Frogtimes - Numéro 20 by Association ADES

carte adhérent seulement 2 € jusqu’au 24 septembre

plus d’informations au local S . 27

pour 5 euros de plus offrez vous l’abonnement Carte culture

et aussi photocopies gratuites de nombreux évènements annales gratuites etc ...

septembre

L’EDITO

#20

SOMMAIRE «

Nous y voilà, la rentrée ! Une nouvelle année de dur labeur après quelques mois de répit biens mérités.

Pour certains cette année s’annonce comme la première à l’université : le stress et la frénésie de la nouveauté, un nouvel univers de liberté devant vous, toutes ces personnes donnant l’air de savoir ce qu’ils font (juste un air ne vous en faites pas), et nous les membres de l’ADES venant à votre rencontre, ce journal à la main. Après quelques secondes à vous harceler pour le prendre, vous l’aurez accepté, probablement par pitié, mais ce n’est pas grave ! Vous voici détenteur d’un sésame : au coeur de celui-ci vous allez trouver tout ce dont vous avez besoin pour rendre vos premiers jours parmi nous mémorables, et par la même occasion avoir un début de compréhension de ce tout nouvel environnement. Vous allez aussi apprendre à nous connaître un peu mieux, nous, les membres de l’ADES. D’ailleurs, comme toujours, vous avez la possibilité de participer au journal en nous envoyant vos articles, et si vous n’avez pas d’idée, vous pouvez venir discuter avec nous et nous pourrons vous aider. N’oubliez pas que ce journal est créé grâce au volontariat de chacun, et que vous pouvez en faire partie !

Je vous souhaite donc à tous une très bonne rentrée et espère vous rencontrer bientôt, que ce soit à la sortie d’un amphi ou au local de l’association.

Jeffrey Thomas

La rentrée 6 10 12 14

L’ADES et ses membres Les évènements de rentrée La journée d’intégration Le week-end d’intégration

SOCIOLOGIE 16

La sociologie

DÉTENTE 18 21 23

Nos recettes : Spécial pesto Découverte : Le tennis Séries : House of Cards et Nina

Les jeux ! 25 26 27

Sudoku Mots fléchés Les solutions

Le mot de la présidente

Ah, les vacances, le farniente, la bronzette au bord de la piscine, le bruit des cigales, et… LE BOULOT. En ce moment même, je suis plus absorbée par regarder la télé, en me demandant ce que je vais pouvoir grignoter (chose que mes fesses regretteront très bientôt), qu’inspirée par cette tâche ô combien compliquée qu’est d’écrire le traditionnel Mot de la Présidente. Allez, je me concentre. Je ne vous cache pas que c’est avec un peu d’appréhension que je m’adresse à vous pour la première fois de cette façon. Qu’est-ce que je vais pouvoir vous raconter ? Mes vacances dans le Sud, à prendre des coups de soleil ? Pas sûr qu’en période de rentrée scolaire vous appréciez vraiment qu’on ressasse tous ces souvenirs de l’été ! Alors que la plupart d’entre vous, en L2, L3, et même Master, connaissent déjà la Fac et son fonctionnement, la rentrée amène aussi son lot de L1, nouveaux dans le milieu, et un peu perdus face à tant de choses inconnues… Pour tous, c’est le moment de se lancer ! Rappelez-vous, il y a quelques années, quand votre maman vous accompagnait à l’école maternelle, pour votre première rentrée… Bon, je vous l’accorde, ça remonte un peu (beaucoup), mais c’est tout pareil ! Ici, au lieu de dire au revoir à votre chère « Môman », vous pouvez plutôt dire bonjour aux membres de l’ADES ! Hé oui, l’Association Dijonnaise des Étudiants en Sociologie est là pour vous ! D’ailleurs, nous vous avons préparé une rentrée du tonnerre, dirons-nous. Au programme ? Un journal avec pleins d’articles super cools (oui, c’est celui-là même que vous tenez entre vos mains), un guide du primo-arrivant qui vous aidera à vous y retrouver dans le grand monde qu’est la Fac, ou encore un tutorat de rentrée (exprès pour vous aider). On vous attend aussi nombreux à notre journée d’intégration (suivie d’un pique-nique, elle n’est pas belle la vie ?), mais aussi à notre soirée de rentrée (au Chat Noir, pour danser !), et à notre « mythique » Weekend d’Intégration, pour le côté festif ! N’oubliez pas que nous restons disponibles pour vous, pour répondre à toutes vos questions, ou tout simplement pour discuter : n’hésitez pas à venir nous voir dans notre beaaaau local S.27, et profiter de nos services ! (Les p’tits « vieux » en L2, L3 et Master peuvent vous dire à quel point nous sommes gentils, accueillants et souriants… ou presque) Bonne rentrée à tous, et à très vite ! Elise Bouillot

Retrouvez votre association sur... FACEBOOK ! TWITTER !

retrouvez ĂŠgalement ... - sociologie-l1-dijon (2015/2016) https://www.facebook.com/groups/895638760527570/ -sociologie-l2-dijon (2015/2016) https://www.facebook.com/groups/336381429857978/ -sociologie-l3-dijon (2015/2016) https://www.facebook.com/groups/649710321706290/ -sociologie-m1-dijon (2015/2016) https://www.facebook.com/groups/435897166472432/

La rentrée

l’ades et ses membres L’Association Dijonnaise des Etudiants en Sociologie, dite ADES, a vu le jour le 21 juin 2008. Depuis ce jour, les étudiants se sont succédés afin de pérenniser, développer et réactualiser les nombreux projets portés par l’association. Ceux-ci sont organisés autour de trois axes : Les services aux étudiants L’ADES souhaite apporter aux étudiants en Sociologie le maximum d’éléments de réussite pour leurs études. Ainsi l’ADES cherche à accompagner et offrir des avantages aux étudiants de Sociologie dans le cadre de leur scolarité mais aussi en ce qui concerne leur vie étudiante. -Organisation d’une bourse aux livres permettant la revente d’ouvrages sociologiques et leur acquisition à prix réduits. -Des annales gratuites pour les adhérents à chaque semestre. La représentation -L’ADES est présente et intervient dans les différentes instances où se joue l’avenir des formations, de la recherche et des conditions de vie étudiante. Des étudiants en sociologie, le plus souvent membres de l’association, siègent dans les conseils d’Université (CA, CFVU, UFR) et du CROUS et travaillent en collaboration avec d’autres élus indépendants et/ou issus de vos associations. -L’ADES s’oblige également à diffuser des informations utiles aux étudiants, à répondre à leurs interrogations et à s’en faire le porte-parole si nécessaire. L’animation -L’ADES a pour but de promouvoir les liens entre les étudiants de sociologie de Dijon et d’assurer une bonne cohésion. A cet effet, elle organise de nombreux événements festifs et divertissants, s’obligeant toujours à proposer ces activités à un prix décent.

Elise BOUILLOT ( Alias Cagoledu21 ) Présidente

onic.

Toujours là pour faire le taxi en fin de soirée dans sa Twingo supers

Elle dort environ 20 heures par jour, et le reste du temps elle chante

Si elle étaitun personnage célèbre

Eve Angéli (on vous laisse deviner si c’est parce qu’elle est du Sud,

. Faux.

ou juste débile)

Son arrivée à l’ADES

Première Dauphine de Miss Socio me reste en Après être arrivée un peu par hasard après le WEI (ma place de où les gens avaient l’air gentils. Puis je me suis travers de la gorge...), je me suis de plus en plus incrustée au local, j’étais embrigadée. Après un premier mandat en rendue compte que pas trop, en fait, mais il était déjà trop tard, d’être gentille avec les gens, pour les amadouer tant que Secrétaire, me voilà ici maintenant ! Du coup, j’ai décidé à mon tour... Vous venez nous voir quand ?

CAMILLE TRANCHET ( Alias Camillou ) Trésorière

Très (trop) bon public, elle rigole à toutes les blagues

Prend un peu trop de selfIes

Si elle étaIt un métier Camionneuse

Son arrivée à l’ADES

édiaire d’un ami, Dorian, le jour de la rentrée. Arrivée un peu par hasard en Socio, j’ai approché l’ADES par l’interm que je me suis inscrite au WEI. Au fil de l’année J’ai décidé de faire la journée d’intégration et ça m’a tellement plus l’association, pour prendre l’année suivante j’ai de plus en plus trainé au local et j’ai commencé à m’investir dans crois que j’ai chopé le virus, puisque je rempile un poste en tant que Vice-Présidente en charge des partenariats. Je cette année en tant que Trésorière !

Morgane TIMBERT Secrétaire

Toujours prête à travailler

Elle ne sait pas ouvrir une bouteille de boisson gazeuse sans faire

tout gicler

Si elle était un sentiment La niaiserie

Son arrivée à l’ADES

et aider les autres (un peu trop même). Du coup Ils m’ont pris par les sentiments ! J’adore m’éclater, être en groupe res et… j’ai décidé de rester ! Après tout, avec j’ai voulu voir ce qu’il se passait à l’asso, de parler avec les memb (PS : leurs canapés n’aident pas non plus !) l’équipe qu’ils avaient et toutes leurs actions, difficile de décamper.

Elodie LAMANT

Vice-présidente en charge de évènements et des soirées

Son talent pour faire des tartes (ou en mettre)

Quand on lui demande sur quoi elle écrit son article sur le journal, elle répond : Bah sur Word ! »

Si elle était un animal

Un ourson à la guimauve (oui, c’est un animal)

Son arrivée à l’ADES

rire au WEI. Durant ce week-end j’ai beaucoup C’est en ayant bien rigolé à la journée d’inté que j’ai décidé de m’insc Et c’est en passant de plus en plus de temps échangé avec les membres de l’asso et j’ai bien sympathisé avec eux. rester. au local, en rigolant et en trouvant leur soutien que j’ai décidé de

Jeffrey THOMAS ( Alias Glaçon )

es Vice-président adjoint en charge des évènements et des soiré

Il est armé pour tenir un siège, mais ne ferait pas de mal à une mouche

Sa connaissance partielle du code de la route

S’il était un objet Un bac à glaçons

Son arrivée à l’ADES

mauvaise ambiance, qui n’en est pas vraiment Je suis arrivé dans l’asso grâce à l’ancien bureau, et sa légendaire tout le côté associatif, ce qui m’a donné envie de une. J’ai rapidement apprécié ces personnes et ils m’ont parlé de amitié et travail, c’est ça qui m’a plu ! m’impliquer. Aider les autres et faire partie d’une équipe qui mêle

Eva BERNARD ( Alias PLP - Porte la Poisse ) Ancienne Présidente

Certains disent qu’elle sent bon

Elle met 1h45 à manger ce que vous mangeriez en 10 minutes Être à l’heure ? Quelle heure ?

Si elle était un aliment

Un hamburger sans viande avec double dose de fromage mais sans

lactose (c’est compliqué…)

Son arrivée à l’ADES

s par ma beauté, les membres de l’associaTout a commencé avec le concours de Miss Socio en mars 2012. Ébloui coups de mains au cours de ma L2, j’ai attrapé ce tion n’ont plus voulu me laisser partir. Après avoir donné quelques partir... Vice-présidente en charge des soirées en qu’on appelle le «virus associatif» et c’est moi qui n’ai plus voulu année de master 1, et ai rejoint depuis cet été le 2013-2014, j’ai été présidente de l’ADES l’an dernier, pendant mon journal ? clan des retraités pour laisser ma place... peut être à toi qui lis ce

Julien GROSSET ( Alias Grinch )

Ancien Vice-Président en charge des affaires générales

C’est un de ceux qui chantent le mieux ici (en même temps, ce n’est

Il enfume tout le monde avec sa p%&#@n de cigarette électronique (#cheminée)

pas dur)

S’il était un FIlm Le Grinch

Son arrivée à l’ADES

, que c’était un mec fun (avec un Quand je suis arrivé en L1, un pote m’a dit d’aller voir un certain Dorian ils, et voilà, j’ai fait quasiment tous les certain humour) et membre de l’asso de Socio. J’ai écouté ses conse à petit le local, pour finir par devenir évènements pendant ma L1. C’est comme ça que j’ai fréquenté petit t au niveau du travail avec les deux bumembre du bureau pendant 2 ans. Deux très belles années, autan vous tente même un tout petit peu reaux, que dans le fait de servir au mieux les étudiants. Si l’aventure e) franchissez le pas :D (en vrai on est sympa, même si un peu étrang

Nathan BOUMADJER ( Alias Miloud ) Ancien Trésorier

C’est un peu le Spielberg de l’asso

Son amour pour Taylor Swift Il met du temps avant d’aller chez le coiffeur

S’il était une chanson Mon Pays, de Faudel

Son arrivée à l’ADES

ites» de l’association que je pouvais croiser, J’ai engagé ma première année universitaire en évitant tous les «paras ma volonté...), puis comme Trésorier. Depuis je pour fInalement craquer et les rejoindre en tant que VP Journal (ah gueule sur tout le monde (même si je les aime continue de suivre l’association en tant que vieil associatif chiant qui bien au fond).

Julia BLONDEL ( Alias Caporal Mégère ) Ancienne Présidente

La voix de la sagesse (non, on rigole)

Elle ne sait pas dire non à une soirée

Si elle était une émission TV

Les Anges de la Téléréalité, pour le côté culturel

Son arrivée à l’ADES

nez dans le local de l’ADES. Le milieu associaArrivée en 2010 à la fac, j’ai mis quelques mois à oser pointer mon rencontré la présidente de l’époque qui (après tif m’était alors inconnu et me paraissait peu intéressant. Puis j’ai l’aventure. C’est ainsi que je suis devenu Secréquelques verres il faut l’avouer !) m’a convaincu de faire partie de d’hui ! taire Générale, puis Présidente, et je ne le regrette pas du tout aujour

Dorian COLAS ( Alias Dodochuibo ) Ancien Président

On n’a toujours pas trouvé depuis l’année dernière…

Sa tendance à TOUT perdre #Huittéléphonesplustard

S’il était un sport

L’haltérophilie, mais sans haltères

Son arrivée à l’ADES

es coups de mains, je me suis vraiment investi Après avoir traîné de loin avec l’asso lors de ma L1, et filé quelqu sé de devenir le futur Président. Après quelques comme bénévole dans ma L2. À ma grande surprise, on m’a propo é l’ADES durant ma L3. Désormais je regarde temps de réflexion et d’investissement, je me suis lancé et ait présid l’aspect «représentation» de la vie étudiante et les nouvelles générations prendre le relais et me concentre sur associative.

La rentrée

Les évènements d

e rentrée

Par Camille Tranchet, étudiante en L3

Chers nouveaux étudiants, du lycée vous arrivez aujourd’hui à l’université, et s’ouvre à vous un nouvel univers, de nouvelles rencontres et une tout autre organisation. Si l’implication dans vos études est importante, vous accédez à présent à toutes les sorties étudiantes et votre association préférée a pensé à vous !

Le tutorat de rentrée - lundi 7 septembre

Le tutorat de rentrée marque le début de votre année universitaire ! C’est l’occasion pour vous de découvrir le fonctionnement de la fac, ou encore les maquettes de vos cours et le déroulement de votre année. En prime ? Vous aurez droit à une visite guidée et super privée (comme des V.I.P.) du campus ! C’est l’occasion pour vous de situer les bibliothèques (les traditionnelles BU - hé oui, faut bien travailler un peu), les restaurants (mythiques RU, pour les plus… «gourmands »), ou encore la médecine préventive, ça peut toujours vous être utiles.

La journée d’intégration - deuxième semaine de septembre

Quand on arrive à la fac, et encore plus si vous venez d’une autre ville que Dijon, faire de nouvelles rencontres peut paraitre intimidant. Et si, comme moi, vous n’êtes pas la personne la plus ponctuelle du monde et que vous arrivez en cours alors que celui-ci a déjà commencé, c’est d’autant plus difficile de créer des liens. C’est pour palier à ce manque de communication que l’ADES organise ce [date] sa journée d’intégration ! Entre nouvelles rencontres et cohésion de promos, venez passer l’après-midi avec nous autour de jeux plus bonne ambiance les uns que les autres. Pour plus d’infos, tournez la page et découvrez le témoignage d’une ancienne L1 qui se trouvait à votre place il n’y a pas si longtemps que ça… ET EN BONUS : La soirée se clôturera autour d’un pique-nique, pour un moment encore plus convivial !

La soirée d’intégration - jeudi 24 septembre

La soirée d’intégration est dans la continuité de la journée d’intégration, c’est une façon de confirmer les liens que vous avez commencé à créer, mais aussi de faire de nouvelles rencontres. Qu’il s’agisse de nouveaux (ou plus anciens) Socio ou de personnes d’autres filières, c’est l’occasion de se cotoyer dans un milieu beaucoup moins informel que les cours ! Cette année, la soirée d’intégration aura au Chat Noir (à côté de la Place de la République, pour les novices). On vous attend ! Le Weekend d’Intégration - du 2 au 4 octobre

Pour clôturer ce début d’année universitaire, le Weekend d’Intégration, plus communément appelé WEI fait son apparition ! Après avoir combattu dans « Battle for Ponyland », puis avoir vu les Romains l’emporter sur les Gaulois, les Psychos et les Socios remettent ça cette année ! A la façon d’une Color’run, le Color’WEI s’ouvre à vous : c’est l’occasion de créer un réel esprit de promo, tout en passant un bon moment ! Dans un esprit bon enfant (et coloré), venez soutenir votre filière, venez nous aider à remporter le trophée de la victoire (pour la troisième année consécutive !), et surtout… VENEZ VOUS AMUSER ! Pour l’occasion, deux soirées hautes en couleurs vous attendent, dont la traditionnelle élection de Miss et Mister 2015, et plein d’autres surprises. Avec vous ? Et pleins d’autres évènements à suivre tout au long de l’année : Lasergame, repas interpromos, soirées au Chat Noir les jeudi 18 décembre et 10 mars, et d’autres encore…

La rentrée

d e é n r u o j La Un joli nom pour un drôle d’événement n’est-ce pas ? Je dirais même rempli de clichés. Je vais donc te donner mon ressenti de ma journée d’intégration pour que tu puisses te décrocher de tout ça. Au départ je n’avais pas vraiment décidé de participer à cette journée d’intégration, j’avais pour seul objectif d’obtenir mon Bac 1. Alors rester seule ou non durant l’année m’était bien égal.Mais il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis et me voilà aujourd’hui pour vous parler de ces deux mots qui ont changé beaucoup de choses : journée et intégration.

Et rien ne vaut une bonne compétition et un objectif commun pour s’intégrer dans un groupe et oser se parler. Je n’ai pas vraiment eu le choix, il a bien fallu construire les techniques d’attaques pour ne pas se laisser assaillir par « l’ennemi ». Les chefs d’équipes (les membres de l’association) nous motivaient avec leur bonne humeur, leurs sourires et leurs blagues. Déjà, je ne regrettais plus d’être venu à la journée d’intégration, car elle promettait d’être mémorable : rien ne vaut de bons moments de rigolade pour bien débuter l’année. Leur joie était communicative, je me suis amusé, j’ai rigolé et j’ai encouragé mon équipé au point d’en perdre ma voix.

Tout a commencé quand j’ai vu débarquer en amphi des personnes étrangement joyeuses à la fin de notre premier cours d’Histoire : l’ADES venait nous chercher ! Ils nous ont rassemblés devant l’amphi afin de nous expliquer ce qui allait se passer et aussi pour motiver certains d’entre nous qui étaient réticents à venir (dont moi). Après l’immanquable « pause pipi » nous voilà partis sur un des terrains du campus. Le déroulement de la journée était simple : différentes équipes devaient s’affronter, mais aussi affronter les anciens L1 de sociologie pour gagner un maximum de points !

n o i t a r g é ’int Par Morgane Timbert, étudiante en L2

J’espère que j’ai réussi à t’enlever un minimum de stéréotypes accrochés au mot « intégration » et que tu viendras à ton tour à cette superbe journée d’intégration. Pour ma part je ne l’oublie pas, elle reste un des meilleurs moments de mon année de L1, mais aussi une des journées les plus importantes. C’est vrai, si je n’avais pas rencontré l’ADES, je ne serais pas là à t’écrire et à essayer de te soudoyer pour que tu viennes à ton tour t’amuser avec nous à la rentrée. Ne t’arrête pas aux idées reçues que tu peux avoir ou tout ce que tu entends dessus, viens plutôt te faire ton propre avis. Et même si tu es plutôt réticent, rien ne vaut d’essayer. Après tout si tu n’aimes pas ça, on ne te force pas à rester. Mais ce serait dommage que tu passes à côté d’une occasion de rencontrer des gens qui seront, peut-être pour toi, inoubliables. Sachant que cette journée a un unique mot d’ordre : s’amuser ! Maintenant je suis passée de l’autre côté de la barrière et je suis membre du bureau de l’ADES. Je n’ai qu’un seul souhait que tu t’amuses autant que j’ai pu m’amuser. N’espère même pas rester dans ton coin, car je viendrais te voir à mon tour pour te contaminer de ma bonne humeur. Lors de cette journée j’ai rencontré beaucoup de monde, et notamment les personnes de l’association de sociologie. Après tout je me suis dit, ils ont ton âge, ils ne vont pas te manger. Cela m’a même permis, avec d’autres personnes de mon groupe, de me renseigner sur les professeurs que j’ai eu et sur ce qu’ils attendent de nous. Mais je tiens quand même à notifier quelque chose qui m’a paru important durant cette journée : à aucun moment, je n’ai eu l’impression de me faire bizuter par les anciens. Pour moi ce fut un rassemblement d’étudiants de la même filière qui se retrouvent pour rigoler entre eux en faisant des jeux plus ou moins bizarres. Je te souhaite avec tous les membres de l’ADES une super intégration, une super année et que la réussite soit au rendez-vous pour toi. Nous ferons tout pour que la joie soit là et que tu ne te sentes pas mis à l’écart. PS: Il est impossible de rester là à regarder. Je te le dis, j’ai essayé. Mais peine perdue...

La rentrée

LE week-end d Par Elodie Lamant, étudiante en L2

Le weekend d’intégration, plus communément appelé WEI, vous allez pas mal en entendre parler en ce début d’année ! Mais qu’est ce que c’est vraiment ? Pour rassurer les plus réticents d’entre vous, je vais prendre le temps de donner quelques explications sur ce fameux weekend. Tout d’abord, il faut préciser que ce n’est en rien un code secret pour dire bizutage : celui-ci sert en priorité à créer des liens entre des personnes d’une même filière et surtout à passer un bon moment. Ce WEI a pour but de favoriser les relations entre étudiants en sociologie afin d’éviter la solitude en amphi durant l’année universitaire. Cet événement peut être vu comme une suite directe à la journée d’intégration, à la différence que celui-ci n’a pas lieu sur le campus, mais en extérieur. C’est une expérience magnifique à vivre même pour les plus timides. En effet durant 2 jours vous allez cohabiter avec des personnes que vous ne connaissez sans doute pas et afin de profiter au maximum de l’expérience il vous faudra aller vers eux ! associations « Le WEI organisé par les l’événement ADES et ACEP est sans doute J’ai passé un de l’année à ne pas rater ! l et très chaweek-end super fun, convivia udiants, mais leureux avec les autres ét regrette pas aussi les organisateurs. Je ne d’y être allé. »

Olivier, étudiant en L2

Le week-end d’intégration est co-organisé depuis quelques années avec l’Association Culturelle des Étudiants en Psychologie (ACEP), ce qui a permis aux organisateurs de créer une compétition dans le rire et la bonne humeur entre les deux filières. L’année dernière, le thème du WEI était « Romains VS Gaulois ». Très vite les équipes se sont formées, l’objectif étant de faire gagner son équipe (et donc sa filière) dans des jeux organisés sur tout le séjour.

d’intégration Tout commence le vendredi en fin d’après-midi, où le ton est donné dès la montée dans le bus. Les plus fous sont même venus déguisés. Durant le trajet en bus, chacun se présente simplement et on fait quelques jeux pour passer le temps, mais aussi pour se mettre dans l’ambiance de ce week-end qui promet d'être déjanté. Et en parlant d'ambiance, on peut toujours compter sur nos anciens chefs d'équipes retrouvés de la journée d'intégration pour nous motiver. On arrive quelques heures plus tard sur le champ de bataille (plutôt pas mal d’ailleurs) c’est là que les hostilités commencent ! La soirée débute par un premier test, puis la fête bat son plein. Vient ensuite la première journée, avec des jeux aussi originaux les uns que les autres, dont un qui marque l’esprit des intégrés chaque année. Si tu nous rejoins, tu auras alors le privilège de te créer toi aussi un souvenir mémorable de ce jeu fantastique. C’est après cette longue journée que se présente la plus importante de toutes les soirées : l’élection de énement « Pour moi le WEI était l’év Avec des de l’année à ne pas louper. d’inté, on L1 rencontrés à la journée bonne a enfilé nos costumes, notre durant ambiance et on a été à fond vraiment tout le week-end. Ca a été clater et SUPER, on a pu se lâcher, s’é d’autres surtout tisser des liens avec chée des gens. Je me suis aussi rappro blaguant membres de l’association en cutant. avec eux, mais surtout en dis de choc Au final, j’ai gagné un quatuor e place durant toute ma L1, une petit ur aider dans le monde associatif po s Socio les étudiants et l’élection Mis 2015 ! »

Miss & Mister Psycho et Socio, mais aussi l’annonce des grands gagnants du week-end (et devinez qui a gagné ? … les SOCIOS bien sûr !!). En résumé ce fut un week-end génial avec des organisateurs géniaux qui ont gardé la L2 pêche durant tout le week-end (ils ont du MORGANE, éTUDIANTE EN moins essayé) pour nous motiver à bloc . Alors si après avoir lu tout ça, tu es décidé à tenter cette expérience, je t’attendrai au local avec les autres membres de l’ADES pour te parler plus en détail de ce WEI, des souvenirs que j’en garde tout en maintenant une part de mystère, ce n’est pas drôle sinon. Et puis, cela fait deux années de suite que les SOCIOS gagnent, ce serait dommage que les Psychos nous enlèvent le titre. Alors, viens nous aider à le conserver !

SOCIOLOGIE

e i g o l o i la soc Par Laura Boitard, étudiante en M1

En me remémorant mon arrivée en première année de sociologie, j’ai remarqué que je n’en savais pas tant que cela sur cette discipline. C’est d’ailleurs très amusant, lorsque l’on dit à telle ou telle personne de son entourage que nous sommes étudiant en sociologie, la première réaction c’est un « Ahhh oui, la société, tout ça, comment on vit ensemble… », chaque fois, je sors le fameux : « Oui, mais en fait non. ». Parce qu’effectivement, la sociologie c’est l’étude des sociétés, et plus précisément les interactions entre ladite société et les êtres humains la composant ; seulement je trouve cette définition un peu réductrice. Cette discipline est complexe et passionnante. J’avais donc envie de vous parler de ce que cette matière peut apporter intellectuellement, si je puis dire (ainsi, on ne parlera pas des possibles débouchés ici.) Je vais amorcer cet article par la chose qui m’agace le plus lorsque je parle de mes études à des individus entièrement extérieurs à la discipline. C’est relativement le même schéma, mes interlocuteurs ont une représentation plus ou moins juste de ce que peut être la sociologie, et une image souvent erronée de la visée d’une étude sociologique. La question qui vous sera le plus souvent posée et qui m’exaspère de plus en plus est la suivante : « Mais du coup, ça sert à quoi la sociologie, enfin je veux dire, une fois que vous savez tel ou tel truc sur tel ou tel groupe, concrètement ça va apporter quoi à la société, ça va nous apporter quoi ? ».C’est exactement LA question type. Comment répondre à cela de manière à ce que la personne comprenne la démarche ?

Les deux éléments principaux ici, ce sont bien le « ça sert à quoi ? » et « ça va nous apporter quoi ? ».On peut déduire de ces deux interrogations un besoin irrépressible « d’utilité », il semble nécessaire de rationaliser l’étude sociologique. Alors que la sociologie n’a pas d’utilité au sens où l’entendent la plupart des individus. Une enquête d’ordre sociologique va nous permettre de voir, en premier lieu, d’observer une ou des pratiques types d’un groupe donné, ensuite on analyse ces observations et enfin on tire certaines conclusions. On aura alors une meilleure connaissance d’un groupe précis et défini à un moment dans le temps. La visée de la sociologie n’est pas de prétendre « changer les choses », le but c’est d’avoir une connaissance plus objective d’un fait social précis, d’avoir une connaissance de l’espèce humaine.

Après une grande enquête sur une pratique dans telle région de France, il ne va rien se passer d’autre. Il est possible que le gouvernement ou certains organismes se servent de cette enquête pour faire évoluer des réglementations par exemple, pour qu’elles correspondent mieux à la réalité. Mais en aucun cas, le sociologue ne va faire son enquête en vue de « changer les choses ». Je ne vais pas trop m’étendre sur ce besoin « d’utilité » dont je parlais tout à l’heure (même si je pourrais en parler des heures, je pense), mais je voudrais partager avec vous une petite anecdote qui colle parfaitement à tout ceci. Il y a un peu moins d’une semaine, sur mon lieu de travail (qui suit les conventions d’usines pour situer un peu le terrain), une de mes collègues me demande ce que je fais comme études, je lui réponds que je suis en sociologie. Elle me donne sa représentation de la discipline qui s’avère plutôt juste. Évidemment vient la question fatidique : « Mais ça ouvre à quel genre de métiers ? Tu veux faire quoi toi plus tard ? » Étant en grosse phase d’interrogation quant à mon avenir professionnel, j’étais peu encline à développer sur ce sujet. De fait, j’élude un peu la question. Elle me demande, sans surprise, quelle est l’utilité d’une enquête sociologie. Je lui réponds qu’il n’y a pas d’utilité au sens où elle, elle l’entend, mais que finalement on veut avoir une meilleure connaissance des faits sociaux ; j’essaie de ne pas trop développer. Elle finit par me demander qui finance ces études, je lui explique que c’est varié, ça peut être l’université, un organisme privé, l’État, bref, c’est varié. Là, elle m’a dit quelque chose que je n’avais encore jamais entendu et qui m’a blessé en quelques sortes, elle m’a dit : « mais finalement, si ça ne sert pas à « changer les choses », ça veut dire qu’on dépense l’argent public pour des études dont on se fiche, qui ne servent à rien, alors que c’est la crise et qu’il faudrait de l’argent ailleurs où ce serait réellement utile, c’est fou tout ce gaspillage. »

À ce moment, j’ai avancé plus vite dans mon travail pour ne plus l’avoir à côté de moi parce que j’étais bien trop énervée. Finalement, elle n’avait rien compris. Elle ne comprenait pas l’amour de l’étude en elle-même et pour elle-même. Son argument du « gaspillage d’argent » m’a blessé dans le sens où elle critiquait ouvertement, ma filière, et par ce biais une partie de moi puisque la sociologie occupe neuf mois de ma vie chaque année. Je me suis réconforté en me disant que mes collègues apprentis sociologues, eux, comprenaient la sociologie. On peut dire, qu’en 2015, malgré toutes les avancées de la discipline, elle reste encore incomprise et critiquée, nous sommes encore obligés de nous justifier devant ce choix et obligés de défendre cette science sociale. Je suis déçue parce que la sociologie apporte beaucoup à ceux qui l’étudient. En effet, grâce à elle, on peut développer un esprit critique qui nous servira presque tous les jours. Le plus magique c’est la façon dont cet esprit critique pointe le bout de son nez, je ne m’en suis rendu compte que cette année après trois ans d’étude. Je crois donc que pour faire de la sociologie et vouloir continuer dans cette voie, il faut aimer la recherche de connaissances en ellemême et pour elle-même, être avide de savoirs sans rechercher plus que ce savoir. Il fait aussi être très curieux. Il faut vouloir comprendre les êtres humains dans toute leur complexité et dans toutes leurs différences. Il faut savoir s’extraire de soi-même et en avoir envie également. Enfin, il me semble qu’il faut être conscient qu’une étude sociologue révèle des savoirs sur un groupe déterminé, à un instant T, qu’on ne pourra en aucun cas en tirer des conclusions universelles ; vouloir comprendre l’humain « socialement » c’est passionnant, c’est aller plus loin que le comprendre biologiquement.

Sur ces paroles, je vous souhaite une excellente rentrée.

Détente !

Nos recettes Par Elise Bouillot, étudiante en L3 Pour ce numéro, j’ai décidé de prendre en mains la partie recettes, et de vous proposer plusieurs idées de plats autour d’un ingrédient que j’affectionne particulièrement : LE PESTO. Si vous êtes comme moi, des fanatiques de ce produit, ces recettes sont faites pour vous; et pour ceux qui sont réticents, j’espère que ces idées vont vous permettre d’apprendre à le connaitre ! À vos fourchettes… dégustez !

salade de pâtes d’été

feuilletés aux saveurs italiennes

salade de pâtes d’été préparation de la recette 1.

Faire cuire les 500 g de pâtes.

2. Découper en petits dés les tomates et la Féta. 3. Les mettre dans un bol à reposer avec un peu d’huile d’olive, du sel et du poivre.

Ingrédients pour 6 personnes • 500g de pâtes (les farfalles se prêtent particulièrement bien à cette recette) • 1 pot de pesto • 2 plaquettes de Féta (fromage de brebis) à découper soi-même • Quelques tomates (4 ou 5) • De l’huile d’olive

4. Mélanger le tout et laisser reposer au frais. 5. Une fois les pâtes cuites et égouttées, mélanger le Pesto directement pendant qu’elles sont encore chaudes. 6.

Laisser le tout refroidir.

7. Ajouter le mélange de tomates et de Féta, ainsi que les pignons de pin. 8. Pour éviter que les pâtes ne paraissent trop sèches, on peut rajouter un filet d’huile d’olive et mélanger le tout. 9.

Bon appétit.

• Du sel et du poivre • Des pignons de pin

feuilletés aux saveurs italiennes préparation de la recette 1.

Faire préchauffer le four à 200°C.

2. Couper la pâte feuilletée en 4, puis au centre de chaque part mettre une cuillère de Pesto. 3. Ajoutez quelques dés de tomates et de Mozzarella. 4. Refermer chaque feuilleté à la façon d’un panier et les mettre au four. 5. Quand les feuilletés prennent une teinte dorée, ils sont prêts.

Ingrédients pour 2 personnes ou 4 en entrée • 1 pâte feuilletée • Du Pesto • 1 tomate • De la Mozzarella (quelques morceaux suffisent

6. On peut également les accompagner de quelques feuilles de salade verte. 7.

Bon appétit !

Détente !

découverte : le tennis Aujourd’hui, article sportif ! Et pas n’importe quel sport… Il s’agit du tennis ! Étant un grand fan, c’est effectivement la première chose qui m’a inspiré pour cet article. Ici, je vais tenter d’expliquer aux plus novices d’entre vous ce qu’il en est vraiment, et comment le tennis fonctionne. Vous êtes prêts ? Par Bertrand Lecolle, étudiant en L1

Le tennis, d’où ça vient ?

Avant toute chose, intéressons-nous d’abord à la création de ce sport. Le tennis est un dérivé anglais du jeu de paume. C’est donc au Royaume-Uni, au milieu du XIX ème siècle, qu’il est né : le Major britannique Harry Gem reproduit une sorte de court de tennis sur le gazon de sa propriété et commence à jouer à un sport similaire au tennis d’aujourd’hui. Etant donné que c’est le premier à jouer de la sorte, on peut ainsi dire que c’est lui le créateur du tennis moderne.

Le tournoi de Wimbledon (Londres) fait partie des quatre tournois du grand chelem, avec l’Open d’Australie (Melbourne), Roland Garros (Paris) et l’US Open (New-York). Ce sont là les tournois les plus prestigieux. Bien entendu ce ne sont pas les seuls, il y a par exemple les Masters 1000 (qui rapportent 1 000 points au vainqueur), ou bien encore les tournois ATP 500 (qui rapportent 500 points) et les ATP 250 (qui rapportent eux 250 points). Le classement ATP est le classement masculin sur le circuit professionnel. Le classement féminin professionnel se note quant à lui WTA.

Wimbledon est un des tous premiers tournois ayant existé, et est le tournois le plus ancien qui existe encore aujourd’hui : son inauguration date du 9 juillet 1877. C’est d’ailleurs suite à l’engouement de ce dernier que le tennis va se propager aussi rapidement en Europe mais également dans le monde : en l’espace de quelques années à peine, le tennis est un sport connu mondialement.

Sachant qu’une place en demi-finale rapporte 1 200 points, il aura perdu 2 000 – 1 200 = 800 points. Ce calcul des points permet d’effectuer un classement hiérarchisé, qui à son tour permet d’avoir une idée de la régularité d’un joueur tout au long de sa carrière. Pourquoi avoir choisi le tennis ? Le classement professionnel, c’est quoi et comment ça marche ?

Le classement professionnel de tennis est mis à jour chaque semaine. Ce classement est quelque peu particulier. En effet, ce classement ne prend en compte que les résultats obtenus durant les 52 dernières semaines. 18 tournois exactement seront retenus pour tous les joueurs et joueuses afin d’établir ce classement, en comptant les point engrangés durant les 4 tournois du Grands Chelem, mais aussi durant les 9 Masters 1000 et dans 5 autres compétitions (ATP 500, ATP 250). A ces tournois viendra s’ajouter le Masters de fin d’année, aussi appelé ATP World Tour Final (réservé aux 8 meilleurs joueurs mondiaux). Selon leurs performances dans les tournois auxquels ils participent, les joueurs sont amenés à gagner plus ou moins de points. Par exemple, un tournoi du Grand Chelem rapporte 2 000 point ATP tandis qu’un Master 1000 en rapporte 1 000. Jusque-là, rien de bien compliqué, mais c’est au niveau du calcul des point et non sur la manière d’en gagner que ça se corse… Effectivement, vu que le classement ATP ne prend en compte que les 52 dernières semaines de compétition, les point ne sont donc pas additionnés mais comparés. Prenons un exemple fictif pour bien comprendre cela ! Imaginons qu’un joueur X gagne Roland Garros en 2013. Celui-ci va donc gagner 2 000 points ATP ; Cependant, en 2014 son parcourt s’arrête en demi-finale. On va donc lui retirer la différence de point entre 2013 et 2014.

Dans cette partie, je vais parler de l’aspect beaucoup plus personnel du tennis, à savoir ce qui me plait dedans. Ce que j’aime dans ce sport, c’est le fait d’être seul maitre de ton destin : si tu gagnes c’est à toi que revient le mérite, tandis que si tu perds tu ne peux t’en prendre qu’à toi. Le fait de faire beaucoup de compétition est également très stimulant : c’est un peu comme si on vivait en fonction du tennis en période de compétition. On mange ce qu’il faut quand il le faut, on tente de récupérer correctement, on va s’entrainer en fonction de ce qu’il faut travailler. C’est un rythme qu’il faut prendre, qui n’est pas facile d’adaptation mais qui reste malgré tout très entrainant, avec pour objectif principal l’amusement. Evidemment, nous, amateurs de tennis, sommes loin des tops mondiaux. C’est pourquoi ce sport doit rester avant tout un moment de loisirs et de partage, où l’on peut bien évidement rester sérieux et apprendre à connaitre ses propres limites, tant bien physiques que mentales.

Maintenant, vous voilà incollables (ou presque) sur le tennis : je vous attends donc sur le court, pour venir me donner vos impressions, et pourquoi pas partager un match !

Détente !

Par Nathan Boumadjer, étudiant en M1

Depuis maintenant quelques années, Netflix joue son rôle (avec classe) de créateur de séries originales. Aujourd’hui on retrouve parmi ses rangs, et souvent dans beaucoup de disques durs, des séries comme « Orange Is the New Black » ou « Daredevil » dans les plus récents. Dans mon cas, je ne parlerai que d’une série : la première série originale de Netflix, « House of Cards ». Le scénario se contente d’être simple au départ : Frank Underwood, élu démocrate, permet à Garrett d’atteindre le tant convoité rang de président des Etats-Unis. Cette aide n’est pourtant pas gratuite puisque Garett avait promis à Frank un poste de Secrétaire d’Etat lors de son investiture. Sauf que ça n’arrivera jamais, et Franck se retrouvera alors abandonné. Si la politique est au centre même de l’univers de la série, il n’empêche que son personnage principal, interprété par Kevin Spacey (alias Frank Underwood), fait selon moi parti de ces personnages de série les plus emblématiques tant la profondeur de son jeu y est impressionnante. Ce syndrome du « méchant que l’on adore détester » fait aujourd’hui acte de présence dans de nombreuses séries (Dexter ou Breaking Bad pour citer dans les grands noms) et n’est pas exempt dans House of Cards. Frank Underwood est égoïste, manipulateur et n’hésitera pas à se débarrasser de la moindre personne qui osera se mettre sur son chemin. Si la série est si attirante et vous obligera à annuler toutes vos sorties du mois, c’est grâce aussi à son univers. Tournant autour de la politique américaine, nous prenons part aux magouilles et aux failles du système, continuellement exploité par ses personnages politiques. On s’aperçoit également du rôle indispensable des médias dans l’ascension politique : elle se veut intermédiaire d’un discours politique pourtant murement travaillé en amont alors qu’il nous parait si naturel quand nous nous contentons de les regarder aux journaux télévisés. Si House of Cards fait aujourd’hui parti de ses séries plébiscitées par tous, c’est aussi parce que son univers se veut réaliste et que l’on se rend compte avec froideur de notre position de citoyens, paraissant si faible face à des hommes comme Frank Underwood. Et si c’était vrai ? Elle ne possède actuellement que 3 saisons, une quatrième étant en cours d’écriture. Je pourrais vous parler de tous les aspects incroyables que cette série possède, de son incroyable profondeur mais je n’ai malheureusement pas la place de le faire ! Je me contenterais donc simplement de vous le redire encore une fois : Ne loupez pas cette série.

NINA Par Angélique Brussier, étudiant en L2

Dans la catégorie des bonnes séries françaises récentes, je souhaite vous présenter celle intitulée «Nina». Cette toute nouvelle série télévisée médicale créée par Alain Robillard et Thalia Rebinsky est diffusée sur France2. La première saison ne comporte que 8 épisodes (à mon grand désespoir!). Je la vois comme un Grey's Anatomy à la française avec des couples qui se font et se défont, des disputes, des problèmes familiaux, etc. Voici le synopsis tiré du site Wikipédia : «Nina est une nouvelle infirmière stagiaire dans le service de médecine interne dirigé par son ex-mari le Dr Antonakis. A 39 ans, fille de médecin, elle reprend le travail après s’être occupée de sa fille malade d’un cancer, Lily. Mais plutôt que de continuer ses études de médecine, elle choisit de devenir infirmière pour être plus proche des patients. Forte de son expérience et de sa maturité, elle ne se laisse pas impressionner par les médecins. L’hôpital Madeleine Brès va être le lieu de sa reconstruction professionnelle et personnelle».

Pour ma part, j’ai accroché dès le premier épisode. C’est une série fraîche devant laquelle on se pose sans trop réfléchir, mais pour se vider la tête. On se laisse par les scénarios un peu simplistes mais très agréables. Une seconde saison serait à priori diffusée dans un an (à partir de juin 2016). Plusieurs magazines critiques voient cette série féministe et sociale de manière positive dans le sens où elle remonte le moral, elle est un «remède anti-déprime» (Télé Star), qui donne presque envie d’aller à l’hôpital (Télé Câble Satellite) et dont les personnages sont attachants et hauts en couleurs (Le Parisien). Du côté des personnages, tous m’étaient inconnus même l’héroïne principale ! Nous avons Annelise Hesme dans le rôle de Nina, Thomas Jouannet (Dr Costa Antonakis, chef du service de médecine interne et ex-mari de Nina), Nina Melo (Léo Bonheur, infirmière), Grégoire Bonnet (Dr Samuel Proust), Alexia Barlier (Dr Hélène Maurier, pédiatre et compagne du Dr Antonakis), Léa Lopez (Lily Antonakis, fille de Nina et Costa) et plein d’autres !!!

Je vous recommande vivement de regarder cette série attachante avec un second degré d’humour et de simplicité.

Jeux !

SUDOKU Facile

difficile

moyen

impossible ?

Mots FLéchés

les solutions

SUDOKU

Mots FLéchés

WEEK END D’INTEGRATION 2015 / 2016

du 2 au 4 octobre infos et inscriptions au local S. 27