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Ces «utopies», souvent nommées comme telles car tout simplement non-réalisées (plus que non-réalisables), m’ont toujours fasciné. On y ressent comme un besoin de déconsidérer son milieu afin d’apporter à celui-ci une touche d’onirisme. Une touche censée améliorer ledit milieu.
Je pense ainsi à la futurologie de Michel Ragon (1996), aux cités obscures de Schuiten&Peeters (1985), à la «Tour dans la tour» de l’agence Kwong Von Glinow (2017), ou encore aux architectures rêvées de Marc-Antoine Mathieu (2018).