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PCR : Je t’aime moi non plus

Dès 2002, et le lancement du collectif emploi en danger, des murmures pointent les liens de Jean-Hugues Ratenon avec le PCR, qui le rémunèrerait.

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“ ça n’est pas possible. C’est interdit par la loi. Et à cette époque, je n’avais aucun lien avec le PCR ”, rétorque-t-il. “ Je n’ai pris ma carte qu’en 2009 et je viens de la rendre. C’est mon côté rebelle". C’est une séparation, pas un divorce : on ne peut pas détester quelqu’un qu’on a aimé ”, sourit-il. Et preuve que la séparation se passe plutôt en bons termes, l’ancien membre du secrétariat général du parti, rémunéré à ce titre 1700 euros net par mois, devrait bénéficier des assedic, dans le cadre d’une rupture conventionnelle de contrat.

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