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La lettre de la FNAIM Paris Ile-de-France - septembre 2013 - N° 23

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Le professionnel de l'immobilier au cœur de la Cité Éditorial

Mobilisation générale pour un habitat plus économe en énergie !

Il y a loin de la coupe aux lèvres. Alors que le gouvernement, en application du Grenelle de l'environnement, entend diminuer d'ici à 2020 les consommations d'énergie de 38 % dans le logement, on ne peut pas dire qu'il s'en donne les moyens.

On cherche en vain un grand plan de mobilisation nationale ! Et pourtant, le sujet est crucial. Chaque occupant d'un logement est confronté à la hausse du coût de l'énergie - une hausse qui, pour tous les spécialistes, ne fait d'ailleurs que débuter.

Et chaque propriétaire sait bien qu'il lui faut procéder à des travaux, souvent coûteux, ne serait-ce que pour ne pas déprécier la valeur de son bien. Mais comment faire, alors que le pouvoir d'achat est en berne et que les impôts sont en hausse ?

Nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes !

La FNAIM Paris Ile-de-France n'a pas attendu les pouvoirs publics pour agir. Le développement durable constitue l'un des quatre piliers qui définissent, depuis que j'assure la présidence de la Chambre, nos priorités stratégiques. Nous contribuons ainsi fortement au programme "100 000 logements éco-rénovés" lancé par la FNAIM nationale l'année dernière, en informant et en formant nos adhérents à l'accompagnement de leurs clients sur cette problématique tellement complexe.

Nous sommes, depuis 2011, membre du conseil d'administration de l'Agence Parisienne du Climat. Nous avons créé, le 12 novembre 2012, l'Agence francilienne des certificats d'économies d'énergie. Via la plateforme www.afcee.fr, tous nos clients qui souhaitent réaliser des travaux individuels d'économie d'énergie peuvent bénéficier d'éco-primes pouvant atteindre 1 500 € et plus. Enfin, la semaine dernière, nous avons ouvert ce dispositif aux copropriétés. Grâce au partenariat avec EDF, nous pourrons ainsi faire profiter nos copropriétés de ces financements, à travers la mobilisation des certificats d'économies d'énergie. N'en doutons pas : c'est ainsi, sur le terrain, entre professionnels, que nous pourrons répondre aux besoins des Franciliens.

Une information privilégiée sur l'immobilier L'économie de l'immobilier repose sur un rapport humain, direct, où la confiance se mérite, notamment par une connaissance vraie du marché et des problématiques liées au logement. Cette lettre mensuelle de la FNAIM Paris Ile-de-France est un lien entre tous ses adhérents, mais également avec leurs clients et partenaires. Elle se veut l'illustration de notre responsabilité collective, au cœur de la Cité. Pour faire reconnaître et respecter notre métier. Et pour contribuer à bâtir le Grand Paris, une métropole à l'échelle du monde qui sache rester au service de ses habitants.

www.lamaisondelimmobilier.org

Gilles Ricour de Bourgies Président de la Chambre FNAIM Paris Ile-de-France

Focus Pour une révolution énergétique dans l'immobilier du Grand Paris !

La FNAIM Paris Ile-de-France a présenté à la presse le 11 septembre dernier son 3e Cahier thématique, titré "Villes humaines, villes durables ?" En une centaine de pages, il présente des analyses et des propositions exclusives afin d'assurer les nécessaires économies d'énergie dans le logement. Autour de Gilles Ricour de Bourgies et Claude Chetrit, président adjoint de la Chambre, cet ouvrage rassemble les contributions de spécialistes reconnus : Pierre-André de Chalendar (PDG de SaintGobain), Sabine Desnault (Nexity), Richard Laganier (Université Paris Diderot), Myriam Maestroni (Economie d'Energie SAS), Pierre Mutz (Eiffage), Philippe Pelletier (président du Plan Bâtiment Durable), Didier Ridoret (président de la FFB), Pierre Veltz (président de Paris-Saclay). Une lecture nécessaire pour comprendre tous les enjeux de cet immense chantier ! À consulter et commander sur notre site : www.lamaisondelimmobilier.org

La maison de l'immobilier - Le professionnel de l'immobilier au cœur de la Cité - N° 22 - juillet 2013 - page 01

■ Ce sont eux qui le disent !

6,5 C'est, en millions, le nombre de ménages français hébergés dans le parc locatif privé, contre 4,5 millions dans le parc social. Et pour 100 000 à 120 000 logements HLM de plus par an, entre 140 000 et 170 000 investissements locatifs privés sont réalisés.

Source : "Immobilier : cessez de tirer sur les propriétaires !", tribune de Jean-François Buet, président de la FNAIM, Les Echos, 01/08/2013.

• ‘Pour que l'immobilier ne soit plus un luxe’... "Il faut agir de façon radicale en favorisant un véritable boom de l'offre. Il ne faut pas amender mais casser l'actuel carcan du code de l'urbanisme, il faut limiter les pouvoirs des maires qui bloquent trop de projets et, plutôt que de défendre les locataires, il faut inciter les propriétaires à investir massivement dans un marché locatif dans lequel le rendement potentiel serait peut-être moins élevé mais plus sûr."

David Barroux, rédacteur en chef des Echos, éditorial du 21/08/2013.

• La transition énergétique, un impératif patrimonial. "On enregistre une demande pour les logements neufs, lorsqu'il y a des programmes. C'est au goût du jour et les gens sont de plus en plus exigeants quant aux normes énergétiques. Dans l'ancien, un mauvais diagnostic pèse sur le prix final. Dans l'avenir, les biens qui ne seront pas convenablement isolés subiront une décote plus forte."

Me Jean-Paul Watrelot, notaire à Villepreux (78), in Logic-immo.com Yvelines et Vallée de l'Eure, 03/09/2013.

• Pourquoi ‘le loyer moyen des locataires a doublé par rapport à leur revenu’ ? "Les locataires se sont paupérisés par rapport à l'ensemble des ménages, de 0,8 % par an en moyenne, ce qui reflète principalement la paupérisation massive depuis 1970 des ménages jeunes, surreprésentés parmi les locataires."

Jacques Friggit, économiste au Commissariat général à l'environnement et au développement durable, cité par Les Échos, 21/08/2013.

• Des taux d'emprunt toujours compétitifs. "La remontée des taux devrait être modérée pour s'établir à une moyenne de 3,40 % à 3,45 % en taux fixes sur vingt ans. La situation reste très avantageuse pour ceux qui veulent devenir propriétaires."

Sandrine Allonier, responsable des études économiques de Meilleurtaux.com, in Les Echos, 07/09/2013.

• Vers une révolution énergétique ? "Des centaines de millions d'êtres humains vont produire leur propre énergie verte dans leurs maisons, leurs bureaux et leurs usines et la partager entre eux sur des réseaux intelligents d'électricité distribuée, exactement comme ils créent aujourd'hui leur propre information et la partagent sur Internet."

2,8 C'est, en millions, le nombre de propriétaires qui louent leur logement en France. Contrairement aux idées reçues, ce ne sont pas des "riches".

Les principales catégories sociales représentées sont les retraités (25 %), les cadres moyens (20 %) et les employés et ouvriers (17,5 %). Ils ont tout à craindre du projet de loi ALUR actuellement en discussion au Parlement.

Source : Le Figaro, 09/09/2013.

Jeremy Rifkin, auteur de La Troisième Révolution industrielle (2012), cité par Libération, 09/09/2013.

■ L'ouvrage du mois Premier ouvrage de la collection du "Dico des rues de Paris", Le Dictionnaire historique, architectural et culturel des Champs-Elysées mérite le détour. Il propose un parcours exhaustif, entre immeubles et jardins, de l'avenue sur laquelle, "pendant trois siècles, s'est jouée l'histoire de France". En partant de l'histoire singulière de chaque maison, du numéro 1 au 154, ce dictionnaire fait ainsi de la "plus belle avenue du monde" et de ses transformations l'écrin d'une histoire plus générale, politique, économique et sociale. Qui se souvient que, jusqu'au XVIIIe siècle, la colline de Chaillot, située en haut de l'actuelle artère, était, grâce à ses cultures, l'un des greniers du Paris médiéval ?

Tracée par Le Nôtre à la demande de Louis XIV, pour relier l'Étoile aux Tuileries, dont elle prend initialement le nom, l'avenue ne se transforme en Champs-Elysées qu'en 1763. Pour les auteurs de ce dictionnaire, ce serait en référence à Homère et à son Odyssée : "A l'image des champs homériques, peut être que les promeneurs des deux cours se considéraient comme des héros séjournant dans les jardins d'un roi comparable aux divinités antiques et, notamment, au sage et lumineux Appolon ?" Nous en sommes bien loin aujourd'hui, à l'observation des 300 000 personnes qui, quotidiennement, arpentent "les Champs". Ceux-ci conservent cependant toute leur aura. C'est sur les Champs Elysées en effet que se sont implantées les plus grandes marques de luxe et que s'exprime régulièrement la ferveur populaire. Une symbiose qui résume bien l'esprit des lieux.  Le regard de la Chambre : Cette illustre avenue résume à elle seule les défis des grandes métropoles mondiales. Attractivité économique, sécurité, mais aussi questions sociales : en témoignent les grèves récurrentes des salariés des grandes enseignes qui y sont implantées.

Pour aller plus loin : Dictionnaire historique, architectural et culturel des Champs-Elysées, par Pascal Payen-Appenzeller et Brice Payen, éditions Ledico, 640 p., 92 €.

page 02 - La maison de l'immobilier - Le professionnel de l'immobilier au cœur de la Cité - N° 23 - septembre 2013

Le professionnel de l'immobilier au cœur de la Cité ■ Le fait du mois

Flambée du sentiment d'insécurité chez soi Au-delà des polémiques parfois politiciennes, les chiffres officiels de l'insécurité s'accordent au moins sur un point : la hausse continue des cambriolages partout en France. Pour les "locaux d'habitations principales", c'est-à-dire les résidences, l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) recense une progression de + 8,1 % (soit + 10 461 faits constatés) en un an en zone police, et + 11,3 % (+ 9 009 faits) en zone gendarmerie ! En cinq ans, le nombre de cambriolages des résidences principales a grimpé de 43 %, pour dépasser les 200 000 faits annuels. Selon le site globometer.com, "des études récentes montrent qu'environ 60 % des cambriolages sont commis entre 14 heures et 17 heures et près de 80 % des malfaiteurs pénètrent par la porte d'entrée et le plus souvent en milieu urbain. Vingt minutes leur sont généralement nécessaires pour un cambriolage et dans 90 % des cas, une sirène d'alarme les met en fuite. Les cambriolages sont, sauf rare exception, liés au grand banditisme et sont l'œuvre de bandes organisées dont le butin est très souvent revendu au-delà des frontières, ce qui explique le faible taux d'élucidation : 12 %." Conséquence : 16 % des personnes interrogées dans le cadre d'une récente étude de l'ONDRP (12/09/2013) disent se sentir en insécurité chez elles. Une évolution pour le moins inquiétante. Même si le monde rural et périurbain est en première ligne, ces chiffres appellent manifestement un sursaut politique, unanime, à l'échelle du Grand Paris aussi.  Le regard de la Chambre : Si la nouvelle police d'agglomération du Grand Paris est un outil efficace pour lutter contre les atteintes aux personnes et la grande criminalité, la baisse des atteintes aux biens, dont les cambriolages, dépend aussi de la vigilance de chacun.

Pour aller plus loin : Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP), www.inhesj. fr/fr/ondrp ; Peur sur la ville ? Contributions pour un Grand Paris de la sécurité, Cahier de la FNAIM Paris Ile-deFrance n°1, 03/2012, 108 p., 18 €.

■ Le saviez-vous ?

Quelle est la ville la plus chère au monde pour les expatriés ? Luanda, capitale de l'Angola ! Transformée en quelques années par la ruée vers l'or noir, la métropole africaine détrône ainsi Moscou. Pour des raisons similaires, N'Djamena est classée juste derrière Tokyo, au 4e rang mondial (3e l'an dernier), alors que le Tchad est l'un des pays les plus pauvres de la planète ! En règle générale cependant, le coût de la vie est directement lié à l'appréciation de sa monnaie, ce qui explique notamment que 3 villes suisses (Genève, Zurich et Berne) figurent dans le Top 10. Le logement des expatriés constitue la principale dépense pour les employeurs, et joue un rôle important dans la détermination du classement. Un appartement de qualité, aux standards internationaux, meublé, comprenant deux chambres, est ainsi loué en moyenne mensuelle 6 500 $ à Luanda, 4 600 $ à Moscou, plus de 7 000 $ à Hong Kong et de 2 500 à 4 350 $ dans les grandes villes suisses. Au regard de ces prix, Paris reste une capitale particulièrement abordable !

Source : Enquête Mercer sur le coût de la vie et les coûts comparatifs de loyer, www.mercer.fr, 25/07/2013.

Quand Bercy veut faire le métier des professionnels de l'immobilier… L'enfer est pavé de bonnes intentions. Au prétexte d'aider les contribuables assujettis à l'ISF à estimer la valeur de leur(s) bien(s) immobilier(s), l'administration fiscale entend leur proposer un programme informatique, accessible par Internet. Une initiative dangereuse, fondée sur une erreur intellectuelle profonde. Comme le remarquent Jean-François Buet et Patrick Siksik, "imaginer qu'un appartement puisse être en quelque sorte modélisé pour être évalué relève d'une vision de l'esprit. Sait-on qu'entre un 2e et un 5e étage, la valeur d'un même appartement peut varier de 50 % ? Sait-on que le prix au mètre carré d'un logement, selon qu'il n'aura pas fait l'objet de travaux depuis 30 ans ou qu'il aura été modernisé et entretenu, peut varier du simple au triple ? Sait-on que la qualité et le standing général de l'immeuble peuvent réévaluer de moitié le prix d'un lot de copropriété ?" Comme le proclame un célèbre promoteur (Franco Suisse) : "La vraie valeur d'un bien immobilier, c'est l'émotion qu'il fait naître". L'État serait donc mieux inspiré d'orienter les contribuables vers l'expertise privée... qu'il utilise d'ailleurs quand il s'agit de vendre ses propres actifs !

"L'Observatoire des prix du foncier et de l'immobilier aux abords des gares du Grand Paris et l'Observatoire francilien des prix de l'immobilier de la FNAIM seront des outils de veille et de vigileance indispensables pour éviter la spéculation autour des futures gares. Le Grand Paris est l'occasion de faire réfléchir ensemble tous les acteurs de la chaîne du logement, politiques, professionnels, acquéreurs et locataires."

Source : Le nouvel Observateur, 22/08/2013.

Source : tribune de Jean-François Buet, président de la Fédération national de l'immobilier (FNAIM) et Patrick Siksik, président de la Chambre des experts immobiliers de France, Les Echos, 23-24/08/2013.

La maison de l'immobilier - Le professionnel de l'immobilier au cœur de la Cité - N° 23 - septembre 2013 - page 03

Penser local, agir global Vers "le monde de l'énergie 2.0" ?

54 % C'est la proportion des 35 millions de logements français à disposer d'une étiquette énergétique inférieure à D. Un tiers de ces bâtiments, les plus anciens, seraient responsables de 45 % des consommations domestiques de chauffage.

Source : Comprendre le nouveau monde de l'énergie, op. cit., p. 152.

Présidente de la société Economie d'Energie SAS, partenaire de la FNAIM Paris Ile-deFrance dans le cadre de l'Agence francilienne des certificats d'économie d'énergie (Afcee), Myriam Maestroni s'impose comme l'un des acteurs les plus actifs de l'efficacité énergétique. Elle le prouve avec cet ouvrage appelé à devenir une référence en la matière. Militante et volontariste, elle se réjouit de "ce nouveau monde de l'énergie [qui] se traduit chaque jour, non seulement par l'évolution des réglementations et des perceptions des décideurs politiques quant à l'efficacité énergétique, mais aussi par des changements concrets sur le terrain, au travers d'initiatives publiques, entrepreneuriales ou associatives".

Chef d'entreprise, Myriam Maestroni croit en effet à la force de l'initiative individuelle et à la réalité du marché qui se construit, au quotidien, au plus près des besoins des clients.

Elle se garde également de prises de position trop sectaires, ou naïves. Elle reconnaît ainsi que la fin des énergies fossiles, qui couvrent aujourd'hui 85 % des besoins d'énergie des habitants de la planète, "n'est pas pour maintenant". Notamment en raison du coût des énergies renouvelables (éolien, biomasse, bactéries, solaire, géothermie, etc.), qui n'ont pas atteint leur maturité industrielle, mais aussi "parce que le charbon, qui assure encore 50 % de la production de l'électricité au niveau mondial, demeure souvent une alternative au nucléaire et aux énergies fossiles plus chères et que les renouvelables sont concurrencées par les énergies fossiles non conventionnelles en plein essor, comme les gaz et pétroles de schiste". Les grands défis et enjeux économiques et géopolitiques liés à l'énergie constituent une part substantielle de l'ouvrage, la seconde partie abordant plus précisément les conditions de l'efficacité énergétique et des économies d'énergie, tout particulièrement dans le logement. Et il y a urgence, notamment en Ile-de-France : "Vieillissant et énergivore, l'immobilier parisien doit produire certains efforts aussi bien en termes environnemental qu'économique : ce secteur consomme 43 % de l'énergie finale en France alors que le chauffage compte pour 5 % des dépenses des ménages." Une lecture visionnaire et stimulante, qui engage à l'action !  Le regard de la Chambre : N'oublions pas que le monde de l'énergie est très réactif : sommesnous certains aujourd'hui de prendre les bonnes décisions pour demain ? N'oublions pas non plus que, dans le logement, les économies d'énergie reposent autant sur les comportements des occupants que sur la qualité de l'isolation.

Pour aller plus loin : Comprendre le nouveau monde de l'énergie, par Myriam Maestroni, Maxima - Laurent du Mesnil Éditeur, 284 p.

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Comment financer les travaux ? "La question du financement fait débat. Mais on oublie trop souvent qu'il existe déjà nombre de dispositifs qui, à défaut de pouvoir assurer la totalité du financement de la rénovation des logements privés, jouent un rôle incitatif (ou de financement d'amorçage) souvent suffisant pour déclencher la décision de rénovation (notamment dans le cas de la prévention active de la précarité énergétique)." (Comprendre le nouveau monde de l'énergie, op. cit., p. 153) 

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La lettre de la FNAIM Paris Ile-de-France Une publication de la FNAIM Paris Ile-de-France Directeur de publication : Gilles Ricour de Bourgies ISSN 2259-1567 Conformément à la loi informatique et libertés 78-17 du 06/01/1978, vous disposez d'un droit d'accès et de rectification pour toutes les informations vous concernant.

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