Lettre Hebdomadaire n°191 Semaine n°40 du 29 sept. au 5 octobre 2009
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Edito L’UMP et les élections régionales Le sentiment le plus répandu actuellement concernant les élections régionales est probablement le suivant : 1)
2)
3)
le PS part aux régionales 2010 avec un actif tellement élevé qu’il ne peut qu’enregistrer des défaites donc une défaite globale par comparaison entre 2004 et 2010, ce d’autant plus que les rapports de forces sont très favorables à la majorité présidentielle qui est en ordre de bataille alors que le PS est très divisé donc affaibli, le scrutin des Européennes en Juin 2009 a d’ailleurs attesté d’un nouveau rapport des forces politiques très favorable à l’UMP établissant même que l’inconnue ne pourrait être pas tant la victoire probable de l’UMP que l’affirmation des Verts face (voire devant ?) le PS.
Seulement, les retours du terrain sont éloignés de ce sentiment.
Depuis juin 2009, 9 élections municipales ont été organisées. Le PS a perdu une ville et a gagné 3 villes à la droite. Sur les cantonales, le PS a gagné 4 sièges à la droite sans que le PS ne p e r d e u n s i è g e . Certes, ces élections interviennent souvent dans des contextes très particuliers liés notamment aux conditions d'annulation des scrutins initiaux. Mais il y a là des enseignements importants. Ces élections autres leçons :
apportent
deux
- les Verts flirtent davantage avec le seuil des 10 % qu'avec celui des 20 % comme aux Européennes, - l'UMP n'a pas de réserve pour le second tour. Elle "écrase" le 1er tour en avoisinant les 40 % mais le passage vers les 50 % est très difficile.
Ce sont là des réalités qui vont impacter fortement les scrutins prochains montrant que le paysage politique local
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est loin des scores des Européennes de juin 2009 qui ne servent pas d'ancrage politique durable. 4 facteurs vont retrouver une importance particulière : 1) le scrutin régional est un scrutin majoritaire à deux tours. L’enjeu n’est donc pas seulement d’arriver en premier au premier tour mais de franchir la barre des 50 % au second tour. Or, si l’UMP se détache au premier tour c’est au prix d’une sorte de plein des voix qui fait disparaître les réserves pour le second tour. Par conséquent, le parallèle avec les Européennes n’est pas applicable. 2) Le PS va bénéficier de la mobilisation de son tissu local. La Région est un échelon très important pour les féodaux locaux du PS. C’est le dernier échelon de financements disponibles.
Editeur : Newday Directeur de publication : Denis BONZY SIREN : 479 561 243 Adresse : 127 rue Amelot 75 011 Paris
Les mar ge s de manœuvr e s financières des Départements et Villes sont très impactées par la reconduction de f i n a n c e m e n t s de gestion. Par conséquent, ce sont souvent des financements régionaux qui rendent possibles des grands investissements.
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3) Les Verts ont peu de leaders emblématiques locaux. Le scrutin européen est intervenu dans un contexte particulier impacté par des facteurs non reproductibles lors des régionales. Par conséquent, la concurrence PS / Verts risque de rapidement tourner à l’avantage du PS. 4) Autant le PS a un tissu local fort, autant l’UMP risque de tomber dans des rivalités fragilisant encore davantage un tissu local souvent peu performant suite aux défaites de 2004 et de … 2008. Les élections de 2008 ont été très sévères pour la majorité présidentielle. Les Régionales 2012 seront les premières échéances à être vécues sous c e s nouveaux équilibres politiques locaux. Un scrutin donc.
neuf
s’annonce
(prochain édito : L’UMP et les élections régionales de mars 2010 2/2)
Sans ces financements, bon nombre d’équilibres locaux seraient remis en question. Le scrutin régional, à la différence des Européennes, met en cause les zones des pouvoirs locaux. La mobilisation sera donc incomparable. Lettre Hebdomadaire 191 - www.exprimeo.fr
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La collecte de fonds aux Etats-Unis (01/02) L'organisation de la collecte des fonds est la tâche prioritaire de toute équipe de c a m p a gne aux Etats-Unis. Tout particulièrement au début de la campagne électorale, car les fonds collectés font l'objet d'annonces fréquentes permettant d'établir la progression mais surtout, en fonction des seuils franchis, la capacité à durer et donc la crédibilité qui doit maintenant entourer le candidat concerné.
En réalité, son avance a reposé sur trois socles: •
tout d'abord la victoire sur les valeurs de base,
•
ensuite la mise en place de «pompes à idées» (les groupes de réflexion dits think tanks) qui ont alimenté en permanence les réflexions sur des bases favorables à l'approche républicaine,
•
et surtout grâce à l'informatisation, des avancées considérables ont été conduites en matière de segmentation des cibles.
Dans cette tâche de collecte des fonds, les réseaux personnels directs du candidat sont bien entendu les premiers sollicités.
•
obtenir le montant le plus élevé,
•
obtenir le plus grand nombre de donateurs.
Dans ce contexte général, le Parti Républicain a eu le génie de crédibiliser l’idée selon laquelle ce ne sont jamais les mêmes conservateurs qui se succèdent. Ce faisant, il a ouvert le jeu de l’alternance à l’intérieur même de son propre parti.
En effet, les annonces recouvrent ces deux indicateurs.
A l’intérieur de ce contexte, deux grandes idées s’imposent :
L’objectif à atteindre est simple :
•
Sur le plan fédéral, dès le début des années 80, le Parti Républicain a pris une avance significative pour créer «cette musique de fond».
d'une part le combat politique se perd ou se gagne sur les terrains des idées, d'autre part les campagnes se perdent ou se gagnent selon l'importance des moyens financiers qui conditionnent la
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qualité de la campagne.
d’abord vampirisé par les analyses de segments Le premier socle est un appel à d’opinions et l’achat des l'humilité des candidats placés fichiers segmentés. d a n s u n e l o g i q u e d’accompagnement des tendances La renaissance de l’individualisme lourdes de l’opinion. fait exploser les comptes des campagnes. Le second socle, c’est la clef des réussites. Sans argent, sans 2 millions de dollars sont le budget fichiers informatiques, sans équipe minimal pour une élection de de campagne …: la campagne «seconde division». disparaît. C’est dire que la gestion de la Bien davantage, plus les électorats collecte des fonds devient sont segmentés, plus ils sont «l’impôt volontaire citoyen» indécis, plus les frais de campagne toujours appelé à battre des s’élèvent. records pour suivre une société de plus en plus La collecte des fonds repose sur complexe. des messages ciblés avec un contenu émotionnel. Progressivement, de nouvelles techniques ont été mises en La brièveté du m e s s a g e œuvre avec succès. conditionne son efficacité. Ce fut tout particulièrement le cas C’est l’ensemble d e s pour la campagne 2008 de Barack techniques managériales de la Obama qui a innové en la matière libre entreprise qui envahit de façon très efficace. l’organisation d’une campagne politique. Dans cette technique, la prime va aux fondamentaux (back to basics) : • le produit donc le candidat, • le marché donc les segments électoraux clefs qui feront la décision.
(prochain conseil technique : la collecte de fonds aux EtatsUnis 2/2)
La gauche libérale américaine avait lié son essor à l’ère des masses. Or, il n’y a plus de masse. Il n’y a donc plus de solution globale. Par conséquent, l’actuel budget de campagne est Lettre Hebdomadaire 191 - www.exprimeo.fr
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Discours 363 Les Verts (01/02) Le documentaire d’Al Gore sur la crise du climat a montré l’enjeu de l’écologie aujourd’hui ouvrant la voie à une succession de documentaires voisins. Sous cet angle, l’écologie doit être l’organisation d’un nouvel ordre global respectant quatre principes fondamentaux : • renforcer les identités, • développer des objectifs globaux positifs, • travailler sur les axes complémentaires rassembleurs et participatifs à partir d'enjeux prospectifs, • promouvoir la juste conscience de la solidarité géographique planétaire. Face à cette mentalité de l’avenir que constatons-nous : 1) 2)
"les citadelles" sont plus fortes que jamais. Chaque territoire se développe de façon solitaire dans l'ignorance des autres, les enjeux planétaires altèrent l’implication individuelle car l’ampleur de la tâche tend alors à trop relativiser le geste individuel.
Il est indispensable de donner un nouveau souffle ambitieux à notre politique de défense de l’environnement. Seul un souci permanent de l'environnement peut assurer un mariage de raison entre le développement économique et la qualité de la vie urbaine passant par une approche globale de ces questions : - prévention des risques majeurs, naturels et technologiques, - limitation des nuisances engendrées par la vie contemporaine, -élimination permanente des déchets qu'ils soient ménagers, industriels, encombrants ou contaminants. Ces questions nécessitent des solutions spécifiques dont certaines sont à l'échelle locale, d'autres régionales. Or, nous constatons aujourd'hui: - une faible implication des collectivités locales pour une gestion globale, écologique et économe, de leur patrimoine naturel et de sa préservation, Lettre Hebdomadaire 191 www.exprimeo.fr
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- une insuffisance criante d'informations, non seulement sur l'importance des problèmes, mais aussi sur leurs mécanismes d'évolution et sur le rôle des pouvoirs publics et privés. L'action volontariste doit se développer dans le cadre d'une politique globale de l'environnement, seule susceptible d'avoir une approche d'ensemble et d'impulser dans chacun des secteurs les mesures nécessaires au maintien et à l'amélioration de la qualité de la vie urbaine. L'environnement doit faire l'objet d'une politique étendue au cadre urbain dans sa globalité : -d'abord en participant à l'élaboration et en proposant des règles de protection du cadre urbain à intégrer dans les actes d’urbanisme, -en recherchant des solutions pour la résorption ou la transformation des friches industrielles, -en étant partie périurbaine,
prenante
des
projets
concernant
l'agriculture
-et plus généralement en demandant des études d'impact sur tous les projets d'urbanisation qui semblent de nature à avoir une incidence sur l'environnement. Nous devons passer d’une politique de l’environnement à une écologie présente dans chaque acte, dans chaque décision, dans chaque projet. Nous vivons sous le règne de l’égologie : chacun pour soi. Nous devons évoluer vers l’écologie : chacun pour tous. C’est un défi collectif et individuel. C’est le seul qui préserve l’avenir des générations futures. Face à ces enjeux, les Verts occupent-ils sérieusement les fonctions qu’ils présentent comme leurs priorités ? Ne représentent-ils pas une interrogation excessive face aux progrès de la science ? Lettre Hebdomadaire 191 - www.exprimeo.fr
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Discours 364 Le nouveau capitalisme (01/02) La sortie de la «dépression» n’est peut-être pas encore certaine en dépit d’une tendance haussière que la conjoncture internationale cherche manifestement à consolider. Comme dans toutes les circonstances de ce type, les difficultés rencontrées ont amené la contagion des maux. Il a fallu chercher des «coupables et des responsables» pour les difficultés rencontrées. De façon assez étonnante et paradoxale, l’actionnariat populaire a parfois été désigné comme l’un des facteurs de ces troubles. Cet actionnariat réagirait trop rapidement, chercherait à capitaliser ses gains ou à limiter ses pertes au gré d’allers et retours trop rapides et imprévisibles. La «démocratie boursière» serait ainsi incompatible avec les fondamentaux des institutionnels capables de porter plus longtemps un investissement et donc de ne pas accentuer des chocs conjoncturels. En réalité, ce n’est pas de trop d’actionnariat populaire que la Bourse a pâti mais de pas assez et surtout de pas assez de règles pour permettre à l’actionnariat populaire de fonctionner dans un cadre loyal et sincère de transparence. Cette transparence ne peut reposer que sur une approche nouvelle qui consacre une nouvelle gouvernance de l’entreprise. L’entreprise ne peut plus être une abstraction comparable à celle de la notion d’intérêt général dans le droit public. Une entreprise est une structure regroupant des parties avec des intérêts manifestement différents pour ne pas dire opposés dans certaines circonstances. Ces parties sont pour l’essentiel au nombre de 4 : • les actionnaires, • le management, • les salariés, • les vérificateurs. Lettre Hebdomadaire 191 - www.exprimeo.fr
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Au sein des actionnaires, il faut dissocier les institutionnels des particuliers. Ces derniers ne peuvent prendre des décisions sérieuses que si les vérificateurs peuvent assurer leur information honnête, loyale et sincère. Ces vérificateurs (commissaires aux comptes, experts extérieurs…) sont les outils déterminants pour l’exercice de la décision de l’actionnariat populaire. Aussi longtemps qu’en France, ces vérificateurs n’interviendront pas dans un cadre clarifié les plaçant dans une totale indépendance par rapport au management, ils ne pourront pas effectuer leurs missions dans un cadre sécurisant pour les particuliers actionnaires. Le vrai effort pour valoriser l’actionnariat populaire consiste donc à construire un pouvoir d’expertise indépendant et fort qui soit un véritable pouvoir d’information sur la réalité de la situation d’une entreprise bien au-delà des communiqués de presse officiels du management de la société cotée. Il est beaucoup question de l’insuffisance des mécanismes de contrôles dans le vie publique. Ce mal frappe aussi les entreprises cotées qui gèrent parfois leur communication comme de simples relations extérieures de gentillesse mais pas avec la rigueur et le pluralisme d’appréciations exigés par le respect d’actionnaires individuels. Il est temps que notre pays progresse en ce domaine. Une fois cette étape franchie, l’actionnariat populaire pourra réinvestir la vie boursière dans des conditions plus sécurisées. Cet actionnariat populaire est une étape majeure vers la naissance d’un nouveau capitalisme. Un capitalisme où l’esprit d’entreprendre est respecté, valorisé, récompensé.
(prochains discours : Les Verts 2/2, Le nouveau capitalisme 2/2)
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Etats-Unis : le test de la Virginie Les élections en Virginie sont données comme un test. Le climat politique Américain a changé. Barack Obama n’est pas entré en désamour mais le doute est né. La Virginie est l’Etat qui a connu la poussée de la nouvelle génération des Démocrates dont Mark Warner et Tim Kaine. En 2001, il a été candidat au poste de Gouverneur de Virginie et il est parvenu à gagner cet Etat à tendance républicaine. Lors du renouvellement de la fonction de Gouverneur, son lieutenant – gouverneur a été élu. Il avait été désigné par Time Magazine parmi les Gouverneurs disposant du plus fort taux de satisfaction. En 2008, Mark Warner a été élu Sénateur de Virginie gagnant un poste alors acquis aux Républicains. Pour toutes ces raisons, la Virginie est donc apparue comme un «nouvel Etat Démocrate». Par conséquent, une défaite aurait valeur de symbole pour l’ensemble de l’Etat fédéral. L’élection de McDonnell.
novembre
2009
oppose
Creigh
Deeds
et
Robert
Creigh Deeds est né en 1958. Il a engagé sa campagne dès décembre 2007. En juin 2009, il a gagné la primaire démocrate avec facilité. Il doit affronter Bob candidat Républicain.
McDonnell,
le
Bob McDonnell est né en 1954. Il a déjà affronté Creigh Deeds dans une autre élection locale et le score avait été très serré. Dans cet Etat, l’opinion sur Obama est passée en dessous du seuil de 50 % des bonnes opinions. Le véritable tournant a été le mois de juin 2009. Jusqu’à cette date, les bonnes opinions sur Obama étaient majoritaires et Deeds était donné gagnant. A compter de mi-juin, la Lettre Hebdomadaire 191 - www.exprimeo.fr
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cote d’approbation sur Obama s’est détériorée. L’écart entre les deux candidats s’est réduit. Puis, Bob McDonnell a pris de l’avance pour compter près de 5 points d’avance. Bob McDonnell (photo cico ntr e ) mè ne une campagne Républicaine classique entièrement axée sur l’emploi et sur son cursus personnel. A côté des sondages, il importe aussi de noter que Bob McDonnell a levé davantage de fonds et sur une base plus élevée quant au nombre des donateurs. Pour toutes ces raisons, il bénéficie aujourd’hui d’une avance sérieuse qui amène la mobilisation des vecteurs d’opinion dont Mark Warner pour que cette fonction de Gouverneur reste au Parti Démocrate. Ce sauvetage semble peu probable. En effet, à l’exception de la Californie, le Parti Républicain est aujourd’hui en forme dans les enquêtes. Il capitalise une volonté d’avertissement exprimée d’autant plus facilement que le Parti Républicain s’est bien gardé de régler la question de son leadership et par conséquent se protège de campagnes négatives qui opposeraient Obama à ce nouveau leader Républicain. Ce faisant, le Parti Républicain a repris la méthode du Parti Démocrate lors des élections de 2006. Si cette victoire Républicaine devait intervenir, elle fragiliserait encore davantage l’assise politique de Barack Obama. Le Parti Républicain cherche à montrer que le vote de novembre 2008 a été un «vote d’exception» dans un contexte très particulier. Le résultat de cette élection va donc très largement dépasser ce seul Etat de Virginie. (prochain carnet : Etats-Unis : l’Afghanistan
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Presse Les faits majeurs de la semaine n°39 Le site Internet UMP Il y a seulement deux semaines, Ségolène Royal était au centre de polémiques par voie de presse parce qu'elle avait ouvert un site Internet facturé 41 000 €. Depuis plusieurs semaines déjà, dans des milieux professionnels, des chiffres élevés circulaient au sujet du site Internet UMP. Il était question de 300 000 €, puis de 500 000 €. Selon l'hebdomadaire Le Point (page 22 du n° du 24/09/09), le coût définitif serait de ... 1 800 000 € ! Si ce prix devait être confirmé, il donnerait une indication significative des écarts de moyens entre les composantes politiques Françaises.
Guantanamo reste ouvert Dimanche, Robert Gates, Ministre de la Défense, a annoncé que la date de fermeture du 22/01/2010 ne serait pas respectée. Il reste 223 détenus et la fermeture de Guantanamo s'éloigne ...
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Gavin Newsom en tête Le Maire de San Francisco mène une campagne très novatrice via Facebook et Twitter. C’est le candidat qui ouvre une interactivité permanente sur des bases plus dynamiques que les blogs.
Les péages urbains à la une Le réalisme des jeunes UMP Un Institut de sondages vient de publier une enquête effectuée auprès des jeunes UMP France. Les résultats témoignent d'un réalisme étonnant. Ils placent la dette en "priorité des priorités" et évoquent même la crainte de ne pas voir leurs "retraites payées".
La Ville de Montréal ouvre sérieusement le dossier des péages urbains. Le Maire sortant reconnaît que le financement de prochaines grosses infrastructures ne peut provenir que de l'instauration de péages urbains.
Ces craintes tranchent avec la version officielle de l’avenir sans nuage...
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