Dans un article paru sur le site du9.com, Martin Legoux a écrit : « ... Maakies est complexe. Ce n’est pas seulement l’expression sale de la misère humaine, c’est aussi celle d’une beauté perdue. Et ultimement, Tony Millionaire, à l’instar de Oncle Gabby dans Sock Monkey, s’applique lui aussi à restaurer la beauté du monde. Maakies est donc le lieu de la confrontation violente du monde réel, brute et frustrant de l’adulte avec celui idéalisé par les souvenirs et l’imaginaire d’un enfant. C’est le va-et-vient incessant entre le merveilleux de l’enfance et la désillusion de l’adulte. C’est tout à la fois un défouloir dans lequel Tony Millionaire balance toute sa colère et son incompréhension du monde moderne et le résultat d’une démarche fondamentalement exemplaire de création du beau. »