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— sommaire — INTERVIEWER Le retour de Sergio LAYOS
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ILLUSTRER David CASADA et Ruben ALCANTARA pour l’univers de Flybikes
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FILMER Sean, Rich et Josh pour COOL STORY BRO
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PHOTOGRAPHIER Des clichés validés
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FLASH by RIDE SESSIONS Notre concours photo au Smartphone
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INTERVIEWER La vie de Morgann LAHAIE à Austin
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EVOLUER Les pegs
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PARTICIPER Sosh Urban Motion
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SELECTIONNER Du matos bien frais pour l’été
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Imprimé sur un papier issu de forêts durablement gérées, car nous les arbres on aime ça ! Toute reproduction ou publication même partielle est interdite sans autorisation préalable. L’éditeur ne saurait être tenu pour responsable des erreurs et manquements dans le contenu du magazine. Merci ! 8
sommaire
Photo: Daniel Benson FR: www.frenchys-distribution.com
L L O Y D
W R I G H T
I N T R O D U C I N G
T H E
E S T A T E
A L M O N D F O O T W E A R . C O M
ASI Management // Photo : V.Perraud
C’est 100 pages de papier mais c’est aussi de la chair humaine...
Publication Fabien CONRY fabien@figurebmx.fr
Photographie Xavier « Boz » TSCHUDI xavier@figurebmx.fr Freddy BERMOND freddy@figurebmx.fr Simon CASSOL
Artistique Marketing Lilian CONRY lilian@figurebmx.fr Projet / Rédaction Shelter DOE shelter@figurebmx.fr Xavier « Boz » TSCHUDI xavier@figurebmx.fr John GARCIA john@figurebmx.fr Simon CASSOL Mayol
Soutien photographie Ben AUSTIN Julie SIMMONS – MAZZETTI Lee TURNER Mayol GREENFILMS Greg VUXTA Cédric DE RODOT Hadrien PICARD George MARSHALL
Mise en page Illustrations Vincent JACQUIN Small Studio small@figurebmx.fr PHOTO - COUVERTURE Rider : Josh BEDFORD Photo : Lilian CONRY PHOTO - ÉDITO Julie SIMMONS – MAZZETTI Rider : Blaine MAZZETTI Edité par NEW ROUND 6 rue René LEYNAUD 69001 LYON
Publicité Fabien CONRY
De la news exclusives, vidéos, galeries photos sur www.figurebmx.fr mais aussi sur
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— édito — C’est bon, nous y sommes ! L’été ! Enfin ! Ne nous éternisons pas à parler de la météo de ces dernières semaines, je crois que nous l’avons suffisamment fait… Parlons plutôt de ce qui se trame à l’horizon… Voyons la bouteille à moitié pleine plutôt qu’à moitié vide ! Alors qu’est-ce qui se dessine cet été ? Même si je suis loin d’être devin, j’ai l’impression que ces mois de Juillet et Août laissent présager de belles sessions et de beaux road trips… Comme chaque année, me direz-vous, oui c’est sûr, mais cette année, je sens qu’il va y avoir une vraie envie de bouger, de rider et de se faire plaisir sur son bike ! Je ne veux pas jouer au moralisateur, mais je vous propose d’apprécier les bons moments qui vous seront offerts ces prochains temps. Je pense aux sessions entre potes au soleil, aux barbecues, aux quelques jours de vacances et tous ces instants qui font que la vie laisse bien souvent rayonner ces nombreux côtés positifs. Soyons heureux, et surtout sachons rebondir au bon moment ! Simplement parce que la période n’est pas évidente, mais notre sport reste une discipline qui intéresse les jeunes comme les moins jeunes. C’est maintenant que la scène BMX, la vraie, doit se serrer les coudes… Soutenez le bmx en France, soutenez les shops français, les événements, les mags…On y croit, on se bouge de notre côté pour que cet instant où vous prendrez ce mag entre les mains soit un rayon de plus au soleil de l’été ! Bon été, faites attention à vous et rendez-vous à la rentrée ! 16 éditer
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— interviewer Le retour de Sergio LAYOS
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Texte et interview : Fabien. Photos : Mayol, sauf indiqué.
Flybikes a largement contribué à la popularisation de Sergio LAYOS… De son côté, Sergio a fait grandir la marque, bref vous l’avez compris, l’un ne va pas sans l’autre ! C’est une sacrée relation que l’industrie du BMX a vu se développer entre ces 2 là ! Ces derniers temps, ça ne vous aura pas échappé, le plus stylé des Espagnols a fait parler la poudre avec un retour fracassant… Un retour oui, car Sergio se remet à rouler après plusieurs mois de convalescence… Très apprécié pour sa simplicité et sa gentillesse, nous nous sommes penchés sur l’actualité débordante de Mr LAYOS… Voilà donc un super complément sur le dossier Flybikes consacré à un super bonhomme !
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Qui est Sergio LAYOS ? Qu’est-ce que tu veux dire à ton sujet aux lecteurs français ? Et bien, disons que ce n’est pas une question facile… Je pense que la personne que je suis ou au moins celle que j’essaie d’être est humble et simple, qui respecte les valeurs qu’on lui a inculquées… Cette personne aime aussi toutes les choses qui ont 2 roues, dont le BMX bien sûr, je ride d’ailleurs depuis que j’ai 11 ans ! Je suis aussi vraiment content d’avoir l’opportunité de voyager partout dans le monde, mais avant tout, je suis un homme heureux.
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Cancan footplant / Lyon / Photo : Boz
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Moto X
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One foot nac nac
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Tu as fait une sale chute pendant la tournée Etnies Club Med tour qui t’a obligé d’arrêter de rider pendant des mois… Ensuite tu as été à nouveau blessé à la main… Comment as- tu occupé ton temps pendant tes blessures ? Oui, je me suis vraiment fait mal pendant le trip ce qui m’a empêché de rider pendant 10 mois. En effet, ensuite, je me suis cassé un doigt mais c’était moins grave car c’était réparé avant que je ne retrouve quelques sensations à la jambe, donc au final le doigt ce n’était pas un gros problème. Pendant ce temps, j’ai fait des exercices pour pouvoir rider à nouveau le plus vite possible… J’ai aussi restauré une moto qui est d’ailleurs bientôt finie mais depuis que j’ai repris, je n’ai pas été beaucoup chez moi pour la terminer.
Flair
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— J’ai même essayé des tricks que je n’avais pas refaits depuis ma blessure —
3.6 invert / BMX Street Station Photo : Greg VUXTA
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Le contest BMX STREET STATION était le 1er contest auquel tu participais après ta reprise… Quelles ont été tes sensations ? Je me suis vraiment senti bien. Je n’avais repris le bike que depuis 1 mois et j’ai eu de bonnes sensations… Je suis content de comment j’ai ridé, sans trop de douleurs à ma jambe en plus. J’ai même essayé des tricks que je n’avais pas refaits depuis ma blessure… J’ai vraiment pris du plaisir à rider. Aussi c’était bon psychologiquement car je ne savais pas comment se passerait le retour sur les contests… Après les X-games de Barcelone, tu as été en Corée…Le mois de Mai semble avoir été un mois chargé pour toi. Ca veut dire que Sergio est complètement guéri et de retour avec une jambe toute neuve ? Je suis peut-être de retour mais pas avec une jambe toute neuve hey hey ! J’ai encore pas mal de travail à faire, mais j’étais out depuis tellement de temps que je prends tout ce qui vient, donc c’est sûr que ce mois a été un peu fou. Après les X-games, je suis allé en Corée pour une émission TV (Top Gear Korea) pendant 2 jours, puis je me suis envolé pour le Mexique et le RedBull Dirt Conquers et je vais dans quelques jours en Lituanie pour un autre évènement RedBull Backyard Digger… J’espère ensuite avoir quelques jours de repos mais pas trop car chacun de ces voyages et contests ont été de supers moments, donc je n’ai pas envie que ça s’arrête !
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Comme beaucoup le savent, tu rides pour Flybikes depuis pas mal de temps. A un tel point à mon sens, que ton image est liée à celle de la marque. Est- ce que tu pourrais nous en dire plus sur ton rôle pour la marque espagnole, tes projets, etc etc ? Je fais partie de la boîte depuis presque le début et je pense que je ne pourrais mieux me sentir dans une autre boîte ou avec une autre marque… Aussi, David est pour moi comme un père, il a toujours été là pour moi. Je ne pense pas pouvoir le remercier assez pour tout ce qu’il a fait pour moi. La marque a un bon état d’esprit et la passion qu’il y a derrière fait de Flybikes la meilleure marque de BMX à mon sens. Un dernier mot ? Quelque chose à ajouter ? Je voudrais remercier tous ceux qui ont toujours été là pour moi depuis tout ce temps, à mes sponsors qui croient en moi plus que moi-même, à certains moments. Merci à vous les gars aussi pour me donner le plaisir de répondre à vos questions. Je suis définitivement le mec le plus heureux sur terre avec tout ce que j’ai déjà fait et avec tout ce qu’il m’arrive en ce moment…Merçi. 32 interviewer
Sergio LAYOS et David CASSADA
— illustrer David CASADA et Ruben ALCANTARA pour l’univers de Flybikes.
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Texte et interview : Fabien. Photos : Lee TURNER
Il a fallu attendre le 6ème numéro pour traiter comme il se devait l’univers graphique de Flybikes… Le hasard fait bien les choses car c’est tombé sur ce numéro d’été, qui sent bon le soleil, tout comme l’Espagne dont la marque est originaire… Créée par un visionnaire du BMX, David CASADA, la société espagnole fait partie des plus innovantes de l’industrie. Comme d’habitude dans la rubrique ILLUSTRER, nous avons rassemblé et collecté quelques productions graphiques de la marque… Agrémenté de quelques questions posées au big boss, et à Ruben ALCANTARA qu’on ne présente plus. Découvrez le côté marketing de Flybikes. Bueno, bueno !
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Bonjour David. Quel est ton rôle pour la marque aujourd’hui ? Aujourd’hui mon rôle est de gérer la boîte… Je suis aussi désigner produits. J’y travaille depuis que j’ai créé la marque en 1999 ! Comment Flybikes travaille son image de marque ? Quelles sont les priorités ? La partie sur l’image de la marque n’est pas facile à expliquer par écrit ! Nous avons toujours fait les choses par nous-mêmes pour en être contents et fiers. En fait, nous ne faisons pas attention à ce qu’il se fait en ce moment, ce qui est tendance et établi. Je pense que c’est d’ailleurs ça notre priorité, de faire les choses comme nous voulons les faire. Comment décrirais-tu le graphisme de Flybikes ? Nous aimons les choses simples, c’est donc dans cet esprit que les logos sont travaillés. Nous avons un intérêt particulier pour l’environnement et nous défendons des valeurs de paix, donc je pense que ces idées se ressentent dans nos concepts qui traitent par exemple de l’eau, (Agua ou lago), de la terre (Tierra), de la montagne (Montaña), etc etc. Qui travaille sur les pubs, le graphisme ? Nous sommes une boîte un peu particulière car nous sommes une des rares marques à ne pas avoir de graphiste à proprement parler ! Depuis le début, le staff et le team sont très proches et échangent beaucoup sur leurs idées. Et quand il y a une bonne idée, le graphisme est généralement assez facile à trouver donc c’est pour cette raison que nous n’avons jamais eu une personne spécifique pour ce taf !
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— Nous pensons que le BMX est une histoire de potes —
Comment un nouveau logo / graphisme est sélectionné pour qu’il apparaisse sur un bike, un cadre ou même une pub ? Ca arrive vraiment naturellement… Prenons comme exemple, la ligne Trueno. Sergio voulait retravailler le design de son cadre et est venu avec le mot Trueno (Tonnere en espagnol). Nous avons discuté sur le graphisme et les logos et nous sommes arrivés à ce logo avec un nuage et l’éclair. Tout le monde chez nous prend part au processus, vraiment ! Quand vous avez l’idée, même si c’est dessiné à l’arrache sur une serviette de table, la plus grosse partie du job est faite. David CASSADA avec ses riders
Quand nous regardons les vidéos flybikes, nous ressentons vraiment une atmosphère familiale dans le team… Quels sont les liens entre les riders et la marque ? Fly a débuté avec un groupe de potes et nous voulons que ça le reste ! Nous nous sommes fait d’autres amis au fil des années mais nous gardons contact avec les riders / potes depuis le début. Je pense que c’est comme ça que ça marche dans la vie. Ce n’est pas le cas ? Ce n’est pas facile de créer un team de cette manière car ce sont des riders super doués mais aussi des personnes très spéciales car ils sont des amis depuis très longtemps. Ils sont impliqués dans beaucoup de décisions, donc ils se sentent appartenir à la marque plus qu’un simple sponsor… Nous pensons simplement que le BMX est une histoire de potes qui prennent du plaisir sur leurs bikes.
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Quelques questions à
Ruben ALCANTARA Depuis combien de temps rides-tu pour la fameuse marque espagnole ? Je connais David (CASADA) depuis 1988. Même s’il est du nord de l’Espagne et moi du sud, nous nous sommes souvent rencontrés sur les contests et des événements. A l’époque, il gérait déjà une boîte de distribution et il m’aidait avec quelques pièces. Il a été mon tout premier sponsor et j’étais vraiment content car à cette époque, c’était presque impossible de recevoir du matos gratuitement. Ensuite, je me suis envolé pour ma première aventure aux USA où j’ai été chanceux d’avoir de nouveaux sponsors… J’ai vécu quelques temps aux USA et pendant ce temps David lançait Flybikes… Nous avions une bonne relation mais je devais faire quelques compromis car je ridais pour d’autres marques… Les choses se sont assez vite mises en place par la suite car je savais pour quelle marque et pour qui je voulais rider…Depuis 2004, tout fonctionne pour le mieux, woww ! Presque 10 ans ! Merci David pour ton soutien et ton travail acharné… Quelle est ta relation avec la marque aujourd’hui ? C’est une bonne relation, nous continuons à échanger nos opinions et travailler pour élaborer de bons produits. David échange toujours des idées sur de nouveaux produits. La marque a été vraiment innovante sur pas mal de produits. Le team et les trips ont toujours été cool parce que David pense toujours à soutenir des gens avec de bonnes attitudes… L’image du team en découle naturellement.
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Tu as des pièces signatures développées par la marque… Comment les choses se sont déroulées ? J’ai toujours pensé à beaucoup de pièces… Même avant d’être sponsorisé, j’essayais de faire mes propres pièces et de les tester pour les rendre plus solides… Alors avoir l’opportunité de vraiment faire les pièces comme tu souhaites à une échelle internationale, c’est vraiment bien. Mes pièces signatures sont celles avec lesquelles ton corps est en relation directe avec le bike (pédales, poignées), je pense donc que c’est sur ces pièces que tu souhaites le meilleur développement… Je pensais à quel serait le meilleur feeling en ridant tous les jours avec ces pièces et nous sommes arrivés à être raccord avec ce que j’avais en tête. Je suis très content du résultat et j’ai reçu plein de compliments donc je pense que nous avons fait du bon boulot. Merci aux riders qui ont acheté mes pièces car tellement de marques produisent les mêmes produits, notamment les pneus, que je suis vraiment content quand je vois des riders avec mes pneus flybikes par exemple… Merci encore...
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— filmer Sean, Rich et Josh pour COOL STORY BRO
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Texte et interview : Fabien. Photos : Boz
Quand nous avons appris qu’un nouvel épisode du projet Cool Story Bro de Mutiny allait être filmé à Lyon, l’occasion était trop belle pour ne pas étudier ça à la loupe… Surtout quand le principal protagoniste se nomme Josh BEDFORD ! Rider anglais atypique, imposant, charismatique qui ne compte plus ses années de bike ni ses tatoos d’ailleurs…
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Josh / Ride Fast
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Josh / Gap depuis le muret
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Après avoir maté les premières vidéos du projet filmées par Rich FORNE, je me suis dit qu’il y avait matière à faire quelque chose d’intéressant avec ces personnages, car oui ce sont des personnages… Accompagnés de Sean OCONNELL, également rider Mutiny pour l’Angleterre, c’est dans notre salon que Josh et Rich ont pris leurs quartiers pour 8 jours de riding engagé…Même vraiment engagé, vous comprendrez… Ride fast le Josh !
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Josh BEDFORD Age : 27 ans Résidence : Sheffield Riding : 15 ans de riding Riders : Mike Hoder, Tommy C, Garret Reeves Ville : San Francisco Trick : Tous les tricks où il faut aller vite (ride fast !) Musique : Punk Magazines : Albion et Figuré Site de BMX : Defgrip Web video : Garret REEVES pour Lotek DVD : Nowhere fast, Can I Eat, Please kill me Vidéaste : Joe COX Photographe : Joe COX Autre site web : wisdomprintmakers.com Autre activité : Rouler avec mon chopper. Boisson : Café. Repas : La bouffe méxicaine. 44 filmer
Josh / Gap jusque sur le muret
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Tu es venu à Lyon pour filmer ta vidéo Cool Story Bro… Alors content Josh ? J’ai vraiment, sûr, kiffé ! Je ne pourrais pas assez remercier Lilian, Fabien et Boz pour leur hospitalité… Il y a plein de spots terribles ici, c’est un peu comme le Barcelone français. Je ne peux pas croire qu’il y ait autant de spots qui ne semblent pas avoir été roulés…Bref, l’ambiance du trip était très amicale et nous avons été bien accueillis. Quelles ont été les principales différences entre ta ville (Sheffield) et Lyon ? Je pense que l’architecture a été la principale différence. Aussi, les gens en soirée m’ont semblé être bien plus détendus que chez moi… Je n’ai pas ressenti d’insécurité ou de tension dans les rues, même quand nous rentrions vers 2h du mat’…
Josh / Wallride
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Josh / Gap turndown
— ici, c’est un peu le Barcelone français —
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Tu as de la famille en France… Explique- nous un peu cette histoire… Ma mère est de Paris… Elle est venue s’installer en Angleterre après avoir rencontré mon père dans les années 70 ! J’ai toujours de la famille à Paris… Mon oncle vit dans une cabane en bois qu’il s’est construit dans un bois qu’il lui appartient… Comment vois- tu les prochaines années de riding pour toi ? J’espère pouvoir toujours rider à fond, je touche du bois…
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Josh / Big gap
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— Lyon est vraiment cool avec beaucoup de culture et des lieux intéressants —
Sean O’Connell Age : 21 ans Résidence : Barnsley Riding : 5 ans de riding Riders : Lee Bingley, Josh Bedford, Mike Hoder Ville : Lyon Trick : Pedal grinds Musique : Proud Proud People Magazines : Albion et Figuré Site de BMX : Animal bikes Web video : Animal bikes DVD : Animal bikes / Scherbo videos Vidéaste : Bob Scherbo Photographe : Joe Bailey Autre site web : gray-britain.tumblr.com Autre activité : Prendre des photos Boisson : Vodka Repas : Chicken pasta Sean / Wall 180
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A propos du trip : Bon team, tout le monde a kiffé rider même si le temps n’a pas été de la partie. Ca nous a permis de visiter un peu la ville en même temps donc c’est cool. Nous avons squatté dans l’appart des jumeaux, super accueil. Lyon est vraiment cool avec beaucoup de culture et des lieux intéressants. Merci aux mecs de Figuré qui ont pris soin de nous et qui nous ont montré les spots…
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Quelques questions à
Rich Forne
Officiellement, Rich était donc là pour filmer la vidéo de Josh, ce qu’il a fait ! Même bien je crois ! Mais officieusement, nous avons vite compris qu’il était aussi venu pour tomber du clips comme ils disent en Angleterre… Comprenez : venu rider pour une prochaine vidéo… Car oui, Rich ne fait pas que filmer ! C’est aussi un super rider… (qui représente d’ailleurs Subrosa). En gros, il fait partie des mecs à qui on a envie de ressembler ! Réalisateur innovant et talentueux, gentil, serviable, bon cuisinier… Bref, nous ne pouvions pas passer à côté de quelques questions et photos de Rich FORNE, considéré comme le plus doué de sa génération, que ce soit devant comme derrière la caméra…
Est- ce que tu peux te présenter please ? Bonjourno, je m’appelle Richard Forne C’est comment de vivre en Israël et de bosser de là-bas ? C’est vraiment bien. La plupart des trips que je filme se passent dans des pays non loin d’Israël, donc il n’y a pas de différence, même la valeur
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des billets est sensiblement la même… De manière générale, vivre en Israël c’est parfait pour moi, il fait tout le temps beau, l’océan est à 5 m de mon appart’, j’attends juste que Mutiny et Frenchys viennent s’installer ici, ce serait parfait ! Explique- nous comment et quand tu as commencé à filmer pour Mutiny ? J’ai commencé à filmer pour M utiny e n 201 0 quand le contenu de leurs vidéos était directement axé sur le web. J’ai été vraiment chanceux car je pense que j’ai été là au bon endroit, au bon moment… Le siège social de Mutiny est à Austin au Texas et le team pro est divisé entre les US et l’Angleterre donc pour la marque, ça a vraiment du sens d’avoir un filmeur anglais. Est- ce que tu peux nous expliquer ce qu’il y a derrière COOL STORY BRO ? C’est un ensemble de petites vidéos créé pour mettre en avant les qualités uniques et parfois bizarres de chaque pro rider du team. L’idée était d’essayer de montrer un côté de leur personnalité que nous avons rarement l’occasion de voir…
— Il y a eu plein DE bons moments, comme quand on a ridÉ ce wall incurvé —
Rich / Oppo wall 270 out
Comment est née l’idée et pourquoi ? Gaz SANDERS, le boss de Mutiny a, depuis longtemps, voulu créer une série de vidéos comme celle-là et nous avons finalement réussi à la faire… C’est un projet risqué qui demande beaucoup de temps mais j’espère que les personnes qui suivent Mutiny ont apprécié les 1 ères vidéos avec l’entrevue des personnalités de chacun. Pourquoi ? Parce que les personnalités des riders du team sont vraiment intéressantes et c’est important pour la marque de rester concentrée sur ce qui est important et les riders en font partie… Ce sont de bons riders mais aussi de belles personnes, c’est aussi ce qui fait de Mutiny une marque différente des autres.
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Rich / Wall
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Quand est- ce que le projet se termine ? N o u s tr ava ill o n s s u r u n e grosse vidéo finale qui va s’appeler C.S.B. C’est ce qui va être le point final de tous les trips et des années de films. Les choses ne sont jamais faciles avec les budgets, les voyages, la météo, donc nous avons dû gérer tout ça au mieux. En tout cas, tout le monde semble chaud pour filmer, pour la conclusion du projet C.S.B’s.
Tu étais dans différents pays pour rider, pour filmer… Qu’est- ce que tu as pensé de notre belle France ? De tous les trips que j’ai faits, celui de Lyon a été le plus relaxe et le plus productif à la fois… Vous avez pris soin de nous, Boz s’est occupé des photos, donc c’était un vrai régal d’avoir fait partie de ce trip. Le crew était parfait, Lyon est une super ville, c’est pour moi comme un mini Paris mais sans le stress et le bruit. J’aime la France !
Comment pourrais- tu décrire cette série de vidéos ? Comment as-tu ressenti le projet ?
De quoi te souviendras-tu de ton trip à Lyon ?
Je ne suis pas certain de savoir comment j’ai ressenti les choses… J’aime beaucoup les mecs de Mutiny et c’était une belle opportunité de montrer qui ils sont… En fait, ils sont aussi cools sur leurs bikes que dans la vie de tous les jours… Je dois dire aussi que les vidéos ne sont pas à prendre au sérieux, c’était juste des moments de plaisir, personne ne s’est pris la tête, tout s’est fait sans prétention.
C’était la première fois que je vous rencontrais Lilian, Fabien, tonton Boz, on a mangé au crock n’ roll, chez Space Pizza, on a bu du Porto, on s’est tatoué… Bedford ronfle comme un cochon… Bref un trip parfait ! Il y a eu aussi plein d’autres bons moments, comme quand on a été rider ce fameux wall incurvé, les petits déj’ à la française, l’accent de Sean Barnsley, remonter à l’appart au 6ème étage avec un sac de 12 Kg et un bike…
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Quelque chose d’autre à ajouter ? Des anecdotes ? Chaque trip que nous faisons avec Bedford est toujours bien marrant… J’ai appris que sa mère était française mais qu’il ne parlait pas un mot… Tonton Boz nous a apporté une machine à tatouer que nous n’avons pas réussi à faire marcher tout de suite, donc nous nous sommes fait des tattoo à l’aiguille… Sean a été bien brave de laisser Bedford lui tatouer le mot BROTH sur sa cheville. Aussi, une autre petite anecdote bien marrante quand nous étions assis sur le muret devant un bar… La route, devant laquelle nous étions assis, était mouillée et un hipster est passé devant nous à toute vitesse avec un vélo de ville… Nous avons tous regardé comment la descente allait se finir et bien entendu, l’inévitable, le mec a perdu le contrôle du bike et s’est défoncé en bas de la route… Je suis toujours fasciné par les personnes qui ne mesurent pas leurs capacités. Merci à vous cher Figuré et merci à ceux qui ont maté et apprécié les vidéos. Restez connectés, la fin du projet va être vraiment cool. Merci !
David « Lord » VERNOIS Photo : Simon CASSOL / Aurillac
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— photographier Des clichés validés — photographier 59
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GRV / Photo : Freddy BERMOND / Bordeaux
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Joris COULOMB Photo : George MARSHALL
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Reed STARK Photo : Ben AUSTIN / Minneapolis, USA
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Mathieu PELADAN Photo : Cedric DE RODOT / Montpellier
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by
Bravo à Karim pour cette belle photo de Cyril Lapoirie, prise avec son smartphone. Les smartphones sont désormais de véritables appareils photos, permettant à tous les nomades connectés d’immortaliser leurs moments de ride. C’est sur ce constat 2.0 que nous avons lancé le concours photo FLASH soutenu par ride sessions. Le concept est simple. Il suffit de prendre une photo de BMX avec votre smartphone (riding, lifestyle, spot…) & de la poster sur le site de Figuré. Vous aurez peut-être la chance de la retrouver dans le prochain numéro & de remporter un Samsung Galaxy S3.
Retrouvez le meilleur de la culture ride sur ridesessions.com
— interviewer La vie de Morgann LAHAIE à Austin — Interview : Simon Cassol et Maxime Bonfil. Photos : Simon Cassol
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Lookback / 9TH Street trail
Simon (CASSOL), Maxime (BONFIL), Dech (Nicolas DESCHAMPS) et Morgann (LAHAIE) ont empruntés les longues routes droites, typiquement américaines, direction Austin considéré par beaucoup comme la Mecque du BMX… Après avoir passé quelques jours à Houston, c’était l’heure de se plonger dans l’interview de Morgann… A la cool, sans pression, un peu comme l’atmosphère qui règne ici…
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Simon : Concrètement, qu’est-ce que tu fais ici ? Comment t’es-tu retrouvé à vivre à Austin alors ? Morgann : En 2010, je suis venu avec Chris Le Long et Nicolas « Ducon » le hater de France (ndlr : Dechamps) pour un road trip à Austin, on a bien fait la fête, pas mal roulé et j’ai rencontré une fille, on s’est revu, elle est venue en France, j’suis revenu ici et du coup on s’est marié pour pouvoir rester ensemble et voir comment ça allait se passer et maintenant ça fait presque deux ans que j’suis là et voilà tout se passe nikel ! Bon boulot, je roule un peu, donc voilà c’est cool, en gros c’est ça !
Morgan & Lacey, dans son jardin
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— « fais pas de tricks mais fais du style » —
S : Ok, et ça se passe comment au niveau du boulot justement ? M : Alors comme taf, j’travaille dans un magasin de vélo, « Bicycle Sport Shop », c’est uniquement présent sur Austin (trois magasins en tout) et du coup c’est un gros bike shop avec 150 employés, il a été élu meilleur bike shop des USA trois ans de suite à l’interbike donc c’est vraiment calé, j’ai de la chance, on s’en sort, rêve américain ! Max : Est-ce que ta vision du riding a changé depuis que t’es arrivé à Austin, suivant les personnes avec qui tu roules, les spots et l’atmosphère de la ville ? M : Ouais j’pense que ça a changé, déjà la mentalité des gens c’est vachement chill, « fais pas de tricks mais fais du style » c’est comme ça. Y a que des bowls du coup avec le béton ça change un peu, tu roules pas tout à fait pareil. Moi honnêtement je pense que j’ai régressé depuis que j’suis à Austin.
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Steez wall / Austin
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— Du coup j’essaye de rouler avec plus de style —
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— y a toujours quelqu’un qui fait un truc différent et qui te casse la mâchoire ! — Tobogan / San Marcos
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Max : mais tu roules plus vite maintenant, la poignée dans le coin ! M : Du coup j’essaye de rouler avec plus de style, de pas me prendre la tête sur des figures, juste je m’amuse, ouais je passe plus de temps à m’amuser sur mon vélo qu’à me prendre la tête à essayer d’apprendre des nouveaux trucs on va dire, en gros c’est ça Max : Et on confirme ! Dech : Moi je confirme que c’est une brelle et qu’il a pas évolué. (rires) S : Du coup avec qui tu roules un petit peu par là et puis les gars qui t’impressionnent vraiment ? M : Y a Akin, un pote à moi qu’on connait depuis la première fois qu’on est venu, de temps en temps on roule ensemble, il est cool. Après Lucas, un mec avec qui je bosse, un jeune de 20 ans qui roule pour Volume, vachement street mais il maîtrise et il est sympa aussi. Enfin y a tellement de monde qui roule ici qu’au final t’as pas vraiment un mec avec qui tu roules plus qu’un autre, ça dépend de qui tu croiseras au final. Après dans ceux qui m’ont vraiment impressionné ici bah y a Chase (Hawk). Dans le bowl il est vraiment à la maison, c’est abusé, à chaque fois qu’il roule, perso je m’assois et je regarde parce que c’est abusé. Hickerson aussi, super impressionnant, au taquet de maîtrise ! Sinon y a tellement de monde qui passe par Austin que c’est dur de dire qui t’impressionne le plus ici parce que y a toujours quelqu’un de différent qui fait un truc différent et qui te casse la mâchoire ! S : T’étais aidé un peu en France avec du matos avant ton départ, du coup ça continu même en étant aux US ? M : J’ai de la chance, en bougeant ici, Unleaded m’a quand même gardé, notamment en me faisant passer chez Fondation et je les remercie vachement pour ça, l’ambiance et tout, c’est bien cool ! Y a JB de chez Maniable aussi (Big Up JB, la famille !) qui m’envoie toujours des fringues, donc ça fait toujours plaisir d’avoir les potes qui sont toujours derrière moi et qui me soutiennent, ça c’est vraiment cool. Après y a Etnies qui m’a aidé pas mal quand j’étais en France, là ça fait un an que j’ai rien reçu (rires) donc je sais pas trop où c’en est…
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Invert dans son jardin
Dech : envoie un mail à John Povah ! (rires) M : Enfin ça va, j’ai de la chance que les gens soient derrière moi c’est vraiment cool, merci à vous tous ! M : Qu’est-ce qui te manque en France que tu n’as pas ici ? M : Beh en gros ce qui manque le plus c’est le saucisson, la bouffe en général, enfin surtout saucisson / raclette, waaah con ça, ça manque ! Mais Max ramène du ‘ciflard à chaque fois donc c’est cool ! Simon : Deux sauciflards à l’année ça fait un peu juste quand même, non ?! M : Oh l’an dernier trois ! Cette année c’est la crise... (rires) Et puis surtout y a tous les potes de France qui me manquent vachement ! Aussi en France y a moins de monde quand tu veux rouler un spot tranquille alors qu’ici c’est toujours bondé dans les parks et tout ça et c’est un peu relou des fois Dech : Et qu’est ce qui te manque pas ? M : Euh... les racaaaaaaailles, et puis y a pas d’avenir en France c’est le bordel. Max : No future ! Simon : Teh le voilà le punk ! (rires) M : French connexion (rires) ! S : Comment ça s’est passé l’apprentissage de l’anglais, au début pour s’intégrer avec la barrière de la langue ? M : En gros je parlais un peu anglais déjà avant, depuis qu’on avait un peu voyagé avec l’autre con qu’est derrière (ndlr : Encore Deschamps) et Le Long, on était allé en Australie par exemple du coup j’avais un peu appris là-bas. Et puis comme ma femme parle pas un mot de français mais genre 0, 0 et demi beh ! J’ai pas eu le choix, donc je m’adapte, maintenant on fait avec, j’essaie de me démerder mieux ! J’apprends tous les jours par contre ça c’est clair. 78 interviewer
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de voyager ! Mais je préfère quand même le pick up et la moto, ça va un peu plus vite et c’est plus cool, genre comme un bateau ahah ! D : Combien de temps tu mets pour monter une roue ARRIERE ? M : Si c’est VTT ou route, j’dois mettre à peu près 40 min. Et bmx, mouais à peu près pareil, une quarantaine de minutes je pense. D : Combien ?? Dech : Beh teh on va tester ton intégration, est-ce que tu sais combien ça fait 1 lbs en gramme, 1 mph en kmh et 1 once aussi combien ça fait en gramme ?
Max : Bon beh t’es pas bien intégré alors ! (rires) Avec les spots ça marchera peut être mieux ahah, dis-nous combien y a de skatepark environ autour d’Austin et celui ou ceux que tu préfères, ton top 3 !
M : Waaaaaah con ! Euuuh... D : Et un galon ! Combien ça fait en litre ? M : Un galon c’est 3,78 L, euuuh 1 pound c’est à peu près 500gr D : Ouais c’est 450 / 455 gr… M : Beh pourquoi tu m’demandes si tu sais aussi ?? D : C’est pour voir si t’es un ricain quoi ! (rires) M : 1 mile... pfff j’sais pas ça doit faire... J’en sais rien !
M : En gros pour les parks, à 20 ou 30 bornes à la ronde, y en auraient à peu près 6 ou 7. Après à part ça y a les spots privés chez les gars, genre T1, Kansas House, y a 3 ou 4 trails. Ouais y a de quoi rouler quand même ! Après mon spot préféré, T1 à mon avis, c’est pas facile à rouler mais c’est super kiffant (Joe la famille!). Sinon House Park c’est là où y a tout le monde qui va donc c’est sympa aussi, tu vois tout le monde rouler.
Simon : C’est 1,6km, même moi j’le sais !
D : Morgann, c’est quoi le mieux, un kangoo et une mobylette ou un Ford F150 et une Buel 1200 ?
M : Bon beh 1,6 km alors (rires) ! Elle est bidon ta question Dech, j’y connais rien !
M : Le kangoo c’était assez spacieux quand même l’intérieur (rires) y a moyen de faire... euh
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M : Quarantaine environ D : Pffff PM il fait ça en 23 min quoi ! (rires) S : Allez pour finir avec un classique, envoie tes remerciements ! M : Bah un grand merçi à Figuré, à toi kingsize Simon, à Max ++ Bonfil, Nico « Katrina » Dech, à la Longueur Ultime (Long Guy), à Unleaded d’être là pour moi, JB de Maniable, le crew Small Axe Wear (c’est un peu grâce à eux que j’en suis là), mon père, mes potes d’ici, du 06, 13, 84 ... la famille quoi ! A ma femme qui m’a toujours soutenu, à Ryan Corrigan pour ma rampe, Etnies Shoes, mes potes de taf et tous ceux que j’oublie mais qui se reconnaitront ! Et un grand merci à toi pour l’accueil kingsize au top !
Image : Morgan sur son lieu de travail
— évoluer les pegs — Par Shelter Doe
Les pegs ont fait un bon bout de chemin depuis les premières tentatives dans les années 80. Pour répondre à la demande des riders qui sortaient des codes de la race, les vélos ont commencé à s’équiper de plateformes à la jonction du top tube et du puits de selle, ainsi que de cale-pieds directement formés ou soudés sur les bases arrières. Les fourches se sont parées de petites excroissances sur le tiers inférieur. A cette période, ces excroissances servaient plus à y poser les pieds qu’à se caler… Puis l’usage de ces excroissances a commencé à muter. En plus d’y poser les pieds, les riders ont commencé à les utiliser pour se caler en haut des rampes. Nous sommes au milieu des années 80 et les axes de roues sont courts, petits (10mm avant et arrière) et fragiles. Et cette nouvelle utilisation des cale-pieds va apporter des évolutions techniques. Apparition des «posure pegs» en bas des fourches et parfois même sur les bases arrières (Hoffman Condor) pour se caler et grinder tout en préservant les axes. À la fin des années 80, il y eu une grosse récession dans l’économie du bmx. Ce fut tel82 évoluer
lement important que certains dirent ; « BMX is Dead ». Mais c’était sans compter sur une nouvelle génération de riders qui se sont inspirés des skateurs et se sont mis à rouler dans les rues et les parkings. Dès lors, les pegs vont devenir plus solides et plus gros pour une résistance accrue aux grands et un meilleur appui sous les pieds en flat. Dans le milieu des années 90, le bmx a repris du poil de la bête et a commencé sa scission en plusieurs disciplines. Les pièces ont alors évolué spécifiquement dans chaque discipline. Les axes de roues passent de 10mm à 14mm à l’arrière pour mieux supporter les impacts des pegs. Ainsi la forme et l’usage des pegs varient en fonction des disciplines et de leur utilité dans la pratique. La longueur des pegs a varié selon les modes et les usages. Nous sommes passés d’excroissances à des pegs plus gros et plus longs puis plus fins et plus courts et parfois même inexistants… Certains riders comme «Mike Aitken» se sont amusés à faire des grinds et des tricks au coping sans pegs… Un réel défi de précision et surtout une nouvelle motivation.
Cependant avec la mouvance du street actuelle et la démocratisation des grinds en diagonale, les pegs longs font leur retour. Ils apportent une marge de manoeuvre plus importante puisqu’étant plus longs, ils mettront plus de temps à décrocher du muret ou du rail. D’un point de vue technique, le choix des matériaux pour les pegs a varié selon qu’on recherchait de la solidité et la durabilité «chromo» ou de la légèreté «Alu ou titane». Aujourd’hui les pegs «Parc Friendly» bi matière : corps solide + manchon en plastique conjuguent ces deux qualités et permettent en plus de grinder sur une plus grande diversité de surfaces. Voici quelques pegs qui témoignent de cette évolution. Pour vous aider à prendre la mesure de cette évolution, nous les avons mis à l’échelle les uns par rapport aux autres. Aujourd’hui plus que jamais utilisée en BMX, cette invention bmxtique se retrouve aussi sur des vtt street, fixis et trottinettes. A quand les pegs sur les motos ?
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1 Superstar micro pegs Diamètre = 24 mm, longueur = 25 mm 2 Demolition Dumbchuck Diamètre : 37.5mm (Version actuelle en photo). Date de sortie : 2003 (Version 1). Dimensions de l’original : 43.5 mm de diamètre, 112,5 mm de longueur. 3 The Shadow Conspiracy Little Ones Pegs Diamètre = 34 mm, longueur = 102 mm
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Stolen silencer pegs
Diamètre = 40 mm, longueur = 114 mm 5
Eclat Nathan Williams Nylon pegs 5
Diamètre = 42 mm, longueur = 101 mm
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L’équipement de Will EVANS pour filmer avec son smartphone
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— participer Sosh Urban Motion —
Texte et interview : Fabien. Photos : Hadrien Picard
La révolution électronique est en marche ! Mais déjà depuis quelques temps… Ca fait plus de 30 ans que le téléphone portable existe avec son lancement le 6 mars 1983 dans les rues de New York… Mais ces dernières années, l’évolution du GSM, comme l’appellent nos amis belges, a été fulgurante ! Entre les smartphones, la 3G, maintenant la 4G, c’est dur de s’y retrouver pour nos grandsparents ! Hadrien PICARD, organisateur du SOSH URBAN MOTION, surfe sur ces nouvelles technologies avec la 2ème édition de ce contest unique filmée au Smartphone ! Voilà donc quelques informations sur les nouveautés de cette compétition qui rassemble des duos de réalisateurs / riders…
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Quelques questions à
Hadrien PICARD
Jason PHELAN & son binome Will EVANS / Bus
Explique-nous comment t’est venue l’idée du SUM et en quoi consiste le contest ? L’idée, sans être très révolutionnaire, n’avait jamais été réalisée et c’est Yann Colignon & moi-même qui avons décidé de sauter le pas, aidés par Sosh qui fait un boulot génial. Les contests vidéos comme le Stand By Barcelona existent depuis longtemps, mais on assiste depuis quelques an86 participer
nées à une double révolution : celle des smartphones qui se démocratisent et filment de mieux en mieux, depuis l’Iphone 4 environ, et les réseaux sociaux qui sont de plus en plus populaires. On a donc un nouvel outil pour filmer et un nouveau canal de diffusion pour organiser le contest Wild Card, principalement. De plus la scène française BMX va de mieux en mieux, je trouve, il y a plein de riders
et de filmeurs qui déchirent dans leur coin, et des contests, comme le Sosh Urban Motion V2 Wild Card, participent à le montrer et à faire découvrir de nouvelles têtes qui méritent, comme Alaric Streiff, le gagnant de la Wild Card 2013.
Jason PHELAN toujours avec son binome Will EVANS / Grind
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Alex DONNACHIE filmé par son binome Peter ADAM / Nose wheeling
Quelles sont les nouveautés par rapport au SUM 1 ? On ne change pas une équipe qui gagne ! On a vraiment reçu un super accueil l’année dernière, ce qui fait que cette année, on a décidé de sortir des limites françaises et d’inviter les meilleurs anglais en face du top 3 de l’année dernière. Ca fait super plaisir en 88 participer
effet de voir que des riders comme Phelan, Donnachie ou AK et des filmeurs comme Rich Forne, Will Evans & Peter Adam ont accepté l’invitation. Qu’est- ce que ce contest vidéo apporte à la scène BMX ? Comme je disais, je pense que cela permet de mettre la lumière sur plein de nouveaux
riders, mais aussi de voir ou de revoir d’autres riders « plus » connus. Chacun peut évidemment sortir des vidéos de son côté, mais l’enjeu et la visibilité ne seront pas les mêmes. On essaie également de faire de notre mieux pour qu’il y ait des trucs cools à gagner!
— la scène française BMX va de mieux en mieux —
Peter ADAM
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— sélectionner Du matos bien frais pour l’été —
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Frenchys 1 FITBIKECO > MARV Cadre Marv signature, Top Tube : 20.75’’, 21” - 100% Cr-mo butted, top tube tapered, direction et collier de selle intégré, tasseaux de frein démontables - Boitier : Mid BB - Head Tube : 75.5° ST : 71° Chain Stay : 13.1’’ Hauteur de boitier : 11.7’’ Stand over : 8.8’’ - Poids : 2.33 kgs - Couleurs : Black, Light Blue, Raw — Prix : 345 euros www.frenchys-distribution.com 2 WETHEPEOPLE > VERSUS Cadre : 20.8’’Full 4130 cr-mo, tapered butted tubing, tasseaux démontables : CS : 13.2’’, HT :75°, ST : 71°, BB : 11.8’’, Standover : 8’’ * Fourche : SALTPLUS «HQ» full cr-mo * Guidon : full cr-mo 8.65” * Pédalier : SALT “PRO48” (L&R) tubulaire 3 pièces cr-mo 170mm, 48 cannelures, roulements Mid scellés * Roues : SALTPLUS SUMMIT aero/ straight double parois, moyeux SALT
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“Expert” female à l’avant, SALT “Pro” roulements scellés, cassette 9T à l’arrière, axes 10/14mm * Braquet 25x9T * Divers : Couronne SALTPLUS «ECHO» alu 6061 25t, Potence SALT «CENTER» front load 50mm, Direction intégrée roulements scellés, Freins SALTPLUS GEO w/ «splitter cable», levier SALTPLUS “Geo”, Selle WTP «Thunder» mid padded, Pneus SALT Pitch Mid 2.30 et Pitch Flow 2.20, Pédales ECLAT “Slash” Nylon, Poignées WTP “Arrow 146”, collier de selle WTP “Supreme” full CNC, 2 Pegs SALT “AM - Couleurs : noir ou dark teal - poids : 11.28kg — Prix : 599 euros www.frenchys-distribution.com 3 CULT > «Match» Paire de Roue Jante Cult Match en aluminium 6011-T6 soud»e double paroies, Design breveté “Truss Design” sur la structure interne visant renforcer la jante. Moyeux Cult Match avant, axe de 10 mm, roulements scellés, axe femelle. Moyeux Cult Match
arrière, axe de 14 mm, roulements scellés, transmission rhd ou lhd, driver 9T, axe male. Roue disponible au détail en version mâle et femelle — Prix de la paire : 360 euros www.frenchys-distribution.com 4 ODYSSEY > THUNDERBOLT SOCKET DRIVE Pédalier 2 pièces tubulaires, full Cr-mo 41 THERMAL, dispo en version Droit, Systeme socket drive, (couronne qui vient se fixer directement sur la manivelle), compatible uniquement avec la couronne KILLINGTON SOCKET DRIVE • longueur de manivelles : 175mm • Couleurs : Noir. Poids : 798grs. Version classique du Thunderbolt dispo également — Prix: 185 euros 5 ALMOND > RIVIERA 2013 MID BLACK TWILL Version mid pour un meilleur maintien de la malléole Prix : 70 euros www.frenchys-distribution.com
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3 MACNEIL > Varsity Kevin Kiraly Signature - Toptube : 20.75”, 21” Bases : 13.2” en butée - Angle de direction : 75° - Angle de tube de selle : 71° - Hauteur BB : 11.75” - Standover : 8.65” - Poids : 2.15kg en 20.75” - Dispo en dégradé Black, Purple et Seafoam Prix : 299 euros — www.unleaded.fr 4 MACNEIL > Connect Manivelles 175mm en Chromoly traité thermiquement après soudure - Manivelles «Box Shape» pour crankslides - Blocs axe + pédale en Investment cast - Axe 48 cannelures, creux 22mm «Gun Drilled» en Chromoly traité thermiquement - Compatible avec transmissions RHD, LHD, classiques
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et microdrive (8mm) - Visserie Chromoly - Poids : 816 grammes — Prix: 134.90 euros en Black, 144.90 euros en CP — www.unleaded.fr 5 MACNEIL > Network Moyeu MACNEIL Network REVERSIBLE, axe femelle Cromo - Jante MACNEIL Dub, soudée, rayonnage croisé - 36 rayons forgés en Cromo - Moyeu Black, Polished ou Red avec rayons et jante Black - Roue avant et guards dispo - Poids : 1150grs environ — Prix: 219 euros www.unleaded.fr
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Raceco 1 EASTERN > Warlock 21” Weight // 25.3 lbs - Transmission 25/9 roulement scellés dans le driver - Cadre : Down tube en Chromo 4130, BB pattes et colonne de direction en Chromo, 78mm largeur BB pour accepté les pneu larges, Design typique Estern - Fourche: FULL 4130 Chromoly, bras tapered - Guidon: 8.5”x 28.5”, 1º Upsweep, 12º Backsweep - Mid BB avec roulement scellé - PEDALS // Eastern Crown pedals - STEM // Eastern Forged Alloy Frontload - CRANKS // Tubular chromoly heat-treated 3pc. cranks with 8 spline spindle - Combo tige+selle revêtement nylon avec le logo cousu - SEAT CLAMP // Eastern Slant Forged - Roues : Moyeux alu forgé, 36 rayons, roulement scellés, jante alu double parois, pneu Eastern Fuquay Flyer 20”x 2.3” OEM - Couleurs: noir mat, bordeaux mat, bleu Poids: 11,75kg — Prix : 529euros www.raceco-bmx.com
2 E A S T E R N > C ur b M on k ey Taille : 20x2.3 - Utilisation: street, trail & park use — Prix: 19,90 euros www.raco-bmx.com
Mythic 3 Total BMX > VOLTRON Cadre Full Japanese 4130 Chromoly - 75.2° HT / 71° ST - Colonne de direction, Mid BB et Pattes 5mm traitée thermiquement - Plots de frein ammovibles - Bases tubes affinés 19mm-16mm / Tube de selle affiné - Diamètre Toptube 31.8mm / Diamètre Downtube 34.9mm - Tubes déportés avec renforts internes aux endroits clé - Hauteur du cadre 8.46”standover - Longueur bases -13.3” au plus court-13.5” au centre Disponible en taille 20.6 & 21 - Nouvelle couleur Chrome — Prix : NC www.mythic-distribution.com
Vélo 2000
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butted et gousset. Et pour un maximum de solidité, la colonne de direction et le triangle arrière sont traités thermiquement - Tasseaux de frein et guide cable démontables - 75° head angle / 11.5” BB height / 13.75” chain stay Dispo en 20”, 20.5”, 20.8” and 21” TT - Poids : 2,26 kgs - Couleur: noir / or / argent — Prix : 349 euros www.ultimatev2.com 5 HARO > SD V2 Dennis Ennarson pro modèle (ridé par MATTHIAS DANDOIS) Top et down tube double butted complétés par des gussets sur cette nouvelle version déjà très solide SD - Cadre Full 4130 chromoly avec jeu de direction intégré, Mid BB - Collier de selle integré et tasseaux de frein démontables - 75° head tube / 11.5” BB / 13.75” chainstays - Dispo en 20.8”, 21”, 21.25” TT Poids : 1,81 kgs (21”) - Couleur: rouge Prix : 289 euros — www.ultimatev2.com
4 Premium > CK Chad Kerley’s pro modèle Cadre d’inspiration street avec top et down tube en double
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BMX Avenue
1 The SET > Blackout Frame 4130 Sanko Chromo - top et down tube avec gusset interne - CS et ST tapered - Collier de selle intégré - CS 13.75” et 13.5 en buttée - 74.5° HT - 71° ST - 11.5” hauteur BB / 8.25” hauteur SO - Couleurs : Gloss Black et Brut vernis - Poids: 2.180 kgr — Prix : 345 euros — www.clandebmx.com
3 FEDERAL > Love&Hate Potence front ou top lad en Alu 6061 T6 et 52mm de déport - Simples et robustes elles sont ridées par Bruno Hoffman en top (en photo) et Dan Lacey en front - Couleur: black ou silver — Prix : 65 euros — www.bmxavenue.com
2 The SET > Blackout Bar Cromo 4130 heat treated 13 butted - Dispo en 9”, 9.25”, 9.5”, 9.75” de hauteur / largeur 30”/ 1° upsweep/ 12°backsweep barre centrale 19mm / guide de coupe / Couleurs : Gloss Black et ED Black Poids 825gr en 9” — Prix: 75 euros www.clandebmx.com
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