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→ 48 oiseaux sédentaires ou de passage
→ 115 plantes indigènes et exotiques
→ 15 haies accueillantes et nourricières
Préface 8
Avant-propos 9
CHAPITRE 1
Revoir ses pratiques jardinières
CHAPITRE 2
Créer un jardin-refuge
19
39
CHAPITRE 3
Les oiseaux que l’on peut observer au jardin
87
CHAPITRE 4
Des plantes belles et utiles aux oiseaux
119
CHAPITRE 5
Quelques exemples d’aménagements
Index des oiseaux 218
Index des végétaux 218
Tables des matières 220
195
Le déboisement, l’arrachage des haies, l’urbanisation croissante et l’imperméabilisation des sols menacent les oiseaux, et le moindre jardinet, surtout urbain, prend vite l’allure d’une oasis. Avant d’aménager son jardin, il est important de considérer comment il pourra répondre aux besoins vitaux des espèces qu’on souhaite y inviter, en restant cohérent avec leur aire de répartition et la densité effective de leurs populations dans la région.
Les causes de l’effondrement de la biodiversité mondiale incluent les évolutions des pratiques agricoles, telles l’instauration de la Politique Agricole Commune, abrégée PAC, en 1962, suivie de la catastrophique « Révolution verte », politique de transformation des agricultures des pays en développement, principalement fondée sur l’intensification et l’utilisation de variétés de céréales à hauts rendements, la mondialisation, qui accélère la propagation des espèces exotiques envahissantes, le dérèglement climatique, la surexploitation des ressources naturelles, les pollutions, d’origines diverses — pas uniquement industrielle, loin de là…
Ces perturbations sont très lourdes de conséquences, et les oiseaux paient un lourd tribut à notre « progrès ». Les premières causes de disparition des espèces ne sont pas
la chasse, ni même le braconnage, mais bien la dégradation et la disparition de leurs milieux.
Si vous ne pouvez pas agir de manière sensible sur le déclin constaté chez les oiseaux, ni sur leur phénologie — l’étude de l’occurrence d’événements périodiques, en général dans le monde vivant, en relation avec les variations saisonnières du climat —, plusieurs facteurs favorisant la fréquentation du jardin par les oiseaux dépendent de vous.
L’idée générale, évoquée plus haut, est de répondre au mieux aux besoins des oiseaux. Les trois exigences principales à satisfaire sont les besoins vitaux, comme l’alimentation, qui, nous le verrons, ne repose pas que sur les mangeoires en hiver, les sites de reproduction pour les espèces se reproduisant effectivement dans votre région, et leur tranquillité.
↑ La Huppe fasciée (Upupa epops), est plus difficilement observable dans la partie nord de l’Hexagone.
Personne n’est maître du temps. Il faut accepter d’attendre. Attendre que les végétaux amoureusement plantés à destination des Grives mauvis poussent et fructifient enfin. Attendre que la saison des amours et les chants mélodieux qui l’illustrent si joliment, démarrent… Impossible également de maîtriser les périodes de l’année durant lesquelles telle ou telle autre espèce sera présente chez vous. Certaines espèces sont sédentaires, même si la plupart connaissent néanmoins des déplacements sur de courtes distances. Selon Maxime Zucca2, la Sittelle torchepot est sans doute la plus « casanière » des espèces de l’Hexagone. Nous pouvons également noter le caractère extrêmement sédentaire de la Mésange nonnette. D’autres espèces sont migratrices et quittent nos contrées chaque automne pour passer l’hiver dans des régions du monde plus aptes à répondre à leurs besoins. Enfin, il y a des espèces qui passent la belle saison au nord de l’Europe, et « descendent » chez nous pour y passer l’hiver. Là encore, il faudra attendre ces visiteurs hivernants. Les fiches présentant les oiseaux que l’on peut rencontrer au jardin, au chapitre 3, mentionnent le statut sédentaire, migrateur (partiel ou strict) ou hivernant pour chaque espèce.
Certains paramètres sont positivement influençables, et quelques opérations parfois sommaires suffisent généralement à changer le profil et l’attractivité pour les oiseaux du jardin. Mais il est indispensable d’appréhender la biodiversité de son jardin comme un ensemble dynamique, dont les composantes sont interdépendantes, et bien entendu, indissociables. De fait, chercher à privilégier les oiseaux uniquement serait illusoire, et les efforts fournis en ce sens seraient vains… Il est important d’encourager le développement de la vie au sens large. L’observation d’un nombre d’espèces et d’individus croissant dans le jardin, passe par la présence, pour tout ou partie de leur cycle vital, de tous les autres organismes potentiellement présents : la flore, y compris spontanée, et la faune, depuis les minuscules collemboles de la litière, jusqu’aux petits insectivores, comme le Hérisson d’Europe — à ce titre, maintenir des « passages à faune », dans le bas des clôtures par exemple, représente un gain en termes de
← Aire de répartition de la Huppe fasciée (Source Centre de Recherches sur la Biologie des Populations d’Oiseaux). Même si je dresse un « tapis rouge » à cette espèce, dans un jardin du Nord-Pas de Calais, il y a bien peu de chance que des individus visitent mon jardin ou le choisissent pour nicher… Des oiseaux nicheurs sont néanmoins ponctuellement observés, de même qu’en Corse.
diversité spécifique, mais aussi génétique. L’aide apportée aux oiseaux ou plutôt ses résultats, se traduira de manière plus ou moins directe et perceptible, selon les situations. Ces résultats ne se manifestent pas toujours aussi directement que ce que l’on peut observer autour d’une mangeoire.
Ainsi, une parcelle d’herbe modérément tondue, voire pas tondue du tout, intéressera avant tout de très nombreux invertébrés et micromammifères. C’est tout un microcosme qui va s’établir, et se développer sur ce paradis enherbé.
Ces invertébrés et micromammifères, après les végétaux, sont à la base de nombreux réseaux trophiques, un ensemble des relations alimentaires entre espèces au sein d’un écosystème, par lesquelles l’énergie et la matière circulent. Et la parcelle de pelouse délaissée fournira également une aide indirecte aux petits rapaces, prédateurs des invertébrés, et micromammifères qui y évoluent.
Les oiseaux témoignent de remarquables facultés d’adaptation, et sont susceptibles d’exploiter les espaces de très petites dimensions, pour peu que ceux-ci soient configurés de manière à s’inscrire en partie dans leur niche écologique.
Le jardin doit subvenir à tout ou partie des besoins des oiseaux, pour que ces derniers le fréquentent assidûment.
Il peut être question de postes alimentaires ou encore d’accueil de la nidification, de dortoir…
Débarrassons-nous d’emblée de la question de la dimension du jardin. Il n’est en effet pas indispensable de disposer de centaines ou milliers de mètres carrés pour espérer observer des oiseaux dans son jardin. Concrètement, un tout petit espace, voire un balcon, peut se montrer tout à fait attrayant pour bien des espèces. Par un été chaud, une simple coupelle d’eau régulièrement alimentée intéressera bon nombre de passereaux.
Il est possible de concevoir un espace qui accueillera quelques arbres à petit développement, accompagné de quelques arbustes, sur quelques dizaines de mètres carrés seulement. Il sera aisé de compléter cette palette végétale par des plantes bulbeuses, vivaces, et pourquoi pas grimpantes. En organisant bien l’espace, il est même envisageable de conserver un coin « détente » et une circulation.
↑ Si ce banc disposé dans un recoin du jardin a pour vocation de permettre le repos de l’usager, il n’en est pas moins entouré d’une végétation luxuriante, propice à l’activité des oiseaux.
Bien entendu, au nom du respect de la tranquillité, indispensable à l’épanouissement des oiseaux, il conviendra d’établir l’espace détente, s’il revendique une certaine surface, en proximité immédiate du bâti.
Le maître mot, qui ne doit jamais vous quitter durant tout le travail de conception, est « diversité ». Cette diversité doit s’exprimer à tous les niveaux : diversité de hauteurs, de volumes, de formes, de couleurs, de densités, de périodes de floraison et de fructification… Un espace monotypique, surtout s’il est délimité par des haies de « béton végétal » (Thuyas ou Cyprès de Leyland), se traduira fatalement par une biodiversité faiblement augmentée.
Le jardin idéal sera donc configuré de manière à proposer plusieurs strates végétales et comportera d’autres éléments structurants, potentiellement attractifs pour les oiseaux.
Planter des végétaux indigènes, c’est-à-dire qui poussent naturellement dans une région donnée, sans intervention humaine, est un lieu commun, une injonction presque dogmatique, exprimé dans de nombreuses publications et sites internet consacrés à l’accueil des oiseaux au jardin. Cela se présente même comme une incontournable évidence. Cette consigne est tellement martelée qu’il en devient difficile de conserver le splendide Cerisier du Japon laissé par les parents dans le jardin familial dont on vient d’hériter, sans culpabiliser. En effet, ce cerisier exotique, s’il fleurit remarquablement, ne produit pas de fruits à destination des oiseaux…
Les végétaux indigènes auront toutes les chances de se développer correctement chez vous, dans un sol de nature qui leur convient, s’il n’est pas le fruit de l’excavation de fondations. Ces végétaux sont d’un incontestable intérêt écologique, puisqu’ils porteront des fruits et graines connus de nos espèces d’oiseaux.
Si je prône sans retenue la plantation d’arbres, d’arbustes, et même le semis de plantes herbacées indigènes, il serait toutefois dommage de se contenter de cette étroite gamme de végétaux, et de renoncer à l’enrichir avec une sélection de végétaux non indigènes soigneusement choisis, selon des critères très précis, que nous développerons dans le chapitre 4.
Planter un Eucalyptus (exotique, donc) en France ne présente aucun intérêt visà-vis de la faune locale. Pourtant, certains
↑ Il ne reste que quelques fruits sur ce Plaqueminier du≈Japon (Dyospiros kaki). Les autres fruits, après avoir été très décoratifs, suite à la chute des feuilles, ont fait le bonheur des oiseaux, qui s’en sont régalés.
végétaux bonus peuvent eux aussi proposer des caractéristiques appréciées des oiseaux. Ils ne sont pas forcément d’origine exotique, et peuvent être des améliorations culturales, des cultivars, c’est-à-dire des variétés d’une espèce végétale locale, plus basique, obtenues artificiellement.
Ces quelques végétaux non indigènes répondront aux attentes ornementales du jardin, ce qui n’est en rien contradictoire avec notre objectif naturaliste. Leurs fruits et graines sont appréciés des oiseaux européens, et on a même constaté au Royaume-Uni que les Becs-croisés des sapins préféraient se nourrir des graines des conifères nord-américains. Loin de s’inquiéter de l’origine des végétaux pourvoyeurs de nourriture, les oiseaux vont en revanche, pour certains d’entre eux, comme la Fauvette à tête noire, sélectionner les fruits les plus riches en antioxydants.
↑ Le Pic-vert (Picus viridis) est un oiseau que l’on rencontre très régulièrement au sol, où il se nourrit essentiellement de fourmis et autres larves du sol, en milieu ouvert.
Des études suggèrent que cette sélection ne se fait d’ailleurs pas que sur la couleur — le goût ou l’odorat interviendraient aussi dans l’appréciation de la qualité des fruits.
Les oiseaux ont besoin d’antioxydants, qui renforcent leur système immunitaire et les protègent du stress oxydatif, l’ensemble des agressions causées par des molécules dérivant de l’oxygène aux cellules des organismes. Ce stress oxydatif augmente largement lors de la migration. Les antioxydants sont des molécules capables de neutraliser les radicaux libres, des substances chimiques instables néfastes pour les organismes. On trouve parmi les antioxydants alimentaires : les flavonoïdes (pigments jaunes, rouges, orange, bleus ou violets), les vitamines C et E, les caroténoïdes et certains minéraux comme le zinc, le manganèse ou encore le cuivre.
↑ Le Merle à plastron (Turdus torquatus), qui visite certains jardins durant sa migration, sélectionne soigneusement les arbustes qui lui fourniront les fruits les plus nourrissants. Cette sélection s’effectue selon plusieurs critères, en dehors de la couleur du fruit.
Chapitre 3
L’agencement, la configuration de votre espace et son équipement détermineront les types d’oiseaux susceptibles d’être intéressés.
Mais toutes les espèces ne sont pas visibles toute l’année, certaines ne fréquentent nos jardins qu’à la belle saison, d’autres n’y sont observables que durant l’hiver.
Les espèces décrites ici sont celles que l’on peut raisonnablement attendre dans les jardins des trois quarts nord de l’Hexagone.
À NOTER
• Cette liste aurait pu être augmentée de certaines espèces, à l’aire de répartition plus réduite, comme le Bruant ortolan, le Bruant zizi, l’Étourneau unicolore, la Fauvette mélanocéphale, le Hibou petit duc Scops ou encore le Moineau friquet, presque exclusivement rencontrés dans le quart sud de la France…
• L’abreuvoir, qui répond à un besoin commun à toutes les espèces, n’est pas mentionné. Cela vous permettra d’envisager la suite de l’aménagement ou la réforme de votre jardin en ciblant les espèces potentiellement visibles.
• Statut de protection Préoccupation mineure : espèce pour laquelle le risque de disparition est faible. Vulnérable : espèce confrontée à un risque élevé d’extinction à l’état sauvage. Quasi menacée : pourrait être menacée si des mesures de conservation spécifiques n’étaient pas prises.
• Sédentaire ou migrateur ?
Sédentaire
Migrateur partiel
Migrateur strict Hivernant
Ces petits oiseaux sont les plus courants dans les jardins des villes et des campagnes. Certains sont très faciles à appréhender, tant ils se distinguent par leur promptitude à visiter les mangeoires ; c’est le cas de la plupart des Mésanges (en dehors de la Mésange boréale) ou encore du Rouge-gorge familier. D’autres espèces, plus discrètes, sont souvent bien plus faciles à entendre qu’à observer, surtout au printemps, pendant les joutes sonores amoureuses. Il s’agit par exemple du Troglodyte mignon ou encore du Rouge-queue à front blanc. Certains oiseaux profitent alors souvent des élévations et reliefs du jardin pour donner de la voix, tout en exposant fièrement leur plumage bien coloré.
Prunella modularis
Statut de protection : Protégé – Préoccupation mineure Il apprécie au jardin :
• les petits arbres,
• les haies libres, les haies sèches,
• les tas de branches, les murets,
• les arbustes buissonnants,
• la mangeoire.
L’Accenteur mouchet, parfois appelé « traîne-buisson » se fait entendre inlassablement à la saison des amours, depuis un perchoir ou une branche élevée. Le reste de l’année, il fréquente les haies et les massifs buissonnants qu’il affectionne, se nourrissant essentiellement d’insectes capturés dans la végétation. Vous l’observerez facilement au sol, sous la mangeoire, où il est parfois confondu avec le Moineau domestique.
Pyrrhula pyrrhula
Statut de protection : Protégé – Vulnérable
Il apprécie au jardin :
• les vergers,
• les grands et les petits arbres,
• la mangeoire.
En dépit de la couleur vive portée par le mâle, le Bouvreuil pivoine est assez discret. Ses effectifs chutent considérablement, ce qui ne facilite guère son observation. Il aime se nourrir de jeunes bourgeons, notamment au verger. Il fréquente les groupes d’arbres, comme les saules, bouleaux, etc.
Carduelis carduelis
Statut de protection : Protégé – Vulnérable
Il apprécie au jardin :
• les petits arbres,
• les arbustes,
• les pelouses hautes et friches il consomme les graines de cardères, et autres chardons,
• les mangeoires.
Le Chardonneret élégant visite volontiers les jardins, plutôt ruraux, mais si l’espace est suffisamment accueillant, il peut être observé en périphérie urbaine. Il apprécie les haies denses pour nicher, et exploite les mangeoires, dès lors qu’il a exploité les graines trouvées dans son environnement. Un petit secteur garni de plantes herbacées sélectionnées (Dipsacus fullonum, D. laciniatus, D. pilosus, Circium oleraceum…) augmentera grandement vos chances de l’inviter dans votre jardin.
Sturnus vulgaris
Statut de protection : Non évalué
Il apprécie au jardin :
• les grands arbres (dortoirs),
• les chandelles et les trognes,
• les pelouses hautes et rases,
• les nichoirs et les mangeoires.
Difficile d’imaginer une espèce plus ubiquiste que l’Étourneau sansonnet. Doté d’une remarquable faculté d’adaptation, il colonise des milieux très diversifiés. Nul doute que les étourneaux profiteront de cavités dans une chandelle ou d’une anfractuosité dans un bâti pour nicher. Cet oiseau est tantôt insectivore, tantôt frugivore, selon les ressources à disposition. Vous pourrez le croiser sur les pelouses, cherchant sa pitance en fouillant le sol de son bec ou sur les fruits que vous lui laisserez, sur les arbres ou au sol.
Sylvia atricapilla
Statut de protection : Protégée – Préoccupation mineure
Elle apprécie au jardin :
• les petits arbres,
• les haies libres, les arbustes buissonnants,
• la mangeoire.
Tendez l’oreille, le chant très sonore de la Fauvette à tête noire se fait peut-être entendre dans votre jardin. Si c’est le cas, c’est plutôt dans le fond du (grand) jardin, à l’écart de l’agitation des hommes. La Fauvette à tête noire apprécie les massifs de buissons denses et d’arbrisseaux, entrecoupés d’arbres. Elle peut aussi occuper une haie libre, si celle-ci est suffisamment large et dense. En hiver, vous pourriez avoir la surprise de voir une fauvette non migratrice s’approcher de la mangeoire.
Embellir son jardin et le transformer en un jardin-refuge indispensable pour la vie des animaux, c’est ce que propose Daniel Gérard, paysagiste et ornithologue, dans ce guide où il nous invite à repenser les espaces pour les oiseaux sans renoncer à la valeur ornementale du jardin. Une nouvelle vision du jardin naturaliste qui allie biodiversité et esthétique.
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ISBN : 978-2-37922-429-4
éditeur du vivant