Festival Opéra des Landes 2014

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Les suppléments du quotidien

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13 Festival Opéra des Landes Du 17 au 31 juillet

L’ode à la voix Cet été, l’Opéra des Landes propose une plongée dans le Paris de 1830 avec « La Bohème » de Puccini ainsi que de nombreux autres spectacles Supplément gratuit au journal du jeudi 17 juillet 2014. Ne peut être vendu séparément


13e Festival Opéra des Landes

Il chante Parpignol et peint « La Bohème » EXPO Miguel Etxebarria expose à l’Espace culturel ses « Héroïnes d’opéra ». À voir jusqu’au 31 juillet Connaissant les talents d’artiste peintre du chanteur lyrique Miguel Etxebarria, Olivier Tousis l’a sollicité pour réaliser quelques toiles pour une exposition inédite. Celui qui joue Parpignol (le vendeur de jouets) dans « La Bohème » n’a pas hésité un instant et proposé de peindre des héroïnes d’opéra pour rester en cohérence avec le festival d’art lyrique. Pour Miguel, la peinture est une longue et belle histoire qui a commencé dès son enfance. Tout juste à l’âge de 7 ans, il participa à des concours. Il fut lauréat par trois fois du concours « Sud Ouest Dimanche ». Des dessins réalisés selon le thème imposé, celui du marché, de la corrida et du cirque lui ont permis d’être primé. C’est un professeur de collège qui lui donna ses premiers rudiments de peinture. Pour la petite histoire, comme il était très doué pour le dessin, il faisait ceux de ses copains qui obtenaient une bonne note tandis que lui était moins bien noté. Le professeur qui avait bien sûr compris le manège l’avait démasqué.

« Une belle écriture » Abandonnée plus ou moins pendant quelque temps, la peinture le reprend à nouveau, il y a une vingtaine d’années. Il fait des études tardives aux Beaux-arts de Bayonne où on évoque une « belle écriture ». Depuis, il n’a plus quitté l’huile et les pinceaux, une seconde passion artistique qui s’harmonise avec sa carrière de chanteur. Il expose en individuel un peu partout à Nîmes, à

« Quand Olivier Tousis m’a sollicitée pour savoir si de jeunes seraient susceptibles de participer à l’Opéra des Landes, j’ai répondu que ce n’était pas si simple », explique Rose-Marie Deblonde. Le projet concernait les jeunes musiciens de 2e cycle. Ce sont des enfants qui ont tous sept ans de pratique et maîtrisent l’instrument de leur choix. Nous avons donc travaillé sur l’histoire même de « La Bohème » et re-

13e Festival Opéra des Landes Landes

JEUDI 17 JUILLET 2014 WWW.SUDOUEST.FR

« Puccini, c’est du cinéma » CRÉATION Ce sera le temps fort du festival Après Carmen le 14 juillet dans le cadre du centenaire des arènes de Soustons, l’œuvre de Puccini mise en scène par Olivier Tousis, directeur artistique de l’Opéra des Landes, devrait faire vibrer les cordes de toutes nos émotions. Avec une distribution prometteuse

Anicia travaille sur le costume de Musette. PHOTO ISABELLE LOUVIER

Les costumes sont d’Anicia Echevarria

Parpignol et ses héroïnes. PH I.C. CHRISTINE LAMAISON

Bayonne et dans la France entière et exprime sur ses toiles la tauromachie, ses racines basques, des paysages, des scènes de vie, des traditions, des spectacles de danse, des portraits… Pour cette carte blanche donnée par l’Opéra des Landes, le public peut découvrir de magnifiques portraits d’héroïnes lyriques inspirés par l’impressionnisme. Des portraits authentiques, vivants, émouvants, qui témoignent de l’excellence de l’artiste, un don pourrait-on dire « mais qui demande du travail », ajoute Miguel. Le public découvrira pas moins de 14 toiles réalisées à l’huile, car Miguel peint vite et en quantité, représentant « Carmen », « Manon Lescaut », « Aïda », « Turandot », « Me Butterfly » Mimi de « La Bohème », ou encore « La Traviata » (Violetta), « Tosca », « Cléopâtre »… Isabelle Chambon Ouverture au public de 19 à 23 heures à l’espace culturel Roger-Hanin. Jusqu’au 31 juillet.

Quand l’art lyrique devient un « jeu » d’enfants CHANT Rose-Marie Deblonde dirige le chœur d’enfants du Conservatoire des Landes

JEUDI 17 JUILLET 2014 WWW.SUDOUE ST.FR

visité certains passages. Un petit groupe de volontaires a accepté d’emblée, savourant la chance inouïe de participer à un opéra ! » Toutefois l’art lyrique réserve des difficultés particulières pour des enfants. « C’est quand même lourd pour eux, car ils doivent intervenir ponctuellement, et c’est difficile à gérer. Nous avons donc travaillé le « par cœur ». Pour l’heure, ces enfants enthousiastes et ravis ont répété avec assiduité aux côtés de leurs aînés. Ils ont également chanté dans « Carmen » le 14 Juillet et seront parfaitement au diapason pour « La Bohème ». I.C.

Attentifs aux conseils du metteur en scène Olivier Tousis. PHOTO I.C.

c.lamaison@sudouest.fr

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aris 1830, des artistes espiègles et cyniques, le destin tragique de Mimi, la condition misérable du peuple, la suffisance des bourgeois… Oui « La Bohème » a tout pour plaire et se prêter au lyrisme le plus échevelé. « Je l’écoute depuis que j’ai l’âge de 3 ans. Mes parents qui n’étaient pas chanteurs d’opéra écoutaient « La Bohème », se souvient Olivier Tousis. Chaque fois que le directeur artistique de l’Opéra des Landes, envisage le choix d’une création, il se pose toujours les mêmes questions : est-il accessible à tous les publics, n’est-il pas trop périlleux pour un chœur amateur ? Toutes les grandes œuvres du répertoire ne satisfont pas à ces exigences. Toutes les audaces ne sont pas permises. En revanche « La Bohème » s’imposait sans conteste, et aussi étonnant que cela puisse paraître, les réservations pour l’œuvre de Puccini, dépassaient, début juillet, celles pour « Carmen », pourtant royalement programmé aux arènes.

Du Fellini « Quatre artistes avec ce mode de vie que l’on a appelé la bohème, ce sont ‘‘ Les Misérables ’’, version art lyrique, commente Olivier Tousis qui signe aussi la mise en scène de cette création. « Nous sommes au 19e siècle. C’est un décor très esthétisé, grâce ou à cause des costumes. L’exercice de metteur en scène, c’est une merveille quand on travaille avec des interprètes de la qualité de ceux qui seront sur scène. Quant à la partition de « La Bohème », il suffit de lire ce que le librettiste a écrit. Tout est indiqué. C’est ce qui fait la

COULISSES Cette jeune femme de 25 ans tient avec son associée, Sarah Duvert, un rôle prépondérant : costumière

différence avec Verdi. Ici, ce qui se passe est écrit dans la musique. Nous en discutions avec Philippe (NDLR : Philippe Forget, chef d’orchestre). Puccini, c’est du cinéma. C’est l’opéra le plus cinématographique de son œuvre. C’est du Fellini dans ‘‘ Prova di orchestra ’’. À chaque séquence, la musique raconte l’histoire et le plan se rétrécit sur quelque chose, un visage, un détail et on arrive à un plan serré. »

L’école française Ce monde de la bohème, d’artistes plongés dans la précarité pourrait avoir une résonance avec celui des intermittents aujourd’hui et offrir à Olivier Tousis l’opportunité d’une mise en scène plus radicalement

contemporaine. « J’ai été interprète, moi-même, d’une « Bohème » qui se situait en 1968 et j’ai mis en scène une « Flûte enchantée » avec une reine de la nuit, qui ressemblait à Régine, avec son boa. Donc l’adaptation contemporaine ne me rebute pas. Mais cette fois, non. Il y a pour moi dans « La Bohème » un univers particulier au 19e siècle. » Quant aux problèmes des intermittents, il ne vaut mieux pas trop chatouiller Olivier Tousis qui s’emporte assez vite sur un sujet qu’il connaît particulièrement bien. Lui aimerait plutôt que l’on se batte pour défendre les jeunes et beaux talents français qu’il fera s’exprimer dans « La Bohème », mais aussi dans « La Belle meunière »,

« De sa passion pour l’opéra, Olivier Tousis a fait une mission sur une terre jusque-là en jachère »

comme le baryton Jean Fischer qui fait ses armes dans le monde du lied. Tout comme il a aussi envie d’alerter le public, qui ne verrait que « La Bohème » à l’affiche, sur l’événement que constitue « Winterreise » («Le voyage d’hiver » de Schubert, le 28 juillet) avec deux interprètes d’exception : Laurent Alvaro (baryton) et Nathalie Dang au piano. Un duo événement qui pourrait être à l’affiche de bien des festivals lyriques.

Karaoké lyrique Oui, mais voilà Olivier Tousis voudrait parler de tout et de tous. On ne connaît pas d’autre directeur artistique de festival lyrique, qui après avoir proposé une création pour les

enfants de la Communauté de communes de Macs (Maremne Adour côte sud), pour qui l’opéra relevait jusque-là de la science-fiction, va chanter le soir des impromptus dans des lieux improbables où il se lance dans une sorte de « karaoké lyrique », selon ses propres termes. Un directeur artistique qui va aussi chercher les chanteurs à la gare et règle des histoires de draps de lit. De sa passion pour l’opéra, il a fait une mission dont la terre qui était jusque-là en totale jachère, a désormais Soustons pour capitale. Chaque année, avec un budget qui ferait éclater de rire tous les directeurs d’art lyrique du Sud-Est, avec l’aide du Conseil général, de Macs et de quelques autres partenaires privés

À la lueur de la bougie, l’univers de « La Bohème » dans le Paris de 1830. Parfait pour un opéra. PHOTO ISABELLE LOUVIER

ou publics, il a fait venir 2 000 spectateurs (entrées payantes) en 2012. « Il était inconcevable, il y a quelques années, d’attirer 414 spectateurs pour « Iphigénie en Tauride » sublime opéra de Gluck mais inconnu du grand public », se réjouit-il. L’an prochain avec les contrats auxquels l’interprète qu’il est toujours ne peut déroger, il ne sait pas comment il fera. Mais fera, sans doute, puisqu’il pense déjà à la création d’un opéra autour de Faust. Enfer et damnation que cette passion-là ?

Chef de chant ou pianiste : Marie Datcharry ne choisit pas TALENT Marie Datcharry œuvre en coulisses pendant le festival et sera sur scène le 18 juillet, en duo Lorsqu’on a 23 ans et tous les talents pourquoi faudrait-il choisir ? Marie Datcharry fait partie de ces artistes qui ont ce luxe-là et sait que sa formation est loin d’être terminée. Pour l’Opéra des Landes elle joue deux rôles : l’un dans l’ombre, l’autre dans la lumière. Elle remplit à la fois la mission indispensable de chef de chant pour « La Bohème », mais se produira aussi sur scène, le 18 juillet. Au piano, elle

sera en duo avec Paul Serri au violon, pour traverser deux siècles d’histoire de la musique de chambre : Tchaïkovski, Schumann, Part, Janacek…

Piano et violon à six ans Ne lui demandez pas non plus qui sont les compositeurs qui figurent à son panthéon personnel. Marie trouve toujours de l’intérêt et de la passion dans une œuvre. Avec un père professeur de piano, et un piano trônant à la maison la jeune Saint-Pauloise s’est mise dès six ans à effectuer ses premières gammes. Elle ne démarre pas que le piano mais s’initie aussi au violon au Conservatoire de Dax. Puis, c’est à Bayonne qu’elle poursuit sa formation

dans la classe d’Olivier Chauzu. Ellle y obtient son diplôme d’études musicales, mention très bien en 2007. Mais comme l’accompagnement la passionne aussi, elle intègre la classe de Marina Pacowski et décroche son diplôme avec la même mention obtenue à l’unanimité, en 2009. Un parcours d’artistes est souvent ponctué de rencontres avec des maîtres qui guident vos choix. Parmi ces grands noms Marie Datcharry cite volontiers Jacques Rouvier et Jean-Claude Vanden Eyden, dont elle intègre la classe au Conservatoire royal de Bruxelles. Elle y obtient son bachelor 2, avec grande distinction en 2011 et y poursuit sa formation. Enchaînant par ailleurs, concerts, mas-

ters classes et participation à l’Opéra des Landes. En particulier, pour ce rôle un peu mystérieux de chef de chant qui de l’extérieur peut paraître ingrat voire rébarbatif. Mais ne lui dites surtout pas cela !

À l’écoute « J’aime le rôle de soliste en musique de chambre mais j’aime aussi accompagner. Le chef de chant est au piano, et son rôle est suivre, soutenir les chanteurs, les conseiller. » C’est sa deuxième participation à l’Opéra des Landes, puisqu’elle était venue il y a deux ans pour « Iphigénie en Tauride ». « C’est un travail passionnant parce que nous sommes là au tout début. Avant l’arrivée de l’or-

chestre, c’est nous qui sommes chargés de reproduire la couleur musicale. » Inlassablement, patiente et passionnée, Marie reprend donc tous les thèmes de « La Bohème » avec des chanteurs qui ne sont pas professionnels. « Oui mais ils sont tous très bien, très motivés et tout à fait prêts. Et petit à petit, on sent la différence quand les solistes arrivent, quand l’orchestre arrive, on sent que l’opéra se met en place. » Quant à la qualité principale d’un chef de chant, Marie Datcharry, n’a aucune hésitation : « l’écoute évidemment ». L’écoute, on l’imagine, à tous les sens du terme.. ». Un art qui là encore relève en partie de l’inné. Ch. L.

Marie Datcharry a encore soif d’apprendre et de parfaire sa double formation. PHOTO XAVIER GÈS

Qui a regardé une fois dans sa vie « Au théâtre ce soir » se souvient de cette phrase venue des coulisses, derrière le lourd rideau de scène : « les décors sont de… les costumes sont de… » Cette proclamation publique, mettait en lumière deux rôles tout à fait prépondérants au côté du metteur en scène, que ce soit, au théâtre ou à l’opéra. Des personnages de l’ombre, dont fait partie la très discrète Anicia Ec hevarria qui réalise les costumes de « La Bohème ». C’est vers le dessin qu’Anicia s’est d’abord tournée. Après des études en classe préparatoire en art à Bayonne, elle poursuit sa formation à l’École supérieure des arts de Bruxelles, section illustration. Mais elle éprouve le besoin de travailler avec ses mains, et peu à peu l’idée de concevoir des costumes lui paraît le meilleur moyen d’allier ses deux désirs d’artiste. Au bout d’une formation en trois ans, qui alterne cours et stages, elle obtient un diplôme de régisseur technicien de costumes de spectacles. « Après le diplôme, il y a deux solutions : soit on travaille pour une structure en CDI, soit on reste indépendants. » Elle choisit la deuxième option en s’associant avec Sarah Duvert. Jusqu’ici les contrats

n’ont pas manqué, même si dans ce secteur contrairement à ce que l’on pourrait croire, la concurrence est rude. En 2010, elle a été responsable costumes sur un festival de théâtre à Charleroi, a enchaîné avec une mission au Luxembourg, créé des costumes pour une école de danse, devient costumière pour un courtmétrage primé dans de nombreux festivals, et en décembre 2013, aide à la réalisation de costumes pour des ballets de danse contemporaine à Gent.

Grâce à Parpignol Théâtre cinéma danse… Anicia n’avait pas encore éprouvé ses talents dans un opéra. C’est son père Miguel (lire par ailleurs) qui joue le rôle de Parpignol, qui l’informe qu’Olivier Tousis, recherche une costumière. Anicia se plonge donc dans l’histoire de « La Bohême » et dans celle des costumes de cette époque. « Pour les hommes c’était bien. Ils étaient élégants, plutôt dandys. Les femmes en revanche étaient serrées à la taille, avec des manches « gigot », des jupes en plusieurs couches, avec une longueur qui ne mettait pas en valeur la jambe. » « J’ai beaucoup aimé travailler avec cette équipe. Olivier est quelqu’un de très généreux. Il sait combien le costume est important. » Son rôle est loin d’être terminé puisqu’elle assistera à chaque représentation en coulisses, rectifiant le moindre col mal posé, ou le détail qui tue ; comme un comédien qui aurait oublié d’ôter sa montre… Ch. L

À DÉCOUVRIR ÉGALEMENT

Aimez-vous Beethoven ? Certains n’ont peut-être pas oublié en octobre 2011, l’extraordinaire prestation de Philippe Forget qui avait dirigé 50 musiciens de l’orchestre régional Bayonne Côte basque, dans la salle des Bourdaines, à Seignosse. À l’affiche figurait déjà « Le Concerto de l’Empereur » de Beethoven. Philippe Forget, ce jeune et talentueux chef d’orchestre et compositeur, que James Conlon avait entraîné à l’Opéra Bastille, déjà à la baguette dans « La Bohème » dirigera à nouveau ces deux concerti pour piano de Beethoven, le 24 juillet, à l’espace culturel Ro-

Philippe Forget à la baguette. PHOTO DR

ger-Hanin. Au piano, Maxence Pilchen fera éclater tout son talent déjà moult fois récompensé dans de nombreux concours internationaux. Lui qui se produit et enregistre sur toutes les scènes du monde viendra à Soustons, se confronter à cette œuvre. Exercice d’une brillante virtuosité qui devrait attirer tous les mélomanes du sud des Landes et au-delà…


13e Festival Landes Opéra des Landes

« Die Schöne Infos et Müllerin », réservations « La Belle Meunière »

AU PROGRAMME

« La Bohème » Opéra de Giacomo Puccini, en italien sur-titré. Mise en scène : Olivier Tousis. Orchestre et Chœur de l’Opéra des Landes, direction : Philippe Forget. À l’Espace culturel Roger-Hanin, à Soustons.

Lieder de Franz Schubert. Jean Fischer (baryton) et Yoan Hereau, (piano) explorent l’amour, la mort, le voyage, la nature sur le bel airial landais de Laurens, à Soustons. SAMEDI 26 JUILLET, à 21 heures. Tarif : 16 euros. Tarif réduit : 11 euros.

LES 23, 25, 27 ET 29 JUILLET, À 21 HEURES.

Tarifs : de 16 à 41 euros. Répétition générale le LUNDI 21 JUILLET, à 21 heures, gratuit pour les résidents du Foyer-Lestang et les moins de 25 ans.

« L’Empereur » Concerti pour piano n°4 et 5 de Beethoven. Piano : Maxence Pilchen. Orchestre de l’Opéra des Landes, direction : Philippe Forget. À l’Espace culturel Roger- Hanin, à Soustons. JEUDI 24 JUILLET, à 21 heures. Tarif : 22 euros. Tarif réduit : 15 euros.

« La Bohème » de Puccini. PHOTO ISABELLE LOUVIER

« Les Maîtres de chapelle » Deux opéras en un acte : « Il Maestro di Cappella », de Domenico Cimarosa et « Le Maître de chapelle ou le souper imprévu », de Ferdinando Paer. Avec Estelle Bereau, soprano ; Paul-Alexandre Dubois, baryton, Artavazd Sargsyan, ténor. Éric Allard-Jacquin, accordéon, Caroline Dubost, piano Un spectacle de La Péniche Opéra de Paris. À l’Espace culturel Roger-Hanin, de Soustons. JEUDI 31 JUILLET, à 21 heures. Tarif : 22 euros ; tarif réduit : 15 euros.

« Duo piano-violon » Maxence Pilchen. PHOTO DR

JEUDI 17 JUILLET 2014 WWW.SUDOUEST.FR

Tchaikovski, Schumann, Part, Janacek. Marie Datcharry (piano) et Paul Serri (violon) parcourent deux siècles d’histoire de la musi-

que de chambre pour aboutir au sublime et mystérieux « Spiegel im Spiegel » d’Arvo Part. À l’Espace culturel Roger-Hanin, à Soustons. VENDREDI 18 JUILLET, à 21 heures. Tarif : 16 euros. Tarif réduit : 11 euros.

« Cabaret Littéraire » Conversation philosophique, littéraire, profonde et légère en vers, en prose, en musique, à propos de l’amour, de la mort... Spectacle mis en scène : Benoist Brumer. Chant : Murielle Vincent, Jean Goyetche. Piano : Pablo Messina. JEUDI 17 JUILLET à 20 heures, salle des fêtes de Saubusse, Entrée libre. VENDREDI 18 JUILLET à 19 heures, bar de l’Espace culturel Roger-Hanin de Soustons. Entrée libre.

« Winterreise », « Le Voyage d’hiver »

■ Il est possible de réserver ses places auprès de l’Office de Tourisme de Soustons,Grange de Labouyrie. Tél. : 05 58 41 52 62. o u sur tourisme@soustons.fr Ouvert du lundi au samedi de 9 h 30 à 13 heures et de 14 h 30à 19 heures. Dimanche : 9 h 30 à 13 heures. Réservation en ligne : Ticketnet.fr L’achat d’ un billet acheté pour « La Bohème » de Puccini (tarifs : de 16 à 41 euros) ouvre à un tarif réduit pour tous les autres spectacles.

Lieder, de Franz Schubert. Laurent Alvaro, baryton, Nathalie Dang, piano. À l’Espace culturel Roger-Hanin, à Soustons. LUNDI 28 JUILLET, à 21 heures. Tarif : 16 euros. Tarif réduit : 11 euros.

« Impromptus Opéra » SAMEDI 19 JUILLET à 18 h 30, à l’Auberge du Fronton d’Orx ; DIMANCHE 20 JUILLEt à 18 heures, au Théâtre de la plage, Labenne-Océan.

Exposition À découvrir également, une exposition consacrée aux « Héroïnes d’opéra », exposition de Miguel Etxebarria à l’Espace culturel Roger-Hanin, à Soustons. Jusqu’au 31 juillet, de 19 à 23 heures.

L’espace culturel Roger-Hanin. PHOTO ARCHIVES ISABELLE LOUVIER

Supplément gratuit au journal du jeudi 17 juillet 2014 Président-directeur général : Olivier Gérolami Directeur général délégué, directeur de la publication : Patrick Venries N° commission paritaire : 0410 C 86477 Chef de projet : Pierre Sabathié Illustration de Une : Isabelle Louvier Secrétariat de rédaction : Valérie Lacaze Rédaction : Christine Lamaison et Isabelle Chambon Publicité : Pierre-Emmanuel Davant Siège social : Journal Sud Ouest 23, quai des Queyries, CS 20001 33094 Bordeaux Cedex Tél. 05 35 31 31 31 www.sudouest.fr


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