Auteur : La Diffusion Catéchistique de Lyon Isabelle Morel, Père Michel Jeanpierre, Père Pascal Perroux-Hummel (diocèse de Besançon) Mireille Joly (diocèse de Belfort-Monbéliard) Agnès Durand (diocèse de Nancy) Odile Guilbaud (diocèse de Verdun) Daniel Revaud (diocèse de Belley-Ars) Marie-Thérèse Pinson, Odile Hermann, Père Antoine De Moismont, Père Gilbert Brun (diocèse de Lyon) Germaine Dujoux (diocèse d’Annecy) Dominique Bartnig (diocèse de Saint-Claude)
Remerciements : Père Dominique Banet, Colette Jeannin (diocèse de Besançon) Mgr François Maupu, Père Jean Mangin (diocèse de Verdun) Sophie Gall (diocèse de Nancy) Père Jean Peycelon, Patiaré Bergeret, Héléne Cartron (diocèse de Lyon) Chantal Dumery (diocèse de Nevers) Mgr Vincent Jordy (diocèse de Saint-Claude) Les personnes qui ont accepté de relire les modules et les animateurs qui les ont expérimentés
Nihil obstat, Père Bruno Bataillon, 10 avril 2013 Imprimatur à usage catéchétique, Cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon, 10 avril 2013 Maquette : Anne Bordenave Montage DVD : Crea Nostra ISBN : 978-2-7105-0520-4 MDS : 538 024 www. fleuruseditions.com www.alarencontreduseigneur.fr © Mame-Tardy, Paris, 2013, pour l’ensemble de l’ouvrage Toute reproduction interdite. Tous droits réservés pour tous pays. © Textes liturgiques : AELF, Paris
Avec ce document vous soutenez la responsabilité de catéchèse dans l’Église, et vous contribuez à une solidarité financière entre les diocèses de France. Les évêques de la Commission épiscopale de la catéchèse et du catéchuménat (CECC).
Cette nouvelle orientation invite à passer d’une catéchèse destinée aux enfants à une catéchèse proposée à tous, enfants et adultes, à tous les âges de la vie ; d’un parcours linéaire et progressif à une organisation par modules, souple et adaptée au mode de vie et au rapport au temps de nos contemporains ; d’une catéchèse qui repose sur quelques personnes à une catéchèse qui prend appui sur une communauté catéchisante et missionnaire, à une catéchèse prenant acte de la difficulté d’appartenir à une vie communautaire et proposant à tous un bain ecclésial. Le défi aujourd’hui, dans une société globalement déchristianisée, est de « mettre quelqu’un non seulement en contact, mais en communion, en intimité avec le Christ 1 ». Pour répondre à cette nouvelle situation, les évêques font le choix de la pédagogie d’initiation. C’est à la suite de ce choix que La Diffusion Catéchistique de Lyon élabore de nouveaux documents catéchétiques.
La pédagogie d’initiation implique une démarche particulière qui vise à rendre « effectif, chez une personne, l’accueil de Dieu qui attire à lui 2 ». Elle repose sur sept principes3 et requiert : – La liberté des personnes : liberté d’entreprendre une démarche ; liberté d’exprimer sa pensée, sa foi, ses doutes, ses questions. – Un cheminement : la mise en place d’étapes donne le goût d’aller plus loin et propose un chemin. – Un enracinement profond dans l’Écriture en laissant la parole de Dieu faire son travail et en favorisant ce qui peut rendre possible l’action de l’Esprit Saint au cœur de chacun. – La médiation d’une tradition vivante : les témoins d’hier et d’aujourd’hui, le témoignage des communautés chrétiennes à travers les âges, introduisent les personnes dans l’expérience d’une foi qui les précède toujours. – Des cheminements de type catéchuménal qui impliquent une catéchèse biblique, l’appel à la conversion personnelle suscitée par la parole de Dieu, la rencontre d’une communauté vivante, une introduction à la vie de prière et à la vie sacramentelle. – Une dynamique du choix qui introduit les personnes à une vie de partage fraternel en réponse à la parole et à l’amour de Dieu. Elle les aide à s’interroger sur leurs choix et décisions au quotidien. 1. Jean-Paul II, Catechesi tradendae, no 5. 2. Texte national pour l’orientation de la catéchèse en France, p. 27. 3. Texte national pour l’orientation de la catéchèse en France, pp. 46 à 60.
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Le Texte national pour l’orientation de la catéchèse en France, voté le 7 novembre 2005 par les évêques de France réunis en assemblée plénière à Lourdes, prend acte des profondes mutations de la société et propose une nouvelle orientation pour la catéchèse.
!"#$%&$'&$(')*+,-#./00$( Livre Parle Seigneur, ta Parole est un Trésor Livre Seigneur, apprends-nous à prier DVD Seigneur, tu nous appelles Site Internet À la rencontre du Seigneur Vidéo Animateur
Visée Enjeu Étape Point d’attention Passerelle Prière Chant
Accueil
Durée
Matériel
Jalon collectif
Bible
Jalon personnel
Site Internet
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Pris dans l’engrenage du quotidien, la semaine de chacun est bien remplie par ce qui nous est imposé et ce que nous choisissons. Il est bon de prendre le temps de faire le point sur ce qui constitue notre emploi du temps : collège, activités, amis, famille, plaisir, transports, repos… Quel temps est consacré au Seigneur au milieu de tout cela ? Et le dimanche, je fais quoi ?
Temps d’accueil des jeunes par l’animateur. Prévoir de remettre le matériel à ceux qui vivent leur premier module.
23'4*($'$%'.-5,$ Il s’agit dans un premier temps d’entrer dans le sujet d’une manière ludique. Trois propositions au choix :
a. Le jeu du « chaud / froid » L’animateur dit : Aujourd’hui je vous propose de deviner le sujet que nous allons aborder ensemble. Au préalable il aura caché des messages dans la salle (ou à l’extérieur) destinés à faire deviner le mot « temps ». Sur les messages seront écrites les devinettes suivantes :
– On peut le tuer. (Tuer le temps.) – On peut le perdre. (Perdre son temps.) – Il peut courir. (Le temps qui court.) – Il peut être de l’argent. (Le temps, c’est de l’argent.) – La chanson dit qu’avec lui tout s’en va. (Avec le temps va, tout s’en va.) – Le lapin d’Alice court toujours après. (Dans Alice au pays des merveilles, le lapin court après le temps.) – On peut en avoir un bout. (Un bout de temps !) – On peut le prendre. (Prendre son temps.) – Le musicien peut jouer contre. (Jouer à contretemps.)
UÊL’animateur invite un ou deux jeunes à chercher le premier message (puis d’autres prendront le relais). Pour ce faire, il leur indique s’ils s’approchent (« Tu chauffes ! ») ou non (« Tu refroidis ! ») de l’endroit où l’un des indices est caché. Quand il est trouvé, il est lu au groupe et chacun essaie de trouver la réponse. UÊContinuer le jeu jusqu’à ce que tous les messages soient trouvés. L’ordre dans lequel les messages sont découverts n’a pas d’importance. Si le groupe a trouvé
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Dieu a comblé l’homme des organes de la communication (v. 6) : langue, yeux, oreilles, pour entrer en relation avec les autres. Il lui a façonné un cœur, siège du discernement et de la pensée dans le vocabulaire biblique. Et surtout, il l’a doté de la capacité de choisir la voie du bien ou du mal.
L’auteur appuie sa pensée sur les premiers chapitres du livre de la Genèse, où Dieu façonne l’homme à partir de la terre et lui insuffle son haleine, son souffle de vie (Gn 2, 7). Il le sait fragile, mortel, puisqu’il retourne à la terre. La durée de ses jours n’est pas illimitée. Mais durant le temps qui lui est imparti, il partage le pouvoir de Dieu lui-même sur la Terre car il a été créé à son image (v. 3). Cette empreinte divine le place au-dessus de toutes les autres créatures, sur lesquelles il exerce un certain pouvoir (v. 4). L’homme reçoit la domination sur les oiseaux, les poissons, les animaux (Gn 1, 28 et 2, 20). Il n’a pas à en avoir peur, ni à les tenir pour des dieux comme chez les peuples voisins.
2. Au fil du texte
Le livre fut écrit en hébreu vers 190 avant Jésus Christ. Mais il nous est parvenu dans sa traduction grecque. On l’appelle aussi l’Ecclésiastique parce qu’il servait certainement à l’instruction des jeunes chrétiens. Ce livre ne fait pas partie de l’ensemble des livres transmis en hébreu, c’est pourquoi il est appelé deutérocanonique chez les catholiques et ne figure pas habituellement dans les Bibles protestantes. Comme tous les écrits de Sagesse de cette époque, les auteurs sont confrontés à l’influence croissante de la culture grecque. Comment rester fidèle à la Tradition des pères, à l’enseignement des prophètes, à l’obéissance à la Loi au milieu d’une société qui se laisse gagner par l’influence de la civilisation et de la pensée grecques ? Où trouver la vraie Sagesse, le savoir-faire, le savoirvivre au milieu de ces bouleversements de société ? C’est à ces questions que tentent de répondre les croyants de l’époque : la sagesse est un don de Dieu. Lui seul la possède en plénitude et depuis toujours. Il l’a répandue dans ses œuvres et il désire en combler ceux qui l’aiment.
1. Le contexte
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Seigneur tu nous as tirés de la terre. Tu nous as revêtus de force, comme toi-même. À ton image, tu nous as créés. Tu as mis ta lumière dans nos cœurs. Tu as conclu avec nous une alliance éternelle. Nous louons ton Saint Nom.
4. Quelques phrases de méditation
– Comment témoigner que la foi au Christ est source de vie pour nous et pour les autres ?
– Avec la venue du Christ, l’Alliance éternelle est scellée entre les hommes et Dieu. « Moi je suis venu pour que les hommes aient la vie et qu’ils l’aient en abondance. » (Jn 10, 10)
– L’homme est tiré de la terre ; il est lié à elle. Nuire à la terre, c’est nuire à l’homme. Il reçoit pouvoir sur la création. Non pas le pouvoir absolu qui le placerait au-dessus du créateur, mais le pouvoir de l’aménager de façon à refléter le Saint Nom de Dieu au milieu du monde. Quelles réflexions cela nous inspire-t-il sur l’écologie, le respect de l’environnement ?
– Dans le contexte de notre société marquée par la science et la technique, comment témoigner de cette vision de l’homme qui tire son origine en Dieu, qui porte en lui l’empreinte divine, qui trouve la plénitude de sa vie dans l’Alliance accomplie par le Christ ?
3. Quelques questions pour une actualisation
Déjà lié à Dieu son créateur, l’homme reçoit la Loi par laquelle il va s’engager envers son Dieu dans le cadre de l’Alliance (v. 2 : allusion à l’alliance du Sinaï). Cette Alliance avec le don de la Loi surpasse tous les dons. Elle lie le peuple et Dieu d’une manière irrévocable. La fidélité à la Loi dans l’Alliance est source de vie.
Le cœur de l’homme est éclairé par la lumière de Dieu qui lui permet de regarder le monde comme un don merveilleux du créateur. Il peut ainsi louer Dieu et reconnaître sa présence dans la beauté de ses œuvres : « Ils loueront son nom très saint ! » (Si 17, 10)
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« Je suis le Seigneur ton Dieu qui t’ai fait sortir du pays d’Égypte, de la maison d’esclavage. Tu n’auras pas d’autres dieux que moi. Tu ne feras aucune idole, aucune image de ce qui est là-haut dans les cieux ou en bas sur la terre… Tu ne te prosterneras pas devant ces images pour leur rendre un culte. » (Ex 20, 2-5)
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Dieu se révèle « Je suis le Seigneur ton Dieu qui t’ai fait sortir du pays d’Égypte, de la maison d’esclavage. » (Ex 20, 2) Dieu prend l’initiative de se faire connaître à Moïse et à son peuple, et il se révèle comme celui qui écoute les cris de l’humanité et qui agit pour la libérer. Il souhaite entrer en relation, en communication, en alliance avec son peuple. Il révèle son Nom, même si ce Nom reste mystérieux. L’homme peut accueillir cette révélation et y répondre… mais parfois, il se détourne de Dieu et préfère se construire de fausses représentations, des images, des idoles.
Dieu se révèle en Jésus Christ Non seulement Dieu s’est montré attentif à l’humanité en agissant dans son histoire, mais il choisit aussi de se révéler davantage en venant partager notre humanité en son Fils, Jésus Christ. Dieu dévoile ainsi son visage, il devient Père et montre toujours plus son amour. Avec l’Esprit Saint, annoncé par Jésus et donné par le Père, le Dieu unique se manifeste comme Trinité, un seul Dieu en trois personnes ; circulation et communion d’amour, entre les trois, ouverte sur l’humanité. La célébration de ce mystère offre aux hommes de vivre de cette relation d’amour, de l’accueillir en peuple, et de nous reconnaître proches de tous nos frères humains. Nous avons sans cesse à chercher Dieu, c’est un chemin d’ombres et de lumières, quête de toute une vie. À travers ce module, chacun (animateurs et jeunes) est appelé à repenser les représentations qu’il peut se faire de Dieu et à les purifier en laissant Dieu lui révéler son visage. « Dieu se fait connaître en rappelant son action toute-puissante, bienveillante et libératrice dans l’histoire de celui auquel il s’adresse : “Je t’ai fait sortir du pays d’Égypte, de la maison d’esclavage”. La première parole contient le premier commandement de la loi : “Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu le serviras [...]
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Parce que cela nous est naturel, nous ne nous rendons pas toujours compte que tout homme, quel qu’il soit, cherche la vérité, le vrai. Chaque jour, par exemple, nous écoutons la radio, lisons les journaux, regardons la télévision, pour être informés et savoir vraiment ce qui se passe dans le monde. Si nous étions certains que les journaux nous disent des mensonges, nous n’irions même pas les ouvrir. De même, nous demandons à ceux avec lesquels nous vivons, et particulièrement à ceux que nous aimons : « Est-ce que tu m’aimes ? Est-ce que tu m’aimes vraiment ? » Parce que nous avons besoin de savoir s’ils nous aiment, nous avons besoin de la vérité sur la relation avec eux. Parce que cette vérité est la base de la confiance entre les êtres qui permet la vie en société, en communauté. Si nous sommes ainsi tendus pour rechercher la vérité - aucun d’entre nous ne cherche volontairement le mensonge ni à être trompé -, c’est parce que Dieu nous a en fait créés à son image et à sa ressemblance, comme le dit le Livre de la Genèse (Gn 1, 26), et que ce Dieu qui nous a créés à son image, dont nous sommes le reflet dans le monde, est lui-même la Vérité. Il est la source de toute vérité, cette vérité dont il témoigne par ses œuvres dans la création, par le salut qu’il apporte et par sa Parole. Il n‘y a pas en Dieu de mensonge, ni de faute, ni de duplicité. Mais, si Dieu nous a créés à son image et à sa ressemblance, nous sommes cependant, comme le dit la Genèse, à la fois des êtres « très bons » et des êtres fragiles, « fragilisés » après le mystérieux péché des origines. Saint Paul le dira très bien dans une formule célèbre : « Le bien que je voudrais faire, je ne le fais pas, et le mal que je ne voudrais pas faire, je le fais. » (Rm 7, 19) Nous sommes donc faits pour la vérité, pour la dire, la vivre et la mettre en œuvre, mais à cause de cette fracture, de ce «péché» qui est en nous, nous pouvons parfois manquer à cette vérité, la détourner, ne pas la dire à ceux qui ont le droit de l’entendre. C’est pourquoi le Dieu d’Israël va venir, par les prophètes, se révéler dans l’Ancienne Alliance, et il va nous donner les commandements dont ce huitième commandement qui concerne la vérité : « Tu ne témoigneras pas faussement contre ton prochain », dit le livre de l’Exode (20, 16). Et Jésus lui-même, dans l’évangile de Matthieu (5, 33), proclame : « Il a été dit aux anciens : tu ne parjureras pas, mais tu t’acquitteras envers le Seigneur de tes serments ». Tenir sa parole, dire la vérité, c’est la loi que Dieu donne à Israël pour dépasser le péché et vivre en vérité. Mais Dieu ne va pas s’arrêter là : il va aussi nous envoyer son propre Fils, Jésus, qui va entrer dans l’Histoire. Saint Jean nous dit que la loi nous est venue par Moïse et que la grâce et la vérité nous sont venues par le Christ. Jésus n’est pas seulement celui qui dit la vérité, il est la Vérité venue dans le monde, par son attitude, par sa cohérence de vie. Il est celui qui, en donnant sa vie par amour pour nous, en restant vrai et témoignant de son Père jusqu’au bout, jusqu’à la Croix, va nous donner l’Esprit Saint. Cet Esprit, l’Esprit de Vérité qui nous est communiqué au baptême, nous aide à vivre en vérité et à témoigner de la vérité. Ainsi le disciple du Christ que nous essayons d’être a reçu à la fois l’aide extérieure que sont les commandements, mais aussi une aide intérieure avec l’Esprit de Vérité. Cet Esprit nous est donné d’une part pour témoigner de la Vérité dans le monde - en défendant non seulement la foi, mais aussi les personnes -, et d’autre part pour combattre les tentations contre la vérité qui sont en nous : le faux témoignage, la médisance, la calomnie, la flatterie, le mensonge. Ceci est important car, comme le dira Jésus, « la vérité vous rendra libres ». C’est en accueillant et en vivant le message de vérité de l’Evangile, en étant vrais, en étant des défenseurs de la vérité, toujours et partout, que nous pouvons acquérir une véritable liberté du cœur et ainsi devenir vraiment des enfants de Dieu et en témoigner par toute notre vie. Vincent Jordy Évêque de Saint-Claude
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Charade 1 Mon 1er est la première lettre de l’alphabet. Mon 2e est un déterminant, article défini, féminin, singulier. Je me sers de mon 3e quand je joue aux petits chevaux. Mon 4e relie mon corps et ma tête. Mon 5e est de la même couleur que la jument de Marcel Aymé. Mon 6e est un article contracté. Mon 7e est identique au nombre de doigts que comptent mes deux mains. Je passe mon 8e pour faire un achat sur Internet. Mon 9e se situe entre 1 et 3. Mon 10e est le verbe « mentir » à la 3e personne du singulier et au présent de l’indicatif. Mon tout est le jeu que je fais aujourd’hui.
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Charade 2 Mon 1er est le contraire de « sous ». Mon 2e est une note de musique. Une voiture possède quatre fois mon 3e. Mon 4e est la dernière syllabe du mot « patate ». Mon 5e est un article indéfini, pluriel, masculin ou féminin. Mon 6e est le chiffre que j’obtiens quand je divise 20 par 2. Mon 7e s’inscrit dans le sable quand je marche. Je tiens mon 8e quand je joue au théâtre. Mon 9e est une préposition. Mon 10e est le contraire de « mort ». Mon tout est là où je m’apprête à aller.
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« On n’adore pas le chocolat, mais Dieu seul. »
« À qui irions-nous Seigneur ? Tu as les paroles de la vie éternelle ! » Jn 6, 68
« Tu ne fabriqueras pas d’idole. »
« Fumer tue ! »
« Va, descends, ton peuple s’est perverti, lui que tu as fait monter du pays d’Égypte. Ils n’auront pas mis longtemps à quitter le chemin que je leur avais prescrit ! Ils se sont fabriqué un veau en métal fondu. Ils se sont prosternés devant lui, ils lui ont offert des sacrifices en proclamant : “Israël, voici tes dieux, qui t’ont fait monter du pays d’Égypte.” »
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1. Lecture de la scène Les participants sont invités à visualiser la scène en l’écoutant racontée ou lue par l’accompagnateur (on ne donne le texte qu’après).
2. Premier temps de partage Après un temps de lecture silencieuse – qui consiste essentiellement à regarder la scène et à s’en imprégner – l’animateur invite les participants à raconter brièvement un aspect de la scène qui les touche (il faut bien insister sur l’accueil de la scène par les sens. Il s’agit de dire ce que l’on a remarqué, ou ce qui a touché, et non de se lancer dans un commentaire, encore moins d’effectuer une application immédiate à une situation. C’est à ce prix que l’exercice peut se réaliser vraiment, sous une forme qui ouvre à la contemplation). Durée de la lecture silencieuse : deux ou trois minutes. Le tour de parole doit être prévu. Si une personne ne souhaite pas s’exprimer, elle le signale. On peut aussi faire passer une bougie allumée.
3. Deuxième temps de partage Le tour achevé, on prend trois minutes de silence et l’on reprend le partage de la même manière qu’au premier tour. Cette fois chacun prend la parole pour exprimer comment cette scène le touche compte tenu de ce qu’il a entendu des autres.
4. Troisième temps de partage, après un temps de silence Il consiste en l’expression, non plus de ce qui a frappé dans la scène, mais de la prière qui est née en nous de cette contemplation : louange, action de grâce, repentir, intercession, supplication pour soi-même. On peut procéder comme pour le premier et le deuxième temps de partage.
5. Conclusion
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L’animateur peut rassembler la prière (ou le partage) du groupe dans une oraison (ou une synthèse) qui « collecte » l’essentiel de ce qui a été exprimé.
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....................................................................... p. 5
!"'1)23456)5789)2782:;8)23456)5789);<38 ................................... p. 13 Étape 1 ...............................................................................................p. 22 Étape 2 ...............................................................................................p. 25 Étape 3 ...............................................................................................p. 29 Étape 4 ...............................................................................................p. 32 Étape 5 ...............................................................................................p. 35 Proposition pour un temps fort intergénérationnel .............................p. 37 Étape 4 et 5 bis ..................................................................................p. 38 Pour aller plus loin .............................................................................p. 40 Annexes Ê Ê UÊ V iÃÊL L µÕià 1. Livre de Ben Sirac le Sage (17, 1-12) ............................................p. 41 2. Psaume 139 ..................................................................................p. 42
!"#8)36)17293);<38:)1786)674436)271)5385=3 ............................... p. 49 Étape 1 ...............................................................................................p. 53 Étape 2 ...............................................................................................p. 57 Étape 3 ...............................................................................................p. 62 Étape 4 ...............................................................................................p. 66 Pour aller plus loin .............................................................................p. 69 Annexes Ê Ê UÊ V iÃÊL L µÕià 1. Le Buisson ardent (Exode 3, 1-15) ...............................................p. 70 2. Le Veau d’or (Exode 32, 1-20) .....................................................p. 71
!">)=?@A7823);3)=B)C@9<2@:)1786)2@47<D1716 ................................ p. 73 Étape 1 ...............................................................................................p. 81 Étape 2 ...............................................................................................p. 85 Étape 3 ...............................................................................................p. 89 Étape 4 ...............................................................................................p. 93 Pour aller plus loin .............................................................................p. 96 Annexes Ê Ê UÊ6Õ]Ê Õ]Êi Ìi `ÕÊ À iÊ`½ LÃiÀÛ>Ì ®..............................................p. 97 Ê Ê UÊ >Ã ÃÊ v ÃÊ À iÊ`½ LÃiÀÛ>Ì ® ...................................................p. 98