On a tous le droit d’être cultivé.
Du big bang à aujourd’hui !
1 700 pages 29 euros
Parution le 26 février 2014
Une marque d’intelligence.
On a tous le droit d’être cultivé. On a tous le droit d’être cultivé.
Du big bang big bang ! àDu aujourd’hui à aujourd’hui !
Parution le 26 février 2014
Voici un guide unique en son genre car, au détour de ses 1 700 pages, il aborde :
• Les principales cultures existant dans le monde. • L’histoire, de la formation de la Terre à nos jours. • Toutes les grandes périodes culturelles pour chaque zone géogra•
1 700pages. pages 1700 29euros. euros 29
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Une marque d’intelligence www.puf.com Une marque d’intelligence.
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phique et chaque pays. Littérature, histoire, philosophie, géographie, sciences et arts : ces domaines se croisent ici, tant par fragments que comme parties d’un tout. Une chronologie classique, au fil de six séquences : Préhistoire, Antiquité, Moyen Âge, Renaissance, Époque moderne, Époque contemporaine. 3 index : noms, œuvres, lieux.
Un kilo de culture générale... Parce que l’on a tous le droit d’être cultivé ! Oui, sans prétention ni fausse modestie, l’ouvrage de Florence Braunstein et Jean-François Pépin est l’outil le plus exhaustif et le plus abordable pour qui veut avoir la possibilité d’un accès simple, rapide et néanmoins approfondi à cette culture dite générale, mais si complexe à acquérir. C’est un accès instantané pour tous à la connaissance.
Un plaidoyer pour une culture générale La naissance officielle de celle-ci pourrait se situer dans le cadre de la réforme du système éducatif de 1902 (*). Souvenons-nous : l’idée était d’apprendre à penser par fragments tout en faisant comprendre que tout fragment est justement partie d’un tout, la philosophie tenant un rôle essentiel dans le système, en tant qu’exercice réflexif sur la culture et la pensée. Qui aujourd’hui prône encore la synthèse entre les différents savoirs ? Ce livre très écrit, antithèse d’une culture à base de QCM et de Quiz, se veut un fil conducteur pour confronter les savoirs et construire sa propre culture.
À l’ère de l’Internet et des savoirs éclatés, un engagement pour un savoir certifié Le livre réunit en 1 700 pages les fondamentaux d’une culturelle universelle. Un tour de force éditorial bâti sur l’expérience de deux spécialistes, qui ont consacré leur vie à définir et comprendre ce que pourrait être une culture générale idéale, c’est-à-dire la plus humaniste possible.
Un acte militant contre la déconstruction des savoirs Organisé en 6 grandes périodes historiques, il offre un parcours d’acquisition des savoirs très pédagogique. Il peut ainsi être lu de façon cursive, mais aussi être parcouru dans tous les sens sans se perdre, grâce à un chapitrage très clair et à trois index monumentaux qui facilitent les recherches.
* La réforme de 1902, menée par Georges Leygues, donna à l’enseignement secondaire la forme qu’il conserva jusque dans les années 1950. S’adaptant au monde contemporain, l’enseignement opère une fusion entre les enseignements classiques et modernes, destiné à rendre les humanités scientifiques aussi formatrices de l’esprit que les humanités littéraires. La culture générale établissait alors une synthèse entre les différents savoirs.
DITES
OUI
Un kilo de culture générale...
AU SAVOIR
!
Une culture universaliste
Il relève de choix éditoriaux assumés, discrimine les points importants, propose des focus sous forme d’encadrés sur certaines notions ou points-clés. Pour chaque période sont présentés les grands empires, puis les États quand ils apparaissent, et pour chacun d’eux l’histoire, les arts, la littérature, la religion, la philosophie, la musique, les sciences et techniques correspondant à un moment précis de leur histoire. Les mondes couverts ne se limitent pas à l’Europe et, la culture générale se puise ici aussi en Asie, Afrique, Amérique.
L’Europe n’est plus la limite culturelle et identitaire de nos savoirs. L’apport des civilisations étrangères relativise les notions de norme, de valeurs, de savoirs. A chaque étape de ce livre, ce sont donc toutes les cultures et civilisations qui sont évoquées tant dans leur diversité Une marque d’intelligence. que dans leur spécificité. © Divali Communication - ©Shutterstock
L’anti-fourre-tout
Le 26 février 2014
Du big bang à aujourd’hui
un kilo de culture
Une défense et illustration de l’importance des sciences humaines
GÉNÉRALE ....
© Divali Communication - ©Shutterstock
La culture générale n’a pas prétention, comme les sciences exactes, à dire le vrai, l’exact. En revanche, elle est synonyme de complexité et exige du temps et des efforts : c’est pourquoi ce livre veut privilégier le questionnement. Il met en rapport les différentes disciplines qui s’éclairent l’une l’autre pour cultiver l’esprit.
Une marque d’intelligence.
« Un kilo de culture générale » : au cœur de la vocation des Presses Universitaires de France… et du désir des Français Éditeur de savoir depuis plus de 90 ans et premier éditeur universitaire de France, les Presses Universitaires de France, en publiant « Un kilo de culture générale », poursuivent leur politique d’ouverture et d’accessibilité au savoir. En effet, l’enquête TNS Sofres sur « Les Français et le Savoir »**, que les Puf avaient réalisée, conjointement à GMF, en octobre 2012, bousculait les idées reçues. Loin d’être en perte de vitesse ou poussiéreux, le savoir suscite un fort respect de la part des Français, qui lui confèrent une vraie place dans la société d’aujourd’hui. Pour plus d’un Français sur deux, le savoir est important (56 %), et même essentiel (39 %), pour avoir une vie épanouie. Au total, acquérir un bon niveau de savoir s’avère primordial pour 95 % des Français, juste derrière la vie de famille (98%) et la sécurité financière (98 %), mais avant le travail (93 %). Un véritable consensus sur la place accordée au savoir, toutes générations confondues ! Autant dire que le livre de Florence Braunstein et Jean-François Pépin répond à une demande affirmée du public. ** Enquête disponible sur demande.
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LES AUTEURS, DES AVENTURIERS DE LA CULTURE GÉNÉRALE passé avec succès le concours des conférenciers des Nous nous sommes rencontrés au cabinet d’Égyptologie Musées Nationaux, pratiqué l’art du Iaï do et celui du sabre du Collège de France... Après avoir vécu au Caire, nous japonais, fait des conférences de culture générale pour rentrons en France et l’aventure de la culture générale Publicis ou le parc Eurodisney. Pendant ce temps, je pascommence pour nous. sais de l’histoire à la littérature comparée, m’intéressais Florence l’enseigne, nous corrigeons les épreuves des à l’humour de l’exil chez Romain Gary et I.B. Singer, principaux concours et constatons qu’elle est souvent apprenais le mandarin, alors que nous écrivions à quatre fatale aux candidats. Nous proposerons le tout premier mains près de cent notices pour l’édition CD de l’EncyGuide de culture générale en France en 1991, suivi d’enclopaedia Universalis. viron trente autres ouvrages Notre « dream team » se construit Notre « dream team » se chez divers éditeurs. L’idée sur une répartition innée des compétences construit sur une répartition d’un ouvrage majeur à réaliinnée des compétences : Florence est un chercheur dans ser est déjà présente, mais il faudra trente ans de vie et de l’âme, avide de découvrir tous les territoires de l’esprit ; lectures, pour être au point. Une existence nourrie de nos je suis un pédagogue né, et le malheureux qui me héritages, un père médecin, véritable Pic de la Mirandole demanderait son chemin à Paris ne s’en tirerait pas sans pour Florence, une arrière-grand-mère qui me raconte son tout savoir et avoir compris de la cité depuis Lutèce… enfance lors du siège de Paris en 1871 et la recette du C’est donc dans une trentaine d’années que nous donnons civet de chat, et une grand-mère née avec le siècle précérendez-vous aux équipes des Puf et à nos lecteurs pour la dent pour m’élever et me transmettre, dès le berceau, une suite des aventures de la culture générale sous nos plumes passion jamais démentie pour l’histoire ! croisées. Tout ceci additionné d’une curiosité permanente : Florence Jean-François Pépin et Florence Braunstein a étudié la philosophie, l’histoire de l’art, appris le japonais,
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© Sandrine Roudeix, Puf
JEAN-FRANÇOIS PÉPIN Agrégé d’Histoire, docteur ès Lettres, professeur de chaire supérieure, il enseigne l’économie, la sociologie, l’histoire du monde contemporain, la géographie et la géopolitique en classes préparatoires aux grandes écoles de commerce. Il est l’auteur d’une trentaine d’ouvrages aux éditions Puf, Armand Colin, Vuibert, Ellipses et Bréal.
Un kilo de culture générale Florence Braunstein et Jean-François Pépin
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Couverture Atelier Didier Thimonier © Fotolia
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Florence Braunstein Jean-Francois PePin
Parution : le 26 février 2014 • 1 700 pages • 29 euros Floren c Jean- e Braunste Franc i ois Pe n Pin
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POUR TOUTE INFORMATION Directrice des relations extérieures Dominique Reymond - 01 58 10 31 85 - reymond@puf.com Attachée de presse Doris Audoux - 01 58 10 31 89 - audoux@puf.com Attachée de presse Caroline Psyroukis - 01 58 10 31 91 - psyroukis@puf.com Presses Universitaires de France 6 avenue Reille - 75685 Paris cedex 14 Tél. : 01 58 10 31 00 - www.puf.com
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FLORENCE BRAUNSTEIN Docteur ès Lettres, elle a enseigné pendant vingt-cinq ans la culture générale en classes préparatoires aux grandes écoles de commerce et en classes préparatoires Math sup et Math spé. Conférencière des Musées Nationaux, elle est aussi l’auteur d’une trentaine d’ouvrages aux éditions des Puf, Armand Colin, Vuibert, Mercure de France, Ellipses, et dirige la collection « Le corps en question » chez L’Harmattan.