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LE MAGAZINE DE L’ECONOMIE FRIBOURGEOISE DAS FREIBURGER WIRTSCHAFTSMAGAZIN
DOSSIER SPÉCIAL
Suisse-UE
Pour une relance des Bilatérales
LE MAGAZINE DE L’ECONOMIE FRIBOURGEOISE DAS FREIBURGER WIRTSCHAFTSMAGAZIN
Pour une relance des Bilatérales
Notre économie fait face, maintenant depuis plusieurs années, à une incertitude constante, qui est d’ailleurs la seule variable qui ne change pas ! Et ce haut niveau d’imprévisibilité s’insère dans un contexte toujours plus complexe et inédit pour les générations actuelles. On le répète souvent, mais qui avait pensé aux effets inattendus de la pandémie, de la guerre en Ukraine, du risque de pénurie d’électricité, pour ne citer que ces quelques perturbations majeures.
Et pourtant ! Malgré le franc fort, une inflation galopante, des soucis d’approvisionnement, des relations compliquées avec l’UE, le taux de chômage est au plus bas. Nous faisons face à des problèmes de recrutement dans presque tous les secteurs de l’économie.
Cette année 2023 sera bien chargée, avec des échéances décisives sur le plan fédéral. Tout d’abord pour les entreprises : nous voterons en juin sur l’harmonisation du taux d’imposition des bénéfices à 15% pour les grandes entreprises internationales. Il est indispensable que cet objet soit approuvé par le peuple suisse et fribourgeois : notre trésorerie cantonale en dépend fortement !
Pour le pays dans son ensemble, ce seront les élections fédérales qui animeront notre automne. Nous avons besoin de représentants qui agiront pour une économie prospère, car elle est un gage de stabilité.
Enfin, et c’est un dossier essentiel, il faut relancer au plus vite les négociations avec l’UE sur les Bilatérales, comme le soutient Astrid Epiney dans son interview (p. 8), afin que la Suisse retrouve des conditions-cadres claires, indispensables à notre économie.
La CCIF veillera à vous accompagner tout au long de cette année. En particulier en poursuivant ses efforts de soutien à l’innovation, qu’il faut renforcer dans le canton, mais aussi en s’impliquant dans la formation professionnelle – START ! 2023, le Forum des métiers, présidé par notre directrice Chantal Robin, a une nouvelle fois été un succès il y a quelques semaines – ainsi que la formation continue. Ce sont là les clés de la résilience et de la sérénité managériale.
Unsere Wirtschaft sieht sich nun schon seit mehreren Jahren mit einer ständigen Unsicherheit konfrontiert, welche übrigens die einzige Variable ist, die sich nicht ändert! Und dieses hohe Mass an Unvorhersehbarkeit ist in einen Kontext eingebettet, der immer komplexer wird und für die heutigen Generationen völlig neu ist. Es wird oft wiederholt, aber wer konnte die unerwarteten Auswirkungen der Pandemie, des Krieges in der Ukraine oder des Risikos einer Strommangellage – um nur einige der grösseren Probleme anzusprechen – voraussehen?
Und doch ! Trotz des starken Frankens, einer galoppierenden Inflation, Beschaffungssorgen und komplizierten Beziehungen zur EU ist die Arbeitslosenquote sehr tief. In fast allen Wirtschaftsbranchen verzeichnen wir Rekrutierungsprobleme.
Das Jahr 2023 wird intensiv sein – mit entscheidenden Terminen auf Bundesebene. Zuallererst für die Unternehmen: Im Juni werden wir über die Harmonisierung des Gewinnsteuersatzes auf 15% für internationale Grossunternehmen abstimmen. Es ist unabdingbar, dass diese Vorlage vom Schweizer und vom Freiburger Volk angenommen wird: Unsere kantonale Staatskasse hängt stark davon ab!
Im Herbst werden die eidgenössischen Wahlen das ganze Land beschäftigen. Wir brauchen Vertreter, die sich für eine florierende Wirtschaft einsetzen, ist sie doch die Garantin für Stabilität.
Schliesslich – und das ist ein essenzielles Dossier – müssen die Verhandlungen mit der EU über die Bilateralen so rasch wie möglich wieder aufgenommen werden, wie es Astrid Epiney im Interview (S. 11) betont, damit die Schweiz wieder auf klare Rahmenbedingungen zählen kann, die für unsere Wirtschaft unabdingbar sind.
Die HIKF wird Sie das ganze Jahr über tatkräftig begleiten. Insbesondere wollen wir unsere Bemühungen für die Unterstützung der Innovation, die in unserem Kanton gestärkt werden muss, fortsetzen. Wir wollen uns aber auch für die Fort- und die Berufsbildung einsetzen. Das vor einigen Wochen zu Ende gegangene Forum der Berufe START! 2023, präsidiert von unserer Direktorin Chantal Robin, war auch dieses Jahr ein Erfolg. Innovation und Bildung sind die Schlüssel zur Resilienz und zur Gelassenheit im Management.
Les entreprises actives à l’exportation ne sont pas uniquement des grands groupes internationaux, loin s’en faut. En 2020, quelque 47’000 PME suisses, soit des entreprises qui occupent moins de 250 collaborateurs, ont écoulé pour 129 milliards de francs de marchandises à l’étranger. Ce montant représente 43% de toutes les exportations.
Les PME du secteur actif dans le « commerce de gros » et du secteur « métallurgie » sont à l’origine de 13% chacune des livraisons hors des frontières suisses, soit 26% au total. Ces chiff res, dévoilés dans un rapport du Conseil fédéral publié en décembre dernier1, reflètent toutefois essentiellement des exportations d’or, qui se sont élevées à 22% du total en
2022 et qui sont classées sous ces deux secteurs d’activité. La Suisse est en eff et leader mondial dans l’industrie du métal jaune, affi nant la majeure partie de la production mondiale et se hissant du même coup au premier rang mondial des exportateurs d’or.
Mais derrière cette spécialité toute helvétique, nombre d’entreprises actives dans la fabrication de machines, de produits électroniques et optiques, de montres, de produits métalliques écoulent à elles toutes pour plusieurs milliards de francs de leurs produits à l’étranger chaque année. Dans les machines, les PME sont ainsi à l’origine de 2% des exportations, une part identique pour les produits informatiques et électroniques.
Sur les 600’000 entreprises que dénombre la Suisse, 9% sont exportatrices de marchandises. Les microentreprises (1 à 9 employés) sont 6% à exporter, les petites entreprises (10 à 49 employés) sont 21% dans ce cas et les moyennes sociétés (50 à 249 employés) sont 44%. Parmi les groupes occupant plus de 250 personnes, la part des exportateurs grimpe à 71%.
1 « Fonds de placement pour les PME exportatrices », Rapport du Conseil fédéral en réponse au postulat 15.3243 Pfister, 16.12.2022
43%
Parts exportées par les PME en 2020 : 129 milliards de francs 47’000 PME exportatrices, soit 91% de toutes les sociétés exportatrices
Part exportées par les PME en 2020: 129 milliards de 47’000 PME exportatrices, soit 91% de toutes les sociétés
PME (>250 employés)
PME (>250 employés)
57%
Source : Conseil fédéral, Rapport « Fonds de placement pour les PME exportatrices », 16.12.2022
Sur les 600’000 entreprises que dénombre la Suisse, 9% sont exportatrices de marchandises.
Source : Conseil fédéral, Rapport « Fonds de placement pour les PME exportatrices », 16.12.2022
Données du Seco
Source : Conseil fédéral, Rapport « Fonds de placement pour les PME exportatrices », 16.12.2022
Données de la BNS et de l’OFS
Source: Conseil fédéral, Rapport "Fonds de placement pour les PME exportatrices", 16.12.22. Données de la BNS et de l'OFS
Les relations bilatérales entre la Suisse et l’Union européenne se sont tendues depuis mai 2021, date du refus de l’accord-cadre institutionnel par le Conseil fédéral. Sur le plan des Bilatérales, les accords signés ne sont plus systématiquement mis à jour. La Suisse a par ailleurs été reléguée au rang de pays tiers dans le programme-cadre pour la recherche Horizon Europe. L’arrimage de la Suisse au marché unique européen s’érode. Le point avec Astrid Epiney, rectrice de l’Université de Fribourg et professeure de droit international et de droit européen.
LE CONSEIL FÉDÉRAL N’A PAS VOULU SOUMETTRE L’ACCORDCADRE INSTITUTIONNEL AU VOTE DU PEUPLE. OÙ EN EST-ON AUJOURD’HUI ?
L’abandon des négociations a été une erreur, à mon avis. Cette décision a suscité de l’irritation et des crispations. Bruxelles avait pourtant toujours été clair : en cas d’échec, les accords bilatéraux existants ne seraient plus mis à jour. L’accord sur les obstacles techniques au commerce en a fait les frais, mais d’autres accords sont également touchés, comme celui sur la libre-circulation des personnes, dans lequel figure notamment la reconnaissance des diplômes. Et puis la Suisse a été reléguée comme État-tiers dans le programme de recherche Horizon Europe… Aujourd’hui, seuls sont adaptés les accords pour lesquels il y a un intérêt particulier à collaborer de la
part de l’UE. C’est le cas pour le transport aérien.
PEUT-ON S’ATTENDRE À D’AUTRES RÉACTIONS ?
Nous ne le savons pas, à ce stade. Mais 2023 sera cruciale en ce qui concerne les questions d’équivalence car la nouvelle loi fédérale sur la protection des données (LPD), qui entre en vigueur en septembre, devra faire l’objet d’une telle décision de la part de Bruxelles. Le texte remplit probablement les conditions, mais il n’y a pas de droit, en droit international public, à être traité de la même manière que les autres pays.
QUEL EST L’IMPACT SUR LES ENTREPRISES ET LES HAUTES ÉCOLES DE LA RELÉGATION DE LA SUISSE AU RANG D’ETAT-TIERS DANS HORIZON EUROPE ?
Les entreprises sont également concernées par ce programme, on l’oublie trop souvent. Les sociétés très actives dans des domaines à haute valeur ajoutée ainsi que celles actives dans les nouvelles technologies au sens large du terme ont été particulièrement touchées, avec une perte de compétitivité.
Pour les hautes écoles, le premier problème concerne les réseaux de recherche : s’il est toujours possible de participer à certains projets, toutefois, la conduite de ces derniers, le « lead », est désormais impossible. Cela diminue l’influence de la place scientifique suisse. Deuxièmement, nos partenaires européens hésitent
l’excellence risque d’en pâtir », Astrid Epiney, rectrice de l’Université de Fribourg et professeure de droit international et de droit européen
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à s’associer à des écoles et institutions suisses, et cela même si la Confédération paie. Troisième conséquence, l’attractivité des hautes écoles est fondamentalement remise en cause. Nous n’avons plus du tout accès aux bourses du European Research Council, des instruments prestigieux. Certains chercheurs commencent à quitter la Suisse. A terme, l’excellence risque d’en pâtir. Le Fonds national suisse (FNS) et le Secrétariat d’État à la formation, à la recherche et à l’innovation (SEFRI) ont certes mis sur pied des programmes de remplacement, ce qui est positif, mais l’argent ne peut pas tout compenser.
« Certains chercheurs commencent à quitter la Suisse. À terme,
EST-CE QUE DES ACCORDS AVEC DES PAYS HORS-UE NE PEUVENT PAS REMPLACER LA PARTICIPATION À HORIZON EUROPE ?
Remplacer, certainement pas. La Suisse se trouve au milieu de l’Europe et l’essentiel de nos collaborations, tant au niveau économique qu’au niveau des universités et hautes écoles, se fait avec les voisins. Il ne faut en outre pas oublier que le programme Horizon est le plus grand programme au monde. Dans ce sens-là, un remplacement ne sera jamais possible. Mais la recherche d’autres partenaires est toujours un atout.
VRAIMENT ?
La question est de savoir qui s’adapte et comment. Les grandes entreprises sont capables d’assurer une présence dans l’UE, mais c’est proportionnellement beaucoup plus couteux et complexe pour les PME. Il ne faut en outre pas occulter le risque d’une fuite des investissements des entreprises suisses vers l’UE. Pour l’instant, on ne remarque encore presque rien (du moins au niveau macro-économique) car l’évolution est lente. Mais il y a déjà des entreprises – aussi des PME – qui investissent plutôt dans un pays membre de l’UE, et plus l’insécurité juridique perdure, plus il y aura de tels investissements. Les entreprises qui se seront développées dans l’UE ne voudront probablement plus rapatrier leurs activités.
LA SUISSE ?
Je pense que la stratégie des « Bilatérales III », qui vise à assurer le volet institutionnel des accords existants tout en concluant quelques nouveaux accords bilatéraux dans des domaines qui nous intéressent – électricité, santé et sécurité alimentaire – est une bonne stratégie. Combiner une approche institutionnelle avec une approche matérielle est positif, surtout en vue d’une votation.
Au niveau du Conseil fédéral, il s’agira de prendre assez rapidement une décision de principe et d’établir un mandat de négociation. Une question me semble toutefois non négociable avec l’Union : celle du règlement des différends, et donc de l’implication de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE). La jurisprudence de cette dernière est constante pour estimer que si l’UE conclut un accord avec un pays tiers qui reprend du droit de l’Union, une implication de la CEJ est inéluctable pour autant qu’un réel mécanisme de règlement des différends soit prévu. La Commission européenne est alors obligée de respecter cette jurisprudence. Le deuxième élément non négociable est probablement la reprise dynamique du droit.
Il faut mettre maintenant l’énergie dans la clarification, par la Confédération, de ses objectifs de négociation, avec pour but d’obtenir, dans la mesure du possible, des exceptions matérielles. La CJUE sera tenue par de telles exceptions (par ail-
leurs déjà prévues dans le projet d’accordcadre). Le temps presse, car les élections européennes ont lieu au printemps 2024. Et cela nécessite que la Suisse soit au clair d’ici à l’été 2023 au plus tard. Il n’est par ailleurs pas exclu que la Grande-Bretagne souhaite à nouveau s’approcher du marché intérieur européen. Or, si des négociations s’engagent avec Londres, l’UE ne pourra pas donner davantage à la Suisse que ce qu’elle accorde aux Britanniques.
EXPORTATIONS SUISSES DE MARCHANDISES EN 2022 SCHWEIZER WARENEXPORTE IM JAHR 2022
Union européenne Autres pays européens (y c. Russie) Asie
Union européenne Autres pays européens (y c. Russie) Asie Amérique du Nord Amérique latine Afrique
Union européenne Autres pays européens (y c. Russie) Asie Amérique
latine Afrique
Amérique du Nord Amérique latine Afrique Océanie
IMPORTATIONS SUISSES DE MARCHANDISES EN 2022 SCHWEIZER WARENIMPORTE IM JAHR 2022
Die bilateralen Beziehungen zwischen der Schweiz und der Europäischen Union sind seit Mai 2021, als der Bundesrat das institutionelle Rahmenabkommen ablehnte, angespannt. «Der Abbruch der Verhandlungen war ein Fehler. Dieser Entscheid führte zu Irritationen und zu Verkrampfungen. Dabei hatte sich Brüssel immer klar geäussert: Im Falle eines Scheiterns werden die bestehenden bilateralen Abkommen nicht mehr aktualisiert», kommentiert Astrid Epiney, Rektorin der Universität Freiburg und Professorin für internationales und europäisches Recht.
Das Übereinkommen über technische Handelshemmnisse war das erste, das nicht mehr automatisch angepasst wurde, mit umgehenden Komplikationen im Bereich der Medizinaltechnik, deren Schweizer Zulassungen in der EU nicht mehr anerkannt werden. Aber auch andere Abkommen sind betroffen, wie etwa das Freizügigkeitsabkommen, in welchem insbesondere die Anerkennung von Diplomen aufgeführt ist. Das neue Datenschutzgesetz (DSG), das im September 2023 in Kraft treten wird, wird Gegenstand eines Äquivalenzentscheids aus Brüssel sein müssen. Es wird nicht, wie Astrid Epiney bemerkt, von Amtes wegen durchgewunken.
Die Schweiz wurde übrigens im Forschungsprogramm Horizon Europe auf den Stand eines Drittstaates zurückgestuft. Die Folge: Schweizer Forscher können kein europäisches Projekt mehr leiten und haben zu bestimmten Stipendien keinen Zugang mehr. «Einige beginnen bereits, die Schweiz zu verlassen. Langfristig könnte die Exzellenz darunter leiden. Der Schweizerische Nationalfonds (SNF) und das Staatssekretariat für Bildung, Forschung und Innovation (SBFI) haben zwar Ersatzprogramme auf die Beine gestellt, was positiv ist, aber Geld kann nicht alles kompensieren», hält Astrid Epiney fest.
Für die Rektorin der Universität Freiburg ist die Strategie der «Bilateralen III», welche darauf abzielt, den institutionellen Teil der bestehenden Abkommen zu sichern und gleichzeitig einige neue bilaterale Abkommen in den für den Bund wichtigen Bereichen - Elektrizität, Gesundheit und Lebensmittelsicherheit - abzuschliessen, die richtige Strategie. Aber die Zeit drängt: Der Bundesrat muss rasch ein Verhandlungsmandat auf den Tisch bringen. Astrid Epiney nennt den kommenden Sommer als Frist. Auf die europäischen Wahlen 2024 wird nämlich im Herbst die Erneuerung der Europäischen Kommission folgen. Bis dahin müssen die Verhandlungen abgeschlossen sein.
Version française : p. 8
«
«Einige Forscher beginnen bereits, die Schwe� zu verlassen. Langfristig könnte die �zelle� darunter leiden», Astrid Epiney, Rektorin der Universität Freiburg und Professorin für internationales und europäisches Recht
Peuple et cantons voteront le 18 juin prochain sur un article constitutionnel destiné à mettre en œuvre l’impôt minimal de l’OCDE. Plus de 130 pays ont en effet décidé que les grandes entreprises internationales (à partir d’un chiffre d’affaires de 750 millions d’euros) devront à l’avenir payer au moins 15% d’impôt sur le bénéfice dans tous les pays où elles sont présentes. Pour la Suisse, le défi est double : assurer la sécurité juridique des sociétés concernées –plus de 200 groupes suisses et 2’000 filiales de sociétés étrangères – et faire en sorte de ne pas laisser échapper des recettes fiscales.
L’impôt minimal de l’OCDE vise clairement à réduire la concurrence fiscale. Notre pays pourrait le refuser, mais dans ce cas, l’impôt manquant pourrait être prélevé par d’autres pays. Les entreprises concernées souhaitent aussi que la Suisse se conforme, pour éviter des procédures fiscales et de probables différends partout où elles sont actives. Selon des estimations très approximatives, les recettes
supplémentaires s’élèveront entre 1 et 2,5 milliards de francs.
L’article constitutionnel permet donc de prélever un impôt complémentaire lorsque la charge fiscale est inférieure à 15%. Tous les cantons sont concernés, soit parce que leur taux officiel est déjà inférieur, ce qui est le cas dans le canton de Fribourg, soit, s’il est supérieur, parce que les outils (« patent box », déduction pour activités de R&D…) abaissent l’imposition effective en dessous de cette limite.
Sur le plan politique, l’imposition de l’OCDE n’est pas contestée, mais il y a eu bagarre sur la répartition des recettes. Au final, le Parlement a décidé à de claires majorités qu’elles seraient versées à raison de 25% à la Confédération et de 75% aux cantons où se trouvent les entreprises. Les cantons qui n’en hébergent pas obtiendront leur part au travers de la péréquation.
La politique fiscale suisse, souvent contestée, est pourtant une histoire à succès. En 20 ans et trois réformes, les recettes fédérales de l’imposition des bénéfices n’ont cessé d’augmenter et atteignent aujourd’hui 13 milliards, dont la plus grande partie provient des multinationales. Ainsi, malgré la hausse d’impôt, un OUI le 18 juin est indispensable pour préserver la stabilité juridique de notre économie et d’importantes recettes fiscales.
ne pas laisser échapper des
Des visiteurs en nombre et des conditions revenues à la normale marquent cette 10e édition de Start ! Forum des métiers ! Ce ne sont pas moins de 22’000 visiteurs qui ont fait le déplacement à Forum Fribourg durant les 6 jours d’exposition.
de compétences essentielles à notre quotidien. Chaque jeune a pu s’initier, grâce aux apprenti.e.s et professionnel.les, aux techniques et savoir-faire des différents métiers en fabricant toute une palette d’objets ou en expérimentant des quizz, dessins, jeux électroniques ou autres circuits électriques.
~22’000
visiteurs
- : 7’700
- Nombre de : 83
- Nombre de : 83
- Nombre de : 254
- Nombre de : 12’000
- Nombres de :
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- Nombre d’ : 78
- Nombre de : 5’346
- Nombre de : 227
- Nombre de : 108
- Nombre d’ : 40
Les enfants, adolescents et leurs parents fribourgeois se sont déplacés en nombre à Forum Fribourg pour assister à la 10 e édition de START ! Forum des métiers. Quelque 22’000 visiteurs, dont 7’800 élèves francophones et germanophones du canton ainsi que leurs accompagnants ont profité des 6 journées d’exposition pour s’informer sur les 230 métiers présentés par plus de 80 exposants qui n’ont reculé devant aucun effort pour faire découvrir leurs métiers de manière fascinante et variée. Tant les associations professionnelles que les écoles et hautes écoles ont largement contribué à la réussite de la manifestation en transformant les 10’000 mètres carrés d’exposition en un véritable parcours de découvertes au gré des intérêts valorisant différentes voies de formation et métiers.
La centaine d’animations spéciales, ateliers et démonstrations en tout genre, présentées directement sur les stands, ont séduit un public très enthousiaste. Des métiers qui, mis bout à bout, représentent une chaîne
Vendredi soir, ce sont une vingtaine d’entreprises du canton qui ont rencontré des jeunes lors du Job Dating pour plus d’une centaine de rendez-vous dans le but de faciliter la rencontre entre les entreprises et les jeunes des CO en vue d’obtenir un éventuel contrat d’apprentissage.
START ! Forum des métiers sera de retour en 2025. Le lieu ainsi que la date seront confi rmés tout prochainement.
p.a. CCIF Rte du Jura 37 b / CP 160 1701 Fribourg
T. 026 347 12 26
info@start-fr.ch
start-fr.ch
élèves des CO du canton de Fribourg. Mais aussi des classes spécialisées et d’intégration ainsi que des écoles primaires et leurs accompagnants (francophones et germanphones) métiers
7’800
80 exposants (associations professionnelles, hautes écoles et écoles)
230
100 animations
10'000 mètres2 d’exposition sur un seul site
6 jours d’exposition
100 rendez-vous Job dating
255 transports en cars avec 85 chau eurs pour les élèves sur 4 jours totalisant plus de 12’000km
pommes et poires suisses distribuées dans le bar à Fruits o ertes par Migros Neuchâtel et Fribourg
4’500
540 litres de sirop o erts par AlloBoissons pour le bar à Sirop lors des pique-niques élèves
Une bonne affluence pour cette année 2023
Ein sehr grosser Besucheraufmarsch und die Rückkehr zu normalen Bedingungen kennzeichneten die 10. Ausgabe von START! Forum der Berufe. Nicht weniger als 22’000 Besucherinnen und Besucher fanden im Verlauf der 6 Ausstellungstage den Weg ins Forum Fribourg.
Freiburger Kinder, Jugendliche und deren Eltern fanden sich in grosser Zahl im Forum Fribourg ein. Um die 22’000 Besucherinnen und Besucher, darunter 7’800 französisch- und deutschsprachige Schülerinnen und Schüler aus dem Kanton mit deren Eltern, nutzten die 6 Ausstellungstage, um sich über 230 Berufe zu informieren. Diese wurden ihnen von 80 Ausstellern vorgestellt, die keine Mühe scheuten, die Berufe auf eine spannende und abwechslungsreiche Art
näherzubringen. Sowohl die Berufsverbände, als auch die Hochschulen und die Schulen haben massgeblich zum Erfolg der Messe beigetragen: Sie haben die 10’000 m 2 Ausstellungsfläche so bespielt, dass Besucherinnen und Besucher je nach ihren Interessen verschiedene Ausbildungswege und Berufe in geballter und spannender Form entdecken konnten.
Die hundert Spezialanlässe, Workshops und Vorführungen aller Art, die direkt an den Ständen durchgeführt wurden, fanden ein begeistertes Publikum. Die vorgestellten Berufe bilden zusammen eine Kompetenzkette, die für unseren Alltag wichtig ist. Alle Jugendlichen konnten dank der anwesenden Lehrlinge und Berufsleute einen Einblick in die Techniken und das Know-how der verschiedenen Berufe gewinnen, indem
sie eine ganze Palette von Gegenständen herstellen oder im Rahmen von Quiz, mit Zeichnungen, Computerspielen oder elektrischen Schaltkreisen Erfahrungen machen konnten.
Am Freitagabend beteiligten sich zwanzig Unternehmen aus dem Kanton an den Job Datings. Es wurden über hundert Gespräche geführt. Ziel war es, im Hinblick auf einen allfälligen Abschluss eines Lehrvertrags den Kontakt zwischen Unternehmen und Jugendlichen aus den OS herzustellen.
START! Forum der Berufe wird 2025 zurück sein. Ort und Datum werden demnächst bekanntgegeben.
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Nos formules à la carte : location, mise à disposition gratuite, vente.
Participez et valorisez votre entreprise ! L’Agglomération de Fribourg lance la nouvelle édition du concours Trophées PME qui s’adresse aux PME et Microentreprises les plus dynamiques et créatives de la région. La valeur des prix s’élève à 30’000 francs, en incluant une large couverture médiatique. Les dossiers de candidatures doivent être déposés jusqu’au 22 mai 2023. Informations complètes et insription sur Internet.
Le Fribourgeois Marc Mauron rejoint le management de by the way studio et prend la direction opérationnelle de la course commémorative Morat-Fribourg. Depuis le 1er février 2023, ce spécialiste dans le domaine des événements et du contenu événementiel a rejoint le management de l’agence bilingue en tant que CEO (Chief Entertainment Offi cer). Marc Mauron, qui a notamment été Country Sports Manager chez Red Bull et International Head of Sports Events de la marque Swatch, a pris la responsabilité du secteur « Events et Content » chez by the way studio.
Le Groupe JPF , basé à Bulle, a acquis l’entreprise Bernard Torrent SA à Collombey (VS). Fondée en 1987, cette société comptant 20 collaborateurs est active dans les travaux de maçonnerie, béton armé, rénovation, désamiantage, démolition et assainissement. La société Bernard Torrent est maintenue et a intégré les processus du groupe gruérien dès le 1er janvier 2023.
La start-up Bionomous a annoncé une levée de fonds de 2,7 millions de dollars, menée par Nivalis Group (Villaz-St-Pierre) avec la participation de la société d’investissements américaine Cybernetix Ventures et de Capital Risque Fribourg. L’injection de nouveaux fonds lui permet de réaliser une production du dispositif EggSorter à grande échelle et de se préparer à un déploiement mondial. EggSorter permet d’analyser et de trier automatiquement de petites entités biologiques comme les œufs de poisson zèbre. Ces derniers sont de plus en plus utilisés dans la recherche. Le produit de la start-up basée dans le parc du Vivier à VillazSt-Pierre permet de gagner des heures dans la sélection de chacun des œufs.
Rolex va s’implanter à Bulle. La grande maison horlogère genevoise a acheté en décembre 2022 un terrain dans le chef-lieu gruérien pour y installer sa nouvelle manufacture. Le site choisi le long de l’autoroute A12, dans la zone industrielle de « La Prila », recouvre une surface totale de 104’686 m 2 . Les investissements sont estimés à plus d’un milliard de francs. Plus de 2’000 emplois devraient être créés à terme par la marque à la couronne, qui envisage de former plusieurs centaines d’apprentis sur le site.
Soleol SA a mis en service la plus grande installation photovoltaïque d’une puissance de 2 MW dans la zone industrielle de Granges en Veveyse. Il s’agit d’une installation de près de 10’000 m 2 qui recouvre les toitures de plusieurs bâtiments occupés par diverses sociétés. Coût global de 2,4 millions de francs.
VOUS SOUHAITEZ COMMUNIQUER DES INFORMATIONS D’ACTUALITÉ ET BRÈVES (CHANGEMENTS À LA DIRECTION, OUVERTURE D’UNE SUCCURSALE, NOUVELLE LABELLISATION OU ENCORE LANCEMENT D’UN NOUVEAU PRODUIT), N’HÉSITEZ PAS À TRANSMETTRE VOS « NOUVELLES » À ECHO@CCIF.CH.
Vesin > Jo Bersier
La société réalise des reportages vidéo et photo pour mettre en valeur des marques et entreprises en plaçant l’humain au cœur des expériences pour la réalisation des concepts. agenceb.ch
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L’association a pour objectif de sauvegarder les intérêts des communes membres et de favoriser la collaboration entre elles ainsi que de contribuer au développement économique du district. see-lac.ch
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Services IT & conseils : connaissances et expertise du terrain pour mener des projets à bien avec une approche plus humaine dans l’informatique. senseit.ch
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Fribourg > Esther Brocard
Centre de formation continue qui propose essentiellement des cours de langues, cours d’appui scolaire, séjours linguistiques en Suisse et à l’étranger. swiss-lingua.ch
Spécialisée dans l’informatique, sense IT se différencie dans son approche. La société a les connaissances et l’expertise du terrain pour mener des projets IT à bien, tout spécialement orientés « humain ». Interview de son CEO Julien Bersier.
Julien Bersier : En tant qu’employé de sociétés IT, je ne me retrouvais plus dans la philosophie, les mentalités, la manière de procéder. Et au bénéfice d’une douzaine d’années d’expérience, j’ai fondé sense IT il y a près d’une année.
Dans mes anciens emplois, j’ai toujours cherché à aller plus loin pour pouvoir devenir responsable et gérer des équipes. J’avais de nombreuses idées à proposer pour améliorer la gestion et l’organisation. Au-delà de me sentir coincé dans des structures qui ne me correspondaient pas, je constatais également qu’il y avait une possibilité d’offrir des solutions davantage orientées clients pour viser la prestation optimale. Convaincu qu’il était possible de faire les choses différemment, j’ai décidé d’y ajouter ce dont j’avais manqué jusquelà : du sens !
Nous ne pouvons plus nous passer d’informatique. C’est devenu une nécessité au bon fonctionnement des entreprises. Une charge impor-
Julien Bersier
tante qui pourtant ne peut être supprimée. La mission que je me suis donnée à travers sense IT Sàrl est de remettre l’humain au cœur de l’informatique. Il est indispensable de répondre aux besoins des utilisateurs sans compliquer des processus ou tomber dans du suréquipement.
L’humain : c’est ce que nous faisons de mieux ! Vendre un PC c’est super, mais discuter avec le client, comprendre ses besoins, se mettre à sa place, c’est mieux. Et la prochaine grande étape pour nous est la formation de la relève. sense IT Sàrl sera bientôt une entreprise formatrice.
APRÈS UNE ANNÉE D’ACTIVITÉ, QUELLES PRESTATIONS AVEZ-VOUS MISES EN PLACE ?
La société est active sur toute la Suisse et principalement dans les domaines :
> Gestion de parcs informatiques
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> Téléphonie VoIP
> Maintenance / helpdesk
> Gestionnaire de mots de passe
> Sauvegardes
Pour l’année 2023, nous avons deux principaux nouveaux services :
> Location de centraux téléphoniques hébergés en Suisse
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1724 Montévraz
T. 026 552 22 00
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L’humain au centre des discussions
Une entreprise qui pousse le son à son paroxysme avec l’envie d’offrir aux professionnels et aux amoureux de musique une réalité sonore dont ils n’ont jamais pu profiter ni même expérimenter. Une telle sonorité est le fruit d’un cheminement passionné, de savoir-faire et de matériaux de grande qualité pour donner vie aux Soundboards Excelson depuis 2020.
Excelson SA est créée en mars 2020 par un groupe d’amis de Suisse romande : Jean-Marc Dietrich, Jacques Veuve et Urs Baumann. Leur point commun est leur quête active pour le son, la belle manufacture et la technique. Leur but est d’aller à la rencontre de leurs clients et partenaires pour leur faire découvrir une nouvelle dimension du son par l’immersion sonore.
Les solutions audio proposées par Excelson sont toutes réalisées en bois de résonance suisse. Ce bois est principalement utilisé par les luthiers pour la création d’instruments de musique de grande qualité. Les haut-parleurs de l’entreprise fribourgeoise ont la particularité d’être à michemin entre un haut-parleur et un instrument de musique puisqu’ils sont construits en bois de lutherie. L’auditeur aura donc le privilège, comme le musicien, de bénéficier d’une écoute HiFi identique à celle d’un son acoustique très réaliste, pur et dynamique, car le son produit est le résultat de la mise en vibration du bois de résonance.
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Showroom : Am Bach 5, 3186 Düdingen
info@excelson.com excelson.com
Formé dans l’électronique, l’informatique et la musique, Jean-Marc Dietrich, CEO, travaille depuis 10 ans sur le développement des soundboards. La connaissance de la lutherie spécifique au soundboard lui a été transmise par le luthier créateur du soundboard. Le siège d’Excelson est à Rossens FR. Son atelier et son showroom se trouvent à Guin. C’est dans ces locaux que toute la partie électronique, calibration, mesures et tests est entreprise sur les haut-parleurs en bois de résonance alors que la première phase de lutherie est produite dans la Vallée de Joux par un maître ébéniste.
L’entreprise Excelson est active dans les secteurs suivants : HiFi, installations audio pour entreprises, sonorisation de concerts et événements. Son showroom de Guin permet une écoute active des solutions audio. Des événements y sont organisés par l’entreprise et des écoutes privées sont également possibles sur rendez-vous.
Les solutions audio pour un son naturel et immersif
Notre service juridique met à votre disposition une permanence téléphonique qui vous fournit des conseils personnalisés.
Il vous aide ainsi à résoudre les questions et problèmes simples qui peuvent se poser dans le cadre de votre activité, en particulier ceux concernant la gestion des ressources humaines.
Des formations spécifiques sont également organisées dans les domaines susmentionnés.
➔ Droit du travail
➔ Assurances sociales
➔ Contrats
➔ Droit des sociétés
➔ Protection des données
mettre
PHBS Consulting se diversifie. Depuis sa création, la société accompagne les entreprises dans leur évolution et croissance. Ses prestations concernent l’accompagnement des entreprises dans les domaines de l’innovation, de la propriété intellectuelle, du développement et de la mise sur le marché de produits ainsi que du transfert technologique. Nouvelle corde à son arc, PHBS Consulting a ouvert le 2e chapitre de son histoire cette année, celui du commerce de vin.
Fondée en avril 2021, la société est domiciliée à Fribourg. PHBS Consulting a été créée par Peter Schwind. Fort d’une expérience de 30 ans dans l’industrie diagnostique comme entrepreneur, fondateur, réalisateur d’un MBO, CEO, administrateur, mais également inventeur avec 10 brevets, directeur R&D et Technique, Peter Schwind a géré la mise sur le marché de plus de 60 produits au niveau mondial.
PAR PHBS CONSULTING :
> Définir et accompagner l’implémentation d’une stratégie de croissance et d’innovation de moyen à long terme dans une PME, en étroite collaboration avec la direction et les départements de R&D et de production.
> Assurer et optimiser l’achat de matières premières en situation de pénurie et la gestion de stocks. Le savoir-faire technique et stratégique associé à la connaissance des marchés mondiaux sont les points forts de PHBS Consulting.
En 2023, PHBS Consulting a ouvert le 2e chapitre de sa jeune histoire : le commerce de vin. Ce secteur s’occupe de la représentation en Suisse d’un des domaines viticoles allemands parmi les plus anciens et prestigieux, celui du Bürgerspital Würzburg, ville de naissance du fondateur de PHBS.
Le domaine du Bürgerspital Würzburg fait partie d’une fondation créée en 1316, dont le but était de soigner les nécessiteux et aujourd’hui encore, les bénéfices liés au commerce de leurs vins soutiennent des hôpitaux et établissements pour personnes âgées qui accueillent 800 personnes. Les vignobles s’étendent sur 120 ha avec une production annuelle de quelque 800’000 bouteilles. Les vins sont régulièrement primés et comprennent une large gamme de variétés et cépages.
Dans un esprit de découverte, PHBS propose aussi des dégustations privées dans sa cave voutée au cœur de la vieille ville de Fribourg pour faire connaître ses vins de renommée.
Peter Schwind, FondateurRue des Épouses 2
1700 Fribourg
T. 078 751 35 05
p.schwind@phbs-consulting.com
T. 078 751 35 05
info@frankenwein.ch frankenwein.ch
En 2002, quand Jean-Marc Jaccottet devient propriétaire et directeur de l’entreprise, Mecaplast compte cinq employés. Depuis, elle a agrandi ses bâtiments à cinq reprises sur son site historique de Botterens. Active dans l’injection plastique, elle œuvre principalement pour le domaine médical et occupe désormais une centaine de personnes. Récente lauréate du prix SVC Suisse romande, qui récompense tous les deux ans une PME pour son caractère exemplaire, elle entend bien poursuivre sur sa lancée.
« Je suis admiratif devant le travail et l’engagement qu’ont fournis mes parents pour qu’on ait des vacances, pour qu’on puisse poursuivre nos études… Mon papa a travaillé pendant quarante-deux ans à l’usine Nestlé, à Broc. Quand il a commencé, il n’avait pas de métier, pas de CFC. À 25 ans, il a suivi l’É cole Bénédict, à Fribourg, parce qu’il avait compris l’importance de se former. Ensuite, il a cumulé les fonctions : chef de production à l’usine, le jour, secrétaire communal et agent pour la Chrétienne sociale (CSS), le soir. Il avait un esprit fonceur, entrepreneur. De son côté, ma maman assurait à la maison. Mes parents nous ont toujours soutenus, mes deux frères et moi. Et c’est encore le cas aujourd’hui, alors que ce serait à notre tour d’être attentifs à eux. »
« En 2002, un accident de voiture a emporté Jean-Marc Jaquet, qui était alors directeur de Mecaplast. Son père Alphonse était un ami de mes parents. Il connaissait mon parcours et ma personnalité. La nuit qui a suivi l’accident, il a rêvé que je reprenais l’entre- prise. Le lendemain, il m’a appelé alors que j’étais en vacances à l’étranger. Nous avons fixé un rendez-vous à mon retour. Mecaplast comptait alors cinq employés, dont le patron. C’était une petite entreprise, mais elle fonctionnait bien, depuis trente ans. Son rachat n’était pas anodin. J’ai réfléchi un jour et une nuit avant de dire oui. Ensuite, il a fallu convaincre la banque. Alphonse Jaquet est venu trois jours à l’entreprise pour me mettre en route. Ça a été comme une grande baffe. Pendant les six premiers mois, j’ai travaillé le jour pour rassurer les clients et la nuit pour apprendre le métier. J’étais ingénieur en mécanique, mais j’avais été actif dans le monde du chocolat, chez Nestlé et chez Bühler, à Saint- Gall, dans la construction métallique, chez Sottas, et dans les trains, chez Vevey technologies (devenue Bombardier), jamais dans la plasturgie. Je devais comprendre les rouages de l’entreprise et du milieu. »
« Leur implication et leur engagement inconditionnels m’ont marqué »
Che-main de vie est une rubrique qui vise à découvrir, au travers d’un chef d’entreprise, les personnes qui ont influencé ou marqué sa vie professionnelle.
« Il avait rêvé que j’allais reprendre l’entreprise »
« Quand vous êtes patron, c’est toujours vous qui prenez les décisions au fi nal, même si vous vous êtes entouré d’une équipe en qui vous avez confiance. On est souvent seul. En 2010, j’ai intégré un groupement d’entrepreneurs qui s’appelle Entre chefs PME. D’origine québécoise, ce mouvement propose des clubs locaux. Pour l’intégrer, il faut être propriétaire de son entreprise. Chaque club compte une dizaine de membres et un coach indépendant mandaté. Nous nous voyons sept fois par an pour une demijournée basée sur une thématique. Nous partageons nos expériences et nous pouvons aborder tous nos problèmes aussi bien professionnels que privés, de façon très confidentielle. Ce club et ses membres m’ont permis d’avancer, de tenir le coup et de trouver l’appui nécessaire quand j’en ai eu besoin. »
« J’ai rencontré Isabelle, mon épouse, dans le cadre professionnel. Ingénieure dans le biomédical, elle était à la tête de deux entreprises. Elle est venue vers nous parce qu’elle cherchait une solution pour un de ses laboratoires. On s’est vu souvent pour développer ce projet professionnel et on s’est rapprochés sur le plan privé. Notre premier enfant est né en 2012 et nous en avons trois. Elle a tout de suite compris comment on allait fonctionner. Elle a changé d’orientation très vite pour se former dans l’esthétique médicale et créer son institut. L’humain est au centre de son esprit. Ensemble, nous avons eu l’opportunité de reprendre, en 2021, l’École d’esthétique Athénée, à Montreux. Nous fonctionnons en vrai binôme entrepreneurial. La motivation est d’autant plus grande que nous avançons dans la même direction et avec les mêmes projets. Au quotidien, son calme et sa discrétion m’apportent l’équilibre. »
« J’espère pouvoir faire comme mes parents et m’engager auprès de mes enfants autant qu’eux l’ont fait. Quand mes deux fi lles aînées étaient petites, je venais de reprendre Mecaplast et je cumulais les heures de travail. Depuis, j’ai pris conscience de l’importance de notre présence à leur retour de l’école. Je travaille tôt le matin pour être là en soirée pour mes trois enfants plus jeunes, qui ont 10, 8 et 6 ans. En tout, la fratrie compte quatre fi lles et un garçon qui partagent une vraie connivence, même si les aînées, qui terminent actuellement leurs études, sont moins présentes. Quand je n’ai pas le moral ou que j’ai des soucis, j’essaie de passer plus de temps avec eux. Ils sont mon moteur et me font avancer. Est-ce que l’un de mes enfants me succèdera ? Je ne le sais pas. Mathilde est infi rmière, Élise termine son droit. Quant aux plus jeunes, ils posent pas mal de questions… Maxime est fasciné par la technique et la science. Il vient, par période de vacances scolaires, apprendre des petits rouages. Pour Amandine et Émilie, c’est encore un terrain de jeux. Je saurai être patient s’il le faut. »
« Elle est aussi entrepreneur »
Créée en 2018 à Lyon par 3 entrepreneurs au service d’entrepreneurs, Polypus accompagne les entreprises innovantes sur la voie de l’accélération commerciale.
Polypus, c’est une équipe pluridisciplinaire de 11 personnes basées à Lyon, Paris, Annecy, Nantes, Aix-en-Provence et en Suisse, qui accompagne en continu plus de 35 clients vers l’excellence commerciale.
Nouvellement implantée en Suisse dans le canton de Fribourg, Polypus propose son savoirfaire aux entreprises innovantes de Romandie, en particulier pour celles qui souhaitent se développer en France de manière rapide et efficace. Stratégie commerciale et marketing, adaptation du modèle d’aff aires, distribution et partenariats, Polypus permet de rejoindre un écosystème dynamique et riche pour aller plus vite.
De la stratégie à l’opérationnel, l’accompagnement sur-mesure de Polypus s’opère dans la durée. La société a créé un modèle d’accéléra-
Rte
1752 Villars-sur-Glâne
T. 078 216 20 42
odebeaufort@polypus.ch polypus.ch
tion innovant et différenciant, accessible pour de jeunes entreprises, qui s’appuie sur un abonnement mensuel sans engagement. À partir des enjeux de l’entreprise et de ses besoins spécifiques, Polypus propose un parcours d’accompagnement basé sur 6 piliers stratégiques qui contribuent à l’accélération de business. Ces axes de développement sont :
> Gouvernance
> Commerce
> Marketing
> Financement
> RH
> Développement International
Animé par les valeurs – Liberté, Engagement et Progression – Polypus partage son expérience, ses réseaux et son savoir-faire reconnus avec ses entrepreneurs, femmes et hommes passionnés. Basé sur la confiance, son investissement s’inscrit dans la durée tout au long des étapes du développement de l’entreprise.
Un accélérateur de business sur le marché françaisOlivier de Beaufort de Villars 115
Efficace, rapide, durable et économique, le vélo électrique en a sous la selle. De quoi booster l’image dynamique de votre entreprise tout en favorisant l’environnement et la santé de vos collaborateurs.
L’occasion aussi de véhiculer une image positive de votre entreprise. Les vélos peuvent en effet être personnalisés et arborer vos couleurs et votre logo.
Chez Castella Sports, vous trouverez des spécialistes à l’écoute, des conseils personnalisés, des produits de qualité, des vélos disponibles rapidement et un suivi professionnel pour l’entretien de votre flotte.
« Avec la possibilité de se déplacer à vélo électrique, nous offrons à nos collaborateurs quelque chose qui leur fait du bien. C’est beaucoup plus relax de rentrer chez soi à vélo qu’en voiture.
Castella Sports vous apporte son expertise et vous soutient dans vos démarches de planification.
Sans oublier qu’une flotte de vélos peut entrer dans les mesures du plan de mobilité désormais exigé par le canton.
Ses spécialistes vous guideront pour définir le nombre de vélos utiles ainsi que les accessoires et les infrastructures nécessaires.
En mettant des vélos électriques à disposition de vos employés, vous leur permettez de s’essayer à un autre mode de transport, que ce soit pour rejoindre leur lieu de travail ou pour se rendre à un rendez-vous professionnel.
Une solution pour éviter les surcharges de trafic, les problèmes de parcage et s’aérer l’esprit en chemin.
Luc Giroud Grisoni-Zaugg SACastella Sports SA affiche 114 ans au compteur. Entre le fondateur Léopold et l’actuel directeur Didier Castella, quatre générations et toujours le même esprit entrepreneur. La quincaillerie d’origine a laissé place à un commerce entièrement dédié au sport et aux loisirs. Il emploie 28 personnes et se déploie sur deux sites, à Bulle.
À l’étage de ses locaux historiques de la GrandRue, Castella Sports propose un large choix dans la confection et la mode sportive et de loisirs. Ce segment est tenu par Nathalie Castella, épouse de Didier. Au rez-de-chaussée et au sous-sol du bâtiment, s’étendent les rayons ski, chaussures de ski et de randonnée à ski ainsi que course à pied.
L’Espace du pied y occupe une place centrale. Avec l’aide d’un scanner 3D pour les chaussures de ski et de randonnée et avec l’appui d’un tapis de course équipé de capteurs et de caméras pour le running, les spécialistes de chez Castella sont à même de trouver des chaussures pour les pieds les plus difficiles.
Forts de leur expérience, ils peuvent également adapter la coque et les chaussons des souliers pour les rendre le plus confortable et performant possible. Pour compléter ce service, des semelles thermoformées et sur mesure améliorent le bien-être dans les chaussures de ski ou de course aussi bien que dans les souliers de montagne ou de travail.
Dans la zone industrielle du Verdel, Castella Sports se déploie sur 760 m2. Il y présente tout ce qui est nécessaire pour le ski de fond, le trekking et les activités outdoor ainsi qu’un vaste choix de vélos.
Musculaires ou électriques, VTT, gravel, route, urbain… avec quelque 500 vélos en stock, Castella Sports est en mesure de proposer une monture adaptée aux besoins de chacun. Dans ce secteur également, les experts bullois disposent du savoir-faire pour ajuster le vélo au plus proche de la morphologie de la cliente ou du client pour gagner en confort et en performance. Un plus aussi bien pour la personne qui pratique occasionnellement ou pour la sportive ou le sportif en quête de podiums.
« Nous personnalisons toujours davantage nos services et amenons des solutions clé en main », souligne Didier Castella. Des rendez-vous privés peuvent être pris sur une plage horaire qui s’étend au-delà des heures d’ouverture habituelles. « Notre objectif est d’aider notre clientèle et de lui offrir un service au plus près de ses besoins. »
« Nous personnalisons toujours davantage nos services et amenons des solutions clé en main pour notre clientèle. »
La société AMADEUS a été fondée en 1986 à Interlaken puis a ensuite ouvert d'autres sites à Avry et à Montreux. Tout d'abord spécialiste reconnu en Hifi haut-gamme, AMADEUS a toujours cherché à se développer en diversifiant ses activités en matière de produits et services technologiques proposés afin de garantir une solution digitale et technique à jour.
En choisissant AMADEUS, vous êtes assurés d'avoir le conseil adéquat qui répondra aux exigences de votre futur investissement. Chez AMADEUS, nous vous proposons des solutions complètes pour assurer la concrétisation de vos projets De la livraison à la configuration, nous garantissons une installation professionnelle et adaptée à vos besoins.
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L'intégrateur en solutions audiovisuelles, informatiques et digitales pour projets professionnels.
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SPORT
Le 1er juin 2023, l’Office fédéral de la douane et de la sécurité des frontières (OFDF) mettra en service la première version du nouveau système de gestion du trafic des marchandises : « Passar ». Ce nouveau système remplacera progressivement les applications actuelles NCTS et e-dec. Découvrez les améliorations et les nouveautés apportées par Passar, ainsi que les entreprises qui pourront en profiter.
Passar est le nom du nouveau système de gestion du trafic des marchandises de l’OFDF pour le traitement numérique des procédures douanières. Ce nouveau système sera mis en service en plusieurs étapes à partir de juin 2023. D’ici fin 2026, tous les processus liés au transit, à l’exportation, à l’importation, aux dédouanements spéciaux ainsi qu’à la perception d’autres redevances seront simplifiés, harmonisés et numérisés de bout en bout. Il s’agit là d’un objectif central du programme de numérisation et de transformation DaziT.
Ils sont liés aux différentes phases de développement de Passar et de ses systèmes périphériques. Ils déploieront ainsi leurs effets progressivement. L’étape la plus significative sera Passar 2.0 (importation), à partir de début 2025. L’économie en bénéficie à plusieurs niveaux :
> La charge administrative (coûts de la règlementation) diminue grâce à la
simplification et à la standardisation des processus.
> La numérisation de bout en bout élimine progressivement les ruptures de médias existantes et notamment l’utilisation de documents papier à la frontière.
> L’automatisation accrue et l’utilisation d’innovations technologiques accélèrent le franchissement de la frontière.
> Les passages au guichet sont supprimés : Dans la mesure où les opérateurs utilisent les solutions numériques pour effectuer les formalités douanières et payer d’autres taxes (notamment la RPLP), ils ne devront à l’avenir s’arrêter que lors de contrôles à la frontière.
> La modernisation technologique augmente la sécurité et la stabilité du système. La compatibilité avec l’UE reste garantie (NCTS phase 5, ICS2).
QUELLES SONT LES ENTREPRISES CONCERNÉES PAR PASSAR 1.0 ?
> Les transitaires et entreprises de transport
> Les destinataires agréés (Da) et expéditeurs agréés (Ea)
> Les exportateurs suisses
> Les développeurs et fournisseurs de logiciels de dédouanement
QUI N’EST PAS (ENCORE) CONCERNÉ ?
> Passar 1.0 n’a aucune incidence sur les entreprises qui importent exclusivement des marchandises en Suisse (importateurs). Celles-ci peuvent continuer à utiliser les applications edec importation et e-dec web jusqu’à mi-2025.
> Dans le trafic touristique, l’application QuickZoll reste à la disposition des particuliers.
Informations supplémentaires : bazg.admin.ch/bazg
Une première version d’un système simplifié entre en vigueur dès juin 2023
Depuis le 1er juillet 2018, les employeurs ont l’obligation d’annoncer aux offices régionaux de placement (ORP) les postes vacants dans les genres de professions sujets à un taux de chômage élevé. Cette obligation fait suite à l’acceptation par le peuple suisse de l’initiative « Contre l’immigration de masse » en février 2014. Elle a pour but de mieux employer le potentiel de main-d’œuvre en Suisse. L’obligation d’annonce est régie par l’article 21a de la loi fédérale sur les étrangers et l’intégration (LEI) ainsi que par les articles 53a-f de l’ordonnance sur le service de l’emploi (OSE).
POSTES CONCERNÉS
POSTES CONCERNÉS
L’obligation d’annoncer les postes vacants concerne les professions dont le taux de chômage national atteint ou dépasse la valeur seuil de 5%. Chaque année, au cours du 4 e trimestre, une liste des genres de professions soumis à l’obligation d’annonce est établie puis publiée sur le site travail.swiss (dans la section « Employeurs » et la rubrique « L’obligation d’annoncer les postes vacants»). Cette liste s’applique du 1er janvier au 31 décembre de l’année suivante. Sont notamment inclus dans cette liste différentes professions dans les secteurs de l’hôtellerie, de la restauration, du nettoyage et de la construction ainsi que les organisateurs d’événements, les chauffeurs, les déménageurs, les cour-
siers, les téléphonistes-standardistes ou les employés de centres d’appels. Pour l’année 2023, la liste en vigueur a été réduite par rapport à celle de 2022. Ainsi, par exemple, les vendeurs dans les magasins ainsi que certaines professions dans la restauration ne sont plus soumis à l’obligation d’annonce à partir de 2023. L’outil Check-Up, mis à disposition sur le site travail.swiss permet de vérifier simplement et rapidement si un poste est concerné par l’obligation d’annonce.
Il n’y a pas d’obligation d’annoncer un poste vacant lorsque celui-ci est attribué à un employé qui travaille depuis au moins 6 mois sans interruption dans l’entreprise ou le groupe dont elle fait partie. Ceci vaut également pour les apprentis embauchés à la suite de leur apprentissage ainsi que pour les personnes engagées au terme d’un stage, à condition que celui-ci fasse partie intégrante d’une formation (stage à but formatif).
Il n’est pas non plus nécessaire d’annoncer un poste vacant s’il est pourvu par un demandeur d’emploi inscrit auprès d’un ORP ou par un membre de la famille d’une personne autorisée à signer au nom de l’entreprise (conjoint, parent ou allié en ligne directe ou jusqu’au 1er degré en ligne collatérale, les demi-frères et demi-sœurs étant assimilés aux frères et sœurs).
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Enfin, les emplois de courte durée, jusqu’à 14 jours civils au maximum, ne sont pas soumis à l’obligation d’annonce. La procédure peut ainsi être évitée en cas de besoin en personnel urgent (par exemple, pour remplacer une personne malade). Toutefois, si la durée d’un tel emploi doit être prolongée, il conviendra de respecter la procédure d’annonce.
Les postes vacants peuvent être annoncés en ligne sur le portail travail.swiss ou auprès de l’ORP par téléphone, courrier ou email. L’annonce doit être effectuée auprès de l’ORP compétent dans la région du lieu de travail. Elle doit contenir les informations suivantes : profession recherchée, activité, exigences spéciales y comprises, lieu de l’exercice de la profession, taux d’occupation, date d’entrée en fonction, type de rapport de travail (à durée déterminée ou indéterminée), adresse de contact, nom de l’employeur et, pour les bailleurs de services, nom de l’entreprise locataire de services.
Si le processus de recrutement est confié à un tiers (agence de placement privée, chasseur de têtes ou entreprise de location de services), il lui appartient d’effectuer l’annonce. Si plusieurs placeurs privés ou entreprises de location de services sont mandatés, tous doivent respecter l’obligation d’annonce.
Pendant les 5 jours ouvrables qui suivent la mise en ligne du poste annoncé sur la plateforme de l’ORP, ce poste ne peut pas être publié ailleurs (par ex. dans la presse, sur un site Internet ou un portail). Durant cette période, les demandeurs d’emploi inscrits auprès d’un ORP et les collaborateurs des ORP bénéficient d’un accès exclusif aux informations relatives à ce poste. Le tiers mandaté pour un recrutement doit aussi respecter ce délai
d’attente. Les candidats figurant dans sa propre base de données ne peuvent être contactés qu’au terme du délai d’attente.
La violation de l’obligation d’annonce constitue une infraction pénale qui peut être sanctionnée par une amende de CHF 40’000.– au plus si elle est commise intentionnellement et de CHF 20’000.–au plus en cas de négligence.
Dans les 3 jours ouvrables à compter de la réception de l’annonce complète d’un poste vacant, l’ORP transmet à l’employeur concerné les indications relatives aux demandeurs d’emploi dont les dossiers sont pertinents ou l’informe qu’une telle personne n’est pas disponible. Après avoir étudié ces dossiers, l’employeur est tenu de communiquer
à l’ORP quelles personnes il considère comme étant appropriées et quelles personnes il a invité à passer un entretien d’embauche ou un test d’aptitude professionnelle, s’il a embauché un candidat lui ayant été proposé et si le poste reste à pourvoir. Cependant, l’employeur n’a aucun devoir de justification s’il n’engage pas un candidat proposé par l’ORP.
Kathia PauchardDepuis le 1er janvier 2023, la règlementation européenne sur les drones est applicable en Suisse. Celle-ci classe l’exploitation des drones en trois catégories : « ouverte », « spécifique » et « certifiée ». Le présent article présente les règles à respecter ainsi que les spécificités de chaque catégorie d’exploitation.
L’âge minimal pour piloter un drone est de 12 ans en catégorie « ouverte » (14 ans en catégorie « spécifique »). Un enfant âgé de moins de 12 ans doit être supervisé par une personne âgée de 16 ans au moins qui dispose de compétences de pilotage adéquates (formation, examen).
Pour pouvoir piloter un drone d’un poids égal ou supérieur à 250 g, une assurance responsabilité civile d’une somme d’un million de francs au moins doit être contractée. Il est toutefois recommandé de conclure une assurance même pour des drones d’un poids inférieur.
Toute personne pilotant un drone doit obligatoirement s’enregistrer en tant qu’exploitant sur la plateforme officielle suisse UAS.gate, sauf lorsque ce drone pèse moins de 250 g et n’est équipé ni d’une caméra ni d’un capteur ou autre dispositif pouvant recueillir des données à caractère personnel. L’enregistrement est gratuit. Le numéro d’exploitant doit figurer sur le drone.
Un drone n’est autorisé à voler que s’il dispose d’un marquage CE. Celui-ci atteste que le produit satisfait les exigences en vigueur en matière de sécurité ainsi que de protection de la santé et de l’environnement. La seule exception concerne le pilotage d’un drone construit par son utilisateur.
L’exploitation d’un drone dans la catégorie « ouverte » ne requiert en principe pas d’autorisation de l’Office fédéral de l’aviation civile (OFAC). Cette catégorie comprend trois sous-catégories : A1, A2 et A3 en fonction du poids du drone et de son étiquette de classe. Chaque souscatégorie est régie par des règles différentes en ce qui concerne les formations et examens à effectuer ainsi que les distances de sécurité à observer. Un tableau récapitulatif est disponible à l’adresse suivante : https://www.bazl.admin.ch/bazl/ fr/home/drohnen/open.html.
Un drone exploité en catégorie « ouverte » n’est pas autorisé à voler à plus de 120 m de hauteur par rapport au sol. Pour survoler un obstacle de plus de 120 m, l’accord du propriétaire de celui-ci est nécessaire. Il est alors possible de voler à une distance maximale de 15 m au-dessus de l’obstacle. Pour pouvoir être utilisé en catégorie « ouverte », un drone doit être muni d’une étiquette d’identification de classe. À défaut, il doit être exploité en catégorie « transitoire ». Les conditions sont légèrement plus strictes.
Lorsque les exigences relatives à la catégorie « ouverte » ne sont pas respectées ou lorsque le poids du drone est supérieur à 25 kg, l’exploitation relève de la catégorie « spécifique ». Dans ce cas, il est obligatoire d’obtenir une autorisation de l’OFAC.
Il existe plusieurs procédures d’autorisation : EU-STS et CH-STS (scénarios standards européen et suisse), PDRA (Pre-Defined Risk Assessment) et SORA (Specific Operations Risk Assessment). Une étiquette d’identification de classe n’est pas nécessaire pour exploiter un drone en vertu d’une évaluation PDRA ou SORA. Ces procédures d’autorisation reposent sur une méthode d’évaluation des risques associés aux exploitations complexes de drone. Étant donné qu’elles n’imposent pas de scénarios spécifiques, elles offrent davantage de flexibilité pour réaliser l’opération envisagée.
La catégorie « certifiée » concerne les exploitations à haut risque, comme le transport de personnes (taxis volants) ou
Les pilotes sont soumis à des exigences plus strictes.
de marchandises dangereuses. Les règles y relatives n’ont pas encore été adoptées.
Au niveau national, des restrictions de vol sont notamment imposées à certaines zones autour des aérodromes civils et militaires, aux établissements pénitentiaires, aux sites de protection de la faune, autour des installations nucléaires, au-dessus des zones militaires ainsi qu’à certaines infrastructures d’approvisionnement en énergie et en gaz.
Sur le plan cantonal, l’ordonnance fribourgeoise sur les aéronefs sans occupants d’un poids inférieur à 30 kg (OAero) fixe des zones d’exclusion de survol permanentes (par ex. bâtiments de la police et de l’Hôpital cantonal, ministère public,
centres d’intervention de la gendarmerie) et temporaires (grands rassemblements de personnes, événements particuliers nécessitant une sécurité accrue, zones à une distance inférieure à 300 m d’interventions dédiées à la sécurité, à la santé et au secours). Aucune commune fribourgeoise n’a fait usage de la faculté de requérir l’introduction de zones d’exclusion de vol sur son territoire.
Avant tout vol, il convient de consulter la carte à disposition sur le site de l’OFAC et, si nécessaire, de solliciter, dans le délai prévu, une dérogation à l’autorité compétente. Cette carte n’étant pas exhaustive, la planification d’un vol nécessite en outre une vérification des zones d’exclusion auprès du/des canton/s et de la/des commune/s concernés.
Si vous souhaitez obtenir des renseignements complémentaires concernant cette nouvelle règlementation, vous pouvez vous adresser à Fabian Jobin, cofondateur de Upperview Productions (f.jobin@ uvprod.ch), qui a récemment présenté ce sujet lors d’un webinaire organisé par la CCIF.
Kathia PauchardP. 079 573 14 29 (permanence juridique) kpauchard@ccif.ch ccif.ch
L’interconnexion des réseaux thermiques et électriques offre de nouvelles perspectives pour maximiser la production d’énergies renouvelables.
Il est ainsi possible de maximiser l’autoconsommation d’un quartier en mutualisant les besoins et les ressources et en favorisant un transfert efficace d’énergie thermique à différents niveaux de températures via l’utilisation de pompes à chaleur. Pour ce faire, un logiciel de simulation des réseaux intégrés a été développé dans le projet collaboratif ADVENS (Advanced Energy Network Simulation). Au bénéfice d’un fi nancement de la Nouvelle Politique Régionale du canton de Fribourg, ce projet est une collaboration entre Groupe E, SINEF, PSE Énergies, la Ville de Fribourg et l’institut Energy de la HEIA-FR.
Malick Kane, chef du projet et professeur à la HEIA-FR explique : « Pour dimensionner ou optimiser les performances d’un réseau, on le subdivise en différents sous-systèmes ou modules qui seront modélisés et simulés de manière indépendante. Ces modules délivrent des estimations allant de l’état des fluides à la consommation et la production d’énergie ». Pour les aspects de modélisation, une méthodologie a été développée en deux volets : une méthode de calcul basée sur la mécanique quantique pour la simulation et l’intégration des différents systèmes du réseau et une optimisation multi-objectifs pour le fonctionnement optimal d’un
réseau. Cette dernière prend en compte les objectifs spécifiques de chaque utilisateur, qu’il s’agisse de minimiser le coût, de maximiser l’efficacité énergétique et l’utilisation d’énergies renouvelables.
Les entreprises partenaires du projet disposent de rapports de calcul répondant à leurs besoins. Comme l’indique le chef de projet : « L’utilisateur qui opère un réseau, comme Groupe E, pourra importer ses données dans notre logiciel pour générer soit un rapport préliminaire au stade d’avant-projet ou un rapport détaillé pour la gestion du réseau ».
Le logiciel développé dans le projet collaboratif ADVENS permettra à terme aux entreprises de proposer des solutions durables et compétitives lors de la conception et l’opération de réseaux thermiques et électriques intégrés et améliorer l’efficacité énergétique.
innosquare.com
La CCIF soutient INNOSQUARE dans sa mission. Elle est son partenaire pour les entreprises.
Un outil de modélisation combinant la simulation, le dimensionnement et l’optimisation des réseaux thermiques et électriques pour l’efficience énergétique
La gestion des déchets et, en particulier, celle de leur ramassage est un enjeu de taille pour les collectivités publiques. Comment le rendre plus efficient et moins polluant ? Un projet de l’Université de Fribourg a tenté de résoudre l’équation.
En Suisse, nous sommes accoutumé·e·s à leur chorégraphie. Dès les premières lueurs de l’aube, les camions poubelles quittent leurs dépôts et sillonnent les rues de nos villes et de nos villages. Inlassablement, les hommes et les femmes en orange sautent de l’arrière du véhicule, chargent containers et sacs, puis remontent à bord et ce, dans certains quartiers, à chaque maison.
En effet, dans de nombreuses municipalités suisses, la collecte des ordures se déroule de porte en porte. Cette pratique a de nombreux effets négatifs : consommation élevée de carburant, émissions de CO2 élevées et bruit désagréable. Rendre le processus de ramassage des déchets plus efficace et plus durable représente cependant un véritable casse-tête. Le Decision Support & Operations Research Group (DS&OR), affilié au Département d’informatique de l’Université de Fribourg, a examiné les différents paramètres en jeu afin de développer un outil interactif d’aide à la décision et ainsi aider les municipalités à choisir la stratégie la mieux adaptée à leurs besoins.
« Pour définir une nouvelle stratégie de collecte, nous concevons et mettons en œuvre des algorithmes permettant d’optimiser les décisions correspondantes, telles que la localisation des points de collecte et les itinéraires effectués par les véhicules », explique Vera Fischer, assistante diplômée au DS&OR. L’outil interactif permet d’abord aux municipalités de spécifier leurs caractéristiques, telles que le réseau de rues et la quantité de déchets prévus. Il affiche ensuite plusieurs indicateurs d’efficacité, de durabilité et de coût des différentes stratégies permettant à la municipalité d’en choisir une.
Financé par Innosuisse, le projet implique trois partenaires. S’il doit sa naissance au DS&OR, qui a mis en œuvre l’outil interactif et ses algorithmes d’optimisation, l’international institute of management in technology (iimt) de l’Unifr s’occupe des aspects de communication. Enfin, l’entreprise bernoise de collecte et d’élimination des déchets Schwendimann AG a accepté de prendre en charge la
phase test du pilote, conjointement avec quelques communes. « Les concepts innovants de collecte de déchets développés par l’entreprise seront intégrés à l’outil. L’idée est ensuite de le proposer à d’autres municipalités tout en améliorant l’interface avec des fonctionnalités supplémentaires et en affinant les algorithmes. Il vise également à répondre à l’Accord de Paris sur le climat et à réaliser les objectifs énergétiques et environnementaux des pouvoirs publics », se réjouit Vera Fischer.
Vera Fischer, Département d’informatique de l’Université de Fribourg, vera.fischer@unifr.ch Katharina Fromm, vice-rectrice recherche et innovation, innovation@unifr.ch Collaboration rédactionnelle : Alma&Georges, le magazine en ligne de l’Unifr, unifr.ch/alma-georges
Farida Khali, Unicom Communication & Médias, UnifrSuite à l’appel à projet durable lancé par la fondation, les projets « Météore », « La Bob », « La Ressourcerie » et l’entreprise « emblematik » remportent chacun une enveloppe de CHF 5’000.–.
Dans le contexte climatique alarmant que nous vivons, Fribourg peut se targuer de disposer d’une quantité de projets, associations et start-up engagés à faire une différence pour le futur. Cette année, ce sont dix projets qui ont répondu à l’appel de la fondation. Le but de Carbon Fri est double. D’une part, la fondation encourage les entreprises à diminuer leurs émissions carbone en leur mettant à disposition le mode d’emploi et les outils nécessaires. Mais d’autre part, grâce à l’engagement de ces entreprises dans la labellisation Carbon Fri, elle peut soutenir des projets locaux durables.
Le but de Météore est de créer une société coopérative offrant un service de coursier. ère.s à vélo dans la région, proposant des li-
vraisons adaptées aux besoins des client.e.s, de la livraison urgente à des tournées régulières. Un but plus large est également visé en mettant l’accent sur le renforcement des liens personnalisés et de la qualité de vie au centre-ville ainsi qu’à la valorisation des activités locales. L’usage du vélo est un avantage en milieu urbain et permet de réduire l’impact environnemental vis-à-vis des transports motorisés. L’objectif de Météore va dans le sens des projets d’aménagement visant à diminuer le trafic motorisé et favoriser la mobilité douce.
La BOB (bibliothèque d’objets de la Broye) est une bibliothèque d’objets multisite qui permet d’emprunter au lieu d’acheter. On peut y trouver par exemple une scie, une tente de camping, un lit pour bébé, des chaînes à neige, une friteuse ou encore des béquilles… Elle fonctionne sur les principes du partage et de la mutualisation. Plusieurs personnes peuvent donc utiliser successivement un même objet. L’intérêt se porte ainsi sur le service rendu par l’objet et non plus sur
l’objet en lui-même, tout en créant du lien au sein d’un territoire. Cette approche est bien plus écologique que l’achat d’un objet individuel, tout en étant plus économique pour les utilisateurs.trices.
L’association La Ressourcerie (Fribourg) propose de structurer l’utilisation du réemploi en s’insérant dans un réseau local et national tout en voulant faciliter son développement. Pour ce faire, elle dirige son activité sur 3 axes : la récupération des matériaux, le développement de projets et la sensibilisation. Afi n de pérenniser et faire grandir l’association, celle-ci doit aujourd’hui se concentrer prioritairement sur le développement de trois étapes clé de la récupération des matériaux : extraire, reconditionner et stocker.
Son projet vise à sensibiliser les personnes à l’empreinte carbone des emails, mais aussi à proposer des actions pour la réduire, en proposant un calculateur. Celui-ci permettra, selon les paramètres entrés, de calculer l’empreinte, de comparer avec d’autres activités et de prodiguer des conseils pour réduire la consommation de CO2 . De plus, emblematik proposera des outils destinés aux utilisateurs d’Internet et aux créateurs de sites Internet pour réduire leur impact carbone.
Marjorie Virdis
T. 026 347 12 37 marjorie@carbonfri.ch carbonfri.ch
Les entreprises
Les produits, services ou processus
Les manifestations
En processus
Marly Cousimbert Sarine-OuestLa start-up fribourgeoise Neuria développe des thérapies digitales novatrices. Son premier jeu vidéo The Diner permet de changer durablement les mauvaises habitudes alimentaires. En 2022, ce spin-off de l’Université de Fribourg a remporté de nombreux prix, notamment le Future of Health Grant de l’EPFL/CSS et le Prix à l’innovation du canton de Fribourg. Et maintenant ? Lucas Spierer, cofondateur de Neuria, présente les défis à venir.
LUCAS, SUR QUOI TRAVAILLEZ-VOUS DEPUIS LE DÉBUT DE L’ANNÉE ?
Lucas Spierer : Nous sommes en train d’établir notre stratégie de lancement. C’est une étape cruciale pour passer du laboratoire au marché. Le champ d’application de notre thérapie digitale The Diner est large. Nous devons identifier clairement qui seront nos premiers clients.
Oui. Notre intérêt se porte en premier lieu sur le marché du lifestyle, c’est-àdire des personnes en bonne santé mais souhaitant perdre du poids. Grâce à son mécanisme d’action unique, The Diner permet de renoncer plus facilement à la malbouffe et donc de mincir.
Les grands acteurs de la gestion du poids comme Weight Watchers proposent tous des régimes qui reposent sur la discipline. Notre approche est complètement disruptive : en jouant 15 minutes par jour pendant un mois à The Diner, le joueur diminue de 20% son envie de manger de la malbouffe – et donc sa consommation – sans même s’en rendre compte.
LES NOMBREUX PRIX QUE VOUS AVEZ REMPORTÉS VOUS ONT-ILS OUVERT DES PORTES ?
Absolument. En plus de récompenser dix ans de recherche scientifique, ils nous placent en tête de proue de l’innovation
thérapeutique. C’est fondamental pour attirer des investisseurs. Depuis la remise du Prix à l’innovation fribourgeois, nous sommes également en contact avec des assurances et des acteurs du marché de la consommation. Pour ces derniers, notre jeu pourrait devenir un nouvel atout dans l’analyse des préférences des consommateurs.
VOUS ÊTES ACCOMPAGNÉS PAR FRI UP, QUE VOUS APPORTE CE SOUTIEN ?
Fri Up nous soutient fortement dans l’établissement de notre stratégie marché, nos négociations avec des investisseurs potentiels et nos recherches de fonds. C’est un accompagnement très précieux.
Passage du Cardinal 11 1700 Fribourg
T. 026 425 45 00
office@friup.ch friup.ch
« Nous allons passer du laboratoire au marché »
Mardi 14
MARS
FORMATION JURIDIQUE : NOUVEAUX MODÈLES DE TRAVAIL. QUELS ENJEUX ? QUELS PROBLÈMES ? COMMENT S’Y PRÉPARER ?
Renseignements : Kathia Pauchard
T. 026 347 12 29 – kpauchard@ccif.ch
Lieu : CCIF
Lundi 20
APÉRITIF DU PRINTEMPS DE L’ÉCONOMIE FRIBOURGEOISE
Renseignements : Patricia Roos
T. 026 347 12 36 – proosmaradan@ccif.ch
Lieu : Sottas SA, Bulle
Mardi 21
FORMATION EXPORT : CLASSIFICATION DES MARCHANDISES ET RÉGIMES DOUANIERS
Renseignements : Daniela Bongard
T. 026 347 12 27 – vdbongard@ccif.ch
Lieu : CCIF
Mercredi 29
FORMATION MANAGEMENT : MEDIATRAINING, COMMUNIQUER EN DONNANT LA MEILLEURE IMAGE !
Renseignements : Patricia Roos
T. 026 347 12 36 – proosmaradan@ccif.ch
Lieu : CCIF
AVRIL
Lundi 3
FORMATION DIGITAL MANAGEMENT 4.1 - MODULE LEAN MANAGEMENT
Renseignements : Frédéric Ducry
T. 026 552 50 93 – innovation@ccif.ch
Lieu : CCIF
Mardi 4
FORMATION EXPORT : DOUANES ET ORIGINE PRÉFÉRENTIELLE
Renseignements : Daniela Bongard
T. 026 347 12 27 – dbongard@ccif.ch
Lieu : CCIF
Mercredi 5
FORMATION JURIDIQUE: NOUVELLE LOI SUR LA PROTECTION DES DONNEÉES: SES IMPLICATIONS D’UN POINT DE VUE JURIDIQUE ET TECHNIQUE AINSI QU’EN TERMES DE GOUVERNANCE
Renseignements: Kathia Pauchard
T. 026 347 12 29 – kpauchard@ccif.ch
Lieu : CCIF
AVRIL
Jeudi 6
FORMATION MANAGEMENT : LES BONNES PRATIQUES MANAGÉRIALES POUR SUSCITER L’ENGAGEMENT ET LA MOTIVATION DE VOS COLLABORATEURS
Renseignements : Camille Bielmann
T. 026 552 50 91 – cbielmann@ccif.ch
Lieu : CCIF
Mardi 25
FORMATION JURIDIQUE : ORGANISATION DU TEMPS DE TRAVAIL (DURÉE DU TRAVAIL ET REPOS)
Renseignements : Kathia Pauchard
T. 026 347 12 29 – kpauchard@ccif.ch
Lieu : CCIF
MAI
Jeudi 4
FORMATION MANAGEMENT : GÉRER SON TEMPS, COMMENT L’OPTIMISER GRÂCE À L’INTELLIGENCE TEMPORELLE ET ÉMOTIONNELLE ?
Renseignements : Camille Bielmann
T. 026 552 50 91 – cbielmann@ccif.ch
Lieu : CCIF
Lundi 8 au vendredi 12
FRIWEEK : LA SEMAINE DES ENTREPRENEURS
Renseignements : Camille Bielmann
T. 026 552 50 91 – cbielmann@ccif.ch
Lieu : Fribourg
Mardi 23
FORMATION DIGITAL MANAGEMENT 4.1 MODULE DESIGN THINKING
Renseignements : Frédéric Ducry
T. 026 552 50 93 – innovation@ccif.ch
Lieu : CCIF
Jeudi 25
FORMATION EXPORT : INCOTERMS 2020
Renseignements : Daniela Bongard
T. 026 347 12 27 – dbongard@ccif.ch
Lieu : CCIF
PARTENAIRES CCIF 2023 / PARTNER DER HIKF 2 023
PARTENAIRE PLATINE PLATINUM-PARTNER
PARTENAIRES OR GOLD-PARTNER
PARTENAIRE TECHNOLOGIE TECHNOLOGIE-PARTNER
ème DE VOITURES À PILES À HYDROGÈNE DE TAILLE 1/10
> Une compétition entre apprentis et écoliers de toute la Suisse latine
> Un défi technique et humain qui favorise l’intelligence collective et l’esprit d’entreprise
> Un symposium, un challenge et un atelier sur la mobilité du futur
www.6hdefribourg.ch
Organisateurs
Symposium
Jeudi 4 mai 2023
Course
Samedi 6 mai 2023
Salle Bicubic Romont
Extrait de l’agenda des manifestations sur ccif.ch
GRIP-Pharma
Conférence de printemps : Pénurie de produits thérapeutiques, comment l’industrie gère les problèmes d’approvisionnement ?
Info T. 026 347 12 34 – grip-pharma.ch
Société Suisse de Sécurité au Travail (SSST)
Demi-journée de formation et 39e Assemblée
générale
Info T. 026 552 50 96 – ssst.ch
Lieu Palais des congrès Bienne
IT Valley TechMeeting
Info T. 026 347 12 35 – itvalley.ch
HR Fribourg
Conférence Intrè NO RH – Médiation en entreprise : partage d’expérience et outils pratiques
Info T. 026 347 12 38 – hr-fribourg.ch
Lieu Marly Innovation Center, Marly
Groupement industriel du canton de Fribourg (GIF-VFI)
Visite d’entreprise
Info T. 026 347 12 34 – gif-vfi.ch
Impressum
IT Valley
Workshop
Info T. 026 347 12 35 – itvalley.ch
CEES
Assemblée générale
Info T. 026 347 12 38 – cees.ch
6H de Fribourg
Symposium : La mobilité du futur
Info T 026 347 12 37 – 6hdefribourg.ch
Lieu Salle BICUBIC, Romont
6H de Fribourg
La course
Info T 026 347 12 37 - 6hdefribourg.ch
Lieu Salle BICUBIC, Romont
HR Fribourg
Atelier – les RH se mettent au vert
Info T. 026 347 12 38 – hr-fribourg.ch
Lieu CFPS du Château de Seedorf
Editeur et rédaction : Chambre de commerce et d’industrie du canton de Fribourg (CCIF)
Rte du Jura 37 B – CP 160 – 1701 Fribourg – ccif.ch
Responsable d’édition : Alexandra Macheret – amacheret@ccif.ch
Rédaction CHE-MAIN DE VIE : Sophie Roulin – info@sophieroulin.ch
Graphisme, layout et couverture : ACTALIS SA – Fribourg – info@actalis.ch
Impression : Imprimerie MTL SA – Villars-sur-Glâne – imprimerie@mtlsa.ch – Tirage : 1’650 exemplaires
Publicité : media f – régie publicitaire – T. 026 426 42 42 – info@media-f.ch
Abonnement ECHO : CHF 100.– 5 numéros (TVA 2.5 % comprise) – CCIF – Isabelle Mouret – T. 026 347 12 20 – imouret@ccif.ch
Labellisé Carbon Fri
Date : lundi 20 mars 2023
Lieu : Sottas SA, 1630 Bulle
16:00 Visite de l’entreprise Sottas SA
18:00 Partie officielle
19:30 Apéritif – réseautage
Événement sur invitation et inscription Plus d’informations sur www.ccif.ch
3 nouveaux profils par seconde
4,6 milliards d’abonnés
13
utilisateurs de plus par seconde
Autant chercher une aiguille dans une botte de foin …
60 milliards de messages par jour
6000 tweets/seconde
12% de croissance annuelle
vous, entreprisvotre e!
4,2milliards de likes par jour
7,5 réseaux sociaux par personne et par mois
Communiquer moins, mais mieux !
Et moi et moi…
CP 5 – 1701 Fribourg