025, depuis juillet dernier. Mais avant, nous organiserons du 27 au 30 septembre FribourgOPEN, le plus grand événement de portes ouvertes jamais organisé dans le canton (lire p. 48). L’occasion de découvrir des entreprises de l’intérieur, mais aussi des métiers, plus de 400.
Si la promotion de l’apprentissage est primordiale, il faut reconnaître qu’elle ne suffira pas, à elle seule, à résoudre le problème de manque de personnel qualifié. Pour atténuer ce phénomène, accroître la participation du maximum de personnes en âge de travailler à rejoindre le monde professionnel, fidéliser le personnel en place et assurer une formation continue font également partie des solutions. Ces dernières sont multiples, et la CCIF continuera à contribuer à les mettre en œuvre, avec vous !
Die Freiburger Unternehmen sind mit einer Anhäufung von Unsicherheiten konfrontiert, deren Ausgang kaum absehbar ist. Nach der Pandemie kamen Unterbrüche in den Versorgungsketten, der Krieg in der Ukraine, die Explosion der Rohstoff- und Energiepreise, dann die generelle Inflation, der Zinsanstieg und das Risiko einer Strommangellage im Winter, mit dem nun jedes Jahr zu rechnen ist, solange die Schweiz ihre eigene autonome Produktion nicht genügend hochgefahren hat. Und zum krönenden Abschluss: Der lokale Arbeitsmarkt ist ausgetrocknet.
Trotzdem vermochte der Geschäftsgang des grössten Teils der Unternehmen diesen starken Gegenwinden zu widerstehen. Obwohl sich die Wirtschaft verlangsamt, wie die bei unseren Mitgliedern durchgeführte Frühjahrskonjunkturumfrage 2023 zeigte (siehe Seite 12), bleiben die Aussichten für die meisten Tätigkeitsbereiche positiv. Besser noch: Ein erheblicher Teil der Unternehmen stellt weiterhin Personal ein, obwohl die Margen, insbesondere in der Industrie, der Baubranche und beim Handel, unter Druck geraten sind.
Diese für den Arbeitsmarkt hervorragende Nachricht - ein Zeichen, dass die Unternehmen weiterhin zukunftsorientiert sind - ist aber auch mit Herausforderungen verbunden. Es geht vor allem darum, noch mehr Jugendliche zu einer Lehre zu bewegen, und dies hauptsächlich in bestimmten Sektoren, die Mühe bekunden, die zur Verfügung stehenden Stellen zu besetzen. Die HIKF engagiert sich bei START! Forum der Berufe. Wir sind bereits seit letztem Juli an der Gestaltung der Ausgabe 2025. Vorher werden wir aber vom 27. bis 30. September FribourgOPEN - die grössten Tage der offenen Tür, die je im Kanton organisiert wurdenplanen (siehe Seite 48). Eine Gelegenheit, um Unternehmen von innen zu entdecken, aber auch um über 400 Berufe kennenzulernen.
Auch wenn die Förderung der Lehre von zentraler Bedeutung ist, muss man eingestehen, dass sie allein nicht ausreichen wird, um das Problem des Mangels an qualifiziertem Personal zu beheben. Um dieses Phänomen abzumildern, gehören auch die Erhöhung der Eintritte in die Berufswelt möglichst vieler Personen im erwerbsfähigen Alter, die Bindung des bestehenden Personals sowie die Gewährleistung einer Weiterbildung zu den Lösungen. Es sind derer viele, und die HIKF wird weiterhin dazu beitragen, sie umzusetzen - zusammen mit Ihnen!
CHANTAL ROBIN
Directrice / Direktorin
T. 079 633 79 53
crobin@ccif.ch
Deux tiers des sociétés fribourgeoises, et même 79% dans l’industrie et la construction, rencontrent des problèmes pour recruter du personnel. Parmi les grandes entreprises, le constat est encore plus frappant puisque 86% se disent touchées, selon l’enquête conjoncturelle de printemps de la CCIF, menée du 20 février au 20 mars 2023 et basée sur les réponses de plus de 450 entreprises comptant quelque 24’500 collaborateurs au total.
La pénurie de main-d’œuvre s’aggrave année après année dans le canton. À l’automne 2021, les membres de la CCIF n’étaient en effet « que » 47% à faire état de ce problème. On note par ailleurs que Fribourg est davantage touché que le
canton de Vaud, où 52% des entreprises font actuellement état de problèmes de recrutement (29% en 2021). L’une des principales explications provient sans doute du fait que notre canton est le seul en Suisse romande à n’être pas frontalier.
Interrogés sur les mesures à prendre pour changer la situation, 60% des membres de la CCIF estiment qu’il faut améliorer l’orientation professionnelle et revaloriser certaines filières de formation. C’est de loin la solution privilégiée, largement devant le ren forcement de la formation continue (32%), la revalorisation financière de certaines professions (30%) et des mesures facilitant l’embauche de main-d’œuvre indigène (28%).
MANQUE
Améliorer l’orientation professionnelle / revaloriser certaines lières de formation
Augmenter la formation continue
Favoriser l’embauche de main-d’œuvre indigène
Revaloriser nancièrement certaines professions
Améliorer l’environnement de travail
Faciliter l’embauche de main-d’œuvre étrangère
Automatiser/robotiser/numériser des tâches
Pour atténuer les besoins en recrutement, les entreprises prennent évidemment aussi des mesures à l’interne, de manière à fidéliser leurs équipes. 61% des entreprises proposent à ce titre une flexibilisation du temps de travail et 57% des mesures de soutien à l’équilibre entre la vie privée et professionnelle.
Industrie Services
Dans la rubrique « autres », ont notamment été cités plusieurs fois : réduction de la concurrence de l’Etat et des entreprises para-étatiques, qui recrutent chez les privés ; formations plus pratiques dans les HES ; moins favoriser le temps partiel
La pénurie de main-d’œuvre s’aggrave année après année dans le canton.
Flexibilisation du temps de travail
Soutien à l’équilibre privé / prof.
Améliorer rapports entre respons. et collab.
Avantages nanciers
Renforcer la marque employeur
Donner l’exemple en durabilité
Avantages non nanciers (fringe bene ts)
Les entreprises fribourgeoises continuent à afficher une marche des affaires positive cette année, malgré un climat d’incertitude au plus haut. En 2022, les chiffres d’affaires ont augmenté pour la plus grande part des membres de la CCIF. Si les services ont globalement réalisé un excellent exercice, la situation s’est toutefois révélée plus compliquée pour l’industrie et la construction sur le front de la rentabilité. L’inflation, les problèmes d’approvisionnement et la flambée des prix de l’énergie ont pesé sur les marges. L’année en cours reste bien orientée, mais l’économie est désormais en phase de décélération, sauf pour l’embauche de personnel.
Les données de l’enquête conjoncturelle de printemps 2023 de la CCIF, menée du 20 février au 20 mars, reposent sur les réponses de 459 entreprises (42% dans le secondaire et 58% dans le tertiaire) cumulant 24’600 emplois. Pour l’industrie et la construction, les 16’400 emplois représentés correspondent à 43% de tous les emplois recensés dans le secteur secondaire du canton.
L’an dernier, 50% des entreprises ont pu accroître leur chiffre d’affaires, alors que 21% l’ont vu reculer et 28% stagner. Dans l’industrie et la construction, 44% des entreprises ont accru leurs
ventes (48% en 2021) et 28% ont subi un recul (22% en 2021), notamment dans le domaine de l’alimentaire. Les services ont beaucoup mieux performé : 57% des entreprises du secteur ont accru leur chiffre d’affaires (+7 points de pourcentage en un an) tandis que celles qui ont vu leurs ventes reculer passaient à 16% (-4 points). Les branches de l’informatique et de la finance ont eu le vent particulièrement en poupe, suivies par le commerce qui a continué à profiter d’un rattrapage post-covid.
Côté bénéfices, 34% des entreprises de l’industrie et de la construction ont subi un recul. La branche des machines et composants électroniques a été la plus touchée, devant l’industrie alimentaire et celle du métal ainsi que la construction. Dans les services, 42% (-1 point sur un an) ont affiché une rentabilité en progression tandis qu’elle reculait pour 21% des répondants (27% en 2021).
À la fin du premier trimestre, 45% des entreprises fribourgeoises, et même une sur deux dans les services, s’attendaient à ce que leur chiffre d’affaires augmente cette année. La part des membres de la CCIF misant sur une stagnation était toutefois en forte progression : 42%, contre seulement 28% des entreprises en 2022.
Même constat pour les bénéfices : si 35% des entreprises s’attendaient à une hausse, 51% misaient désormais sur une stagnation et 16% sur un recul. La perte
L’enquête conjoncturelle de printemps 2023 de la CCIF a rassemblé les réponses de plus de 450 entreprises cumulant près de 25’000 emplois privés
Deutsche Version: Seite 12
de dynamique est donc manifeste, plus particulièrement pour le commerce, mais sans risque de plongeon, à moins que la situation économique globale ne se détériore rapidement. À noter que sur le front des investissements, 27% des entreprises ont accru leurs budgets pour 2023, 50% les ont maintenus stables et 23% les ont réduits. Ces chiffres sont en léger recul par rapport à 2022 et dénotent une plus grande retenue de la part des entreprises.
EMPLOI : LE RYTHME SE MAINTIENT Après deux années de fort rebond du marché de l’emploi, l’année en cours devrait continuer sur cette lancée. 27% des membres de la CCIF prévoient d’accroître le nombre de leurs employés (28% l’ont fait en 2022) et 6% de le diminuer (5% en 2022). Pour le reste des sondés, aucun changement n’est prévu. Le secondaire affichera une situation un peu plus contrastée, avec 9% d’entreprises
qui devraient réduire la voilure et 25% l’étendre. Mais les sociétés de services seront 28% à embaucher davantage tandis que 4% seulement diminueront le nombre de collaborateurs.
Le baromètre des préoccupations montre que l’évolution de la situation économique générale s’impose désormais comme le souci majeur et incontesté des entreprises, tous secteurs et toutes tailles de sociétés confondus. 84% signalent ce souci comme étant prioritaire contre 57% l’an dernier, alors que ce thème pointait déjà au premier rang. Même
au début 2021, alors qu’une partie de l’économie était fermée en raison de la pandémie, cette préoccupation n’atteignait « que » 75%.
La difficulté à recruter arrive en deuxième position (44%, -6 points), suivie par le prix des matières premières signalé par 35% des sociétés (41% en 2022, marqué par une flambée des prix généralisée). À noter toutefois que les industriels et les entrepreneurs de la construction sont 50% à être préoccupés par l’évolution des tarifs dans les matières premières.
La concurrence (25%, stable) pointe au quatrième rang des soucis. L’excès de
réglementations monte quant à lui en puissance, s’installant au cinquième rang (22%, + 4 points). Une entreprise de service sur quatre met désormais en avant ce problème. La recherche de nouveaux clients arrive en sixième place à 21%.
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Source : enquête conjoncturelle de printemps 2023 CCIF / Frühjahrskonjunkturumfrage 2023 der HIKF
Die Freiburger Unternehmen verzeichnen auch dieses Jahr einen positiven Geschäftsgang, und dies trotz eines Klimas der massiven Unsicherheit. 2022 nahmen die Umsätze für den grössten Teil der HIKF-Mitglieder zu. Während der Dienstleistungssektor insgesamt ein hervorragendes Jahr verzeichnete, erwies sich die Situation an der Rentabilitätsfront für die Branchen Industrie und Bau jedoch als komplizierter. Inflation, Versorgungsprobleme und der markante Anstieg der Energiepreise drückten auf die Margen. Das laufende Jahr sieht weiterhin positiv aus, aber die Wirtschaft befindet sich nun in einer Abschwungphase, ausser bei der Einstellung von Personal.
Die Daten der Frühjahrskonjunkturumfrage 2023 der HIKF, die vom 20. Februar bis 20. März durchgeführt wurde, stützen sich auf die Antworten von 459 Unternehmen (42% aus dem Sekundärund 58% aus dem Tertiärsektor), die zusammen 24’600 Stellen vertreten. In der Industrie und im Baugewerbe entsprechen die vertretenen 16’400 Stellen 43% aller Stellen des Sekundärsektors des Kantons.
Letztes Jahr vermochten 50% der Unternehmen ihren Umsatz zu erhöhen, während er bei 21% zurückging und bei 28% stagnierte. In den Branchen Indus-
trie und Bau konnten 44% der Unternehmen ihre Verkäufe steigern (48% im Jahr 2021), und 28% verzeichneten einen Rückgang (22% im Jahr 2021), insbesondere im Lebensmittelbereich. Die Dienstleistungsbranche schnitt viel besser ab: 57% der Unternehmen konnten ihren Umsatz erhöhen (+7 Prozentpunkte innerhalb eines Jahres), während die Zahl der Unternehmen, die einen Umsatzrückgang verzeichneten, auf 16% sank (-4 Prozentpunkte). Besonders die Informatik- und Finanzbranchen verspürten Rückenwind, gefolgt vom Handel, der immer noch vom Nachholbedarf nach Covid profitierte.
Was die Gewinne betrifft, so erlitten 34% der Unternehmen aus der Industrie und dem Baugewerbe einen Rückgang. Die Branche Maschinen und elektronische Komponenten war am stärksten betroffen, gefolgt vom Nahrungsmittelsektor, der Metallbranche und dem Bau. Bei den Dienstleistungen verzeichneten 42% (-1 Prozentpunkt innerhalb eines Jahres) eine steigende Rentabilität, während diese bei 21% der antwortenden Unternehmen rückläufig war (27% im Jahr 2021).
Am Ende des ersten Quartals erwarteten 45% der Freiburger Unternehmen - und sogar eines von zwei in der Dienstleistungsbranche - höhere Umsätze für dieses Jahr. Der Anteil der HIKF-Mitglieder, der sich auf eine Stagnation einstellte, nahm aber stark zu: 42% gegenüber nur 28% der Unternehmen im Jahr 2022.
Version française : p. 8
Dieselbe Feststellung gilt für die Gewinne: Während 35% der Unternehmen mit einer Erhöhung rechneten, stellen sich 51% auf eine Stagnation und 16% auf einen Rückgang ein. Das ist ein deutlicher Hinweis darauf, dass sich die Dynamik abschwächt, besonders beim Handel, allerdings ohne Risiko eines Einbruchs, sofern sich die globale Wirtschaftslage nicht rasch verschlechtert. Zu beachten ist, dass auf der Investitionsfront 27% der Unternehmen ihre Budgets für 2023 erhöht haben, 50% haben sie stabil gehalten und 23% haben sie reduziert. Die Zahlen sind im Vergleich zu 2022 leicht rückläufig und weisen auf eine grössere Zurückhaltung der Unternehmen hin.
An der Frühjahrskonjunkturumfrage 2023 der HIKF beteiligten sich über 450 Unternehmen, die zusammen gegen 25’000 Arbeitsplätze in der Privatwirtschaft vertreten.
BESCHÄFTIGUNG:
GLEICHBLEIBENDER RHYTHMUS
Nach zwei Jahren, in denen der Stellenmarkt einen starken Aufschwung erlebte, dürfte es dieses Jahr ähnlich weitergehen. 27% der HIKF-Mitglieder planen, ihren Personalbestand zu erhöhen (28% haben dies 2022 getan) und 6% sehen vor, ihn zu reduzieren (5% im Jahr 2022). Beim Rest der Befragten ist keine Änderung vorgesehen. Der Sekundärsektor wird ein etwas gemischteres Bild zeigen: 9% der Unternehmen werden den Personalbestand wahrscheinlich reduzieren und 25% werden ihn erhöhen. Bei den Dienstleistungsunternehmen hingegen sind es 28%, die mehr Personal einstellen wollen, während nur 4% einen Abbau planen.
UNSICHERHEIT IST AUF DEM HÖHEPUNKT
Das Sorgenbarometer zeigt, dass die Entwicklung der allgemeinen Wirtschaftslage nun die grösste und unbestrittene Sorge der Unternehmen aller Sektoren und Unternehmensgrössen darstellt. 84% geben diese Sorge als prioritär an, gegenüber 57% letztes Jahr, als dieses Thema bereits an erster Stelle stand. Selbst Anfang 2021, als ein Teil der Wirtschaft wegen der Pandemie noch geschlossen war, erreichte diese Sorge «nur» 75%.
Rekrutierungsprobleme belegen den zweiten Rang (44%, -6 Prozentpunkte), gefolgt von den Rohstoffpreisen, die von
35% der Unternehmen angeführt werden (41% im Jahr 2022, das von einem allgemeinen, wuchtigen Preisanstieg gekennzeichnet war). Erwähnenswert ist allerdings, dass 50% der Unternehmen aus der Industrie und dem Baugewerbe über die Preisentwicklung bei den Rohstoffen besorgt sind.
Die Konkurrenz (25%, stabil) belegt den vierten Rang bei den Sorgen. Die Überregulierung rückt vor und steht nun auf dem fünften Rang (22%, + 4 Prozentpunkte). Eines von vier Unternehmen im Dienstleistungsbereich führt nun dieses Problem auf. Die Suche nach neuen Kunden belegt mit 21% den sechsten Rang.
On nous avait prédit le pire pour cet hiver sur le front électrique. En 2022, quelques mois avant l’invasion de l’Ukraine, le conseiller fédéral Guy Parmelin alertait sur la possibilité de black-out dès 2025. Depuis des années, producteurs et fournisseurs d’électricité tirent eux aussi la sonnette d’alarme. Stabilité du réseau, sortie du nucléaire, développement des renouvelables, difficultés d’approvisionnement et tensions géopolitiques… les défis à relever ne manquent pas.
Engagés vers la neutralité carbone, nous sommes toujours plus équipés d’appareils électriques hyperconnectés et notre consommation va à coup sûr augmenter. De plus en plus exclus du marché intérieur européen de l’électricité, il nous faudra compter encore un peu moins sur nos partenaires européens. Dans ce contexte, l’absence d’accord sur l’électricité avec l’Europe est d’une actualité criante.
Reliées par 41 lignes transfrontalières à haute tension, Suisse et Union euro -
péenne (UE) forment de facto un seul territoire du point de vue électrique. Nos centrales hydroélectriques sont en mesure d’exporter de l’électricité vers l’UE. L’Italie, un pays en déficit chronique d’électricité, dépend quant à elle des liaisons qui passent par la Confédération pour importer l’électricité, notamment en provenance d’Allemagne. Ne pouvant garantir son autosuffisance en hiver, la Suisse est elle aussi fortement dépendante de l’électricité européenne. Notre pays constitue de fait un véritable carrefour électrique à l’échelle du continent : le courant qui transite chaque année par notre réseau dépasse notre consommation nationale.
Alors que l’UE s’est engagée dans la création d’un marché intérieur de l’énergie constitué de mécanismes de réserves et de solidarité entre Etats membres, la Suisse elle, s’en trouve de plus en plus exclue. Faute d’un accord avec l’UE, elle est bannie de divers organes régulant les échanges d’énergie transfrontaliers. Un tel découplage avec le marché européen occasionne des coûts en constante augmentation – 300 millions de francs d’ici
à 2030 – et pourrait engendrer dès 2025 une forte baisse des volumes d’importations depuis l’UE. Selon les estimations, un black-out coûterait 4 milliards de francs par jour ! 1 Face à la multiplicité des menaces, la diversification des sources d’approvisionnement est d’une importance capitale. Il devient impératif de développer la production en Suisse et de sécuriser notre approvisionnement électrique en provenance d’Europe, ce qui, ici aussi, passe par un déblocage du dossier européen.
Pour en savoir plus sur ce thème, écoutez le dernier podcast de l’Alliance pour une politique européenne constructive également disponible sur Spotify et Apple Podcasts.
Arnaud MidezResponsable de projets économie extérieure geneve@economiesuisse.ch economiesuisse.ch
Notre pays constitue un véritable carrefour électrique à l’échelle du continent.1 Le blocage de la politique européenne nuit à l’économie | economiesuisse
Cremo SA renforce sa direction en installant un duo à sa tête. Ralph Perroud, actuellement directeur de Fromage Gruyère SA, deviendra CEO de l’entreprise laitière basée à Villars-sur-Glâne dès l’automne, tandis que le directeur actuel, Frédéric Métrailler, deviendra responsable des opérations (COO) et chargé de la mise en place d’un ambitieux programme de transformation de l’entreprise, intitulé CAP 2027.
Estavayer Lait SA et Mifroma SA ont fusionné le 1er juin dernier. La nouvelle entité juridique est nommée Elsa Group SA, au sein de la Migros Industrie. Cette fusion se poursuivra avec l’intégration de Dörig Bergsenn et Schwyzer Milchhuus en juin 2025. Elsa Group entend ainsi affirmer sa présence sur le marché national en tant qu’entreprise suisse forte et unifiée, proposant des produits frais dans les domaines des produits laitiers, fromages, produits à base végétale et sauces.
Après 23 ans de bons et loyaux services, JeanDaniel Wicht a fait valoir son droit à la retraite. Le nouveau directeur de la Fédération Fribourgeoise des Entrepreneurs (FFE) David Valterio – au bénéfice d’une expérience dans les domaines associatif, formation et formation professionnelle – est entré en fonction le 1er avril dernier. Fondée en 1938, la FFE regroupe une centaine d’entreprises occupant près de 3’500 travailleurs et travailleuses du secteur principal de la construction.
FRIBOURG REGION devient FRIBOURG !
Lancée par l’association Fribourgissima, la nouvelle marque territoriale du canton réitère la volonté d’unir les forces de ses 14 parte-
cremo.ch
naires sous une même bannière. Fondée en 2013, l’association Fribourgissima Image Fribourg a pour vocation de promouvoir l’image du canton dans le reste de la Suisse et l’ambition de donner envie de le connaître, de venir y étudier, vivre, passer des vacances ou implanter son entreprise.
Le 1er avril dernier, Stéphane Poggi a été nommé à la direction générale du groupe Infoteam Âgé de 57 ans, ingénieur de formation, Stéphane Poggi a auparavant œuvré près de 20 ans à la direction de FELCO SA, leader mondial du sécateur et de l’outil de coupe. Fondé en 1990, le groupe Infoteam comprend aujourd’hui cinq pôles d’excellence différents avec les sociétés Infoteam Automation, Infoteam Digital, IFTG solutions SA, MC-monitoring SA et ERPXperts SA. Ces entreprises sont actives dans l’automation industrielle, l’IT, la digitalisation des entreprises, la cybersécurité, la maintenance énergétique ou encore l’industrie 4.0.
swiss aeropole SA annonce des résultats réjouissants pour l’année 2022. Le développement du parc technologique, dont le principal objectif est la création d’emplois, s’est poursuivi de manière dynamique. La communauté des entreprises installées compte aujourd’hui 30 acteurs, alors qu’ils étaient trois jusqu’à l’inauguration du terminal Payerne Airport et de son Business Center il y a quatre ans. Les opérations civiles de l’aéroport poursuivent la forte progression affichée ces dernières années, avec un trafic qui a presque triplé en trois ans.
VOUS SOUHAITEZ COMMUNIQUER DES INFORMATIONS D’ACTUALITÉ ET BRÈVES (CHANGEMENTS À LA DIRECTION, OUVERTURE D’UNE SUCCURSALE, NOUVELLE LABELLISATION OU ENCORE LANCEMENT D’UN NOUVEAU PRODUIT), N’HÉSITEZ PAS À TRANSMETTRE VOS « NOUVELLES » À ECHO@CCIF.CH.
Les Paccots > Yann Petzoldt
Le spécialiste des travaux en hauteur et d’accès difficile en milieu urbain et industriel, avec une gamme complète de services et de travaux acrobatiques sur corde. ahtc-leman.com
Bulle > Xavier Postiguillo
Agence de placement qui offre un soutien global aux travailleurs expatriés et les accompagne dans leurs différentes démarches administratives pour une meilleure intégration. aireh.ch
Carouge > Anne-Sophie Dunand-Blaesi
Active dans le domaine de l’éclairage de sécurité et des sources d’énergie, l’entreprise se charge du développement, de la fabrication, de la distribution et de la maintenance de ses produits. aprotec.ch
Châtel-St-Denis > Stéphanie Meillard
La fiduciaire exerce ses compétences dans les domaines de la comptabilité, l’assistance au bouclement, l’établissement de décomptes TVA, la déclaration d’impôts et l’assistance administrative. best-fidu-partners.ch
Fribourg > Jérémie Dalin
Plateforme de création de cartes de visite virtuelles, en un profil interactif, accessible via smartphone, tablette et PC. cartlyapp.com
Cressier > Christophe Jacot
Spécialisée dans l’injection de matières plastiques, l’entreprise fabrique les éléments : du design de la pièce à injecter, en passant par la conception du moule jusqu’à la production en série. casuttco.ch
Bulle > Arnaud Clément
Société spécialisée dans la gestion de crise, d’entreprise et de conseils. arnaud@citron-bergamote.ch
Creatio Ateliers SNC
Pont-la-Ville > Anne Pipard
Accompagnements à 360° pour poser des fondations sur des projets et des idées afin de gagner en clarté et sérénité. creatio-ateliers.com
Bulle > Pierre Moret
Entreprise experte dans le domaine de la protection des données : le respect de toutes les exigences et directives légales en matière de confidentialité. data-legal.ch
Marly > Francis de Leeuw
Service traiteur - fondues, raclettes, hot fondues - dans toute la Suisse, pour des groupes de 8 à plus de 800 personnes. fonduetime.ch
Fribourg > Anne Hemmer
Coach sportive (personnel ou collectif) et en nutrition, psychologue ainsi que médiatrice. hemmer-coaching.ch
Schmitten > Thomas de Buman
Société de conseils et d’ingénierie en systèmes d’information et de communication. info@inflow.ch
Bulle > Sylvia Colella
Espace sur-mesure dédié exclusivement au bien-être et à la beauté.
lorchidee.ch
Bulle > Sylvie Gachet
Agence experte en voyages sur mesure, mais également en offres spéciales grâce à ses nombreux partenaires. molesonvoyages.ch
Matran > Claire-Andrée Nobs
Du chocolat haut de gamme : les artisans adaptent leur recette à chaque récolte afin de faire ressortir les arômes du terroir dans le chocolat. notesdefeve.ch
Fribourg > Stéphane Vuichard
Entreprise de courtage en assurances indépendante fournissant des conseils dans la gestion des risques, en assurance et en prévoyance. schafer.ch
Givisiez > François Bossel
L’entreprise offre une large gamme de produits de protection contre le soleil et les intempéries adaptés aux espaces intérieurs et extérieurs. storen.ch
Corminboeuf > Nicolas Guérin
La société offre des prestations d’audit et de conseils en informatique pour les moyennes et grandes entreprises. tictac.ch
Romont > Frédéric Haase
Entreprise spécialisée en recherche et développement dans le domaine agricole et énergétique. viridhys-technologies.ch
Vaulruz > Vincent Lemaire
Centre de formation pour la santé et la sécurité. Il propose diverses formations pour les entreprises et les privés dans toute la Suisse romande. vrescuer.com
creatio, c’est avant tout l’histoire d’une rencontre en 2020, lors d’une formation en coaching. Yannik Rossier, suisse d’origine de 38 ans, déjà actif sur le canton de Fribourg depuis 2015 avec son entreprise meringue graphic design, et Anne Pipard, française d’origine de 29 ans, conseillère indépendante en communication et marketing en France (Drôme Provençale) depuis 2019.
Leurs univers complémentaires, Yannik du design graphique et du branding, Anne de la communication et du marketing, ainsi que leur passion commune pour l’humain et son fonctionnement, leur ont inspiré la vision portée par creatio.
Au travers de leur processus d’accompagnement profondément humain et innovant, alliant coaching et stratégie, de leurs capacités d’analyse et d’observation, de leurs idées visionnaires et hors du cadre, Yannik et Anne accompagnent les entrepreneurs et leurs entreprises à se réin-
Yannik Rossier et Anne Pipard, fondateurs associés de CREATIO ATELIERS SNC
venter au travers de solutions sur mesure pour se différencier sur leur marché.
RÉVÉLER, INCARNER, IMPACTER
Ainsi, ils ont une double mission : accompagner les entrepreneurs à donner un nouvel élan à leur entreprise, tout en accompagnant l’humain à révéler ce qui le rend unique, pour lui permettre de développer une croissance pérenne, durable et alignée à ses valeurs et ses convictions.
Chacun de leurs accompagnements est unique, comme l’entrepreneur qu’ils ont en face d’eux. Coaching mindset, harmonie entre vie professionnelle et vie personnelle, stratégies de positionnement, de communication, expérience client et branding, tout y passe !
DES SOLOPRENEURS AUX ENTREPRISES
Yannik et Anne sont actuellement actifs sur les marchés suisse, français et belge, en présentiel et en distanciel, avec comme objectif de développer davantage leur présence au sein des entreprises fribourgeoises et suisses romandes, en accompagnant leurs collaborateurs en interne.
En 2023, en parallèle aux différents accompagnements individuels et des mandats graphiques en cours, ils vont réaliser différentes missions auprès de groupes et de centres de formation en Suisse et en France : ateliers ou stages sur la posture d’accompagnement et coaching de performance auprès de sportifs amateurs (notamment dans l’univers du golf, une autre de leurs passions communes !).
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T. 079 353 70 24
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Le coaching au service de l’entreprise : sublimer vos équipes actuelles pour de nouvelles opportunités de croissance !
hemmer coaching amène du mouvement sur le lieu de travail, de la santé en toute simplicité aux bénéfices des collaborateurs mais aussi de l’entreprise.
« Bouger est indispensable pour la santé, et dans une société toujours plus sédentaire, j’avais envie d’aller chercher les gens où ils passent le plus de temps : au travail », explique Anne. Spécialiste du mouvement et du mal de dos mais aussi formée par la Suva à l’ergonomie des places de travail, elle se démarque en proposant une offre de santé globale.
Cours de sports, mouvement sur la place de travail pour réduire les douleurs musculo-squelettiques, ateliers sur la nutrition, la relaxation, l’équilibre ; Interventions hebdomadaires, mensuelles ou ponctuelles dans le cadre de projets tels que des Semaines de la Santé. Au besoin, hemmer coaching fait appel à d’autres professionnels qualifiés. « Nous nous adaptons aux besoins. Il n’y a pas de limite à la santé et au mouvement ! »
Anne observe que l’intérêt est double pour l’entreprise : « Les collaborateurs sont en meilleure santé et l’entreprise y gagne, avec moins d’absentéisme, d’arrêts maladie et une productivité améliorée. » En somme, des employés en bonne santé pour une entreprise en bonne santé !
Anne Hemmer coach sportive, spécialiste du dos et des articulations
Le sport, Anne Hemmer l’a longtemps évité : en dehors d’une balade de temps en temps, elle préférait rester sur le canapé. Les choses, comme la vie, évoluent. À 34 ans, déclic ! Elle découvre la musculation et s’y met avec passion. « Si l’on m’avait dit à 30 ans que je me mettrais au sport, j’aurais ri », dit-elle.
Sans rire, c’est ce qui s’est passé. Elle lâche la clope pour les barres de musculation, avant de se former au coaching sportif et d’ouvrir hemmer coaching, spécialisé en coaching sportif orienté santé. Lancé en 2022, hemmer coaching se déplace dans toute entreprise de Suisse romande, mais propose aussi des accompagnements individuels ou de groupe dans sa salle privée de Fribourg.
Son approche intégrative et sa flexibilité, Anne les puise dans son parcours professionnel. Après des études de psychologie, elle travaille plusieurs années comme journaliste, avant de se diriger dans le domaine du social, où elle sera responsable d’équipe, se formant au passage comme médiatrice. Autant d’atouts et de compétences relationnelles qui lui permettent encore mieux d’aider entreprises et particuliers à se mettre en mouvement pour un mieux-être au quotidien !
Rte de l’Aurore 2B
1700 Fribourg
T. 079 488 79 02
anne@hemmer-coaching.ch hemmer-coaching.ch
« Des employés en bonne santé pour une entreprise en bonne santé !
»
C’est en 2020 que Simon Beaud, Valentin Pharisa et Diogo Martins ont uni leurs compétences afin de fonder l’entreprise Jobby. La société accompagne les entreprises dans leur transition vers les solutions Cloud, développe des applications informatiques, des applications web et mobiles ainsi que des sites Internet sur mesure.
Basée au Pâquier (en Gruyère), Jobby cultive une forte relation de proximité avec sa clientèle. Ses valeurs sont orientées vers la réactivité, la proximité et la pérennité de ses solutions. En trois ans d’existence, Jobby a déjà réalisé de nombreux projets d’envergure dans le canton de Fribourg. L’innovation est au centre de ses réflexions et la société met un point d’orgue dans l’optimisation de l’expérience utilisateur de ses solutions.
En tant que développeurs d’outils informatiques, leurs ingénieurs sont experts de la digitalisation des processus et proposent les services suivants :
> Transition des processus métiers vers les solutions Cloud (développement sur mesure d’outils et sécurisation des données)
> Développement agile d’applications web et mobiles
> Développement et refonte de sites Internet
> Développement d’e-shops
> Mise en place de gestionnaires de contenus personnalisés et simplifiés pour les sites Internet
> Optimisation et refonte de l’expérience utilisateur des outils existants
> Réalisation de design/UX attractifs pour les outils informatiques selon les dernières tendances
L’accompagnement des entreprises dans leur transition vers le Cloud est un enjeu crucial. Cette transition permet aux entreprises/organisations de bénéficier de nombreux avantages tels que l’augmentation de la flexibilité, de la mobilité et de la collaboration entre les différents acteurs. En outre, cette transition permet la maîtrise des coûts des solutions informatiques et une sécurisation des données.
Les enjeux de cette transition sont nombreux, et il est important pour les entreprises de se faire accompagner pour éviter les erreurs courantes. Jobby offre une expertise technique et un accompagnement personnalisé pour permettre aux entreprises de bénéficier de tous les avantages de cette transition.
Rue des Mésanges 8
1661 Le Pâquier-Montbarry
T. 076 573 87 00
contact@jobby-sarl.ch
jobby-sarl.ch
La technologie au service des organisations
MaFondue, un fabricant de fondues artisanales situé en Gruyère, s’est lancé dans le service traiteur en offrant une gamme de fondues et de raclettes variée.
Depuis plus de 20 ans, MaFondue – avec son directeur Fabien Vallelian et ses collaborateurs – mettent un point d’honneur sur la constance, la qualité et l’authenticité des produits proposés. Face à de nombreuses demandes de sociétés et de privés, MaFondue s’est équipé afin d’avoir un service traiteur professionnel. Cette prestation a connu un énorme succès et, pour les employés de MaFondue, cela a été une expérience très appréciée.
Le succès du service traiteur de MaFondue, sous la houlette de Fabien Vallelian, a malheureusement été freiné par la crise COVID. Puis, à la reprise, il a cédé le département du service traiteur à Francis de Leeuw et Latifa Bouhsiss. Cette nouvelle équipe se réjouit aujourd’hui de poursuivre le développement du service traiteur de MaFondue et de pouvoir ainsi régaler ses clients de savoureux produits de qualité fabriqués par MaFondue.
Aussi, depuis 2021, MaFondue, avec son service traiteur, sillonne toute la Suisse pour proposer des prestations de qualité et des produits du pays de Fribourg : locaux et gourmands. En effet, les
fromages sont choisis avec soin auprès des meilleurs affineurs fribourgeois. Une large gamme de fondues (soit 9 fondues différentes sont produites pour un total annuel d’environ 100 tonnes) et de raclettes artisanales est alors proposée. De la fondue moitié-moitié à la raclette à la truffe, il y en a pour tous les goûts. MaFondue service traiteur propose une prestation avec une logistique performante permettant flexibilité et rapidité pour assurer un événement réussi en toutes circonstances !
En parallèle au service traiteur, Francis de Leeuw, canadien d’origine, a souhaité devenir l’ambassadeur des produits fribourgeois en exportant les fondues dans différents restaurants et commerces aux Etats-Unis. Faire découvrir les traditions fribourgeoises dans un pays avec un tel potentiel comme les Etats-Unis est effectivement un vecteur d’affaires très intéressant. « Il nous tient à cœur de rendre nos clients heureux et satisfaits de nos services. Le partage autour d’une fondue ou d’une raclette, c’est avant tout un moment de convivialité et de plaisir ! »
« Il nous tient à coeur de rendre nos clients heureux et satisfaits de nos services. »
gestion des tâches rapports
SDATAWAY SA, basé à Châtel-St-Denis, a développé co’clock, un programme de saisie d’heures particulièrement novateur. Centré sur l’expérience de l’utilisateur, et donc de l’employé, cet outil de timbrage a récemment vu le jour en proposant une approche ergonomique et ingénieuse.
On reproche parfois aux timbreuses de servir uniquement les intérêts de l’entreprise. SDATAWAY SA propose un contre-pied en lançant co’clock.
« Les employés ont rapidement souligné que leur planification personnelle en était facilitée », explique Laurent Seydoux, directeur de l’entreprise.
La prise en main de co’clock est simple, ne nécessitant pas de formation. Convivial, le concept se compose d’un appareil installé en tant que borne de timbrage physique, et parallèlement d’une plateforme à laquelle tout téléphone portable peut se connecter, atout indispensable face à la démocratisation du travail. « Les développeurs peuvent apporter des modifications sur la plateforme en tout temps. Un aspect modulable qui fait de co’clock un outil adapté à toutes les PME », précise Sébastien Dey, un des ingénieurs qui a conçu ce produit.
Disponible en quatre langues, la plateforme est conforme aux réglementations propres au droit du travail suisse. Elle utilise également en option la reconnaissance par empreinte digitale, fiable et facile d’accès, en plus du contrôle par badge. L’idée a été évoquée pour la toute première fois autour d’une fondue par Laurent Seydoux et le patron du restaurant Le Tivoli. Ce dernier souhaitait perfectionner sa gestion des plannings. SDATAWAY SA avait alors décidé de se pencher sur la question, à titre exploratoire. « Quatre ans plus tard, nous avons ravivé ce projet, approchés pour une demande similaire par l’entreprise Laurastar. co’clock est devenu un produit de timbrage abouti, made in Châtel, pensé pour un large marché », conclut Laurent Seydoux.
SDATAWAY SA est une société d’ingénierie, experte dans la conception électronique, le développement de logiciels et les solutions IoT. Avec l’acquisition d’Inov3, la société étend ses capacités pour inclure l’innovation, le concept et le développement mécanique de produits. En combinant ses forces existantes avec les capacités supplémentaires d’Inov3, SDATAWAY SA est positionnée pour répondre aux besoins changeants du marché et fournir des solutions innovantes à ses clients.
• Plus de 16 ans d’expertise dans le R&D
• 40 ingénieurs pour développer les produits de demain
• Plus de 800 projets réalisés
un outil innovant pour la gestion
La société Fair IT SA fête en 2023 son 10e anniversaire et autant d’années au service d’organisations romandes désireuses de digitaliser leurs processus internes grâce à un logiciel ERP. Née d’une amitié au collège et d’un attrait commun pour la résolution de problèmes au moyen de l’informatique, Fair IT et son logiciel CID ERP se sont inscrits au fil des ans dans le paysage des solutions ERP adaptées aux PME et institutions romandes.
De deux co-fondateurs à l’époque étudiants en médecine et en finance d’entreprise, son équipe s’est agrandie et compte aujourd’hui 16 collaborateurs spécialisés dans l’analyse de processus, le développement et l’intégration de leur logiciel. C’est notamment grâce au soutien de Fri Up et à la confiance accordée par des entreprises et institutions fribourgeoises que cette belle évolution a été possible.
Bd de Pérolles 3
1700 Fribourg
T. 026 519 00 10 info@fair-it.ch cid-erp.ch
Tout a commencé à la Rue de Vevey à Bulle, où Peter Kübli, arrivé de Berne en Gruyère pour effectuer des travaux d’isolation dans l’usine Nestlé à Broc, se lance à son compte. Peter forme son neveu, Stéphane Jaccottet, premier apprenti calorifugeur-tôlier suisse romand. À ses côtés Roland Ruffieux, commercial et comptable, contribue au développement de l’entreprise pendant plus de 20 ans. Il devient rapidement un membre clé de l’équipe et favorise l’essor de la PME par l’arrivée d’une nouvelle clientèle.
Aujourd’hui, ISSA SA, spécialisée dans le calorifugeage et la protection incendie, compte 65 employés. La société connaît une croissance constante et devient le leader de la branche en Suisse romande. Stéphane Jaccottet, actuel directeur, se félicite d’être dans l’économie d’énergie depuis 50 ans.
Champ-Paccot 19
1627 Vaulruz
T. 026 912 56 72
info@issa-sa.ch
issa-sa.ch
HUB 1
FINANCES ET FISCALITÉ
• Structure financière de transmission
• Valorisation de l’entreprise
• Prévoyance
• Fiscalité
• Audit
• Couverture d’assurance
HUB 3
MARKETING ET COMMUNICATION
• Identité
• Stratégie de communication
• Supports print et digitaux
• Web/IT
• Réseaux sociaux
• Films /vidéos
• Repositionnement de marques
• Rédaction
• Outils digitaux de communication
HUB 2
GOUVERNANCE ET TRANSMISSION
• Gouvernance
• Gestion de crise
• Stratégie d’entreprise
• Organisation du conseil d’administration
HUB 4
HUMAIN ET RSE
• Ressources et relations humaines
• Responsabilité sociétale (RSE)
• Développement durable
• Médiation
• Bien-être au travail
• Repositionnement de marque (humain)
• Accompagnement
• Coaching d’équipe
• Coaching individuel
Fin 2022, la CCIF a lancé un nouveau service dédié aux entreprises familiales et à leurs défis, le « Guichet des Entreprises Familiales ». Les entreprises familiales membres de la CCIF bénéficient ainsi d’une offre d’ateliers et rencontres spécifiques, avec comme point d’orgue, l’annuelle Journée des Entreprises Familiales. Dès le mois de juillet, elles bénéficieront également d’un réseau d’experts chevronnés pour tacler leurs challenges quotidiens et à long terme.
La vie de l’entreprise familiale est rythmée par une quête constante d’équilibre entre les intérêts de la société et les intérêts de la famille. Digitalisation, équilibre vie privée – vie professionnelle, planification de la succession, stratégie financière, gouvernance, développement durable, tels sont des sujets qui nécessitent parfois une expertise qui n’est pas présente dans l’entreprise ou qui nécessite l’implication d’une tierce personne afin de prendre du recul. Le Guichet des Entreprises Familiales a sélectionné pour elles des experts éprouvés.
Dès le 1er juillet 2023, les entreprises familiales membres de la CCIF auront la tâche plus aisée pour trouver de l’aide externe. Une vingtaine d’entreprises expertes dans leur domaine se regroupent dans 4 hubs de compétences pour offrir leurs services. Via sa plateforme legef.ch, les entreprises
accèdent à un espace membres exclusif et peuvent consulter les profils des experts. L’objectif est d’avoir sous la main les coordonnées de professionnels triés sur le volet, dans un contexte intimiste et favorable à l’échange.
LE RÔLE DE LA CCIF : FACILITER LES ÉCHANGES ENTRE SES MEMBRES
La mission de la CCIF est avant tout de créer des opportunités d’affaires entre ses membres et ainsi, pour les uns comme les autres, contribuer à la pérennité de l’économie fribourgeoise. Le Guichet des Entreprises Familiales n’intervient en aucun cas dans les affaires des entreprises et des experts. La gestion des affaires est indépendante de la CCIF.
COMMENT ACCÉDER À L’ESPACE MEMBRES ?
L’adhésion au Guichet est incluse dans la cotisation annuelle à la CCIF pour toute entreprise familiale. Pour ce faire, les membres peuvent utiliser le nom d’utilisateur et le mot de passe reçus par courrier ou email.
VOUS SOUHAITEZ DEVENIR EXPERT ?
Si vous vous reconnaissez dans les critères ci-dessous, il suffit de nous contacter à l’adresse legef@ccif.ch
> Être membre de la CCIF
> Avoir des compétences éprouvées dédiées aux entreprises familiales
> Être établi dans le canton de Fribourg
> Offrir un avantage aux membres de la communauté
> S’acquitter de la cotisation annuelle selon le tarif applicable
Lorsqu’il a fondé IMTF, en 1987, Mark Büsser figurait parmi les pionniers du développement de solutions numériques et de digitalisation. Rapidement, il perçoit un potentiel au sein des services financiers et se spécialise dans le domaine bancaire. Avec deux objectifs centraux : automatiser les processus et lutter contre la criminalité financière. Basée à Givisiez, la discrète PME fribourgeoise compte aujourd’hui plus de 1’600 clients dans 80 pays. Elle emploie 320 personnes, essentiellement des ingénieurs.
Jusqu’à mes dix ans, j’ai vécu dans le val Bregaglia, juste sous le col Maloja, à la frontière entre les Grisons et l’Italie. J’ai grandi dans la nature et dans deux dialectes. Mon père Kaspar, qui était ingénieur en génie civil et qui était à la tête de sa propre entreprise, y travaillait à la construction d’un barrage. J’ai beaucoup appris en l’observant. Il était très engagé et ne ménageait pas ses efforts. J’allais souvent sur les chantiers avec lui. Je constatais qu’il était le moteur, le chef d’orchestre et que c’était important pour que tout fonctionne. Il était le patron, mais il était très apprécié. Chez nous, la porte de la maison était toujours ouverte. Il n’était pas rare qu’un employé vienne partager un souci personnel et qu’il trouve de l’aide. Mon père m’a transmis le sens des responsabilités. Je lui dois aussi de ne pas être devenu pilote d’avion, ce qui était mon ambition durant mon adolescence. Il voulait que je poursuive mes études, arguant que je pourrais toujours devenir pilote par la suite. C’est ce que j’ai fait, à l’EPFZ, dans le domaine de l’aviation. Les études ont été passionnantes, mais je savais avant même d’avoir terminé que mon avenir serait ailleurs. »
« Mon grand-père, Fidel Keel, était également entrepre- neur. Il possédait une société de broderie industrielle dans le canton de St-Gall. Pendant la Deuxième Guerre mondiale, il a décidé de réorienter son usine pour sortir du luxe et produire d’autres tissus. Cela s’est révélé un mauvais choix quelques années plus tard et la société a dû fermer. Malgré cette déconvenue, mon grand-père a décidé d’investir dans un autre domaine en devenant propriétaire d’orangeraies, au Maroc. Il m’a emmené plu- sieurs fois. Prendre des risques, accepter que l’idée initiale puisse ne pas être bonne, revoir sa copie… tout cela sans perdre confiance.
J’ai admiré son esprit entrepreneur. »
Che-main de vie est une rubrique qui vise à découvrir, au travers d’un chef d’entreprise, les personnes qui ont influencé ou marqué sa vie professionnelle.
« Il m’a appris qu’on pouvait se tromper et garder confiance malgré tout »
« L’essentiel des personnes qui m’ont inspiré et qui m’inspirent encore sont de ma famille. Pouvoir compter sur sa famille est une force. C’est la racine de tout. Aujourd’hui encore, les échanges sont quasi quotidiens avec mes deux fils, notamment avec Gion-Andri qui a repris la direction de IMTF en 2021, avec mes belles-filles et mes petits-enfants. Ils savent qu’en cas de besoin, nous sommes là, comme je savais que j’avais le soutien de mes parents, puis de mon épouse. Ma mère Yvonne a permis que mon père s’engage dans son entreprise sans compter. Elle avait pris la responsabilité de la maison et de la fratrie. Sans quoi mon père n’aurait pas pu s’investir autant. Moi aussi, j’ai pu compter sur mon épouse et m’engager pleinement dans ma vie professionnelle, voyager dans le monde entier sans m’inquiéter. Ma mère nous a transmis d’autres compétences par sa façon d’être toujours curieuse de ce qui l’entoure et par sa facilité à aller vers les autres. On obtient toujours une réponse si on s’adresse directement à quelqu’un. Si je voyage en Italie et que je cherche une bonne adresse de restaurant, je rentre dans une pharmacie et je demande. »
« Je n’aurais pas pu être l’inventeur du rubik’s cube. J’ai besoin que mes idées soient utiles. Le projet de logiciel à la base de IMTF est né lors d’un voyage en Asie. Et d’un constat : les Japonais et les Chinois ne pouvaient pas archiver leurs documents de manière digitale en raison de leur écriture. En revanche, si on arrivait à les archiver sous la forme d’images, alors cela devenait possible. Je me suis entouré d’informaticiens pour développer cette idée. Un jour, un banquier est venu avec une demande pour scanner les bulletins de versement bleus. Après plusieurs essais, on a réussi à les scanner et à les archiver, puis on a développé un logiciel pour automatiser ce processus. C’est comme ça qu’on est entré dans le domaine bancaire. Ce sont les discussions et les échanges avec des clients ou des chefs d’entreprise qui ont suscité de nouveaux projets et de nouveaux produits. Avec toujours une utilité à la clé. Sans ces échanges, je n’aurais pas pu avancer. Je leur dois beaucoup. »
»
« Avant de lancer IMTF, je travaillais alors comme directeur de division dans une grande entreprise biennoise. J’avais un bon salaire et une centaine d’employés à mener. Quand j’ai tout quitté pour me lancer, certains m’ont pris pour un fou. Je suis allé présenter mon business plan un peu partout. Dans le canton de Fribourg, c’est Michel Pittet qui m’a reçu. Il était alors directeur de la Promotion économique. Le courant est tout de suite passé. Il m’a relancé et voulait me revoir. Quand il est arrivé, il avait déjà préparé un communiqué de presse. C’est grâce à lui que je me suis installé à Fribourg, d’abord à la rue St-Pierre, puis à Givisiez. Nous nous sommes aussi rencontrés plus tard, lorsqu’il est devenu conseiller d’Etat. Fribourg n’était pas forcément le terreau de ma clientèle, mais j’ai fini par convaincre la BCF de nous rejoindre et Albert Michel est devenu un ami. »
« L’esprit d’ouverture et la facilité de contact me viennent de ma mère »
« Sans échanges avec les clients, je ne peux pas avancer »
En matière de commerce international, les Chambres de commerce – intermédiaires neutres entre les administrations douanières et les entreprises privées – sont chargées de certifier l’origine des produits exportés dans le monde entier. Pour cela, elles renseignent sur les formalités exigées par les pays d’importation et sur l’application des accords commerciaux.
DE L’ORIGINE DES PRODUITS EXISTENT
À CE JOUR :
> Le régime préférentiel : lorsque les entreprises exportent leurs marchandises vers les pays ayant conclu des accords de libre-échange avec la Suisse.
> Le régime non préférentiel : lorsqu’elles exportent leurs marchandises vers les pays n’ayant pas signé d’accord de libre-échange bilatéral ou multilatéral.
Les certificats d’origine sont établis dans le cas du régime non préférentiel, c’est-àdire lorsque le pays de destination de la marchandise n’a pas établi d’accord de libre-échange avec la Suisse. Imprimés ou sous format électronique, ils sont complétés par les exportateurs puis légalisés dans les 24 heures par les Chambres de commerce du canton compétent afin d’attester que les produits exportés sont produits, fabriqués ou transformés dans un pays particulier.
Les certificats d’origine sont également utiles pour la revente d’un produit avec une origine certifiée, l’obtention d’un permis d’importation, la réponse aux exigences à l’importation des autorités douanières du pays ou encore dans le cadre des conditions d’un accréditif. Les administrations douanières les utilisent notamment pour calculer les droits de douane applicables.
Pour l’acquisition d’un certificat d’origine légalisé, il est nécessaire de remplir les formulaires se trouvant directement sur le site de votre Chambre de commerce. Pour en savoir plus, n’hésitez pas à nous contacter. L’utilisation de la plateforme de légalisation électronique Certify est également possible. À cet effet, il convient d’adresser une demande à votre Chambre de commerce pour l’ouverture d’un compte.
Service export T. 026 347 12 38 export@ccif.ch ccif.ch
Depuis leur création en 1975, les Rencontres de folklore internationales de Fribourg (RFI) invitent le public du canton et de toute la Suisse à partir à la découverte de l’Autre dans un esprit festif et familial.
Chaque année à la mi-août, près de dix groupes de danse, chant et musique des quatre coins du monde sont invités à présenter leur folklore et leurs traditions. Les RFI réunissent chaque année pas moins de 250 bénévoles autour de valeurs telles que l’authenticité, le partage et la tolérance. Le succès est au rendez-vous depuis 47 ans, avec une fréquentation moyenne de 30’000 visiteurs par édition.
Les RFI sont organisés par un comité bénévole d’une vingtaine de personnes travaillant tout au long de l’année pour organiser les sept jours de festival et proposer plus de trente événements pour petits et grands, dont la moitié est gratuite. Le comité est appuyé depuis deux ans par un secrétariat professionnel de la CCIF.
La 48e édition des RFI aura lieu du 14 au 20 août 2023. Cette année, les RFI proposeront un voyage au cœur des terres sauvages et présenteront leurs gardiens. Qu’il s’agisse de vastes étendues de sable, de champs à perte de vue, de gorges imposantes ou de paysages volcaniques, ces territoires abritent des peuples aux traditions séculaires. À l’heure du dérèglement climatique, valoriser le travail de préservation des terres et les traditions qui les entourent est particulièrement important.
Pour son édition « Gardiens de la Terre », les RFI auront l’honneur de présenter des peuples au terroir remarquable vivant traditionnellement en harmonie avec la nature et avec les animaux. Le public pourra découvrir la culture des vachers, bergers, cavaliers, nomades et indigènes de notre Terre. Mettant en avant le respect et l’amour de l’Homme pour la nature, peut-être que cette édition sera une petite piqûre de rappel pour notre société ?
Le dépaysement sera donc au rendezvous de cette 48e édition avec des pays
provenant des cinq continents, dont la Mongolie et le Zimbabwe qui seront représentés pour la toute première fois à Fribourg. Rendez-vous dès le 14 août pour une bouffée d’exotisme, de découverte et de convivialité !
Stéphane Renz, Président
Lauriane Zosso, Directrice artistique
CP 474
1701 Fribourg
Absente depuis 2019, la 7e édition de la « friweek, semaine des entrepreneurs », a fait son grand retour du 8 au 12 mai dernier, sous le thème du succès. Plusieurs intervenants de renom se sont succédé durant la semaine avec une même envie : partager avec le public leur chemin vers la réussite.
C’est le procureur et écrivain de romans policiers, Nicolas Feuz, qui a ouvert le bal en début de semaine. Personnage authentique, sincère et ouvert, il a révélé sans tabou son parcours, les obstacles rencontrés et ses succès, entre la justice et l’écriture. Il raconte comment il construit son succès, au fil des années, avec déjà 16 polars en librairie, et son envie de pouvoir bientôt se consacrer entièrement à la littérature. Entre confidences et échanges, les participants ont pu vivre un moment privilégié le temps d’un lunch.
La journée du mardi était consacrée au sport, avec la présence d’ELFIC Fri-
bourg qui est venue partager son succès en équipe. Karine Allemann, présidente du club, Romain Gaspoz, entraîneur et Elea Jacquot et Flora Stoianov, joueuses de l’équipe, ont démontré comment, avec des valeurs communes et de la discipline, il est possible de bâtir un succès sur la durée. Animée par le journaliste Gaël Longchamp, cette table ronde a été l’occasion pour les participants de percevoir que dans le sport comme au travail, le succès est synonyme de persévérance, loyauté et enthousiasme.
Pour la 3e journée de la friweek, la CCIF a convié ses invités à l’extérieur de ses locaux, à Givisiez. 50 personnes se sont retrouvées pour assister à la conférence donnée par Livia Moretti, Directrice générale de la Banque CIC, qui a présenté ses pistes de réflexion pour donner du sens à son entreprise dans un monde en turbulence. Une assemblée conquise qui a pu ensuite profiter de l’apéritif pour échanger avec cette grande spécialiste du monde bancaire, passée par la Banque
privée au Luxembourg et la Banque Centrale Européenne.
Le dernier jour de la semaine est consacré à l’activité récréative, symbole de la friweek. Cette année, une sortie en ebike était proposée en Gruyère. Mais la mauvaise météo a contraint les organisateurs à renoncer à cette balade. À la place, une visite guidée de Liebherr Machines Bulle SA a permis aux participants de déceler tous les secrets de cette grande industrie du canton. Après la visite, Ugo Pfenninger et Philipp Tschudi, membres de la Direction de la société, ont tenu une présentation dynamique de leur approche du succès en entreprise. Pour clore cette journée, les participants ont eu le privilège de se divertir lors d’un apéritif spécial animé par l’humoriste fribourgeois Lord Betterave qui a distillé son humour pinçant dans une ambiance conviviale.
Ce sont très certainement les jeunes participants de la course des 6 Heures de Fribourg qui trouveront les réponses au défi de la mobilité du futur !
Suite à l’engouement des apprentis pour la toute première course en 2022, l’Ecole des Métiers Fribourg (EMF) et la CCIF ont organisé la deuxième édition de cet unique challenge suisse de voitures modèles réduits 1/10 e à hydrogène le 6 mai, à la salle Bicubic de Romont. Un public et des émotions au rendez-vous !
Au-delà des huit classes des cycles d’orientation du canton, ce sont treize équipes d’apprentis motivés venant d’écoles professionnelles et d’entreprises fribourgeoises et d’ailleurs qui se sont battues sur la piste romontoise lors de cette unique course suisse qualificative pour la finale mondiale du « Horizon Hydrogen Grand Prix » à Las Vegas ! Si les équipes « LIEBHERR » et « EPAI-GIBS », respectivement première et deuxième en 2022, s’étaient rendues à Assen aux Pays-Bas pour la finale mondiale, elles pourraient
se retrouver cet automne en Californie, puisque « EPAI-GIBS » s’est hissée sur la plus haute marche du podium, devant son désormais traditionnel rival « LIEBHERR ».
Au-delà de cette course aussi délicate que captivante, ce sont bien les compétences transversales managériales et organisationnelles des quelques 200 jeunes écoliers et apprentis qui ont pu se développer de façon ludique.
En marge de la course, un symposium sur la mobilité du futur s’est tenu le jeudi précédent la course. Près de 80 participants ont assisté à une série de sept conférences. Parmi eux, des professionnels, des étudiants de l’EMF et de la Haute école d’ingénierie et d’architecture de Fribourg (HEIA) ont pu découvrir les avancées de la mobilité du futur à travers des acteurs régionaux, nationaux et internationaux. « Face aux enjeux de la mobilité, il est primordial de regrouper les participants de cette transition autour de cette thématique et de promouvoir les échanges avec les étudiants, acteurs de demain. Le
défi principal sera la formation, encore et toujours », nous explique Chantal Robin, directrice de la CCIF. Nous vous donnons déjà rendez-vous pour l’édition 2024 !
« La motivation et l’engouement pour cette course ne diminuent pas. La mise en pratique des connaissances théoriques à travers une compétition technique reste sans pareil. » Estelle Leyrolles, Directrice EMF
6hdefribourg.ch
Depuis plusieurs années, la CCIF –en collaboration avec le Groupement industriel du canton de Fribourg (GIF) et avec le soutien de wirtschaftsbildung.ch à Zürich –organise des semaines économiques, appelées SEMECO. Le but poursuivi par les SEMECO est de familiariser de jeunes étudiants aux principes de base de la gestion d’entreprise et de les sensibiliser ainsi aux mécanismes économiques.
Cette année, en l’espace d’une semaine, 39 élèves d’une classe de l’école de commerce du Collège du Sud à Bulle se sont glissés dans la peau de dirigeants d’entreprise. Ils ont dû gérer les domaines commerciaux, techniques et financiers d’une société et prendre les décisions nécessaires pour réussir le lancement d’un nouveau produit. Encadrés par différents professionnels (enseignants, chefs
d’entreprise), ils ont pris les commandes de sept établissements fictifs grâce à un programme informatique de simulation, imaginé par wirtschaftsbildung. ch. Retour sur cette expérience riche en émotions au travers du témoignage de trois élèves.
« Durant cette période, nous avons une entreprise et nous devons trouver un moyen de la diriger. Les classes de 2 e année ont décidé de créer des parfums. Chaque équipe a défini un directeur général, un chef de marketing, des finances, de production et des ressources humaines. Chacun a été renseigné sur son domaine et nous avons fait des choix qui nous ont conduit vers diverses réflexions afin de préparer une assemblée générale et de nous confronter à nos actionnaires.
La 1re journée, chacun a découvert un domaine spécifique de l’entreprise et les groupes se sont réunis pour discuter de
chaque situation particulière. À la fin, nous avons pris des décisions pour améliorer les perspectives de l’entreprise. Les 3e et 4e jours, nous avons révélé la situation actuelle à nos camarades et aux encadrants qui nous ont prodigué des conseils pour améliorer les présentations durant l’assemblée générale.
Le 5e jour de l’assemblée générale, les, les classes de l’école de commerce et les professeurs se sont réunis pour nous écouter et jouer le rôle d’actionnaires. Nos stratégies ont été dévoilées. Le public a finalement élu et approuvé les meilleures équipes. Deux entreprises se sont finalement détachées, d’une part celle qui a obtenu la meilleure audience mais aussi celle qui a obtenu la meilleure performance.
Pour nous, cette expérience a été très enrichissante et nous a appris beaucoup de choses. Le fait d’être immergés dans une situation réelle nous a donné énormément d’informations concrètes pour notre futur. »
Sandra Leuthold T. 026 347 12 38 sleuthold@ccif.ch ccif.chDes collégiens se frottent aux réalités de l’économie.Alissia Cioffo, Laslo Lebarbier et Marija Radu
Alors que nous annoncions un quart de siècle à la CCIF pour la plus ancienne collaboratrice Lucienne Brandt l’année passée, c’est au tour d’Isabelle Mouret de fêter ses 25, ou plus exactement ses 30 années de bons et loyaux services dans nos bureaux, ce qui la place finalement sur la plus haute marche du considérable podium CCIF ! Si la secrétaire réceptionniste est bien en poste depuis 1998, c’est sans compter les cinq années qu’elle a passées à la Chambre entre 1988 et 1993 sous la houlette de Gérard Ducarroz, avant de faire une pause pour s’occuper de ses deux filles.
Après avoir réalisé un apprentissage d’employée de commerce chez Polytype SA et passé une année en tant que fille au pair à Schwarzenburg, cette fan de deux roues entre à la rue de la Banque en 1988 pour prendre ses quartiers à la réception de la Chambre. Alors qu’elle débute seulement son premier vrai job, sa voie semble déjà toute tracée ! Non seulement son poste de secrétaire réceptionniste qui la met constamment en contact avec les gens la passionne, mais la diversité qu’offre le tissu des entreprises du canton la captive. Et depuis, jamais elle ne s’en lassera. Elle a évidemment endossé d’autres rôles comme celui de secrétaire du directeur adjoint, celui de collaboratrice au service export ou à la prospection, mais c’est bien
à l’entrée de la CCIF qu’elle se sent le plus à sa place. Aujourd’hui, Isabelle tient la réception d’une main de fer et s’occupe parallèlement du secrétariat de la CAFAL (Caisse fribourgeoise interprofessionnelle de compensation pour allocations familiales) depuis 2015.
Si elle regarde en arrière, celle qui met un point d’honneur à garder contact avec les ancien.ne.s apprenti.e.s de la CCIF est marquée par l’évolution du monde du travail. Elle a connu la machine à écrire et le papier carbone mais s’adapte très vite aux nouvelles technologies, au fur et à mesure de leur adoption par la Chambre. Elle se rappelle aussi l’incroyable évolution qu’a engendré l’arrivée du natel, avec ses premiers utilisateurs dans le domaine de la construction. Du côté de la Chambre, c’est non sans fierté qu’elle souligne que le nombre de membres a quasi triplé depuis 1988. Vu sous cet angle, 30 ans, c’est effectivement une sacrée histoire : une histoire d’engagement professionnel, mais une histoire où elle a également tissé des liens d’amitié forts et où, jamais au grand jamais, sa routine n’a été routinière !
En 2003, pour sa 10 e édition, l’Apéritif du printemps a lieu à l’aérodrome de Payerne. Joseph Deiss, alors fraîchement élu au Département fédéral de l’économie, est l’invité d’honneur de la soirée. Cet apéritif, où le personnel CCIF est habillé en combinaisons de pilotes, où les invités réseautent sous les ailes d’un F/A-18 et les pales d’un Super Puma dans une atmosphère extraordinaire, a laissé une empreinte toute particulière à Isabelle. « La meilleure édition ! » selon elle, car « Tout le monde a joué le jeu et sortir de l’habituel a donné une ambiance hors du commun ! ».
Isabelle MouretDurant leur parcours professionnel, les collaborateurs et collaboratrices peuvent être amenés à effectuer diverses formations pour se perfectionner, rafraîchir leurs connaissances ou acquérir de nouvelles compétences (langue, management, informatique, permis de conduire, sécurité, etc.). Dans certaines situations, l’employeur a l’obligation de supporter les coûts d’une formation. Lorsque tel n’est pas le cas, un accord peut être conclu pour une prise en charge de tout ou partie de ces frais à certaines conditions. Celle-ci peut concerner les frais directs de la formation (frais d’inscription, matériel, supports de cours, frais d’examens) et/ou les frais indirects (temps mis à disposition pour suivre la formation).
Le Code des obligations contient une règle générale concernant le remboursement des frais (art. 327a CO). Conformément à cette disposition légale, l’employeur doit rembourser au travailleur tous les frais imposés par l’exécution du travail et, lorsque le travailleur est occupé en dehors de son lieu de travail, les dépenses nécessaires pour son entretien. Les accords en vertu desquels le travailleur supporte lui-même tout ou partie de ses frais nécessaires sont nuls. L’ordonnance 1 relative à la loi sur le travail (art. 13 al. 4 OLT 1) indique quant à elle que le temps qu’un travailleur consacre à une formation complé-
mentaire ou continue, soit sur ordre de l’employeur, soit, en vertu de la loi, parce que son activité professionnelle l’exige, est réputé temps de travail.
Selon la jurisprudence du Tribunal fédéral, les frais de formation continue ne sont pas des frais indispensables à l’exécution du travail. Une telle formation est destinée à améliorer la capacité professionnelle du travailleur et n’est pas liée à un employeur déterminé ou un produit spécifique. Elle est effectuée principalement dans l’intérêt du travailleur. Elle lui permet généralement de bénéficier d’un salaire plus élevé et lui confère un avantage durable sur le marché du travail qui subsiste au terme des rapports de travail au cas où il devrait chercher un nouvel emploi.
Contrairement aux frais d’une formation imposée par l’exécution du travail, ceux en relation avec une formation continue n’incombent pas à l’employeur. Cependant, comme il est parfois également dans son intérêt d’encourager son personnel à acquérir de nouvelles connaissances et compétences, l’employeur peut décider de prendre en charge tout ou partie des coûts directs engendrés par une telle formation (frais d’inscription, d’examens et/ou de matériel) et/ou d’accorder du temps pour y participer. Les parties peuvent se mettre d’accord pour un congé non payé (voir notre fiche juridique à ce sujet) ou une réduction du taux d’activité. Elles peuvent aussi conve-
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nir que le temps consacré à la formation durant les heures de travail devra être compensé à un autre moment ou que celui-ci sera comptabilisé, en totalité ou en partie, comme temps de travail.
Lorsque l’employeur consent prendre à sa charge tout ou partie des frais d’une formation continue, il est recommandé de conclure, avant le début de cette formation, une convention qui prévoit les modalités d’exécution de la formation (jours d’absence pour les cours, les révisions et les examens), de la participation financière aux frais directs et/ou indirects de la formation ainsi que du remboursement. Dans le cadre de cette convention,
il est possible d’exiger du travailleur un engagement à rester au sein de l’entreprise pendant une certaine durée et à rembourser, de manière dégressive et échelonnée dans le temps, les frais de formation assumés par l’employeur en cas de résiliation des rapports de travail avant l’échéance de la période convenue. Celle-ci correspond à la durée d’amortissement de l’investissement effectué par l’entreprise. La durée de l’engagement ne devrait en principe pas excéder trois ans à partir de la fin de la formation, sauf circonstances particulières (par exemple, formation très coûteuse).
Si l’employeur accepte de considérer le temps consacré à la formation comme du temps de travail, il est préférable d’indiquer dans la convention quels types d’activités (trajets, cours, révisions, examens, etc.) sont couverts et lesquels ne le sont pas. De plus, cas échéant, il devrait être précisé que le temps consacré à la formation qui excède la durée habituelle de la semaine de travail n’est pas comptabilisé comme temps de travail (exclusion des heures et du travail supplémentaires).
Une telle clause doit être conclue avant le début de la formation et stipuler le montant à rembourser ainsi que la durée de l’obligation de remboursement, qui ne doit pas entraver de manière excessive la liberté personnelle du travailleur. Comme c’est le cas pour la clause de non-concurrence, le juge a la faculté de réduire la durée de cet engagement.
La clause de remboursement ne trouve pas application si le travailleur démissionne en raison de violations graves par l’employeur de ses obligations contractuelles qui rendent la continuation des rapports de travail impossible (art. 156 CO). De l’avis de certaines autorités judiciaires cantonales et d’une partie de la doctrine, l’obligation de remboursement
tombe également si les rapports contractuels sont résiliés par l’employeur sans motif justifié imputable au travailleur ou si ce dernier résilie son contrat de travail pour un motif justifié imputable à l’employeur (application par analogie de l’art. 340c CO relatif à la prohibition de concurrence). Dans un arrêt rendu en 2011, le Tribunal fédéral a laissé cette question ouverte.
Kathia Pauchard P. 079 573 14 29 (permanence juridique) kpauchard@ccif.ch ccif.chLes systèmes techniques fonctionnels sont intégrés dans des systèmes globaux complexes tels que les avions, les automobiles, les camions et les machines de construction. Pour les entreprises, leurs développements nécessitent des compétences multidisciplinaires que le centre de compétences ROSAS de la HEIA-FR est à même d’offrir.
Fondé en 2015, ROSAS (Robust and Safe Systems) a pour mission d’assurer la fiabilité de l’interaction entre les composants mécaniques, le matériel électronique et les logiciels dans les systèmes techniques fonctionnels, en particulier dans des conditions physiques sévères. Constitué d’une vingtaine de professeurs et ingénieurs, ROSAS soutient les entreprises dans l’industrialisation de leurs produits et services en utilisant la recherche appliquée réalisée dans les hautes écoles et des technologies novatrices. En collaborant avec plusieurs instituts académiques suisses et internationaux, ROSAS dispose d’une large expertise dans la sécurité fonctionnelle, l’ingénierie basée sur les modèles (MBE), la cybersécurité et les systèmes intelligents. « Nous travaillons sur des projets concrets et réels de l’économie locale », explique Eric Silva, directeur adjoint de ROSAS.
La participation de ROSAS à 8 projets collaboratifs NPR depuis la création du centre a favorisé le déploiement d’activités économiques locales. En 2020, le projet
collaboratif Téléopération a permis à ROSAS de développer de larges compétences dans le domaine de la conduite à distance d’un véhicule. Actuellement, ROSAS codirige avec l’institut REDS de la HEIGVD le projet collaboratif intercantonal TaaS (Transport as a Service). Ce projet a pour objectif d’obtenir un jumeau numérique du parc d’affaires AEROPOLE 2 à Payerne, capable de simuler la gestion optimale du site d’exploitation prenant en compte le système énergétique de l’infrastructure du parc y compris la mobilité.
ROSAS a œuvré à la création des spin-offs CertX et Loxo. À Fribourg, CertX est le premier organisme accrédité en Suisse de certification de produits selon les normes et réglementations de sécurité fonctionnelle et de cybersécurité. Basée à Berne, Loxo SA propose un véhicule intelligent pour la livraison de marchandises. En tant qu’acteur majeur d’innovation pour
les entreprises fribourgeoises, ROSAS offre des solutions novatrices dans la sûreté de fonctionnement hardware/software adaptées aux besoins des entreprises. En collaboration avec SwissMoves, ROSAS développe les solutions du futur dans le domaine du transport et de la mobilité.
innosquare.com
La CCIF soutient INNOSQUARE dans sa mission. Elle est son partenaire pour les entreprises.
UNE COLLABORATION POUR DE NOUVELLES PERSPECTIVES
« ROSAS est impliqué dans les projets collaboratifs du canton. »Photo : Loxo
Les entreprises
Les produits, services ou processus
Les manifestations
Marly Cousimbert Sarine-OuestDes scientifiques de l’Institut Adolphe Merkle et du Case Western Reserve University (Cleveland, USA) ont développé un robot souple, s’inspirant des vers de terre, capable de se faufiler dans de petits espaces et de se déplacer dans toutes les directions quelle que soit la surface.
Les robots mous dont les propriétés mécaniques et la forme ressemblent à celles des vers peuvent en principe se mouvoir sur des terrains accidentés et dans des espaces étriqués, inaccessibles aux autres robots. Ces appareils pourraient remplir des fonctions multiples et variées qui vont d’opérations de recherche et de sauvetage à l’exploration souterraine et à l’inspection de canalisations, en passant par des procédures biomédicales.
Cependant, au contraire de l’espèce dont ils s’inspirent, la plupart de ces robots contient des éléments rigides, les moteurs notamment, à l’origine de certaines limitations mécaniques. Pour y remédier, les chercheuses et chercheurs du Groupe de chimie des polymères et matériaux de l’Institut Adolphe Merkle, en collaboration avec leur partenaire américain, ont mis au point un robot extrêmement flexible, doté d’un corps entièrement modulaire, composé presque uniquement de polymères souples.
Cet appareil est constitué de segments, des actionneurs avec une double couche de polymères, qui changent de forme sous l’action de la chaleur ou du froid. En activant individuellement les segments en les chauffant électriquement, il est possible de
contrôler les mouvements du robot avec une haute précision. À la manière des vers de terre, le robot avance grâce à la contraction séquentielle et à l’expansion de ses différents segments. Ce principe de fonctionnement permet également au robot de se frayer un chemin dans des espaces qui sont inférieurs à son diamètre à l’état de repos.
Le tableau serait presque parfait si ce nouveau robot n’était pas excessivement lent et ses mouvements ne requéraient pas des quantités énormes d’énergie. L’équipe de scientifiques reste toutefois optimiste : l’architecture modulaire du robot doit permettre d’améliorer ses performances en recourant à des actionneurs de flexion plus rapides et plus économes en énergie. De plus, la version actuelle est alimentée et contrôlée de manière externe, alors qu’elle
pourrait devenir autonome avec l’intégration de batteries souples et de systèmes de contrôle indépendants.
Les résultats de ce projet de recherche ont été publiés dans la revue scientifique de référence Advanced Materials. Ce travail a été réalisé grâce à un financement conjoint des Fonds nationaux scientifiques américains et suisses dans le cadre du programme PIRE (Partenariat international pour la recherche et l’éducation) Systèmes et Matériaux bio-inspirés.
Scott Capper et Christian Doninellim Communication & Médias, Unifr
HES I UNI ET ENTREPRISES FRIBOURGEOISES :
Christoph Weder, Institut Adolphe Merkle, christoph.weder@unifr.ch Katharina Fromm, vice-rectrice recherche et innovation, innovation@unifr.ch Collaboration rédactionnelle : Unicom Communication & Médias
Un robot inspiré des vers de terre
En 2022, Fri Up a accompagné 22 start-up et a conseillé plus de 300 personnes souhaitant lancer leur propre entreprise. Plusieurs projets accompagnés par Fri Up ont gagné des prix importants. Un succès qui reflète notamment la dynamique très réjouissante des start-up du canton de Fribourg.
L’année dernière a été riche en succès pour les entreprises accompagnées par Fri Up. Plusieurs start-up ont été primées au niveau international, national et cantonal :
> Mitipi, qui produit un simulateur de présence intelligent anti-cambriolages, a été sélectionnée pour le premier US
Launching Pad organisé par le centre d’innovation et de digitalisation ZID à Berne. Elle a également pu intégrer l’accélérateur de start-up américain Newchip.
> Simon & Joseph, spécialisée dans la digitalisation de l’hôtellerie, a passé avec succès les trois étapes du programme de renommée nationale Venture Kick et remporté un soutien de CHF 150’000.–.
> Neuria, dont l’équipe développe des thérapies digitales sous forme de jeux vidéo, a été primée lors du Swiss Accelerators Showcase 2022 de l’EPFL et récompensée du Future of Health Grant. Neuria est également lauréate du Prix à l’innovation 21-22 du canton de Fribourg, catégorie start-up.
Depuis 2022, le domaine du Tech Transfer connait une dynamique particulièrement intéressante
Son jeu vidéo « The Diner » repose sur de nombreuses années de recherche en neurosciences et psychologie au sein de l’Université de Fribourg.
Neuria est un bel exemple de Tech Transfer, soit la concrétisation entrepreneuriale d’un projet académique. Soutenir le passage du laboratoire à la start-up fait partie des missions de Fri Up qui va, en 2023 et par après, poursuivre son étroite collaboration avec les équipes des Hautes écoles pour renforcer cette dynamique.
CHIFFRES-CLÉS 2022
306 personnes conseillées 30 start-up accompagnées 16 levées de fonds accompagnées
La Suisse est un pays de miliciens et cela depuis des siècles. Le système de milice est un des fondements de notre démocratie, de notre économie et de notre vie associative. Autorités et collectivités publiques, armée, organisations, associations, médias, etc.: le système de milice renforce la confiance en nos décideurs, quel que soit le milieu, dans la mesure où ils gardent les pieds sur terre et ne rejoignent pas les rangs des « technocrates déconnectés de la réalité du terrain ».
La compréhension réciproque ainsi que l’échange d’expériences et de connaissances scientifiques sont cruciaux dans tous les domaines, donc aussi en matière de protection de la santé, de sécurité au travail et de prévention. Certes, des organes fort compétents (inspectorats du travail, Suva, Promotion Santé Suisse par exemple) font un travail remarquable. Mais sans le relais naturel des miliciens au sein des entreprises, leur efficacité serait nettement moindre. Pourtant, il y a péril en la demeure : avec l’individualisation de la société et les exigences toujours croissantes du monde du travail, l’engagement du milicien devient de moins en moins « naturel » et le système se fragilise.
C’est pourquoi, la Société Suisse de Sécurité au Travail (SSST) et Suissepro (l’association faîtière pour la protection de la santé et de la sécurité au travail) – chargées rappelons-le de tâches publiques –ont élaboré une « Déclaration publique » ayant pour but de préserver le système de milice en Suisse et de faire la promo -
tion de ses plus-values. De concert avec les partenaires sociaux, les entreprises sont encouragées à offrir les conditions cadres et les modèles de travail permettant à leurs spécialistes de s’engager pour la protection de la santé et la sécurité au travail dans les milieux associatifs.
Pour ce faire, les grandes entreprises possèdent une masse critique plus favorable que celle des petites et moyennes entreprises. C’est pour cette raison qu’il est plus difficile de convaincre les dirigeants/ tes des PME.
Pourtant, les spécialistes-miliciens engagés constituent un atout pour les entreprises, quelle que soit leur taille. Les PME ont tout à gagner en soutenant ce système de milice. Pour l’employeur, les bénéfices indirects sont nombreux : image, respon-
Protection de la santé
et sécurité au travail : péril en la demeure
sabilité sociale, visibilité, réseau, connaissances, solutions adaptées à la branche, fidélisation et même intégration. Pour l’employé/e : enrichissement professionnel, connaissances mises à jour, réseautage, partage d’expériences concrètes, compréhension mutuelle, responsabilités. Un avantage chiffrable en termes de diminution de l’absentéisme et de fidélisation du personnel pour l’entreprise, ainsi qu’en termes d’augmentation de la motivation du personnel. Un système gagnant-gagnant, un engagement, qui – s’il devait disparaître un jour – prétériterait la protection et la sécurité au travail, ce qui affaiblirait considérablement la place économique suisse et éroderait la paix du travail.
JUILLET
SEPTEMBRE
Mardi 11 au vendredi 14
SEMAINE DES ADOPRENEURS
Renseignements : Julie Brodard
T. 026 552 50 92 – jbrodard@ccif.ch
Lieu : CCIF
Lundi 4
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE
Renseignements : Alexandra Macheret
T. 026 347 12 34 – amacheret@ccif.ch
Lieu : Forum Fribourg, Granges-Paccot
Mardi 12
FORMATION : PRÉVENIR LE BURNOUT AUPRÈS DE VOS COLLABORATEURS (FORMATION POUR CADRES)
Renseignements : Camille Bielmann
T. 026 552 50 91 – cbielmann@ccif.ch
Lieu : CCIF
Mardi 19
FORMATION DIGITAL MANAGEMENT 4.1
MODULE PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE
Renseignements : Frédéric Ducry
T. 026 552 50 93 – innovation@ccif.ch
Lieu : CCIF
Mardi 19
FORMATION DIGITAL MANAGEMENT 4.1
MODULE BLOCKCHAIN ET TRAÇABILITÉ
Renseignements : Frédéric Ducry
T. 026 552 50 93 – innovation@ccif.ch
Lieu : CCIF
Mercredi 27, jeudi 28, vendredi 29, samedi 30
FRIBOURGOPEN
Renseignements : Chantal Robin
T. 026 347 12 20 – entreprises@fribourgopen.ch
Lieu : en entreprises
Mardi 10
DAZIT – PASSAR & LUNCH EXPORT
Renseignements : Daniela Bongard
T. 026 347 12 27 – dbongard@ccif.ch
Lieu : CCIF
Jeudi 2 et vendredi 3
FORMATION MANAGEMENT : DYNAMIQUE ET COHÉSION D’ÉQUIPE (2 JOURS)
Renseignements : Camille Bielmann
T. 026 552 50 91 – cbielmann@ccif.ch
Lieu : CCIF
Mercredi 8
3E JOURNÉE DES ENTREPRISES FAMILIALES
Renseignements : Claudia Ansermot
T. 026 347 12 20 – legef@ccif.ch
Lieu : BCF Arena, Fribourg
Mardi 14
FORMATION EXPORT : DOUANES ET ORIGINE PRÉFÉRENTIELLE
Renseignements : Daniela Bongard
T. 026 347 12 27 – dbongard@ccif.ch
Lieu : CCIF
Samedi 18
FORMATION : DIPLÔME DE SCHWYZERTÜTSCH
Renseignements : Sandra Leuthold
T. 026 347 12 38 – sleuthold@ccif.ch
Lieu : CCIF
Mardi 21
FORMATION MANAGEMENT : CONCEVOIR ET STRUCTURER DES PRÉSENTATIONS EFFICACES
Renseignements : Camille Bielmann
T. 026 552 50 91 – cbielmann@ccif.ch
Lieu : CCIF
Extrait de l’agenda des manifestations sur ccif.ch
14|09
YouComm
Assemblée générale
Info T. 026 347 12 38 – youcomm-fr.ch
Rencontres de Folklore Internationales de Fribourg (RFI)
Festival - 48e édition
Info T. 026 347 12 27 – rfi.ch
Lieu Fribourg
Société Suisse de Sécurité au Travail (SSST)
Journée de formation
Info T. 026 552 50 96 – ssst.ch
Lieu Zürich
Groupement industriel du canton de Fribourg (GIF-VFI)
Visite d’entreprise
Info T. 026 347 12 34 – gif-vfi.ch
Lieu Fribourg
IT Valley Visite d‘entreprise – Softcom
Info T. 026 347 12 35 – itvalley.ch
Impressum
HR Fribourg
Assemblée générale
Info T. 026 347 12 38 – hr-fribourg.ch
Groupement industriel du canton de Fribourg (GIF-VFI)
Visite d’entreprise
Info T. 026 347 12 34 – gif-vfi.ch
Lieu Fribourg
GRIP-Pharma
Conférence d’automne
Info T. 026 347 12 34 – grip-pharma.ch
Lieu Par visioconférence
CEES
Forum sécurité
Info T. 026 347 12 38 – cees.ch
IT Valley
TechMeeting – Synergie agroalimentaire
Info T. 026 347 12 35 – itvalley.ch
Editeur et rédaction : Chambre de commerce et d’industrie du canton de Fribourg (CCIF)
Rte du Jura 37 B – CP 160 – 1701 Fribourg – ccif.ch
Responsable d’édition : Alexandra Macheret – amacheret@ccif.ch
Rédaction CHE-MAIN DE VIE : Sophie Roulin – info@sophieroulin.ch
Graphisme, layout et couverture : ACTALIS SA – Fribourg – info@actalis.ch
Impression : Imprimerie MTL SA – Villars-sur-Glâne – imprimerie@mtlsa.ch – Tirage : 1’650 exemplaires
Publicité : media f – régie publicitaire – T. 026 426 42 42 – info@media-f.ch
Abonnement ECHO : CHF 100.– 5 numéros (TVA 2.5 % comprise) – CCIF – Isabelle Mouret – T. 026 347 12 20 – imouret@ccif.ch
Labellisé Carbon Fri
Pour mettre en valeur ses entreprises membres, la CCIF organise FribourgOPEN. De la plus petite à la plus grande, de la plus traditionnelle à la plus technologique, elles auront la possibilité de faire découvrir leurs savoir-faire, spécificités et activités tout en faisant la promotion de leurs métiers et fonctions. Cette action est portée durant 4 jours et l’entreprise choisit ses créneaux horaires.
INTERVIEW DE CHANTAL ROBIN, DIRECTRICE DE LA CCIF
C’est un constat depuis 2019 déjà : l’image de l’économie s’érode et les votations successives attaquant les conditions cadre l’attestent. L’idée de présenter la réalité du terrain, en dévoilant les savoirfaire dans toute la noblesse du terme a pris naissance. Après les crises successives, c’est définitivement le manque de maind’œuvre et la recherche d’apprenti.e.s, de professionnels, de talents qui n’ont fait que nous motiver encore plus. FribourgOPEN prend tout son sens pour démontrer la réalité du terrain.
QUEL TYPE D’ENTREPRISE PEUT OUVRIR SES PORTES ?
Qu’on soit bien clair : ni l’activité, ni la grandeur de l’entreprise ne sont des critères limitatifs. Nous réservons cet événement aux entreprises à but lucratif commerciales, artisanales, industrielles
ou de services. À elles d’être créatives en proposant des démonstrations, visites emblématiques, technologies, job dating, et j’en passe. Sans oublier qu’il faut saisir cette opportunité pour mettre en valeur les jeunes.
QU’APPORTE LA CCIF AUX ENTREPRISES
Les TPE/PME, très majoritairement représentées parmi les membres de la CCIF, n’ont que trop peu l’occasion de se présenter au public. La majorité, faute de ressources financières pour promouvoir un tel événement ou ressources opérationnelles, y renoncent.
La CCIF leur donne une visibilité cantonale sans précédent grâce à une communication d’envergure au travers des médias, communication que la CCIF prend à sa charge. FribourgOPEN donne à nos entreprises une visibilité sans précédent et l’opportunité de rayonner dans tout le canton.
Une application et un site Internet, amenés à perdurer, soutiennent l’événement avec les filtres selon les choix pour préparer les visites. L’événement sera gratuit mais sur inscription. Selon les critères établis par l’entreprise, la CCIF se charge de prendre toutes les inscriptions et la gestion de la communication avant, pendant et après FribourgOPEN. Nous avons estimé qu’il était important, pour les entreprises, d’avoir une gestion des visiteurs selon leurs propres capacités d’accueil.
Comme je l’ai mentionné, la participation est non limitative, tout public, étudiant. es, écolier-ères, futurs professionnels, peu importe. Découvrir les coulisses des entreprises tout en faisant connaissance avec ses personnes-clés, son personnel, est une expérience incroyable, sans précédent. C’est surtout l’occasion de se projeter dans une place de travail, un apprentissage, en découvrant parfois des activités ou métiers inconnus. Une vraie aubaine pour les jeunes diplômés, étudiants, personnel qualifié ou en reconversion de découvrir plus de 400 professions et fonctions !
NOUS SOMMES FribourgOPEN, ET VOUS ?
FribourgOPEN, des portes ouvertes XXL sur tout le canton, du 27 au 30 septembre 2023 !
Um ihre Mitglied-Unternehmen ins beste Licht zu rücken, organisiert die HIKF FribourgOPEN. Vom kleinsten bis zum grössten, vom traditionellsten bis zum Hightech-Unternehmen – alle führen sie ihr Know-how, ihre Spezifitäten und Tätigkeiten vor und werben gleichzeitig für ihre Berufe und Funktionen. Der Anlass erstreckt sich über 4 Tage, und das Unternehmen kann seine Zeitfenster selber wählen.
INTERVIEW MIT CHANTAL ROBIN, DIREKTORIN DER HIKF
WIE KAM ES ZU DIESER IDEE?
Schon 2019 wurde festgestellt, dass sich das Image der Wirtschaft verschlechtert – und die aufeinanderfolgenden Abstimmungen, welche die Rahmenbedingungen angreifen, belegen dies. Das war die Geburtsstunde der Idee, die Realität vor Ort zu zeigen, indem man das Know-how in seiner ganzen Breite und Vielfalt vorführt. Nach den aufeinanderfolgenden Krisen waren es definitiv der Arbeitskräftemangel und die Suche nach Lehrlingen, Fachkräften und Talenten, die uns nur noch mehr motiviert haben. FribourgOPEN macht heute absolut Sinn.
WELCHE ART VON UNTERNEHMEN
KANN SEINE TÜREN ÖFFNEN?
Weder die Aktivität noch die Grösse des Unternehmens sind beschränkende Kriterien. Der Anlass steht gewinnorientierten Unternehmen aus Handel, Gewerbe, Industrie oder Dienstleistungen offen. Es liegt an ihnen, kreativ zu sein und Vorführungen, Besichtigungen, Technologien oder Job Datings anzubieten, ohne zu vergessen, die Chance zu nutzen, Jugendliche in den Vordergrund zu setzen.
WIE UNTERSTÜTZT DIE HIKF DIE FribourgOPEN UNTERNEHMEN?
Fribourg Open suite Photos et résumé allemand
Kleinstunternehmen und KMU stellen bei den Mitgliedern der HIKF die Mehrheit dar und haben zu selten die Gelegenheit, sich dem breiten Publikum vorzustellen. Die meisten verzichten darauf, einen solchen Anlass zu organisieren, weil die finanziellen oder operationellen Ressourcen fehlen. Die HIKF verschafft ihnen dank einer breit angelegten Kommunikation, die sie übernimmt, eine noch nie dagewesene Sichtbarkeit. FribourgOPEN bietet unseren Unternehmen die Möglichkeit, im ganzen Kanton wahrgenommen zu werden.
Eine App und eine Website, die auch nach dem Anlass weiterbetrieben werden sollen, unterstützen FribourgOpen und ermöglichen es den Besuchern, sich für diesen Gratis-Anlass anzumelden und ihren Besuch zu planen. Die HIKF nimmt – gemäss den vom Unternehmen festgelegten Kriterien – alle Anmeldungen entgegen und kümmert sich um die Kommunikation vor, während und nach FribourgOPEN. Wir hielten es für wichtig, die Anzahl Besucher auf die Kapazitäten jedes einzelnen Unternehmens abzustimmen.
RICHTET SICH FribourgOPEN?
Wie ich bereits erwähnt habe, ist die Teilnahme nicht beschränkt. Das breite Publikum, Studierende, Schüler, künftige Berufsleute – alle sind willkommen. Hinter die Kulissen eines Unternehmens blicken zu können und dabei die Schlüsselpersonen, die Mitarbeitenden kennenzulernen, ist eine unglaubliche Erfahrung. Es ist auch die Gelegenheit, sich eine Arbeitsstelle oder eine Lehre auszumalen, indem man manchmal unbekannte Aktivitäten oder Berufe entdeckt. Ein echter Glücksfall für frisch Diplomierte, Studenten, Fachpersonal oder Umschüler, über 400 Berufe und Funktionen entdecken zu können!
Jeudi 5 octobre 2023
De 17h30 à 18h30
Lieu: BCF Arena à Fribourg
Inscription gratuite mais obligatoire sur ccif.ch (rechercher sous « Evénements/Agenda complet »)
Les Vendanges fiscales de BDO ont pour objectif de présenter en un peu plus d’une heure un survol de l’actualité juridique et fiscale, notamment les nouveautés qui entreront en vigueur en 2024 et les mesures à prendre pour s’y préparer.
Ne manquez pas ce rendez-vous annuel important pour votre entreprise et son développement. Cette présentation vous permettra de récolter les fruits de 2023 et d’anticiper pour 2024.
Les Vendanges fiscales de BDO en partenariat avec la CCIF : panorama des nouveautés fiscales & juridiques pour 2024
Jeudi 5 octobre 2023, de 17h30 à 18h30, à la BCF Arena à Fribourg
ORATEURS :
> Yvan Haymoz, Expert-comptable diplômé, Responsable BDO pour la Suisse romande
> Nicolas Duc, Dr en droit, Responsable Fiscalité et Droit de BDO pour la Suisse romande
> Denis Boivin, Expert fiscal diplômé, Responsable Fiscalité et Droit de BDO pour la Suisse
> Bryan Schmid, Spécialiste en finance et comptabilité avec brevet fédéral pour BDO Fribourg
BDO, partenaire annuel de la CCIF depuis plusieurs années, est en Suisse l’une des plus importantes sociétés spécialisées dans l’audit, les services fiduciaires et le conseil. Son réseau national compte 35 succursales.
BDO révise et conseille des entreprises actives dans les domaines de l’industrie et des services telles que PME, sociétés cotées en bourse, administrations publiques et organisations à but non lucratif. Son réseau mondial couvre plus de 164 pays et permet de satisfaire les besoins d’une clientèle internationale.
A votre disposition pour des services de comptabilité, d’audit, de fiscalité, de conseils économiques et en prévoyance
A votre disposition pour des services de comptabilité, d’audit, de fiscalité et de conseils économiques
Markus Jungo
Expert-comptable diplômé
Responsable du siège Fribourg
Dominique de Raemy
Spécialiste en finance et comptabilité avec brevet fédéral
Fribourg, Guin, Berne
Fribourg, Guin, Berne
core-partner.ch
C’est main dans la main que la CCIF et la Ligue fribourgeoise contre le cancer vous proposent un accompagnement personnalisé et professionnel sous forme de packs, de l’annonce de la maladie à la réinsertion professionnelle. Un partenariat et une prestation uniques en Suisse, qui font également l’objet d’un petit guide.
➔ Un accompagnement bienveillant avec des experts de la Ligue
➔ Un guide pour orienter vos premières actions
➔ Un soutien personnalisé sous forme de packs pour chaque besoin