Musée d’Art moderne et contemporain
2517 1 3 9 €
Musée d’Art
9 7823 5 1
Stras Coll MAMCS Couv 25 Print.indd 1
GUIDE
moderne et contemporain
Centré sur les grandes ruptures dans l’art du XXe siècle, mais aussi attentif à la diversité et la vitalité de la création contemporaine, le musée d’Art moderne et contemporain de Strasbourg offre un véritable panorama de l’art moderne et contemporain en Europe occidentale de 1870 à nos jours.
23/12/2020 17:03
Stras Coll MAMCS Layout 61 Print.indd 14
22/12/2020 15:08
L’invention de la modernité
15
Portrait de Gargantua en artiste
Après une enfance strasbourgeoise, Gustave Doré suit sa famille à Bourg-en-Bresse puis à Paris, où il entreprend une carrière de caricaturiste au Journal pour rire. Très vite, il étend son champ artistique à d’autres domaines et compose une œuvre monumentale dans laquelle se mêlent peintures, dessins, albums illustrés et illustrations. Le MAMCS conserve près de cinq cents œuvres de l’artiste témoignant de la richesse de son travail. L’immense Christ quittant le prétoire, dans lequel une foule disparate et contenue ouvre un chemin à un Christ immaculé, révèle le sens théâtral des compositions de Doré. Nombre de ses dessins constituent des œuvres préalables à ses ouvrages illustrés, tels la Bible, L’Enfer de Dante, Les Fables de La Fontaine ou Les Contes de Perrault. Comme pour Viviane et Merlin reposant, l’artiste conçoit des aquarelles et des lavis d’encre dans lesquels il fait apparaître, en larges touches et quelques traits, des figures qui peuplent encore aujourd’hui notre imaginaire. T. L. Gustave Doré 1 Le Christ quittant le prétoire 1867-1872, huile sur toile, 600 × 900 cm 2 L’Enfance de Pantagruel vers 1873, aquarelle, plume et encre, crayon et gouache blanche sur papier, 36 × 47,8 cm 3 Viviane et Merlin reposant vers 1867, lavis et rehauts de gouache sur traits de plume et d’encre noire sur papier, 41,4 × 30 cm
Stras Coll MAMCS Layout 61 Print.indd 15
22/12/2020 15:08
L’invention de la modernité
16
Gustave Doré 1 Le Christ quittant le prétoire
Stras Coll MAMCS Layout 61 Print.indd 16
22/12/2020 15:08
L’invention de la modernité
17
Gustave Doré 2 L’Enfance de Pantagruel
Gustave Doré 3 Viviane et Merlin reposant
Stras Coll MAMCS Layout 61 Print.indd 17
22/12/2020 15:08
L’invention de la modernité
24
Alfred Sisley 7 Les Coteaux de La Celle vus de Saint-Mammès, après-midi de septembre
Max Liebermann 8 Le Jardin de l’orphelinat communal de la ville d’Amsterdam
Stras Coll MAMCS Layout 61 Print.indd 24
22/12/2020 15:08
L’invention de la modernité
25
Claude Monet 9 Champ d’avoine aux coquelicots
Stras Coll MAMCS Layout 61 Print.indd 25
22/12/2020 15:08
L’invention de la modernité
26
Le bonheur est dans le pré
Dans sa quête inlassable de la lumière, Claude Monet entreprend au cours de l’été 1890 de capter la vision, fugace et fluctuante, d’un champ d’avoine parsemé de coquelicots rougeoyant au soleil. Alors retiré à Giverny, il réalise une série de cinq toiles représentant ce paysage avec un cadrage et un point d’observation identiques. Les variations chromatiques, moins marquées que dans sa série des meules de foin entamée la même année, traduisent subtilement les effets changeants de la lumière au fil de la journée et tout l’éphémère des sensations visuelles. La touche impressionniste de Monet s’exprime pleinement au travers d’une grande richesse de textures et de contrastes de couleurs. Instantané d’un jour d’été, le champ d’avoine semble s’étendre à perte de vue, baigné dans une perspective atmosphérique à laquelle seules les collines et la rangée d’arbres offrent un délicat horizon. C. P. Claude Monet 9 Champ d’avoine aux coquelicots vers 1890, huile sur toile, 65 × 92 cm
Stras Coll MAMCS Layout 61 Print.indd 26
22/12/2020 15:08
L’invention de la modernité
27
Paradis terrestre
Le corps et l’esprit
En quête d’une humanité et d’une nature vierges de toute civilisation moderne, Paul Gauguin quitte définitivement sa vie parisienne en 1888 pour aller explorer d’autres régions – Bretagne, Martinique puis Polynésie. Dans la Nature morte à l’esquisse de Delacroix, les fruits et légumes tropicaux illuminent la toile de leurs couleurs éclatantes, soulignées d’un trait noir, rappels du cloisonnisme que l’artiste met au point à Pont-Aven avec les nabis. La gravure d’après Eugène Delacroix, située en arrière-plan, représentant Adam et Ève chassés du paradis, donne tout son sens à cette nature morte. Gauguin oppose ainsi à la culture occidentale la vie primitive édénique et la générosité d’une nature luxuriante et d’une culture innocente rencontrées entre juin et novembre 1887 en Martinique avec son ami Charles Laval. Prémonitoire, cette œuvre annonce aussi le destin ultime que l’artiste endurera au sein de son paradis terrestre. B. F.
Conçu initialement pour orner La Porte de l’enfer, sculpture monumentale illustrant des scènes de La Divine Comédie, Le Penseur mesurait à l’origine 70 cm et devait s’appeler « Le Poète », en référence à Dante lui-même contemplant son œuvre. Tout en gardant sa place en haut de La Porte de l’enfer, il fut isolé pour être exposé de façon autonome en 1888. En 1904, Le Penseur est agrandi pour devenir une œuvre à part entière de 180 cm. Une vingtaine d’épreuves vont être réalisées, la plupart du vivant de l’artiste. La pose comme la facture de la sculpture renvoient au modèle classique académique, mais la musculature exagérée nous laisse entrevoir les prémisses d’une prise de liberté artistique face à la réalité. La sculpture représente un homme pensif assis sur un rocher. Il peut être question ici d’une vision de l’artiste qui pense son œuvre, la robustesse physique évoquant la force inventive et la toute-puissance du créateur. B. G.
Paul Gauguin 10 Nature morte à l’esquisse de Delacroix vers 1887, huile sur toile, 40 × 30 cm
Auguste Rodin 11 Le Penseur 1904, plâtre sur galette de bois, moulage creux, 183,5 × 156,5 × 142 cm
Stras Coll MAMCS Layout 61 Print.indd 27
22/12/2020 15:08
L’invention de la modernité
28
Paul Gauguin 10 Nature morte à l’esquisse de Delacroix
Stras Coll MAMCS Layout 61 Print.indd 28
22/12/2020 15:08
Auguste Rodin 11 Le Penseur
Stras Coll MAMCS Layout 61 Print.indd 29
22/12/2020 15:08
Les avant-gardes historiques
50
L’Aubette, située Place Kléber, est un lieu emblématique de la modernité. Ses salles, en partie restaurées et ouvertes au public, ont été intégralement pensées par les artistes, du sol au plafond, en passant par le mobilier, la signalétique ou l’éclairage. Elles correspondent à la vocation de l’art défendue par Sophie Taeuber-Arp : un art total.
Stras Coll MAMCS Layout 61 Print.indd 50
22/12/2020 15:09
Les avant-gardes historiques
51
Cercles au carré
Artiste totale
Originaire de Strasbourg, Marcelle Cahn part au début des années 1910 étudier le dessin à Berlin, auprès de Lovis Corinth. Après la Première Guerre mondiale, elle s’installe à Paris et suit les cours de Fernand Léger. Femme et voilier témoigne de l’influence de ce dernier ainsi que de celle du purisme d’Amédée Ozenfant. L’artiste réduit les objets et les figures à des formes élémentaires et simples, et choisit des couleurs sourdes qu’elle pose en aplats. La construction géométrique évacue toute anecdote et tout illusionnisme. Les lignes arrondies du buste et les angles plus aigus du voilier et du paquebot s’interpénètrent en une unité harmonieuse. La grande voile blanche masque le bateau mais illumine le corps féminin qui semble tanguer au gré du vent et du roulis du bateau. En 1930, Marcelle Cahn participe à l’exposition du groupe Cercle et carré, avec Piet Mondrian, Hans Jean Arp et Vassily Kandinsky, et s’engage résolument dans un travail non figuratif et géométrique. Avec trois cent trente-neuf œuvres de l’artiste entrées dans ses collections, le MAMCS possède l’un des fonds les plus importants de cette figure de l’abstraction au féminin. B. F.
La reconnaissance de Sophie Taeuber-Arp comme figure essentielle de l’abstraction géométrique doit beaucoup aux nombreuses commandes dont elle bénéficie à Strasbourg en 1926-1927. En plus de ses contributions aux décors de l’Aubette, en collaboration avec Hans Jean Arp et Theo Van Doesburg, elle mène d’autres chantiers pour le compte de collectionneurs privés strasbourgeois. Les collections du MAMCS conservent études et dessins de cette période, dominée par un langage plastique fondé sur la variation subtile de motifs colorés et orthogonaux. D’autres œuvres témoignent de sa démarche pluridisciplinaire, qui explore aussi bien le textile que la peinture, la danse ou les arts appliqués. La Coupe Dada, remarquable par la simplicité et la pureté de ses formes, préfigure la série de « Têtes Dada », réalisées elles aussi en bois tourné. Guidée par une recherche d’harmonie associant l’esthétique et la fonctionnalité, Sophie Taeuber-Arp a contribué à l’histoire des avant-gardes de Dada à l’art concret, en pionnière modeste et visionnaire. F. P.
Marcelle Cahn 22 Femme et voilier vers 1926-1927, huile sur toile, 66 × 50 cm
Stras Coll MAMCS Layout 61 Print.indd 51
Sophie Taeuber-Arp 23 Coupe Dada 1916, sculpture, ronde-bosse, bois tourné laqué noir, 20,4 × 15 cm 24 Aubette 198 1927, crayon et gouache sur papier (projet du plan de l’Aubette-bar au rez-de-chaussée), 22 × 73 cm 25 Composition abstraite désaxée vers 1926-1927, vitrail, 46 × 44 cm
22/12/2020 15:09
Les avant-gardes historiques
52
Marcelle Cahn 22 Femme et voilier
Sophie Taeuber-Arp 23 Coupe Dada
Stras Coll MAMCS Layout 61 Print.indd 52
22/12/2020 15:10
Les avant-gardes historiques
53
Sophie Taeuber-Arp 24 Aubette 198
Sophie Taeuber-Arp 25 Composition abstraite désaxée
Stras Coll MAMCS Layout 61 Print.indd 53
22/12/2020 15:10
64
Tentations de l’abstraction
Née dans les années 1910 avec František Kupka et Vassily Kandinsky, l’abstraction s’est développée rapidement dans toute l’Europe. Ce nouveau rapport à la forme s’est exprimé également chez les artistes Dada (Hans Jean Arp) ou cubistes. Il n’a cessé depuis de s’instiller, y compris chez des artistes se revendiquant « figuratifs » ou « réalistes », et chez tous ceux qui s’interrogent sur les effets de la forme indépendamment de son sujet, c’est-à-dire sur son rôle, sa force expressive et poétique au sein d’une composition. En quête d’une création anti-illusionniste et d’un refus de la représentation classique, ceux-ci s’approprient certains des principes révélés par leurs aînés : la géométrisation des figures, la simplification des formes, le pouvoir formel des couleurs, l’usage de lignes dites « essentielles » ou « universelles », ou la dissolution des repères dans le temps et l’espace.
Sarah Morris Mid-Town (Seagram Building) 1998, huile sur toile, 183 × 183 cm
Stras Coll MAMCS Layout 61 Print.indd 64
Stéphane Couturier Zum Georg-Treu-Platz, Dresden, de la série « Archéologie urbaine » 1997, cibachrome sur papier brillant, 113 × 143 cm
Auguste Herbin Relief en bois polychrome 1921, bois polychrome peint à l’huile, 98 × 48 × 30 cm
22/12/2020 15:10
65 Les œuvres d’Auguste Herbin et de Bernard Piffaretti témoignent ainsi, à soixante-dix ans d’intervalle, d’un même intérêt pour la symétrie. Pour le premier, avant qu’il ne renonce définitivement à la figuration en 1927, elle structure de manière radicale la composition. Pour le second, elle répond à un protocole qui lui permet de reproduire à droite un premier tableau réalisé à gauche. Les photographies dites « plasticiennes » de Georges Rousse et de Stéphane Couturier empruntent leurs compositions à la peinture abstraite. En suivant les règles de l’anamorphose, Rousse peint un cercle dans les trois dimensions d’un espace réel en friche. Positionné à un point précis, l’appareil photo recrée la forme géométrique parfaite. Couturier, quant à lui, recadre la réalité tel un tableau néoplasticien, comme s’il retranscrivait le principe de la grille de Piet Mondrian ou Theo Van Doesburg pour percevoir les façades et réduire la profondeur au maximum.
Georges Rousse Strasbourg 1992, photographie couleur type « C » contrecollée sur aluminium, 120 × 160 cm
Bernard Piffaretti Sans titre 1998, acrylique sur toile, 193 × 242 cm
Stras Coll MAMCS Layout 61 Print.indd 65
22/12/2020 15:10
Stras Coll MAMCS Layout 61 Print.indd 68
22/12/2020 15:11
L’art contemporain
69
Les années 1960 voient naître des mouvements artistiques décisifs, illustrant des approches inédites tout autant qu’une attitude nouvelle – poétique et politique – vis-àvis de la création et de son histoire. À l’avènement du pop art, de l’art minimal et de l’art conceptuel, succèdent à partir des années 1980 d’autres démarches, résistant davantage aux tentatives de classification. Délaissant, pour un temps, la peinture, les artistes diversifient les médiums et s’intéressent à l’installation, la performance et la vidéo. Ils explorent de nouveaux champs de la création dans un esprit transdisciplinaire et d’ouverture à d’autres horizons géographiques. Orientée vers l’Europe, et plus particulièrement la France et l’Allemagne, la collection contemporaine du MAMCS offre un focus sur les courants français des années 1960 que sont le Nouveau Réalisme, Supports / Surfaces et BMPT, notamment représentés par les artistes Raymond Hains, Daniel Dezeuze et Daniel Buren. La peinture allemande « néo-expressionniste » y occupe une place à part grâce aux œuvres de Georg Baselitz, A. R. Penck et Jörg Immendorff. De par leur envergure historique et internationale, l’Arte Povera, avec Giuseppe Penone, et Fluxus, avec Robert Filliou, sont également présents. Dans ce panorama incluant la création la plus actuelle, des artistes français majeurs sont mis en avant comme Christian Boltanski, Annette Messager, Bertrand Lavier et Xavier Veilhan, sans oublier les créateurs issus du territoire alsacien tel Patrick Bailly-Maître-Grand.
Stras Coll MAMCS Layout 61 Print.indd 69
22/12/2020 15:11
Index des noms d’artistes Arman, p. 92 Nice, 1928 – New York, 2005 Hans Jean Arp, p. 10, 41, 51, 56, 57, 58, 59, 64, 66 Strasbourg, 1886 – Bâle, 1966 Patrick-Bailly-MaîtreGrand, p. 69, 89, 91 Paris, 1945 Georg Baselitz, p. 11, 69, 77, 78 Deutschbaselitz, 1938 Max Beckmann, p. 10 Leipzig, 1884 – New York, 1950 Christian Boltanski, p. 69, 79, 80 Paris, 1944 Georges Braque, p. 43, 44, 92 Argenteuil, 1882 – Paris, 1963 Adolphe Braun, p. 34, 35 Besançon, 1812 – Mulhouse, 1877 Victor Brauner, p. 11, 41, 60, 62 Piatra Neamt (Roumanie), 1903 – Paris, 1966 Marcel Broodthaers, p. 96, 97 Saint-Gilles (Belgique), 1924 – Cologne, 1976 Elina Brotherus, p. 97 Helsinki, 1972 Daniel Buren, p. 7, 69, 87, 88 Boulogne-Billancourt, 1938 Marcelle Cahn, p. 11, 51, 52 Strasbourg, 1895 – Neuilly-sur-Seine, 1981 François-Rupert Carabin, p. 21, 22 Saverne, 1862 – Strasbourg, 1932
Stras Coll MAMCS Layout 61 Print.indd 98
98
Eugène Carrière p. 13, 30, 32 Gournay-sur-Marne (Seine-Saint-Denis), 1849 – Paris, 1906 Clément Cogitore, p. 93 Colmar, 1983 Joseph Cornell, p. 51, 54, 56 Nyack (États-Unis), 1903 – New York, 1972 Stéphane Couturier, p. 64 Neuilly-sur-Seine, 1957 Richard Deacon, p. 66, 67 Bangor (GrandeBretagne), 1949 Damien Deroubaix, p. 11 Lille, 1972 Daniel Dezeuze, p. 69, 72, 74 Alès, 1942 Otto Dix, p. 94 Untermhaus (Allemagne), 1891 – Singen (Allemagne), 1969 César Domela, p. 11 Amsterdam, 1900 – Paris, 1992 Gustave Doré, p. 10, 13, 15, 16, 17 Strasbourg, 1832 – Paris, 1883 Max Ernst, p. 11, 41, 55, 56 Brühl (Allemagne), 1891 – Paris, 1976 Luciano Fabro, p. 38 Turin, 1936 – Milan, 2007 Conrad Felixmüller, p. 10 Dresde, 1897 – Berlin, 1977 Robert Filliou, p. 69, 81, 82 Sauve (Gard), 1926 – Les Eyzies-de-Tayac (Dordogne), 1987
Paul Gauguin, p. 27, 28 Paris, 1848 – Hiva Oa (Polynésie française), 1903 Raymond Hains, p. 69, 71, 72 Saint-Brieuc, 1926 – Paris, 2005 Auguste Herbin, p. 64, 65 Quiévy (Nord), 1882 – Paris, 1960 Séverine Hubard, p. 8 Lille, 1977 Jörg Immendorff, p. 69, 75, 76 Bleckede (Allemagne), 1945 – Düsseldorf, 2007 Michel Journiac, p. 97 Paris, 1935 – Paris, 1995 Vassily Kandinsky, p. 41, 43, 47, 48, 49, 51, 64 Moscou, 1866 – Neuilly-sur-Seine, 1944 Paul Klee, p. 10, 41, 43, 44 Münchenbuchsee (Suisse), 1879 – Muralto (Suisse), 1940 Max Klinger, p. 13, 31, 33 Leipzig, 1857 – Grossjena (Allemagne), 1920 Käthe Kollwitz, p. 10, 13, 31, 33 Königsberg, 1867 – Moritzburg (Allemagne), 1945 František Kupka, p. 11, 41, 45, 46, 64 Opočno (actuelle République tchèque), 1871 – Puteaux, 1957 Bertrand Lavier, p. 69, 86, 88 Châtillon-sur-Seine, 1949 Ange Leccia, p. 66 Minerviu (Haute-Corse), 1952 Claude Lévêque, p. 93 Nevers, 1953
22/12/2020 15:12
99 Max Liebermann, p. 23, 24 Berlin, 1847 – Berlin, 1935 Markus Lüpertz, p. 11 Liberec (actuelle République tchèque), 1941 René Magritte, p. 41, 61, 62 Lessines (Belgique), 1898 – Bruxelles, 1967 Didier Marcel, p. 11 Besançon, 1961 Lika Marowska, p. 36 Metz, 1889 – Gelnhausen (Allemagne), 1967 Mathieu Mercier, p. 11 Conflans-SainteHonorine (Yvelines), 1970 Mario Merz, p. 8 Milan, 1925 – Turin, 2003 Cildo Meireles, p. 94 Rio de Janeiro, 1948 Annette Messager, p. 10, 69, 83, 84 Berck (Pas-de-Calais), 1943 Claude Monet, p. 13, 23, 25 Paris, 1840 – Giverny, 1926 Sarah Morris, p. 64 Londres, 1967 Alfons Mucha, p. 13, 19, 20 Ivančice (actuelle République tchèque), 1860 – Prague, 1939 Aurelie Nemours, p. 71, 72 Paris, 1910 – Paris, 2005 Mimmo Paladino, p. 1, 8 Paduli (Italie), 1948 Pino Pascali, p. 66, 67 Bari (Italie), 1935 – Rome, 1968
Stras Coll MAMCS Layout 61 Print.indd 99
A. R. Penck, p. 11, 69, 77, 78 Dresde, 1939 – Zurich, 2017 Giuseppe Penone, p. 69, 73, 74 Garessio (Italie), 1947 Pablo Picasso, p. 38, 43, 92 Málaga (Espagne), 1881 – Mougins (Alpes-Maritimes), 1973 Bernard Piffaretti, p. 65 Saint-Étienne, 1955 Albert Renger-Patzsch, p. 34, 35 Wurtzbourg (Allemagne), 1897 – Wamel (Pays-Bas), 1966 Auguste Renoir, p. 23, 30, 32 Limoges, 1841 – Cagnes-sur-Mer, 1919 Jean-Désiré Ringel d’Illzach, p. 36, 37 Illzach (Haut-Rhin), 1847 – Strasbourg, 1916 Auguste Rodin, p. 13, 27, 29 Paris, 1840 – Meudon, 1917 Georges Rousse, p. 65 Paris, 1947 Niki de Saint Phalle, p. 38, 39 Neuilly-sur-Seine, 1930 – San Diego (États-Unis), 2002 Thomas Schütte, p. 6, 8 Oldenbourg (Allemagne), 1954 Franck Scurti, p. 11 Lyon, 1965 Alain Séchas, p. 94, 95 Colombes (Hauts-de-Seine), 1955 Paul Signac, p. 63 Paris, 1863 – Paris, 1935
Alfred Sisley, p. 23, 24, 34, 35 Paris, 1839 – Moret-sur-Loing (Seine-et-Marne), 1899 Charles Spindler, p. 36, 37 Boersch (Bas-Rhin), 1865 – Saint-Léonard (Bas-Rhin), 1938 Sophie Taeuber-Arp, p. 10, 41, 50, 51, 52, 53 Davos (Suisse), 1889 – Zurich, 1943 Niele Toroni, p. 63 Muralto (Suisse), 1937 Félix Vallotton, p. 38 Lausanne, 1865 – Neuilly-sur-Seine, 1925 Theo Van Doesburg, p. 10, 51, 65 Utrecht (Pays-Bas), 1883 – Davos (Suisse), 1931 Xavier Veilhan, p. 69, 83, 85 Lyon, 1963 Bill Viola, p. 89, 90 New York, 1951 Charles David Winter, p. 18, 19, 20 Strasbourg, 1821 – Strasbourg, 1904
22/12/2020 15:12
Musée d’Art moderne et contemporain
2517 1 3 9 €
Musée d’Art
9 7823 5 1
Stras Coll MAMCS Couv 25 Print.indd 1
GUIDE
moderne et contemporain
Centré sur les grandes ruptures dans l’art du XXe siècle, mais aussi attentif à la diversité et la vitalité de la création contemporaine, le musée d’Art moderne et contemporain de Strasbourg offre un véritable panorama de l’art moderne et contemporain en Europe occidentale de 1870 à nos jours.
23/12/2020 17:03