Journal cii décembre 2013

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Vol. 1 no 1 - Décembre 2013

Bonjour à tous et à toutes, Il y a longtemps! Nous avons repensé le concept du journal… Pour revenir un peu sur les évènements de notre journée de l’infirmière, nous aimerions remercier le comité organisateur ainsi que les commanditaires de cette journée. Nous tenons aussi à féliciter les gagnants des méritas. Cette formule a été grandement appréciée de nous toutes. Nous avons sollicité votre participation dans notre dernière parution afin d’enrichir notre journal de vos commentaires, témoignages ou articles. Nous avons reçu des suggestions de nos membres et c’est avec plaisir que nous présentons de nouvelles chroniques. : • Où sont les infirmières à HRDP? • La parole est à vous! • Chronique scientifique • Formation / Résumé et appréciation d’une participante

Nouveau CECII de l’Hôpital RivièreRivière-desdes-Prairies Tel que voté en assemblée générale en mai dernier, une cinquième personne s’ajoute au CECII. Suite au processus d’élection déclenché le 8 septembre dernier, une seule personne s’est présentée. C’est donc Mme Marie-France Le Lan qui sera la deuxième conseillère pour un mandat de 3 ans. Bon mandat Marie-France! Le CECII est donc officiellement composé de : • Annie Trottier, présidente pour un second mandat • Mirna Abboud, vice-présidente • Karina Rodriguez, secrétaire • Diane Robidoux, conseillère • Marie-France Le Lan, conseillère Le comité propose d’octroyer 30 minutes du temps de la réunion CECII pour permettre aux membres de venir nous rencontrer pour discuter de sujets qui les préoccupent. Vous êtes invitées à prendre rendez-vous avec Annie Trottier #4508 ou Mirna Abboud #2376. Nous avons le plaisir de vous annoncer notre entrée dans l’ère des réseaux sociaux. Une page Facebook verra le jour le 15 décembre 2013. Nous aurons l’occasion d’en reparler prochainement.


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Élections à l’AQIISM l’AQIISM Le 15 avril 2013 ont eu lieu des élections pour un nouveau comité à l’Association québécoise des infirmières et infirmiers en santé mentale (AQIISM). Suite à la démission de la majorité des membres du conseil d'administration, une assemblée générale extraordinaire a été convoquée pour que les élections se tiennent avant le colloque du 29 avril. Les présentations et les élections se sont déroulées par vidéoconférence à Montréal et les élections se sont tenues dans un local de l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal (anciennement l’Hôpital Louis-H. Lafontaine). Le dépouillement des votes s’est fait par site, puis les scrutatrices ont fait la compilation pour finalement élire 9 membres provenant de différents coins de la province. Le nouveau conseil d’administration de l’AQIISM est donc composé de : • Lise Laberge, Institut universitaire en santé mentale de Québec, présidente • Marie-Josée Poirier, CSSS de Gatineau, vice-présidente • Dominique Boudreau, Centre hospitalier de l’Université de Montréal, secrétaire • Lyne Bouchard, Institut universitaire en santé mentale de Montréal, trésorière • Claire Page, Département des sciences infirmières de l’UQAR, conseillère • Nathalie Maltais, Hôpital Rivière-des-Prairies, conseillère • Élisabeth Toussaint, CSSS Richelieu Yamaska, conseillère • Kelly Brennan, Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke, conseillère • Karine Poirier, Institut universitaire en santé mentale de Québec, conseillère Pour rejoindre l’AQIISM : 514 890-8000, poste 23415

Rappel : Mesure de transition pour l’implantation de la norme de formation continue N’oubliez pas que nous avons jusqu’au 31 décembre 2013 pour réaliser sept heures de formation continue accréditée pour les années 2012-2013. L’OIIQ permet cet arrangement seulement pour cette année. Il faut comprendre que pour 2014, sept heures seront exigées annuellement. Aucun changement en ce qui concerne les heures de formation non accréditées, nous devons donc accumuler 13 heures. À partir du 1er janvier 2014, l’accomplissement -de 20 heures de formation, dont 7 accréditées, redeviendra annuel (du 1er janvier au 31 décembre). Réf : InfOIIQ du 15 novembre 2012


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On doit garder en tête que « les activités de formation continue auxquelles l’infirmière participe doivent être pertinentes à sa pratique professionnelle » (Document d’orientation septembre 2011 « Vers une culture de formation continue pour la profession infirmière au Québec »). Pour savoir si la formation qui nous intéresse sera créditée, mieux vaut s’adresser directement à l’OIIQ.

Plateforme Mistral Pour nous faciliter la vie, l’OIIQ a mis sur pied un site où les infirmières peuvent enregistrer toutes les formations qu’elles reçoivent. C’est aussi un lieu où il est possible de s’inscrire à des formations. Il s’agit de vous rendre sur le site de l’OIIQ ou sur : https://mistral.oiiq.org Cependant, il existe d’autres sites auxquels on peut accéder et y suivre des formations qui, parfois, sont gratuites. Il suffit de s’y inscrire. Frédéric Morissette, infirmier de l’équipe volante actuellement en remplacement à la CTA, a fait un travail de recherche et voici les sites qu’il a retenus : https://mistral.oiiq.org/repertoire-formation/la-decouverte-du-plan-therapeutique-infirmiercapsule-clinique-sante-mentale La seule formation accréditée en ligne offerte par l'OIIQ http://dpc.icm-mhi.org/fr/conferencesEnLigne.html Que de la cardiologie et rien d'ici janvier http://www.advancingin.com/ Que de la santé physique (MPOC, soins de la vessie, C. difficile, VPH chez les autochtones, diabète) www.projectsinknowledge.com En anglais seulement. Il y a une formation en santé mentale valant 1.11 heure de formation accréditée sur la schizophrénie www.medscape.com En anglais seulement, gratuites pour la plupart, bonne section en psychiatrie, formations valant 1 heure pour chaque accréditation


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www.medpagetoday.com En anglais seulement, grosse section psychiatrie, gratuites pour la plupart, 30 minutes d'accréditation. On doit faire le post-test pour être enregistré dans leur base de données qui, si je comprends bien, est comme celle du mistral. www.nurse.com En anglais seulement, gros portail pour les formations, valant 1 h environ, 61 formations en santé mentale de 10 $ à 45 $, mais pour 50 $ on peut accéder à toutes les formations désirées pour un an. cefc.np-education.ca/?lang=F Un seul cours, 210 $, « Prescribing Narcotics and Controlled Substances » http://oedb.org/open/search-results/?search-course=nursing&search-subject=medicine En anglais seulement, gratuites, 10 formations sur la « très large et grande famille » de la santé mentale, pas besoin de s'enregistrer http://www.coursepark.com/course/market/index/genre/14/page/1 En anglais, pour 15 $ on enseigne comment se laver les mains et les raisons, 144 formations principalement en médecine générale. J'ai regardé la liste des 30 premières formations et une seule sur la santé mentale (violence conjugale) de 15 à 50 $.

Où sont les infirmières à HRDP? Dans ces temps de changement, nous sommes en attente du nouvel organigramme que nous partagerons avec vous dès qu’il sera officialisé. Notre but est de mieux connaitre les infirmières et leur rôle dans les différents milieux à HRDP. Au cours des prochaines éditions, nous souhaiterions vous présenter les postes infirmiers actuels et les fonctions qui y sont reliées.

La parole est à vous! Nous avons toutes nos obligations personnelles et professionnelles. Nous souhaiterions échanger avec vous toutes pour nous nourrir de vos expériences, mais est-ce réaliste? Alors, nous avons pensé que nous pourrions, à chaque numéro du journal, nous présenter professionnellement. Chacune a son vécu qui gagnerait à être connu et qui nous permettrait de grandir au quotidien…


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Vous avez fait un bon coup? Vous en avez fait un moins bon, mais avez trouvé une solution? Vous avez des anecdotes? Vous aimeriez le partager? Envoyez un courriel à : marie.france.lelan.hrdp@ssss.gouv.ca Dans cette première chronique, Sylvie Raymond, infirmière clinicienne à la Clinique des troubles de l’humeur, a accepté de partager une de ses expériences. Sylvie s’est démarquée en France où elle a fait une présentation sur la gestion des risques suicidaires, la psychoéducation dans le trouble bipolaire et les habitudes de vie chez les adolescents. Elle nous parle de son expérience. Félicitation Sylvie et merci!

Présentation « Psychopathologies associées aux conduites suicidaires à l’adolescence » Dans le cadre du projet du réseau universitaire franco-québécois sur les psychopathologies associées aux conduites suicidaires à l’adolescence, j’ai été invitée en novembre 2012 dans deux centres universitaires de France à Rouen et à Amiens, à échanger avec les infirmières et les psychiatres sur la gestion du risque suicidaire, la psychoéducation dans le trouble bipolaire et les habitudes de vie chez les adolescents. Les infirmières et les psychiatres que j’ai rencontrés travaillaient soit dans des unités de pédiatrie ou à la Maison de l’adolescent. La Maison de l’adolescent est un service ambulatoire qui offre des traitements aux adolescents ayant des problèmes de santé mentale ainsi qu’à leur famille. Les 20 et 21 novembre 2012, j’ai présenté aux infirmières et aux psychiatres mon programme éducatif qui s’adresse aux adolescents souffrant d’un trouble bipolaire. Ce programme a été développé en 2007 à la Clinique des troubles de l’humeur (CTH). Après la présentation du programme, nous avons discuté de la faisabilité d’offrir un programme psychoéducatif à leur clientèle. Les médecins ont été surpris de constater que j’abordais dans mon programme les symptômes du trouble bipolaire énumérés dans le DSM IV, rôle qui appartient au médecin. Cela a généré une discussion animée entre les médecins et les infirmières à laquelle j’ai pris part. J’ai présenté le rôle de l’infirmière dans la gestion du risque suicidaire en milieu hospitalier. Cette présentation a soulevé beaucoup de discussions, entre autres sur la prévention du suicide comme étant une activité clinique qui fait partie de la pratique professionnelle des infirmières du Québec.


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Elles ont trouvé pertinent l’outil développé par les six centres hospitaliers sur la prévention et la gestion des conduites suicidaires en milieu hospitalier psychiatrique (document actuellement en révision), surtout la grille d’évaluation continue de l’urgence suicidaire, car elles n’ont aucun outil qui évalue l’urgence suicidaire de leur clientèle. J’ai parlé de mon rôle d’infirmière à la CTH. J’ai décrit l’outil que j’utilise auprès des adolescents qui ont des idées suicidaires, soit le plan de sécurité pour crise suicidaire. J’ai présenté l’étude descriptive de 71 plans de sécurité élaborés entre 2006 et 2011. J’ai visité au CHU de Rouen l’unité de soins pédiatriques où plusieurs adolescentes sont hospitalisées pour un trouble alimentaire. J’ai constaté lors de ma visite que peu d’infirmières travaillent dans ce service. Elles sont deux par quart de travail. Elles s’occupent beaucoup plus des soins physiques, laissant peu de place à la relation d’aide donc peu de temps pour discuter avec un adolescent suicidaire. De plus, les unités de soins sont des unités ouvertes, donc il est difficile d’assurer une surveillance adéquate chez des adolescents suicidaires. Cela m’a aussi amenée à constater que les infirmières françaises ont peu d’autonomie professionnelle. Elles exécutent leurs actes en fonction de l’ordonnance médicale. Cet échange avec les infirmières et les psychiatres français a été pour moi une expérience enrichissante au niveau professionnel. Cela m’a fait réaliser qu’au cours de mes années de pratique, le rôle et la pratique infirmière ont beaucoup évolué. Nous avons une plus grande autonomie de pratique, mais il reste encore beaucoup de place à une plus grande autonomie professionnelle. Quelques jours après mon passage, un psychiatre m’a écrit : « Je vous remercie d’avoir pris le temps de venir présenter votre rôle d’infirmière au CHU de Rouen et d’Amiens. Vos présentations ont été très stimulantes et enrichissantes pour le personnel infirmier que vous avez rencontré ». Mission accomplie!


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Chronique scientifique Ne réveillez pas cet ado qui dort! Résumé article scientifique Par Frédéric Morissette, infirmier équipe volante (Références : Science et vie, no 1126. p.13 et no1142, p.13) Sommeil et apprentissage On sait tous que la quantité et la qualité du sommeil influent sur notre capacité d’apprentissage. Des études confirment que la consolidation des apprentissages se fait lorsque nous dormons. En 2011, un groupe de somnambules à qui l’on avait demandé, lorsqu’éveillés, d’effectuer une tâche manuelle répétitive, dans ce cas-ci presser un bouton de couleur rapidement et plusieurs fois de suite, ont été surpris en train de refaire la même tâche en dormant.En 2012, une équipe de neurologues ont fait écouter, durant leur sommeil, des sons associés à des odeurs plaisantes et désagréables à un groupe de 28 personnes. Ces dernières ont réagi ensuite à l’écoute de ces seuls sons en respirant profondément (odeur agréable) ou brièvement (odeur désagréable) autant lorsqu’elles étaient endormies que lorsqu’elles étaient éveillées. Par contre, seul l’apprentissage de type auditif a été étudié dans ces observations. Le sommeil servirait donc autant à la consolidation qu’à l’apprentissage. Les enseignants devraient-ils y penser à deux fois avant de réveiller cet ado qui dort?

Formation Prise en charge systématique des personnes atteintes d’hypertension Résumé et appréciation Par Diane Robidoux, infirmière clinicienne aux Services résidentiels l’Émergence En février dernier, je recevais un courriel, de la Société québécoise d’hypertension artérielle proposant la formation « Prise en charge systématique des personnes atteintes d’hypertension ». On pouvait lire que cette formation était conçue pour que nous puissions y prendre part à notre rythme et à tout moment. Par contre, les séances de la formation devaient être suivies dans l’ordre présenté.


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La formation devait aussi être complétée à l’intérieur d’une période de 4 mois (16 semaines) au maximum, et ce, à compter de la date de notre inscription. Ce sujet m’intéressait et j’avais le loisir de le suivre en ligne; je m’y suis donc inscrite moyennant la somme de 114 $ et j’ai réalisé 15 heures de formation continue échelonnées sur quatre mois. Dès le premier chapitre, je fus enchantée de la manière dont avait été conçu le cours. Les présentations sont dynamiques. Une infirmière, des médecins, un pharmacien, un kinésiologue et une nutritionniste se partagent les six chapitres. Cette formation m’a permis de revoir de nombreuses notions quant aux pathologies pouvant se développer suite à une hypertension non résolue. On y passe en revue les différentes classes de médicaments employés pour traiter l’hypertension et on apprend qu’il existe des algorithmes de traitements suggérés selon l’âge et la pression artérielle du patient. On revoit les cibles d’action des différents médicaments ce qui m’a permis une bonne révision des systèmes impliqués dans le processus de l’hypertension. Lyne Cloutier, infirmière en cardiologie, l’une des instigatrices de cette formation, nous entretient sur les différents moyens de contrôle de la T.A. L’examen physique est aussi un chapitre intéressant, car il s’agit d’évaluer la condition de détérioration des organes cibles des personnes hypertendues. L’anamnèse et les examens paracliniques sont aussi des éléments importants dans l’évaluation du risque cardiovasculaire. Des outils tels que les tables de Framingham et SCORE nous sont présentés. Ce sont des outils élaborés par des chercheurs et qui servent à prédire le risque de mortalité et de morbidité. D’autres chapitres sur la modification des habitudes de vie, l’activité physique, la motivation et les ordonnances collectives font aussi partie de cette formation et sont aussi très intéressants. Pour obtenir les crédits, on doit répondre aux tests à la fin de chacun des chapitres. Cette formation est maintenant offerte sur le site de l’ordre. En allant sur le site de la Société québécoise d’hypertension artérielle, il est possible de télécharger certains documents si on désire en savoir plus sur le sujet. « Les mots pour le dire et intervenir » Résumé et appréciation, formation de base en interculturel Par Marie-France Le Lan, infirmière, Clinique psychiatrique de la petite enfance L’interculturel ne signifie pas seulement de chercher à comprendre l’autre, mais il implique également de prendre en considération sa propre identité et son propre cadre de référence. Vous n’êtes jamais en présence de cultures ou d’ethnies, vous êtes en présence d’un individu qui, comme vous, possède une identité à multiples facettes.


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Comme infirmière vous êtes dans une position de pouvoir. Vous avez un mandat organisationnel, professionnel et déontologique d’intervenir. Vous possédez des connaissances professionnelles et expérientielles. Votre mandat vous invite à adapter votre intervention (dans les limites de l’acceptable). L’infirmière confrontée à une valeur ou un comportement peut être tentée de réagir en fonction de son identité, mais n’oubliez pas que vous êtes un professionnel au sein du système de santé. Il est essentiel d’opter pour une pratique éthique. Il y a les traits culturels dont nous sommes conscients (coutumes, histoire, langue, tenue vestimentaire, manières de faire et comportements), mais il y a l’inconnu, les traits dont nous sommes peu ou pas conscients (valeurs, perceptions du monde, manière de penser, attitudes). C’est dans cette zone de rencontre que peuvent survenir les malentendus et les conflits, « le choc des cultures ». Donc, que faire en cas de « menace identitaire »? Respirer et se rappeler qu’on est en situation de pouvoir. Il faut prendre conscience de son malaise et de son propre point de vue. Ensuite on observe, on récolte des informations sans hésiter à manifester son étonnement et son incompréhension devant une situation pour obtenir des éclaircissements. Percevoir la situation comme un défi et une occasion d’apprentissage neutralise notre sentiment. Il faut comprendre et reconnaitre les besoins de l’autre, ne pas hésiter à faire des détours pour atteindre le même objectif. Ce sujet est très actuel. Il nous amène à une réflexion tant personnelle que professionnelle. Comme infirmière, il faut toujours avoir en tête que nous sommes des professionnelles et que nous devons nous présenter et agir comme tel.

Si vous avez des sujets à proposer pour les prochains numéros, n’hésitez pas à nous contacter au poste 4554 ou à nous les faire parvenir par courriel à l’adresse suivante : cii.hrdp@ssss.gouv.qc.ca Nos remerciements aux collaborateurs, à nos membres et à la Direction des communications pour leur précieuse aide!

Le CECII vous souhaite de passer de Joyeuses Fêtes!


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