Nous entrons en architecture pour tendre vers une chose qu’on voudrait posséder, ou un acte qu’on voudrait faire. Nous y mettons les pieds par désir, moteur de notre motivation.
Que signifie alors ce désir en architecture ? Est-ce la convoitise du bien être, visant à améliorer son épanouissement personnel. De cette manière, notre entrée en école d’architecture fait appel à une réflexion à laquelle nous trouvons une justification. Le désir est un luxe: nous nous persuadons d’une manière suffisamment forte que nous sommes capables de rejoindre le métier. Puis on se convaincs sur nos capacités à relever le gant, en tachant de cerner les obligations que la formation nous demandera. C’est une discipline à la fois concrète et créative, additionnée à un vaste champ de connaissances. Une matière passionnante démunie d’ennui et dont les nombreuses responsabilités sont des challenges captivants. Une profession dont les acteurs doivent garder le désir de progresser et le besoin de se parfaire.