ballet
DIRECTION ARTISTIQUE ANIK BISSONNETTE
SPECTACLE ANNUEL Salle Pierre-Mercure Centre Pierre-Péladeau de l’UQAM
photo PETER MORNEAU | design DENIS POUCET | coordination LILI MARIN
26 27 28 MAI 2016
de
Madame Ludmilla Chiriaeff
rêvait grand.
Dès son arrivée à Montréal, elle fait œuvre de pionnière, donnant à la société québécoise une première compagnie de danse classique, les Grands Ballets Canadiens, et un premier établissement national entièrement voué à la formation professionnelle de danseurs. L’École supérieure, incorporée à la demande du ministère des Affaires culturelles du Québec en 1966, poursuit toujours la mission de cette visionnaire.
FIER COMMANDITAIRE DE L’ÉCOLE SUPÉRIEURE DE BALLET DU QUÉBEC
Photo : Serge Beauchemin
CRÉÉ POUR PERFO RMER
Corps de ballet 2016 | Messages
J’ai le grand plaisir de m’associer à la soirée historique marquant les 50 ans de l’École supérieure de ballet du Québec, symbole d’excellence, de rigueur et de tradition. Avec cette prestigieuse institution, le gouvernement du Québec, par l’entremise du ministère de la Culture et des Communications, dispose d’un partenaire privilégié pour former la relève en ballet professionnel et pour promouvoir la danse classique auprès de la population. Je tiens à remercier Anik Bissonnette et toute l’équipe de l’École supérieure de ballet du Québec, qui portent cette noble mission avec dévouement, une intense conviction et un inconditionnel amour de la danse. Grâce à leur passion contagieuse, ces professionnels de la danse amènent les jeunes à croire en eux, à exprimer toutes les facettes de leur talent et à aller ainsi au bout d’eux-mêmes et de leur rêve. Je souhaite que cette soirée soit une source de grande fierté et d’accomplissement. Bon spectacle et longue vie à l’École supérieure de ballet du Québec!
Luc Fortin Ministre de la Culture et des Communications et ministre responsable de la Protection et de la Promotion de la langue française Ministre responsable de la région de l’Estrie
Corps de ballet 2016 | Messages
À titre de ministre du Patrimoine canadien, j’offre mes meilleurs vœux à l’École supérieure de ballet du Québec à l’occasion de son 50e anniversaire. Depuis qu’elle a vu le jour, cette grande institution a formé de nombreuses générations de danseurs en leur prodiguant un enseignement de haut niveau, entièrement en français. La qualité de cette formation transpirera d’ailleurs ce soir, quand les diplômés fouleront la scène de la salle Pierre-Mercure. L’École s’est aussi donné pour mission de transmettre la passion de la danse en proposant aux jeunes et aux jeunes de cœur des cours et des ateliers récréatifs. Voilà une belle façon de contribuer à la vie culturelle de Montréal. Merci et bravo à tout le personnel et aux étudiants de l’École. Bon spectacle!
L’honorable Mélanie Joly Ministre du Patrimoine canadien
Corps de ballet 2016 | Messages
Corps de ballet 2016 | Messages
Depuis plus d’un demi-siècle, l’École supérieure est la seule institution francophone en Amérique du Nord à offrir une formation de ballet de calibre international. Elle prépare avec mæstria les jeunes générations à s’illustrer sur nos scènes et celles du monde entier. C’est grâce à des institutions comme l’École supérieure que Montréal est devenue la métropole culturelle qu’on connaît et l’une des capitales mondiales de la danse. La grande première de Corps de ballet promet d’être un spectacle remarquable. La tradition d’excellence de l’École supérieure s’y manifestera encore une fois, pour le plus grand plaisir des amateurs. Félicitations à toute l’équipe et bonne soirée à tous.
Denis Coderre Maire de Montréal
Les écoles réunies au sein de l’ADÉSAM se démarquent pour leur rigueur, leur niveau d’excellence et d’exigence en matière d’enseignement de leurs différentes disciplines artistiques. Elles offrent une formation de haut niveau, renouvelée et de pointe, et collaborent à l’avancement et au développement de leurs secteurs disciplinaires. Nous profitons donc de cet anniversaire pour applaudir le travail de l’École supérieure de ballet du Québec, spécialement de sa directrice artistique Anik Bissonnette et de son directeur général Alix Laurent. En mariant tradition et modernité pour toujours nous étonner et nous éblouir, vous gardez bien vivant et actuel l’art du ballet. De l’ADÉSAM, nos sincères félicitations pour 50 ans d’excellence et de succès!
Michel G. Desjardins Président du conseil d’administration
Photo : L’inis
À l’occasion de son 50e anniversaire, j’offre mes plus sincères félicitations à l’École supérieure de ballet du Québec.
L’Association des écoles supérieures d’art de Montréal (ADÉSAM) est très fière de compter l’École supérieure de ballet du Québec parmi ses membres. Premier établissement de la province entièrement voué à la formation professionnelle de danseurs, l’École supérieure est un monument dans le paysage culturel québécois. Sa contribution à la formation de danseurs classiques depuis maintenant 50 ans est remarquable. Son expertise est large, s’étendant de l’enseignement auprès des plus jeunes à la formation des enseignants.
Corps de ballet 2016 | Messages
J’ai souvent eu l’occasion d’observer nos danseuses et danseurs en train de s’exercer à exécuter une chorégraphie. La détermination qu’ils y mettent, faite de concentration, d’efforts physiques répétés et de discipline constante m’impressionne. Voir autant de passion pour cet art difficile qu’est la danse classique me touche fois après fois. Je souhaite que ce soir vous partagiez avec moi cette émotion. Voilà plus de dix ans que j’œuvre au sein de l’École supérieure de ballet du Québec, dont les trois dernières années à titre de président de sa Fondation. Les objectifs de la Fondation sont essentiellement d’amasser les fonds nécessaires pour offrir des bourses à des candidats qui ont le potentiel de devenir les grands danseurs de demain, mais qui n’auraient pas autrement les moyens de le faire; aussi de permettre à l’École supérieure de recruter les meilleurs chorégraphes qui sont les mentors et modèles dont nos jeunes ont besoin. Nous visons enfin à donner à notre institution un cadre physique plus approprié. Ce projet s’inscrit dans nos objectifs des deux prochaines années.
Corps de ballet 2016 | Messages
Au début de l’année 2000, ma fille Gabrielle, qui avait alors cinq ans, réussit à convaincre sa mère et moi, après beaucoup d’insistance, de l’inscrire à des cours de ballet. Cette inscription plutôt banale déclencha la passion d’une vie chez Gabrielle (qui, tout comme un grand nombre de diplômés de l’École supérieure de ballet du Québec, danse maintenant professionnellement) et m’a ouvert les yeux sur un remarquable champ d’activité que j’ai le privilège d’observer de près depuis 16 ans. J’ai appris à travers ces observations que la passion d’un aspirant danseur de ballet est indubitablement authentique et n’est surpassée que par l’intense discipline personnelle, la détermination et la résilience nécessaires pour réussir. Dans un monde où le cynisme et l’obsession du gain matériel semblent tristement trop présents parfois, c’est une leçon d’humilité touchante et rafraichissante que de voir autant d’étudiants de l’École supérieure s’efforcer de parfaire leur talent en danse en s’engageant dans un parcours qui, outre les succès en danse, leur permet d’acquérir d’importantes habitudes personnelles et compétences essentielles qui leur assureront du succès dans tout ce qu’il entreprendront dans le futur.
Cinquante ans ont passé depuis que Madame Chiriaeff a fondé l’École supérieure. Elle nous a laissé en héritage sa passion non seulement pour la danse, mais aussi pour la formation d’élèves qui en assureront la pérennité. Elle inspire à ce jour tous ceux qui oeuvrent au sein de l’École supérieure et qui en font une de nos grandes institutions québécoises. Merci de nous appuyer par votre présence et par vos dons.
La passion et la persévérance des étudiants de l’École supérieure ne sont égalées que par le dévouement et le professionnalisme de la faculté et de son équipe de direction des plus réputées. Bien que l’École supérieure ait déjà une longue histoire de succès, j’entrevois un avenir encore plus prometteur et je suis honoré d’être associé à sa Fondation. Je vous encourage à vous intéresser à ses activités que vous trouverez, tout comme moi j’en suis certain, admirables et inspirantes.
Jean-Paul Bellon Président de la Fondation de l’École supérieure de ballet du Québec
Pierre Chenard Président de la campagne de financement 15-16 Fondation de l’École supérieure de ballet du Québec
Voilà maintenant plus d’un demi-siècle qu’une immigrante, arrivée à Montréal avec pour essentiels bagages sa passion et sa détermination, a fondé ce qui allait devenir et demeurer la seule institution francophone en Amérique du Nord à offrir une formation professionnelle en danse classique de calibre international. En 2016, l’œuvre de Madame Ludmilla Chiriaeff est reconnu et célébré. C’est la raison pour laquelle nous lui rendons hommage ce soir. L’excellence de l’enseignement prodigué par des professeurs chevronnés permet à nos élèves de se distinguer parmi les meilleurs, au Québec et à l’étranger. Nous leur souhaitons tous de faire leur chemin dans le monde des arts, comme l’ont fait avec brio de nombreux diplômés de l’École supérieure. Deux d’entre eux se produiront sur scène ce soir, et d’autres ont bien voulu profiter de ce cinquantième anniversaire pour livrer des témoignages que vous retrouverez dans les pages suivantes. Enfin, vous verrez plusieurs diplômés sur de magnifiques photos d’archives que nous avons tirées des précieuses collections de la Bibliothèque de la danse Vincent-Warren. L’avenir s’annonce radieux pour les deux institutions sœurs fondées par Madame Chiriaeff. L’École supérieure désire souligner l’héritage laissé par Gradimir Pankov à titre de directeur artistique des Grands Ballets Canadiens, et est heureuse d’accueillir son successeur, Ivan Cavallari. Nous nous réjouissons également que les Grands Ballets Canadiens emménagent l’an prochain dans l’édifice Wilder, un nouvel espace dédié à la danse érigé dans le Quartier des spectacles. L’École supérieure, à son tour, se dotera d’installations à la hauteur des talents qu’elle attire.
Corps de ballet 2016 | Messages
Le programme-souvenir que vous tenez entre vos mains revêt pour nous une importance historique. Non seulement rassemble-t-il quelques bribes de la formidable aventure qu’est l’École supérieure de ballet du Québec, mais il donne une matérialité aux travail quotidien accompli depuis plus de 50 ans par des amoureux de la danse, un art de par nature éphémère. Il s’agit d’un hommage — incomplet, il va sans dire — à toutes les personnes qui se sont épanouies, d’une manière ou d’une autre, en passant, plus ou moins longtemps, à l’École supérieure.
devant la Maison de la danse du Québec Ludmilla-Chiriaeff, ce programmesouvenir veut témoigner de l’empreinte indélébile que Madame a donnée au paysage culturel québécois.
Sur le plan symbolique, ce document prend le relais de la trace chorégraphique que nous avons dévoilée le 25 avril dernier pour donner le coup d’envoi des célébrations de notre 50e anniversaire. Comme ces pas imprimés sur le trottoir
Nous vous remercions d’être des nôtres pour ce grand événement, que nos élèves, nos professeurs, nos pianistes, tous les membres de l’administration ainsi que ceux du conseil ont mis tout leur cœur à préparer. Bon spectacle!
Au nom du conseil d’administration, j’aimerais féliciter la direction, le personnel et les élèves de l’École supérieure qui, tous, font honneur à Madame, une pionnière et une artiste visionnaire qui ne cesse de nous inspirer.
Madeleine Féquière, CCP Présidente du conseil d’administration de l’École supérieure de ballet du Québec
Anik Bissonnette Directrice artistique Alix Laurent Directeur général
Ce spectacle spécial est également l’occasion de revisiter notre répertoire pour vous présenter nos plus beaux ballets. Évidemment, Le Lac des Cygnes, classique parmi les classiques, en fait partie. C’est aussi le moment de vous montrer des chorégraphies d’aujourd’hui, tout cela afin que vous puissiez apprécier la polyvalence de nos danseurs de demain.
Photos : Peter Morneau
Corps de ballet 2016 | Messages
50e anniversaire - Témoignages
50e anniversaire - Témoignages
With a solid base in classical ballet the program has expanded to include up to date advances in dance training which have evolved radically over the last years. Currently directed by a worthy heir, prima ballerina, Anik Bissonnette, the school continues to form dance artists who receive the solid base that years of training on a professional level enables them to emerge as worthy participants in our rich artistic heritage.
Sylvain Lafortune dans les anciens studios de la rue Queen-Mary.
L’École supérieure de ballet du Québec célèbre son cinquantième anniversaire cette année. Il s’agit du legs d’une grande dame de la danse au Québec : Ludmilla Chiriaeff. Cette pionnière visionnaire a construit une compagnie de ballet, les Grands Ballets Canadiens, et, consciente de l’importance de nourrir cette institution avec des artistes formés dans un style cohérent, a mis en place une formation professionnelle avec un programme complet basé sur les modèles fournis par les grandes écoles de ballet du monde : l’École de danse de l’Opéra national de Paris, l’école Vaganova en Russie, la Royal Ballet School en Angleterre, etc. Avec une base solide en ballet classique, le programme s’est développé pour inclure les dernières avancées dans la formation en danse, laquelle a grandement évolué au cours des dernières années. Actuellement dirigé par une digne héritière, l’ex première danseuse Anik Bissonnette, l’école continue de former des artistes qui, grâce à des années d’entraînement de niveau professionnel, peuvent émerger comme des acteurs de premier plan pour enrichir notre riche patrimoine artistique.
Photo : Michael Slobodian
Albert Sebe et Vincent Warren préparent le spectacle annuel de l’École supérieure, en 1989.
Mes cours se donnaient les soirs et les fins de semaine. Je mangeais dans l’autobus en m’y rendant et rentrais chez moi souvent après 21 h. Une de mes camarades rentrait comme ça jusqu’à St-Bruno. Pas de programmes danse-études, pas de diplômes, mais on se sentait privilégiés parce que nos conditions étaient déjà meilleures que celles de la génération précédente. Le bon vieux temps, il me semble. Et quarante ans plus tard, qu’est-ce que je retiens de mon passage à l’École supérieure? J’y ai vécu mon adolescence, ce moment de la vie où on se forme une identité, ou plutôt, où son identité latente prend enfin forme à travers des choix de plus en plus conscients, délibérés, assumés. J’y ai trouvé amitié, amour, inspiration. Si la danse est ma vocation, l’École supérieure est ma famille, mon lieu de naissance artistique. Chez tous ces jeunes qui choisissent aujourd’hui de vivre leur adolescence à l’École supérieure de ballet du Québec, je reconnais la même passion, la même camaraderie, le même sentiment d’appartenance… même si leurs conditions sont déjà meilleures que celles que j’ai connues.
Photo : Michael Slobodian
Danseur, enseignant et théoricien
J’ai appris à danser dans les années 70, d’abord à l’Académie des Grands Ballets Canadiens, au 4e étage d’une vieille école, rue Coolbrook. Les cours se donnaient dans des salles de classe pas très grandes, sur un plancher en tuiles de prélart. Puis, en progressant, on traversait en face, pour aller à l’École supérieure, rue Queen-Mary. Là, on utilisait les studios de la compagnie et, souvent, on y croisait nos danseurs préférés. Juste en dessous, il y avait un magasin de porcelaine dont la marchandise vibrait sous le regard inquiet des clients quand la classe de ballet au-dessus sautait à l’unisson.
SYLVAIN LAFORTUNE
VINCENT WARREN
C.M. Danseur, conservateur et historien
L’École supérieure de ballet du Québec celebrates its fiftieth anniversary this year. It stands proudly as a testament to the dream of that great lady of Québec dance : Ludmilla Chiriaeff, a visionnary pioneer who built a ballet company, Les Grands Ballets Canadiens, and knowing the importance of furnishing that institution with artists trained in a cohesive style, established a professional training program with a comprehensive syllabus based on the models furnished by the world’s great ballet schools. L’École de danse de l’Opéra national de Paris, the Vaganova School in Russia, the Royal Ballet School in England, etc.
50e anniversaire - Témoignages
50e anniversaire - Témoignages
Ph. D. Historienne de la danse - Université du Québec à Montréal
Espérer un jour s’accomplir à travers la danse! Le défi est grand pour n’importe qui, mais il l’est encore davantage quand, petite, on vit loin des grandes concentrations de la vie artistique québécoise. On regarde chez soi les émissions de télé qui nous transportent dans des univers féériques, on laisse tourner inlassablement les musiques de ballet sur le tourne-disque, on assiste aux représentations des compagnies qui osent transiter dans des lieux plus ou moins adaptés pour les accueillir en région. Et on rêve… On s’imagine faire partie de cette grande communauté d’artistes dont le don est celui de faire vibrer tous les sens et l’imagination par le corps. 1
MARIE BEAULIEU
C’est l’École supérieure des Grands Ballets Canadiens qui m’a permis de me rapprocher de ce rêve. Dans ma ville, au nord du Québec, venaient chez nous, bon an mal an, les enseignantes de l’école (pas encore déterminée comme nationale) pour distribuer des bourses : celles qui nous reliaient à la possibilité de danser pour vrai. Si on en obtenait une, c’était le signe que l’on avait un peu de talent et que notre passion pouvait s’épanouir dans les meilleures conditions : des grands studios bien équipés, des pianistes, des cours de toutes sortes adaptés à ce qu’il fallait pour que l’on parvienne au monde professionnel. Après, ça ne dépendait que de nous. J’ai obtenu plusieurs bourses d’été pour finalement accepter à 15 ans une bourse annuelle. Le choc a été à la fois grisant et apeurant, mais c’était la chance que j’ai saisie, même si la conséquence en a été de m’éloigner de ma famille et, pour elle, de me laisser partir. Ce prix m’a quand même permis de m’épanouir tout au long de ma vie à travers l’art de Terpsichore. Je n’ai jamais manqué de travail. Plusieurs générations de passionnés ont pu entamer une carrière professionnelle en danse grâce à la vision de Ludmilla Chiriaeff qui avait obtenu le financement du gouvernement provincial dans les années 70 pour distribuer des bourses d’études partout au Québec. Elle savait qu’elle ouvrait des portes à de jeunes recrues et faisait confiance au fait que son enseignement produirait des têtes instruites et des corps davantage formés. C’était le départ nécessaire pour envisager, un tant soit peu, une vie dans l’univers de la danse. Le tremplin était 1
Photo : Émilie Tournevache, service de l’audiovisuel de l’UQAM
Nom de l’École supérieure en 1966
d’abord de faire ses classes pour atteindre le plus haut niveau d’excellence et accéder à la compagnie. Mais par la suite, même si ce n’était pas possible, combien d’entre nous ont pu se réaliser autrement et s’impliquer d’une façon ou d’une autre suite à une première formation rigoureuse : enseignant, critique, répétiteur, thérapeute, concepteur, archiviste et j’en passe. D’avoir étudié à l’École supérieure des Grands Ballets Canadiens a édifié une grande part des fondements de ma carrière de par la formation en elle-même, mais aussi grâce à la proximité quotidienne avec la compagnie de l’époque. Cela a fait la différence dans mon parcours. Contempler de vrais professionnels en train de travailler, apprendre à les connaître, regarder les œuvres se définir au fil des jours, apprécier la virtuosité technique et expressive de mes idoles a constitué une émulation incroyable. J’ai tellement été marquée par les impressions de cette période qu’elle a constitué la base de mon sujet de thèse doctorale. Je voulais replonger dans les émotions de l’univers inspirant d’alors et mieux comprendre les dynamiques artistiques et relationnelles qui m’avaient échappé en raison de mon âge et de mon inexpérience. Ainsi j’ai pu constater combien est précieuse la collaboration entre l’École supérieure et la compagnie des Grands Ballets Canadiens. Rappelons-nous, comme je l’ai indiqué plus tôt, que la première dénomination de l’école liait les deux institutions. Historiquement c’est significatif de la volonté de Ludmilla Chiriaeff et conforme à sa vision. Rien ne peut valoir la force de l’exemple, du dépassement et de la dévotion à son art. Aujourd’hui, le vœu le plus cher que j’exprime pour les générations qui transiteront par l’école est de ressentir la même exaltation issue de ces moments précieux, éprouvée au contact de leurs modèles. Elle laissera, sans aucun doute, une impression profonde chez chacun d’eux et deviendra le moteur de toute leur vie. La plus belle des destinées à l’École supérieure de ballet du Québec!
Prise à l’Académie de ballet du Saguenay en 1972, cette photo de Marie Beaulieu a servi à la publicité de spectacles.
50e anniversaire - Témoignages
Si je pense à l’École supérieure à 50 ans, j’imagine ses débuts. J’avais seulement 8 ou 9 ans les seules fois où j’ai été en contact avec Madame Chiriaeff, mais je m’en souviens clairement. Elle venait quelques fois dans la classe et, lors d’une de ces visites, elle amena avec elle une chandelle. Elle voulait « inspirer la flamme de la danse en nous ». Trente ans plus tard, je peux toujours réciter une de ses phrases : « La danse, c’est le mouvement et le mouvement, c’est la vie… » J’ai été formé à l’école pendant huit ans. Susan Toumine, Charmaine Turner, Vincent Warren et M. Seillier entre autres, ont réussi à moduler mon incessante énergie et à la diriger vers la danse. Ma personnalité fut forgée par mes collègues danseurs et amis qui inventaient eux aussi leurs futurs. De ceux-ci, mes camarades Yannick Matthon et Patrick Lavoie, qui ont eu de magnifiques carrières en danse et qui font toujours partie de ma vie, sont sûrement les plus coupables de ma direction. M. Seillier nous appelait les Trois Grâces, pas du tout pour notre beauté, mais seulement pour notre façon de comploter à créer le chaos ensemble. L’École supérieure nous contenait sans toutefois détruire notre flamme, indispensable pour l’artiste. Après une carrière professionnelle de 20 ans en tant que premier soliste et, par la suite, artiste principal au Ballet national du Canada, je me sens très reconnaissant de l’acharnement d’une pionnière à bâtir une école de premier rang au Québec. « … puisque tout ce qui danse bouge et respire… »
En 1966, la «petite» Lucie Boissinot débutait sa formation à l’Académie des Grands Ballets Canadiens, section Québec.
Patrick Lavoie et Étienne Lavigne. Après-vous est une chorégraphie de Stéphanie Gilbert sur une musique de Johannes Brahms, elle fut présentée lors du spectacle annuel de l’École supérieure.
Plus tard, je crois que j’avais 11 ans, ma mère devenue membre du comité féminin des Grands Ballets Canadiens à Québec s’est vu confier la tâche d’accompagner Madame Chiriaeff à l’occasion des examens annuels. Maman adore me raconter qu’à un moment durant la classe de ballet, Madame s’est penchée vers elle en pointant le doigt vers moi et lui a demandé : «Qui estelle? Elle ira loin cette petite!». Au fil des ans, par différentes initiatives, Madame m’a encouragée et supportée dans la poursuite de l’aventure vers la maîtrise de son art. Entre 17 et 20 ans, j’ai eu le très grand privilège d’être de la formation préprofessionnelle à Montréal. Nous partagions les mêmes studios que les Grands Ballets Canadiens qui comptaient 52 danseurs à l’époque! Il y avait tant de danse, tant de vie, dans ce lieu sis sur la rue Queen-Mary! L’émulation, la stimulation et les transports de l’âme suscités par cette cohabitation étaient mon pain quotidien. Que d’heures passées dans les cadres de porte à m’imprégner de danse! C’est précisément là que j’ai rencontré la danse moderne grâce à l’audace des directeurs artistiques Linda Stearns et Daniel Jackson. La cohabitation faisait école! Les maîtres également. Je me souviens surtout de Jacqueline Lemieux-Lopez, Andrée Millaire, Eva von Gencsy, Claude Champoux, Bill Griffith, Reynald Rabu et Linda Stearns qui donnaient la classe de la compagnie... Et puis un jour, organiquement, on joignait la compagnie. Nous étions plusieurs danseurs québécois alors…
LUCIE BOISSINOT
ÉTIENNE LAVIGNE
Artiste principal - Ballet national du Canada Directeur général - Festival des arts de Saint-Sauveur
Lucie Boissinot en Orientale pour Casse-Noisette, avec les Grands Ballets Canadiens.
À 20 ans, après un bref séjour au sein de la compagnie, ayant dansé entre autres, Carmina Burana et CasseNoisette de Fernand Nault, Les quatre tempéraments et Sérénade de Balanchine, j’ai choisi la danse moderne et suis partie en quête. Depuis, j’ai toujours gagné ma vie par la danse. Comment ne pas me sentir immensément redevable à Madame Ludmilla Chiriaeff et à son acharnement à implanter cette école québécoise qui avait pour dessein d’alimenter la compagnie qu’elle avait fondée en sol québécois? Photo : Sian Richards Courtoisie du Ballet national du Canada
Directrice artistique et des études - École de danse contemporaine de Montréal
50e anniversaire - Témoignages
Photo : Luc Lavergne
50e anniversaire - Témoignages
50e anniversaire - Témoignages
J’ai toujours voulu danser et, à 16 ans, le fait de me retrouver dans une école de haut calibre, telle que l’École 1 supérieure de danse du Québec , représentait pour moi une chance et un privilège. J’étais timide et réservée. Je n’étais pas la plus douée, mais j’étais là où je voulais être.
Interprète et enseignante
Avec le recul, je m’y vois autre, mais je comprends que c’est plutôt que je m’y vois « en devenir », jonglant avec les composantes de ce que cette posture impliquait : les élans de bonheur et d’élévation que la danse me procurait, et les grandes incertitudes face à la question : vais-je danser? Mais, de ces années à l’école, de 1979 à 1982, je retiens surtout le sentiment d’exister pleinement, dans la construction de cet être en danse, au cœur des turbulences du début de l’âge adulte.
SOPHIE CORRIVEAU
L’École supérieure, c’était pour moi un établissement fort, avec un programme complet, stimulant, très exigeant, et il était absolument merveilleux d’en faire partie, de pouvoir s’y abandonner corps et âme avec confiance. J’y ai trouvé une famille et de l’espace pour me découvrir. J’y ai compris ce que c’était que de vouloir faire de la danse sa vie et s’y est affutée ma détermination à m’engager dans ce sens. Avec mes yeux d’alors, et encore d’aujourd’hui, l’école, c’était en premier lieu des artistes, de Madame Chiriaeff à chacun des admirables enseignants. Un amalgame de personnes dédiées, passionnées, qui voyaient la danse comme porteuse de l’être, et en ce sens essentielle; qui avaient fait de la danse leur vie et qui en nous transmettaient la poésie et la force. J’ai une grande envie aujourd’hui de rendre un hommage tout personnel à quelques personnes qui ont particulièrement marqué mon cheminement à l’École supérieure et ma façon de percevoir la danse par la suite : Vincent Warren, mon idole sur scène encore l’année avant mon arrivée à l’école et qui m’a appris beaucoup, du pas de deux à l’histoire de la danse. Cet artiste au regard sensible, pour qui la technique n’était pas une fin en soi, m’émouvait au plus haut point. Christine Clair, qui m’a fait comprendre que de danser était aussi être femme. Je lui suis reconnaissante d’avoir su semer alors en moi ce chemin d’épanouissement de l’être dans sa globalité. Daniel Seillier et sa voix tonitruante qui ont été comme une tornade dans mes sensations de l’époque. Son enseignement et son énergie me bousculaient, mais j’étais heureuse d’être bousculée. Et Madame Chiriaeff, 1
Photo : Alain Lefort
Nom de l’École supérieure en 1979
cette éminente femme, qui me disait que j’avais la fibre de la danseuse moderne, concept inconcevable pour moi à cette époque, mais qui a fait son chemin au fil du temps. Je danse toujours, à mon grand bonheur. Je le dois, entre autres, à la qualité de l’enseignement reçu, qui a su former un corps fort et résiliant. Je le dois aussi à la sensibilité des enseignants mêlée à la rigueur de leur enseignement, à leur intelligence, à leur passion de la danse qu’ils m’ont transmise. J’enseigne aujourd’hui, de façon régulière, à des étudiants qui ont à peu près le même âge que j’avais lors de mon passage à l’École supérieure. Je suis consciente que tout commentaire contribue à l’édification intérieure des jeunes artistes, que toute transmission de passion laisse des traces. En ce sens, l’École supérieure a été pour moi une inspiration et un apprentissage de vie à travers un enseignement qui a su lier les si immenses exigences d’un métier en danse et les compréhensions de l’être, par l’émulation et la culture d’un art. Bon anniversaire à l’École supérieure de ballet du Québec et à tous ses artistes et artisans!
Dans un studio des Grands Ballets Canadiens, rue Queen-Mary, de gauche à droite: Ligne du bas : Camille Bondoux, Anne-Marie Chayet, Sophie Bissonnette Ligne du haut: Jacinthe Normandeau,Gabriella Orbach, Sophie Corriveau, Virginia Cuke-Seeley, Claude Gagnon, Barbara Boudot, Nicole Lagarde, Vincent Warren
50e anniversaire - Témoignages
Chorégraphe et interprète indépendante Codirectrice artistique - Groupe RUBBERBANDance
C’est en 1987, à l’âge de 12 ans, que je suis entrée à l’École supérieure de ballet du Québec.
ANNE PLAMONDON
Un tout nouveau programme de danseétudes était lancé par sa fondatrice et directrice artistique, Ludmilla Chiriaeff. Native de Québec, j’étais la première étudiante à nécessiter une famille d’accueil afin de poursuivre mon rêve : celui de danser. Éloignée de ma famille, l’École supérieure est donc rapidement devenue mon ancrage et ma maison. En plus de me transmettre une solide formation en ballet classique, mes professeurs m’ont incité à voir plus haut et plus grand. Toujours. Ils ont été exigeants, rigoureux et persévérants quant à mon développement. Importante phase d’apprentissage dans la vie d’un danseur, la formation que j’ai reçue à l’École supérieure m’a permis d’accéder à une carrière de niveau international lorsque j’ai d’abord joint les Grands Ballets Canadiens en 1994, puis le Nederlands Dans Theater 2 en 1995. Deux qualités acquises pendant ma formation ont grandement influencé mon travail, et continuent de me propulser aujourd’hui : l’acharnement et la recherche de l’excellence. Je tiens à remercier Susan Toumine, Charmaine Turner, Caitlin Maggs, Christine Clair, Christiane Dufort, Vincent Warren et, bien sûr, le merveilleux et grand maître de ballet, du haut de ses 5’4”, M. Daniel Seillier. Ce sont eux qui constituent l’âme de l’École supérieure, et je ne garde que de bons souvenirs de cette période charnière de ma vie. Photos : Michael Slobodian
Fernand Nault arrivant aux studios, boul. St-Laurent, en 1965.
Outre l’effet sur la consommation culturelle, le ballet apprend aux jeunes la discipline et l’effort qui sont nécessaires pour atteindre des niveaux élevés d’excellence artistique. D’ailleurs, les étudiants que nous admettons à la maîtrise en management des entreprises culturelles à HEC Montréal performent aussi bien académiquement que les étudiants de notre programme de MBA. La grande rigueur et le travail acharné que requiert la pratique de la danse à un haut niveau, et on peut dire la même chose de la musique classique par exemple, prédisposent les jeunes à la réussite scolaire. C’est sans compter le fait que la pratique d’un art au primaire et au secondaire est souvent un élément majeur qui combat le décrochage scolaire. Pratiquer la danse classique pendant la jeunesse contribue donc à la formation de citoyens plus complets. Je souhaite longue vie à l’École supérieure, et qu’elle continue à former une relève de qualité pour la danse.
FRANÇOIS COLBERT
J’ai eu le plaisir de présider le conseil d’administration de l’École supérieure il y a plus de 30 ans de cela. La raison principale qui m’avait motivé à accepter cette charge bénévole est la mission même de l’école. L’art pratiqué dans l’enfance a des incidences sur toute la vie de la personne. Toutes les études sur les raisons qui motivent les gens à fréquenter les productions artistiques pointent vers la valeur associée aux arts transmise aux enfants. Ces valeurs sont transmises par la famille et par les enseignants à l’école, mais aussi par la fréquentation des arts en bas âge et la pratique d’un art. Ces quatre vecteurs sont les composantes des antécédents à la fréquentation de la culture à l’âge adulte.
Cette photo d’Anne Plamondon, datant de 1993, faisait partie d’une campagne publicitaire de l’École supérieure.
C.M., FRSC. Professeur titulaire en marketing des arts et de la culture Titulaire de la Chaire de gestion des arts Carmelle et Rémi-Marcoux et de la chaire UNESCO de management culturel. Codirecteur de la Master of Management in International Arts Management, HEC Montréal
50e anniversaire - Témoignages
50e anniversaire - Témoignages Jeu d’échecs, chorégraphie : Mário Radačovský.
MAUDE SABOURIN
Première soliste - Ballets de Monte-Carlo
De gauche à droite: Maude Sabourin, Geneviève Bolla, Sara Harton, Sophie-Estel Fernandez, Ève Boissonnault, Delphine Leroux (derrière), Émilie Gratton, Lisanne Goodhue, Alexandra Sojo.
de
ballet Cette photo me rappelle la petite famille soudée que nous étions! Je me rappelle de cette euphorie contagieuse qui nous habitait avant chaque spectacle parce que nous étions tellement heureux de vivre notre passion tous ensemble! Nous étions très proches et ces moment là font partie de moi! Notre passion commune nous a tous poussés vers le haut et je recommencerais demain si c’était à refaire! Photos : Ballets de Monte-Carlo
50e anniversaire | Spectacles
À sa création en 1877, au Bolchoï, à Moscou, ce ballet inspiré par la mythologie nordique, les légendes russes et l’imagination des poètes, n’obtient pas un grand succès. Plus de vingt ans s’écoulent avant que le public et la critique ne soient séduits par une nouvelle version de l’œuvre, présentée en 1895 au Théâtre impérial de Saint-Pétersbourg (aujourd’hui le Théâtre Mariinsky). Cette version s’est imposée depuis sur les scènes du monde entier.
1986
1989
2012
Chantal Dauphinais et Marc Lalonde
Marie-Josée Lecours et Erick Campos
Stéphanie Audet et Xavier Reigneau
Chantal est chorégraphe, danse toujours dans des comédies musicales et enseigne. Marc est directeur général du Conservatoire d’art dramatique et de musique du Québec.
Marie-Josée est bibliothécaire en chef à la Bibliothèque de la danse Vincent-Warren et Erick est directeur général de la Compañía Capitalina de Danza.
Stéphanie danse pour le Ballet-théâtre atlantique du Canada. Xavier fait désormais du génie biomécanique, spécialisé dans les genoux artificiels.
Le Lac des Cygnes fait partie du répertoire enseigné à l’École supérieure et a été présenté en spectacle à de nombreuses reprises.
1991
Vincente Hanot et Matthew Shilling Vincente enseigne l’éducation physique à Montréal, tandis que Matthew enseigne le ballet en Australie.
Photo : Michael Slobodian
Le prince Siegfried tombe amoureux de la princesse Odette, à qui le sorcier Rothbart a jeté un sort. La jeune femme est transformée en cygne, et seuls l’amour et la fidélité d’un homme pourraient la délivrer.
Photo : François Melillo
Acte II
« L’une des plus pures perles de toute l’œuvre chorégraphique russe » — Serge Lifar (1905-1986), danseur, chorégraphe et directeur du Ballet de l’Opéra national de Paris Photo : Dominique Durocher
Cygnes
Le Lac des
50e anniversaire | Spectacles
Corps de ballet 2016
Corps de ballet 2016
Cygnes
Le Lac des Acte II
Chorégraphie Lev Ivanov Musique Piotr Ilitch Tchaïkovski Mise en scène Muriel Valtat Répétiteurs Muriel Valtat, Christine Clair, Anik Bissonnette, Gaby Baars et Jean-Hugues Rochette Interprètes filles de 2e, 4e et 5e secondaire et du collégial Éléonore Thomas et Cohen Aitchison-Dugas ou Catherine Toupin et Bernard Dubois II ou Ève-Marie Dalcourt et Étienne Gagnon-Delorme
Chorégraphie Natalia Chatilova Musique Ivan Larionov Segey Trofanov (arr. et orchestration) Répétitrice Natalia Chatilova Interprètes primaire, 1re secondaire et garçons du secondaire
Âpre temps
Kalinka
Chorégraphie Robert Glumbek Musique Trentemøller Répétiteurs Andrea Boardman et Jean-Hugues Rochette Interprètes 2e et 3e collégial
E N T R A C T E
Chorégraphie Anne Dryburgh et Sophie-Estel Fernandez Musique Wolfgang Amadeus Mozart Répétiteurs Anne Dryburgh, Sophie-Estel Fernandez, Youri De Wilde, Nathalie Gérard, Christine Williams et Lesya Samar Interprètes primaire, secondaire et collégial avec la participation spéciale de Sylvain Lafortune
Mozart Suite
Jambes sans repos
Chorégraphie Andrew Skeels Musique Think of One ; Omar Souleyman Répétiteur Andrew Giday Interprètes garçons du secondaire et du collégial
Parties 1 et 2
Chorégraphie Jean-Christophe Maillot Musique Alexandre Nikolaïevitch Scriabine Interprètes Maude Sabourin, et Christian Tworzyanski, artiste invité
Ziguezon
Dov’è la luna
Chorégraphie Gioconda Barbuto Musique La Bottine souriante Répétiteurs Andrea Boardman, Sophie-Estel Fernandez et Youri De Wilde Interprètes 4e-5e secondaire et collégial
Chorégraphie Sophie-Estel Fernandez Musique La Bottine souriante Répétiteurs Sophie-Estel Fernandez, Youri De Wilde, Nathalie Gérard, Christine Williams et Anne Dryburgh Interprètes Tous les danseurs
Finale
Conception d’éclairage Martin Saintonge | Costumes Sonia Bayer | Direction technique Jean-Hugues Rochette
50e anniversaire | Spectacles
50e anniversaire | Spectacles
Mozart Suite
Natalia Chatilova a travaillé au sein de diverses troupes à Saint-Pétersbourg avant de s’établir au Québec et de se joindre à l’École supérieure, où elle enseigne les danses de caractère depuis 2005.
2011
Les élèves ont dansé Kalinka en 2009 et en 2011.
Âpre temps
Robert Glumbek signe une première œuvre pour l’École supérieure. Chorégraphe résident de la compagnie torontoise ProArteDanza, il s’est fait remarquer pour son travail, au Canada et en Europe. Il a notamment reçu le prix du meilleur chorégraphe en Pologne, son pays d’origine.
Sous la baguette d’un mæstro bien spécial, du menuet au concerto, les tableaux se succèdent, passant par toute une gamme d’émotions, de facéties et de couleurs.
Au centre, Paco Ziel est maintenant apprenti au Groupe RUBBERBANDance.
Suite Mozart est l’œuvre de deux professeures et diplômées de l’École supérieure, Anne Dryburgh et SophieEstel Fernandez. Elles composent régulièrement des ballets, non seulement pour les spectacles annuels, mais également pour des événements spéciaux, des concours et des concerts. Anne Dryburgh collaborera de nouveau avec le Big Band de l’Université de Montréal et son directeur musical Ron di Lauro pour un spectacle à la salle Claude-Champagne en décembre prochain. La chorégraphie que Sophie-Estel Fernandez a conçue pour Alice au pays des merveilles de l’Orchestre symphonique de Montréal sera aussi présentée de nouveau, à la Place des Arts le 13 novembre prochain. Lors de la création, c’est Jean-Sébastien Couture, diplômé de l’École supérieure, soliste aux Grands Ballets Canadiens, qui incarnait le mæstro.
2012
Photos : Michael Slobodian
Ce chant traditionnel russe, composé en 1860, est resté très populaire auprès des troupes folkloriques, même durant l’époque soviétique.
Photo : Michael Slobodian
Kalinka
50e anniversaire | Spectacles
50e anniversaire | Spectacles
Ziguezon
Ce ballet est la plus récente création que signe Gioconda Barbuto pour l’École supérieure. Celle qui a mené une longue et brillante carrière d’interprète, notamment au sein des Grands Ballets Canadiens et du Nederlands Dans Theater III, est une fidèle collaboratrice. Depuis les débuts du projet Un finissant, un chorégraphe, elle élabore des solos spécialement pour les étudiants qui terminent leur formation.
Photo : Michael Slobodian
Parties 1 et 2
Dov’è
Photo : Marie-Laure Briane
la luna
« Dans certaines mythologies, la lune est ce lieu de passage, entre la vie et la mort — entre la mort et la vie, ce lieu où se prépare une seconde naissance », dit JeanChristophe Maillot à propos de ce ballet créé en 1994. Toute en clair-obscur, cette pièce secoue le vocabulaire et la technique de la danse classique, que le chorégraphe pousse dans leurs ultimes retranchements.
Photo : Michael Slobodian
2015
Photo : Simon Bonnallie
Jambes sans repos
Vaccin antimorosité et voyage en accéléré, cette virevolte incessante est signée par Andrew Skeels, un chorégraphe de plus en plus prisé sur la scène internationale. À la version originale, offerte en 2015, s’ajoute une nouvelle partie. Il semble toutefois qu’il y ait eu un malentendu : cette nouvelle partie devait être plus tranquille…
2013
Mouvement oculaire rapide À gauche, Nicholas Bellefleur, aujourd’hui danseur pour Cas Public, et, à droite, Marilyne Cyr, est avec le Groupe RUBBERBANDance.
2014
Écailles Pier-Loup Lacour danse maintenant avec les Ballets Jazz de Montréal.
Revoyez les images du décompte sur notre compte instagram @ecole_superieure_de_ballet
4816, rue Rivard, Montréal (Québec) H2J 2N6 CANADA T. 514 849-4929 | F. 514 849-6107 | www.esbq.ca | info@esbq.ca
L’École supérieure de ballet du Québec | 2015-2016
L’École supérieure de ballet du Québec | 2015-2016
NOS ÉLÈVES
I
III
V
5e primaire
6e primaire
1re secondaire
1re secondaire
2e secondaire
3e secondaire
I - 1re Maxyme Lachance, Éloïse Chénier, Charlotte Carrier, Emma Monnier, Ania Jastrzebska, Adriana Diaconu, Angélie Gamache 2e DIANELA DUPOTEY VARELA, Anolan Amaté, Vlada Nozhkina, Sophie Groleau-Rouleau, Aïsha Tall, Loa Dinel, Maëlli Larose, Perry Lo II - Sera Bryce, Mila Divaret, Teija Patry, Sara Mili Larose Coco, Naïda Guérette-Lang, Gabrielle Chevalier, Aurélie Fortin, Lucie Cauchon, Tao Stone Leduc, CHRISTINE WILLIAMS, Praskovia Palgova, Lola Oliveras Lafrance, Anne-Frédérique Charland, Anaïs Roy, Florence Chouinard, Cassandre Leroux, Charlotte Ta III - Eva Greyeyes, Charlotte Elie, Sarah-Septembre Lavoie-Fortin, ANNE DRYBURGH, Meggie Cloutier-Hamel, Nahamie Blondin, Anastasia Sushko, Élora Boulard, Aurelia Kioko Varano, Victoria Wright, Elaine Gaertner, Lucie Froehlich IV - Tuesday Rain Leduc, Lauralie Dessureault, Eugénie Debay, Juliana-Solange GarciaCloutier, Mollie Drouin, Mélia Poulin, Alicia-Rose Couvrette, Alexie Morlot, Cassandra Beaudoin, Elyjah Robertson V - 1re Théa Makdessi, Karolyn Chen, Justine Grenier, Victoria Than, Millie Brinck-Dubuc 2e Phyllis Clark-Bautista, Juliette Foucault, Maude Fleury, Leticia Clark-Bautista 3e BEVERLEY AITCHISON, Yilin Hu, Rose-Marie Demers, Serina Petrella, Sara Kurz-Martin, Marc-André Lamirande, Florence Hughes VI - 1re Mia Bellemare, Frédérique Rosso, Anna Sanchez, Anouk Nolet 2e Emilie Anderson, Carrigan MacDonald, Daphnée Lachapelle, Maya Robitaille-Lopez, Léa Bonneau-Lefebvre, Corinne Garceau, Béatrice Mathieu, NICOLE LAMONTAGNE, Jean-François Duchesne
II
VII
IV
IX
VI
XI
Garçons juniors
4e secondaire
Garçons intermédiaires
5e secondaire et 1re collégial
Garçons seniors
2e et 3e collégial
VII - 1re Zao Dinel, Quentin Nabor, Antoine Charbonneau 2e Arnaud Mongeon, YOURI DE WILDE, Samaël Maurice, Kofi Dinel, LESYA SAMAR, Jimmy Lavallée VIII - 1re Fannie Gélinas-Gascon, Kaylie Terauds, Florence Tousignant, Caitlin Gabrielle Victoria, Sarah Dumoulin 2e Jean-François Duchesne, Isabelle Kienzle, BEVERLEY AITCHISON, Emma-Lynn MacKay-Ronacher, Tatiana Lerebours, Delia Clark-Bautista, Robin Mathes, Rachel Deulceux IX - 1re Matthieu Handfield, Jean-Philippe Poulin, Vahan Martirosyan, Aymerik Ikauno 2e Rathanna Than, ANDREW GIDAY, Théo Pagé-Robert, Lucie Cauchon, Adrian Batt X - 1re Diana Cherkashina, Marcela Leon, Valeriya Sharypkina, Catherine Parlee, Emma-Lynn MacKay-Ronacher, Sydnee Hall 2e Emileigh Sirois, Gabrielle Lachance, Elaine Gaertner, Pénélope Gervais, MURIEL VALTAT, Rose Trahan, Angelica Goode XI Bernard Dubois II, Kunal Ranchod, Alex Fehr, Cohen Aitchison-Dugas, SAMUEL ABRAMIAN, Étienne GagnonDelorme, Pierre-Émile Lemieux-Venne, Jordan Faye, Alexei Ludavicius XII - 1re Emily Joy Worton Soukonnov, Constance Aubry, Eléonore Thomas, Olivia Saint-Jacques 2e CHRISTINE CLAIR, Geneva Frampton, HindYasmine Guefif, Ève-Marie Dalcourt, Pauline Gervais, Sarah-Maude Laliberté, Mariya Kyrychenko, Louise Auclair Légende : PROFESSEUR | pianiste
VIII
X
XII
L’École supérieure de ballet du Québec | 2015-2016
L’École supérieure de ballet du Québec | 2015-2016
CONSEIL D’ADMINISTRATION FONDATRICE
PROGRAMMES PRÉPARATOIRE ET RÉCRÉATIF
Ludmilla Chiriaeff (1924-1996)
Christiane Allaire Coordonnatrice du programme récréatif - adultes
Josée Beauséjour Coordonnatrice des programmes préparatoire et récréatif - enfants
Pascale Lalonde Coordonnatrice des programmes préparatoire et récréatif - enfants
COMITÉ EXÉCUTIF
Professeurs Émilie Barrette Irma Bélanger-Laberge Paul Bertrand Emmanuelle Bourassa Beaudoin Manon Forget Claude-Anik Fortin Nathalie Gérard
Catherine Gonthier Pascale Grenier Véronique Joubert Alexandra Lacroix-Sauvageau Patricia Lapointe-Lafortune Marie Mougeolle Sylvie Normandin Chris Richmond
Assistantes Gianni Victoria Alvarez Éloïse Bastien Charlotte Delwaïde Alexandra Di Fruscia Alicia Chérie Gonzalez Marie-Claire Graneri Chloé Gravel Olivia Saint-Jacques Nicole Speare Ortiz
Enzo De Rosa Jean-François Duchesne Elaine Gaertner Estella Gimpilevich Sylvie Gosselin Simon Grégorcic Beguentch Gueldyev
Maryana Kostenko Svitlana Kostenko Marc-André Lamirande Perri Lo Alla Manukova Danielle Plamondon Francis Pomerleau Robert Swerdlow
Présidente Madeleine Féquière, CCP, CICP Directrice principale et chef du crédit d’entreprise, Domtar
Vice-président et trésorier Pierre A. Goulet Président Gestion Scabrini Inc.
Monette Malewski, FEA Présidente Groupe M. Bacal
Kathleen St-Pierre Directrice principale Deloitte
Secrétaire Chantal Bouvier Présidente-directrice générale Le Cercle des présidents du Québec
ACCOMPAGNATEURS MUSICAUX ADMINISTRATEURS Jean-Paul Bellon Président Gestion Jean-Paul Bellon Inc.
Natacha Engel, LL.M., M.S.V.D Nominations publiques, Cabinet du Premier ministre du Canada
Judith Ouimet Animatrice radio, critique de danse et narratrice
Elizabeth Crôteau Chargée principale, Programme profitabilité Québec, TELUS
Nadine Girault, BAA, MBA Directrice exécutive - Génération de revenus et développement Fondation One Drop
Michelle Proulx Conseillère artistique et administratrice
BIBLIOTHÈQUE DE LA DANSE VINCENT-WARREN
DIRECTION ET MEMBRES ASSOCIÉS Anik Bissonnette, O.C., C.Q. Directrice artistique
Alix Laurent, M.A.P. Directeur général
ÉQUIPE
Andrea Boardman Directrice associée programme collégial Anne Dryburgh Responsable - recrutement et liaisons communautaires Sophie-Estel Fernandez Responsable - productions artistiques Christine Williams Directrice associée - programme de formation d’enseignants et liaisons régionales Professeurs Samuel Abramian Rana Adada-Lamy Jacques Brochu Natalia Chatilova Christine Clair Jesus Corrales Youri De Wilde Dianela Dupotey Varela
Marie-Josée Lecours Bibliothécaire en chef
Josiane Fortin Archiviste
Chloé Bélanger St-Germain Bibliothécaire
Maude Arsenault-Martin Archiviste
Catherine Ratté-Girard Stagiaire
ADMINISTRATION, COMMUNICATIONS ET SERVICES AUX ÉLÈVES Claudine Balaux Directrice adjointe - services aux élèves et registrariat
PROGRAMME PROFESSIONNEL Beverley Aitchison Directrice des études
Margarita Aouslender Louise Auclair Ivan Bamyond Karine Betournay Isabelle Bruneau Lucie Cauchon Pierre Cormier
Pilar Espaillat Sarah Gibson Shawn Hounsell Catherine Lafortune Nicole Lamontagne Marie-Josée Lecours Marie-Stéphane Ledoux Jane Mappin Robin Mathes Hélène Melançon Eric J. Miles Jean-Hugues Rochette Mario Roy Lesya Samar Muriel Valtat Professeurs invités Joanna Abbatt Gioconda Barbuto Marc Boivin Roberto Campanella Bruno Cauhapé Louis-Martin Charest Hervé Courtain Cathryn Croft Chantal Dauphinais Danielle Davidson Danielle Denichaud Tania Desrochers
Frédérique Dumas Jérémie Fiset Julien Gagnon Anne-Marie Garde Andrew Giday Robert Glumbek James Gregg Samantha Harvey Michèle Kozina Beaudet Jo-Anne La Flèche Étienne Lavigne Alexandre Leblanc Catherine Leblanc Sarah Lefebvre Taina Morales Catherine Naulleau John Ottman Andrea Palmer Alisia Pobega David Rancourt Amy Shulman Andrew Skeels Frédéric Tavernini Laura Toma Dominique Turcotte Frédéric Verville Michael Watts Edgar Zendejas
Lise Bernier Responsable - horaires et soutien aux ressources humaines Jessica Blain-Descormiers Adjointe aux directeurs et du regroupement des anciens Marie-Soleil Coupal Agente de bureau Éric Dandonneau, CPA, CGA Directeur adjoint comptabilité et finances
Anne-Flore de Rochambeau Adjointe - service à la clientèle Geneviève Desrochers Adjointe - organisation scolaire et registrariat Noëlline Dumont Adjointe des services aux élèves Nathalie Gérard Responsable du service de santé Béatrice Langué-Dubé Agente de bureau Kim Lefebvre Responsable - financement et partenariats
ENTRETIEN Patrick Doyle Adjoint au concierge
Michel Labelle Concierge
Lili Marin Directrice adjointe - communications et relations publiques Mariana Obando Responsable - marketing et service à la clientèle Denis Poucet Graphiste Diane Viau Adjointe administrative
L’École supérieure de ballet du Québec | 2015-2016
L’École supérieure de ballet du Québec | 2015-2016
FONDATION DE L’ÉCOLE SUPÉRIEURE CONSEIL D’ADMINISTRATION COMITÉ EXÉCUTIF Président Jean-Paul Bellon Président Gestion Jean-Paul Bellon Inc.
Vice-présidente Natacha Engel, LL.M., M.S.V.D. Nominations publiques, Cabinet du Premier ministre du Canada
Trésorier Louis Villeneuve Conseiller en patrimoine, RBC Gestion de patrimoine RBC Dominion valeurs mobilières inc.
Secrétaire Michelle Proulx Conseillère artistique et administratrice ADMINISTRATEURS Anik Bissonnette, O.C., C.Q. Directrice artistique École supérieure de ballet du Québec
Pierre Chenard Vice-président principal, Développement des affaires, et chef des services juridiques Rio Tinto Aluminium
Madeleine Féquière, CCP, CICP Directrice principale et chef du crédit corporatif Domtar
Alix Laurent, M.A.P. Directeur général École supérieure de ballet du Québec
DONATEURS 2015-2016 500 $ et plus FONDATION DE L’ÉCOLE SUPÉRIEURE DE BALLET DU QUÉBEC BIBLIOTHÈQUE DE LA DANSE VINCENT-WARREN Action Sport Physio Centre-Ville
Madeleine Féquière
Alain Majeau
Cathy Beausoleil et Marc-André Larose
Louise Fréchette
Monette Malewski
Jean-Paul Bellon
Nadine Girault
Marie-Claire Morin
Pierre A. Goulet
Productions Yves Nicol Inc.
Françoise Graham
Michelle Proulx
Gilbert Grondin
Rio Tinto
Groupe CGI Inc.
Rossetti de Montréal
Réjean Hinse
Benoît Venne
Canderel Management Inc.
Renée L. et Pierre Béland
Marie-José Verreault et André Dupras
François Carrier et Isabelle Westwick
Guy Joron et Hugo Valencia
Louis Villeneuve
Pierre Chenard
Sylvie Lafrance
Elizabeth Crôteau (TELUS)
Alix Laurent
Anonyme (4)
Famille Tall
Michele L.
Claude Fleury
Lise Lefebvre
Fondation Douglas
Marie-Josée Lemieux
Marie-Michelle Bellon Lise Bernier Anik Bissonnette Denise et Jean Bissonnette Chantal Bouvier
Vincent Warren Anonyme - En l’honneur du personnel de l’École supérieure (1) Anonyme - En hommage à M. Jean Bissonnette (2)
BÉNÉVOLES 2015-2016 Lucie Benoit
Magali Guérif
Camessarde Rosier-Laforest
Suzanne Clément
Hanna Kuliashova
Sandra Tremblay
Amelia Dryburgh-Bouchard
Jimmy Liberge
Élise Vanden-Abeele
Valérie Guillet
Christine Provencher
PARTENAIRES
L’École supérieure de ballet du Québec | 2015-2016
JEUNE SCÈNE D’AFFAIRES DE L’ÉCOLE SUPÉRIEURE La Jeune Scène d’affaires de l’École supérieure de ballet du Québec est un groupe de jeunes professionnels engagés ayant pour objectif de promouvoir et de soutenir la relève artistique. Nous sommes la relève d’affaires pour la relève artistique! NOTRE MISSION Que la relève d’affaires s’unisse afin de soutenir et propulser la relève artistique, nos danseurs de demain : les jeunes de l’École supérieure de ballet du Québec. POURQUOI? • Pour promouvoir la relève artistique afin de participer à la relance de Montréal comme métropole culturelle et au rayonnement du Québec. • Pour soutenir des élèves passionnés, suivant un programme danse-études de haut niveau, qui font preuve d’une grande détermination dans la poursuite de leur rêve. • Pour amener les jeunes gens d’affaires à apprécier la danse et pour que la danse devienne plus accessible. Comité de gestion Présidente Natacha Engel Vice-président Alexandre Forest Trésorière Frédérique Poirier Secrétaire Gabriel Gagnon
Membres Caroline Lemire Gaumont Directrice - Comité communications et visibilité Laurence Marsolais Directrice - Comité événement et logistique Marilène Boisvert Codirectrice - Comité projets spéciaux
Vanessa Cherenfant Codirectrice - Comité projets spéciaux Simon C. Chartier Directeur - Comité dons et commandites Thomas Bienfait Juniors Damy
Collaborateurs Karen Aguilar
Valérie Lavoie
Julien Pratte
Camille Aubin
Marie-Chantal Leduc
Noémie Prégent-Charlebois
Dominique Bérubé
Philippe C. Legault
Nicolas Rémillard
Sami Boutaleb
Julie Millette
Valérie Roy
Elisabeth Gauthier
Ludovic Painchaud-Tremblay
Isabelle Sauvé Pier-Luc Therien-Péloquin
Soirée Pointes & Noeuds Papillon en partenariat avec
JeuneScene
POUR UN CHANGEMENT DE LOGIQUE ÉCONOMIQUE En plus de présenter les meilleurs films d'ici et d'ailleurs, le Cinéma Beaubien a pour mission de promouvoir et favoriser le développement culturel, économique et social.
Photo : Michael Slobodian
cinemabeaubien.com 2396, rue Beaubien Est, Montréal, Québec 514.721.6060
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Une programmation alternative riche en diversité cinemaduparc.com | 3575, avenue du Parc, Montréal | 514 281-1900 Facebook “f ” Logo
8-9 JUIN 2016
Stationnement 2 $ pour 3 h
Place des Arts
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Gala
Jérôme Bel, Paris 7 + 8 juin Monument-National
Jérôme Bel enfin au FTA 2 représentations seulement Réservez maintenant ! présentera 514 844 3822 1 866 984 3822 fta.ca
« Un tour de force, férocement divertissant »
New York Times
« Une ode à la danse et à la différence » Les Inrocks
MERCI MONTRÉAL !
« Une puissante forme d’être ensemble » Les Trois Coups
en 2017
PHOTO Michael Slobodian
Danse + Théâtre
Le festival défile du 26 mai au 8 juin 2016
Les directeurs de l’ADÉSAM applaudissent le travail qu’accomplit l’École supérieure de ballet du Québec depuis 50 ans!
C : 50 M : 20 Y : 100 K:5
célébrons
C : 12 M : 80 Y : 100 K:2
C:0 M:0 Y:0 K : 80
ion renversé
ans
C:6 M : 14 Y : 87 K:0
C : 70 M : 45 Y:9 K : 15
C : 50 M : 20 Y : 100 K:5
de rigueur et d’excellence! Le cégep du Vieux Montréal, fier partenaire de l’École supérieure de ballet du Québec dans la formation des danseurs professionnels de calibre international.
ion tonalités de gris
gement souhaité
gagement minimal requis éterminé par la hauteur du de la signature comme que l’illustration.
Version noir et blanc
C : 12 M : 80 Y : 100 K:2
C:0 M:0 Y:0 K : 80
EXPOSITION ORGANISÉE PAR LE VICTORIA AND ALBERT MUSEUM, LONDRES.
LA MODE ITALIENNE DE 1945 À AUJOURD’HUI
P R ÉS E N T É E PA R
EXPOSITION DU 26 MAI AU 25 SEPTEMBRE 2016
Plus de
26 000
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OUVERT AU PUBLIC LA PLUS IMPORTANTE COLLECTION SPÉCIALISÉE EN DANSE DU CANADA
4816, rue Rivard, Montréal | T. 514 849-4929 p. 231 | bibliodanse.ca
Notre engagement :
soutenir les artistes d’ici Québecor est fière de souligner le 50e anniversaire de l’École supérieure de ballet du Québec. Véritable pépinière de talents, cet établissement prépare non seulement une relève artistique de haut niveau, elle rend également accessible la pratique du ballet auprès des petits et des grands. Longue vie à cette institution où se côtoient excellence et passion!
de
ballet PROCUREZ-VOUS LE DVD En vente à l’accueil de l’École supérieure 514 849-4929 UN DOCUMENT D’UNE QUALITÉ EXCEPTIONNELLE POUR VOIR OU REVOIR LE SPECTACLE ANNUEL Captation à deux caméras haute définition | Quantité limitée