9782215128144 mon herbier feuilles et fleurs séchées

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en Cadeau :

Un guide pour reconnaître les feuilles et les fleurs

au : en Cadeur reconnaître Un guide po et les fleurs les feuilles

L’érable Le platane La vigne Le noyer Le framboisier Le frêne Le lilas L’olivier Le gui L’arbre de Judée

Le marronnier L’if Le pin sylvestre L’épicéa Le mélèze Le cyprès Le mimosa La lavande La pâquerette Le bouton-d’or

herbier Feuilles et Fleurs séchées en Cade a

u: Un guide p les feuilles our reconnaître et les fleur s

mon

Le chêne pédonculé Le figuier Le châtaignier Le hêtre Le tilleul Le pommier Le cerisier Le bouleau verruqueux Le saule pleureur Le houx

Feuilles et Fleurs séchées

Au fil des anecdotes et des croquis, ce bel herbier propose à tous les passionnés de la nature une agréable balade en forêt en 30 planches illustrées pour découvrir et reconnaître les arbres, leurs feuilles, et quelques fleurs.

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herbier

QUEL EST LE BOIS QUI A SERVI À CONSTRUIRE LE CHEVAL DE TROIE ? POURQUOI LE CHÂTAIGNIER EST-IL SURNOMMÉ L’« ARBRE À PAIN » DANS CERTAINES RÉGIONS ? COMMENT L’ÉPICÉA SE RETROUVA PARÉ DE GUIRLANDES ET DE BOULES POUR FÊTER NOËL ?

14,95 € France TTC www.fleuruseditions.com

fleurus

COUV-Herbier.indd 7,9

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fleurus Direction : Guillaume Arnaud Direction éditoriale : Sarah Malherbe Édition : Anna Guével Direction artistique : Elisabeth Hebert Conception graphique : Séverine Roze Mise en pages : Anne Bordenave Fabrication : Thierry Dubus, Gwendoline Da Rocha © Fleurus, Paris, 2015, pour l’ensemble de l’ouvrage Site : www.fleuruseditions.com ISBN : 978-2-2151-2814-4 MDS : 652 286 Tous droits réservés pour tous pays. « Loi n°49-956 du 16 juillet 1949 sur les publications destinées à la jeunesse. »


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Feuilles et Fleurs séchées

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Un herbier ? Pour quoi faire ?

e constituer un herbier, voilà qui pourrait passer pour une drôle d’idée. Ne serait-ce pas là le rêve de quelques très anciens botanistes qui couraient le monde sur des voiliers fragiles ou gravissaient les monts à peine équipés pour découvrir la plante rare, celle que personne n’a jamais vue ? Mais aujourd’hui, pourquoi collectionner ces feuilles, ces fleurs, ces fruits et ces graines ? Et si on regardait cet herbier comme un album de famille ? Et si on collait une à une les feuilles et les fleurs comme les photos de ceux que l’on aime ? La feuille du marronnier sous lequel on a joué dans la cour de l’école, celle du tilleul qui borde la rue dans laquelle on habite, le bouton-d’or, souvenir d’un pique-nique en famille… autant de plantes, autant de souvenirs, autant d’amis. Alors partons ensemble récolter ces trésors qui nous entourent et construisons un bel album de souvenirs ! Et puis, qui sait, peut-être quelques vocations de botaniste naîtront-elles de cette expérience ; peut-être parmi vous se trouve-t-il le passionné qui complétera le plus fabuleux de tous les herbiers. Cet album de famille géant se trouve à Paris, au Muséum national d’histoire naturelle, et il comprend plus de huit millions d’espèces du monde entier ! Alors, prêt pour l’aventure, prêt à commencer ton herbier ?

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Observer et reconnaître les feuilles et les fleurs our identifier une feuille, une fleur, il faut commencer par la décrire. Les plantes sont composées de plusieurs parties. Bien sûr, chacun connaît les termes tronc, branche ou feuille. Mais qui sait ce qu’est le pétiole, le limbe ou l’akène ? Sais-tu faire la différence entre pétale et sépale ? Les feuilles, elles, peuvent être simples ou composées. Sur le rameau, sont-elles accrochées par le pétiole, est-il long ou court ? Voici quelques clés qui pourront t’aider :

< Simple ou composée ?

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La feuille est-elle composée d’une seule ou de plusieurs folioles ? S’il n’y en a qu’une, la feuille est simple ; s’il y en a plusieurs, cette feuille est composée.

< Sur un rameau, la disposition des feuilles

est-elle opposée ou alterne ? Les unes en face des autres sur le rameau, ces feuilles sont opposées ; mais s’il y en a une d’un côté, puis un peu plus loin une autre et ainsi de suite jusqu’à l’extrémité du rameau, alors les feuilles sont dites « alternes » !


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On nomme limbe la partie le plus souvent verte de la feuille. Il est parcouru par les nervures. Dans une feuille composée, il y a plusieurs limbes. C’est le pétiole qui permet au limbe de s’accrocher au rameau ou à la branche.

< Qu’est-ce que l’akène ?

C’est le fruit de la plante, il ne contient chaque fois qu’une seule graine et, le plus souvent, il est d’apparence dure et uniforme. Certains sont équipés d’ailes ou de sortes de plumeaux, des dispositifs pour permettre au vent de les emporter au loin et ainsi donner à l’espèce plus de chances de se propager.

< La fleur est composée de pétales, tu

le sais bien pour avoir joué à les arracher les uns après les autres sur certaines fleurs, pour savoir si « il ou elle t’aime, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie ou pas du tout ». Mais sais-tu ce que sont les sépales ? Ce sont les parties de la fleur qui la referment avant qu’elle s’ouvre. Le plus souvent, on les retrouve ensuite sous la fleur, généralement vertes.

< L’ensemble des pétales d’une fleur s’appelle la corolle.

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La cueillette La première étape d’un herbier, c’est la récolte des feuilles, fleurs et plantes qui vont le composer. Pour bien faire, voici quelques règles simples qu’il convient de respecter.

Le moment de la récolte

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C’est en été ou à l’automne que la récolte est la plus pertinente. Quand les feuilles sont bien développées sans être gorgées d’eau ! Pour les feuilles qui prennent des couleurs spectaculaires ou particulières à l’automne, tu peux récolter une feuille à chacune de ces deux saisons différentes. De préférence en milieu de journée, quand la rosée du matin s’est évaporée.

Le choix des feuil es

Choisis une feuille complète, sans défaut, et d’une taille lui permettant de tenir tout entière dans l’herbier. Plutôt que ramasser les feuilles par terre, il est préférable de les récolter directement sur l’arbre. Pour cela, un petit couteau est idéal, afin de détacher délicatement la feuille sans l’abîmer.


Quand elle est composée de plusieurs petites feuilles attachées, fais attention à prendre un ensemble complet.

Le lieu de la récolte

Il faut savoir être curieux et l’on découvre que le moindre jardin recèle plusieurs espèces de plantes, d’arbres et de fleurs. Sauvages ou non, il suffit simplement de se baisser ou de lever les bras pour faire sa récolte. Les feuilles cueillies doivent être mises à l’abri pour ne pas arriver abîmées à la maison au moment de les sécher. Une boîte métallique ou un classeur rigide, du papier journal… voilà de quoi rapporter des trésors ! Une fois rentré, occupe-toi très vite des plantes pour qu’elles soient fraîches et de bonne qualité.

Une dernière règle à respecter absolument Certaines espèces de plantes sont protégées et il est interdit de les cueillir. À toi de te renseigner pour ne pas te tromper. Faire un herbier, c’est avant tout vouloir connaître et mieux aimer les plantes et la nature, ce serait dommage de mettre en péril des espèces rares menacées.

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Le séchage Un bon séchage est la condition indispensable pour une bonne conservation des plantes. En cas de séchage trop rapide ou mal effectué, des moisissures risquent de se développer et de détruire ton trésor végétal.

Le matériel

Il ne faut pas grand-chose pour effectuer un bon séchage : du papier journal, non glacé, ou du papier buvard. Deux planches et des livres, ou tout autre objet lourd.

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La méthode

Dispose la plante, bien à plat, sur une feuille de papier buvard ou de papier journal. Recouvre-la avec plusieurs épaisseurs de papier journal. Tu peux recommencer l’opération avec d’autres feuilles. Ensuite, mets le tout entre les deux planches et presse l’ensemble avec des livres ou tout autre objet lourd. Le temps de séchage est d’environ deux à trois semaines. Pour améliorer le séchage, veille à remplacer régulièrement le papier journal.


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N’hésite pas à sécher plusieurs feuilles de chaque espèce : tu pourras choisir la plus belle au moment de la coller dans ton herbier.


Le collage La bonne disposition des plantes sur les pages de ton herbier est primordiale pour qu’elles se conservent bien, mais aussi pour qu’il soit agréable de les regarder.

La manipulation

Le plus délicat est de décoller la plante ou la feuille du papier journal sans l’abîmer. Il faut la manipuler avec beaucoup de précautions et la poser à sa place sur la page de l’herbier.

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L’assemblage

Pour fixer les éléments sur la page, il ne faut pas utiliser de la colle. Elle abîmerait le végétal et ne serait pas très efficace. Utilise du papier adhésif que tu fixeras très délicatement en le répartissant de façon à ce que nul endroit de la feuille ne vienne à se décoller.


Pour les plantes dont les tiges sont un peu épaisses, tu peux utiliser un autre moyen. Colle une petite languette de papier qui fera comme un cavalier autour de la tige. Puis, à l’aide d’une épingle, fixe la branche à cette languette de papier.

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Le chêne pédonculé

Il tient son nom du latin quercus qui lui-même viendrait du celte kaerquez, qui signifie « bel arbre ». On dit que c’est sous son ombrage que le roi Saint Louis rendait la justice. C’est avec ses feuilles que l’on tressait les couronnes des guerriers romains valeureux. Ce sont encore des représentations de ses feuilles qui décorent les képis des généraux. Enfin, c’est dans un chêne que montait le druide pour cueillir le gui, à l’aide de sa serpe d’or. Résistant et souple, c’est le bois des majestueux vaisseaux de la marine à voiles du XVIIe siècle.

Fruits : au

tom ne

Durée de vie : environ 400 ans. Le

record serait d’environ 4 000 ans, et de 2 500 ans en France.

Fleurs : de fin avril

ai m t u à déb

14

H

a

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m è t re s

L'arbre Les feuilles caduques du roi de nos forêts sont facilement reconnaissables grâce à leurs bords lobés. Ses fruits, les glands, sont recherchés par les sangliers, mais aussi par l’homme : torréfiés, ils ont remplacé le café pendant la guerre. Son écorce, broyée et mélangée à de l’eau, a longtemps servi à tanner le cuir. Son bois est souple quand il vient d’être coupé, permettant ainsi d’être sculpté, mais devient très dur en vieillissant, ce qui empêche les vers de s’y installer.


Ta plus belle feuille de chêne pédonculé

.... .......... . . e l e récolté .......... . . . . . . . Feuille . . ..... .... .......... .......... . . . à ....... . . . . . . . .......... ..........


Le figuier

Il tient son nom de la région de Carie, en Asie Mineure, d’où les Grecs le croyaient originaire. Déjà, dans la Bible, c’est dans un figuier (appelé sycomore à cette lointaine époque) que se réfugie Zachée, le collecteur d’impôts, pour voir passer Jésus. Un peu plus tôt dans l’histoire, c’est au milieu d’un panier de figues que Cléopâtre, reine d’Égypte, fit cacher la vipère qui devait la tuer. Ce n’est qu’au Moyen Âge que la feuille de vigne est venue habiller Adam et Ève au Paradis. Avant, la tradition voulait que leurs nudités soient cachées avec une feuille de figuier.

Fruits : de juillet à oct

obre

Durée de vie : Environ 300 ans. a m : urs

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En Bretagne, il existe un figuier de 370 ans.

Fle

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Hauteur : en v

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L'arbre C’est un arbre qui aime le soleil et pousse tout autour de la Méditerranée, mais aussi dans les pays tropicaux où il s’étale plus qu’il ne pousse en hauteur. Il se développe sur les rochers ou les murailles grâce à ses racines profondes. Ses feuilles, caduques, sont larges et profondément lobées. Quand on coupe un rameau ou que l’on détache une figue, il coule un latex blanc. Son fruit est comestible et il est l’un des premiers que les hommes ont cultivé pour le manger frais ou sec.


Ta plus belle feuille de figuier

.... .......... . . e l e récolté .......... . . . . . . . Feuille . . ..... .... .......... .......... . . . à ....... . . . . . . . .......... ..........


Le record serait détenu par un spécimen poussant sur les pentes du volcan Etna, en Sicile (Italie), qui aurait entre 2 000 et 4 000 ans.

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eptembre et o ctob ti s : s re

Fru

Durée de vie : plusieurs siècles.

Fleurs : j

Il tient son nom d’une petite ville d’Asie Mineure, Kastanon, aujourd’hui en Turquie. Il est surnommé l’ « arbre à pain » dans certaines régions, car la farine faite à partir des châtaignes y remplace les céréales et est devenue un aliment de base. Le châtaignier est un arbre bon à tout faire : quand il est jeune, on y taille des poteaux pour la vigne ; de ses feuilles, on enveloppe des fromages pour les conserver et leur donner du goût ; de son bois, on fabrique des barriques ou des parquets. On en fait aussi des charpentes qui ont la réputation de faire fuir les araignées, et donc leurs toiles.

t ju i l le t

Le châtaignier

18

Haute

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à 30 m 0 2 de

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L'arbre Majestueux, le châtaignier peut atteindre 30 mètres de haut et son tronc, mesurer plus de 4 mètres de diamètre. On le trouve tout autour de la Méditerranée, dans une grande partie de l’Europe et jusqu’en Chine où il est cultivé pour son fruit. Ses feuilles sont longues, en forme de lance. Elles sont découpées en dents de scie et nervurées régulièrement, comme des arêtes de poisson. Son fruit est la châtaigne. Il est enfermé dans une bogue hérissée de piquants. On en trouve de un à trois par bogue.


Ta plus belle feuille de châtaignier

.... .......... . . e l e récolté .......... . . . . . . . Feuille . . ..... .... .......... .......... . . . à ....... . . . . . . . .......... ..........


Le hêtre

Son nom lui vient du latin fagus, qui a donné dans les langues romanes : fou en ancien français, faggio en italien et haya en espagnol. Il fournit un bois clair et solide qui le rend particulièrement utile en menuiserie, mais aussi comme bois de chauffage. Les Vikings l’utilisaient pour fabriquer leurs roues de chariot. On y a creusé beaucoup de sabots qui ont sillonné les campagnes, mais aussi bon nombre de jeux d’enfant, cubes et autres petits trains. Dans la famille du hêtre, il existe un cousin curieux qui pousse avec des branches tout en boucles et en torsions : le tortillard.

Fleurs : avril et m

ai

Durée de vie : 300 ans normalement.

Le plus ancien se trouve dans la Marne et a 1 000 ans.

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30 à 45 mètres e d :

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L'arbre Certains sujets ont atteint jusqu’à 45 mètres de hauteur, mais il est aussi cultivé en bonsaï. Son tronc haut et droit est exploité en menuiserie, où il est apprécié pour sa régularité. Ses feuilles caduques restent accrochées à l’arbre alors qu’elles sont sèches : on dit qu’elles sont marcescentes. Ses fruits, les faines, sont regroupés par deux ou trois dans une cupule hérissée de poils. Comestibles pour l’homme, mais en petite quantité, on peut aussi en tirer une huile qui, il y a quelques siècles, servait pour l’éclairage.


Ta plus belle feuille de hêtre

.... .......... . . e l e récolté .......... . . . . . . . Feuille . . ..... .... .......... .......... . . . à ....... . . . . . . . .......... ..........


Le tilleul

Il y a près de deux mille ans, en Égypte, d’étonnants portraits étaient peints sur des planches de tilleul. Ils étaient destinés à être placés dans des tombes, sur les momies du Fayoum. Le bois délicat du tilleul nous a permis de connaître ces visages vingt siècles plus tard. Ce bois peut aussi servir à fabriquer des touches de piano, des crayons, des allumettes ou des sabots. Mais c’est surtout pour ses fleurs qu’il est connu. Qui n’a jamais dégusté une infusion de tilleul un soir au coin du feu ? Le tilleul a, depuis toujours, des vertus apaisantes qui en font la boisson idéale avant d’aller au lit.

:é s t i Fr u

Durée de vie : 300 ans, et 600 ans pour les exceptions.

Fleurs : mai et juin 22

Hauteur : 3

5 mèt

s

re

L'arbre Il pousse rapidement et peut atteindre 35 mètres avec des branches largement ouvertes et étalées. Son bois est blanc et facile à travailler. Ses feuilles, en forme de cœur, sont caduques, d’un vert plus foncé au-dessus ; elles sont alternes. En été, les feuilles peuvent rejeter un miellat collant qui ressemble à une fine pluie sous l’arbre. Les fruits sont parfumés, ronds, et munis d’une feuille en forme d’aile pour la dissémination.


Table des matieres Un herbier ? Pour quoi faire ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 5 Observer et reconnaître les feuilles et les fleurs . . . . . . . . . . . . . . pp. 6-7 La cueillette. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . pp. 8-9 Le séchage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . pp. 10-11 Le collage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . pp. 12-13

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Le chêne pédonculé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le figuier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le châtaignier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le hêtre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le tilleul . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le pommier. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le cerisier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le bouleau verruqueux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le saule pleureur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le houx. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . L’érable . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le platane . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . La vigne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le noyer . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le framboisier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le frêne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le lilas. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . L’olivier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

pp. 14-15 pp. 16-17 pp. 18-19 pp. 20-21 pp. 22-23 pp. 24-25 pp. 26-27 pp. 28-29 pp. 30-31 pp. 32-33 pp. 34-35 pp. 36-37 pp. 38-39 pp. 40-41 pp. 42-43 pp. 44-45 pp. 46-47 pp. 48-49


Le gui . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . L’arbre de Judée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le marronnier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . L’if. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le pin sylvestre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . L’épicéa . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le mélèze . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le cyprès . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le mimosa. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . La lavande. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . La pâquerette . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le bouton-d’or . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ta plus belle feuille ou fleur de Ta plus belle feuille ou fleur de Ta plus belle feuille ou fleur de Ta plus belle feuille ou fleur de

pp. 50-51 pp. 52-53 pp. 54-55 pp. 56-57 pp. 58-59 pp. 60-61 pp. 62-63 pp. 64-65 pp. 66-67 pp. 68-69 pp. 70-71 pp. 72-73

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 74 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 75 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 76 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 77

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Achevé d’imprimer en Chine par Toppan Leefung en mars 2016 N° d’édition : 16086-02 Dépôt légal : avril 2015.


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