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Geschichten Der Onkel Jenaro (II)

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DECO

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Alicia Navarro - Fuerteventura

Seine Mutter, die Catalina hieß und die wir Urenkel „Mama Grande“ nannten, machte das, was allgemein üblich war: Sie gab ihm den Namen des Heiligen, der sein Namenspatron war. Der Onkel wurde am Tag des Heiligen Jenaro geboren. Die Familie hatte nicht viel Geld, aber der Urgroßvater schickte ihn ins Priesterseminar, wo er studieren konnte, und vielleicht würde der Wunsch der„Mama Grande“ in Erfüllung gehen. Es war nicht so, und sie fand sich damit ab, dass nur zwei ihrer Söhne, Matías und Pablo, Priester wurden, während Onkel Jenaro nach Madrid ging und an der Universidad Central einen Doktor in Philosophie und Literatur machte, wo er auch Dozent für Paläographie und Latein wurde. Er beherrschte diese Sprache bis zur Perfektion und sprach sie bereits 1922, dem Jahr

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Histoires

Tonton Jenaro (II)

Alicia Navarro - Fuerteventura

Pour en revenir à Tonton Jenaro, né le 19 septembre, sa mère se nommait Catalina et les arrièrepetits-enfants l’appelaient « Mama grande ». Elle fit ce qu’on faisait d’habitude, soit lui donner le nom du saint qui correspondait à son jour de naissance et tonton était né le jour de la Saint Jenaro. La famille n’avait pas beaucoup d’argent, mais l’arrière-grandpère l’avait envoyé au Séminaire, où il avait étudié seiner Ankunft in Madrid, fließend.

Ich fand es sehr amüsant, ihn mit einem meiner Onkel Latein sprechen zu hören; er war der Bruder meines Vaters, Neurochirurg, Psychiater, Veterinärmediziner und hatte eine lange Liste weiterer Abschlüsse und Doktortitel. Aber sie teilten dieses „seltsame“ Hobby, das sie mir nicht schmackhaft machen konnten, denn es war mein „Steckenpferd“, bis ich zwei Jahre später feststellte, wie nützlich es war, wenn auch nicht auf Konversationsebene.

1925 wurde er zum Archivar der Stadtverwaltung von Madrid ernannt. Gleichzeitig war er Direktor der Bibliothek des Ateneo derselben Stadt. Während seiner Zeit in Madrid erforschte er die Namen der Madrider Straßen intensiv und verfasste ein historisches „Kom- pendiumüber die Hintergründe der einzelnen Namen, denn er hielt es für wichtig zu wissen, wer im Judenviertel lebte und die Handwerker des Schwertes in der Calle Espaderos, die Calle Platería mit ihren Juwelieren und die Calle Cuchilleros zu kennen und so weiter, vom Palacio de Oriente bis hin zu jeder einzelnen Straße und jedem einzelnen Platz. Und so erkundete er der alle Ecken und Winkel von Madrid. et peut-être pourrait-il exaucer les vœux de « Mama grande ». Ce ne fut pas le cas, et elle dû se contenter que seulement deux de ses fils, Matías et Pablo, deviennent prêtres. Tonton Jenaro, lui, s’en alla à Madrid pour obtenir son diplôme en Philosophie et en Lettres à l’Université Centrale, où il devint professeur auxiliaire en paléographie et en latin, une langue qui dominait à la perfection et qu’il parlait couramment, déjà, en 1922, année de son arrivée à Madrid.

1936 war er Handelsattaché in der spanischen diplomatischen Vertretung und ging dann in die Schweiz, genauer gesagt nach Bern.

Danach zog er nach Kuba und Jahre später in die USA, wo er weiterhin Kurse in Bibliothekswissenschaft gab, forschte, Vorträge hielt und seine Arbeiten veröffentlichte.

Pour moi, c’était très amusant de l’écouter parler en latin avec un de mes oncles. Il s’agissait du frère de mon père, un neurochirurgien, psychiatre, vétérinaire et un long etcetera de licences et doctorats. Mais ils partageaient ce passetemps étrange, qu’ils ne réussirent pas à me transmettre, car ce fut mon cheval de bataille jusqu’à ce que deux années plus tard, j’en réalisais l’utilité, mais pas pour la conversation.

En 1925, il fut nommé Archiviste de l’Ayuntamiento de Madrid, un poste qu’il occupait simultanément avec la Direction de la Bibliothèque d’Ateneo de cette même ville. Pendant son séjour à Madrid, il réalisa une recherche exhaustive sur les noms des rues de Madrid, qui donna comme résultat tout un résumé historique des « pourquois » de chaque nom, parce que, selon lui, il était important de savoir, qui avait habité le quartier juif, les artisans fabriquant les épées, calle (rue) Espaderos (Espada = épée), calle (rue) Platería (plata = argent) avec ses bijouteries, calle (rue) Cuchilleros (cuchillo = couteau), et ainsi de suite, du palais de l’Orient (Palacio de Oriente) et toutes les rues et places de Madrid.

En 1936, il fut Agrégé Commercial dans la Représentation Diplomatique Espagnole et c’est quand il est allé vivre en Suisse, à Berne.

Ensuite, il partit vivre à Cuba et des années plus tard, aux États-Unis où il donnait des cours de Sciences de l’information et des bibliothèques, faisait des recherches, animait des conférences et publiait ses travaux.

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