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Projet FUTURE labellisé I-Site
from PORTFOLIO 2022
by Elsa Durand
> Représentante de l’Éav&t et pilote du volet « vie étudiante, vie de campus » au sein du comité de coordination de l’I-SITE et du comité opérationnel préfigurant l’université Gustave Eiffel (Éav&t, UPEM, IFSTTAR, EIVP, ESIEE Paris).
Appuyée par deux chargées de mission de l’équipe projet I-SITE, j’ai été mandatée pour piloter la mise en œuvre des actions jalonnées auprès de l’agence nationale de la recherche (ANR) et de les articuler aux autres volets du projet : « Recherche », « Formation », « Valorisation et transfert », et « Relations internationales. Missions :
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• présentations du projet aux acteurs du campus et du territoire (élus, communauté d’agglomération, universitaires, étudiants), mais aussi au sein de l’Éav&t ;
• création, accompagnement et animation de 5 groupes de travail inter-établissements sur le campus Descartes préfigurant le futur établissement ;
• coordination d’une après-midi dédiée à la vie de campus dans le cadre de Future days, un événement de lancement de l’I-SITE. Organisation d’ateliers participatifs sur la vie du campus, en collaboration avec l’agence Palabréo (80 participants) ;
• en collaboration avec les associations d’étudiants et de personnels du site, organisation d’un jeu de piste sur le campus - Inscape Descartes 2017- dédié à l’intégration des primo-arrivants. (150 participants) ;
• animation d’atelier au sein du séminaire de direction I-SITE. Atelier questionnant le modèle de gouvernance et de vie étudiante de la future Université dédié aux membres de la direction des différents établissements de l’I-SITE (25 participants).
Mémoire de master « Théories et démarches du projet de paysage »
Mémoire de master « Théories et démarches du projet de paysage »
TITRE Sous-titre
1990-2000
Nom de l’auteur Soutenu le xxx à Versailles, sous la direction de …. Année universitaire 20xx-20xx
Un laboratoire de créativité ?
Elsa
Soutenu le 13 septembre 2016 à Versailles, sous la direction de Chiara Santini. Année universitaire 2015-2016
2016
Mémoire de recherche rédigé pour le Louvre et l’ENSP-Versailles.
2017 https://urlz.fr/j36s
Article d’I. Glais sur ma recherche, HorsSérie Grande Galerie du Louvre, p. 18-27.
L’étude d’elsa durand montre que le projet de Pascal cribier, Louis benech et François roubaud propose des solutions nouvelles, au service de la mise en scène d’un horizon urbain. Les Tuileries apparaissent comme le trait d’union entre le Louvre et la ville. e 1664, andré Le nôtre avait imaginé un jardin pour le roi, conçu notamment pour être perçu depuis le premier étage du palais – l’étage noble depuis ce point de vue, il était à l’époque possible de profiter d’une grande perspective sur la colline de chaillot et, plus près, sur trois bassins qui semblaient de taille égale – il s’agissait en réalité d’un effet d’optique car, sur le terrain, le bassin le plus éloigné était plus grand que les deux autres. cette perception unique a disparu à la fin du x x siècle en 1871, le « balcon sur le jardin » a été détruit par l’incendie qui a ravagé l’ensemble du palais des Tuileries ; l’année suivante, la terrasse créée par a ndré Le nôtre a été remplacée par une rue séparant le Louvre des Tuileries. avec les travaux du Grand Louvre, entre 1986 et 1989, cette rue est à nouveau effacée, reléguée en souterrain, ce qui permet de retrouver la continuité de la promenade entre le musée et le jardin. Mais l’enfouissement de l’ouvrage a également entraîné une élévation du niveau du sol circulé. cette contrainte a stimulé la créativité des concepteurs lauréats, qui ont proposé de recréer une terrasse sur la voie enterrée et d’accentuer son dénivelé avec le jardin en abaissant son altitude ainsi, du haut des marches du « grand degré l’escalier qu’ils ont conçu pour relier la nouvelle terrasse au jardin –, il redevenait possible de percevoir l’illusion d’optique donnée par les trois bassins et d’apprécier d’une manière nouvelle la grande perspective sur l’a rc de triomphe. Par cette innovation spatiale, les paysagistes donnaient à lire un paysage historique et restituaient au public des sensations qui avaient été perdues.
Des préoccupations écologiques pionnières et une interprétation inventive du fleurissement traditionnel Les recherches d’elsa durand révèlent en outre que les lauréats du projet de réhabilitation ont cherché à rendre le jardin plus frais et plus planté. ils ont été très avant-gardistes dans leur choix de plantes et d’arbres privilégiant ceux qui étaient peu gourmands en eau, en prévision du réchauffement climatique. dans leur volonté d’augmenter la part du végétal, ils se sont employés à esquisser des « bandes forestières » dans les allées des surfaces plantées qui devaient permettre de capturer les eaux superficielles, de réduire 4. Avant le concours de 1990, le jardin des Tuileries s’étalait en pente douce depuis l’ancien palais jusqu’à la place de la Concorde. 5. Chêne vert Quercus ilex mûrier Morus sp. palmier de Chine Trachycarpus fortunei
2018 https://urlz.fr/j9QD
Conférence donnée au Louvre dans le cadre du colloque Pascal Cribier : dans les pas d’un jardinier.
2021 https://urlz.fr/j36n
Article rédigé avec I. Glais, in S. Caccia Gherardini, M. Adriana Giusti, C. Santini, (eds.), Giardini Storici. Esperienza, ricerca, prospettive a 40 anni dalle Carte di Firenze, Firenze University Press, vol. 1, p. 216-221.
> Rédaction d’un mémoire de recheche sur le projet de rénovation du jardin des Tuileries (1990-2000).
En 2016, j’ai réalisé une recherche pour la Direction du patrimoine architectural et des jardins du musée du Louvre. Cette étude menée auprès d’Isabelle Glais et sous la direction de Chiara Santini retrace l’histoire de la rénovation du jardin des Tuileries menée par Pascal Cribier, Louis Benech et François Roubaud dans le cadre du Grand Louvre. J’y analyse le renouveau que ce projet a accompagné et stimulé.
Cette recherche a été valorisée dans le cadre d’articles et de deux conférences, l’une au Louvre en 2018 et l’autre dans le cadre d’un colloque sur les jardins historiques à Florence en Italie en 2021.
Hotel Particulier Lebrun.
Photographie et extrait du dossier de permis.
©LBA
Chargée de projets pour l’agence d’architecture LBA.
En 2015, j’ai travaillé en tant qu’architecte au sein de l’agence LBA fondée par Laurent Becker (ingénieur-architecte) et Marie Mallard (historienne et décoratrice). Réalisation de relevés, conception, permis de construire, suivi de chantiers.
Hôtel particulier Lebrun, 75005 Paris.
• rénovation et reconversion d’un hôtel particulier de 1200 m2 datant du début du 18e siècle (de bureaux à espace événementiel ) ;
• décloisonnement, restitution et prolongement de l’escalier monumental d’origine, mise aux normes ERP.
• relevé, faisabilité, APS, APD et dossier de PC ;
Appartement rue des Martyrs, 75009 Paris :
• rénovation complète d’un appartement de 89m2 : décloisonnement, pose de parquet de récupération, cuisine, bibliothèque en chêne, dressings, plan éléctrique ;
• relevé, conception, rédaction du cahier des charges de travaux et suivi du chantier.
Appartement rue de l’Assomption, 75016 Paris :
• rénovation d’un appartement de style art décoratif de 300 m2
• Relevé, restitution 2D et 3D de l’existant, rédaction du cahier des charges de travaux.
Entrepôts, Courbevoie :
• faisabilité pour la reconversion d’un entrepôt industriel de 1200 m2 en 12 logements à Courbevoie.
La Croix-Valmer, 83420 :
• faisabilité pour une villa d’habitation.
Appartement rue le Bua, 75020 Paris :
• faisabilité pour la conversion d’un commerce en logement.
La pièce d’eau dans la ville nouvelle de Marne-la-Vallée.
Analyse de démarches urbaines et paysagères plurielles à partir de l’étude de trois bassins de rétention d’eau de pluie.
Dossier réalisé avec Tiphaine Deheul.
Amel Louail, Maria F. Serna.
Entre 2015 et 2016, j’ai suivi le masterThéorie et démarche du projet de paysage à l’ENSP de Versailles. J’y ai suivi les unités d’enseignement suivantes : histoire et critique du projet de paysage ; approches géographiques, historiques et écologiques des paysages d’interface ; agriurbanisme ; démarches paysagistes et politiques publiques de paysage en Europe et démarches patrimoniales de gestion des paysages.
Plusieurs travaux, rendus sous la forme de notes écrites ou de mémoire, ont été réalisés dans ce cadre :
• Le jardin des Tuileries, 1990-2000, un laboratoire de créativité ? mémoire de recherche sous la direction de Chiara Santini, en partenariat avec Le Louvre.
• Xynthia à Boyardville et à la Perrotine. Des zones de solidarité aux possibles prises en mains locales des espaces qui en résultent. Note critique sur la gestion du risque post -Xynthia.
• Chronique de la gestion foncière des terres agricoles du plateau de Saclay - dossier réalisé avec Alexia Lagorce.
• Prospective et fiction : en avant pour Cravent ! - dossier réalisé avec Maria Fernanda Serna.
• La pièce d’eau dans la ville nouvelle de Marne-la-Vallée- dossier d’enquête réalisé avec Maria Fernanda Serna, Amel Louail, Tiphaine Deheul.
Ma formation initale est l’architecture. J’ai été diplômée de l’École d’architecture et de paysage de Bordeaux en 2014.
• Diplôme d’État d’architecte : Rion-des-Landes : Résilience d’un village-rue, avec Alexia Menec, sous la direction de Patrick Henry. Dans un village industriel des Landes, ce projet, réalisé en binôme, propose de mettre en place des scénarios dont les activités initient une réaction aux situations économiques et écologiques actuelles.
• Mémoire de master : Les politiques publiques d’aménagement touristique de la Côte Landaise, 1960-2013. Sous la direction de Fanny Gerbeau. Étude portant sur les politiques publiques d’aménagement touristique de la côte landaise et sur les débats qu’elles ont fait naître.
• Portfolio 2015 : https://issuu.com/elsadurand