1 minute read

BREVES DE CULTURE Jeu, scène et match

> C’est une sacrée école de la scène, qui a vu éclore quelques talents. Le match d’impro, c’est surtout, côté public, une franche partie de rigolade. Deux équipes de 7 personnes s’affrontent dans une mini patinoire de hockey en bois, sous l’œil attentif d’un arbitre et de ses assistants, chargés de faire respecter les règles et n’hésitant pas à siffler les fautes.

Rêve, He R be Rt !

Advertisement

> De longues silhouettes blanches drapées de toiles apparaissent, s'avancent, s'éloignent, se concertent, pour finalement nous inviter à les suivre. Peu à peu, celles-ci se transforment en personnages majestueux, leur tête s'éclaire ; elles nous

Un musicien, ou un DJ, chauffe la salle, et un maître de cérémonie anime la soirée. Quant au public, il rit, il applaudit et … il vote !

> Match d’improvisation théâtrale, samedi 12 mai à 19h, théâtre Canter, Sainte-Clotilde. ( 02 62 48 95 06 entrainent autour d'un astre lumineux. Sur une musique étrange et envoutante, elles effectuent un rituel magique qui permettra à l’astre de s’élever dans le ciel... Comme un clin d’oeil à la lune... Leu Tempo festival nous invite au rêve, pour sa traditionnelle fête dan somin, avec une création de la compagnie Les Quidams, jouée dans plus de 100 villes de France et plus de 30 pays. Samedi, c’est chez nous, alors on y va !

Lione L Lauret à cL u J 100 choristes pour Lé L é

•••Dit comme ça, on imagine bien un de ces pays imaginaires peuplé de Boz ou de « sambouchons » dont l’artiste plasticien a le secret. Ben non : ça existe pour de vrai, Cluj, et c’est en Roumanie. Même qu’il s’y déroule un festival, le Clujotronic, et que c’est à l’ invitation de Christophe Pomez (ex Drac théâtre chez nous, actuel directeur de l’institut français ), que Lionel Lauret fait cette escale.

•••Ils y étaient, (presque) tous là. Et nous aussi. 100 choristes de tous âges, ethnies et milieux sociaux, réunis autour d’Urbain Philéas, le fils de Gramoun Lélé, pour un spectacle qui s’annonce chargé en émotion, au téat Saint-Gilles. Depuis trois mois, ils répètent, par petits groupes, puis tous ensemble, comme ce samedi au case de Petit Saint-Pierre. Il y a Ninine, 60 ans, venue du Port, Aurore et Audrey, 23 ans, de Bras-Fusil, Keyrian, 13 ans, de Saint-Benoît, les élèves d’une classe de CM2 de Saint-Leu, Danyél Waro… 100 voix unies autour d’un maloya pour une maman partie. Celle d’Urbain Philéas, et, à travers elle, celle de tous les choristes. Un solo lo ker qui nous fait monter le cœur au bord des yeux. À découvrir le 30 juin au téat Saint-Gilles.

This article is from: