1re qualité : La compréhension
Niveau de difficulté
1re qualité : la compréhension Percevoir le monde à travers les yeux de son chat n’est pas aussi simple qu’il y paraît, mais c’est la première compétence que vous devez acquérir pour être en mesure de lui offrir tout ce dont il a besoin. Nous partageons les mêmes sens fondamentaux, mais du fait de la différence de taille et des variations anatomiques et physiologiques, votre chat ne perçoit pas comme nous les objets et les événements du quotidien. Il n’évolue pas non plus de la même façon au sein de son environnement, que ce soit à la maison ou à l’extérieur. Il est essentiel de comprendre l’ampleur de ces différences pour être « sur la même longueur d’ondes » et apprécier sa sensibilité : il s’agit de la première étape pour devenir un maître responsable.
Les sens
Que veut mon chat ?
l’expression faciale caractéristique du flehmen, puis se frotter contre l’objet, voire l’asperger d’urine. Il retire le plus d’informations possible du message laissé par un autre chat avant de déposer le sien.
L’ouïe La taille et la forme des oreilles de votre chat et leur remarquable mobilité leur permet de bouger indépendamment l’une de l’autre afin de recueillir le plus d’informations possible. La gamme des fréquences perçues par le chat est plus large que la nôtre, ce qui lui permet d’entendre les rongeurs s’agitant dans les broussailles, et les conversations des souris — une capacité tout à fait indispensable aux chasseurs hors pair dont descend votre chat.
Des oreilles mobiles Alors que votre chat semble se reposer, vous remarquerez que ses oreilles tressaillent ou bougent occasionnellement, parfois indépendamment. Cela signifie qu’il prête attention à ce qui se passe tout autour de lui afin d’anticiper un événement important, comme l’approche d’un ennemi ou d’une proie potentielle.
Pour comprendre comment votre chat perçoit son environnement, essayez de vous mettre à son niveau et de voir ce qu’il voit. Ensuite, une fois que vous aurez compris la différence entre ses sens et les nôtres, vous pourrez tenter d’imaginer à quoi ressemble le monde vu à travers ses yeux, et pourrez ainsi mieux appréhender ses désirs.
L’odorat Votre chat vit dans un monde où les odeurs jouent un rôle essentiel. Les chats s’en servent pour se transmettre des informations, marquer leur territoire et se rassurer. Les moindres petites variations olfactives les informent sur les changements subis par leur environnement, et ils identifient les personnes qui leur sont familières à leur odeur « normale », qui les rassure. C’est pourquoi votre chat vous renifle parfois intensément lorsque vous rentrez à la maison avant de se frotter à vos jambes pour y déposer son odeur et enregistrer votre profil olfactif. Ses cavités nasales sont tapissées d’une membrane contenant des cellules olfactives et sont bien plus sensibles Les frottements permettent et complexes que les vôtres. Il possède également un de recréer un lien entre le chat organe voméro-nasal situé dans le palais, qui lui permet de « goûter » certaines odeurs, notamment celles déposées et son maître. par d’autres chats. Vous pouvez parfois l’observer renifler intensément un objet, puis « sourire », la gueule entrouverte et la lèvre supérieure retroussée. Ce « flehmen » est particulièrement important pour les chats entiers en période de reproduction et pendant l’accouplement, mais il peut également se manifester chez les chats castrés. Lorsqu’il sort, le chat peut également renifler les branches inférieures des arbustes environnants de manière très intense, en affichant
Quelque chose a changé. Ce chat tente de savoir quoi.
Les oreilles mobiles des chats bougent en fonction de ce qui se passe autour d’eux et reflètent leur état d’esprit.
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1re qualité : La compréhension
La vue La vision binoculaire de votre chat s’apparente à la nôtre, mais la position de ses yeux lui confère un champ de vision légèrement plus large. Ses pupilles, bien qu’elles soient moins mobiles, se dilatent et se contractent davantage en réaction à l’intensité de la lumière et à ses émotions. La « lecture » de ces signaux vous aidera à comprendre ce qu’il ressent dans des situations où il ne réagit pas ouvertement. C’est une compétence qu’il est utile de développer, puisqu’elle vous permettra de vous montrer plus sensible à son humeur, et vous aidera à identifier les circonstances en apparence anodines susceptibles de le stresser.
La vision des couleurs
Des pupilles contractées traduisent un état d’excitation ou une réaction à une lumière vive.
La dilatation des pupilles de ce chat au repos n’est pas due à son état émotionnel, mais à la faible luminosité.
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Les yeux de votre chat contiennent certaines des cellules nécessaires à la vision des couleurs (cônes), mais comme la couleur a peu d’importance dans le monde félin, on pense que le cerveau du chat ne traite pas très bien les informations qu’elles lui transmettent. La plupart des jouets colorés disponibles en animalerie, qui vous paraîtront sans doute séduisants, n’éveilleront pas spécialement l’intérêt de votre chat, surtout s’ils sont lourds et se déplacent lentement. Cela se comprend lorsque l’on sait que les chats sont naturellement « programmés » pour percevoir des proies se déplaçant rapidement à plus de 2 mètres de distance. Leur vue est adaptée à cet exercice. Par conséquent, lorsqu’un objet est placé sous son nez, le chat le localise principalement à l’aide de son odorat et des vibrations, ou de son ouïe s’il fait du bruit. Gardez cela à l’esprit lorsque vous achetez ou fabriquez des jouets pour lui. Il aura très probablement ses jouets favoris, mais les chats apprécient généralement les jouets évoquant des proies, petits, rapides, brillants, faciles à manipuler avec la patte, et qui couinent.
Le toucher Comme chez nous autres humains, la peau du chat est truffée de récepteurs sensoriels qui lui permettent de percevoir les contacts physiques, la pression, la température et les stimuli douloureux. Les informations qu’ils envoient sont traitées par le cerveau, qui transmet alors des messages via le système nerveux pour déclencher la réponse appropriée. Votre chat possède également des vibrisses : des poils spécialisés répartis sur sa face (appelés communément les moustaches) et à l’arrière de ses pattes antérieures, qui sont sensibles aux vibrations et à la température. Les vibrisses
Que veut mon chat ?
transmettent des informations à son cerveau sur la position de sa tête et de ses membres par rapport à la circulation de l’air et aux objets situés à proximité, ce qui l’aide à s’orienter et à percevoir les mouvements des petites proies lorsqu’il chasse. Les vibrisses de votre chat réagissent également en fonction de ses émotions, ce qui peut vous aider à « lire » ses sentiments une fois que vous connaissez la manière dont elles réagissent à ses différents états d’excitation ou de relaxation.
Le goût Votre chat possède des bourgeons gustatifs sur la pointe, l’arrière et les côtés de sa langue, qui lui permettent de percevoir les saveurs amères, acides et salées. Il est assez difficile d’évaluer les préférences gustatives des chats, mais puisqu’ils sont carnivores par nature, il semble que leur capacité à percevoir les saveurs sucrées soit limitée.
Les yeux du chat Une couche de cellules spécialisées, le tapis choroïdien, tapisse le fond de chaque œil. C’est elle qui donne aux yeux du chat leur lueur si caractéristique dans le noir. Elle permet de capter plus efficacement la lumière et permet au chat d’avoir une meilleure vision que la vôtre lorsque la luminosité est faible. Toutefois, il n’est pas capable de voir dans l’obscurité totale.
Les sens de ce chat sont en alerte maximale. Remarquez ses pupilles dilatées et ses moustaches dressées.
Ce beau chat tigré est calme, confiant et détendu.
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1re qualité : La compréhension
Que veut mon chat ?
Des influences ancestrales Niveau de difficulté
Intérêt à court terme
Pour comprendre votre chat, vous devez avoir connaissance des forces, encore perceptibles aujourd’hui, qui ont façonné le comportement de son espèce. Ainsi, aussi étrange que cela puisse paraître, connaître le monde dans lequel vivaient ses ancêtres vous permettra d’acquérir les connaissances nécessaires pour devenir le meilleur maître dont un chat puisse rêver.
Les origines comptent Survivre n’était pas une mince affaire pour les ancêtres de votre chat. Le chat sauvage africain (Felis sylvestris lybica), dont il descend, habite la savane, où les ressources essentielles à la vie (la nourriture et l’abri) sont rares. Les butins étant maigres, les chats ont opté pour un style de vie solitaire, ne se réunissant que pour s’accoupler. Les femelles élèvent seules leurs chatons, qui prennent leur indépendance lorsqu’ils atteignent la maturité sexuelle, vers l’âge de 6 mois.
La territorialité, un trait essentiel
Lorsque votre chat est en chasse, quelle que soit sa cible, son héritage génétique est indubitable.
La taille du territoire de chaque chat, ainsi que le nombre d’abris, rongeurs, petits oiseaux et insectes qu’il contient, jouent un rôle essentiel dans sa survie. Votre chat a beau ne plus avoir besoin de se débrouiller seul, son instinct de chasseur subsiste, dans une certaine mesure du moins. Cet instinct se révèle lors des jeux, pendant lesquels on peut observer nos félins traquer leur proie, avant de lui sauter dessus et de la secouer, des comportements essentiels chez tout bon chasseur. C’est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles les amoureux des chats trouvent les jeux de nos matous si divertissants. La territorialité du chat s’exprime dans son besoin de connaître parfaitement chaque recoin de son territoire, d’y patrouiller régulièrement et de repérer tout changement important. Il peut avoir un caractère territorial très marqué et ressentir le besoin de revendiquer et de défendre une vaste zone, ou se contenter d’une parcelle relativement petite. Toutefois, cette inclination héréditaire se manifestera forcément, quelles que soient l’histoire et la personnalité de votre compagnon.
Des proies potentielles Même un prédateur aussi redoutable que ce rescapé parfaitement adapté est suffisamment petit pour se retrouver la proie d’animaux et d’oiseaux plus gros et plus puissants. Par conséquent, le chat sauvage s’efforce de se déplacer silencieusement afin d’attirer le moins possible
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Comme ses ancêtres sauvages, le chat se sent le plus en sécurité lorsqu’il observe le monde de haut.
l’attention. Il est essentiel pour sa survie qu’il dispose de nombreuses cachettes facilement accessibles (branches inférieures des arbres ou crevasses sombres). Il sera tout aussi important pour votre chat d’avoir la possibilité de battre en retraite et se cacher, surtout dans des endroits sombres et situés en hauteur, comme un placard ouvert ou sous votre lit, même s’il en ressentira rarement le besoin.
Le régime alimentaire du chat sauvage se retrouve également chez nos chats domestiques. Les rongeurs, qui sont les proies préférées de ces carnivores superbement évolués, sont très riches en protéines de haute valeur biologique. Les chats peuvent ainsi se permettre d’arrêter de chasser pour se reposer après les intenses efforts qu’ils ont dû déployer pour attraper leur repas. Ce schéma d’activité explique l’intérêt à très court terme manifesté par les chats pour les objets nouveaux et stimulants : il peut être décevant de lui donner des jouets qu’il va bien vite délaisser, mais ce bref intérêt ne signifie pas pour autant que vos efforts ont été vains.
Actif la nuit pour plus de sécurité La nécessité de rester caché autant que possible a également influencé les animaux dont les premiers chats dépendaient pour se nourrir. Les rongeurs sont actifs la nuit, notamment au crépuscule et à l’aube, c’est pourquoi un mode de vie nocturne, crépusculaire est devenu la norme pour leurs prédateurs. Votre chat a peut-être pris l’habitude de dormir pendant la nuit. Sinon, son mode de vie normal peut s’avérer problématique, surtout lorsque les jours sont longs. Si c’est le cas, arrangez-vous pour qu’il puisse faire beaucoup d’exercice et proposez-lui des activités intéressantes. Prévoyez un nouveau jouet, comme une boîte en carton, tous les soirs. Ne criez jamais et ne vous levez pas pour le nourrir : en récompensant son comportement avec de la nourriture et en lui accordant de l’attention, vous Ce chat en mission risquez d’intensifier son comportement et vous tendez le bâton pour vous faire battre ! patrouille sur son territoire.
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1re qualité : La compréhension
Que veut mon chat ?
Où en sont les chats aujourd’hui ? Niveau de difficulté
En comprenant les influences ancestrales qui ont façonné le chat, vous serez déjà sur la bonne voie, mais pour réellement comprendre votre compagnon, vous devrez également déterminer dans quelle mesure la promiscuité avec les hommes et les autres chats a influencé le comportement de nos félins domestiques.
Qui a domestiqué qui ? Les premiers agriculteurs ont compris la valeur de ces animaux discrets possédant un réel talent pour capturer les rongeurs attirés par leurs cultures. En échange, les chats recevaient le gîte et le couvert. Du fait de cette coopération, ces félins timides et solitaires ont découvert qu’il était avantageux de nouer des relations avec les hommes. D’où l’actuelle présence de votre chat au sein de votre foyer.
Les chats se sont adaptés, mais seulement dans une certaine mesure Leur capacité d’adaptation comportementale a permis aux chats de devenir progressivement des compagnons très appréciés. Ces jeunes chats apparentés se reconnaissent pour s’être côtoyés et avoir noué des liens olfactifs.
Contrairement aux chiens, sélectionnés par les hommes pendant des milliers d’années en fonction des traits de caractère qui pouvaient leur être utiles (pour chasser, garder et guider le bétail, éliminer la vermine et récupérer le gibier), la reproduction et le comportement félins ont été relativement peu influencés par l’être humain : les chats se sont contentés de poursuivre leur petit bonhomme de chemin en s’accouplant avec les partenaires qu’ils voulaient. Les chats de race sont l’exception, bien que certains de ces félins parviennent parfois à échapper à la vigilance de leurs maîtres et à prendre eux-mêmes les choses en main !
Malgré certaines évolutions, l’apparence et le comportement de votre chat ne sont pas vraiment différents de ceux de ses ancêtres. Toutefois, la promiscuité avec d’autres êtres vivants, qu’ils possèdent deux jambes ou quatre pattes, a nécessité certaines adaptations. Les traits de caractère individuels jouent également un rôle. Si le chat a des ancêtres de race, il se peut que vous identifiez certaines caractéristiques particulières, comme une silhouette élancée, élégante, une face orientale ou le miaulement typique du siamois.
La science enrichit nos connaissances Les études menées sur des groupes de chats domestiques vivant en liberté autour de décharges ou à la ferme, par exemple, montrent que la nature solitaire des chats primitifs a cédé la place à un style de vie plus sociable. Toutefois, il ne faut pas confondre les véritables groupes familiaux et les regroupements de chats sauvages sans aucun lien de parenté et livrés à eux-mêmes, qui sont attirés par une abondante source de nourriture. Ces animaux non apparentés demeurent des individus autonomes, bien qu’ils soient obligés de modifier leur comportement ou de risquer une confrontation et des blessures potentiellement mortelles pour pouvoir s’abriter et se nourrir. Ils vivent ensemble parce qu’ils sont attirés par des ressources essentielles à leur survie, pas parce qu’ils recherchent la compagnie de leurs congénères.
Connaître votre chat Utilisez vos nouvelles connaissances pour regarder votre chat d’un œil nouveau. Cela devrait vous aider à comprendre dans quelle mesure les influences historiques associées à ses qualités individuelles ont eu une incidence sur ses actes et ses besoins, et notamment sa vie à la maison et ses habitudes quotidiennes (voir également les pages 16 et 17.)
« Recule et garde tes distances » : le message de ce chat tigré est on ne peut plus clair.
Chaque race a ses propres caractéristiques physiques et comportementales.
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Que veut mon chat ?
Le monde vu par les chats Niveau de difficulté
Les chats timides peuvent se sentir stressés dans les
Pour comprendre comment votre chat perçoit son environnement, vous devez connaître le comportement de ses premiers ancêtres, les changements induits par la fréquentation de l’homme, et les influences plus immédiates qui affectent son attitude et ses réactions. En considérant de quelle manière tous ces facteurs se combinent avec la personnalité de votre chat et ses premières expériences, vous serez en mesure de lui offrir un environnement qui lui permettra de vivre heureux et en bonne santé.
pièces où il y a beaucoup d’activité, comme la cuisine.
Influences génétiques Malgré des caractéristiques communes héritées de leurs ancêtres, le comportement de nos chats est également déterminé par la sensibilité et les traits comportementaux de leur famille, et notamment de leurs parents. Alors que certaines familles sont intrépides ou sociables, d’autres sont plus timides. Les chats de race possèdent un patrimoine génétique moins diversifié et plus contrôlé que les matous domestiques « ordinaires » ; ainsi, malgré leurs personnalités différentes, ils tendent à afficher certains comportements spécifiques à leur race.
Chaque chat est unique
Les chats ont besoin de vivre des expériences positives pendant leur prime jeunesse afin d’être confiants et de devenir des compagnons équilibrés.
L’héritage ancestral et familial n’est pas le seul facteur qui influence le caractère des félins. Chaque chat, comme chaque maître, est un individu à part entière, et même des frères et sœurs parfaitement identiques au sein d’une même portée peuvent avoir des caractères aussi différents que le jour et la nuit. Les traits de caractères individuels de votre chat et sa sensibilité sont également influencés par les expériences qu’il a vécues lors des premières semaines de sa vie. Né aveugle et relativement sans défense, il a commencé
Bien préparer le terrain
dans une certaine mesure son apprentissage dans le ventre de sa mère. Toutefois, aucune période de sa vie n’est aussi importante que la période de socialisation, entre l’âge de 2 et 7 semaines, pendant laquelle son développement physique et comportemental est extrêmement rapide. Les chatons apprennent à se connaître, à connaître les autres (leur mère, leurs frères et sœurs, les personnes de leur entourage et les autres animaux) et le monde qui les entoure. Si leurs expériences sont limitées, ils risquent d’avoir des difficultés à faire face à un environnement actif plus tard. Toute personne élevant des chatons doit faire en sorte qu’ils rencontrent une multitude de personnes bienveillantes au cours des premières semaines de leur vie : des hommes, des femmes et des enfants d’âge et d’apparence divers. Il convient également de les exposer à des objets courants du quotidien, comme des appareils ménagers bruyants, qui pourront leur paraître effrayants s’ils les rencontrent à l’âge adulte sans y avoir été confronté tôt dans leur vie.
La suite compte également
Ce chat hardi et extraverti ne semble pas le moins du monde perturbé par son environnement urbain
Malheureusement, le meilleur départ dans la vie ne peut empêcher la situation de dégénérer si le chat vit des expériences traumatisantes par la suite. Des événements terrifiants ou douloureux impliquant des personnes ou d’autres animaux peuvent lui ôter toute confiance. De même, des incidents effrayants impliquant des véhicules, des appareils domestiques, des travaux de construction ou des feux d’artifice peuvent nuire à sa capacité à vivre heureux dans un foyer actif.
Avec un peu de chance, votre chat aura bénéficié de bonnes conditions de vie lors de ses premières semaines d’existence et aura été confronté à une grande diversité de personnes, d’animaux, et à tout l’attirail domestique, ce qui lui permettra de faire face lorsqu’il rencontrera quelque chose de nouveau ou de potentiellement effrayant. Sinon, il risque d’être intimidé par les moindres petits changements apportés à son environnement, ou par les personnes qui lui sont inconnues, même lorsqu’elles se montrent bienveillantes envers lui. Pour éviter cela : • Ne vous énervez pas. • Procédez aux éventuels changements de manière progressive. • Réfléchissez soigneusement à la meilleure manière de gérer la situation avant de modifier quoi que ce soit. • Demandez aux nouveaux venus de garder leurs distances, de laisser le chat s’adapter et de ne tenter une approche que si le chat se montre réceptif.
potentiellement intimidant.
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