PROGRAMME Jour 1 (7 décembre) 9:00 – 9:30
Enregistrement des délégués
9:30 – 10:00
Présentation du PEJ-Ukraine
10:00 – 10:30
Teambuilding général
10:30 – 12:00
Teambuilding en commission
12:00 – 12:20
Pause-café
12:20 – 14:00
Teambuilding en commission
14:00 – 14:40
Déjeuner
14:40 – 16:40
Travail en commission
16:40 – 17:00
Pause-café
17:00 – 19:00
Travail en commission
19:00 – 19:30
Finalisation des résolutions
Jour 2 (8 décembre) 9:00 – 9:20 9:20 – 9:45 9:45 – 10:20 10:20 – 10:40 10:40 – 12:00 12:00 – 12:20 12:20 – 13:40 13:40 – 14:00 14:00 – 14:40 14:40 – 15:20
Cérémonie d'ouverture Simulation de débat sur une résolution Préparation de l’Assemblée plénière Pause-café Assemblée plénière (Commissions I et II) Pause-café Assemblée plénière (Commissions III et IV) Pause-café Assemblée plénière (Commission V) Cérémonie de clôture Anne Rosenstiehl (Attachée de Coopération de l’Ambassade de France en Ukraine) Sofian Benouahab (Membre de la délégation française) Liza Skorobreshchuk et Anastasiia Somyk (Organisatrices principales) Mychaylo Rozhkov (Représentant du bureau national) Anna Suprunenko (Présidente du PEJ-Ukraine) Mathilde Pascal (Présidente de la session) 2ème Week-end francophone du PEJ-Ukraine 7-8 décembre 2013 – Kyiv
PROCEDURE DE L’ASSEMBLEE PLENIERE Règles générales La pancarte de la commission doit être levée pour indiquer la volonté de prendre la parole. L’autorité du bureau est absolue. Procédure et temps Présentation de la motion de résolution Lecture des clauses d’action Points d’information 3 minutes pour défendre la motion de résolution 3 minutes pour attaquer la motion de résolution 1 minute pour répondre au discours d’attaque Débat 3 minutes pour résumer le débat Vote Annonce des résultats du vote Point d’information Au moment de la collecte des points d’information, la pancarte de la commission peut être levée et les délégués peuvent demander à la commission proposante de clarifier des mots ou des abréviations spécifiques. Un point d’information doit appeler une réponse factuelle. Toute autre contribution doit attendre la phase de débat. Point de privilège Requête pour qu’un délégué répète une remarque inaudible. Point d’ordre Un délégué trouve que le bureau n’a pas suivi la procédure parlementaire correctement. La pancarte est levée par les présidents de commission sur requête d’un délégué. Réponse directe Une fois par débat, chaque commission peut utiliser la pancarte « Réponse directe ». Si un membre d’une commission lève la pancarte de la commission et celle de réponse directe, le bureau le reconnaît immédiatement. La réponse directe sert à réagir à la remarque qui vient d’être faite.
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M OTION DE R ESOLUTION PAR LA
C OMMISSION DE L ’E MPLOI ET DES AFFAIRE S SOCIALES I
Réduire les écarts entre les compétences et diplômes, et les besoins du marché du travail européen : comment satisfaire les besoins des employeurs et des futurs employés afin d'améliorer les perspectives des jeunes générations ? Proposée par :
Kateryna Bukhavenych (UA), Yves Chatenet (FR), Sofia Kuftarakova (UA), Tetiana Kvasha (UA), Anastasiia Naumec (UA), Yulia Paliy (UA), Olena Pidlisniuk (UA), Anastasiia Plahotniuk (UA), Anzhela Spasenko (UA), Roman Zahorski (UA), Gouraud Bérengère (Présidente de commission, FR)
Le Parlement Européen des Jeunes, A. Observant que le manque d’information relatif aux besoins du marché et aux débouchés des formations, le jeune âge lors de la décision des études, le coût de certaines formations, ainsi que l’influence de la mode et des parents ne permettent pas de bien choisir son orientation, B. Réalisant que les formations ne sont pas adaptées aux changements des besoins du marché du travail en Europe, notamment en n’offrant pas suffisamment de possibilités de se spécialiser ni de se professionnaliser, C. Remarquant avec regret que les diplômes et les compétences ne sont pas reconnus uniformément à travers l’Europe, D. Prenant en considération le potentiel que représente Internet pour offrir un accès à distance à des formations spécialisées et ainsi combler les besoins spécifiques du marché, E. Tenant compte de la fuite des cerveaux, due à la fois au manque d’accompagnement de la part des Etats notamment dans le domaine des sciences et au manque de brevets, entrainant une carence en employés qualifiés sur le marché du travail européen, F. Reconnaissant que le marché du travail européen manque d’employés dans les domaines de la médecine, de l’énergie, des nouvelles technologies et de la formation des cadres supérieurs, 2ème Week-end francophone du PEJ-Ukraine 7-8 décembre 2013 – Kyiv
G. Conscient que certains domaines offrent plus de diplômes qu’il n’y a de débouchés, par exemple dans le journalisme et les métiers artistiques, accentuant le chômage des jeunes en Europe ; 1. Demande, au niveau des lycées : a) l’organisation de rencontres entre professionnels et lycéens, b) le développement de forums des métiers, c) l’instauration de mini-stages obligatoires ; 2. Insiste à conserver les troncs communs obligatoires au sein d’un même domaine tout en développant des cours à option qui permettent de se spécialiser et se professionnaliser ; 3. Insiste sur le contrôle des compétences des professeurs et l’augmentation de leur niveau de qualification à l’aide de cours ciblés pour s’adapter aux nouveautés du marché, comme les nouvelles technologies ; 4. Soutient l’initiative de créer une université européenne présente dans plusieurs villes d’Europe où les citoyens pourraient postuler en vue d’une unification de leurs diplômes et compétences ; 5. Appelle au développement de la coopération entre les universités et les entreprises et à la création d’un « contrat jeune » qui permette aux entreprises d’embaucher des jeunes diplômés en recevant une aide financière étatique ; 6. Recommande, pour limiter la fuite des cerveaux, la restructuration de l’économie au sein de chaque Etat pour transférer une partie des salaires des politiques et du budget militaire vers les sciences, les secteurs de l’énergie, de la médecine, des nouvelles technologies et la création d’entreprises innovantes ; 7. Encourage la création d’une plateforme de communication internet entre les besoins des employeurs et les compétences disponibles des employés européens, incluant une carte géographique interactive.
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M OTION DE R ESOLUTION PAR LA
C OMMISSION DE L ’E NVIRONNEMENT , DE LA SANTE PUBLIQUE ET DE LA SECURITE ALIMENTAIRE
60% des jeunes européens entre 12 et 16 ans déclarent avoir déjà consommé de la bière ou du vin, 34% des spiritueux, et 10% du cannabis. En Ukraine, 91% des jeunes de 15-16 ans consomment de l’alcool et 14% ont déjà consommé du cannabis ou du hashish. Comment les pays européens peuvent-ils combattre la diffusion chez les jeunes de substances addictives ? Proposée par :
Yelizaveta Artamonova (UA), Dmytro Boyko (UA), Maksym Iavorenko (UA), Shelley Kent (FR), Iryna Kokhanets (UA), Tetiana Lavrichenko (UA), Anastasiia Oriekhova (UA), Sviatoslav Kalantieiev (Président de commission, UA)
Le Parlement Européen des Jeunes, A. Remarquant avec regret que les jeunes consomment de l'alcool et du cannabis pour être acceptés par leurs pairs, B. Profondément troublé par la consommation d'alcool des jeunes pour surmonter leurs moments difficiles, C. Alarmé du nombre d’enfants nés handicapés dû à la consommation de substances addictives des mères pendant la grossesse, D. Réalisant que l'alcool et le tabac sont devenus partie intégrante de la culture européenne, E. Sachant qu'il est interdit de fumer dans certains endroits publics, F. Constatant cependant que cette interdiction n’est pas toujours respectée et que des publicités en faveur du tabac et de l'alcool sont encore diffusées, G. Prenant en considération que les Pays-Bas, où une loi a légalisé l'utilisation de drogues douces, est le pays ayant le taux de consommation des ces substances le plus faible comparé aux autres pays d’Europe,
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H. Ayant examiné la différence considérable des prix des substances addictives entre la France et l'Ukraine, I. Constatant que cela n'entraîne pas la consommation de ces derniers chez les Français, J. Remarquant avec regret que certains parents sont surchargés par leur travail, expliquant qu'ils n'aient pas le temps de porter assez d’attention à leurs enfants, K. Convaincu que certains jeunes d'aujourd'hui sont fragiles et ainsi facilement influençables pour consommer de la drogue, de l'alcool ou du tabac ; 1. Encourage la mise en place de publicités informatives sur les dangers des substances addictives afin d’attirer l’attention du public sur ceux-ci ; 2. Invite à mettre en place davantage de journées d’information sur la santé des jeunes ; 3. Soutient la diffusion de plus de publicités négatives venant de l'EMCDDA1 montrant les conséquences des drogues ; 4. Recommande de faciliter l’accès aux salles de sport pour les jeunes étudiants et d’en faire un loisir alternatif à la consommation de substances addictives ; 5. Appelle à continuer l'augmentation des prix du tabac et de l'alcool ; 6. Soutient au niveau économique, politique et social des organisations comme l’Observatoire européen des drogues et des toxicomanies (EMCDDA), le Groupe Pompidou2 ou la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (MILDT)3, ainsi que leurs membres ; 7. Fait confiance aux organisations ci-dessus afin de résoudre nos problèmes ;
L’Observatoire européen des drogues et des toxicomanies (EMCDDA) est une agence dont le rôle est de rassembler, analyser et diffuser des informations factuelles, objectives, fiables et comparables sur les drogues et la toxicomanie. L’Observatoire veut ainsi offrir à son public une image fondée sur des preuves du phénomène de la drogue au niveau européen. 1
Le Groupe Pompidou, un groupe de coopération pour lutter contre l'abus et le trafic illicite des drogues, est intégré au Conseil de l'Europe depuis 1980 en tant que section de la Direction des affaires économiques et sociales. Grâce à ses caractéristiques, il est la seule organisation de ce type en Europe qui traite de tous les domaines du contrôle des drogues, y compris le travail des autorités policières et douanières, ainsi que le travail sur la prévention, le traitement, la réhabilitation, et la recherche. L’Ukraine participe à la coopération technique. 2
Fondée en 1982, la MILDT (Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie) a pour tâche d'organiser et de coordonner les activités de l'État français concernant la lutte contre les drogues et la toxicomanie. Ses champs d’action sont « l’observation et la prévention de la toxicomanie ; l'accueil, les soins et la réinsertion des toxicomanes ; la formation des personnes intervenant dans la lutte contre la drogue et la toxicomanie ; la recherche ; l'information ; et la lutte contre le trafic. » 3
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8. Considère comme nécessaires des lois, mesures plus strictes et condamnations par les gouvernements nationaux afin de diminuer le taux de consommation d'alcool et de tabac chez les jeunes.
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M OTION DE R ESOLUTION PAR LA
C OMMISSION DES D ROITS DE LA FEMME ET DE L ’ EGALITE DES GENRES
La législation sur la prostitution varie grandement d’un pays à l’autre en Europe. Alors que certains pays l’ont légalisée et réglementée, elle est toujours illégale dans la plupart des pays d’Europe de l’Est ; de même en Norvège et en Suède, où les poursuites judiciaires ne concernent toutefois que les clients. En Ukraine, on estime que 50 000 femmes se prostituent, dont 1/6ème sont mineures. Comment les gouvernements européens peuvent-ils au mieux adapter leurs législations sur la prostitution pour en minimiser les conséquences négatives sur la société ? Proposée par :
Yana Berezovska (UA), Katherine Burka (UA), Tetiana Furmanchuk (UA), Anastasia Goncharova (UA), Julie Korbut (UA), David Martos (FR), Oleksandra Polishchuk (UA), Polina Polyakova (UA), Lili Sadlivska (UA), Kateryna Shikalo (UA), Iryna Tomenko (Présidente de commission, UA)
Le Parlement Européen des Jeunes, A. Conscient de l’état déplorable de la protection des femmes se prostituant, B. Remarquant avec regret que la criminalité organisée est au cœur du trafic des femmes, C. Sachant que la traite des êtres humains en vue de la prostitution est le fait de proxénètes4\ , D. Réalisant que les causes économiques telles que la pauvreté, le chômage et l’instabilité économique en découlant sont à l’origine de la prostitution, E. Alarmé par le manque de disciplines éthiques dans les cursus scolaires et universitaires, F. Profondément troublé par le fait que l’accès à une assistance médicale appropriée pour les travailleuses du sexe est restreint ;
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Proxénétisme : Délit consistant à tirer des profits de la prostitution d'une personne.
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1. Insiste sur la création de départements de police au niveau international spécialisés dans les affaires liées à la prostitution et à la traite des êtres humains ; 2. Propose la création d’organisations non-gouvernementales internationales spécialisées dans l’anti-prostitution à l’aide des médias de masse et en coopération avec les institutions scolaires, pour les élèves et étudiants à partir de la majorité sexuelle ; 3. Fait appel à la coopération des gouvernements européens afin d’organiser des conférences internationales ayant pour but la discussion de problèmes actuels en présentant des rapports de chaque pays ; 4. Incite à interdire la prostitution dans la rue ; 5. Encourage l’autorisation de la prostitution dans les maisons closes, en contrôlant : a. la prostitution volontaire5 des femmes, b. l’âge légal minimum pour pratiquer la prostitution, c. la mise à disposition d’une aide médicale pour préserver la santé des prostituées.
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Par opposition à la prostitution forcée.
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M OTION DE R ESOLUTION PAR LA
C OMMISSION DE LA C ULTURE ET DE L ’ EDUCATION
Après le refus du gouvernement ukrainien de signer l’accord d’association avec l’Union européenne, les Ukrainiens, et en particulier les jeunes, dont plus de la moitié sont en faveur de l’entrée de leur pays dans l’UE, se sont rassemblés en masse pour manifester contre cette décision. Au-delà d’une mobilisation ponctuelle liée à l’actualité, comment assurer l’engagement des jeunes dans la société civile sur le long terme ? Proposée par :
Yana Bazhan (UA), Sofian Benouhab (FR), Mariya Borysova (UA), Dmitrii Doroshenko (UA), Daria Kolesnikova (UA), Maria Maleta (UA), Olga Olkhovska (UA), Mary Rodyteleva (UA), Liudmila Tarasiuk (UA), Anastasiia Ianovytska (Vice-Présidente de la session, UA)
Le Parlement Européen des Jeunes, A. Profondément troublé par le manque de motivation chez les jeunes pour s’engager dans des mouvements civiques, du fait de l’absence de confiance dans le fait que leurs actions peuvent apporter des changements majeurs, B. Estime qu’il n’est pas souhaitable de se concentrer uniquement sur les manifestations comme seul moyen de résoudre les problèmes de la société, C. Tout à fait convaincu par le droit des jeunes de s’exprimer librement et d’être entendus par le gouvernement, D. Reconnaissant l’insuffisance de l’information concernant les moyens pour les jeunes de s’engager dans la vie de la société civile, E. Observant avec satisfaction le travail des organisations et les programmes d’échanges pour les jeunes européens, comme le Parlement Européen des Jeunes (PEJ), l’Association internationale des étudiants en sciences économiques et commerciales (AIESEC) et Erasmus Mundus ; 1. Appelle les organisations non-gouvernementales à attirer l’attention du public et à montrer les avantages de participer à des projets à différentes échelles et mettre en évidence leur impact en utilisant les réseaux sociaux et les médias ; 2ème Week-end francophone du PEJ-Ukraine 7-8 décembre 2013 – Kyiv
2. Invite les célébrités soutenant les citoyens actifs à : a. donner le droit d’utiliser leur image pendant les campagnes sociales, b. servant d’exemple en matière de participation et d’engagement dans la vie de la société civile, c. organiser des concerts de charité pour attirer l’attention sur les affaires actuelles ; 3. Soutient l’introduction dans les établissements scolaires de disciplines sur la citoyenneté active en organisant des débats sociétaux ; 4. Demande aux professeurs et psychologues d’établissements éducatifs d’organiser des formations pour développer et améliorer l’esprit d’équipe et permettre de prendre confiance en soi ; 5. Fait appel aux gouvernements d’informer les différents Conseils de Jeunesse en leur annonçant en avance la date et l’agenda des réunions pour assurer la transparence et l’efficacité de ces conseils ; 6. Attire l’attention des citoyens sur les autres moyens d’exprimer ses avis sur les décisions politiques, comme : a. les lettres officielles ouvertes, b. les pétitions, c. les conférences, d. les sondages, e. les referenda, f. l’art etc.
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M OTION DE R ESOLUTION PAR LA
C OMMISSION DE L ’E MPLOI ET DES AFFAIRE S SOCIALES II
Selon l’OCDE, les jeunes vivent une période de précarité de presque 10 ans entre le moment de leur entrée dans la vie active et leur premier emploi stable. Malgré de plus grandes opportunités d’études ou de mobilité, la jeunesse européenne actuelle est aussi particulièrement précaire et pessimiste. Education, emploi, santé, culture…: quelles politiques peuvent-être mises en place pour que les jeunes retrouvent leur place dans la société ? Proposée par :
Victoria Vorobiova (UA), Alina Zaharchenko (UA), Yulia Leontieva (UA), Nadiya Lupiy (UA), Bonnie Millat (FR), Vitalii Mykolaienko (UA),Kateryna Sorochynska (UA), Anastasiya Teslenko (UA), Oleksandr Ustymenko (UA), Anastasiya Fesenko (UA), Iryna Lukianenko (Présidente de commission, UA)
Le Parlement Européen des Jeunes, A. Ayant observé que les taux de chômage dans les 34 pays membres de l’OCDE ne reculent que légèrement, passant de 8% en mai 2013 à 7,8 % à la fin 2013, ce qui représente environ 48 millions de chômeurs, B. Tenant compte du manque de connaissances relatives aux programmes d’échanges culturels et éducatifs, ainsi que de leur diversité et de leurs conditions d’admission strictes, C. Profondément alarmé de la méconnaissance de l’actualité politique des pays européens due à des effets de mode, D. Remarquant avec regret l’inflation économique dans les pays de l’Union européenne (UE) qui fait que l’écart entre les salaires et les prix, impôts et taxes devient de plus en plus disproportionné, E. Prenant en considération le manque d’encouragement, d’information et de formation chez les jeunes pour les métiers méconnus, voire dénigrés par la jeunesse, mais vitaux pour l’économie européenne,
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F. Préoccupé par la nécessité de diversifier les offres d’emploi en vue de réduire le chômage de la population jeune active, qui touche 3,62 millions de personnes dans l’UE ;
1. Recommande fortement la médiatisation intense des différents programmes d’échanges existants par spots publicitaires, mailings et réseaux sociaux ; 2. Encourage le développement du processus de Bologne dans le but d’harmoniser les diplômes ; 3. Fait appel aux pouvoirs publics, aux organismes de formation et aux entreprises afin de promouvoir leur politique de mobilité efficace chez les jeunes ; 4. Incite à s’inspirer de la politique et de l’économie allemandes en ce qui concerne les emplois dits « Kurzarbeit »6 en vue de faciliter l’insertion des jeunes sur le marché du travail ; 5. Encourage les jeunes hors du cursus scolaire ou sans emploi à participer à des formations afin d’occuper les deux millions de places vacantes au sein de l’Europe, en particulier dans l’artisanat ; 6. Attire l’attention sur la création d’institutions qui permettraient de créer de nouvelles offres d’emploi.
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Kurzarbeit - travail à temps partiel
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