LE MAGAZINE DE L’ECONOMIE FRIBOURGEOISE
DAS FREIBURGER WIRTSCHAFTSMAGAZIN
DOSSIER SPÉCIAL
Accords bilatéraux
Une nécessité aussi pour Fribourg
LE MAGAZINE DE L’ECONOMIE FRIBOURGEOISE
DAS FREIBURGER WIRTSCHAFTSMAGAZIN
Une nécessité aussi pour Fribourg
Imposition des entreprises
08 DOSSIER SPÉCIAL
Accords bilatéraux III
13 POLITIQUE ÉCONOMIQUE
15 EN BREF
16 NOUVEAUX MEMBRES
26 NOS MEMBRES
27 PRESTATION
28 FORMATION
LE GEF 31 ASSOCIATION
MANAGEMENT
32 SERVICE JURIDIQUE
35 INNOVATION
38 CALENDRIER
Le franc fort, le manque de main-d’œuvre et des incertitudes internationales qui ne cessent de prendre de l’ampleur : le contexte auquel les entreprises suisses sont confrontées reste difficile. Si l’économie de notre pays a évité la récession l’an dernier, contrairement à l’Allemagne, la croissance a clairement ralenti par rapport à 2022. Et certaines entreprises exportatrices font face à un recul de leurs activités, parfois un trou d’air. Le canton de Fribourg ne fait pas exception.
L’année 2024 se présente comme particulièrement imprévisible. L’inflation estelle réellement sous contrôle en Suisse, et ailleurs ? Si c’est le cas, quand les taux d’intérêt commenceront-ils à baisser ? Et le franc suisse va-t-il continuer à s’apprécier, accentuant son statut de monnaie refuge ? Les États-Unis se dirigent-ils vers une récession, et de quelle ampleur ? Quelle issue peut se dessiner en Ukraine, au Proche-Orient ? Et à Taïwan, où la Chine reste menaçante ? Donald Trump va-t-il revenir à la Maison Blanche ?
On le voit, ces multiples et non exhaustives inconnues sont totalement hors du champ d’action des entreprises fribourgeoises. L’évolution de chacune d’entre elles aura néanmoins des conséquences immédiates, ou au moins indirectes, sur de très nombreuses PME. Cet environnement économique et géopolitique incertain, qui se superpose à des défis majeurs en termes de transition massive vers des énergies renouvelables, s’inscrit dans la durée. Probablement longue. L’agilité devient donc une valeur et une qualité essentielles de nos entreprises.
Si nous sommes condamnés à subir de nombreux événements, il est un dossier dans lequel la Suisse a toutes les cartes en main pour rétablir la stabilité : celui de nos relations avec l’Union européenne. En décembre dernier, le Conseil fédéral a (enfin) réussi à définir le mandat de négociations en vue de la conclusion de Bilatérales III, soit la consolidation des accords qui nous lient à Bruxelles, et la conclusion de nouveaux traités. Notamment dans le domaine de l’énergie.
Après la pagaille qui a suivi l’abandon de l’accord-cadre en 2021 – rappelons que la Suisse, championne de l’innovation, a été éjectée du jour au lendemain du programme de recherche Horizon Europe – il est indispensable d’aboutir à un résultat concret, qui garantisse un accès sans entrave au marché unique (lire p. 8). Les entreprises exportatrices fribourgeoises gagnent près d’un franc sur deux chez nos voisins directs. Elles ont besoin de solutions, rapidement, faute de quoi certaines seront tentées de délocaliser au sein de l’UE. La CCIF soutient donc sans réserve ces négociations ainsi que la conclusion de nouveaux accords. L’échec n’est pas permis et il ne faut plus perdre de temps !
Der starke Franken, der Arbeitskräftemangel und zunehmende internationale Unsicherheiten: Das Umfeld, in dem sich die Schweizer Unternehmen bewegen, bleibt schwierig. Anders als Deutschland konnte zwar unser Land letztes Jahr eine Rezession vermeiden, das Wachstum hat sich aber im Vergleich zu 2022 deutlich verlangsamt. Einige Exportunternehmen sind mit einem Rückgang ihrer Aktivitäten konfrontiert und leiden manchmal unter einem Durchhänger. Der Kanton Freiburg bildet hier keine Ausnahme.
Das Jahr 2024 präsentiert sich als besonders unberechenbar. Ist die Inflation in der Schweiz und anderswo tatsächlich unter Kontrolle? Wenn ja, wann werden die Zinssätze sinken? Und wird sich der Schweizer Franken weiter verteuern und seinen Status als Fluchtwährung ausbauen? Rutschen die Vereinigten Staaten in eine Rezession ab, und wie ausgeprägt wird sie sein? Wie wird es in der Ukraine und im Nahen Osten weitergehen? Und was ist mit Taiwan, wo China weiterhin eine Bedrohung darstellt? Wird Donald Trump ins Weisse Haus zurückkehren?
Es ist klar, dass die Freiburger Unternehmen auf diese vielfältigen und nicht erschöpfend benannten Unbekannten keinen Einfluss nehmen können. Die Entwicklung jeder dieser Unbekannten wird aber unmittelbare oder zumindest indirekte Folgen für sehr viele KMU nach sich ziehen. Dieses unsichere wirtschaftliche und geopolitische Umfeld, das sich mit grossen Herausforderungen im Hinblick auf ein massives Umschwenken zu erneuerbaren Energien überschneidet, wird wohl bestehen bleiben. Womöglich für lange Zeit. Agilität wird daher zu einem wesentlichen Wert und einer wesentlichen Qualität unserer Unternehmen.
Wir kommen um zahlreiche Entwicklungen nicht herum. Es gibt aber ein Dossier, bei dem die Schweiz alle Karten in der Hand hält, um wieder Stabilität zu schaffen: Unsere Beziehungen zur Europäischen Union. Im vergangenen Dezember hat es der Bundesrat (endlich) geschafft, das Verhandlungsmandat im Hinblick auf den Abschluss der Bilateralen III – also die Konsolidierung der Abkommen, die uns an Brüssel binden, und der Abschluss neuer Verträge – zu definieren. Besonders im Bereich Energie.
Nach dem Chaos, das auf die Kündigung des Rahmenabkommens 2021 folgte – erinnern wir uns daran, dass die Schweiz, Spitzenreiterin bei der Innovation, von einem Tag auf den anderen vom Forschungsprogramm Horizon Europe ausgeschlossen wurde –, ist es unumgänglich, ein konkretes Ergebnis zu erzielen, das einen ungehinderten Zugang zum Binnenmarkt garantiert (siehe S. 10). Die Freiburger Exportunternehmen verdienen fast jeden zweiten Franken bei unseren direkten Nachbarn. Sie brauchen Lösungen, und zwar schnell, sonst werden einige von ihnen versucht sein, in die EU abzuwandern. Daher unterstützt die HIKF vorbehaltlos diese Verhandlungen und den Abschluss neuer Abkommen. Ein Scheitern ist nicht erlaubt, und es darf keine Zeit mehr verloren werden!
Président / Präsident
Les recettes de l’impôt cantonal sur le bénéfice des entreprises fribourgeoises se sont envolées de plus de 64% entre 2011 et 2021, pour atteindre 166,5 millions de francs. La réforme fiscale introduite en 2020 avait pourtant réduit le taux d’imposition des personnes morales, le faisant passer de 19,86% à 13,72%.
Les statistiques publiées fin novembre 2023 par le Service cantonal des contributions (SCC) montrent que le total des revenus tirés de l’imposition des entreprises a pratiquement atteint en 2021 son niveau de 2019. Et cela, alors que l’année 2020 avait été marquée par un plongeon des recettes dû à la profonde récession déclenchée par la survenue de la pandémie de coronavirus.
Dans le détail, on note qu’une portion restreinte de l’ensemble des entreprises s’acquitte de près de quatre cinquièmes des impôts sur le bénéfice. Pour être précis, 78,6% de cet impôt 2021 ont été versés par 128 sociétés dont la cote est supérieure à 100’000 francs. Deuxième constat, le nombre d’entreprises s’acquittant de plus de 100’000 francs d’impôt sur le bénéfice dans le canton est passé de 171 en 2016, ce qui constituait un pic, à 128 en 2021, soit un recul d’un quart. Il faut enfin souligner que 58 sociétés, soit 0,4% des sociétés du canton de Fribourg, ont payé 69,9% de l’impôt sur le bénéfice.
Côtés perspectives, la tendance est clairement à la hausse pour les revenus fiscaux tirés des bénéfices. Depuis cette année, le taux d’imposition est désormais augmenté à 15% pour les entreprises
IMPÔT SUR LE BÉNÉFICE DES ENTREPRISES
Une soixantaine de sociétés ont payé plus de deux tiers de l’impôt sur le bénéfice dans le canton en 2021.
internationales dont le chiffre d’affaires dépasse les 750 millions d’euros. Cette hausse fait partie de la réforme fiscale adoptée dans le cadre de l’OCDE et adoptée en juin 2023 par le peuple et les cantons. Selon un rapport du Département fédéral des finances (DFF) daté du 2 août 2023, le seuil d’imposition minimal apportera entre 10 et 20 millions de recettes fiscales supplémentaires au canton.
Source : Service cantonal des contributions Chiffres incluant les établissements du secteur primaire et de la sylviculture – Source : SStat
L’économie fribourgeoise gagne un franc sur quatre à l’étranger. Pour la Suisse entière, c’est presque un franc sur deux. En 2022, 2,1 milliards de francs de marchandises ont été exportés du canton vers l’Allemagne, la France, l’Italie et la Belgique. Ces quatre pays ont absorbé 41% du total des 5,1 milliards de francs de livraisons à l’étranger effectuées par des entreprises fribourgeoises. L’importance de relations stables avec Bruxelles tombe donc sous le sens. Dans cette optique, la CCIF se réjouit que le Conseil fédéral entame de nouvelles négociations avec l'Union européenne (UE) en vue de pérenniser sur le long terme les accords existants, mais également pour en conclure d’autres dans des domaines clés.
Suite à l’abandon de l’accord-cadre constitutionnel en mai 2021, la situation s’est dégradée en Suisse pour certains secteurs. Les entreprises actives dans les technologies médicales ont par exemple perdu la reconnaissance par Bruxelles de leurs homologations réalisées en Suisse, ce qui les a obligées à créer des succursales dans l’UE, pour celles qui n’en avaient pas encore. Dans le domaine de la recherche, hautes écoles et entreprises ont été immédiatement exclues d’une participation pleine et entière au programme Horizon Europe, le plus ambitieux au monde en termes d’engagements financiers. Dans le domaine universitaire, dans
l’innovation en général, les craintes d’une érosion de la compétitivité suisse n’ont fait que croître au fil des mois.
Les négociations que le Conseil fédéral entend mener ouvrent désormais une nouvelle opportunité qu’il s’agit de concrétiser dans les meilleurs délais. Depuis 2021, les négociateurs ont obtenu des avancées clés qui permettent une stabilisation de l’approche bilatérale, et même un développement dans trois secteurs clés : l’électricité, la sécurité alimentaire ainsi que la coopération en matière de santé. Il est également prévu une participation systématique aux programmes européens Horizon (R&D) et Erasmus+ (éducation).
UNE APPROCHE PRAGMATIQUE
Pour la CCIF, l’accès sans entrave au marché européen, tel que nous le connaissons depuis maintenant plus de deux décennies, constitue une nécessité vitale pour l’économie cantonale et suisse. L’approche adoptée par le Conseil fédéral, par « paquets » et non plus par le biais d’un accord englobant le tout, est une option pragmatique. Elle permettra de sortir du principe de la « clause guillotine », qui remettait en cause l’ensemble des Bilatérales en cas de litige sur un seul accord. En cas de différends juridiques, un système d’arbitrage fonctionnant sur la base de comités mixtes, avec consultation de la Cour européenne de justice sera institué.
Dans leur phase exploratoire, les négociateurs ont par ailleurs obtenu une « clause
Les négociations que le Conseil fédéral entend mener ouvrent désormais une nouvelle opportunité qu’il s’agit de concrétiser dans les meilleurs délais.
Deutsche Version: Seite 10
de non-régression », un terme nouveau qui cache une avancée substantielle : les acquis en matière de protection salariale ne pourront pas être revus à la baisse en Suisse, même si de nouvelles dispositions légales allant dans ce sens devaient entrer en vigueur dans l’UE. En matière de surveillance du marché du travail, les commissions paritaires ou tripartites seront reconnues par Bruxelles, ce qui garantit le maintien de partenariat social, peu connu au niveau européen.
Quelques points restent à négocier – c’est tout l’objet du mandat formel confié aux négociateurs – afin de sceller des accords solides et équitables, notamment la question des notes de frais appliquées aux tra-
«vailleurs détachés (la pratique interne à l’UE consiste à adopter les grilles de prix du pays de provenance du travailleur, ce qui ne correspond souvent pas aux prix suisses). Il s’agit toutefois là d’une question qui ne concerne qu’un nombre très restreint de relations de travail, comparés aux plus de 5 millions d’emplois que compte la Suisse. Elle devrait pouvoir être résolue sans remettre en cause l’entier du dossier. Quant à une contribution régulière de la Suisse au fonds de cohésion européen, elle est logique du moment que les Bilatérales III sont équilibrées et donnent un accès entier, pour les entreprises couvertes par des accords, au marché européen.
L’urgence de la pérennisation de nos relations avec Bruxelles n’a cessé de croître ces deux dernières années. La guerre en Ukraine a mis en exergue la dépendance de la Suisse en matière énergétique : notre pays ne peut se passer de la collaboration de ses voisins pour assurer son approvisionnement électrique. Il est inconcevable de rêver d’une autarcie à court ou moyen terme et un accord dans ce domaine est donc prioritaire.
Le positionnement de la majeure partie de notre économie dans des domaines de hautes technologies ou de haut niveau de services nécessite quant à lui que nous
soyons partie prenante à tous les programmes européens dans le domaine de la recherche et de l’éducation. Quant à l’accès sans entrave au marché de l’UE, il constitue une condition fondamentale qu’il ne s’agit pas d’oublier : pour nos PME, c’est sans doute le plus important. C’est pourquoi les Bilatérales III doivent être un succès.
Philippe Gumy T. 026 347 12 23 pgumy@ccif.ch ccif.ch
Die Freiburger Wirtschaft verdient jeden vierten Franken im Ausland. Für die gesamte Schweiz ist es fast jeder zweite Franken. Im Jahr 2022 wurden Waren im Wert von 2,1 Milliarden Franken aus dem Kanton nach Deutschland, Frankreich, Italien und Belgien exportiert. Diese vier Länder absorbierten 41% der gesamten Lieferungen ins Ausland im Wert von 5,1 Milliarden Franken, die von Freiburger Unternehmen getätigt wurden. Dass stabile Beziehungen zu Brüssel wichtig sind, liegt daher auf der Hand. In diesem Sinne freut sich die HIKF, dass der Bundesrat im Hinblick auf eine langfristige Sicherung der bestehenden Abkommen, aber auch auf den Abschluss neuer Abkommen in Schlüsselbereichen, neue Verhandlungen mit der Europäischen Union aufnimmt.
Nach der Kündigung des institutionellen Rahmenabkommens im Mai 2021 hat sich die Lage in der Schweiz für bestimmte Branchen verschlechtert. In der Medizintechnik aktive Unternehmen haben beispielsweise die Anerkennung ihrer in der Schweiz durchgeführten Zulassungen durch Brüssel verloren, was sie dazu gezwungen hat, Niederlassungen in der EU zu eröffnen, falls sie noch keine hatten. Was die Forschung betrifft, wurden Hochschulen und Unternehmen umgehend von einer umfassenden Beteiligung am Programm Horizon Europe, dem weltweit ehrgeizigsten Finanzierungsprogramm, ausgeschlossen. Im universitären Bereich
– bei der Innovation im Allgemeinen –haben die Befürchtungen einer Erosion der Schweizer Wettbewerbsfähigkeit im Laufe der Monate stetig zugenommen.
Die Verhandlungen, die der Bundesrat führen will, eröffnen eine neue Chance, die es innert möglichst kurzer Frist zu konkretisieren gilt. Seit 2021 haben die Verhandlungsführer wichtige Fortschritte erzielt, die eine Stabilisierung des bilateralen Ansatzes und sogar eine Entwicklung in drei Schlüsselbereichen ermöglichen: Elektrizität, Lebensmittelsicherheit sowie Zusammenarbeit im Gesundheitswesen. Es ist zudem eine systematische Teilnahme an den europäischen Programmen Horizon (F&E) und Erasmus+ (Bildung) vorgesehen.
EIN PRAGMATISCHER ANSATZ
Für die HIKF ist der uneingeschränkte Zugang zum europäischen Markt, wie wir ihn nun schon seit über zwei Jahrzehnten kennen, eine lebenswichtige Notwendigkeit für die kantonale und schweizerische Wirtschaft. Der Ansatz des Bundesrates, «Pakete» zu verhandeln und nicht mehr ein alles umfassendes Abkommen anzustreben, ist eine pragmatische Option. Er wird es ermöglichen, aus dem Prinzip der «Guillotine-Klausel» auszusteigen, bei der ein Streitfall zu einem einzelnen Abkommen die gesamten Bilateralen in Frage stellte. Im Falle von Rechtsstreitigkeiten soll ein aus gemischten Ausschüssen zusammengesetztes Schlichtungssystem eingesetzt werden, unter Einbezug des Europäischen Gerichtshofs.
Die Verhandlungen, die der Bundesrat führen will, eröffnen eine neue Chance, die es innert möglichst kurzer Frist zu konkretisieren gilt.
Version française : p. 8
In ihrer Sondierungsphase konnten die Verhandlungsführer zudem eine «Nicht-Rückschrittsklausel» aushandeln. Hinter diesem neuen Begriff versteckt sich ein wesentlicher Fortschritt: Der Lohnschutz kann in der Schweiz nicht nach unten korrigiert werden, auch wenn in der EU neue gesetzliche Bestimmungen in dieser Richtung in Kraft treten sollten. Was die Überwachung des Arbeitsmarktes betrifft, sollen die paritätischen oder tripartiten Kommissionen von Brüssel anerkannt werden, was die Aufrechterhaltung der in Europa wenig bekannten Sozialpartnerschaft ermöglicht.
Einige Punkte müssen noch verhandelt werden – das ist das erklärte Ziel des formellen Auftrags, der den Verhandlungsführern erteilt wurde –, um fundierte und ausgewogene Abkommen unterzeichnen zu können, insbesondere die Frage der Spesenabrechnungen für
entsandte Arbeitnehmer (die EU-interne Regelung sieht vor, die Tarifstruktur des Herkunftslandes des Arbeitnehmers zu übernehmen, was oft nicht mit den Schweizer Preisen übereinstimmt). Es handelt sich hier allerdings um eine Frage, die – verglichen mit den 5 Millionen Arbeitsplätzen in der Schweiz – nur einen sehr kleinen Teil von Arbeitsverhältnissen betrifft. Sie sollte bereinigt werden können, ohne das gesamte Dossier in Frage zu stellen. Was den regelmässigen Beitrag der Schweiz zum europäischen Kohäsionsfonds anbelangt, so ist dieser logisch, solange die Bilateralen III ausgewogen sind und den Unternehmen, für welche die Abkommen Gültigkeit haben, einen umfassenden Zugang zum europäischen Markt gewähren.
In den vergangenen zwei Jahren ist die Dringlichkeit, unsere Beziehungen zu Brüssel dauerhaft auf solide Füsse zu stellen, stetig gewachsen. Der Krieg in der Ukraine hat die Abhängigkeit der Schweiz in Sachen Energie deutlich aufgezeigt: Unser Land kann im Hinblick auf die Sicherstellung seiner Stromversorgung nicht auf die Zusammenarbeit mit seinen Nachbarn verzichten. Es ist realitätsfern, von einer kurz- oder mittelfristigen Selbstversorgung zu träumen. Ein Abkommen in diesem Bereich ist folglich prioritär.
Die Positionierung des Grossteils unserer Wirtschaft in der Hightech-Branche oder in gehobenen Dienstleistungs-
bereichen setzt voraus, dass wir uns an allen europäischen Forschungs- und Bildungsprogrammen beteiligen. Für unsere KMU ist der uneingeschränkte Zugang zum EU-Markt zweifellos die wichtigste Grundvoraussetzung – man darf diese Tatsache keinesfalls ausser Acht lassen. Aus diesem Grund müssen die Bilateralen III erfolgreich zum Abschluss gebracht werden.
Philippe Gumy T. 026 347 12 23 pgumy@ccif.ch hikf.ch
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On pensait que la guerre entre la route et le rail faisait partie de l’histoire, mais non. Des nostalgiques l’ont relancée, par leur référendum contre le projet d’amélioration du réseau autoroutier. Ils ressortent du même coup des arguments usés. Il faudrait stopper les investissements routiers au profit du rail, qui serait le parent pauvre des transports et la solution à tous les maux.
La Suisse n’a pas besoin de ces débats du passé, mais d’un réseau de transport moderne et performant. Une mobilité des personnes et des marchandises aussi fluide que possible représente un atout essentiel pour l’économie et les citoyens. Même si la Suisse jouit d’une réputation flatteuse en la matière, chacun peut constater la multiplication des embouteillages, la surcharge des transports publics et des pannes récurrentes. Nos réseaux ne sont plus adaptés à la demande et leur état laisse à désirer.
Ces problèmes ont trouvé un début de solution en 2017, par la création d’un fonds routier et d’un fonds ferroviaire.
Tous deux bénéficient d’un financement solide et pérenne. Tous les quatre ans, le Parlement choisit les chantiers à mener, focalisés sur les points noirs du réseau. A ce jour, près de 19 milliards ont été attribués au rail et une dizaine aux routes.
Mais voter des milliards ne suffit pas, encore faut-il concrétiser les projets. Beaucoup ont pris du retard suite à une planification très lente, des oppositions et une gestion calamiteuse de certains chantiers. La Suisse romande en sait quelque chose, avec le fiasco de la Gare de Lausanne et l’amélioration sans cesse repoussée de l’échangeur de Crissier.
Une acceptation du référendum ne ferait qu’aggraver le retard. Le réseau autoroutier a été conçu dans les années 60 et 70 : la Suisse compte trois millions d’habitants de plus aujourd’hui. Les référendaires s’attaquent à la colonne vertébrale
Le réseau autoroutier suisse
absorbe 40% du trafic individuel et 74% de celui de marchandises.
Dominique RochatResponsable de projets senior énergie, infrastructures et environnement geneve@economiesuisse.ch economiesuisse.ch
des transports, qui absorbe 40% du trafic individuel et 74% de celui de marchandises. Ils laissent faussement entendre que c’est un développement du réseau, alors qu’il s’agit d’améliorer ponctuellement l’existant. Ils nient la diminution massive des nuisances du trafic routier grâce aux véhicules électriques. Enfin, ils mettent en péril les projets ferroviaires et d’agglomération en brisant la « paix des transports » qu’il a fallu des années à construire. Au final, c’est nous tous qui en sortirions perdants.
Agence Audace : la création d’une agence de communication 360° dans la Broye. Plusieurs PME de la Broye, actives dans le domaine de la communication visuelle digitale et imprimée, se réunissent désormais pour créer l’Agence Audace et proposer une gamme complète de services dans une démarche 100% interne et avec une vision à 360°. Les entreprises locales et régionales à la recherche de graphisme, production photo et vidéo, développement web et gestion des réseaux sociaux y bénéficieront de solutions sur mesure à la fois créatives, efficaces, globales et centralisées.
Angéloz Mode s’agrandit sur 5 étages ! Angéloz Mode se réinvente et s’agrandit sur un cinquième étage dans son flagship de la rue de Romont à Fribourg. Cette transformation et rénovation complète permet la mise en valeur de plusieurs univers : homme, femme, contemporain, premium ainsi qu’un nouvel espace dédié aux enfants. De nombreux services complètent l’offre avec notamment un atelier mariage, un atelier sur mesure et un atelier de couture. L’entreprise mise sur le relationnel, la qualité des produits et se positionne en tant que destination pour toute la famille.
Après l’acquisition d’Elvexys SA en 2021, CONDIS SA a franchi une nouvelle étape vers une intégration complète de sa société-fille. En effet, depuis le 1er janvier 2024, tous les produits et services Elvexys sont commercialisés sous la marque CONDIS. CONDIS SA, entreprise suisse spécialisée dans la conception et la fabrication de solutions haute tension pour le transport et la distribution d’électricité, jouit depuis plusieurs décennies d’une réputation d’excellence dans le secteur de l’énergie. Cette intégration permet de capitaliser sur la vaste expertise de CONDIS et de stimuler la création de valeur et l’innovation au sein de l’entreprise fribourgeoise.
Une nouvelle génération aux commandes chez Hertig Fleurs. Le 1er janvier 2024 a marqué d’une pierre blanche l’histoire multigénérationnelle de la maison Hertig Fleurs de Fribourg. Désireux de s’ouvrir à de nouveaux horizons, plus personnels, Adrien Hertig a transmis les rênes de son entreprise à Fabienne Bertschi, représentante de la 6e génération familiale. C’est ainsi une nouvelle page qui se tourne, dans une continuité assurée. Les prestations, les compétences et les relations d’affaires seront ainsi conservées et développées de manière innovante, dans un esprit de pérennisation.
Le groupe Morand Métal Holding SA, établi à Enney, a acquis en décembre dernier la société Tôlerie Industrielle de la Gruyère (TIG SA). Leader romand dans son secteur et en pleine croissance, TIG SA emploie une cinquantaine de collaborateurs sur son site de Bulle. Plusieurs sociétés composent déjà le groupe Morand dont Events Sugiez, MG Constructions industrielles ou encore Morand Constructions Métalliques. Navire amiral du groupe, cette dernière entité possède, en plus de son site de production d’Enney, des succursales à Meyrin, Morges, Vallorbe et Conthey. Le groupe emploie plus de 300 personnes.
Polygravia Arts Graphiques SA, spécialiste en impression et solutions d’emballage situé à Châtel-St-Denis, a finalisé avec succès l’intégration de MTL Imprimeur en ce début d’année 2024, suite à son acquisition. Cette fusion ouvre de nouvelles perspectives, renforçant les synergies et élargissant l’offre, tout en intégrant les dernières technologies pour l’impression de notices pharmaceutiques, par exemple. Grâce à l’arrivée des collaborateurs de MTL, l’équipe de Polygravia compte désormais 45 experts engagés proposant une gamme complète de solutions allant de la recherche et développement à la production de supports imprimés et d’emballages.
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Association des Communes
Fribourgeoises
Corminboeuf >
Micheline Guerry-Berchier
Elle regroupe l’ensemble des communes du canton de Fribourg (126) et a pour but la défense de leurs intérêts au plan régional et cantonal ; elle intervient également au plan fédéral. acf-fgv.ch
Association des communes pour l’organisation médico-sociale du district de la Broye
Montagny-la-Ville > Valérie Nicolet
Association qui regroupe toutes les communes du district de la Broye fribourgeoise ; elle offre des prestations d’aide et de soins à domicile, des prestations sociales et exploite les EMS et foyers de jour. reseau-sante-social-broye.ch
Bank Julius Baer & Cie SA
Genève > Monique Sutter
Gestionnaire de fortune depuis plus de 130 ans, l’établissement, à l’origine une entreprise familiale, a pour mission de veiller sur le patrimoine de ses clients. juliusbaer.com
La Chambre de commerce et d’industrie du canton de Fribourg souhaite la bienvenue à ses nouveaux membres.
ComCœur GmbH
Fribourg > Claudine Esseiva
La société soutient les entreprises, les associations et les organisations dans tous les aspects liés à la défense de leurs intérêts politiques et sociaux. comcoeur.ch
DIMAB Rossens SA
Rossens > Jean-Bernard Menoud
Concessionnaire BMW, MINI & ALPINA, le groupe Dimab, implanté dans les cantons de Vaud, Valais et Fribourg, propose un large panel de services. dimab.ch
Ponthaux > Raoul Buchs
Une boucherie de proximité : vente directe de viande et livraison à domicile. alaferme.ch
Divio AG
Zurich > Arthur Macherel
L’entreprise offre une solution cloud modulaire et personnalisable. divio.com
de l’Autoroute J.-F. Lacilla SA
Matran > Corinne Lacilla
Garage familial depuis 1997, il conseille et accompagne ses clients dans l’achat de nouveaux véhicules et dans la revente de véhicules d'occasion. Il se charge aussi de leur entretien et de leur révision. garagelacilla.ch
Involve AG
Morat > Géraldine Romerio
L’entreprise propose une application pour les employés avec des canaux de communication courts, une utilisation simple et un design attrayant. involve.ch
d’images Sàrl
Givisiez > Juan Cris Pérez
Agence de communication visuelle : branding, design & communication. jcperez.ch
Construction Bois SA
La Tour-de-Trême > Alexandre Lanthmann
La société est active dans la construction bois ; une alternative durable par rapport au béton pour les travaux de surélévation de bâtiments existants. groupe-grisoni.ch/competences/ construction-bois
Morlon > Sophie Amacher
Commerce épicerie fine sophie.amacher@netplus.ch
OCSA o charrière
architectes SA
Bulle > Christophe Demierre
L’atelier a participé à la réalisation de multiples objets, de toutes tailles et de genres différents : bâtiments publics et privés, nouvelles constructions, agrandissements, transformations ou réhabilitations. oc-sa.ch
Générales FribourgRégion Sàrl
Fribourg > Grégory Brodard
L’entreprise offre des prestations, une assistance et un encadrement personnalisé lors de funérailles, selon les traditions locales. pfg-fribourg.ch
Broc > Steve Pasquier
La société répare les dommages sur toutes les surfaces vitrées, allant d’une petite surface au milieu d’un verre jusqu’au traitement d’une baie vitrée entière. recoglass.ch
Villarsiviriaux > Raphaël Michaud
Relevés 3D, plans, constats, mesures : la société propose des solutions hybrides aux plans détaillés. rm-scans.ch
Sugiez > Julien Berset
Active depuis 1979, ses domaines sont les cuisines, meubles sur mesure, portes et fenêtres, parquets, ainsi que l’agrandissement, l’isolation, l’habillage et le relooking des intérieurs et façades. singer-menuiserie.ch
Payerne > Selim Franko
La compagnie aérienne propose des services de mobilité d’affaires productifs et respectueux de l’environnement tout en réduisant activement l’empreinte de l’aviation d’affaires. sky2share.ch
Avenches > Christophe Pot
La société – propriété de Groupe E, Romande Energie, des Services Industriels de la ville de Lausanne – est active dans les métiers de la Supply Chain, des achats stratégiques et de la gestion de projets. spontis.ch
Châtel-St-Denis > Hervé Badan
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Fribourg > Pauline Musy
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Votre agence fait désormais partie de STAX Group dont le dynamisme et les compétences accompagnent déjà une clientèle d’envergure aux assises nationales et internationales.
Bruno MaillardCavo-Pass est le premier pass qui offre des expériences de dégustation chez les vigneronnes et vignerons romands.
« Je suis Luca, approchant la trentaine et faisant face aux défis propres à l’âge adulte. L’un de mes premiers obstacles était de choisir le bon vin lors des soirées entre amis au restaurant. Devant une carte des vins souvent intimidante, mes sélections étaient parfois aléatoires, résultant en quelques échecs qui m’ont écarté de la tâche délicate de choisir le vin pour le groupe. »
Le Cavo-Pass est donc né de cette frustration que beaucoup d’entre nous traversent. C’est pourquoi Luca et Johan ont souhaité lancer un projet œnotouristique qui vise à faciliter le développement de compétences œnologiques. Une première version du Cavo-Pass a été lancée en 2023 durant leurs études de Master à la HEG de Fribourg. Aujourd’hui, les deux associés continuent à développer l’association dans leur temps libre, avec cet objectif commun : promouvoir une économie et une consommation locales, tout en découvrant de nouvelles caves !
Une expérience exceptionnelle pour les amateurs de vin
fournir des prestations durables afin de gagner la confiance des vignerons qui sont constamment sollicités.
L’association Cavo-Pass présente un pass œnotouristique facilitant l’accès aux dégustations chez les vignerons romands. Les clients de Cavo-Pass bénéficient de réservations illimitées pour des dégustations, pour deux personnes, chez l’ensemble des vignerons partenaires. À leur arrivée, la présentation du Cavo-Pass par le client donne droit à une dégustation offerte pour deux personnes.
En plus des dégustations, chaque client reçoit trois codes échangeables contre une bouteille de vin surprise, offrant ainsi une conclusion mémorable à leur expérience de dégustation. Enfin, les clients de Cavo-Pass ont la possibilité de profiter d’une initiation à la dégustation avec un œnologue ou de participer à d’autres activités en lien avec le vin.
Le Cavo-Pass constitue ainsi une offre unique et complète visant à uniformiser la communication autour des vignerons capables d’accueillir des clients, tout en réduisant les obstacles liés à l’activité de dégustation chez le vigneron.
Luca et Johan, fondateurs de Cavo-Pass
À ce jour, l’association s’appuie principalement sur ses deux fondateurs, Luca et Johan, pour assurer la progression de ses activités. Toutefois, elle bénéficie également de partenariats solides avec divers offices nationaux et cantonaux dédiés au vin. De plus, elle entretient des relations de collaboration avec plus de 50 vignerons à travers la Suisse romande. Le siège de l’association est établi à Fribourg, au sein de l’Innovation Lab de la HEG, là où tout a commencé. Cavo-Pass opère dans le marché œnotouristique, un secteur dynamique caractérisé par une multitude d’offres nouvelles chaque année. Il est donc impératif de c/o Innovation Lab Rue du Musée 4 1700 Fribourg T. 079 839 64 26 info@cavo-pass.ch cavo-pass.ch
Née de sa passion pour le recrutement et de sa vision unique du partenariat humain, la société Just Ask Me est fondée en 2023 par Stéphane Meylan. Le parcours de son fondateur, de plus de 20 ans en qualité de manager, a été le catalyseur de la création de cette société.
Confronté aux défis complexes du recrutement et passionné par l’humain, Stéphane Meylan, sur la base de sa riche expérience en gestion d’équipes, a créé Just Ask Me, une entreprise transcendant le simple cabinet de recrutement pour devenir un véritable partenaire en ressources humaines.
Basée à Vuisternens-dt-Romont, Just Ask Me opère comme une extension de l’entreprise cliente, avec une équipe dédiée de professionnels passionnés. Son siège social est le cœur de ses opérations, rayonnant sur divers marchés et régions avec une expertise dans le recrutement
Stéphane Meylan, fondateur
L’art d’associer compétences techniques et qualités humaines
de talents à forte valeur ajoutée. Son équipe, composée de consultants expérimentés, partage la vision du fondateur Stéphane Meylan et s’engage à fournir des services de recrutement exceptionnels. Ensemble, ils comprennent les besoins spécifiques de leurs clients et trouvent des candidats parfaitement intégrés à leurs équipes.
Just Ask Me va au-delà du simple recrutement avec un système de mandat exclusif, garantissant un engagement total. La société construit des équipes performantes en s’intégrant profondément dans la culture de chaque entreprise. Sa distinction réside dans son engagement envers la qualité plutôt que la quantité, offrant des services rapides, professionnels et personnalisés.
Just Ask Me accorde une importance particulière au « savoir être » des candidats, croyant que le succès d’une équipe repose sur la combinaison équilibrée de compétences techniques et de qualités humaines. Son approche transparente, dépourvue de frais cachés, renforce la confiance de ses clients. Ses prestations incluent bien plus que le recrutement. Just Ask Me accompagne ses clients dans leur croissance, offrant des conseils stratégiques et des solutions innovantes.
La force de Just Ask Me réside dans la personnalisation, la transparence et la qualité de ses services. La société est bien plus qu’un cabinet de recrutement, elle est le partenaire stratégique en ressources humaines, prêt à contribuer au succès continu de son client.
Imp. Haut du Pré 3 1687 Vuisternens-devant-Romont T. 079 718 71 96 stephane@justaskme.ch justaskme.ch
L’entreprise est née de l’imagination de deux amis d’enfance, Steve Pasquier et Sébastien Bossel, durant l’année 2020. Menuisiers de formation, les deux associés mettent au point une solution de réparation du verre griffé. Ce fut le premier objectif. L’entreprise est implantée à Broc depuis sa fondation.
Réparer est plus économique, plus rapide et ne bute pas contre des délais d’approvisionnement ou autres retards de livraison. Le travail est organisé sans intervenant externe, la solution est peu invasive sur place et l’opération se déroule sans poussière.
Recoglass traite le verre, il s’agit de son activité de référence. L’entreprise intervient sur tous les types de verres, petits ou grands. Elle est capable de réparer les griffures, les impacts et les salissures tenaces. Ces dégâts sont très souvent causés durant le chantier, mais peuvent aussi bien apparaître plus tard, évidemment.
Le plexiglas peut également être réparé. La prestation est utile pour les remontées mécaniques, les patinoires, les avions ou les hélicoptères par exemple. Le changement d’un plexiglas est onéreux, la réparation offre une alternative bien plus économique et rapide.
Recoglass sait également redonner une nouvelle vie à l’inox. Les ascenseurs, les mains courantes ont bien souvent la vie dure et présentent d’impor-
Pourquoi changer un verre alors qu’il peut
être réparé ?
tantes traces ou griffures inesthétiques. Souvent présent dans l’espace public, l’inox subit d’importantes sollicitations. Enfin, Recoglass installe et nettoie des panneaux solaires et redonne le rendement maximal à l’installation.
Depuis le printemps 2023, l’entreprise accueille un nouvel associé, Arnaud Clément. Le trio possède dès lors toutes les compétences et le réseau suffisant pour étendre ses activités dans toute la Suisse romande. Recoglass compte 3 collaborateurs à équivalent plein-temps et ses activités sont en plein développement. Le domaine de la construction comprend maintenant les avantages de méthodes Recoglass.
Particulièrement appréciée pour sa flexibilité, l’entreprise est souvent sollicitée lorsque les solutions traditionnelles arrivent à leurs limites, notamment en raison de l’accès, des coûts et des délais. Cet automne, Recoglass s’installe dans ses nouveaux locaux, comportant un dépôt, plus adaptés à l’essor de la société, puisque ses mandats s’étendent désormais dans toute la Suisse romande.
L’histoire de Säfeli commence en 2020 à Granges-Paccot, quand Christophe Heckel, ingénieur en aviation, et Elio Schnarrenberger, ingénieur en électronique, unissent leurs forces et leurs expertises. Leur objectif ? Faciliter la certification de produits pour les entreprises, qu’il s’agisse de start-up prometteuses ou de géants internationaux.
Le logo CE, signe de conformité européenne, orne de nombreux produits de notre quotidien. Cependant, l’obtention de cette certification est loin d’être simple. C’est dans cette complexité que Säfeli trouve son essence, offrant aux entreprises une boussole précieuse pour naviguer à travers un dédale de directives et normes suisses et européennes.
Elio et Christophe
Une boussole précieuse pour naviguer à travers un dédale de directives et normes suisses et européennes
La polyvalence de Säfeli s’est révélée être son atout majeur, lui permettant de s’adapter à divers besoins, du jouet pour enfant aux dispositifs médicaux les plus techniques. Leur secret ? Une formation continue, garantissant à leurs clients des conseils pertinents et une expertise à la pointe de l’actualité réglementaire.
Ces trois années ont vu Säfeli accompagner plus de 70 entreprises dans la certification de 130 produits. Un succès qui témoigne de l’efficacité et du professionnalisme de l’entreprise. Leur polyvalence se reflète dans la diversité des domaines couverts, certifiant une gamme variée allant des machines industrielles aux dispositifs médicaux, en passant par l’aviation et bien d’autres équipements électriques.
Alors que Säfeli continue son ascension, son objectif demeure clair : offrir un accompagnement de qualité en matière de certification en Suisse romande, tout en restant humble et à l’écoute de ses clients.
Derrière chaque certification obtenue par Säfeli il y a une histoire, une entreprise qui désire grandir et mettre un produit sur le marché. Säfeli est fier de pouvoir contribuer à cette histoire et d’accompagner ses clients dans la certification CE de leurs produits.
Rte d’Englisberg 3 1763 Granges-Paccot T. 079 737 37 93 info@safeli.ch safeli.ch
Fondé en 1993 par César Conforti, le bureau team+ est actif dans les domaines de la mobilité et de l’aménagement du territoire. Son pôle mobilité est co-dirigé à partir de 2001 par Christian Jaeger. Il a été repris depuis 2021 par Hervé Ruffieux, Véronique de Sepibus et Victoire Plaisance, tous trois d’anciens employés.
Basé dès sa création à Fribourg, team+ mobilité est désormais implanté à Bulle. Ce fort ancrage dans le canton de Fribourg lui permet d’intervenir localement dans un territoire qu’il appréhende quotidiennement et de mettre à profit une grande connaissance du contexte territorial et administratif fribourgeois. Le bureau est également actif dans toute la Suisse romande et en France voisine.
La quinzaine d’employés de team+ mobilité sont issus d’horizons et de formations variés, ce qui constitue l’une des forces du bureau. En effet, les études menées nécessitent des compétences transversales et une compréhension large des problématiques.
Le bureau réalise des études très diverses, tant au niveau de la planification et des stratégies de territoire qu’au niveau des projets dans des expertises et aménagements. Doté d’une expérience avérée auprès des entreprises pour les accompagner dans la réalisation de leur plan de mobilité, celles-ci peuvent ainsi optimiser l’organisation
Un expert dans la planification de votre mobilité
et la gestion de leurs places de stationnement et développer des solutions incitant les collaborateurs au report de la voiture vers des modes de transport alternatifs.
Intervenant lors de projets de construction ou d’extension, sur des expertises techniques de dimensionnement et d’organisation du stationnement, des contrôles de géométrie des parkings, de visibilité, sur des questions d’accessibilité, de sécurisation, et tout autre sujet lié à la mobilité, les compétences de team+ mobilité en matière de conseils aux entreprises sont très diversifiées. Certains chefs de projets sont par ailleurs actifs dans le domaine de la formation, puisque plusieurs d’entre eux enseignent en particulier à la Haute école d’ingénierie et d’architecture de Fribourg (HEIA-FR).
Team+ est une entreprise qui n’a de cesse de s’améliorer et qui a à cœur de conserver une taille humaine aini que saine dynamique entre ses collaborateurs. Tous ces facteurs favorisent la qualité du travail et le contact avec ses clients.
Sortie à vélo des collaborateurs team+ mobilité, à Strasbourg
Rte des Grives 2 1763 Granges-Paccot T. 026 422 27 27 jbc@jbcsolutions.ch jbcsolutions.ch
Certifiée et agréée Canon Platinum Partner, JBC Solutions SA accompagne depuis 30 ans ses clients et œuvre chaque jour pour leur fournir des solutions pérennes et maîtrisées.
La proximité et la réactivité de ses équipes assurent un service de qualité sur l’ensemble du territoire romand. Ses collaborateurs sont hautement qualifiés et se donnent pour mission de conseiller, d’accompagner et de soutenir les entreprises avec des solutions numériques évolutives et novatrices.
L’expertise de JBC se concentre principalement dans les domaines des photocopieurs multifonctions et de la gestion électronique des documents. Son but : guider les entreprises de demain dans leur transition digitale.
HEIA-FR H T A -FR
Pour se comprendre, il faut se connaître.
La CCIF renouvelle cet événement qui propose aux entrepreneurs de mieux découvrir les synergies possibles avec la HEIA-FR ou simplement percevoir le travail des filières et des instituts de recherche.
Pas de limites à ces rencontres, que l'on soit une TPE, une PME ou une grande entreprise.
HEIA-FR ET ENTREPRISES
FRIBOURGEOISES :
SAVE THE DATE
Le 15 mai 2024 dès 16h30
Lieu : HEIA-FR à Fribourg
La CCIF a le rôle important de contribuer au rayonnement économique du canton, tant dans son déploiement sur notre territoire qu’au-delà des frontières. Depuis sa création en 1917, elle est donc active sur le plan international. Avec son Service export, elle offre des prestations aux entreprises et aux clients fribourgeois qui exportent.
Dans notre canton, de nombreux secteurs d’activités sont concernés par l’exportation de marchandises, comme par exemple les entreprises agroalimentaires, horlogères, pharmaceutiques ou encore de l’industrie des machines et de composants. Dans leurs démarches d’exportation, le Service export de la CCIF fait office d’intermédiaire neutre et de confiance entre les administrations douanières et les sociétés.
Pour remplir cette mission précise et exigeante, une équipe de trois personnes travaille au front office pour répondre aux demandes des entreprises et des clients. Le team Export traite plus de 9’000 attestations en une année, qui sont des preuves documentaires de l’origine permettant de calculer les droits de douane applicables lors d’exportations définitives.
Quant aux exportations temporaires, elles sont régies par les Carnets ATA, au nombre de 2’817 l’an passé. Valable pour une année, le Carnet ATA peut accompagner des œuvres d’art pour une
exposition, un instrument de musique pour un concert, une machine pour une foire commerciale ou encore un animal pour un concours. Ce document douanier international permet à son détenteur d’assurer le transit de ses marchandises. Il dispense son titulaire de fournir des sûretés lors du franchissement de frontières.
LE TEAM EXPORT S’AGRANDIT
Notre nouvelle recrue, Camille Fournel, a rejoint l’équipe début juillet 2023. Camille a fait ses débuts à la CCIF en qualité d’apprentie et ensuite a poursuivi sa carrière professionnelle dans d’autres secteurs d’activités. De retour à la CCIF après une absence de 5 ans, Camille retrouve ses marques et son savoir-faire lié aux prestations de l’Export.
L’export est inscrit dans l’ADN de la CCIF.
Camille complète ainsi le team Export composé de Daniela Bongard – également chargée de projets et responsable des formations export – et de Sandra Leuthold – responsable Carnets ATA –qui, avec son expérience et sa formation continue liée au commerce international, conseille et soutient les exportateurs.
T. 026 347 12 38 export@ccif.ch ccif.ch
Camille Fournel, Daniela Bongard et Sandra LeutholdLes affaires se traitant souvent en marge des séances officielles, ce qui en Suisse signifie en Schwyzerdütsch, la CCIF organise des examens pour l’obtention d’un diplôme de Schwyzerdütsch.
La compréhension réciproque entre Suisses romands et alémaniques est déterminante en affaires. Elle sauvegarde de surcroît nos intérêts économiques et culturels régionaux. Les Chambres de commerce et d’industrie de Suisse romande, à l’initiative de la CCIF, encouragent et distinguent cet effort en remettant un diplôme.
TÉMOIGNAGES
« C’est par hasard que j’ai commencé les cours de Schwyzerdütsch, pour des raisons personnelles. En effet, je ne savais pas qu’on pouvait apprendre « cette langue ». J’étais donc loin de me douter qu’il existait un diplôme. Notre professeur nous a motivées à participer à ce programme en nous préparant sérieuse-
ment. Ce fut une excellente motivation pour travailler et apprendre assidûment. Je ne me serai jamais donné autant de peine sans ce but.
Je ne peux que recommander vivement ce diplôme : méconnu, il saura surprendre les potentiels recruteurs en recherche de cette langue. Aujourd’hui, je sais que mon CV en est plus riche et j’en suis extrêmement fière. Je peux non seulement mentionner, mais aussi et surtout affirmer cette compétence.
Par ailleurs, j’ai compris, une fois le diplôme en poche, que j’avais une image beaucoup plus complète de mon pays ! J’ai « appris » le(s) dialecte(s), mais aussi les différentes cultures de chaque canton. Précieux ! Aussi, je profite de mettre en avant l’obtention de mon diplôme et d’informer que j’ai appris le Schwyzerdütsch. Si cela surprend un peu, je rencontre tout de même beaucoup de respect. », Laurence Harder
« Mon but était de confirmer mon apprentissage du Schwyzertütsch par un examen et pouvoir utiliser le diplôme pour mes recherches d’emploi. J’ai suivi les cours à l’Ecole Migros à Genève et c’est notre enseignante qui a organisé le diplôme avec la CCIF. Mon enseignante, d’origine bernoise, était passionnante. Ensuite lors de l’examen, l’accueil a été très professionnel. Nous avons vraiment eu l’impression de passer un examen officiel et d’obtenir un certificat de compétences important.
C’est un diplôme qui étonne lors d’entretiens d’embauche, car peu de gens le connaissent. Cela laisse une impression positive, même s’il n’est pas utile dans tous les cas.
Je recommanderais ce diplôme sans hésitation, du fait de son aspect très professionnel et bien encadré. Je trouve important que les Romands puissent avoir accès à ce genre de diplôme et peut-être motiver les jeunes dès la sortie d’école à s’y intéresser. », Céline Bartlome Elizarov
Sandra Leuthold
T. 026 347 12 38
sleuthold@ccif.ch ccif.ch
La HEIA-FR lance une formation continue innovante dans le domaine de l’hydrogène qui débutera en octobre 2024. En partenariat avec l’Université de Fribourg, la Chambre de commerce et d’industrie du canton de Fribourg (CCIF), Plastic Omnium, l’Association des producteurs de H2 et Groupe E, la HEIA-FR propose un CAS HES-SO en Hydrogène. Cette formation s’adresse à toute personne souhaitant déployer le vecteur énergétique Hydrogène et elle sera donnée par des experts et acteurs reconnus et actifs en entreprise et dans la recherche.
ORIGINE DE L’INITIATIVE
Fin 2021, la CCIF et l’EMF ont constaté l’importance de l’hydrogène dans la transition énergétique et le manque crucial d’une filière de formation sur le sujet, notamment dans le canton de Fribourg, alors que certaines de ses entreprises sont déjà fortement actives dans le domaine : unités de production d’hydrogène (GESA à Bulle, Groupe E à Schiffenen), systèmes piles à combustible (Plastic-Omnium à Fribourg, Michelin/Symbio à Givisiez), moteurs à hydrogène (Liebherr à Bulle) et systèmes de stockage de l’hydrogène (GRZ Technologies). Dans son rôle de facilitateur, la CCIF a ainsi voulu contribuer à soutenir le développement de l’écosystème hydrogène au sein du canton et au-delà de ses frontières.
POURQUOI CE CAS ?
Le réchauffement climatique pousse les Etats à agir pour diminuer leur empreinte carbone. Face au réchauffement climatique, l'hydrogène offre une possibilité concrète de réaliser une vraie transition énergétique pour diminuer la dépendance aux énergies fossiles. Vecteur énergétique, l’hydrogène s’applique à plusieurs secteurs d’importance, tels que les transports, l’approvisionnement énergétique général ou l’industrie. Son développement est également une opportunité de créer et faire évoluer des emplois, que ce soit au niveau de la Suisse mais aussi du canton de Fribourg ainsi que de gagner en indépendance technologique et énergétique.
Le programme du CAS comprend un cours de base ouvert aux ingénieurs, services de l’Etat (canton et Suisse), aux directions et aux services infrastructures de toute entreprise. Ce cours couvre tous les fondamentaux et cible les utilisations
L'hydrogène, l’alternative aux énergies fossiles
les plus pertinentes, lequel sera suivi de deux projets d’approfondissement avec un travail de transfert. Comprendre les fondamentaux de l’hydrogène, acquérir des clés de compréhension, comprendre l’ensemble de l’écosystème hydrogène incluant les enjeux économiques et les perspectives de développement en Suisse et en Europe, participer et gérer des projets dans le domaine au sein de leur entreprise ou de leur service sont les compétences visées au terme de la formation. La formation débutera en octobre 2024.
Pour plus d’informations :
Le Guichet des entreprises familiales (LeGEF) a pour mission de contribuer à la pérennité des entreprises familiales, de favoriser le développement d’un réseau au sein de cette communauté et de mettre en relation les propriétaires d’entreprises familiales avec des spécialistes capables de les assister dans les différentes problématiques qui les concernent tout en prenant en compte les spécificités de ce type d’entreprise. Dans le cadre de cette mission, le petit-déjeuner du 8 février 2024 a été animé par un expert du GEF, Paul Yerly, avocat, responsable du service juridique et fiscal et directeur de Fiduconsult.
Paul Yerly, avocat, responsable du service juridique et fiscal et directeur de Fiduconsult
En guise d’introduction, P. Yerly a expliqué les différentes conséquences qui découlent de l’entrée de nouveaux actionnaires ou associés dans une société ainsi que les majorités requises pour les décisions et élections pendant l’assemblée générale. Sa présentation a ensuite porté sur les possibilités offertes par le droit de SA et de la Sàrl, à savoir les actions liées, les actions privilégiées et les actions à droit de votre privilégié. Le droit de la Sàrl prévoit encore d’autres outils qui peuvent être ancrés dans les statuts : l’exclusion de la possibilité de céder des parts sociales, l’introduction de droits de préférence, de préemption et d’emption, de peines conventionnelles ainsi que d’une interdiction de faire concurrence. En ce qui concerne l’entrée d’un collaborateur au capital-actions ou capital-social, d’autres alternatives ont été évoquées telles que la participation au résultat ou la remise de bons de participation ou de jouissance ou d’actions-fantômes.
CONVENTION D’ACTIONNAIRES
Les solutions offertes par la loi étant relativement limitées, il est possible d’introduire des engagements spécifiques dans une convention d’actionnaires en les renforçant au moyen d’une clause pénale. Ceux-ci peuvent se rapporter à divers aspects tels que l’obligation de fidélité, l’interdiction de concurrence, la gouvernance, la politique de dividende, les limitations au transfert des actions, etc. Même s’il paraît parfois excessif aux propriétaires d’entreprise d’élaborer un tel document lorsque l’entente est au beau fixe, il ne faut pas négliger l’utilité de cet outil afin de prévenir l’apparition de conflits ou d’en simplifier la résolution.
Quelles solutions pour conserver au mieux le contrôle sur son entreprise ?
Kathia Pauchard T. 026 347 12 29 kpauchard@ccif.ch legef.ch
Participer à la conception et au développement d’un outil fiable, mettant à disposition du public un tableau de bord de référence sur le marché du logement locatif du canton de Fribourg, dont plus de 58% de résidents sont locataires, fait partie des priorités de l’USPI Fribourg. Cet outil envié de part et d’autre se nomme « Observatoire logement et immobilier FribourgFreiburg ». Connaître entre autres les prix moyens des appartements en location, le taux des logements vacants, la durée d’absorption des logements reloués peut être utile à bien des acteurs du marché immobilier. Les banques, assurances, secteurs de l’économie, investisseurs, professionnels de l’immobilier, propriétaires, locataires et bien sûr l’Etat (le canton et les communes pour la gestion de l’aménagement du territoire) s’y intéressent.
« MIEUX SAVOIR POUR MIEUX AGIR »
A la suite d’une décision politique approuvée par le Conseil d’Etat et le Grand Conseil fribourgeois en décembre 2017, un sondage a été effectué par la Haute école de gestion Fribourg (HEG-FR). Il en est ressorti une nécessité incontestable de créer un tel outil de monitoring. En août 2018 est née l’association de l’Observatoire logement et immobilier, sur la base d’un partenariat public-privé, comprenant des représentants de plusieurs associations, qui sont des membres stratégiques : ASLOCA, BCF, CCIF, CFI, ECAB, Raiffeisen, UPCF, USPI, DEEF (Direction de l’économie, de l’emploi et de la formation professionnelle), HEG-FR et les communes de Fribourg, Bulle et
Estavayer-le-Lac. Quant à l’Association des Communes Fribourgeoises, l’Association des propriétaires fonciers, la Fédération fribourgeoise des entrepreneurs, la Fondation Parloca et la Fédération Patronale et Economique y siègent comme membres ordinaires. Plus d’informations sur www.immolab-fr.ch.
Les membres de l’USPI Fribourg et d’autres régies immobilières s’occupant de gérance dans le canton de Fribourg fournissent les données sous forme d’états locatifs anonymisés à la HEG-FR, qui elle est chargée de la réception des données, de l’hébergement et de leur publication chaque trimestre. La Prof. Marilyne Pasquier dirige l’ensemble des opérations. A ce jour, les résultats sont connus pour les communes de Fribourg, Bulle et Estavayer-le-Lac. Le tout fonctionne sous l’égide d’un projet de recherches qui se terminera le 31 décembre 2024. Actuellement, les objectifs sont : > de pérenniser l’Observatoire logement et immobilier fribourgeois, pionnier au niveau du partenariat public-privé, > de mettre tout en œuvre pour fidéliser les partenaires, car leur rôle est primordial, > d’étendre la diffusion des données aux villes principales du canton.
Pour ce faire, une base légale devra être mise en place et entrera en vigueur le 1er janvier 2025. Un budget sera établi afin de confirmer si l’apport financier futur pourra assurer le fonctionnement de l’Observatoire.
L’USPI Fribourg a été désignée à la présidence de l’Observatoire. Gilberte Schär, élue par l’assemblée générale du
des professionnels de l’immobilier s’engage !
12 décembre 2023, occupera cette fonction durant l’année 2024 en tant que représentante de l’Union suisse des professionnels de l’immobilier du canton de Fribourg.
« Nouveauté : notre site internet entièrement relooké ! Il mérite une visite et nous nous réjouissons de recevoir vos commentaires : www.uspi-fribourg.ch »
uspi-fribourg.ch
Gilberte Schär, présidente de l’Observatoire logement et immobilier Fribourg
La loi suisse impose aux entreprises de mettre en place un système d’enregistrement de la durée du travail et comporte, de manière générale, une obligation pour les travailleurs d’enregistrer leur temps de travail. Le présent article explique quels collaborateurs n’y sont pas soumis ou le sont de manière restreinte seulement et comment procéder pour renoncer à l’enregistrement du temps de travail ou pour instaurer un enregistrement simplifié.
CADRE LÉGAL
La loi sur le travail (art. 46 LTr) impose à l’employeur de tenir à la disposition des autorités d’exécution et de surveillance les registres ou autres pièces contenant les informations nécessaires à l’exécution de cette loi et de ses ordonnances. L’ordonnance 1 relative à la loi sur le travail (art. 73 OLT1) précise que ces registres et pièces doivent notamment comporter les durées quotidiennes et hebdomadaires du travail fourni (travail compensatoire et supplémentaire inclus), ses coordonnées temporelles (soit les heures de début et de fin du travail) ainsi que l’horaire et la durée des pauses d’une durée égale ou supérieure à une demi-heure.
ENREGISTREMENT SIMPLIFIÉ
Dans le cadre de l’enregistrement simplifié (art. 73b OLT1), seule la durée quotidienne du travail fourni doit être consignée. Il n’est pas nécessaire de préciser à quel moment les périodes de travail et de repos interviennent, sauf en cas de travail de nuit et du dimanche.
Il est possible de mettre en place un système d’enregistrement simplifié pour les collaborateurs pouvant déterminer euxmêmes une part significative de leurs horaires de travail. Selon le Secrétariat d’Etat à l’économie (SECO), les personnes visées sont celles qui disposent d’une liberté suffisante dans leur travail leur permettant de fixer au moins un quart de leurs horaires de travail (valeur indicative). L’existence d’horaires flexibles n’est pas suffisante. Le critère est rempli lorsque les horaires bloqués ne dépassent pas 75% du temps de travail total et que l’autonomie du travailleur n’est pas limitée par d’autres exigences (p. ex., séances obligatoires ou voyages d’affaires).
Pour instaurer l’enregistrement simplifié, un accord collectif doit être conclu avec les représentants des travailleurs au sein de l’entreprise (commission du personnel) ou de la branche (syndicat) ou, à défaut, avec la majorité des travailleurs de l’entreprise. Cet accord doit indiquer à quelles catégories de travailleurs l’enregistrement simplifié s’applique et prévoir des dispositions particulières pour garantir le respect de la durée du travail et du repos (p. ex., blocage des emails durant la nuit et le dimanche) ainsi qu’une procédure paritaire permettant de vérifier le respect de l’accord. Dans les entreprises occupant moins de 50 travailleurs, un accord individuel peut être conclu par écrit. Celui-ci doit mentionner les dispositions relatives à la durée du travail et du repos. Par ailleurs, l’entreprise doit organiser un entretien de fin d’année sur la charge de travail et en consigner le contenu. Même si un accord
À quelles conditions est-il possible de renoncer au timbrage ?
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est conclu, l’employeur est tenu de mettre à disposition un instrument approprié pour l’enregistrement du temps de travail car les collaborateurs restent libres de le consigner.
Une renonciation à l’enregistrement du temps de travail est autorisée si quatre conditions sont réunies cumulativement (art. 73a OLT1). Premièrement, celle-ci doit être stipulée dans une convention collective de travail (CCT) conclue par les partenaires sociaux. Cette CCT doit être signée par la majorité des organisations représentatives de travailleurs, en particulier dans l’entreprise ou dans la branche, et prévoir des mesures particulières pour garantir la protection de la santé et assurer le respect de la durée du repos fixée par la loi. Elle doit également comporter l’obligation de l’employeur de désigner un service interne chargé des questions relatives à la durée du travail. Deuxièmement, les travailleurs concernés doivent disposer d’une grande autonomie dans leur travail et pouvoir fixer, dans la majorité des cas, eux-mêmes leurs horaires de travail. Troisièmement, ces collaborateurs doivent toucher un salaire annuel brut dépassant CHF 120’000.– (bonus compris) ou la part correspondant en cas de travail à temps partiel. Quatrièmement, il y a lieu de conclure un accord individuel par écrit avec chaque collaborateur renonçant à l’enregistrement de son temps de travail. Dit accord peut être révoqué chaque année. En cas de renonciation à l’enregistrement du temps de travail, l’employeur doit tenir à disposition des autori-
tés les accords individuels de renonciation ainsi qu’un registre des travailleurs ayant renoncé à l’enregistrement de la durée de leur travail.
PERSONNE OCCUPANT
UNE POSITION DIRIGEANTE ÉLEVÉE
Les travailleurs qui occupent une fonction dirigeante élevée ne sont pas soumis à la loi sur le travail (art. 3 let. d LTr) et donc pas assujettis à l’obligation d’enregistrer leur temps de travail. Sont considérées comme telles les personnes qui disposent, de par leur position et leur responsabilité et eu égard à la taille de l’entreprise, d’un pouvoir de décision important, ou sont en mesure d’influencer fortement des
décisions de portée majeure concernant notamment la structure, la marche des affaires et le développement d’une entreprise ou d’une partie d’entreprise (art. 9 OLT1). La notion de fonction dirigeante élevée est interprétée de manière restrictive par la jurisprudence (cf. arrêt du Tribunal fédéral ATF 126 III 337 c. 5).
Kathia Pauchard
P. 079 573 14 29 (permanence juridique) kpauchard@ccif.ch ccif.ch
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BULLE-026/912 16 70, EXPO-VUADENS www.dally.ch info@dally.ch
> Un symposium dédié à l’hydrogène sur le salon ENERGISSIMA www.6hdefribourg.ch ème DE VOITURES À PILES À HYDROGÈNE DE TAILLE 1/10
Vendredi 19 avril 2024
> Une compétition entre apprentis et écoliers de toute la Suisse latine ENERGISSIMA BULLE
Samedi 27 avril 2024
Symposium Course Salle Bicubic Romont Organisateurs
L’enjeu du projet collaboratif TaaS (Transport as a Service) résidait dans la conception du jumeau numérique d’un écosystème de transports intelligents pour le futur parc d’affaires de l’Aéropole de Payerne. D’une durée de deux ans, ce projet a bénéficié d’une subvention NPR et a impliqué activement les cantons de Fribourg et de Vaud ainsi que la participation de 13 entreprises et 4 hautes écoles.
Le jumeau numérique TaaS permet des simulations réalistes et des analyses de trafic en temps réel grâce à l’utilisation des logiciels de simulation existants CARLA et Aimsum. Dans une démarche centrée sur les utilisateurs, une analyse initiale des besoins a identifié plus de 300 exigences sur le système de transport intelligent en tant que service ainsi que 12 modes opératoires de mobilité. Avec 70 exigences répertoriées, la cybersécurité constitue une composante essentielle du fonctionnement des transports en tant que services pour le parc de l’Aéropole.
Le jumeau numérique développé dans le projet TaaS comprend quatre domaines de simulation : la mobilité sur le parc, la téléopération de véhicules automatisés, la gestion énergétique et les modèles économiques associés. La simulation de la mobilité sur le parc reproduit les interactions entre les différents moyens de transport prévus, qu’il s’agisse de déplacements à pied, en vélo en libre-service, en navette automatisée, en transport en commun ou privé. Le simulateur de téléopération
plonge l’opérateur dans une réalité augmentée, lui permettant de superviser à distance une flotte de véhicules hautement automatisés et d’intervenir en cas de nécessité. La simulation de la gestion énergétique prend en compte la prédiction de production et de consommation d’électricité pour la mobilité, basée sur des situations journalières types sur une année. La simulation de modèles économiques établit les coûts prédictifs pour les transports en tant que services du parc, en prenant en compte différents paramètres de configuration tels que les bâtiments à desservir, les options de transport, le type de production d’énergie et les services proposés. Elément majeur du projet, l’application web développée USM (Universal Simulator Model) offre à ses utilisateurs la possibilité de paramétrer le « Transport as a Service » en fonction de leurs propres besoins.
En complément du jumelage numérique, une étude des aspects réglementaires a été effectuée sur la base d’une enquête portant sur l’autorisation légale d’exploitation de type TaaS. Cette étude décrit la situation actuelle, le statut des véhicules hautement automatisés et propose des améliorations au droit de la circulation routière.
La CCIF soutient INNOSQUARE dans sa mission. Elle est son partenaire pour les entreprises. innosquare.com
UNE COLLABORATION POUR DE NOUVELLES PERSPECTIVES
Constituée en décembre 2023, XEMPERIA, une spin-off de l’Université de Fribourg, développe un test sanguin révolutionnaire permettant une détection précoce du cancer du sein bien plus légère que la traditionnelle mammographie. Ce test révolutionnaire devrait atteindre le marché en 2026-2027.
Le test sera basé sur la technologie PCR (réaction de polymérase en chaîne), largement utilisée dans le diagnostic médical. En effet, comme lors d’infections, les cellules du système immunitaire peuvent détecter la présence de cellules cancéreuses et s’activer. Le kit comprendra un ensemble de réactifs pour effectuer le test ainsi qu’une application propriétaire générant le résultat. Le test ne remplacera pas complètement la mammographie mais sera plutôt proposé comme première étape de dépistage aux femmes de tout âge. Il pourra être intégré à la routine clinique et réalisé à des intervalles réguliers. En cas de résultat positif, une mammogra-
phie de confirmation ou une imagerie par résonance magnétique sera prescrite par le médecin. La détection précoce du cancer du sein donne une meilleure chance de guérison et de survie.
Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent et la principale cause de mortalité par cancer chez les femmes. En Suisse, il représente un tiers de tous les cancers féminins, avec environ 6’000 nouveaux cas et 1’300 décès chaque année.
NOMBREUSES APPLICATIONS
POSSIBLES
L’étude clinique sur 200 femmes, réalisée à l’Unifr, a conduit à la découverte de biomarqueurs associés au cancer du sein. Réalisée en collaboration avec le CHUV, l’HFR HNe, ainsi que d’autres centres, elle a été financée par Innosuisse et de nombreuses fondations. Une combinaison de biomarqueurs avec une grande précision diagnostique a ainsi été identifiée. Le développement d’un test commercial sera réalisé par XEMPERIA. Le test est
grâce
protégé par des brevets détenus par l’Unifr et dont XEMPERIA s’est vu accorder les droits exclusifs. La spin-off réalisera une vaste étude de validation pour comparer le test à la mammographie de routine. L’étude sera menée en Suisse en collaboration avec des centres de dépistage du cancer du sein et des gynécologues. En parallèle, XEMPERIA entamera les procédures réglementaires (marquage IVDR, CE, FDA) pour l’approbation des tests et préparera l’entrée sur le marché. Pour accélérer ces étapes, XEMPERIA est à la recherche d’investisseurs partageant ses valeurs et de partenaires industriels.
Cette technologie évolutive et adaptable à d’autres conditions pourrait également permettre des développements ultérieurs tels que des tests pour identifier les patientes à haut risque de rechute, suivre des patientes après traitement ou détecter précocement d’autres types de cancers, du poumon en particulier, chez des personnes asymptomatiques. En parallèle, XEMPERIA développe des nanocapteurs issus du programme NCCR – matériaux bioinspirés pour une détection améliorée des biomarqueurs du cancer qui peuvent être utilisés dans des appareils portables ou dans des pays dotés d’un système de santé moins développé.
Prof. Curzio Rüegg, CEO, contact@xemperia.com, xemperia.com
Katharina Fromm, vice-rectrice recherche et innovation, innovation@unifr.ch Collaboration rédactionnelle : Unicom Communication & Médias
Farida Khali et Curzio Rüegg Communication et Médias, Unifr
Créée en 2010, la fondation Seed Capital Fribourg a pour mission de proposer des prêts à des start-up en phase de démarrage. Fondation publique financée par l’Etat de Fribourg, elle reflète la volonté du canton de soutenir l’innovation issue des start-up. Depuis sa création, 34 projets ont profité d’un financement, dont 25 au cours de ces cinq dernières années. Interview avec Yann Steulet, directeur de Fri Up et secrétaire exécutif de la Fondation Seed Capital Fribourg, pour mieux comprendre ce qui se cache derrière la fondation.
CAPITAL FRIBOURG ?
Seed Capital Fribourg s’adresse aux startup en phase initiale qui n’ont pas encore tout à fait finalisé leur produit et qui doivent encore valider leur marché. Malgré leur caractère embryonnaire, il est très important que ces projets puissent voir le jour et alimenter l’innovation et la dynamique économique dans le canton. A ce stade, les banques n’entrent pas en matière et les capital risqueurs attendent de voir une réponse positive du marché. Il est donc essentiel de palier à cette lacune et de proposer des financements pour pouvoir développer ces projets de start-up. Le financement se fait sous forme de prêt et peut aller jusqu’à CHF 100’000.–. Nous cherchons des projets dotés d’une technologie, d’un processus ou d’un modèle d’affaires innovants, avec un fort potentiel de croissance.
À QUOI RESSEMBLE UN PROJET TYPE
SOUMIS À LA FONDATION ?
Ces projets en sont encore à la phase de développement et de validation de leur plan d’affaires, ce qui inclut la création de prototypes et la réalisation d’études de marché. Notre soutien vise à financer la finalisation de leurs aspects techniques et commerciaux. Parmi les derniers projets que nous avons soutenus figurent des plateformes digitales innovantes telles qu’une plateforme collaborative pour la gestion de projets dans le génie civil ainsi que des procédés industriels novateurs comme le traitement des semences grâce à une technologie verte.
QUE RECOMMANDERIEZ-VOUS À UN PROJET QUI SOUHAITE DÉPOSER UNE DEMANDE DE PRÊT ?
Il est primordial de bien définir l’innovation proposée, d’évaluer sa pertinence sur le marché et de connaître la clien-
tèle cible. Les compétences et profils de l’équipe sont aussi essentiels pour la sélection de projet. Mais même si tout n’est pas parfait, il est toujours préférable de nous soumettre le projet pour évaluation. Nous sommes là pour accompagner, aider à finaliser les demandes et orienter les porteurs de projets.
Passage du Cardinal 11 1700 Fribourg T. 026 425 45 00 office@friup.ch friup.ch
UNE COLLABORATION POUR DE NOUVELLES PERSPECTIVES
Mardi 12
PETIT-DÉJEUNER JURIDIQUE « CONSTRUCTION : RECOUVREMENT DES CRÉANCES, ADAPTATION DES PRIX ET JURISPRUDENCE RÉCENTE »
Renseignements : Kathia Pauchard
T. 026 347 12 29 – kpauchard@ccif.ch
Lieu : CCIF
Vendredi 15
SKI & BUSINESS CUP – 8e ÉDITION
Renseignements : Daniela Bongard
T. 026 347 12 27 – dbongard@ccif.ch
Lieu : Lac Noir
Lundi 18
APÉRITIF DU PRINTEMPS DE L’ÉCONOMIE FRIBOURGEOISE
Renseignements : Patricia Roos
T. 026 347 12 36 – proosmaradan@ccif.ch
Lieu : swisspor Romandie SA, Châtel-St-Denis
21
FORMATION : PRÉVENIR LE BURN-OUT DE SES COLLABORATEURS
Renseignements : Camille Bielmann
T. 026 552 50 91 – cbielmann@ccif.ch
Lieu : CCIF
Lieu : CCIF MARS
Mardi 26
ENTREPRISE DE DEMAIN : COMPÉTENCES 5.0 ET GESTION DU CHANGEMENT
Renseignements : Frédéric Ducry
T. 026 552 50 93 – innovation@ccif.ch
FORMATION MANAGEMENT : NÉGOCIATION ? RENFORCEZ
VOTRE MAÎTRISE DES PROCESSUS !
Renseignements : Camille Bielmann
T. 026 552 50 91 – cbielmann@ccif.ch
Lieu : CCIF
Vendredi 19
6HEURES DE FRIBOURG : SYMPOSIUM 6hdefribourg.ch
Renseignements : Marjorie Virdis & Aurélie Auffret
T. 026 552 50 98 – aauffret@ccif.ch
Lieu : Bulle Salon Energissima
FORMATION EXPORT : DOUANES ET ORIGINE PRÉFÉRENTIELLE
Renseignements : Daniela Bongard
T. 026 347 12 27 – dbongard@ccif.ch
Lieu : CCIF
FORMATION JURIDIQUE : MATINÉE DU DROIT DE L’ENTREPRISE
Renseignements : Kathia Pauchard
T. 026 347 12 29 – kpauchard@ccif.ch
Lieu : CCIF
ÉVÉNEMENT RÉSEAUTAGE EXPORT : COMPRENDRE LE MARQUAGE CE, VOTRE CLÉ POUR CONQUÉRIR LE MARCHÉ
Renseignements : Daniela Bongard
T 026 347 12 27 – dbongard@ccif.ch
Lieu : CCIF
14
FORMATION MANAGEMENT : AMÉLIORER SA PRISE DE PAROLE EN PUBLIC
Renseignements : Patricia Roos
T. 026 347 12 36 – proosmaradan@ccif.ch
Lieu : CCIF
PARTENAIRES CCIF 2024 / PARTNER DER HIKF 2 024
Enrico Baiutti SA Rte de Chésalles 54 Case postale 26 1723 Marly 1 T. 026 439 96 10 www.baiutti.ch
Stadelmann Treuhand AG, Edgar Stadelmann, dipl. Steuerexper te / Exper t fiscal diplômé, Freiburg / Fribourg T 026 510 20 20 | info@stadelmanntreuhand.ch | www.stadelmanntreuhand.ch
Groupement industriel du canton de Fribourg (GIF-VFI)
Visite d’entreprise
Info T. 026 347 12 34 – gif-vfi.ch
Lieu Fribourg
HR Fribourg
Intrè No RH – Intervenant-e surprise
Info T. 026 347 12 38 – info@hr-fribourg.ch
Lieu ECAB, Châtillon
IT Valley
Événement avec le Cluster Food & Nutrition
Info T. 026 347 12 35 – itvalley.ch
CEES
Forum Sécurité
Info T. 026 347 12 38 – cees.ch
CEES
24e Assemblée générale
Info T. 026 347 12 38 – cees.ch
Lieu ECAB, Châtillon
Impressum
18|04 16|04
GRIP-Pharma
Conférence de printemps
Info T. 026 347 12 34 – grip-pharma.ch
Lieu CVCI, Lausanne
Rencontres de folklore internationales de Fribourg (RFI)
Assemblée générale
Info T. 026 347 12 25 – rfi.ch
IT Valley
TechMeeting
Info T. 026 347 12 35 – itvalley.ch
HR Fribourg
Intrè No RH – Santé mentale en entreprise : cas concrets
Info T. 026 347 12 38 – hr-fribourg.ch
Lieu TPF SA, Givisiez
Groupement industriel du canton de Fribourg (GIF-VFI)
Visite Condis SA
Info T. 026 347 12 34 – gif-vfi.ch
Lieu Rossens
Éditeur et rédaction : Chambre de commerce et d’industrie du canton de Fribourg (CCIF)
Rte du Jura 37 B – CP 160 – 1701 Fribourg – ccif.ch
Responsable d’édition : Alexandra Macheret – amacheret@ccif.ch
Graphisme, layout et couverture : ACTALIS SA – Fribourg – info@actalis.ch
Impression : Polygravia Arts Graphiques SA – Châtel-St-Denis – contact@polygravia-pag.ch – Tirage : 1’650 exemplaires
Publicité : media f – régie publicitaire – T. 026 426 42 42 – info@media-f.ch
Abonnement ECHO : CHF 100.– 5 numéros (TVA 2.5 % comprise) – CCIF – Isabelle Mouret – T. 026 347 12 20 – imouret@ccif.ch Extrait de l’agenda des manifestations sur ccif.ch
18.03.2024
Événement sur invitation et inscription Plus d’informations sur www.ccif.ch
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