Desván 162 Las Máquinas

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Junio 2018 LAS MÁQUINAS

contenidos 1-36

Portada Créditos y contenidos (2)

CRÉD ITOS Mariano Herrera. Vicente Gonzalo. Julia Insausti. javier Castillo. Cursos de Infantil. Cursos Primaria. Seminario de Inglés. Cristina Masía. Aula de Francés. Juan Andrés. Castora Rodríguez. Taller de plástica. Aula de Alemán. Rosa Crego. Biblioteca.

Editorial (3) Infantil 2 (4) Infantil 3 (6) Primero (8) Segundo (10) Tercero (12) Cuarto (14) Quinto (16) Sexto (18) Plástica (20) English for everyone (22) Du coin de l´oeil (24) Pasatiempos (26) Deutsche Seite (27) ASIMOV (28) Libros y pelis para niños (30) El fin de los plásticos(32) La máquina de escribir(34) La imprenta(35) Contraportada


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Editorial El ser humano lleva siglos construyendo máquinas. Allá donde hubo una necesidad el ser humano inventó una máquina. De la rueda a la imprenta, del barco de vapor a la bombilla, y así hasta día de hoy que vivimos rodeados de ellas. Pero hay preguntas que debemos hacernos en este siglo XXI: ¿Son todas las máquinas imprescindibles? ¿Es sostenible para el medio ambiente la enorme producción de máquinas? ¿sabemos cuál fue el momento en el que el ser humano empezó a utilizarlas? En este número hablaremos de las máquinas: la del pasado, las del presente, las que pueden existir en el futuro, las que nos facilitan la vida, las que curan, transportan, limpian, fabrican chocolate o juguetes, nos divierten... Sabemos que hay máquinas que están inventadas pero no construidas, por ello también le dedicaremos un espacio a las máquinas en el cine y la literatura, y a muchas de las historias de ficción y futuristas que soñaron con máquinas imposibles. No podemos saber a ciencia cierta cuáles serán las máquinas en el futuro pero podemos mirar al pasado y al presente e imaginar entre todos lo que queda por venir.


LAS MÁQUINAS DE CASA



La gasolinera sirve para que los coches tengan energĂ­a

La escavadora sirve para escavar

Las mĂĄquinas de la calle La gasolinera, sirve para dar gasolina

El cortacĂŠsped sirve para cortar el cesped


La mรกquina para hacer algodรณn de azucar

La mรกquina para hacer chocolate

Platillo volante, sirve para volar

El aeroplano sirve para volar



Me gusta utilizar esta mรกquina


Juan

2ยบ A


Soy inventor de mรกquinas

2ยบ B


Mรกquinas que nos ayudan



LAS MÁQUINAS QUE NOS HAN CAMBIADO LA VIDA



MÁQUINAS DEL FUTURO


entre mรกquinas antiguas y modernas

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Mechanìca o arte de construir una máquina

Theo Jansen es un experto en física y cinética. Se ha interesado en la robótica pero, también en la pintura desde los años 70. En 1968 ingresó a la Universidad de Delft, en Holanda, y pronto pudo combinar sus dos habilidades: la construcción de máquinas y la pintura. En Delft, desarrolló una máquina para pintar (un artefacto que trazaba sobre la pared) hasta que la naturaleza, la competencia biológica y la evolución, comenzaron a llamar su atención. “Una nueva naturaleza” fue construida a partir de estructuras que emulaban esqueletos de animales y se movían con la fuerza del viento de la playa sin necesitar motores. En sus trabajos colapsan los principios físicos del movimiento con el arte. Las strandbeest, sus bestias de playa, son una nueva concepción del arte/objeto. Jansen utiliza algoritmos muy complejos para crear sistemas con movimiento muy avanzados: estos algoritmos genéticos le dan la clave para diseñar simples pero resistentes estructuras. Según los principios evolutivos, debe haber un objetivo para la adaptación. En las creaciones de Jansen, la condición es que sus construcciones sobrevivan en la playa sin ser destruidas por el viento. Así, estos animales nacen en una computadora sumergidos en un hábitat de vida artificial; compiten entre sí por ser el más veloz y entonces, las criaturas vencedoras y más fuertes, son construidas tridimensionalmente con tubos, hilos de nylon y cinta adhesiva. Theo ha hecho cangrejos y muchos otros prototipos de animales marinos, con patas articuladas y movimientos increíbles. Desde hace quince años se ha dedicado a crear otra vida.



MACHINES AT HOME 3rd Grade Primary SMOOTHING IRON

COFFEEMAKER SEWING MACHINE

FRIDGE SWEET VENDING MACHINE


TELEVISION English For

LAPTOP

Everyone

VACUUM CLEANER

CAR


LES MACHINES DANS NOTRE VIE D´aujourd´hui, on peut pas concevoir notre vie cosmopolite et moderne vivre sans machines. Par contre, jadis, c´était une autre façon à vivre sans ces machines. Cela a représenté que l´homme et la femme doivent gérer leur vie avec ses propres mains et pas accompagnés sauf avec quelques outils pour développer le quotidien . On dirait que la capacité des individus à faire usage des machines en les adaptant à leurs besoins,c´est le plus important. Mais, aussi leur capacité à influer sur les évolutions techniques. Jacques Perriault porte sur le hiatus existant entre ce qu’il se propose d’appeler un déterminisme technologique et la part de liberté qu’ont les individus dans l’usage qu’ils ont des technologies. Ici, l’auteur parle des usages de la télévision, de la radio, du phonographe, du téléphone ou encore du minitel, soit des technologies de son époque. Mais on pensera plus largement à ceux de la VOD, du podcasting, du mp3, de la téléphonie mobile, des forums de discussion ou encore des réseaux dits de sociabilité sur Internet définit comme des outils permettant de lire, stocker et transmettre des messages (visuels ou sonores lanterne magique, chambre noire, télégraphe). Si l’on peut incontestablement historiciser on pourrait exprimer que les technologies de l’information et de la communication, ce sont bien les XIXe et XXe siècles qui restent les grands siècles de la communication et de l’enchevêtrement des techniques. Par contre, la philosophe Hannah Arendt, ne serait-elle pas de rendre l'homme dépendant des machines Il y a des exemples pratiques comme dit Bruno Bonnel, 55 ans, l ´´ un des hérauts de la robotisation en France. Il a une société appelée Robopolis qui inonde l´Europe de machines à tout faire le grand public, comme par exemple l´aspirateur Roomba. Il considère que la machine , c ´est l´homme et la femme augmenté (e). À notre avis , la technologie et usage des machines est la manière d´avoir sorti de la crise économique. Il faut simplement les bons outils pour le gérer. Nous avons commencé avec les PC, puis les portables, Internet, les smartphones qui sont tous devenus indispensables, comme un prolongement de nousmêmes . De la même manière, le geste utile d'un docteur n'est pas d'ouvrir un patient, mais d'être précis dans son diagnostic. Les robots chirurgicaux lui permettront de libérer du temps pour cela. On dit selon le point des entrepreneurs français que “La France devrait se positionner comme la « Californie de l'Europe ». Elle doit investir dans son côté audacieux, être plus confiante, développer sa créativité, sortir d'un patriotisme nostalgique et aller vers plus de partenariats avec les autres pays européens. Les Romains disaient « il y a un âge pour tout » : un pour les affaires et un pour la politique. Je comprends que l'on soit tenté. Mais limiter le politique à l'économie est trop réducteur. Dans une entreprise, l'aspect qui prime, c'est légitimement l'économie puisque pour survivre, elle doit générer de l'argent. Les personnes profitent y prennent l ´usage de ces machines à leur aise. On a grandi la capacité d´avoir plus de temps personnel et ce temps soit plus bien utilisé. Un autre exemple , l´entreprise Toyota a expérimente un remplacement de certaines machines par des hommes, pour gagner en efficience et en qualité. Auparavant, lorsqu´ on a regardé le film

Une nouvelle technologie, celle de la batterie solide, est sur le point d'émerger et pourrait rendre la voiture électrique plus compétitive que n'importe quelle autre motorisation. Certaines marques ont déjà programmé sa commercialisation.


Les machines à faveur de l´énergie marémotrice avec 11 millions de kilomètres carrés d’espace océanique sous sa juridiction, la France dispose du deuxième domaine maritime mondial, derrière les États-Unis. Un gisement d’énergie marine considérable mais encore peu exploité. de Charles Chaplin Les Terres Modernes( auteur et acteur du même) , on imaginait la vie robotisée `a l ´actualité. C ´est vrai, on est plein de machines pour parcourir et dérouler notre vie, toutes les machines qui nous entoure nous en facilitent. Néanmoins, c´est Toyota, les Japonais qui mettent en place le travail humain afin de donner force aux détails pour construire des voitures... Durant cette période de Chaplin et son film, bon nombre d'emplois ont été détruits au nom du progrès. Le Japon, où a actuellement lieu l'expérience Toyota, est même particulièrement réputé pour ses robots industriels : c'est le deuxième pays le plus robotisé derrière la Corée-du-Sud. Mais pour le chef du projet, Mitsuru Kawai, la marche s'inverse : désormais, l'avenir, ce sont les hommes. C´est un autre point de vu! Ensuite, ils veulent leur redonner l'initiative individuelle afin que le processus de production puisse sans cesse être amélioré. En plus, le progrès et la technologie aide aux personnes âgées pour avoir une bonne qualité de vie pas devenir dépendants. Une petite entreprise baptisée Lively vient de présenter un système éponyme bourré de technologie qui permet aux personnes âgées de rester habiter seul chez elles en toute sécurité. Trois industriels vont se lancer dans la nouvelle compétition pour fournir à l ´Union européenne les satellites de la prochaine génération de la constellation Galileo: l ´allemand OHB, le sortant, ainsi que les deux européens Airbus Space Systems et Thales Alenia Space (TAS) , les revanchards.

On peut nous arrêter sur l´énergie éolienne,Chartes, par exemple, qui compte 40 000 habitants a mis en place un système d'éclairage public à led qui s'allume grâce à des détecteurs... ce dispositif offre ainsi à la ville 65% d'économies d'énergie. A Saint-Étienne - ici 170 000 habitants , la Mairie s'est engagée à produire localement par énergie renouvelable l'équivalent de 70% à horizon 2050. Perpignan, de son côté, a pris l'initiative pour ses 120 000 habitants d'installer 41 éoliennes qui permettent ainsi de produire 67% des besoins en électricité de l'agglomération.

Par conclure, on dirait que les machines nous sont indispensables ou peut-être sera notre menace de vie? Si on en emploie de mauvaise manière comme tous les ennuis qui ont avec les portables et leur usage....Qu´estce qu´on va devenir avec tout cela?



3ยบ ESO


LAS MÁQUINAS PARA JÓVENES Y ADULTOS

S

i tenemos que hablar de ciencia ficción y de máquinas no podemos dejar de lado a la figura de Isaac Asimov, considerado uno de los más grandes escritores de ciencia ficción de todos los tiempos. Nacido en Rusia, su familia decidió emigrar a Estados Unidos cuando Asimov sólo contaba con tres años de edad. Se crió, pues, en Brooklyn, Nueva York, donde su padre mantenía una tienda de venta de golosinas y revistas. Desde pequeño ya demostró su interés por la ciencia ficción, siendo un ávido consumidor de revistas pulp. Su atracción por la ciencia le llevó a estudiar Ingeniería Química, donde luego lograría doctorarse en Bioquímica y ser profesor en la Universidad de Bostondurante varios años, hasta que su labor literaria le llevó a abandonar el mundo de la docencia. Tras acabar la carrera, Asimov publicó su primer cuento en 1939, en la revista Astounding Science Fiction dirigida por el famoso John W. Campbell- y también colaboró con Amazing Stories. Asimov nunca abandonó la escritura de cuentos y a lo largo de su vida publicó gran número de antologías. Su obra más importante es sin duda La Fundación (1942) proyecto que se publicó en diversas entregas a lo largo de los años y que compuso poco a poco el universo en que Asimov centró la mayor parte de su trabajo.

1. Ningún robot causará daño a un ser humano o permitirá, con su inacción, que un ser humano resulte dañado. 2. Todo robot obedecerá las órdenes recibidas de los seres humanos, excepto cuando esas órdenes puedan entrar en contradicción con la primera ley. 3. Todo robot debe proteger su propia existencia, siempre y cuando esta protección no entre en contradicción con la primera o la segunda ley.

LA FUNDACIÓN La Serie de la Fundación es un conjunto de por lo menos 16 libros de ciencia ficción escritos por Isaac Asimov en los años 1942-1957 y 1982-1992 (año de su muerte), textos que esbozan (según sus propias palabras) una especie de historia del futuro. Se trata, en verdad, de una ficción tecno-sociológica donde los artefactos tecnológicos, fundamentalmente los robots, condicionan la organización social de modos que sorprenden e incitan a la reflexión. En Preludio a la Fundación (1988) Asimov asigna a la serie un total de 14 libros y 1450000 palabras. Posteriormente aparecieron al menos dos más, Visiones de robot en 1990 y Hacia la Fundación en 1993. El número exacto es difícil de determinar porque, aunque la mayoría de ellos son novelas, algunos son recopilaciones de relatos cortos que han sido hechos de modo muy diferente (y con frecuentes superposiciones) por distintos editores.


BLACK M IRROR Explora la capacidad de la tecnología en un mundo donde todo gira en torno a ella. Desde un punto de vista futurista, cada una de las historias que conforman la serie retrata varios casos donde las redes sociales y la alta tecnología son las protagonistas. Cada situación es llevada al extremo, sirviendo así como reflexión y alegato casi conspiranoico de una sociedad moderna que cada vez avanza más y más.

BLADE RUNNER A principios del siglo XXI, la poderosa Tyrell Corporation creó, gracias a los avances de la ingeniería genética, un robot llamado Nexus 6, un ser virtualmente idéntico al hombre pero superior a él en fuerza y agilidad, al que se dio el nombre de Replicante. Estos robots trabajaban como esclavos en las colonias exteriores de la Tierra. Después de la sangrienta rebelión de un equipo de Nexus-6, los Replicantes fueron desterrados de la Tierra. Brigadas especiales de policía, los Blade Runners, tenían órdenes de matar a todos los que no hubieran acatado la condena. Pero a esto no se le llamaba ejecución, se le llamaba "retiro". Tras un grave incidente, el ex Blade Runner Rick Deckard es llamado de nuevo al servicio para encontrar y "retirar" a unos replicantes rebeldes.

ORIGEN Dom Cobb es un experto en el arte de apropiarse, durante el sueño, de los secretos del subconsciente ajeno. La extraña habilidad de Cobb le ha convertido en un hombre muy cotizado en el mundo del espionaje, pero también lo ha condenado a ser un fugitivo y, por consiguiente, a renunciar a llevar una vida normal. Su única oportunidad para cambiar de vida será hacer exactamente lo contrario de lo que ha hecho siempre: la incepción, que consiste en implantar una idea en el subconsciente en lugar de sustraerla. Sin embargo, su plan se complica debido a la intervención de alguien que parece predecir cada uno de sus movimientos, alguien a quien sólo Cobb podrá descubrir.


MÁQUINAS: LIBROS Y PELIS PARA NIÑOS

Pilo es un niño extraterrestre, vive con su madre en una pequeña casa en uno de los asteroides del cinturón que rodea al planeta Ankj. Todas las noches sale a su balcón esperando que las estrellas hayan desaparecido del cielo; según su abuelo, existe una máquina que genera las estrellas cada noche, y los miembros varones de su familia son los encargados de repararla.

En el año 2800, en un planeta Tierra devastado y sin vida, tras cientos de solitarios años haciendo aquello para lo que fue construido -limpiar el planeta de basura- el pequeño robot WALL•E (acrónimo de Waste Allocation Load Lifter Earth-Class) descubre una nueva misión en su vida (además de recolectar cosas inservibles) cuando se encuentra con una moderna y lustrosa robot exploradora llamada EVE. Ambos viajarán a lo largo de la galaxia y vivirán una emocionante e inolvidable aventura...


“El gigante de hierro” es una película de animación tradicional, en la que la historia tiene un tratamiento más cercano al cine general que al típico de las películas de dibujos animados dirigidos a niños. es una película con una personalidad propia, dirigida a adultos y niños por igual y que se centra en contar muy bien una historia La historia de “El gigante de hierro” transcurre en los años 50: años de la guerra fría. En el pueblecito de Rockwell vive Annie, madre soltera, que trabaja en una cafetería. Su hijo Hogarth, es un chaval muy activo y de imaginación desbordante: le encantan los cómics y las pelis de ciencia ficción de serie B, más si hay en ellos marcianos y seres extraterrestres. Una noche, tras oír un ruido se topa en el bosque con un enorme robot de metal, su primera reacción es huir despavorido, pero cuando ve que el robot está en apuros acude a ayudarle y a partir de ahí nace una curiosa amistad que es el núcleo de la película. Por supuesto, la llegada de semejante gigante de metal no pasa inadvertida, y pronto el ejercito hará acto de presencia para ver que pasa por allí. “El gigante de hierro”, con esta historia como núcleo, la desarrolla incluyendo acción, amistad, humor, intriga y todo con un ritmo admirable. Una de esas pelis a las que te acercas no sabes como y que acabas disfrutando mucho más que otras que llevas tiempo queriendo ver.

Lewis es un inteligente muchacho de doce años que tiene en su haber una sorprendente lista de ingeniosos inventos. Su último y más ambicioso proyecto es el Escáner de Memoria, una máquina que le ayudará a encontrar a su madre biológica y volver a tener una familia. Pero antes de encontrarla, el malvado Bowler Hat Guy y Doris, su diabólico e inseparable sombrero, le roban su invento. Pero Lewis no pierde la esperanza y conoce a un misterioso muchacho llamado Wilbur Robinson, que propone a nuestro desconcertado héroe un viaje en el tiempo para pasar un día con la excéntrica familia de Wilbur. En un mundo repleto de coches voladores y ciudades flotantes, se empeñarán en dar caza a Bowler Hat Guy, salvarán el futuro y desvelarán el sorprendente secreto de la familia Robinson. Al final de la película, aparece una frase de Walt Disney: “En este lugar no perdemos demasiado tiempo mirando hacia atrás. Camina hacia el futuro, abriendo nuevas puertas y probando cosas nuevas, sé curioso... porque nuestra curiosidad siempre nos conduce por nuevos caminos.”


Día Mundial del Medio Ambiente: 2018, el año en que el fin de los plásticos se hizo lema

Acción simbólica de Greenpeace para visibilizar el problema de la co n ta m i n a ci ó n en el Mediterráneo.

Bolsas de plástico, pajitas y platos reutilizables, cubiertos para el picnic y bastoncillos para los oídos: todo este plástico tiene los días contados. El vicepresidente primero de la Comisión Europea, Frans Timmermans, aseguró hace solo una semana que son necesarias medidas contundentes para frenar el consumo de plásticos, que no solo contaminan sino que también penetran en nuestros cuerpos en forma de microplásticos. Y precisamente esta necesidad es la que se presenta en 2018 como lema del Día Mundial del Medio Ambiente, que se celebra cada año el 5 de junio.

En este número proponemos eliminar las máquinas que dispensan botellas de agua mineral por una máquina que proporciona el agua para que rellenar tu botella de vidrio o acero inoxidable. De esta manera eliminaremos un montón de plásticos.


Un pez nada cerca de una bolsa de plástico en un arrecife de coral en la costa del Mar Rojo de la bahía de Naama Bay (Egipto).

El objetivo de esta propuesta es concienciar sobre la necesidad de reducir la cantidad de plástico que se vierte en nuestros océanos. La celebración de este día pretende hacernos conscientes de que nosotros mismos podemos cambiar hábitos en nuestro día a día àra reducir la pesada carga de la contaminación de los plásticos en nuestra naturaleza, en nuestra vida silvestre y sobre nuestra propia salud. Si bien es cierto que el plástico tiene diversos usos muy valiosos, dependemos demasiado del plástico de un solo uso o desechable y eso tiene graves consecuencias medioambientales.

Un voluntario muestra el pasado sábado residuos de plásticos en Rota (Cádiz).

“El mensaje de este Día Mundial del Medio Ambiente es simple: rechaza el plástico descartable. Si no puedes reusarlo, rehúsalo. Juntos podemos trazar el camino hacia un planeta más limpio y verde”

ONU Medio Ambiente invita a los ciudadanos a compartir sus experiencias y avances a través de mensajes en las redes sociales con la etiqueta #SinContaminaciónPorPlásticos


LA MÁQUINA DE ESCRIBIR Un homenaje a la primera máquina que permitió construir mundos y realidades nuevas...

BREVE HISTORIA DE LA MÁQUINA DE ESCRIBIR

UNDERWOOD GIRLS Quietas, dormidas están, las treinta redondas blancas. Entre todas sostienen el mundo. Míralas aquí en su sueño, como nubes, redondas, blancas y dentro destinos de trueno y rayo, destinos de lluvia lenta, de nieve, de viento, signos. Despiértalas, con contactos saltarines de dedos rápidos, leves, como a músicas antiguas. Ellas suenan otra música: fantasías de metal

valses duros, al dictado. Que se alcen desde siglos todas iguales, distintas como las olas del mar y una gran alma secreta. Que se crean que es la carta, la fórmula como siempre. Tú alócate bien los dedos, y las raptas y las lanzas, a las treinta, eternas ninfas contra el gran mundo vacío, blanco en blanco. Por fin a la hazaña pura, sin palabras sin sentido,

ese, zeda, jota, i… Pedro Salinas

El primer intento registrado de producir una máquina de escribir fue realizado por el inventor Henry Mill, que obtuvo una patente de la reina Ana de Gran Bretaña en 1714. La siguiente patente expedida para una máquina de escribir fue concedida al inventor estadounidense William Austin Burt en 1829 por una máquina con caracteres colocados en una rueda semicircular que se giraba hasta la letra o caracter deseado y luego se oprimía contra el papel. Esta primera máquina se llamó 'tipógrafo', y era más lenta que la escritura normal. En 1833 le fue concedida una patente francesa al inventor Xavier Progin por una máquina que incorporaba por primera vez uno de los principios utilizados en las máquinas de escribir modernas: el uso, para cada letra o símbolo, de líneas de linotipia separadas y accionadas por palancas separadas. El mecanismo utilizado para mover el papel entre caracteres y entre líneas es en casi todas las máquinas de escribir modernas un rodillo cilíndrico, contra el que se sujeta el papel con firmeza. El rodillo se mueve horizontalmente para producir el espaciado entre las líneas. La primera máquina que utilizó este método de espaciado fue construida en 1843 por el inventor estadounidense Charles Grover Thurber.


LA IMPRENTA Un homenaje a la primera máquina que permitió multiplicar mundos y realidades.

BREVE HISTORIA DE LA IMPRENTA Los primeros en tratar de plasmar la información a través de herramientas fueron los chinos, en el año 593, cuando se reproducen por primera vez y de forma múltiple, dibujos y textos con la ayuda de caracteres de imprenta tallados en tablas de madera (xilografía). Los caracteres móviles y, con ellos, la composición tipográfica, se deben al alquimista chino Pi Cheng (1040) y los signos que creó, correspondían a palabras completas. Se realizaban con arcilla sobre moldes en negativo y posteriormente se cocían. Una vez terminados se unían sobre un marco metálico componiendo frases, unidos todos con masa adhesiva, y se procedía a la impresión. Con la composición tipográfica surgió un modo de impresión mucho más rápido y flexible que la xilografía. El inventor de la imprenta Johannes Gutenberg, creó moldes móviles de letras en plomo fundido llamados “tipos” (tipografía) ya que estos son más resistentes que los de madera. La fecha de dicho invento es el año 1450 y lo primero que imprimió fue un ejemplar de la Biblia que se conocería como “la Biblia de Gutenberg”. A partir de su muerte, 1468, su invento se extendió paulatinamente por toda Europa, y permaneció prácticamente inalterable hasta principios del siglo XX. Este invento contribuyó a la rápida difusión de los libros, la cultura pudo llegar a todas las capas de la sociedad e hizo posible que hoy tengamos libre acceso a la información que necesitamos.

DON QUIJOTE TAMBIÉN VÍO UNA IMPRENTA Los caballeros de la ciudad, por complacer a don Antonio y por agasajar a don Quijote y dar lugar a que descubriese sus sandeces, ordenaron de correr sortija de allí a seis días, que no tuvo efecto por la ocasión que se dirá adelante. Diole gana a don Quijote de pasear la ciudad a la llana y a pie, temiendo que si iba a caballo le habían de perseguir los mochachos, y, así, él y Sancho, con otros dos criados que don Antonio le dio, salieron a pasearse. Sucedió, pues, que yendo por una calle alzó los ojos don Quijote y vio escrito sobre una puerta, con letras muy grandes: «Aquí se imprimen libros», de lo que se contentó mucho, porque hasta entonces no había visto emprenta alguna y deseaba saber cómo fuese. Entró dentro, con todo su acompañamiento, y vio tirar en una parte, corregir en otra, componer en esta, enmendar en aquella, y, finalmente, toda aquella máquina que en las emprentas grandes se muestra. Llegábase don Quijote a un cajón y preguntaba qué era aquello que allí se hacía; dábanle cuenta los oficiales; admirábase y pasaba adelante.

El Ingenioso Hidalgo Don Qujiote de la Mancha, segunda parte, capítulo LXII



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