Lead Hangar Fanzine #7

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EDITO Avec Tony Iommi qui se retrouve atteint de lymphome, 2012 ne s’est pas levée du bon pied, n’empêche, l’IRON MAN ne compte pas se la couler douce dans l’une de ces îles qu’on ne retrouve nulle part sur les cartes. Espérons que le reste de l’année ne soit meilleur, bien meilleur. Dans ce numéro de Lead Hangar, un retour en arrière avec Aly qui a rédigé la chronique de Road Salt Two (qui mérite d’ailleurs de figurer sur le Top 10 de 2011), le test d’une 5 cordes sur Feel The Groove : l’Ibanez SRX355, et les sorties du mois suivant en plus de quelques chroniques comme a notre habitude. Pour ce qui est du Versus, Janvier touche presque à sa fin, n’hésitez pas à voter et à revoter ( http://lead-hangar.com/index.php/poll/ ) pour votre groupe préféré ( Black Streamline/Tears Down The Wall ) auquel nous consacrerons la plus grande partie de notre prochain numéro.

Très bonne lecture, & Stay Metal

the crew Rédacteur en chef : Abdoulah S. (Huntex) Rédacteurs : O.T.Aly, Hamza B., Haytam El., Chady, G.Wail (Psychild) Photographe : Chady Graphic Designer : G.Wail (Psychild)

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Sommaire Feel The Groove ............................................. 5 News ............................................................... 7 Parcours d’une association......................... 10 Chroniques.................................................... 11 Film ................................................................. 17 Albums Releases .......................................... 18

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Hamza B.

Feel the groove 10 6/

Lutherie/finition:

Cette basse épaisse, au bois brut n’as pas le touché de sa consœur, la SRX 404, en effet, elle est rugueuse et rocailleuse un peu comme «la chose», les fans de Marvel me suivront, le corps est en frêne, un bois reconnu pour ses capacités acoustiques et sa forte densité, le manche est en érable, et la touche en Palissandre, des matériaux classiques, on se demande d’où vient son touché râpeux. N’empêche, comme vous pouvez le voir, son esthétique n’a rien a envier aux autres modèles ; passons maintenant au son.

10 7/

Sonorités :

On pourrait dire que le son de cette basse s’accorde parfaitement à son look, un putain de coup de poing dans la gueule, caverneux, brut, grave. Le sustain est très bon grâce a la 5ème corde, et on a accès a une palette de son plus diversifiée, en allant jusqu’au notes les plus basses: un son qui justifie son apparence. les deux micros passifs, PFR-N5 ( Manche ) et PFR-B5 ( Corps ) ajoutés au capacité acoustiques du frêne, créent une harmonie entre la clarté et la brutalité qui la caractérisent les 4 potards ( Volume, Balance, Bass boost/cut, Treble boost/cut ) permettent d’affiner le son a souhait, pour lui donner plus de punch. Une basse idéale pour du bon gros Metal.

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Feel the groove 10 6/

Ergonomie:

Une assez bonne prise en main surtout que la partie inférieure est libérée pour un accès plus facile aux notes aiguës, mais un peu handicapante de par son poids qui n’est pas proportionnel a sa structure, dû très certainement au bois utilisé pour le corps, qui est aussi reconnu pour sa densité. Je trouve aussi que le radius et l’écartement des cordes sont un peut trop grands, des mains de pianistes sont préférables pour ne pas rapidement fatiguer vos petites extrémités dodues.

10 7/

Avis générale :

Une bonne basse en gros, avec ses petits défauts et ses qualités, quant au prix, il se situe aux alentours de 400 euros, un bon rapport qualité/prix. N’hésitez pas a l’essayer si vous en avez l’occasion, and...

Feel the groove people ! Merci a Chorafi Yassir qui m’as permis d’essayer cet instrument.

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NEWS CD 1 : 01. Imaginations From The OtherSide (7:11)

02. Nightfall (5:34) 03. Ride Into Obsession (4:46) 04. Somewhere Far Beyond (7:32) 05. Majesty (7:29) 06. Traveler In Time (6:01) 07. Follow The Blind (7:11) 08. The Last Candle (6:03)

CD 2 :

Memories Of A Time To Come Une collection des morceaux sortis de 1987 à 2012, parue le 20 Janvier et distribué par Virgin/EMI. Ça contient 3 CDs, comprenant aussi des demos datant de l’époque où le groupe s’appelait Lucifer’s Heritage. Sur leur site officiel, Blind Guardian on dit: « Finally, after all these years, we have found the time to gather our most worthy songs into a best of compilation, representative of our career’s first 25 years. » Le groupe collabore maintenant avec le romancier allemand Markus Heitz pour un album orchestral à sortir au cours de cette année.

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01. Sacred Worlds (9:17) 02. This Will Never End (5:07) 03. Valhalla (5:13) 04. Bright Eyes (5:15) 05. Mirror Mirror (5:09) 06.The Bard’s Song (In The Forest) (3:26) 07. The Bard’s Song (The Hobbit) (3:41) 08. And Then There Was Silence (14:06)

CD 3 : (only available with the deluxe limited edition) 01. Brian

02. Halloween (The Wizard’s Crown) 03. Lucifer’s Heritage 04. Symphonies Of Doom 05. Dead Of The Night 06. Majesty 07. Trial By The Archon 08. Battalions Of Fear 09. Run For The Night 10. Lost In The Twilight Hall 11. Tommyknockers 12. Ashes To Ashes 13. Time What Is Time 14. A Past And Future Secret 15. The Script For My Requiem


NEWS Stripes & Flowers est le titre du premier EP de Walter Sugar, groupe de Rock Alternatif de Rabat. L’EP, contenant 3 morceaux et entièrement dispnible à l’écoute sur Youtube.

Track-list : 1 - Wolves : http://www.youtube.com/watch?v=IuXjffSG0Tg 2 - Soul Income : http://www.youtube.com/watch?v=mJnAK0SgRyw 3 - Stripes & Flowers : http://www.youtube.com/watch?v=kC2387v36-E

C’est avec une grande tristesse que nous devons annoncer cette news, le guitariste des Black Sabbath – Tony Iommi – se retrouve atteint d’un Cancer lymphatique ( Lymphome ). et malgré sa maladie, il reste en studio pour l’enregistrement du nouvel album de Black Sabbath. Nous souhaitons au virtuose, un prompt rétablissement.

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Parcours d'une Association

Haytam El.

Ces dernières années, le Maroc a connu un changement plus ou moins clair pour certains en ce qui concerne le Rock/Metal, les groupes deviennent de plus en plus nombreux, déjà montés sur scène ou pas, tous les groupes font face à une grande difficulté pour pouvoir se produire devant un public, le nombre de concerts est en déclinaison, avant, on pouvait avoir 10 concerts ou plus par année.. Ces derniers temps, tout à changer, on voit maximum 5 concerts par année, et tout cela à beaucoup de causes, salles, public, etc... Sur cet article, le parcours d’une association pour organiser un concert sera détaillé au plus petit détail. Les membres de l’organisation commencent par rédiger des demandes à toute salle potentielle, après ils désignent deux membres pour aller déposer ces demandes, et c’est là que commence la vraie galère, les directeurs des salles refusent définitivement de donner leurs salles pour y organiser un concert Rock/Metal, dès qu’ils entendent ces mots, ils sont bluffés, et stupéfaits, comme s’ils donnaient leurs salles à des délinquants qui ne savent que détruire, ( mais d’une certaine perspective, ils ont raison, tout cela à cause d’une partie de public, et surtout de quelques individus qui se proclament «PUNK» mais qui ne sont en réalité qu’une bande de troubles fête qui passent leur temps à détruire les chaises des salles, à chercher les ennuis et les embrouilles avec les autres, et qui ne paient même pas leurs tickets, comment font-ils ? Nul le ne sait... ) Certains directeurs refusent avec seul raison que le public détruit la salle, première déception pour les membres de l’association, mais ils ne baissent pas les bras, et cherchent ailleurs, et dès qu’ils en trouvent une, beaucoup d’autres choses doivent être mise en règle, il faut négocier le prix avec le directeur, le minimum pour une salle est 1500dhs, et le show est limité avec le temps, ce qui ne laisse personne apprécier la musique. Et ce n’est pas tout, place au plus grand problème, La sécurité, les membres de l’association doivent assurer la sécurité dans la salle pour éviter tout ennuie, et pour cela, ils doivent embaucher des agents de sécurité, et malgré tout cela, la sécurité n’est jamais totalement assurée, surtout si c’est un concert avec des groupes très attendus par le public, les agents de sécurité trouvent du mal à tout contrôler, dans la salle ou hors de cette dernière vu le grand nombre de spectateurs présents. L’organisation d’un concert n’est pas un jeu d’enfants, les organisateurs passent par des galères inimaginables, font face à des « NON » partout, surtout des directeurs des salles, et ce n’est toujours pas leur faute, mais c’est celle de certaines personnes qui sont toujours présentes dans le public, et donnent une mauvaise image du Metal au Maroc, ce qui laisse la chance à la société de continuer à nous traiter de sauvages et de satanistes. Tel est le calvaire par lequel passent les petites associations organisatrices de concerts Rock/Metal au Maroc. Et un petit dernier mot, arrêtons de les blâmer.

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Chady

Chroniques 01. 02. 03. 04. 05. 06. 07. 08. 09. 10.

Track-list :

Awakening Destination Paradise Kill The King Would You Release Me Follow Me In Silence The Seed Of Destruction Creation Hero Circle Of Twilight

Destination Paradise, un deuxième album du groupe qui tient ses origines de l’Autriche, après The Edge Of Horizon sortit en 2009. Ce nouveau est comme une suite a son précédent, toujours dans la même voie musical choisie par le groupe, Du Heavy Metal un peu mélodique, mais sans s’éloigner jusqu’aux tendances Power Metal. Un peu d’acoustique pour l’opening avec Awakening, juste avant de commencer le sérieux avec le track éponyme de l’album. Kill The King vient ensuite avec ces Riffs traditionnels ; en effet, ce n’est pas un cover de Rainbow mais ça parle du même sujet du même point de vue. La deuxième partie de l’album entre Would you Release Me qui montre de grandes influences des Iron Maiden, et In Silence qui commence avec une belle mélodie au clavier, se démarque par des enchaînements d’un batteur infatigable et par quelques basslines assez travaillées. Tout ça avec un rythme à dire un peu progressif. Vers The Seed of Destruction, où on peut évoquer du Queensryche en écoutant le refrain, les guitaristes sont les héros, les rythmes ainsi que les solos sont à d’éguster. Ceci se poursuit jusqu’à la fin de l’album, en passant par Creation avec ses propos irreligieux, Hero et cet air militaire. Le dernier morceau, Circle Of Twilight, rappelle un peu Awakening, tout comme un coucher de soleil peut rappeler l’aube.

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Chady

Chroniques 01. 02. 03. 04. 05. 06. 07. 08. 09. 10.

Track-list :

Mausoleum Sea Of Basalt The Vault Cohorts Rise Hunter’s Crown Through The Eyes Of Catalysis Under Callous Wings Passage Heir To The Flames Seven Riders

To Solemn Ash est le premier album du groupe Rising. Entre Doom, Stoner et Sludge, c’est difficile à catégoriser mais facile à écouter et à aimer si on est fan des genres évoqués. Bien qu’ils soient originaires du Danemark, le groupe tire ses influences de loin, des états unis et plus précisément du Texas, a nommer des groupes comme Yob ou Crowbar. Si on écoute les morceaux de l’album plus attentivement on remarquerait aussi des tendances Heavy, comme pour se détacher du riffage qui caractérise le Doom et le Sludge. Le groupe à un seul guitariste, ce qui est normal quand les membres ne sont que trois. Mais chacun joue parfaitement son rôle, surtout le guitariste qui balance des mélodies qui collent aux oreilles. Sans négliger le joli travail du bassiste-vocale qui assure sur les deux voies, en présentant une belle performance. Pour une raison que je ne suis pas arrivé à dévoiler, quelques refrains me rappellent les KISS. Avec toutes ces influences, le groupe montre un style unique. Ils sont très prometteurs avec ce premier album, Rising est un groupe à suivre.

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O.T.Aly

Chroniques 01. 02. 03. 04. 05. 06. 07. 08. 09. 10. 11. 12.

Track-list :

Road Salt Theme Softly She Cries Conditioned Healing Now To The Shoreline Eleven 1979 The Deeper Cut Mortar Grind Through The Distance The Physics Of Gridlock End Credits

J’ai l’honneur de présenter ce qui aurait inconditionnellement pu figurer dans le top 10 lié à l’année 2011, mais faute d’avoir écouté ce joyaux que tardivement, je me permets de faire une mise à jour en me téléportant vers les derniers mois de 2011, j’ai nommé «Road Salt Two» de Pain of Salvation. Pour l’histoire Pain of Salvation fait partie de ces groupes qui sont connaissables directement à l’écoute, la marque déposée ne trompe pas; vous pouvez comparer ce groupe à Opeth ou à Tool en terme de «Style unique». Les spécialistes ont préféré appeler ce style «Progressive Metal» comme ils ont fait avec Opeth et Tool, mais il serait sage de dire que le progressif de ces groupes est assez relatif, il ne s’agit pas là de calcul des temps comme c’est le cas pour Dream Theater, mais c’est plutôt ce jeu qui vire vers plusieurs styles complètement détachés du Metal, mais toute la beauté consiste en effet à attacher des références Jazz ou Funk en plein océan metaleux et ça ne fait qu’enrichir ce genre musical qui commence à englober différents styles et donc à développer l’écoute des auditeurs-musiciens qui par la suite auront des idées de composition assez innovantes pour surprendre et réussir dans la musique. Revenons donc à l’album «Road Salt Two» qui n’est en rien différent des albums récents de PoS, c’est la suite et fin de l’histoire initiée en 2009 dont le sujet prend place dans les années 70, ce qui est à retenir de toute cette histoire c’est

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l’élément perturbateur qui est parfaitement présenté sur cette deuxième partie vu les «perturbations» que proposent PoS sur ce disque en terme de musicalité. Une combinaison parfaite de la simplicité et la complexité. Cette intro «Road Salt Theme» purement symphonique qui ne dépasse pas les 45 secondes juste pour donner sur «Softly she cries» avec un riff overdrivé très rythmé accompagné de sombres notes de clavier et voilà un moment fort de l’album, c’est cette voix impressionnante et ce riff qui s’étouffe pour laisser le chant prendre l’avant plan, des techniques accrocheuses, le morceau donne tout simplement envie d’écouter la suite de l’album car quand on est là à écouter 4 minutes de musique et qu’on se rend compte que plusieurs éléments sont présents, on est juste curieux de savoir comment vont évoluer les choses au fur et à mesure que la tracklist défile. Les éléments impressionnants dans «Sofly she Cries» sont le riff, les percés claviers, un break avec des variations au chant, la symphonie histoire de s’échapper de l’ambiance assez Metal et surtout le chant tantôt mélancolique, tantôt sévère du majestueux Daniel Gildenlow qui est l’homme à tout faire du groupe, auteur et compositeur et guitariste et qui a même jouer la basse lui même sur cet opus. La suite, c’est la troisième piste «Conditionned», ce riff introductif clean légèrement overdrivé rappelle plein de choses que du Metal, très rock qu’on se croirait même entrain d’écouter John Butler Trio, c’est en fait un riff répétitif qui revient partout dans le morceau tellement il est grungy, arrivé au refrain c’est un changement total (la marque déposée de PoS), on se retrouve dans une ambiance calme ou s’amuse Daniel à chanter tristement, le retour au riff est marqué après des attaques de tout les instruments,vers la fin c’est des chœurs qui prennent le dessus pour enrager le calme. c’est magnifique : un morceau qui plaira à plusieurs catégories de gens, il suffirait de sentir la musique et non pas l’écouter aléatoirement. Après, vient une intro super acoustique, toujours déguisé en John butler Trio sur quelques séquences de jeu, PoS propose là une ballade selon leur vision, incroyables combos sur «Healing Now», instrumental parfait à partir de 2:30 et un chant en double piste de Daniel, les aigus sont assassins. Sur «To the Shoreline» c’est une mélodie épique à nous ramener au moyen âge qui ouvre, reprise plus tard en chant sur le refrain qui, comme le veut la tradition des refrains réussis augmente d’un temps, mais pour tout dire, dans pratiquement tout les morceaux de PoS, il y a un contraste, ça va vite puis ça ralentit extrêmement; ça crie puis ça chuchote, toute la virtuose du groupe est là. «Eleven» : le morceau le plus expérimental de l’album, c’est pourtant un début en overdrive encore et des percés démoniaques au clavier comme dans «Softly she Cries», mais à l’instant ou le couplet arrive on a l’impression que les instruments ne sont là que pour décorer, quelques apparitions et c’est tout, le jeu est très compliqué, on ne pourrait pas comparer ça à du Dream Theater mais c’est très riche aussi, après les prestations sans dire de la batterie, arrive un funk ou

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la basse et la guitare se déchaînent, le groupe réussit sur cette composition de montrer tout son talent et toute ces connaissances musicales, j’irais même à dire que ce morceau emporte l’auditeur à l’ère «Entropia». Petit morceau au piano et au chant plus tard rejoint par le reste des instruments dont la flûte! le genre de morceaux à écouter au coucher du soleil face à la mer, ça ne dure que 3 minutes mais l’émotion est assez forte pour mettre l’accent sur cette composition, «1979» c’est aussi pour reprendre le souffle car la compo à venir est un PoS-style, fini les «john butler-style». «The Deepest Cut» porte a son actif des mélodies orientales et cette partie à chanter «into the wild, into the wild..». Pour ne pas trop s’arrêter sur ce morceau car il y a plusieurs éléments mais qui ciblent surtout les connaisseurs, les maniacs des arrangements auront du plaisir à déguster ce chef d’œuvre Certains diront que le morceau «Mortar Grind» est commercial, c’est le single en effet, mais c’est le meilleur morceau en matière de feeling, remarquez l’innocence du chant de Daniel sur les -Emily’s sad- ou -Jenny Used to smile- ou -I used to be mine- et puis cette douceur qui se transforme en cris d’acharnement, le contraste toujours présent, PoS reste égaux à eux même. Puis après ces deux gifles «The Deepest Cut» et «Mortar Grind», une petite ballade similaire et aussi courte que «1979», mais Daniel a ce don de transformer la douceur en acharnement, et imaginez que sur 3 minutes les opposés feelings sont à l’œuvre Connaissant Pain of Salvation, le dernier morceau de l’album mérite toute l’audition, prés de 9 minutes de schizophrénie musicale est présentée sur «The Physics of Gridlock», et après avoir écouté cette claque, on est sûr que Pain of Salvation voient le monde d’une manière hypocondriaque, la langue française est présente sur la fin de ce morceau, tout un paragraphe émotif qui mène à la fin vers «End Credits», la fin de l’histoire, titre Outro qui reprend la mélodie d’intro, le thème de la route. Aucun groupe ne pourrait innover de la sorte, c’est tout simplement dans la vision des choses, dans le crâne, ce n’est pas concrêt, c’est un style incompréhensible qui englobe assez de styles au niveau instrumental comme au niveau du chant, certains pourraient parler aussi de plagiat par rapport à leur propre discographie mais ce n’est aucunement le cas, il y a certes la touche PoS qu’on reconnaît vu la ressemblance de quelques mélodies avec celles du passé, mais c’est Pain of Salvation. Ce Road Salt Two est indispensable pour les amateurs de schizophrénie musicale, j’appellerais même le style de PoS : Metal philosophique schizophrène. Morceaux préférés : - Mortar Grind - Softly she Cries - Eleven - The Deeper Cut

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Film

Psychild

Date de sortie : 2009 (1h 42min) Réalisé par : Peter Cattaneo Avec : Rainn Wilson, Christina Applegate, Teddy Geiger Genre : Comédie, Musical Nationalité : Américain

Exclu de Vesuvius ( groupe heavy metal ) juste avant que le groupe ne devienne mondialement célèbre dans les années 80, Robert « Fish » ou bien Fishman a fait une croix sur ses rêves de gloire. et devenu un esclave d’assurances coincé dans une vie banale, sa passion se réveille lorsqu’il apprend que son neveu, Matt, cherche un batteur pour son groupe. Même si Fish est deux fois plus vieux que les autres membres, il est bien décidé à se faire accepter. Fish ayant l’habitude de répéter à poil ( Naked Drumer ), et a cause d’une Video publié sur internet le groupe devient rapidement célèbre et ne tarde pas à se lancer dans sa première grande tournée. Pour Fish, c’est le retour du rêve qu’il croyait perdu. Il va enfin devenir une ROCK STAR, mais son voyage va aussi le conduire vers quelque chose qu’il n’avait jamais imaginé la maturité..

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Albums Releases Rock Releases Air - Le Voyage Dans La Lune Archer Black - Forgiveness Is A Weapon Ben Kweller - Go Fly A Kite Big Sir - Before Gardens After Gardens Dierks Bentley - Home Dr. Dog - Be The Void Liam The Younger - After the Graveyard Liz Green - O, Devotion! Mark Lanegan Band - Blues Funeral Of Montreal - Paralytic Stalks Patrice O’Neal - Mr. P Paul McCartney - Kisses On The Bottom Pretty Good Dance Moves - LIMO Robert Deeble - Heart Like Feathers Scott Matthew - Gallantry’s Favorite Son Sharon Van Etten - Tramp Silver Swans - Forever Silverstein - Short Songs Steve Tyrell - I’ll Take Romance The Fray - Scars & Stories The Lemonheads - Hotel Sessions The Twilight Sad - No One Can Ever Know Van Halen - A Different Kind Of Truth

Barry Adamson - I Will Set You Free Breag Naofa - Breag Naofa Exdetectives - Take My Forever Field Music - Plumb Howlin Rain - The Russian Wilds Islands - A Sleep & A Forgetting Mitch Ryder - The Promise Shearwater - Animal Joy Tennis - Young And Old The Explorers Club - Grand Hotel The Phenomenal Handclap Band - Form & Control The Saddest Landscape - After The Lights Tonight Alive - What Are You So Scared Of? Vintage Blue - Strike The Mics Young Magic - Melt Yuksek - Living On The Edge Of Time

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Band Of Skulls - Sweet Sour Cursive - I Am Gemini Damien Jurado - Maraqopa Field Music - Plumb Out Frankie Rose - Interstellar Galactic - Carnivale Electricos Gary Husband - Dirty And Beautiful: Volume 2 Grimes - Visions Lambchop - Mr. M One Finger Riot - Come Drag Me Down Sleigh Bells - Reign Of Terror

Ava Luna - Ice Level Cavo - Thick as Thieves Dark New Day - New Tradition Little Barrie - King Of The Waves Lyle Lovett - Release Me Memoryhouse - The Slideshow Effect Mouse On Mars - Parastrophics Nneka - Soul Is Heavy Plants and Animals - The End Of That School of Seven Bells - Ghostory

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Metal Releases Lunar Path - Memento Mori Swallow The Sun - Emerald Forest And The Blackbird

Eisbrecher - Die Hรถlle Muss Warten

Chimp Spanner - All Roads Lead Here (EP) Therapy? - A Brief Crack Of Light

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01/02 03/02

06/02


Psycroptic - The Inherited Repression Van Halen - A Different Kind Of Truth

Stam1na – Nocebo

Les Discrets - Ariettes Oubliées... Eluveitie – Helvetios

Spock’s Beard - The X Tour - Live (Live) Enochian Theory - Life... And All It Entails Alice Cooper - No More Mr Nice Guy Live (Live) Coldworker - The Doomsayer’s Call Orange Goblin - A Eulogy For The Damned

Beneath The Massacre - Incongruous Goatwhore - Blood For The Master Earth - Angels Of Darkness, Demons Of Light II

Tracedawn - Lizard Dusk

Ahnengrab - Omen Oakenshield - Legacy Semargl - Satanic Pop Metal

Autopsy - All Tomorrow’s Funerals (Compilation)

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17/02 20/02

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Tukkanuotta - Subukokous (EP) Xandria - Neverworld’s End

Freedom Call - Land Of The Crimson Dawn Lay Down Rotten - Mask Of Malice Lanfear - This Harmonic Consonance Hellsaw - Trist Drudkh - Eternal Turn Of The Wheel Morbid Angel / Project Pitchfork / Treponem Pal - Illud Divinum Insanus (The Remixes) (Compilation) Scream Silence - Scream Silence Terrorizer - Hordes Of Zombies Black Messiah - The Final Journey Desaster - The Arts Of Destruction Rage – 21

Napalm Death - Utilitarian Asphyx - Deathhammer Pythia - The Serpent’s Curse

Death - Vivus! (Live) Caliban - I Am Nemesis Veil Of Maya - Eclipse Corrosion Of Conformity - Corrosion Of Conformity UFO - Seven Deadly

Amberian Dawn - Circus Black Diabulus In Musica - The Wanderer

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