#24 SOMMAIRE
L’EDITO
L
Décembre
es jours sont plus courts, le froid se fait sentir… Eh oui, l’hiver est de retour ! Comme pour compenser, il apporte avec
lui les fêtes de fin d’année et les vacances. Afin de préparer au mieux ces fêtes l’ADES vous propose, à travers ce journal, des recettes, des
Sociologie 6 8
La sociologue et l’ourson Ecouter de la musique
jeux ainsi que des articles alliant sociologie et détente. Parmi ces articles nous vous proposons d’aborder Noël dans le cinéma ou encore un retour en quelques lignes sur la projection du film « La sociologue et l’ourson ». L’ensemble des membres de l’association se joint à moi pour vous souhaiter beaucoup de courage pour les longues journées de
détente 9 10 12 14
Jain - Le concert événement Noël dans le cinéma «Y’a quoi en ce moment au cinéma?» Les recettes
révisions à venir ! Nous compatissons… »
Nicolas Marroffino
Les jeux ! 17 18
Sudoku Mots fléchés
LE MOT DU PRESIDENT
Et oui, ça y est, une fois de plus le froid revient, et avec lui les traditionnelles fêtes de fin d’année. Je sens déjà l’agitation des courses de Noël, les retrouvailles,
bon les
repas balades
interminables en famille ou dans
le
froid
matinal
avec suivies
les
amis, les
d’une
bois-
son chaude au coin du feu... Et que dire des célébrations du nouvel an ! Mais il ne faut pas oublier également cette belle période de révisions tant chérie par les étudiants. Car en effet les partiels arrivent également ! Pour certains c’est la découverte, pour d’autres une routine et pour d’autres encore une simple formalité. Quoiqu’il en soit nous y sommes ! Et avec tout ceci un nouveau numéro du Frogtimes pour vous accompagner partout. Quoi de mieux entre deux révisions que de se détendre un peu avec quelques articles plus ou moins sérieux de votre journal préféré ? Une sieste ? Trop reposant ! Une ballade ? Trop épuisant ! Rien de mieux qu’un peu de lecture ! Alors profitez donc de ce nouveau numéro et bien sûr profitez donc de ces fêtes de fin d’année ! Moi je vous souhaite (certes, avec un peu d’avance) un joyeux Noël et une bonne nouvelle année ! En vous disant bien sûr à l’année prochaine.
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sociologie - m1 - Dijon (2016/2017)
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sociologie
La sociologue et l’ourson Par Ambre Adamiak, étudiante en L2
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e vendredi 4 novembre 2016, l’ADES vous avait proposé d’assister à la projection du film de Mathias Théry et Etienne Chaillou intitulé « La sociologue et l’ourson », qui était projeté à l’Eldorado. A la suite de cette projection un débat a eu lieu avec Arnaud Alessandrin, docteur en Sociologie à l’Université de Bordeaux, spécialiste du genre et des discriminations.
Mais de quoi parle le film?
« La Sociologue et l’ourson » aborde un sujet contemporain avec un ton drôle et émouvant.
Mais encore ? L’un des réalisateurs, Matthias Théry, a suivi de près la progression de sa mère sociologue Irène Théry (auteur de nombreux ouvrages sur le mariage, la filiation et la parentalité) au sein du débat ouvert en 2012 lors de la proposition de loi pour « Le mariage pour tous » proposé par François Hollande. Le film met en scène des peluches et un enchainement de vidéos montrant la sociologue en présence du président lors des Assemblées, mais également les manifestations s’étant mises en place contre cette loi.
Que pense la sociologue de cette situation ? Selon elle, et c’est ce qui est présent dans le film, l’homosexualité n’est pas une honte et il n’y a pas de choc à avoir quant à l’union de personnes n’ayant pas notre orientation sexuelle. Elle s’attache à montrer que la société évolue et que le concept de mariage présenté comme auparavant n’a plus le même impact au XXIè siècle. Irène Théry dit que les gens pensent tout savoir sur la famille. Or le débat était bien plus dense que ça même si le sujet parait familier. Alors que le débat est politique et national, le film montre que des échanges sur des sujets plus intimes de la famille s’installent, comme la GPA, la PMA et comment les positions de chaque membre ont pu évoluer au fil du temps.
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Durant plus d’une heure on assiste tout ouïe, aux discutions téléphoniques échangées entre Irène et son fils Mathias dont elle est fière et qu’elle a poussé à se lancer sur ce thème. Elle tente de lui faire pleinement découvrir ce que renferme le débat autour du Mariage pour tous et que celui-ci se montre bien plus complexe que de simples discussions et manifestations du côté opposant. Il repose sur un sujet discuté depuis longtemps et sur des normes sociales familiales intériorisées par un grand nombre de la population qui est difficile à accepter en période d’évolution sociale. A la fin de la projection, Arnaud Alessandrin nous a fait l’honneur de mener le débat avec les spectateurs présents dans l’Assemblée. Parmi eux, des sociologues, des professeurs de Sociologie de Dijon dont on remercie la présence, des personnes aux orientations sexuelles diverses qui ont pu exprimer leur ressenti par rapport à cette période qui fût compliquée dans l’ensemble pour eux. Et votre association qui a pris part au débat tout en restant objective.
+ d’INF Vous pouvez retrouver tous les événements de l’ADES et les photos sur le Facebook de l’association @asso.ades dans l’onglet « Photos » ou sur le site Internet ades-dijon.fr
OS
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Une source d’évasion !
sociologie
erue uutsiq edeclo am Par Fanny Jacot, étudiante en L1
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a musique est un langage que tout le monde peut comprendre et interpréter à sa manière. La musique est présente partout et rythme même le quotidien de certains. Il permet à certains de vivre et à d’autres de s’évader du quotidien quelques minutes.
La musique est un outil nous permettant de ressentir des émotions, ces mêmes émotions qui nous permettent de ressentir et de vivre le monde qui nous entoure. Agissant ainsi sur la sensibilité, ce sont des rapports de sensibilité que la musique établira toujours et c’est à travers ces derniers qu’elle s’exprime du petit chanteur sous la douche aux grands compositeurs mondialement reconnus. La musique, outre un son, est surtout un messager, et de ce fait il est un instrument social indéniable, permettant aux gens de communier même le temps de quelques minutes. De ce fait elle touche tout le monde, du simple paysan au grand homme d’affaire fortuné.
La musique est aussi mêlée à d’autres arts, tel que le cinéma ou elle joue un rôle important comme on peut le constater dans les films de Charlie Chaplin, ou encore la danse dont est le moteur principal en rythmant la gestuelle.
La musique reste un moyen de communication que chacun reconnait malgré la barriere de la langue. Elle est aussi un excellent moyen de rassemblement et de partage.
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Jain
détente !
t n e m e n é v é t r e c n o c le Par Nathan Boumadjer, étudiant en M2
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ifficile d’échapper à la déferlante Jain ces derniers mois. Certains de ses titres, à l’image de Come ou de Makeba, résonnent dans nos têtes à longueur de temps. Le soir du 26 novembre sonnait, au Cèdre, le début de son concert, complet depuis plusieurs mois.
Arrivant discrètement, KillAson se fait pourtant remarquer rapidement : dreadlocks et long manteau en fourrure noir, son style et sa présence sur scène ne laisse personne indifférent. Mélange de rap US et d’électro, l’interprétation est à l’image de ses titres particuliers. KillAson réussit l’exploit d’allier une gestuelle sérieuse et des danses extravagantes, fusion de crump et de break. Une première partie réussie pour ce jeune chanteur, qui aura marqué indéniablement le public présent ce samedi soir. Vêtue de sa combishort bleue marine, portant fièrement son col claudine emblématique, Jain fait première de classe. Pourtant sur scène, l’apparente petite fille modèle fait place à une grande musicienne, capable d’assurer seule l’ensemble de ses titres. Son premier album, Zanaka, et son extension sortie il y a quelques jours sont un véritable succès en France. Le visuel sur scène est prépondérant dès son premier morceau : les jeux de lumière transmettent à la perfection la puissance du Titre Hob, tandis que quatre écrans retranscrivent l’univers de Jain. Les voyages défilent au fil des titres : la Jamaïque avec Lil Mama, enregistré sur place, ou Paris, en hommage aux terribles attentats qui se sont déroulés dans la capitale.
Le concert est un réel moment de partage, la jeune chanteuse n’hésitant pas à raconter diverses anecdotes sur la conception de ses titres, découpant par exemple les sonorités de Hope afin de montrer qu’elles ne sont en réalité que des bruits de travaux proches de chez elle. Le public ne fait pas acte de figuration mais participe à l’ensemble des morceaux, Jain les invitant tout au long du concert à « faire la fête » et chanter ses morceaux avec elle. La proximité est indéniable et le lien entre son public et l’artiste se fait dès les premières notes. Un ban bourguignon et une « standing ovation » résonneront plusieurs minutes à l’intérieur des murs du Cèdre, suite à la célèbre musique Makeba où l’artiste a su vivre son chant avec la foule. La réaction du public est au niveau de la prestation de la chanteuse, puisque les critiques sont unanimes : « Jain a une bonne énergie qui se dégage et une bonne connexion avec le public », « elle est généreuse, c’est une artiste proche », « on a pu danser, il y avait suffisamment de place pour tous et c’était génial ! » ; en quelques mots, c’est une réussite !
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Noël dans le cinéma détente !
Par Nicolas Marroffino, étudiant en L1
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e cinéma est présent au quotidien dans notre société, ainsi que Noël qui se montre chaque fin d’année, mais qu’en est-il de leur relation commune ?
Noël est évidemment un prétexte pour se réunir et passer un bon moment, une chose que l’on apprécie tous. C’est là un point de départ parfait pour un film se voulant familial comme en 1993 dans «Les marmottes» d’ Eli Chouraqui, où une famille recomposée va tenter, malgré quelques rebondissements, de passer un bon réveillon dans un paysage savoyard. Tout en restant dans la douceur grâce aux dialogues du réalisateur et de Daniel Thompson mais aussi aux jeux des comédiens dont Virginie Ledoyen. Cette dernière festoiera d’ailleurs à nouveau en 1999 en réalisant « La Buche » avec son fils Christopher. Dans ce film, il est question de mariage, de divorce, de frère caché, mais également de trois sœurs qui tout oppose mais qui finiront par se rapprocher.
Mais comment parler de film de noël sans parler de «Maman j’ai raté l’avion» de Chris Columbus sorti en 1990, où l’originalité est de mise. En effet un jeune garçon ayant un talent certain pour les bêtises se retrouve oublié purement et simplement, à la maison tandis que le reste de sa famille a pris. Vous l’avez deviné, l’avion pour passer le réveillon en France. C’est alors que deux cambrioleurs vont s’introduire dans la maison, et que ce petit garçon va défendre sa demeure à travers différents gags. Il s’agit d’une comédie culte du cinéma familial.
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Ventre rebondi, barbe et longs cheveux blancs, et habillé de rouge et blanc : c’est, à peu de choses près, la façon dont on reconnait le Père Noël depuis une cinquantaine d’année dans tous les pays. A priori, il suffit donc d’endosser une cape rouge bordée de blanc, un gros ceinturon et d’enfiler des bottes pour prétendre apporter des jouets aux enfants. Or certains oublient vite que l’habit ne fait pas le Père Noël. C’est le cas par exemple du psychopathe de «3615 code Père Noël», de René Manzor sorti en 1989, où un faux papa Noël de grands magasins est renvoyé pour violence et cherche à se venger en éliminant le fils de son ex-patronne. C’était sans compter sur la débrouillardise de l’enfant... Dans le même genre, le boulevard Haussmann a aussi produit Félix, le père Noël le plus célèbre de France, incarné bien sûr par Gérard Jugnot, accompagné de toute l’équipe du Splendid : «Le Père Noël est une ordure» , de Jean-pierre Poiré sorti en 1982, met en scène le réveillon le plus épouvantable que l’on puisse imaginer. Aussi déjanté que drôle, et ponctué de quelques répliques culte, grâce à ses personnages inoubliables. Vingt ans plus tard, le succès est toujours au rendez-vous.
Si la France connait quelques déboires avec ces énergumènes, dont le dernier des soucis est d’apporter les cadeaux, ce n’est pas le cas de l’autre côté de l’Atlantique, où ces usurpateurs se font plus doux. Ainsi, Le Grinch va voler Noël aux Munchkins, les habitants de Woshville, pour se venger de l’avoir rejeté étant enfant, alors que Jack Sellington, de « L’Etrange Noel de Monsieur Jack » lui, désire vraiment endosser le rôle de Père Noël : après une vie entière à effrayer les gens à Halloween, il veut changer de registre. Bien que la fin ne justifie pas toujours les moyens, ses déboires finiront par payer, et il retrouvera le véritable esprit de Noël, avec l’espoir et la joie de vivre.
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détente
«Y’a quoi » ? t n e m o m e en c Au cinéma !
Par Candice Lacroix, étudiante en L2
I
l est toujours un peu difficile de trouver un bon film français, n’est ce pas ? Partons ensemble à la découverte de trois films qui ne devraient pas te décevoir !
date de sortie 7 décembre 2016
demain tout commence
Cette comédie dramatique, réalisé par Hugo Gélin, met en scène Omar Sy dans le rôle de Samuel, un éternel fêtard vivant sur la côte française. Un jour, en dépit de sa volonté, celui-ci se retrouve avec un bébé sur les bras : sa fille, Gloria (jouée par Gloria Colston). Dans ce film, le réalisateur a voulu allier le rire aux larmes, dans une volonté de faire voyager le spectateur durant quasiment deux heures.
côté réalisateur Hugo Gélin a choisi ce titre en hommage à sa grand-mère, Danièle Delorme. Avec «Demain tout commence !», il a voulu faire passer le message que chaque jour tout peut arriver, et qu’il faut savoir se satisfaire des choses simples de la vie..
côté acteurs On découvre tout au long d’une film une réelle complicité entre Omar Sy et Gloria Colston, qui dépasse la fiction : ils en deviennent attachants et émouvants.
deux mots pour le décrire
Émouvant et drôle.
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date de sortie 21 décembre 2016
A fond
Ce film met en scène une famille partant en direction des vacances. Un élément nous intrigue dès le début, et ternit quelque peu le suspens : la mise en avant de la nouvelle voiture du père, joué par José Garcia, nous fait penser qu’il va se passer quelque chose en cours de route. L’humour, sympathique et non surjoué, donne un sentiment de légéreté, alors qu’on se sent à l’aise avec les personnages. Ce film se veut quelque peu une critique du progrès technique, de la confiance aveugle mise en celui-ci, et de la volonté des sociétés occidentales de développer des voitures toujours plus autonomes : cette voiture promet des options exceptionnelles qui vont finalement se révéler des éléments sans aucune fiabilité.
côté réalisateur Ce film à été réalisé par Nicolas Benamou, désormais connu grâce à ses précédentes comédies (Babysitting 1 et 2). Avec le film « A Fond » il a pour volonté principale de faire rire, et détendre les spectateurs. Il veut donner des sensations, et faire vivre son histoire à travers les personnages.
côté acteurs José Garcia occupe le rôle principal : il joue un chirurgien sans défaut, entouré de toute sa famille. Tout au long du film, les personnages vont se rapprocher et se redécouvrir, tandis que l’humour reste toujours présent, malgré la situation affolante que les protagonistes vont vivre.
date de sortie 1 mars 2017
côté réalisateurs Grand Corps Malade et Medhi Idir ont voulu adapter l’histoire de Fabien, déjà parue dans un livre.
deux mots pour le décrire
Sincérité et justesse.
deux mots pour le décrire
Distrayant et Amusant.
patients Ce film raconte l’histoire de Fabien Marsaud, plus connu sous le pseudonyme de Grand Corps Malade. Malgré un scénario dramatique, l’humour est présent, ce qui permet de prendre le handicap avec plus de légèreté et de faire comprendre qu’il n’est pas une fin en soi. La totalité de l’intrigue est tournée dans un centre de rééducation : il y avait une réelle volonté de montrer à quel point le handicap peut couper du monde extérieur. « Patients » fait passer le spectateur par toutes les émotions : il permet également de mieux comprendre le handicap tout en donnant une belle leçon de vie.
côté acteurs Tous inconnus, ou presque, du cinéma français, ces jeunes acteurs se sont totalement approprié les personnages et le scénario. Ils sont très complémentaires, ce qui permet de créer une vraie équipe.
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détente
Nos recettes Par Elodie Lamant, étudiante en L2
Biscuit de noël
cocktail des antilles (shrubb) 14
Biscuit de noël Préparation 1. Mélanger dans un grand saladier la farine, la levure, le sucre et la poudre d’amandes. 2. Ajouter le beurre et les œufs, et travailler le mélange : d’abord à la fourchette, puis avec les mains.
pour 6 personnes Ingrédients • 250g de farine
• 100g de beurre ramolli
• 125g de sucre
• 50g d’amandes en poudre
• 1 oeuf
• 1 cuillère à café de levure
• Pour les épices au choix : canelle, gingembre,
muscade, girofle • Zestes de citron, orange ou mandarine • 1 jaune d’oeuf (mélangé à un peu d’eau)
3. Assaisonner au choix avec : 4 épices, cannelle/orange, citron... (Moi, je coupe la boule en 3, et je fais 3 assaisonnements différents !) 4. Préchauffer le four à 200°C (thermostat 6-7). 5. Etaler la pâte avec un rouleau et découper des formes à l’emporte-pièce (sapins, lunes, étoiles......). 6. Les disposer sur une plaque garnie de papier sulfurisé. 7. Etaler un peu de jaune d’oeuf avec de la cannelle sur les biscuits, pour qu’ils soient bien dorés. 8. Enfourner 7 à 10 minutes (à surveiller).
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Cocktail des antilles (Shrubb) Pour une bouteille Ingrédients • 1 L de rhum agricole • 2 oranges (zestes coupé fin uniquement) • 50 cL de sirop de sucre de canne • 1 gousse de vanille • 1 pincée de cannelle moulue • 1 pincée de vanille en poudre
Préparation 1. Faire macérer l’écorce d’orange dans le rhum pendant 5 jours, puis la retirer de l’alcool. 2. Ajouter dans le rhum le sirop de sucre de canne, la canelle et la vanille.
3. Faire macérer à nouveau pendant 3 à 4 jours, puis filtrer le mélange et le mettre en bouteille ou en pichet.
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Jeux !
SUDOKU Facile
difficile
moyen
impossible ?
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Mots mélés L
e but ici est de repérer dans la grille les mots de la liste. Attention, les mots peuvent être inscrits dans n’importe quel sens, en diagonale ou verticalement, et une même lettre peut servir pour plusieurs mots. Bon courage !
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les solutions
SUDOKU
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