s e x e n n r A u e t a m i n a ’ l e d t e n r a c u d
SRA
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Les BASIQUES
11•15ans 15•17ans 17ans et +
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Sommaire Annexe 1 : le handicap moteur ..........................................................................3 Annexe 2 : le handicap visuel ............................................................................5 Annexe 3 : le handicap auditif ...........................................................................7 Annexe 4 : le handicap psychique .....................................................................9 Annexe 5 : la déficience intellectuelle .............................................................11 Annexe 6 : check-list sur l’accessibilité .............................................................13 Annexe 7 : associations spécialisées ................................................................15 Annexe 8 : ludothèques spécialisées ..............................................................17
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Annexe 1
Le handicap moteur Par handicap moteur, on désigne l’ensemble des troubles pouvant atteindre à la motricité de manière partielle ou totale, notamment au niveau des membres supérieurs et/ou inférieurs (difficultés pour se déplacer, conserver ou changer une position, prendre et manipuler, effectuer certains gestes).
Caractéristiques d’un enfant ayant une déficience motrice Dépendance Dans certains cas, l’enfant sera dépendant d’une aide adulte pour des activités telles que se nourrir, s’habiller, aller aux toilettes etc. Certains enfants sont incapables de se déplacer sans l’usage d’un fauteuil roulant. D’autres utilisent des appareils orthopédiques.
Malgré leur déficience, beaucoup d’enfants apprennent à se déplacer, à fonctionner de manière autonome. En pratique, les déficiences motrices engendrent une gêne ou un empêchement dans le déplacement, la prise des objets et parfois la parole.
Fatigue rapide Lorsqu’un enfant se déplace avec un appareil orthopédique, il utilise beaucoup d’énergie et est rapidement fatigué. Il a une autonomie de marche assez limitée. Généralement l’enfant a moins de résistance et est donc moins attentif et participatif à certaines activités. Ce manque d’endurance peut affecter le comportement moteur de l’enfant et le rendre maladroit ou craintif, dans les activités physiques notamment.
Besoins de l’enfant • Prendre du repos supplémentaire • Être soutenu pour son alimentation • Mettre en place des petites modifications à l’aménagement, aux meubles dans le local • Avoir certains appareils pour bouger ou participer aux activités
Comment le soutenir? Apprends à connaitre son mode de fonctionnement afin de savoir les besoins qu’il identifie et par quel moyen l’enfant se déplace. Pour permettre à l’enfant d’acquérir une certaine autonomie de déplacement, vois avec lui le parcours et les améliorations que tu peux apporter à l’accès au local, à l’aménagement du local, aux lieux où vous jouez. Ensuite, discute avec l’enfant pour voir s’il a besoin d’aide. Attends qu’il te le propose. Ne fais pas les choses à sa place.
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Quelques conseils • Encourage-le à exprimer ses propres idées, ses sentiments, à adopter des attitudes appropriées avec le groupe. • Respecte son autonomie. • Motive-le à rechercher lui-même les adaptations qui lui permettront d’utiliser le matériel et les ressources du groupe. • Aide-le à concentrer ses efforts sur ce qui est faisable et réalisable, à économiser son énergie pour mieux la canaliser sur des actions qu’il aura choisies comme objectifs à atteindre en priorité. • Travaille en étroite collaboration avec les parents et les spécialistes.
Cette fiche est un bref aperçu. rès d’un expert et auprès N’oublie pas de te renseigner aup ir plus d’informations. des parents de l’enfant pour avo Chaque handicap est différent.
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Annexe 2
Le handicap visuel Le handicap visuel concerne les personnes aveugles, mais aussi les personnes malvoyantes. Il existe différents degrés d’incapacité visuelle variant d’une vision affaiblie à l’absence totale de la vue. Une déficience visuelle se caractérise par le fait qu’elle ne peut être totalement corrigée par le port de verres correcteurs.
Caractéristiques d’un enfant ayant une déficience visuelle Un enfant qui vit avec une sérieuse déficience visuelle peut tout de même être en mesure de percevoir le contour des objets, la lumière ou l’absence de lumière. Il existe différents modes d’acquisition de connaissances. Vois avec les parents si l’enfant utilise le braille ou le système d’écriture courant.
Compensation par d’autres sens La compensation par d’autres sens joue un rôle primordial dans la vie de l’enfant déficient visuel. Le toucher permet de connaitre un objet en partie pour le globaliser (poids, forme, température, distance, etc.). Il faut donc que l’enfant touche beaucoup pour percevoir et se représenter son environnement. Il n’est pas surprenant de le voir aussi toucher les gens. L’ouïe permet à l’enfant de reconnaitre les choses et les gens à distance. Par exemple une personne qui parle, de l’eau qui coule ou un téléphone qui sonne lui donnent les informations sur leur identité et leur localisation. L’ouïe joue un rôle important dans les déplacements mais aussi comme moyen de communication. Les descriptions permettent à l’enfant de se représenter des images plus justes et plus précises de ce qui l’entoure.
Besoins de l’enfant • Recevoir une aide pour la formation d’images mentales • Se faire décrire ce qu’il se passe dans son environnement • Compter sur une constance dans l’aménagement de l’espace et du matériel • Se donner des repères pour s’orienter • Avoir du matériel avec des textures et formes contrastées • Avoir un bon éclairage
Comment le soutenir ? Apprends à connaitre son mode de fonctionnement afin de savoir par quel moyen l’enfant communique. Carnet de l’animateur SRA • Annexes •
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Par exemple : si le sens qui est le plus développé est le toucher, pense alors à privilégier du matériel qui soit remarquable par sa texture. Si par contre, l’enfant utilise surtout le reste de sa vue, utilise du matériel avec des couleurs contrastées. Lorsque tu expliques un jeu et que tu donnes des consignes, essaie d’être le plus précis possible. Donne en détails les actions à faire, une description de l’espace et des objets qui sont liés au jeu. Pour le matériel, utilise du solide car l’enfant le manipulera beaucoup. Pour éviter de mauvaises surprises, essaie de garder ton local ordonné. Si tu changes l’arrangement des tables, chaises ou autres objets dans ton local, n’oublie pas de décrire les changements à l’enfant. Dès son arrivée dans ton groupe, n’oublie pas de faire une reconnaissance des locaux, les corridors, les endroits dangereux, les sorties de secours et les différents moyens d’accès afin de lui permettre d’avoir une vision mentale des lieux de réunions, idem pour le camp.
Quelques petits conseils
• Encourage-le à être autonome afin qu’il améliore sa confiance en lui. • Parle et conduis-toi naturellement. N’évite pas les termes relatifs à la vue tels que « Je vais te montrer ». L’enfant comprend qu’ils signifient « Prends connaissance de ». • Évite l’emploi de certains termes tels que « ceci » et « là ». Ils ne signifient rien pour celui qui ne voit pas. • Réponds verbalement aux questions posées. Les signes de têtes et les gestes de la main ne sont pas nécessairement perçus. Utilise un vocabulaire très précis et évite l’emploi de termes qui ont un sens figuré s’il ne comprend pas leur signification au sens propre. • Place-le le plus près possible de l’endroit où se déroulent les jeux, afin qu’il utilise de façon optimale son résidu visuel. • N’élève pas le ton de ta voix, il n’est pas déficient auditif (à moins que cela ne soit précisé dans sa Fiche Santé. Évite les longs moments de silence, cela peut le perturber. • Habitue les autres animés à être ordonnés. • Respecte son besoin d’ordre. • Fais connaitre ta position : indique-lui où tu te situes par rapport à lui et quand tu pars, sois sûr qu’il le sait. • Si tu fais un plateau de jeu, des codes secrets, des posters, pense à tous ces aspects : taille des caractères, lisibilité de la police, choix des couleurs, etc.
Cette fiche est un bref aperçu. rès d’un expert et auprès N’oublie pas de te renseigner aup ir plus d’informations. des parents de l’enfant pour avo Chaque handicap est différent.
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Annexe 3
Le handicap auditif Lors d’un handicap auditif, la perte auditive totale est rare, la plupart des déficients auditifs possèdent « des résidus auditifs » pour lesquels les prothèses auditives apportent une réelle amplification. Selon les cas, ce handicap s’accompagne ou non d’une difficulté à oraliser.
Il existe trois degrés de déficiences auditives Légère (perte auditive de 20 à 40 décibels) L’enfant parle souvent trop fort, éprouve des difficultés à comprendre si on lui parle de loin et à identifier la provenance de la voix. Moyenne (perte auditive de 41 à 70 décibels) Il éprouve des difficultés d’acquisition du langage et porte un appareil auditif pour lui permettre d’apprendre à discuter. Sévère (perte auditive de 71 à 90 décibels) Un appareil est indispensable et il est souvent insuffisant pour que l’enfant parvienne à parler de façon intelligible. Exemple s : bruissement de feuille 10 décibels (db), un chuchotement 20 db, une conversation courante 50 db, une rue animée 70 db, une tondeuse 80 db, etc. Renseigne-toi auprès des parents du type de déficience auditive dont est affecté ton animé.
C aractéristiques des enfants ayant une déficience auditive Quel que soit le degré de déficience auditive, il limite ou freine chez l’enfant l’acquisition du langage. Il lui est difficile d’émettre des sons qu’il entend mal ou pas du tout. Ce qui le conduit à un problème de communication. Il ne comprend pas toujours que les autres ne le comprennent pas. Il a le même potentiel intellectuel que les autres enfants. Au niveau moteur, son développement est normal (à moins d’un cas contraire). Il s’isole et se met facilement en retrait. Être motivé à parler et à mieux parler n’est pas facile. Il a besoin d’être soutenu. Être concentré demande beaucoup d’énergie, ne t’attends pas à ce que l’enfant soit attentif à tout moment. Il existe plusieurs modes de communication, dont la communication totale et l’oralisme. Renseigne-toi auprès des parents sur le type de communication utilisé par leur enfant.
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Besoins de l’enfant • Être soutenu dans le développement de ses capacités de communication • Avoir une diminution des bruits ambiants • Avoir une bonne qualité d’éclairage (pour la communication verbale et l’oralisme) • Être bien situé par rapport aux personnes qui parlent • Pouvoir entretenir et protéger son appareil
Comment le soutenir ? Quand tu souhaites lui donner des informations, veille à attirer son attention sur toi. Tu peux décider avec lui du geste à utiliser pour lui signaler ton besoin de son attention. Si l’enfant peut lire sur les lèvres, fais en sorte qu’il voit bien ta bouche. Reste le plus immobile possible, face à lui tout en étant suffisamment éclairé. Parle simplement en utilisant un vocabulaire adapté au niveau de l’enfant.
Quelques petits conseils • Parle clairement et normalement : un débit ni trop rapide, ni trop lent tout en articulant soigneusement mais sans exagération et sans augmenter le volume de ta voix. • Attire toujours l’attention de l’enfant avant de parler. Associe à la parole des gestes, des expressions du visage, des actions, des objets ou des images qui facilitent la compréhension et l’acquisition graduelle du langage par l’enfant. • Vérifie souvent si l’enfant a compris. Si ce n’est pas le cas, reformule ton message. • Il doit fournir des efforts d’attention et de concentration considérables pour comprendre les autres. Veille à lui laisser du temps de se reposer dans un endroit calme. • N’hésite pas à lui demander de répéter pour t’assurer qu’il ait bien assimilé l’information. • Donne lui souvent l’occasion de s’exprimer, ne parle pas pour lui. • Assure-toi que tes animés s’adressent à lui calmement, clairement et chacun à son tour.
Cette fiche est un bref aperçu. N’oublie pas de te renseigner auprès d’un expert et auprès des parents de l’enfant pour avoir plus d’informations. Chaque handicap est différent.
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• Privilégie les supports écrits/visuels. • Si tu t’approches de lui par derrière, ne le touche pas sans qu’il t’ait vu. • Lors des veillées/chants, pense à lui proposer des adaptations (texte sous les yeux, accentuation des basses si tu utilises une chaine stéréo, et placele tout près pour qu’il ressente les vibrations). La déficience auditive est invisible. Il ne faut donc pas que tu oublies qu’en plus d’avoir des problèmes auditifs, l’enfant a aussi des soucis de communication.
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Annexe 4
Le handicap psychique Le handicap psychique concerne souvent la vie relationnelle, la communication ou le comportement des personnes (autisme, schizophrénie, troubles obsessionnels compulsifs, névrose, etc.).
Exemple : l’autisme
L’autisme est un trouble grave du développement. Ce n’est pas un simple retard que l’on peut combler. L’enfant ne se développe pas de la même manière. Il traite l’information différemment.
Caractéristiques des enfants autistes Chaque enfant atteint d’autisme peut avoir des difficultés ou un manque au niveau de : • la communication sociale (difficulté avec la communication verbale et non verbale, difficulté à comprendre les sentiments des autres, problème d’empathie, etc.) • l’interaction sociale (se faire des amis, partager, être conscient de l’espace personnel des autres, etc.) • l’imagination (difficulté à jouer des jeux imaginatifs, de rôle, flexibilité de la pensée, du comportement, créativité, etc.) Certains enfants montrent des attitudes répétitives, des obsessions, des fascinations pour certaines choses ou insistent pour suivre des routines précises. Ils sont anxieux ou fâchés quand la routine change, ce qui mène à des colères ou à un comportement inapproprié. Quelques-uns ont des manières un peu inhabituelles telles que taper dans les mains… Ils sont parfois plus violents. Beaucoup, si pas tous, ont une grande sensibilité à la lumière, au toucher et au son, ce qui a des impacts sur leur comportement. Par exemple, un enfant peut ne pas aimer être dans la foule, dans un endroit bruyant. Il peut ne pas supporter certains aliments à cause de leur consistance et a parfois un régime précis. Un enfant peut avoir une conscience limitée du danger pour son âge et à tendance à fuguer. C’est important à garder en tête lorsque vous partez en expédition ou en camp. N’oublie pas que chaque enfant est différent. Discute donc avec les parents pour apprendre à mieux connaitre l’enfant. Certaines formes d’autisme ne touchent que les comportements sociaux. L’intelligence est parfois hyper développée.
Besoins de l’enfant • Avoir une structure et planning bien cadré • Ne pas être entouré de trop de bruits • Être informé lors des changements dans le programme de la réunion Carnet de l’animateur SRA • Annexes •
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Comment le soutenir ? Sois super attentif à la sécurité et au danger, particulièrement quand tu sors avec le groupe lors des réunions et lors des camps. Rappelle-toi : expliquer les dangers ne veut pas dire qu’ils sont nécessairement compris. L’enfant a une autre manière de percevoir les sensations et les émotions. Par exemple, s’il n’a pas de perception du chaud et du froid, il ne se méfiera pas de la flamme. Vois avec les parents les activités qui calment l’enfant.
Quelques petits conseils • Propose un planning clair de la réunion et respecte-le à chaque réunion. • Utilise un horaire avec des éléments visuels (des images, photos, symboles, etc.) afin de lui permettre de savoir ce qui se passe après. • Préviens-le quand il y a des changements dans l’horaire. • Utilise son nom quand tu veux attirer son attention ou quand tu veux lui expliquer un jeu. Il comprend les choses de manière littérale et donc si tu parles au groupe, il ne se sent pas concerné. • Utilise des panneaux avec des illustrations, par exemple pour éviter les interruptions, pour signaler le changement d’activités. • Essaie d’utiliser un langage clair et précis en évitant les métaphores, le sarcasme ou l’ironie. Par exemple, « lave-toi à l’évier » au lieu de « va te laver les mains dans les toilettes ». • Évite la surcharge d’informations. Donne des instructions simples, évite de trop parler, sois calme et cohérent. • Sois attentif au bruit, aux lumières. • Si tu organises un jeu bruyant propose à l’enfant une alternative plus calme. • Essaie de toujours voir le côté positif et ne baisse jamais les bras • Prépare-le au changement (lieux, animateurs…).
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Annexe 5
La déficience intellectuelle La déficience intellectuelle est une difficulté à comprendre et une limitation dans la rapidité des fonctions mentales sur le plan de la compréhension, des connaissances et de la cognition. Certains organismes parlent d’un QI inférieur à 69 (attention : mettre des normes peut stigmatiser la personne). La première cause de déficience intellectuelle est la trisomie 21. La déficience intellectuelle n’est pas une maladie mentale.
Caractéristiques des enfants ayant une déficience intellectuelle Un enfant qui a une déficience intellectuelle est capable d’apprendre et de se développer. Il a besoin de vivre dans sa famille, d’avoir des amis et des connaissances. Il a besoin aussi de partager des expériences avec d’autres enfants de son âge. Il prend plus de temps pour comprendre et classer les informations. Pour qu’il puisse évoluer et acquérir des compétences qui lui permettent de se débrouiller dans la vie de tous les jours, il a besoin de soutien et d’un environnement qui le stimule.
Besoins de l’enfant • Recevoir beaucoup d’encouragement • Avoir de la stabilité • Être stimulé • Participer à des activités bien structurées et encadrées • Avoir davantage de pratique et de manipulation pour apprendre • Être encadré avec patience
Comment le soutenir ? Lorsqu’un enfant, qui a une déficience intellectuelle légère ou moyenne, se rend compte qu’il doit fournir plus d’efforts pour des résultats moins probants que ceux des autres, il est souvent attristé et frustré. Avec ton staff et les autres animés, montre-lui que tu es satisfait de ses efforts et rappelle-lui ses succès, il aura une meilleure perception de lui-même. Une meilleure estime de soi lui permettra d’être plus motivé pour apprendre. Propose-lui un programme d’animations stable et bien planifié mais fais attention à ce qu’il ne soit pas constamment sollicité par l’apprentissage de ceci ou cela. Comme il apprend plus lentement, préviens-le suffisamment tôt des changements dans le programme. Rappelle-lui souvent ce qu’il a à faire et cela lui permettra de suivre le groupe.
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Quelques conseils • Parle-lui dans un langage simple mais pas enfantin. • Formule les consignes clairement et d’une façon précise. • Sois calme et prêt à répéter au besoin les instructions dans des termes différents. • Illustre tes explications avec des exemples concrets. • Pour t’assurer qu’il a compris, demande-lui de te répéter ce qu’il a retenu.
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Annexe 6
Check-list sur l’accessibilité
Il est important de se rappeler que le concept de l’accessibilité signifie bien plus que d’être capable de rentrer ou se déplacer dans un bâtiment. Quand quelqu’un demande si un endroit est accessible, ce n’est pas juste savoir s’il y a une rampe ou un ascenseur. Un endroit accessible est celui auquel tout le monde peut avoir accès, peu importe sa capacité ou invalidité. Cela concerne également les moyens de communication et les informations d’accès. Voici une check-list qui te donnera quelques idées des aspects à considérer en termes d’accessibilité. Ceci n’est pas une liste exhaustive, mais un point de départ pour planifier des rencontres, des formations ou d’autres événements.
L’accessibilité du lieu Le parking et le sol • Une signalétique claire • Une surface dure pour se parquer • Un parking avec suffisamment d’espace pour ouvrir une porte de voiture • Un parking aussi près du bâtiment que possible • Un chemin en dur jusqu’à l’entrée principale – en prenant en considération les possibles effets d’un temps mouillé • Un éclairage approprié (visibilité assez forte)
Entrée (et sorties de secours) • Un éclairage approprié • Une rampe d’accès • Une rampe • Un seuil accessible • Une ouverture de porte appropriée • Une porte facile à ouvrir – les portes sont plus faciles à ouvrir en poussant qu’en tirant • Une sonnette à une hauteur accessible au cas où la personne a des difficultés pour appeler les autres • Libre de tout obstacle (ex : poubelle) • S’il y a un système de sécurité d’ouverture des portes, est-ce accessible à tous ? Un téléphone à l’entrée pourrait causer des difficultés pour une personne sourde qui ne peut pas entendre la personne à travers l’interphone ou le clic lorsque la porte est ouverte.
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Couloir • Assez large pour laisser passer et faire un demi-tour avec une chaise roulante • Libre de tout obstacle, y compris pour manoeuvrer • Une signalétique claire • Un éclairage approprié • Un niveau de sol sans obstacles (marches, bosses, trous, etc.)
Escaliers et marches • Une rampe des deux côtés si possible • Un éclairage suffisant et accessible, notamment par une signalisation claire • Un ascenseur ou un monte-escalier disponible pour avoir accès aux étages supérieurs si besoin • Un ascenseur avec assez de place pour une large chaise roulante • Un contraste entre les différents espaces • Une signalisation des bords des marches, escaliers et différences de niveaux
Toilettes • Une signalisation claire • Un éclairage approprié • Un espace assez grand des deux côtés pour permettre les transferts • Une rampe qui descend de chaque coté de la toilette • Un espace suffisant pour qu’une personne en chaise roulant et une personne qui l’aide puissent faire un demi-tour • Un moyen d’appeler à l’aide • Une porte qui s’ouvre vers l’extérieur afin d’agrandir l’espace pour aller aux toilettes et permettre un accès facile en cas d’urgence • Du papier toilette facilement accessible de la toilette • Une poubelle • Un évier à hauteur accessible et avec un espace assez grand en-dessous
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Annexe 7
Associations spécialisées Voici quelques associations spécialisées, n’hésite pas à prendre contact avec elles pour une sensibilisation, un renseignement. Centre pour l’égalité des chances Site : www.diversiteit.be
AP3 : LA MAISON DE L'AP3 Association de parents et de professionnels autour de la personne polyhandicapée Boulevard Lambermont 61 1030 Bruxelles Tél. : 02/215.51.92 Fax : 02/215.48.25 E-mail : info@ap3.be Site : www.ap3.be
A.P.E.P.A. Association de Parents pour l'Épanouissement des Personnes Autistes Rue Léanne 15 5000 Namur Tél. & fax : 081/74.43.50 E-mail : apepa@skynet.be Site : www.ulg.ac.be/apepa
AFrAHM Association Francophone d'Aide aux Handicapés Mentaux Avenue Albert Giraud 24 1030 Bruxelles Tél. : 02/247.60.10 Fax : 02/219.90.61 E-mail : secretariat@afrahm.be Site : www.afrahm.be
APEM - T21 Association de Parents et de Personnes trisomiques 21 Rue de la Maison Communale 4 4802 Heusy Verviers Tél. : 087 228844 Fax: 087/223022 E-mail : apem-t21@skynet.be Site : www.apem_trisomie21.be
APEAD Association de Parents d'Enfants Aphasiques et Dysphasiques Rue Rincheval 34 7950 Chièvres Tél. : 068/65.91.39 E-mail : apead@skynet.be) Site : www.dysphasie.be
Association Syndrome X-Fragile Rue Nouveau Monde 59 4910 Theux Tél. : 087/54.25.02 Fax : 087/54.25.02 E-mail : ass.x.fragile@skynet.be Site : www.x-fragile.be
APEDAF Association des Parents d'Enfants Déficients Auditifs Francophones Rue Van Eyck 11a bte 5 1050 Bruxelles Tél. : 02 / 644 66 77 Fax : 02/ 640.20.44 E-mail : info@apedaf.be Site : www.apedaf.be
Fédération Francophone des Sourds de Belgique Rue Van Eyck 11A Bte 4 1050 Bruxelles Tél. : 02/ 644.69.01 Fax : 02/ 644.68.44 E-mail : infos@ffsb.be Site : www.ffsb.be
Ligue Braille Institution Nationale pour le Bien des Aveugles et des Handicapés de la Vue Rue d’Angleterre 57 B 1060 Bruxelles Tél. : 02/533.32.11 Fax : 02/537.64.26 E-mail : info@braille.be Site : www.liguebraille.be
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ONA Oeuvre Nationale des Aveugles Siège social Avenue Dailly 90-92 1030 Bruxelles Tél. : 02/241.65.68 E-mail : info@ona.be Siège wallon Rue de l'Aigle Noir 7 6000 Charleroi Tél. : 071/32.05.61 E-mail : siege.wallon@ona.be Site web : www.ona.be
Ligue francophone belge contre l'Epilepsie Avenue Albert 135 1190 Forest Tél. : 02/344 32 63 Fax : 02/343 68 37 E-mail : info@ligueepilepsie.be Site : www.ligueepilepsie.be
Ligue d'aide aux Infirmes Moteurs Cérébraux de la Communauté Française de Belgique asbl Rue Stanley 69-71 1180 Bruxelles Tél. : 02/343 91 05 Fax : 02/343 91 05 E-mail : limc.cfb@swing.be
Infor Autisme asbl Clos du Bergoje 20 1160 Bruxelles Tél. & fax : 02 / 673 03 12 E-mail : info@inforautisme.com Site : www.inforautisme.com
A.B.L.M. Association Belge de Lutte contre la Mucoviscidose Avenue Joseph Borlé 12 1160 Bruxelles Tél. : 02/675 57 69 Fax : 02/675 58 99 E-mail : info@muco.be Site : www.muco.be
A.S.B.F. L’Association Spina Bifida Belge Francophone Rue Neuve 70 4820 Dison Tél. & fax : 087/ 35 12 18 E-mail : ASBBF Site : www.asbbf.be
AFBOI Association Francophone Belge de l'Ostéogénèse Imparfaite Rue De Cuyper 230, bte 10 1200 Bruxelles Tél. : 02/772.550.82 E-mail : afboi@be.tf Site : www.afboi.be
Parthages Réseau Carat-net - Lien vers de nombreuses bases de documentations et d'autres sites Site : www.parthages.be AWIPH Agence Wallonne d’Intégration des personnes Handicapées Rue de la Rivelaine 21 6061 Charleroi Tél. : 071 / 205 711 E-mail : secgen@awiph.be Site : www.awiph.be
COCOF Service Bruxellois francophone des personnes handicapées Rue des Palais 42 1030 Bruxelles Tél. : 02/ 800 8000 Site : www.cocof.irisnet.be
Bruxelles-Intégration Projet de l'ASBL Badje. Son objectif est d'augmenter le nombre et la qualité des intégrations d'enfants en situation de handicap au sein des activités extrascolaires non spécialisées en Région bruxelloise. Site : www.bruxelles-integration.be
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Annexe 8
Ludothèques spécialisées
À Bruxelles LuAPE LuAPE est une ludothèque adaptée pour enfants et adultes atteints d’un handicap mais également ouverte à tous. Avenue Edmond Parmentier 19 1150 Bruxelles Tél. : 02/772.75.25 E-mail : info@luape.be Internet : www.luape.be Ludothèque de l'IMP de l'Institut Royal pour Sourds et Aveugles Jouets pour tous, pour enfants aveugles et malvoyants, pour personnes handicapées mentales ou atteintes de difficultés motrices. Chaussée de Waterloo 1504 1180 Bruxelles Tél. : 02/373.52.11 E-mail : ludo.oasis@irsa-cds.be
Ludothèque spécialisée "Toucheà-Tout" Œuvre Nationale des Aveugles Rue Dailly 90-92 1030 Bruxelles Tél. : 02/241.65.68 E-mail : ludotheque@ona.be Internet : www.ona.be Ludothèque du Gricca Le Gricca (Groupement de recherche et d’information consacré à la cécité et à l’amblyopie) a créé cette ludothèque spécialisée en jeux de société adaptés pour personnes aveugles ou malvoyantes. Institut Alexandre Herlin Rue de Dilbeek 1 1082 Berchem-Sainte-Agathe Tél. : 0475/28.91.30 « Jeux de mains, jeux de malins »
Ludothèque spécialisée de la Ligue Braille Jeux pour les tous petits, les enfants et les adultes. Rue d'Angleterre 57 1060 Bruxelles Tél. : 02/553.32.56 E-mail : michele.dubois@braille.be
Haute École de Bruxelles Avenue De Fré 62 1180 Uccle Tél. : 0478/54.08.26 E-mail : ludo.adaptee.defre@gmail.com
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Province de Namur Ludothèque adaptée "L'Enfant et la Rose" (ASPH) - FUNDP Pour tout type d’handicap. Rue Henri Bles 33b 5000 Salzinnes Tél. : 081/77.71.82 E-mail : anne.lambert@mutsoc.be Internet : www.mutsoc-namur.be
Province de Liège Le Tourbillon Pour tout type de handicap. Rue des Beaux-Arts, 4 4000 Sclessin Tél. : 04/253.45.32 Internet : www.letourbillon.be
Ludothèque adaptée du Centre Pouplin – La Lumière Handicaps visuels. Rue Sainte-Véronique, 17 4000 Liège Tél. : 04/222.35.35
Province du Hainaut La ludothèque de l'asbl "Horizon 2000" Quai de Brabant 20 6000 Charleroi Tél. : 071/31.27.19 Internet : www.h2000.be Pirouette Ludothèque générale qui propose des jeux adaptés aux PMR et aux personnes déficientes mentales.
Les Touptis Centre du jeu pour les enfants sourds et malentendants de 0 à 6 ans. CREE Charleroi Rue de Monceau-Fontaine, 42/16 6031 Monceau-sur-Sambre Tél. : 071/50.35.30 E-mail : sophie.strykers@creeasbl.be Internet : www.creeasbl.be
Rue de Pintamont, 36 7800 Ath Tél. : 068/28.12.05 E-mail : ludotheque.ath@gmail.com
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