Frogtimes - Numéro 15

Mai 2014

Nu mér o15

T he

F R o g t i m e s P arl ' ADE S

C’ est ni! l e s“ supe rst ops” Qu i s er aél u“ Mei l l eu r f i l m” et “ Mei l l eu r emu s i qu e” c et t ean n ée?

L e sanci e nse t udi ant s Qu es on t i l sdev en u s ?

Déc ou v r ezl eu r par c ou r s!

Ky o, c’ e stqui ?

Unr et ou r f r ac as s an t ouu n f au x dépar t ?Onan al y s et ou t ç a!

‘‘et toi, t’as réussi ton examen?‘‘

C

E D I TO

’est le genre de phrase qu’on a tendance à entendre à longueur de temps juste après la fin d’un examen. C’est aussi le moment où tout le monde débat sur ce qu’il a mis et où vous vous rendez compte que vous avez certainement oublié des choses.

Malheureusement, c’est déjà trop tard pour rattraper le coup et le stress commence à / Soyons décalé ! \ monter...

Ou alors ce n’est peut-être que chez moi...

Dans tous les cas, l’ADES a profité de ses vacances pour vous pondre un joli journal tout beau tout neuf pendant, ou après vos partiels: avec nos TOPS musiques et films, vous allez pouvoir profiter des meilleurs choix pour vos vacances. Peut-être profiterez-vous aussi de notre article sur les boissons ou tout simplement de nos jeux !

Dans tous les cas, pour le dernier journal de l’année, le mot d’ordre est: DETENTE. Alors profitez. Bonnes vacances à tous et je croise les doigts pour vos résultats !

Nathan Boumadjer Rédacteur en chef

SOMMAIRE / La vie universitaire \ - Des nouvelles de A&I

/ Un peu de sociologie \ - Que sont-ils devenus ? [2.0]

/ Soyons décalés ! \ - Buvons peu mais buvons bien - TOP: Les AMA, « Alain Music Awards » - Les légendes urbaines - TOP: 5 films qui vont vous marquer !

- « Kyo, c’est pas le nom d’un restau ? »

/ Qui a demandé des jeux? \ - Session test: Qui êtes-vous?

- Sudoku’va en manger !

- Les solutions / p.2

Le mot de la présidente Salut à tous, Et voilà, nous y sommes, la fin de l’année, la fi début des vaca n des partiels, nces… ! Alors p et le o ur fêter ça, voic dernière éditio i la quatrième n d u Fr o et gt imes de l’anné J’espère que ce e 2013/2014 ! tte année aura été satisfaisante que les projets proposés par l’A pour vous tous, DES vous auro et faisons notre m n t p aximum pour d lu, sachez que yn n ous a miser au mieu des activités p x notre filière ta édagogiques, q nt par ue festives. Pa une idée de pro r ailleurs, si à l’o jet vous venait cc a si à on l’esprit, n’hésite part, nous sero ns ravis de vou z pas à nous en s écouter. En e faire améliorer un p ffet, nous souh eu plus chaque a it o n s année, pour vo nous plus de service us proposer de s et des évène plus en ments de meill eure qualité au mesure du tem fur et à Je vous souhait p s. e à tous de bon nes vacances, profitez en bie l’année procha n, et à ine !

Retrouvez-nous sur Facebook mais aussi sur notre site Internet !

Les nouvelles de a&i

N

ous avions massivement communiqué auprès de vous en Février au sujet des élections étudiantes.

Vous avez sans doute été informés que les élus « Associatifs & Indépendants », réseau d’associations de filières mais aussi « transversales » que nous soutenons, restaient largement majoritaires (environ 80 % des sièges). Aussi vous avez depuis ces élections, deux élus en conseil d’université : Eva Bernard (L3) au Conseil d’Administration et Dorian Colas (M1) au Conseil des Etudes et de la Vie Universitaire (CEVU), à noter que nous avons aussi des élus étudiants au conseil de l’UFR Sciences Humaines et au CROUS. Mais que s’est-il passé depuis les élections ? C’est peut-être la suite des élections qui vous concerne le plus !

L’activité de ce printemps n’a pas été très chargée mais quelques sujets qui peuvent vous concerner ont été abordés.

D’abord, 3 vice-présidents étudiants ont été élus. Julie Collin, étudiante en L3 Biologie a été élue VicePrésidente du CROUS, Julien Brault, étudiant en M1 Droit a été élu Vice-Président délégué à la vie étudiante de l’uB et Dorian Colas a été élu Vice-Président du CEVU. Ces fonctions ne vous évoquent sûrement rien, il s’agit de postes au sein des organes où sont prises les décisions qui nous permettent d’être des interlocuteurs, d’être au courant des changements à venir, mais aussi de faire des propositions, que ce soit sur les questions sociales, la restauration (RU, Caféteria), la pédagogie ou la vie étudiante (associative, culturelle...).

En ce qui concerne les débats et décisions à proprement parler : • Nous avons parlé de l’orientation et du lien UniversitéLycée, notamment des journées portes ouvertes de l’uB, mais aussi de « cours ouverts » pour les lycéens, c’est-à-dire un dispositif qui permet à des lycéens de découvrir les cours de certaines filières qui les intéressent à l’université, afin qu’ils puissent s’en faire une idée objective avant de s’y engager pour une année. Ce dispositif n’a pas encore été proposé en sociologie mais nous espérons qu’il le sera à l’avenir pour éviter les orientations « ratées » et l’échec en L1.

• Nous sommes actuellement en discussion au sujet d’une restructuration des différents points de restauration du CROUS. Nous veillerons à garder et optimiser une offre diversifiée sur le campus, que ce soit géographiquement ou au niveau des formules proposées (entre caféterias et restaurants universitaires) et également réfléchir à des moyens de diminuer les temps d’attentes.

• Nous avons participé à une réunion sur les « Emplois Avenir Professeur » pour lister les difficultés rencontrées par les étudiants bénéficiant de ce dispositif afin de l’améliorer. Il s’agit d’un dispositif qui fournit une sorte de « stage » aux étudiants souhaitant passer les concours d’enseignement.

• Il y a eu une rumeur il y a peu sur la suppression des APL pour les étudiants non-boursiers. En réalité la cour des comptes avait fait cette proposition pour faire des économies. Etant donné que les jeunes ont peu de sources de revenus et que les non-boursiers ne sont pas pour autant « riches », et que les APL sont déjà calculées sur critères sociaux, des porte-paroles nationaux des associations étudiantes ont alerté le ministère que cela mettrait en difficulté beaucoup d’étudiants (environ 5500 à l’uB soit 1 sur 5). Que ce soit en réaction ou non à ces alertes, le gouvernement a annoncé peu après qu’il ne comptait pas supprimer les APL aux étudiants non-boursiers et nous nous en rassurons !

• Nous allons prochainement aborder de nouveaux dossiers : calendrier universitaire de l’an prochain, modalités de poursuites d’études à l’université pour les étudiants ayant passé un BTS, réorganisation des cours sur la licence, ouverture d’un centre de santé sur le campus qui en plus de faire de la prévention pourra délivrer des soins...

L’association reste à votre disposition pour contacter vos élus toute l’année, afin de vous renseigner et vous aider sur tous les problèmes que vous pouvez rencontrer à l’université ou au CROUS.

Par dorian colas, etudiant en m1

Que sont-ils devenus ? [2.0]

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es partiels du second semestre ont commencé et même s’il est encore trop tôt pour entrevoir un avenir concret, je sais que beaucoup d’entre vous (et arrivée à la fin de ma licence, je suis dans le même cas) se posent des questions : Dois-je rester en sociologie ou me réorienter ? Poursuivre ne me fermera-t-il pas des portes ? Et si finalement, ma licence ne me servait à rien ?

J’insistais dans le numéro 13 de The Frog Times sur la pluralité de parcours possibles après une licence de sociologie, cette fois encore j’ai décidé de partir à la recherche de témoignages d’anciens étudiants.

Aurore CULLiERE – Etudiante en Sociologie de 2007 à 2011

Son parcours Après un baccalauréat littéraire décroché en 2007, Aurore a choisi de continuer en licence de sociologie avec pour objectif de devenir professeur des écoles. Grâce à l’option de Préprofessionnalisation aux métiers de l’enseignement, elle a pu effectuer un stage en école et se rendre compte qu’elle n’était « pas du tout, du tout, faite pour ça ».

Elle a redoublé sa deuxième année, démotivée en partie parce qu’elle ne savait plus vers quoi se diriger. En parallèle, elle a découvert au cours des vacances d’été, le monde de l’hôtellerie qui lui a beaucoup plu et dans lequel elle a eu envie de poursuivre ses études.

Elle a finalement décroché sa licence en juin 2011 et a enchaîné sur une mention complémentaire Accueilréception, qui est une formation professionnelle en un an, au CFA de Dijon. Elle a préparé cette mention en apprentissage à l’Hostellerie du Chapeau Rouge. Cette période a confirmé son envie de poursuivre dans le milieu de l’hôtellerie-restauration et sa volonté d’acquérir les connaissances théoriques qui lui manquaient.

Ce qu’elle fait maintenant Elle a été admise en 2012, sur dossier et entretien, en première année de magistère de Tourisme option « Management des métiers de l’hôtellerie restauration et de l’hébergement » à l’université d’Angers. Cette formation se prépare en trois ans, équivaut à un niveau bac +5 et permet d’accéder à tous les postes cadres dans l’hôtellerie-restauration.

Aurore est actuellement en deuxième année de ce magistère, toujours à Angers. Ces études lui plaisent car, d’après elle, « au-delà du fait que le milieu [la] passionne, elles sont le mélange idéal entre cours théoriques et périodes de stage (3 mois minimum en première et deuxième années, 6 mois en troisième année) ». Elle réalise également son mémoire de fin d’études sur les restaurants gastronomiques et les apports de ceux-ci sur les autres services d’un établissement hôtelier.

Un élément qui l’a marquée Aurore a été marquée par le sujet de son premier partiel en janvier 2008 « La sociologie est-elle une science comme une autre ? ». Elle ajoute « A ce moment-là, j’ai bien cru que j’allais tout arrêter ! ». Elle se souvient aussi de la première fois qu’elle a eu la moyenne en statistiques, au deuxième semestre de Licence 3, avec un 17. Elle n’en revenait pas !

Son conseil « On me l’a souvent dit mais je sais maintenant que c’est vrai : il n’y a pas d’erreurs de parcours ou de mauvais choix, il n’y a que différents chemins possibles. Quand on regarde où j’en suis aujourd’hui, on pourrait se demander l’utilité de ma licence de sociologie. Pourtant cette discipline m’a apporté une très grande ouverture d’esprit ainsi que des outils très précieux dans la construction de mon mémoire. Je ne regrette rien et ces quatre années de licence ont été les plus belles et les plus riches de ma courte vie. »

Elle et l’ADES Elle est arrivée à l’ADES juste après sa création, en octobre 2008. Elle a commencé en étant chargée de mission « Journée portes ouvertes », puis elle est devenue Secrétaire Générale en 2009. En 2010, elle a été élue Présidente, poste qu’elle a conservé pendant deux ans et demi, jusqu’à son déménagement à Angers. D’après elle, l’ADES a été une formidable école où elle a beaucoup appris et elle conseille à tout le monde de s’y engager. Elle s’y est également énormément amusée et y a rencontré une bonne partie de ses amis proches actuels. Elle conclut « Je suis très fière de voir l’ADES évoluer, portée par des étudiants motivés, et c’est toujours un plaisir de pouvoir de temps en temps venir rencontrer la relève et participer aux nouveaux événements ».

Jérémy SAUVINEAU – Etudiant en Sociologie de 2009 à aujourd’hui (oui, j’ai un peu triché)

Son parcours

Après une année de seconde calamiteuse, Jérémy s’est retrouvé en section STG. Il a obtenu son bac en 2009 au lycée Montchapet à Dijon. Il a décidé de s’orienter vers la sociologie avec pour projet d’obtenir une licence de Sciences humaines et sociales appliquées au monde contemporain (AMC) et d’intégrer, par la suite, une école de journalisme. Il a toutefois décidé, à l’issue de la deuxième année, de poursuivre en sociologie classique tant celle-ci le passionnait.

Après avoir obtenu sa licence avec une mention bien, il a décidé de poursuivre en master. Il fait partie des premiers à avoir « testé » le rapprochement entre l’université de Bourgogne et celle de Franche-Comté. Il a été globalement déçu par le master mais a apprécié travailler sur son mémoire de recherche qui portait sur la sociologie de la santé, et plus particulièrement sur la psychiatrie, domaine qu’il a découvert à l’occasion d’un job étudiant.

Ce qu’il fait maintenant

Un élément qui l’a marqué

Après avoir décroché son M1, Jérémy a décidé de poursuivre en master de criminologie à l’université de FrancheComté. Il a choisi de s’orienter vers la déviance après avoir réalisé en licence un travail exploratoire portant sur la mendicité. Il regrette d’ailleurs qu’aucun cours ne porte sur ce sujet.

Il trouve le master de criminologie très intéressant dans l’ensemble, même si les débouchés sont restreints.

Il est actuellement en stage dans le cadre de son M2 au sein de l’association de psychiatrie citoyenne « Les invités au Festin » située à Besançon ( http://www.lesinvitesaufestin.fr/ ) Ce qui l’a le plus marqué durant ses quatre années d’étude en sociologie, ce sont les cours de monsieur SYLVESTRE. D’après Jérémy, « il arrive à transmettre sa passion pour la sociologie et ses cours sont véritablement passionnants, tant par son extraordinaire culture général que par son charisme »

Son conseil

Il conseille de ne jamais se décourager et ce même lorsque « vous ne comprenez pas tout ou que vous récoltez de mauvaises notes ». Il est important selon lui de ne jamais baisser les bras et de persévérer.

Lui et l’ADES

Il s’y est investi uniquement durant sa première année, écrivant notamment quelques articles pour le journal.

William DEHAIS – Etudiant en Sociologie de 2007 à 2013

Son parcours Dès le lycée, William porte un grand intérêt pour ce qui touche à la société, c’est pourquoi il fait le choix de passer un bac ES, qu’il obtient en 2007 avec mention Bien. Son manque d’affection, datant du collège, pour les sciences dites « dures » le pousse à opter pour une licence en sociologie plutôt que d’économie.

Malheureusement pour lui, la licence de Sociologie proposée à l’université de Bourgogne comporte un nombre élevé d’heures de statistiques mais il fut agréablement surpris lorsque sa moyenne de statistiques atteignit 2/20, son plus haut niveau.

A côté de ses études William travaille pour être autonome. Le mauvais dosage entre travail universitaire, « petits boulots », vie associative et vie personnelle le conduit à redoubler sa deuxième année en 2009. Il accepta néanmoins une proposition de travail rémunéré faite par un des enseignants : éplucher 700 commentaires d’une enquête menée par un syndicat, en faire une synthèse et l’analyser. Ces 700 commentaires provenaient d’un questionnaire portant sur notre système de retraite. Ne sachant pas comment exploiter cette collecte de remarques, ce syndicat avait fait appel au département de sociologie.

Suite à cela, William demanda à ce même professeur, en Master 1, de bien vouloir être le responsable de son mémoire qui portera sur les syndicats de patrons du milieu de l’hôtellerie et de la restauration. Cette année, William participe à un autre travail proposé par un professeur : faire remplir un questionnaire portant sur une compote enrichie en protéines de pois à des résidents en maison de retraite.

Ce petit job en amena un plus conséquent qui prendra la forme d’une enquête qualitative sur la compréhension des mécanismes d’admission au sein du service des Urgences du CHU de Dijon en provenance d’EHPAD (Etablissement d’Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes). Définitivement intéressé par la gérontologie, William choisit donc le Master 2 Vieillissement et société. Master 2 qu’il finit en septembre 2013 après le passage réussi de sa soutenance.

Ce qu’il fait actuellement Après un CDD dans une association ayant des EHPAD (Etablissement d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes), William est actuellement à la recherche d’un poste de directeur adjoint d’EHPAD, dans la région ou ailleurs.

Un élément qui l’a marqué Vous l’aurez compris, William a une mauvaise expérience des statistiques, mais ce qui l’a bien plus marqué c’est la « finesse d’esprit à laquelle la sociologie encourage afin de saisir les subtilités qui caractérisent chaque société ».

Son conseil William conseille d’assister aux cours même si ceux-ci peuvent ne pas être très intéressants de prime abord, il faut faire en sorte qu’ils le deviennent, en intervenant notamment.

Il encourage également chacun à lire : « Peu importe quel type d’ouvrage vous ouvrez et le temps qu’il vous faut pour l’achever ! Pour reprendre Oscar Wilde : « Il est absurde d’avoir une règle rigoureuse sur ce qu’on doit lire ou pas. Plus de la moitié de la culture intellectuelle moderne dépend de ce qu’on ne devrait pas lire. » » William recommande de ne pas refuser le travail « universitaire » qu’un enseignant pourrait vous proposer, c’est un bon moyen, selon lui, de mettre en pratique ce que vous avez pu apprendre durant votre parcours d’étudiant et cela enrichit votre CV. Et enfin, il conseille de profiter de la situation d’étudiants dont beaucoup sont envieux !

Lui et l’ADES William est l’un des trois fondateurs de l’ADES, il a été emballé par l’idée qu’a eu Marius CLERGEOT, premier président, de faire naître une association pour les étudiants en sociologie. Stéréotypes obligent, Julie BARANTON a pris la place de secrétaire et William celle de trésorier, poste en adéquation avec son amour pour les chiffres…

Il a participé du mieux qu’il a pu au développement de l’association, passant ainsi de consommateur de l’université de Bourgogne à acteur, notamment grâce à son mandat d’élu au conseil UFR pendant 2 ans. Donner un coup de main ou une idée à son association de filière est à la portée de tous et peut, d’après lui, réserver de belles surprises, rencontres, enseignements. « L’ADES a changé depuis mon désinvestissement, c’est ce qui fait sa principale qualité, celle d’être à l’image de l’équipe qui l’anime, alors il ne faut surtout pas hésiter à y faire un tour, ne serait-ce que pour une courte période, pour, vous aussi, marquer la vie universitaire de votre présence ! »

Merci à Aurore (que j’ai longtemps harcelé <3), à William ainsi qu’à Jérémy pour leur participation !

Retrouvez les précédents témoignages sur le site de votre association dans l’onglet Etudiants »

http://ades-dijon.fr/

Par eva bernard, etudiante en L3

Buvons peu mais buvons bien

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e soleil revient, je sais que vous avez tous envie de boire un verre en terrasse, mais je suis personnellement lassé de toujours boire la même bière à la pression, ou de voir les mêmes cocktails peu originaux. Alors je vais vous proposer des cocktails un peu plus… originaux qu’une vodka orange ou qu’un punch.

Avec alcool • Original, un petit succès que vous n’avez sûrement jamais rencontré : La vodka en gelée. (7cl de sirop de pastèque, 7 citrons verts, 7 feuilles de gélatine, 30cl de vodka, 3 cl de sirop de citron)

• Le simple mais bien bourguignon : Le cardinal Dans un verre à Bourgogne, on place 2cl de crème de cassis et on finit par 9cl de vin rouge de Bourgogne

• Le Demonio ! (de l’absinthe, de l’eau, un briquet et du sucre) A servir dans un verre à martini. o Versez l’absinthe dans le verre et faites flamber l’alcool. Une fois l’alcool en feu, placez la cuillère à absinthe avec le sucre par dessus. Laissez le sucre caraméliser et tomber dans le verre puis éteindre le feu en versant l’eau doucement sur le sucre. o Effet assuré !

o Coupez les citrons en deux dans le sens de la longueur et videz les demi-citrons à la manière d’un pamplemousse (ou pressez-les délicatement et gardez le jus pour d’autres cocktails) en prenant soin de retirer aussi les éventuelles membranes qui restent accrochées, quitte à creuser un peu dans la moelle blanche. o Faites la mixture : o Faites bouillir 20 cl d’eau chaude dans une casserole et faites-y dissoudre la gélatine. Versez la vodka et les sirops, remuez. o Versez la mixture dans les demi-agrumes vidées et placez-les au réfrigérateur jusqu’au lendemain. o Avant de servir, utilisez un couteau très bien aiguisé afin de couper les demi-agrumes en quartiers.

sans alcool • Le Builder (1 concombre, 1 citron et 2 cuillère à café de sirop d’érable)

• Le frosty lime (Sorbet citron vert, 2cl de Jus de pamplemousse, 2 cl de sirop de menthe)

o Passez un petit concombre entier à la centrifugeuse ou extracteur à jus, ajoutez le jus d'un gros citron jaune pressé et additionnez de deux cuillères à café de sirop d'érable. Mélangez et versez dans un verre contenant 3 glaçons. o Servir dans un verre de type "tumbler" (vous savez, les verres classiques haut, dans lesquels on vous serre votre coca)

o Il s’agit de simplement mixer les ingrédients (assez de glace pour remplir votre verre, à martini pour le meilleur effet) o Servez tout ça avec une petite feuille de menthe sur le dessus et une rondelle de citron.

Par julien grosset, etudiant en L2

TOP: Les ‘‘alain Music award’’

C

omme beaucoup d’entre vous, voire tous je pense, la musique fait partie de ma vie : difficile pour moi de pouvoir me lever ou encore prendre le tram sans aucune musique dans les oreilles. Mais après, il faut choisir quoi écouter. Je fais partie des gens qui considèrent que chaque genre de musique correspond à une situation particulière : en d’autres mots, je n’écoute pas la même musique selon mon humeur, mon occupation.

C’est pour cela que je voudrais profiter de cet article pour vous faire partager un peu mes goûts, mes découvertes du moment, mes coups de cœur. Je sais bien que pour la musique, c’est souvent chacun ses goûts. J’ai choisi 4 artistes/ groupes, qui sont devenus les indiscutables de ma playlist.

Je commencerai par ce que je dirais être mon groupe « préféré » même si je pourrais en citer plusieurs à ce titre : → Twenty One Pilots (abrégé 21P) : groupe Américain provenant de l’Ohio, sa formation est composée de Tyler Joseph (chanteur et pianiste) et de Josh Dun (batteur). Le groupe se démarque par un style original, entre pop et rap-rock. Leur nom vient de la pièce d’Arthur Miller, All My Sons.

Définir leur musique est quelque chose de très compliqué, chaque chanson diffère de la précédente et même certaines changent en plein milieu, c’est une réelle mixité des genres, qui se fait assez rarement, mais qui est très plaisante. On est surpris au début par ces changements, la voix de Tyler Joseph alternant parfaitement douceur et calme avec vitesse et puissance.

Dans leur album « Vessel » sorti en 2013, on passe des chansons à forte concentration Rap comme « Holding on To You », « Migraine » à des chansons beaucoup plus électroniques « Semi-Automatic », « Fake you Out » en passant par des morceaux bien plus calmes « Tree », « House of Gold », « Truce ».

Le groupe fait donc un savant mélange de genres, qui donne à la fois un album de qualité et un groupe avec un avenir radieux (nommé au MTV Vidéo Music Awards, catégorie meilleur nouvel artiste), dont on entendra sûrement de plus en plus parler au fil des mois à venir après leur 1er concert réussi en France.

→ Clean Bandit: c’est un groupe de musique électronique britannique, fondé à Cambridge (Angleterre) en 2009. Il est composé de Jack Patterson (Basse, Clavier), Luke Patterson (Batterie,Chant), Grace Chatto (Violoncelle) et Milan Neil Amin-Smith (Violon).

Clean Bandit, c’est deux genres qui n’ont pourtant pas grand chose en commun, l’électro d’un coté et le classique de l’autre : l’alliance des deux donne quelque chose de vraiment bon. Alors qu’ils étaient peu connus en France, la découverte radio de leur chanson « Rather Be » avec la Britannique Jess Glynne, sur NRJ a donné un vrai plus à leur notoriété.

Certains de leurs titres mériteraient d’être plus connus, comme l’excellent « Dust Clears » où la voix du chanteur contraste assez avec celle de la chanteuse d’une manière très agréable.

Sans oublier « Mozart House » qui possède une sonorité électronique beaucoup plus présente mais où la partie classique joue la rupture au parfait moment.

Je pourrais encore prendre d’autre exemples comme « A&E », « Nightingale ».

On change un peu de registre et de pays. On est souvent habitué au rap américain, britannique ou français, mais le rap allemand, ça vous dit quelque chose ? → Carlo Waibel dit Cro, est un jeune Allemand de 24 ans originaire de Stuttgart, musicien de son état et producteur de Raop (un mix entre le rap et la pop) ne se séparant jamais de son masque de panda. Un mélange pas tout à fait homogène puisque le son penche plutôt d’un coté ou de l’autre de la balance selon les titres, mais qui reste un mélange très réussi néanmoins.

Son succès est surtout présent en Allemagne et en Autriche : il peine encore à arriver jusqu’aux oreilles des français. Pourtant son titre « Easy » obtient 39 millions de vues sur youtube ce qui est la preuve que sa musique plaît, je ne comprends rien aux paroles, certes, mais j’imagine qu’elles sont largement à la hauteur.

Son album « Raop » recèle de trésors comme le très californien Du, dont le couple basse/synthé apporte une touche « pop from the eighties » des plus agréables.

Autoproclamé d’après son titre « King of Raop », Cro apporte un vent de nouveauté dans le monde du Rap, le jeune Allemand montre que l’on peut très bien produire un son de qualité, et que le rap n’est pas que le territoire des Américains.

Après l’indie-rock endiablée américaine, l’électro-classique britannique, le rap-pop allemand, rien de mieux qu’un peu de détente. → Sparklehorse: Le groupe fut fondé par Mark Linkous, qui fut le seul membre présent du début à la fin, jusqu’à sa mort en 2010.

Avec son projet Sparklehorse, il veut revenir à la base de la musique, loin du music business, et il en sort un album totalement grandiose « It’s a Wonderful Life » dont la chanson éponyme est un modèle de balade. On est transporté dans une histoire où sa voix posée, tranquille, nous apaise, nous calme.

S’en suit le titre « Gold Days » : le rythme commence doucement à monter mais le tout reste dans une certaine tranquillité, il prend son temps pour chanter ce qu’il veut raconter.

La présence du piano au début de « Devil’s New » joue encore plus sur le sentiment de sérénité. La voix n’est quasiment pas présente, ce qui ne dérange absolument pas, au contraire cela apporte un véritable effet.

En somme SparkleHorse a su maîtriser son choix dans les instruments, les intonations de voix, les paroles, pour créer des chefs d’œuvres qui apportent un sentiment de calme bien venu.

Pour compléter cet article, je vous propose trois chaînes YouTube proposant de la musique différente : Majestic Casual (tourné vers de l’électro qu’on peut considérer comme « reposante »), MrSuicideSheep (de l’électro en tout genre) et 3èmeGauche (proposant des représentations live dans des lieux parisiens célèbres).

TOP

e u q i s u

m

Par alain Verschelde, etudiant en L1

les légendes urbaines

L

es légendes urbaines, ces récits jamais vérifiés mais partagés par un grand nombre de personnes via le bouche à oreille (c’est sale) et qui alimentent les vieilles histoires de mamies le jour du repas de Noël à Trifouillis-les-Oies.

Vous savez, le fameux mythe de la pastille anti-vomitive de McDonald.

Comment en arrive-t-on à de la création de ces « Les légendes urbaines se recyclent aussi et s’adaptent au légendes urbaines » ? Le premier sociologue à traiter temps et à l’espace. Ah bah oui, on ne va pas diffuser la de ce phénomène est E.Morin dans la « rumeur rumeur d’Orléans à Dijon écrit en Hébreu quand même. d’Orléans ». Dans son ouvrage il part de la rumeur que Mais toutes ces légendes forment un folklore, ce qui va certaines cabines les différencier de la d’essayages de rumeur qui elle n’est magasins de finalement qu’un lingerie féminine bruit qui court. tenus par des juifs Elles apparaissent (bah oui, sinon souvent dans les ça marche pas, médias, parfois c’est limite une également d’une condition sine qua manière spontanée non pour toute à la façon d’une bonne légende) création populaire. à Orléans sont Dans certains cas, des pièges pour leur diffusion peut les enlever être organisée afin par injection de manipuler les hypodermique foules (en particulier et les livrer à dans des domaines des réseaux de politiquement prostitution. sensibles : drogue, D’autres rumeurs, se basant sur violence, mœurs, racisme, etc.), un celle-ci parlaient d’un sous-marin récit pouvant être inventé afin de ‘‘ leur diffusion peut qui les emmenait et remontait le nuire à un individu, à une entreprise, à être organisée afin de long de la Loire. Conséquence ? Il un groupe ethnique ou religieux, à un y a des attroupements de lamas ou manipuler les foules ‘‘» gouvernement, etc. On touche alors personnes quelque peu crédules au thème de la désinformation, lequel qui se mettent joyeusement à dépasse de très loin le cadre des « cracher sur les vitrines des commerçants juifs et nonlégendes » et autres anecdotes. juifs. On remarque cependant que le rôle des médias Il est important de noter qu’avec internet, la propagation dans la naissance et la diffusion de la « rumeur de ces légendes urbaines augmente fortement, ce qui d’Orléans » est important : ainsi que le rapporte peut donc mener un retour à la croyance à l’irrationnel l’équipe de sociologues dirigé par Edgar Morin, le « dans la conscience collective. scénario » avait été publié un an auparavant dans un livre, puis dans l’ouvrage d’un journaliste anglais, puis enfin dans un magazine disparu depuis (noir et blanc).

Par Julien Garros, etudiant en L2

TOP: 5 films qui vont vous marquer

D

ans cet article, je voudrais vous faire part de mes films préférés en abordant 5 films qui m’ont marquée.

Que ce soit le rire, les larmes, la peur ou encore le frisson, ces films ont tous, pour moi, quelque chose en commun. C’est-à-dire qu’ils provoquent du plaisir quand on les regarde. C’est pour cela que j’ai donc décidé d’écrire cet article, afin de pouvoir partager avec vous mon ressenti, et peut-être vous donner l’envie de les voir.

Le 1er film que je tiens à vous présenter est un film sorti en salle en 2009, donc assez récent et peu connu je pense, c’est aussi pour ça que je vous le présente. Ce film est un film dramatique américain qui se prénomme « Hatchi » et qui a été réalisé par Lasse Hallström en 2008. L’acteur principal du film est Richard Gere, mais on y trouve également Joan Allen, Sarah Roemer etc. Ce film reprend l’histoire vraie d’Hachikō, un chien Akita qui, malgré la mort de son maître, a continué à attendre son retour du travail devant une gare de Shibuya, à Tōkyō, pendant presque dix ans.

Mon avis : je trouve cette histoire très émouvante (oui j’ai quasiment pleuré tous le long du film et alors ?) et magnifiquement racontée et présentée, c’est pour cela que je vous invite à le regarder. Si vous n’êtes toujours pas convaincus, quelque chose peut peutêtre expliquer pourquoi vous allez aimer le film: la relation entre les animaux et les hommes, notamment entre l’homme et le chien.

Celui-ci est dit comme le meilleur ami de l’homme, et vous verrez que ce film s’appuie beaucoup sur cette complicité et reconnaissance.

Le 2ème film qui m’a beaucoup marquée, est un film que j’ai regardé très récemment qu’on m’a fait découvrir, et que je tiens moi–même à vous faire découvrir. Celui-ci mélange l’amour, l’humour et l’art avec finesse et simplicité. Ce film s’appelle « Un bonheur n’arrive jamais seul ». C’est un film français de James Huth avec Gad Elmaleh et Sophie Marceau, notamment. C’est l’histoire d’une rencontre entre Sacha, un pianiste, célibataire libre, frivole et un peu ailleurs et Charlotte, mère de famille, divorcée plusieurs fois qui cherche un simple amour. Entre amour, amitié, sexe et plaisanteries, ces deux personnages vont devoir faire face à de nombreuses péripéties.

Je vous le conseille si vous voulez passer une bonne soirée sans prise de tête, une soirée simple et amusante entre ami(e)s, seul ou en couple.

Mon avis : je trouve cette histoire drôle, émouvante, assez romantique (oui c’est niais et alors ?) et simple. J’avoue qu’elle fait un peu rêver aussi, elle permet de s’évader et de se laisser aller dans notre imagination, c’est pourquoi je vous conseille ce film.

Un 3ème film que j’affectionne particulièrement, est un film d’horreur qui s’appelle 13 fantômes. Habituellement je n’aime pas énormément les films d’horreur (oui je suis froussarde je sais), du moins pas quand je les regarde seule. Mais celui-ci m’a plu dès le début, et malgré mes frissons et ma frousse j’ai trouvé l’histoire très intéressante et ne faisant pas peur plus que cela finalement. Donc pour les peureuses et les peureux comme moi pas d’inquiétude, il est regardable, même seul.

Ce film est un film américain sorti en 2001, et est réalisé par Steve Beck avec Shannon Elizabeth, Tony Shalhoub, F. Murray Abraham. Certes ce ne sont pas des acteurs connus, mais ils sont très attachants dès le début. Ce film raconte l’histoire d’Arthur, un enseignant veuf qui hérite d’un majestueux manoir. Il y emménage très vite avec ses deux enfants, leur nourrice et un médium. Leur vie est calme et paisible jusqu’au jour où d’étranges présences se font bientôt sentir dans les différentes pièces de la vaste demeure.

Mon avis : je trouve ce film intéressant et très dynamique. Dès le début, on entre tout de suite dans l’ambiance, le frisson et l’inquiétude, ce qui provoque une sensation intrigante. Je vous conseille ce film si vous appréciez le frisson, les histoires intéressantes et intrigantes, et le fait de ne pas décrocher une seule seconde de cette histoire.

Le 4ème film que je vais vous présente est un vieux film datant de 1978, c’est une comédie musicale romantique réalisé par Randal Kleiser avec notamment John Travolta et Olivia Newton-John. Ce film s’appelle « Grease ».

Il relate l’histoire d’une rencontre, puis d’une séparation, puis de retrouvailles plutôt amusantes et parsemées d’embuches. Danny Zuko et Sandy Olsson se retrouvent au lycée après des vacances d’été mais les deux personnes pensent ne plus se correspondre. Mais ils continuent à se séduire, et il se passe un jeu du chat et de la souris entre les deux tourtereaux, le tout rythmé par les événements de leur vie de lycéens : démarrage de la saison de football américain, bal de promotion, course de voitures, soirées entre filles, entre garçons, au fast-food, au drive-in etc. Ce film est rythmé par des chansons et des danses très entrainantes.

Il est également rythmé par différentes émotions, le rire, la joie, la tristesse, l’inquiétude, la déception, la colère etc. Même si c’est un film plutôt ancien, il montre assez bien la vie lycéenne, les difficultés que ce passage engendre, les déceptions et coups de cœur, l’amitié, l’amour et toutes les mésaventures qui nous arrivent quand on est au lycée.

Mon avis : j’ai dû regarder ce film une vingtaine de fois car je ne m’en lasse jamais. Les chansons sont très dynamiques et pétillantes et elles redonnent du baume au cœur. Je conseille d’abord ce film à tous les amateurs de comédie musicale, de romantismes et d’histoires d’amours intrigantes.

Je vous promets un feu d’artifice de folie, de joie et d’amour.

Enfin l’ultime film dont je vais vous parler est un film australo-américain datant de 2008 réalisé par Baz Luhrmann avec Hugh Jackman et Nicole Kidman notamment. Ce film s’appelle « Australia » et il mélange l’aventure, la guerre, la romance, la tristesse et le drame pour créer un film incroyable et magnifique. A la fin des années 1930, une aristocrate anglaise hautaine et renfermée, Lady Sarah Ashley arrive en Australie, dans les paysages sauvages du Nord pour y retrouver son mari qui tente de vendre l’immense domaine qu’il possède : Faraway Downs. Elle comprend que le domaine est au bord de la faillite, mais elle va s’y attacher et tenter de tout faire pour le sauver avec l’aide d’un « cow-boy » avec lequel elle devra s’allier. Mais le chemin qu’ils devront parcourir sera parsemé d’embûches avec la seconde guerre mondiale, la violence et de nombreuses rencontres pas toujours agréables. Mais pour la première fois de sa vie, Sarah sait pour qui et pour quoi se battre, et est prête à tout pour sauver ce qui compte désormais pour elle.

Entre amour, amitié, déception, aventure et tristesse, ce film vous permettra de passer une excellente soirée remplie d’émotions.

Mon avis : je n’ai pas décroché une seule seconde de ce film. Je trouve que ce film multiplie les sentiments et les émotions, car plusieurs émotions différentes s’enchainent et c’est ce qui rend ce film si intéressant. L’aventure et l’action nous intriguent, l’amour nous bouleverse, la tristesse nous émeut et la violence nous répugne, et tout ce mélange nous fascine. Je conseille ce film aux amateurs d’aventures complétées d’histoire d’amour et d’amitié.

Pour finir, j’espère que mon article vous aura donné envie de regarder au moins un film. A travers celui-ci, j’ai essayé de mettre différents films de différents genres pour qu’il y en ait pour tous les goûts, afin qu’au moins un de ces films puissent vous plaire et vous faire ressentir quelque chose.

Bonne visualisation à tous et prenez du plaisir !

5 P TO MA E N CI Par amandine passaquit, etudiante en L1

‘‘Kyo, c’est pas le nom d’un restau ?’’

P

our les quelques (rares) incultes qui demeurent parmi nous et qui n’ont jamais entendu parler de KYO, ne vous inquiétez pas, un petit rappel s’impose. Pour les autres, vous pouvez toujours “zapper” quelques paragraphes, vous avez assez attendu : le retour de KYO, c’est maintenant.

Kyo, c’est qui, c’est quoi?

KYO est un groupe de pop-rock français composé de quatre membres : Benoit POHER (chant / guitare), Nicolas CHASSAGNE (guitare) ainsi que les frères Florian et Fabien DEBOS (respectivement guitare / chœurs et percussions).

C’est en 1994, alors qu’ils sont au collège, que les quatre garçons se rencontrent : ils écoutent des groupes tels que Nirvana, RADIOHEAD ou encore SOUNDGARDEN et participent à des concerts d’école ou dans des salles de la région parisienne mais sans réel succès.

En 1997, après avoir participé à un Tremplin Rock, ils signent chez Sony et font les premières parties de David HALLYDAY. Il écrivent aussi leur première chanson mais celle-ci ne sera pas commercialisée.

C’est au cours de l’année 2000 que KYO sort un premier album homonyme, aux sonorités très pop, sous le label Jive/ Zomba France. Mais celui-ci ne connaîtra pas un réel succès puisqu’il s’écoulera à seulement 40 000 exemplaires.

Pourtant, le groupe ne se décourage pas : le 7 janvier 2003 sort Le Chemin. Cet album, sur lequel on retrouve un duo avec la chanteuse Sita, leur permettra d’obtenir trois Victoires de la Musique en février 2004. L’album se vend à plus d’un million d’exemplaires tandis que la tournée qui suit est immortalisée par un DVD, Kyosphère.

Le 28 décembre 2004, l’album 300 Lésions est dans les bacs : il se vend à environ 500 000 exemplaires.

KYO, la disparition ?

Après l’album 300 Lésions, le groupe met sa carrière entre parenthèses et va écrire des chansons pour des artistes français tels que Johnny HALLYDAY, pour qui ils ont rédigé “Ma Religion dans son Regard”, ou encore Jenifer, avec le titre “Le Souvenir de ce Jour”.

C’est durant l’année 2006 que va vraiment se dessiner une séparation : les différents membres du groupe débutent des projets personnels malgré la promesse d’un nouvel album qui aurait dût sortir en 2008. Seulement cette année là, deux des membres du groupe en forment un nouveau, du nom d’EMPYR, tandis que les autres se consacrent également à leurs projets.

Des alternatives à KYO ?

Toujours en 2008, EMPYR sort son premier album, The Peaceful Riot. Empyr est composé de cinq membres issus de différents groupes, dont deux de KYO : Benoit POHER en est aussi le chanteur. Mais cette fois ci, on retrouvera principalement des textes en anglais. Les fans de KYO sont déçus et ne reconnaissent pas ici ce qui leur a plu dans le groupe adulé.

En 2012 sort un second album mais le succès n’est pas flagrant : on repérera juste certains titres dans des BO de films à l’instar de Destination Finale 5, ou encore pour une publicité de la non moins célèbre marque à la pomme.

KYO, le retour ?

Annoncé depuis 2011 puis repoussé à plusieurs reprises, le retour du groupe était très attendu par ses fans. En juillet 2013, on apprenait enfin que les quatre garçons préparaient un quatrième album.

C’est donc le 24 mars qu’on a pu découvrir ce 12-titres. Pour vous, nous l’avons écouté; pour vous, nous l’avons décrypté. Voici un débrief’ des principaux titres qui nous ont interpellés, qui nous ont marqués.

- “Le Graal” est le premier single de l’album : sorti le 27 janvier, il marque un virage électro de la musique de KYO. On les félicitera d’ailleurs pour la référence à Indiana Jones dès les premières phrases : « Comme Indy j’ai cherché le Graal…» Un peu de culture cinématographique ne fait pas de mal.

- La chanson “L’Equilibre”, pour sa part, a été diffusée le 24 mars. Il s’agit du deuxième single, et c’est le titre de l’album qui se rapproche le plus de ce que le groupe a pu faire par le passé, avec la diction et le rythme plus lent au départ.

- Notre attention a été retenue par la titre “Poupées Russes”. Première plage de l’album, cette chanson marque le renouveau de KYO. En effet, lors du refrain, Benoit fredonne « 300 lésions et les rideaux se ferment, 21g pris dans l’atmosphère ». Cela pourrait faire penser qu’après leur dernier album (300 Lésions), tout s’est terminé tandis que les 21g représentent le poids d’une âme emprisonnée qui pourrait se retrouver libérée par la sortie de leur nouvel album. On entend ensuite « Et tu me verras sourire du seul endroit où je brille, J’ai l’impression d’être là où il faut être » : le devant de la scène apparaît comme le seul endroit où ils se sentent bien, où ils se sentent eux.

- On peut aussi s’intéresser à la chanson “Enfants du Solstice” qui lance quelques allusions sexuelles, à peine cachées : « Tu penses à moi quand il te touche [...]Tu penses à moi sous sa douche ». Comme quoi, Kyo n’a pas arrêté ses sous-entendus bien placés en dessous de la ceinture. Les coquins.

- “White Trash”, contrairement à ce que pourrait laisser penser son titre, est une chanson en français : on y retrouve cependant une consonance beaucoup plus rock que les autres chansons de l’album, avec des influences des années rock 1980 qui se ressentent à travers la guitare électrique.

- En écoutant « Les Vents Contraires », nous avons été troublés de ne pas reconnaître l’empreinte vocale de Benoit, et donc de KYO. Mais passé le temps des interrogations, on a pu se rendre compte que ce titre, à l’instar de « La Route », avait été écrit et chanté par Florian. Ça peut paraître évident pour certains moins pour nous : des recherches ont été nécessaires (Oui, jetez nous des cailloux, ou des disques de Franky Vincent si vous voulez)

KYO, un boys band démodé ?

Groupe adulé des années 2000, KYO était attendu au tournant pour son grand retour. Mais le groupe n’a pas pris une ride, et leur musique non plus. Seules les coupes de cheveux rappellent les presque 10 années qui ont passé : les dreadlocks et autres coupes ébouriffées ont laissé place à une présentation plus mature qui rappelle leur âge.

Même si leur son s’est quelque peu modernisé avec une présence plus marqué de tonalités électros, l’âme du groupe est là.

Le public est présent lui aussi : les fans de la première heure côtoient les adolescents d’aujourd’hui qui se retrouvent dans certains textes, l’amour étant un thème universel qui touche tous les âges.

La critique quant à elle est plus ou moins bienveillante : tandis que certains encensent ce retour, d’autres regrettent l’absence d’un “nouveau” KYO. Mais ne dit-on pas que le public est roi ?

On devra cependant attendre quelques semaines, voire quelques mois, pour réellement savoir si le retour de KYO est un retour gagnant. Dans tous les cas, cela semble pour l’instant en bonne voie.

Pour votre part, n’hésitez pas à écouter cet album, à vous faire votre propre avis, et pourquoi pas à venir le partager avec nous !

Par elise bouillot, etudiantE en L1 Par pierrick moreau, etudiant en L2

session test: qui etes-vous ?

E

n sociologie, on aime bien les tests. Pour ce numéro, je vous propose un petit test sympathique pour cerner un peu plus votre personnalité. Comme d’habitude, le test n’a aucune valeur sociologique ou psychologique, c’est juste intéressant à faire ! Lisez chacune des questions suivantes (une à la fois). Imaginez les scènes et répondez la PREMIÈRE chose qui vous vient à l’esprit. Ne réfléchissez pas trop avant de répondre.

1. Vous marchez dans un boisé. Vous n’êtes pas seul(e). Qui est à vos côtés ?

2. Vous continuez votre marche. Vous apercevez un animal. De quel animal s’agit-il ?

3. Décrivez l’interaction entre vous et l’animal (passive/agressive) ?

4. Vous continuez à marcher et vous vous retrouvez dans une clairière au milieu de laquelle se trouve votre maison de rêve. De quelle grandeur est cette maison ?

5. Votre maison de rêve est-elle entourée d’une clôture ?

6. Vous pénétrez à l’intérieur de la maison. Vous apercevez la salle à manger et la table. Décrivez ce que vous voyez sur et autour de la table.

7. Vous quittez la maison par la porte arrière. Vous trouvez une tasse par terre. De quoi est faite cette tasse ?

8. Que faites-vous de cette tasse ?

9. Vous marchez jusqu’aux abords de la propriété et vous vous trouvez face à un plan d’eau. Quelle est l’étendue du plan d’eau (rivière, ruisseau, lac.) ?

10. Comment traverserez vous ce plan d’eau?

(«Résultats» à la dernière page du journal !)

Par nathan boumadjer, etudiant en L2

Sudokuâ&#x20AC;&#x2122;va en ma nger !

Facile

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de Parce quâ&#x20AC;&#x2122;il faut toujours

Facile

Difficile

moyen

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ns io t u l o s : t s e t n sessio Les réponses que vous avez énoncées expriment les valeurs avec lesquelles vous menez votre vie personnelle.

Voici les résultats : 1. La personne avec laquelle vous marchez est la personne la plus importante dans votre vie.

2. La taille de l’animal que vous rencontrez représente votre perception de la taille de vos problèmes.

3. La sévérité de l’interaction que vous entretenez avec l’animal représente comment vous faites face à vos problèmes.

4. La grandeur de votre maison de rêve est proportionnelle à votre désir de régler vos problèmes.

5. S’il n’y a pas de clôture, vous êtes extraverti. Les visiteurs sont bienvenus en tout temps.

La présence d’une clôture indique une personnalité introvertie.

Vous préférez inviter les gens que de les voir arriver sans invitation.

6. Si votre réponse n’inclut pas des fleurs, de la nourriture et des personnes, vous êtes généralement triste.

7. Le matériau de la tasse est représentatif de la durabilité de votre relation avec la personne que vous avez nommée à la question 1. Par exemple le plastique et le papier sont périssables tandis que la porcelaine et la métal sont durables.

8. Ce que vous faites avec la tasse représente votre attitude envers la personne de la question 1.

9. L’étendue du plan d’eau est proportionnelle à votre libido.

10. Le degré avec lequel vous vous mouillez pour traverser le plan d’eau est représentatif de l’importance de la sexualité dans votre vie.