Israël Actualités n°172

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GRATUIT - Numéro 172 - Edition du Mercredi 25 Mai 2011

Journal Israélien en langue française

AIEA: le site bombardé par Israël en Syrie « très probablement » un réacteur nucléaire

C’est la première fois que l’AIEA fait état officiellement de cette évaluation depuis le début de son enquête sur le sujet en 2008. Les Etats-Unis en particulier accusent la Syrie d’avoir construit un réacteur non déclaré à Dair Alzour avec l’aide de la Corée du Nord, site qui a été ensuite détruit par l’aviation israélienne.



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Se retirer des territoires comme en 1967 pour Obama, en 1948 pour le Hamas ! Et pourquoi pas comme en 1920 quand Israël n’existait pas ??? mêmes. Malgré tous les problèmes qu’il y a dans le monde (la Libye, la Syrie, la Tunisie ainsi que bien d’autres pays encore …), ils ont trouvé encore une fois sur qui taper et à qui demander des concessions. C’est évidement toujours à Israël d’apporter ou de faire le premier pas. Mais nous avons face à nous un peuple qui ne demande « qu’à faire la paix », « sous certaines conditions », mais qui est sous domination des terroristes du Hamas avec qui, je l’espère, nous ne serons jamais amené à traiter. Je crois malheureusement que pour trouver la paix, il faudra un jour négocier avec nos ennemis. Le Hamas nous propose encore mieux que le président Obama qui n’avait déjà pas fait dans la dentelle. Pour faire la paix avec les Palestiniens, le Hamas nous propose de nous retirer tout simplement comme au moment du vote du partage de 1948.

J’ai été stupéfait dernièrement par la dernière proposition du Président Obama pour trouver une solution au problème Israélo-palestinien. Quelle solution ! Si ce n’est qu’il n’a rien trouvé de mieux que de demander à Benjamin Netanyahou de se retirer des territoires comme lorsqui’ils étaient en 1967 où Israël vivait sous perfusion. Aujourd’hui, il faut que tous les Israéliens ainsi que tous les juifs de la diaspora mettent tout en œuvre pour que

Directeurs de la publication Alain Sayada Tel: 06 68 17 25 55 Rédacteur en chef Eliahou Ben Yéouchoua

ce jour n’arrive pas. Car comme l’a dit le premier ministre, les frontières d’un tel état seraient indéfendables. Alors pourquoi perdre des vies humaines ? Pourquoi ne pas leur donner les clefs de la maison ? Ce jour n’arrivera pas car aujourd’hui, le peuple a une maison et cette maison, c’est eretz Israël. Soyons fiers d’avoir un premier ministre qui défend l’intégrité et la sécurité d’Israël.

Alors pourquoi ne pas revenir comme en 1920, cela ne serait pas mieux. Mes amis, aujourd’hui, nous vivons en Israël et en paix. Une paix précaire, mais une paix quand même. Encore une fois, il est important pour le Am’ Israël de rester soudés… Que D….Bénisse Israël Alain SAYADA

On ne peut que compter que sur nous-

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Israël pourrait décider de la peine de mort Mauvaises nouvelles d’Orient pour les assassins de la famille Fogel Depuis la proclamation de l’État d’Israël en 1948, la peine de mort a été appliquée une seule fois, en 1962, lorsqu’Adolph Eichmann fut exécuté sur la base de la loi de 1950 portant sur les nazis et les collaborateurs de nazis. Les 5 autres délits capitaux comprennent une sentence discrétionnaire et sont le génocide, l’homicide de personnes persécutées commis pendant le régime nazi, les actes de trahison sur la base de la loi militaire et de la loi pénale commis en temps d’hostilité, l’emploi et le port illégal d’armes.

Une fois de plus, la nation d’Israël se retrouve face à ses contradictions. Faut-il, oui ou non, condamner à mort les assassins de la famille Fogel, ceux-là même qui ont tué, un par un, méthodiquement et froidement, 5 membres d’une famille juive de Judée-Samarie. Du bébé de 3 mois au père qui dormait dans son lit, tous ont été égorgés ou poignardés. Et pour la première fois depuis le milieu des années 1990, les procureurs militaires envisagent la peine de mort… Le juge militaire de Tsahal aurait déjà prévu de demander la peine capitale pour les deux arabes accusés du meurtre de la famille Fogel. Hakim et Amjad Awak, du village voisin d’Awarta, ont avoué ces meurtres horribles alors qu’ils étaient interrogés par les services de la sécurité intérieure (Shin Bet). Ils ont été cités comme disant que « le meurtre d’un bébé et de sa famille ne les dérange pas car ils tuaient les Juifs » et « que s’ils avaient su que d’autres enfants dormaient dans la maison, ils les auraient également assassinés ». La semaine dernière, leur détention provisoire a été prorogée par un tribunal militaire. Au mois de mars, en pleine émotion, un certain nombre de

membres de la Knesset avait appelé à la peine de mort pour les meurtriers de ce calibre. Le député Uri Ariel (Union Nationale) et Tzipi Hotovely (Likoud) faisaient partie de ceux qui pensent que la peine de mort serait « la seule sanction acceptable » pour un tel crime. « L’État doit prendre un nouveau chemin avec les terroristes », a déclaré Hotovely. Le vice-ministre musulman druze d’Israël, Ayoub Kara, a promis d’introduire un projet de loi pour permettre à la peine de mort en cas d’assassinats d’enfants. Silvan Shalom, vice-Premier ministre, a également appelé à la peine de mort. « Les terroristes [...] devraient être mis à mort », a déclaré Shalom aux participants à l’ouverture d’une conférence à Eilat. Dans un sondage effectué par le Harry Truman Institut pour le Centre Politique de Ramallah, plus de 30% des palestiniens affirment « soutenir les deux accusés ». Des lois civiles israéliennes permettent la peine de mort uniquement pour les criminels nazis, et la seule fois où elle ait jamais été mise en œuvre a été dans le cas d’Adolf Eichmann. Israël est abolitionniste pour les crimes ordinaires depuis 1954.

Les tribunaux militaires ont le pouvoir d’imposer une sentence de mort sur les terroristes en Judée et Samarie, qui sont administrés en vertu du droit militaire, mais cela n’est jamais arrivé. Afin d’imposer une peine de mort, il y a un certain nombre de mesures qui sont nécessaires : * Des éléments à charge doivent être présentée au procès, même si les accusés ont avoué ; * Le verdict doit être unanime parmi les membres du jury (qui sont trois) ; Les juges saisis de l’affaire doivent au moins détenir le grade de lieutenant-colonel ; * Une fois décidée, la peine doit être examinée par un panel de cinq juges d’appel – indépendamment du fait que le forçat ait demandé l’appel ; * Si elle était confirmée, elle serait soumise à un autre examen par le commandement militaire de JudéeSamarie. Ce débat sur la peine de mort risque de susciter des controverses… Rien à voir avec ce que fait l’Autorité Palestinienne qui applique la peine de mort quasi-automatiquement à partir du moment où un musulman vend des terres à un Juif. La vente de territoire aux Juifs est illégale et nombreux sont ceux qui ont déjà payés de leurs vies… Mais à la différence d’Israël, l’Autorité Palestinienne n’est pas une démocratie… Et à la différence de l’Islam, le Judaïsme prône pour un amour inconditionnel de la vie !

Ce que les Occidentaux appellent « printemps arabe » pourrait se révéler printemps islamiste annonçant d’interminables hivers de civilisation. Habituellement, un printemps apporte des fleurs puis des fruits. Pour l’instant, on n’a pas encore vu le moindre bourgeon annonciateur de démocratie. La mise en déroute d’autocrates ne garantit rien : en Egypte, c’est l’ouverture de la chasse aux coptes et les églises sont incendiées. En Tunisie, les chefs radicaux sont de retour, les femmes se revoilent. Même si l’on doit saluer la détermination des manifestants pacifiques de Syrie, l’agitation de rue est incapable de donner naissance à une démocratie spontanée. Dans les territoires de l’Autorité palestinienne, le Hamas initie son récent allié le Fatah à sa propre charte de destruction d’Israël. Tous deux viennent d’ailleurs de célébrer la nakba (ca-

tastrophe) de 1948, époque où tous les pays arabes de la région s’étaient ligués pour éradiquer le jeune et minuscule Etat hébreu statutairement ressurgi des scories d’une histoire plurimillénaire. Le « président » Mahmoud Abbas, auteur d’une thèse universitaire négationniste, vient par ailleurs de déclarer qu’il soutient totalement Omar el Béchir, chef d’un Etat responsable du génocide des noirs chrétiens et animistes du Sud Soudan et condamné par la communauté internationale pour le massacre des populations du Darfour. La région du Maghreb et du Proche Orient se déstabilise, des clans violents et maffieux s’organisent, des milliers d’exilés fuient vers l’Europe. Mais rien ne se construit, seules s’agitent les chimères des naïfs Occidentaux affaiblis par leurs contradictions. Par: Abbé Alain René Arbez

Obama et le rapprochement avec le monde islamique

Jonathan-Simon Sellem – JSSNews

Deux ans après son fameux discours du Caire, pour tendre la main à l’islam, Barack Obama doit prononcer d’ici quelques heures un nouveau discours adressé au monde musulman, mais cette fois-ci depuis la Maison Blanche à Washington. Selon toute attente, il devrait y faire l’apologie du “printemps arabe ” et annoncer l’annulation de la dette de certains pays musulmans, en plus des milliards de dollars d’aide économique que l’Amérique leur verse déjà chaque année, et ce en dépit des sérieuses difficultés économiques que traversent les Etats-Unis. Certains commentateurs pensent qu’il est aussi capable de jeter Israël en pâture, pour se faire pardonner de l’élimination d’Oussama ben Laden. Pourtant, les salamalecs et sa politique d’apaisement n’ont guère été couronnés de succés jusqu’à présent. L’Amérique est plus détestée que jamais dans les pays islamiques comme le prouve une récente étude. Le dernier sondage Pew Research indique que tous les efforts d’apaisement du Président américain Obama pour tendre la main au monde musulman ont échoué. En Egypte, ville où il a prononcé son historique ”discours du Caire” inau-

gurant sa nouvelle politique de rapprochement avec l’islam, les ÉtatsUnis ont maintenant un taux de 20 % d’opinions favorables, soit 7 points de moins qu’en 2009. Au Pakistan, la cote de sympathie envers les États-Unis est à 11%, soit une baisse de cinq points depuis le discours du Caire. Ces sondages ont pourtant été réalisées avant l’exécution d’Ossama Ben Laden et les accusations de violation de la souveraineté du Pakistan. En Jordanie et en Turquie, deux importants alliés régionaux, les taux de sympathie envers l’Amérique sont respectivement passés à 13% (en baisse de 12 points) et 11% (en baisse de quatre points). Les défenseurs d’Obama font valoir qu’il a hérité de ce problème de l’administration de George W. Bush. Il faut cependant noter qu’en 2006, en Egypte le taux d’opinion favorable pour les États-Unis était à 30% et au Pakistan à 27% - certes un taux très bas, mais quand même meilleurs que ceux que la politique de main tendue d’Obama a pu générer. Par Melba Source : Washington Times.


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Liquider Oslo.... Il est ridicule d’imaginer que ces manifestants à Jaffa- Tel-Aviv, à Ramleh et Acco, en Galilée et dans le Néguev puissent continuer à recevoir des avantages sociaux, des «discriminations positives» dans le travail ou à l’Université, voter à la Knesseth et considérer que notre drapeau doit disparaître.

Un contrat, un traité ou un pacte ne restent valables qu’à condition d’être respectés par les parties signataires. A défaut de ce son application stricte, le traité devient selon une expression célèbre, «caduque». Le texte signé par la partie arabe lors des accords d’Oslo n’a trouvé aucune application de leur part. Nos Chamberlain et Daladier ont ouvert les portes d’Israël aux terroristes d’Arafat, leur ont fourni des armes et des balles retrouvées dans les victimes juives «de la paix», leur ont permis d’obtenir des montants considérables, leur ont abandonné des parties d’Erets Israël et donné à ces assassins une légitimité internationale qui aboutira à leur reconnaissance automatique à l’Assemblée générale de l’ONU en septembre prochain.

qu’un Juppé sera parmi les premiers à serrer dans ses bras les criminels blanchis. Un «tsunami» Il est également évident que la presse et ces milieux de gauche tentent de nommer «tsunami» un non événement onusien comme la reconnaissance d’indépendance de la Palestine. Ils essaient de créer une véritable panique dans l’opinion israélienne. En fait, entre un bureau de représentation et une ambassade, les différences ne sont que des nuances dont Israël n’a pas à s’inquiéter. Ce qui doit nous inquiéter c’est l’existence même de cette entité terroriste à nos frontières et dans notre sein qui mine notre légitimité et forme un socle ennemi sur notre terre.

Le pacte de réunification entre le Fatah et le Hamas réduit à néant les innombrables tentatives de la gauche israélienne et des medias pour faire apparaître les uns comme modérés et «partenaires pour les négociations» et les autres comme extrémistes.

Demain, les arabes qui possèdent par erreur politique dramatique, la nationalité israélienne pourront bloquer nos routes et tenter de paralyser le pays. Si les ordres que recevront nos soldats seront ceux donnés à notre armée sur le Golan face à l’invasion syrienne récente, les conséquences seront gravissimes.

Contrairement à toute logique et à tout intérêt juif et israélien, ces mêmes individus ne tenteront pas de démontrer qu’il n’y a plus et qu’il n’y a en fait jamais eu de partenaire. Ils s’efforceront de faire croire que le Hamas ira en s’adoucissant, prendra une allure respectable et que Hanye apprendra à nouer une cravate pour être reçu par les grands de ce monde. Nul doute

Il est évident pour toute personne censée et responsable que des actions immédiates sont indispensables. Les conséquences. La première conséquence est de décider que ceux qui estiment que la renaissance de l’Etat Juif sur une partie (trop faible) de la terre juive,serait une «Naqba», une catastrophe, doivent automatiquement perdre leur citoyenneté israélienne.

Ne pas prendre cette mesure immédiate et évidente signifie aux yeux du monde que nous accordons une certaine compréhension et pour la gauche une compréhension certaine aux revendications arabes. Il ne peut y avoir aucune justification à permettre à des citoyens de manifester pour la disparition de leur pays. Pour ne pas être taxé de racisme, ajoutons que notre nationalité doit être supprimée de la même manière aux Juifs qui manifestent leur soutien à l’ennemi pour pousser à la destruction de l’Etat d’Israël. La deuxième conséquence doit être de déclarer nul et non avenu l’accord d’Oslo. Ce maléfique accord est mort dans les faits, mort-né du côté arabe, et doit être annulé.

Cette annulation doit être publiquement annoncée par le Premier Ministre et la conséquence heureuse d’une telle déclaration sera également de se débarrasser du ministre de la défense! Un tel discours devant le Congrès américain serait accueilli avec respect si ce n’est par acclamation si un Premier ministre israélien déclarait fermement et fièrement la légitimité millénaire juive sur sa terre et sur sa capitale. Lorsque M. Itzhak Shamir exerçait les fonctions de Premier Ministre, les difficultés diplomatiques avec les Etats Unis d’Amérique ne manquaient pas. M. Shamir avait pour principe de défendre les seuls intérêts israéliens et veiller jalousement à la souveraineté israélienne. Allié des USA certes mais pas une colonie ou une république bananière dont les actes seraient dictés par des puissances étrangères.

Vérité en deçà, erreur au delà

ler. «Je dis que je comprends l’homme. Ce n’est pas vraiment un brave type, mais (...) je compatis un peu avec lui», a notamment déclaré le cinéaste. Probablement voulait-il faire une plaisanterie, lui qui a multiplié les provocations tout au long de la conférence de presse qui a suivi la projection de son film Melancholia, en compétition pour la Palme d’or (voir la vidéo de la conférence de presse à la 35e minute). Mais son propos a suscité un tel malaise que le réalisateur s’en est par la suite «excusé».

Aprés Galliano, l’ex-couturier De Dior qui ne fait pas dans la dentelle antisémite sous l’empire de la boisson, voici un petit nouveau qui fait son cinéma en plein festival de Cannes, Lars Von Trier, réalisateur Danois. Du pur sang Mel Gibson, si l’on en juge ses délicieux propos rapppellant une période de moins en moins révolue dans l’air du temps où se déchaine une haine sans précédent contre Israël. Mais lui aussi a, bien sûr, présenté ses excuses, il s’agit d’une erreur, «une provocation» dit-il, les pro-

pos sont certainement «sortis de leur contexte». Antisémite? En pleine saison? Incroyable, alors qu’il aurait suffi de déambuler dans des manifestations antisionistes le poing levé comme il le fait si bien. Il n’a pas réalisé... l’influence islamique des pays nordiques faisant de gens comme lui des vikings nazis en burnous. Le pire scénario pour son prochain long naufrage. LEMONDE.FR avec AFP | 18.05.11 | 15h22 • Mis à jour le 18.05.11 | 18h44 Le réalisateur danois Lars von Trier a provoqué la polémique, mercredi 18 mai, sur la Croisette, en évoquant Hit-

Lars von Trier était interrogé sur ses origines allemandes, découvertes en 1989 à la mort de sa mère. «J’ai longtemps pensé que j’étais juif, j’étais très content d’être juif (...). Mais j’ai découvert que je n’étais pas juif (...), que j’étais nazi, parce que ma famille était allemande, ce qui m’a aussi fait plaisir.» « Je comprends Hitler. Je pense qu’il a fait de mauvaises choses, absolument, mais je peux l’imaginer assis dans son bunker à la fin, a poursuivi Lars von Trier. Bien sûr, je ne suis pas pour la seconde guerre mondiale, je ne suis

Lors d’une rencontre avec les responsables des élus du Congrès tant démocrates que républicains, ces derniers lui déclarèrent qu’il était unanimement apprécié malgré les divergences pour une raison: «Vous êtes ferme». Un exemple à méditer et à suivre. Nous ne serons pas aimés, nous serons condamnés mais au moins et enfin, nous serons respectés. La troisième mesure immédiate à prendre est d’étendre la souveraineté juive sur la Judée Samarie. Cette extension de souveraineté ne doit pas être la conséquence des déclarations, actions, attentats et provocations arabes. Elle doit être l’expression de notre droit et aurait dû intervenir dès la libération de la partie occidentale d’Erets Israël. Il est possible d’expliquer à nos amis, et de les mobiliser sur le fait qu’Erets Israël appartient au seul et unique peuple d’Israël. Les membres des minorités habitant sur notre sol et acceptant de respecter notre drapeau, notre hymne et notre caractère juif de l’Etat seront des résidents étrangers protégés par nos lois. Les autres devront avoir toutes facilités pour aller peupler les régions vides

pas contre les juifs. Je suis avec les juifs bien sûr, mais pas trop... Parce que Israël fait vraiment chier», a-t-il enchaîné devant une assistance partagée entre rires et silences gênés. A ses côtés, l’actrice principale de son film, l’Américaine Kirsten Dunst, paraissait visiblement embarrassée, murmurant «Oh my God» en se tournant vers sa partenaire, la Française Charlotte Gainsbourg. Le réalisateur était également questionné sur ses propos tenus récemment dans une revue danoise concernant «son goût pour l’esthétique nazie». «Ce que je veux dire à ce propos, c’est que j’aime vraiment beaucoup [l’architecte et ministre d’Hitler] Albert Speer», a-t-il expliqué.

dont ils sont originaires hors de nos frontières. Un véritable chef… Prendre ces décisions serait le fait d’un véritable chef en Israël, d’un dirigeant courageux qui déciderait d’écrire et non de subir l’Histoire. Ce serait le fait d’un grand d’Israël capable de tenir tête au monde hostile en vertu de nos droits imprescriptibles, de la promesse divine et de la foi en notre pérennité. Ces mesures sont indispensables et il vaut mieux les décider, les planifier et les promulguer de notre pleine volonté sioniste plutôt que de devoir les appliquer à la suite du prochain conflit qui se prépare à nos frontières. Ce mandat que l’Histoire et les électeurs juifs ont confié à M. Natanyahou, sera-t-il à la hauteur pour l’assumer? Les jours qui viennent nous le diront! Zeev Jabotinsky avertissait les juifs d’Europe à la veille de la seconde guerre mondiale; «Liquidez la Golah, ou la Golah vous liquidera». Pour reprendre cette prophétie et assurer notre avenir national: «Liquidez Oslo….». Jacques KUPFER

Lars von Trier, bien conscient de s’être aventuré sur un terrain dangereux, s’interroge : «Comment vais-je pouvoir me sortir de là ?» Avant de conclure mal à l’aise et riant à moitié : «Ok, I’m a nazi» («Bon, d’accord, je suis un nazi.») Dans un communiqué transmis à la suite de la conférence de presse, Lars von Trier s’est «excusé» pour ses propos de «sympathie» envers Hitler. «Si j’ai pu blesser quelqu’un par les propos que j’ai tenus ce matin, je tiens sincèrement à m’en excuser. Je ne suis ni antisémite, ni raciste, ni nazi», a affirmé le cinéaste après que la direction du festival l’eut invité à s’expliquer. «Le cinéaste précise qu’il s’est laissé entraîner à une provocation», ont précisé les organisateurs du festival, dans un communiqué.

«Même s’il ne fut peut-être pas l’une des meilleures créatures de Dieu, il avait ce talent qu’il a pu exercer pendant [le régime nazi].» Albert Speer a été jugé avec d’autres dignitaires nazis à Nuremberg, condamné à vingt ans de prison et emprisonné jusqu’en 1966 pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.

«La direction du Festival en prend acte et transmet les excuses de Lars von Trier. Elle tient à réaffirmer qu’elle n’admettra jamais que la manifestation puisse être le théâtre, sur de tels sujets, de semblables déclarations», ont indiqué les organisateurs.

Après deux minutes de digression,

Par:Pat Quartier


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Ronald MCDONALD : «un clown à abattre»

célèbre mascotte clown au nez rouge de Mac Donald’s. Toutefois la célèbre marque de la restauration rapide ne compte pas se laisser faire et compte défendre son clown mascotte qui à presque 50 ans. Et d’ailleurs la société a sorti un communiqué dans ce sens. Car selon les responsables de Mac Donald’s c’est aux parents de se charger de l’alimentation de leurs enfants. Ronald Mac Donald est un ambassadeur au service du bien et délivre aux enfants des messages importants sur la sécurité et sur tant d’autres sujets. Ils rajoutent qu’ils servent une nourriture de haute qualité avec des portions adaptées aux enfants.

Qui pensez que tout nez rouge est source de rire pour les enfants. Et bien détrompez vous car le célèbre clown rouge et jaune de Mc Donald’s ne fait plus rire les grands surtout les médecins americains qui demandent son interdiction. La plupart des médecins americains (une centaine) sont contre les publicités Mc Donald’s pour enfants dont ils pensent sont à la base de la hausse de l’obésité infantile.

Ainsi dans une lettre ouverte des centaines de médecins americains ont non seulement demandé l’interdiction des publicités de Mc Donald’s mais aussi le retrait des jouets dans les “Happy Meal”. Car selon les médecins ses jouets attirent les petits enfants à davantage consommer du fastfood synonyme de mal bouffe pour eux.

En tout cas la guerre continue entre Mc Donald’s et les médecins américains qui comptent réagir face à la hausse de l’obésité infantile. Puisque selon toujours les medecins americains l’obésité infantile est un probléme grave qui touche plus de 30% des enfants raison pour laquelle ils disent non à Ronald Mc Donald et aux publicités Mac Donald’s Yeca.fr Actualités

Donc en plus court les médecins americains demandent la mise à mort de la

«L’idiot utile» Ofer Bronchtein

Le peuple juif est très composite. En son sein, se trouve une petite minorité, très bruyante et non représentative du peuple, qui affirme cependant défendre et aimer Israël et qui ne voit la ‘’paix’’ venir en ce pays que par un passage par les fourches caudines du monde musulman. Une minorité que chacun qualifiera ‘’d’idiot utile’’ au vu de ses propositions très largement rejetées et condamnées par les Israéliens. Photo de la remise d’un passeport ‘’palestinien’’ à Ofer Bronchtein le 21 avril 2011 Ofer Bronchtein en est un parfait prototype. Israélien, vivant à Paris et Président d’un Forum international pour la paix dont chacun s’interroge quant à son utilité, il est souvent l’invité de médias qui l’encouragent dans ce rôle jugé on ne peut plus néfaste pour la très grande majorité du peuple israélien. Dans une interview publiée dans un journal de complaisance et intitulée « Ofer Bronchtein : «Ce que j’attends de Barack Obama» » la démonstration en est faite. Ainsi, il s’impatiente que le Président US dise « qu’il est pour un Etat palestinien, que cela va être sur les frontières de 1967 ou dire que les colonies sont un obstacle à la paix ». Outre que

l’affirmation des « frontières de 1967 » (qui ne sont que le tracé de la ligne d’armistice de 1949) démontre ainsi tout sa sympathie pour le narratif ‘’palestinien’’, un état judenrein ne serait pas gênant pour lui. Il lui est difficile d’imaginer que quelques « colonies » deviennent, suite à un véritable traité de paix, des villes ‘’palestiniennes’’. Autre discordance : « Jérusalem-Est capitale de l’Etat palestinien, Jérusalem-Ouest capitale d’Israël, le 1,5 km² de la ville sainte gérée par la communauté internationale ». Que c’est simple la ‘’Paix’’ ! Fautil commenter ceci lorsque l’on se rappelle que cela est proposé par un individu s’affichant juif et israélien ? Mais là n’est pas encore le pire : «une solution équitable et négociée sur la question des réfugiés ». Qu’est-ce une solution « équitable » ? Nul ne saura exactement ce qu’il sous-entend par cela. Cette formule obscure est toujours employée sans que les médias l’invitant à s’exprimer ne le force à s’expliciter. -Est-ce que zéro « réfugiés » en Israël même serait équitable ? Si oui pour les Israéliens, il ne le sera pas pour les ‘’palestiniens’’ qui

ne voient ce « droit au retour » que comme moyen de permettre l’éradication de l’état juif par la démographie. - Est-ce que cinq milles « réfugiés » acceptés pour raisons humanitaires comme l’avait proposé Ehud Olmert serait équitable ? Ni pour les ‘’Palestiniens’’ qui ont jugé ce chiffre ridicule, ni pour les Israéliens qui auront alors reconnu un nouvel état de ‘’Palestine’’ devant rassembler tout le « peuple palestinien », Par ces deux petites simulations, Ofer Bronchtein prouve qu’il est un parfait ‘’idiot utile’’ à la cause des ennemis d’Israël. Celle, notamment, de refuser l’existence d’un état-nation pour le peuple juif. Si chacun peut être qualifié ‘’d’idiot utile’’ de telle ou telle cause, Ofer Bronchtein, pour être Juif et Israélien est un ‘’idiot utile’’ aux ennemis du peuple et de l’état qu’il affirme aimer et défendre. Il est vrai que si Israël était amené à disparaître, il aurait toujours la ressource de s’établir en ‘’Palestine’’ car possédant, déjà, le passeport de ce pays encore imaginaire. Victor PEREZ ©


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Ahmadinejad : “l’Europe vide les nuages pour pas que nous ayons de pluie!” Le projet «La Mer» à Netanya: Unique ...tout simplement.

Voici des extraits d’une allocution prononcée par le président iranien Mahmoud Ahmadinejad, qui a été diffusé sur IRINN, la chaîne d’information iranienne, le 19 mai 2011. Le clip vidéo est en ligne ici. Mahmoud Ahmadinejad: En Europe, il y a beaucoup de pluie – une pluviométrie moyenne de plus de 1.500 millimètres. Ils n’ont pas besoin d’arrosage parce qu’ils ont des systèmes d’irrigation naturelle, mais ils utilisent l’équipement à leur disposition pour vider les nuages. Comme vous le savez, les nuages ​​se déplacent d’ouest en est. Ils se forment sur l’océan, puis se déplacent sur la Méditerranée, où les changements d’air apparaissent. Ensuite, ils passent sur l’Iran, se déplaçant vers l’est. A ce moment là, les nuages ont ​​ été vidés de la plupart de leur contenu. Comme vous l’avez vu dans les nouvelles, il y avait une quantité inhabituelle de pluie et de neige en Europe,

tandis que l’Iran a été a sec pendant l’automne. Un homme politique, qui n’est pas un expert sur ​​ l’eau ou la construction, a écrit un article, il y a 7 ou 8 mois, sur une crise de l’eau au cours des 30 prochaines années, dans laquelle il a inclus une carte du monde, avec une zone qui, selon lui serait arides. Cette zone s’étend de la Turquie jusqu’à l’est de chez nous. C’est précisément car ils ont peur de nous, et notre civilisation et de notre culture. (…) Nous avons des rapports qui montrent qu’i ls font ça en Europe. Ils se vident les nuages​​, de sorte qu’ils ne se déplace pas sur notre chemin. Avec un président d’une telle débilité, on ne peut, en tout état de cause, que plaindre du plus profond de notre coeur les iraniens et, par là-même, se sentir pas mal rassuré étant considéré comme un ennemi de la dictature islamique d’Iran. Jonathan-Simon Sellem – JSSNews

Wikileaks : Poutine aurait saboté la bombe iranienne

Vladimir Poutine, quand il était président de Russie, a secrètement ordonné en 2006 de saboter le programme nucléaire iranien, selon des révélations de WikiLeaks publiées jeudi par le quotidien israélien Yediot Aharonot,toujours selon les documents de WikiLeaks cités par Yediot Aharonot. Selon ce journal, le directeur général de la Commission israélienne pour l’énergie nucléaire, Guideon Frank, a rencontré le 7 février 2006 l’ambassadeur américain de l’époque à Tel-Aviv,

Richard Jones, pour lui faire part d’entretiens avec de hauts responsables russes, en particulier son homologue russe, Sergeï Kiriyenko Durant ces entretiens, M. Kiriyenko a assuré à M. Frank que les Russes entendaient retarder «pour des raisons techniques» la livraison à l’Iran de nouveaux combustibles pour sa centrale de Bouchehr, conformément à des directives de M. Poutine. Les Russes avaient pris cette décision après des menaces iraniennes de susciter des troubles en Tchétchénie,

Le groupe itshak Tshouva et Century 21 Netanya, vous proposent «La Mer», l'un des plus importants projets immobiliers jamais construit à Netanya. Les deux tours majestueuses, dont l'une composée exclusivement de mini penthouses, profitent d'une vue mer unique à tous les étages et sont situées au pied de l'ascenseur qui mène à la plage et au kikar. Le projet «La Mer » propose des 4 et 5 pièces de grand standing ainsi que de luxueux penthouses. La résidence est équipée d'un spa, d'une salle fitness et d'une piscine, et vous propose toutes les nouvelles innovations pour votre confort. The group Itshak Tshouva and Century 21 Netanya present “La Mer”, one of the most important real estate projects ever built in Netanya. The two majestic towers, including exclusively mini penthouses, offer an exceptional sea view and are located right by the elevator that leads to the beach and to the kikar. The project “La Mer” proposes 4 and 5 rooms’ luxury apartments as well as luxury penthouses. The resort will be equipped with a Spa, a gym, a swimming-pool along with the last innovations for your comfort.

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L’information en provenance d’Israël Edition du Mercredi 25 Mai 2011

Le Liban clé de l’abandon de SION par les USA ? non gouvernementales. Il dispose de sociétés privées qui lui fournissent des fonds et servent de relais avec l’étranger. Grâce à sa représentation parlementaire, le Hezbollah parvient aussi à faire financer certains projets par de l’argent public. La branche paramilitaire du mouvement est divisée entre un appareil de sécurité et un appareil de combat.

Comment Obama et ses conseillers « juifs américains » osent-ils leur funeste projet de destruction d’Israël en imposant un état palestinien dans les frontières de 1967 avec Jérusalem comme capitale « négociée » ? Durant la Guerre Froide, Israël était devenu une tête de pont des USA au Proche-Orient. Devant préserver cette région des éventuelles avancées du communisme, l’État a reçu une aide financière et militaroéconomique considérable. « Sentinelle de l’Occident » face à un monde arabo-musulman pouvant basculer du côté de l’URSS, il a vécu quasiment sous perfusion constante des États-Unis. La sécurité d’Israël et sa fonction de gardien de l’ordre régional justifiaient, avec le contrôle des ressources pétrolières, la présence constante américaine dans cette région. Débarrassée de son rival soviétique au début des années 90, l’unique super-puissance avait les mains libres pour redessiner la carte du ProcheOrient selon ses intérêts. Cela débuta par la Première Guerre du Golfe en 1991 avec l’aval des autorités internationales, puis l’intervention en Afghanistan et en 2003, l’invasion de l’Irak sous le prétexte de restaurer la « démocratie ». Aujourd’hui la menace est dirigée vers la Syrie, par l’intermédiaire des « révolutions arabes » …. Mais plus contre l’Iran dont les USA ont sollicité l‘aide précieuse en Irak pour une alliance avec les chiites contre les « sunnites irakiens » . La dernière opération contre le Liban en 2006 a été commanditée par les États-Unis pour accélérer l’instauration de son projet de « Nouveau Proche-Orient ». Bush avait demandé à Israël d’ouvrir un front contre le Hezbollah, prélude à un soi-disant bombardement US contre les installations nucléaires de l’Iran. Cette opération s’inscrivait dans la guerre de 10 ans annoncée par Bush au lendemain du 11 septembre 2001 et qui vise à la mise en place du Grand Proche-Orient : Plan états-unien de division de la région en entités maintenues artificiellement en conflit les unes avec les autres sur des bases ethniques, religieuses ou économiques, mais toutes dépendantes des ÉtatsUnis par leur soumission aux diktats de l’OMC et du FMI. Israël a hérité alors du rôle de gendarme chargé de la répression de toutes les résistances nationales. Pour cela, Israël a obtenu de fixer lui-même ses frontières. Une première phase fut le redéploiement en Cisjordanie après l’évacuation de Gaza, puis la construction du mur. L’invasion du Liban visait à contrôler la zone du fleuve Litani convoitée depuis longtemps pour les ressources hydrauliques qu’il représente et sa position stratégique. L’attaque contre le Hezbollah a offert à

Israël l’occasion de prouver son utilité à son puissant protecteur. En apportant une contribution majeure à la guerre contre « le Terrorisme », il voulait montrer sa puissance et son efficacité. Cependant le Hezbollah avait connu deux évolutions majeures. En premier lieu, il a été équipé de matériels très modernes, par la Syrie et l’Iran. Il dispose en particulier des missiles à longue portée, capables de frapper les grandes villes israéliennes. Il a ensuite intégré le gouvernement libanais. Les élections de juin 2005 lui ont donné 11% de suffrages et 14 députés, au sein d’une coalition chiite qui en obtient 35 (sur 128) . Cela lui permit d’obtenir un ministère, celui de l’énergie, auquel il faut ajouter officieusement ceux des affaires étrangères et du travail, confiés à des proches du mouvement. Cette implication dans la vie politique libanaise, l’appel au dialogue, le renoncement, au moins officiellement, à l’idée de république islamique, la volonté de se financer de manière autonome apparaissaient à beaucoup d’analystes comme des signes d’une réelle volonté de se démarquer du tuteur iranien. Pour d’autres, au contraire, le renforcement de son arsenal et la présence de nombreux conseillers iraniens en son sein prouvent que le Hezbollah reste l’émanation de l’Iran. Cette conjonction d’une puissance militaire autonome au Liban, de l’influence de l’Iran et de l’infiltration dans les rouages de l’État, rendaient et rendent le Hezbollah particulièrement dangereux. Le Hezbollah est dirigé par un Conseil consultatif exécutif de 7 membres, présidé par Nasrallah. Ce conseil est secondé par un très grand nombre d’organes, dont la Convention Générale qui fait fonction de Parlement. Cette Convention est elle-même dirigée par un Conseil exécutif de 12 membres. Le Hezbollah est organisé en trois branches interdépendantes qui lui permettent d’agir presque simultanément dans toutes les facettes des conflits modernes. Il est à la fois une milice, un parti politique et une organisation socio-économique. Il comprend une branche militaire, détaillée plus loin, une branche de propagande et du recrutement et une très importante branche sociale (baptisée « Organe de la Sainte Reconstruction »). Premier employeur du Liban, l’organisation gère directement des écoles, des hôpitaux, des orphelinats et une chaîne de télévision (Al-Manar) Le financement du mouvement provient de sources très variées. La Syrie et surtout l’Iran sont les principaux donateurs avec peut-être plusieurs centaines de millions de dollars par an. Mais le Hezbollah peut bénéficier aussi de dons privés, directs ou indirects par le biais d’organisations

Le premier comprend un service de protection des dirigeants du parti (le cheikh Nasrallah vit chaque jour dans un villa différente), un service de « sécurité centrale » (le service de renseignement) et un service de « sécurité opérationnelle » pour les actions clandestines. Alors que Tsahal est une armée qui s’est créé et développée pour faire face à des armées arabes conventionnelles, la « Résistance islamique », l’appareil de combat, s’est construite dans l’opposition à Tsahal . Elle comprend deux composantes. La première est une force purement défensive à base d’infanterie. Celle-ci est forte avant tout de ses deux à quatre mille soldats permanents, souvent vétérans de la guerre civile ou de la lutte contre la présence israélienne. Ces hommes, aidés par plusieurs dizaines de conseillers iraniens, disposent d’armements et d’équipements individuels de grande qualité (gilets pare-balles, casques, appareils de vision nocturne, masques à gaz, équipements miniaturisés de radio et de téléphonie). Complétée éventuellement par une dizaine de milliers de « réservistes », cette infanterie est organisée de manière rigoureuse, du trinôme au bataillon de 250 hommes. Elle est parfaitement incrustée dans le terrain et la population et donc largement invisible à la multitude de capteurs dont dispose Tsahal. Grâce à un équipement léger, une parfaite organisation du terrain et l’utilisation cynique de la population, l’armée du Hezbollah atteint un haut niveau de furtivité, prouvant ainsi que cette notion de furtivité n’est pas forcément synonyme de haute technologie. Deux lignes de défense (« Nasser » et « Badr ») ont été édifiées sur les lignes de crête parallèles à la frontière. Pour faire échec à la suprématie aérienne israélienne, ces lignes s’appuient sur une multitude de villages fortifiés et un réseau souterrain de bunkers, de caches d’armes, de poste de commandement, etc.…reliés par des tunnels. A partir de ce réseau de type « VietCong », qui descend parfois à plusieurs dizaines de mètres de profondeur, les sections d’infanterie (15-20 hommes) pratiquent un combat très décentralisé fondé sur des attaques à très courte portée à l’arme légère ou au lance-roquettes, suivis de disparitions soudaines . Les miliciens chiites sont aussi passés maîtres dans l’emploi des mines et engins explosifs. La particularité du Hezbollah, par rapport aux Tchétchènes ou aux rebelles irakiens par exemple, est que ce combat défensif « en essaim » est appuyé par une puissante « artillerie portable » à base de missiles antichars. L’arsenal est impressionnant, allant des vénérables AT-3 Sagger 2 jusqu’aux très modernes AT-13 MetisM, AT-14 Kornet-E en passant par les AT-4, AT-5 ou même des versions iraniennes des Dragon et TOW américains. Le Kornet-E est le plus redou-

table de tous puisqu’il peut percer jusqu’à 1200 mm de blindage réactif grâce à une charge tandem de grande puissance et ce jusqu’à 5000 m. Le Hezbollah dispose aussi de nombreux RPG-29, capables de lancer une charge tandem de 4-5 kg à 450 m . Cette organisation, soutenue par une profonde motivation, permet de défendre des positions avec une grande efficacité mais elle est forcément statique. Le Hezbollah ne peut prétendre effectuer de grands mouvements offensifs, ni se replier, sans être soumis à des feux massifs.

Cette donnée est pleinement acceptée et l’infanterie du Hezbollah n’a pour seule mission que de freiner les troupes israéliennes (en lui infligeant des pertes) et couvrir ainsi la deuxième composante, offensive cette fois, constituée par les lance-roquettes et les missiles à longue portée. Le Hezbollah dispose d’un stock de 14 à 16 000 roquettes ou missiles. Ces projectiles sont insuffisamment précis pour frapper autre chose que des localités ou de larges infrastructures. La très grande majorité de ces projectiles sont des roquettes de 122 mm (10 000 exemplaires) à 240 mm (Fajr-3), dont la portée ne dépasse pas 45 km, ce qui suffit à frapper Haïfa. Les charges explosives vont de 6 à 45 kg. Ces engins sont mis en œuvre par salve depuis des camions (le lanceur du Fajr-3 peut en lancer 14) ou individuellement depuis n’importe quel point, y compris depuis l’intérieur de bâtiments civils. La procédure de tir est extrêmement rapide et permet de changer facilement de positions. Les pièces maîtresses sont cependant les roquettes frappant au-delà de 45 km et, surtout, les missiles d’origine iranienne de type Zelzal qui peuvent projeter plusieurs centaines de kilos d’explosifs sur Tel-Aviv .La dernière version du Zelzal est même capable de toucher n’importe quel point au nord du désert du Néguev, c’est-à-dire dans tout l’Israël « utile ». La mise en œuvre des ces missiles est cependant assez longue et laisse une forte signature thermique. Au moment où débuta la dernière « guerre », le Hezbollah disposait également d’une batterie de missiles sol-mer C-802 Noor, version iranienne du missile chinois Silkworm. Ce missile, guidé par radar, peut envoyer à vitesse subsonique (mach 0,9) une charge de 165 kg à plus de 120 km. Le Hezbollah possède aussi une petite flotte d’une dizaine de drones de type Mirsad-1 ou Ababil-3 Swallow. Deux d’entre eux ont même survolé le nord de la Galilée, en mars 2004 et en avril 2005, sans que Tsahal puissent les intercepter. De leurs bases au Sud Liban, les miliciens chiites ont pu voir en détail le dispositif adverse. Le Hezbollah dispose enfin de quelques armements antiaériens, SA-7 et SA-14 MANPADS (manportable surface-to-air missile system), mais aussi des SA-16 et des SA-18 (version améliorée du SA-14, portant à 3500 m d’altitude sur 5 km de rayon). Mais il n’y a là rien qui puisse vraiment menacer la suprématie aérienne israélienne. Le renseignement israélien estime que les armements les plus sophistiqués, missiles balistiques, drones, missiles sol-mer ou sol-air sont mis en œuvre,

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à partir d’un poste de commandement enterré, par des Iraniens du corps des Gardiens de la révolution islamique. Un centre de renseignement commun à l’Iran, la Syrie et le Hezbollah existe aussi à Damas, à l’ambassade d’Iran. Le Hezbollah a mis en place aussi un réseau de communications, combinant le très ancien, comme d’archaïques téléphones de campagnes enfouis dans le sol, et le très moderne, capable de résister aux intrusions et au brouillage.

L’ampleur de cette organisation mise en place depuis 2000 a échappé en partie au haut commandement israélien : défaut de renseignement ou d’assimilation des donnée ? Avant de lancer leur dernière offensive, Tsahal avait cependant une bonne image des capacités du Hezbollah en termes de roquettes et missiles, la menace principale. \On a en revanche nettement sous-estimé la capacité de résistance de l’infanterie du Hezbollah. Ce « match nul » a déçu les américains qui s’étaient pourtant investis dans les préparatifs de l’invasion. Les conséquences ont été fulgurantes : Top départ donné aux fausses révolutions arabes. Accélération du contrôle total du MoyenOrient. Extension du système capitaliste et sacrifice à très court terme de l’État d’Israël, désormais sans grande utilité dans un ordre nouveau « où tout le monde est démocratisé », en réalité « balkanisé ». Les dirigeants israéliens n’ont rien vu venir trop occupés à ne jamais trop mécontenter leur puissant allié manipulateur. On peut parier, sans aucun risque, que le droit international capitaliste les mènera, pour toute récompense, devant un quelconque TPI. On leur réserve, à Washington, le sort des colonels grecs, des dictateurs argentins, ou des putschistes chiliens. leurs survies, aujourd’hui, dépend plus que jamais, malheureusement, de cette « alliance » , ou plus exactement de cette soumission. En réalité le projet de l’administration américaine est calqué sur la destinée tragique de l’Afrique du Sud. Il est grand temps que la politique israélienne se décide en Israël. Il est certain que seul le retour au sionisme historique, basé sur le volontariat des combattants et la lutte pour l’indépendance, pourra encore sauver des vies juives. Nous en sommes là. Il serait criminel de ne pas le dire haut et fort. C’est l’heure des volontaires de toutes origines dans des brigades internationales, déployées sur le territoire actuel d’Eretz, pour défendre les valeurs de « liberté » autres que celles maudites du fric et du profit. Qui peut avoir confiance dans les USA ? Les manipulations répugnantes de la CIA avec les islamiques bosniaques, les services pakistanais, et les terroristes du Hamas et du Hezbollah devraient ouvrir définitivement les yeux des américanolâtres qui transforment régulièrement les jeunes israéliens en victimes, mercenaires de l’Oncle Sam . Israël, c’est Massada et Massada c’est la lutte contre l’Empire . Jean-Marc DESANTI



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Parachat Bamidbar : l’amour de l’Eternel pour Israël

Notre paracha commence ainsi : « l’Eternel ordonna à Moise… faites le décompte de toute la communauté des enfants d’Israël ». Ce n’est pas la première fois que cet ordre est donné à Moïse. Rachi explique ainsi cette volonté de D-ieu de dénombrer le peuple juif, dans désert : « Il les compte à tout moment par amour!». Une première fois dès la sortie d’Egypte, une seconde fois dans le désert à l’issue de la faute du veau d’or, et une troisième fois lorsque D-ieu est venu résider parmi eux. Le recensement du peuple juif est en effet une expression de l’amour que leur porte l’Eternel. Un peu à l’image de ces « petites pierres précieuses » qu’un homme conserve dans un coffre, et à chaque instant, il désir y jeter un petit coup d’œil.. ». « Banim atêm l’HM » vous êtes les enfants de l’Eternel, votre D-ieu » dit la Thora. Chacun de nous a sa propre expérience de l’amour filial, soit en tant que parent, ou en tant qu’enfant. Mais il est évident que personne n’exprimera son amour en dénombrant ses enfants. Alors que signifie cette expression inhabituelle de l’amour d’HM pour ses enfants ?. Il est évident que Dieu n’a pas besoin de comptable!

Car rien n’est ignoré par lui « Tout est dévoilé et connu devant le trône de sa Majesté ». Nous savons par ailleurs que lorsque la colère d’HM s’enflamma contre les Béné Israël, il demeura au Roi David de les dénombrer, et là, il s’en suivit une grave épidémie qui décima la plupart du peuple. Cette épisode nous fait prendre conscience que le dénombrement n’est manifestement pas un signe d’amour comme nous l’avions pensé. Nous lisons au début du livre des Nombres un autre aspect de ce décompte des enfants d’Israël : « Elé chémot béné Israël » Voici les noms des enfants d’Israël. Un commentaire de Rachi nous apprend que bien qu’ils étaient comptés de leur vivant, on les recompte à nouveau après leur mort, pour nous dire ainsi combien HM les aime. En effet dit-il, « Ils sont comparés aux étoiles du ciel que D-ieu fait surgir et fait disparaitre en les comptant et en les citant, ainsi qu’il est écrit dans la prophétie d’Isaïe : « il fait sortir leur légion céleste en les comptant, et il les appelle toutes par leurs noms ». Pourtant dans le Talmud par la voix de Rabbi Eléazar on nous dit : « Celui qui dénombre le peuple d’Israël transgresse la loi d’HM… et Rabbi Nahman

ajoute que : cette personne commet deux interdictions (Talmud Yoma22b). Ceci dit dans la suite du texte, il apparaît indéniable que la bénédiction du peuple juif s’exprime dans le fait qu’il ne peut être compté. Il est bien connu que la « Bénédiction ne réside que sur une chose qui est cachée à la vue des yeux..». Du reste les « ravages » de l’œil sont bien connus !. HM aime les enfants d’Israël : il interdit le dénombrement. Alors comment comprendre tous ces textes qui disent tout et son contraire?. En fait pour bien comprendre cette contradiction, il faut citer le verset de la parachat Pin’has qui nous parle des sacrifices offerts : « Vous offrirez en holocauste.. Un taureau, et un bélier » Rachi nous explique là-bas : «Un taureau, un bélier… Ceux-ci correspondent au Bné Israël. En fait HM leur demande de «Restez encore eu peu auprès de lui ». Comme nous le voyons également dans l’instauration de la fête de Chimini Atséret. C’est là une expression d’amour, un peu à l’image des enfants qui prennent congé de leur père, lequel ne peut résister en leur disant : « Votre départ m’est très pénible, de grâce, restez encore un jour!». Bien q’HM soit partout omniprésent, là où se trouve les enfants d’Israël, même après

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avoir quitté le Temple de Jérusalem, cette séparation demeure pénible pour Lui, voilà la raison pour laquelle, il leur demande de rester encore un peu…

qui sont restés en Galout, comme l’explique Rachi. Finalement vous êtes comparables au bois de cèdre, sur lequel s’installe la moisissure…

Nous pouvons affirmer qu’il s’agit bien d’une preuve d’amour. En effet, nos Maîtres nous enseignent dans les Perkei Avoth : « Les enfants d’Israël sont aimés de D-ieu puisqu’il leur a donné un joyau précieux. Une preuve plus grande de cet amour ! Il leur a annoncé qu’il leur a donné ce joyaux pour lequel il avait créé le monde, comme il est dit : «Ki lékhah tov natati lakhém thorati al taazouvo » - Je vous ai donné une bonne doctrine, c’est ma Thora, ne l’abandonnez point ! »

Le Maharcha dans un commentaire explique que : « Si les Béné Israël étaient tous revenus de Babel,(comme un seul homme) à l’époque de Ezra le Script, ils n’auraient guère eu besoin de la muraille qui fut construite pour défendre le pays d’Israël comme le dit le prophète Néhémie. Le miracle évoqué dans le Talmud à l’époque de Josué fut très important car la providence divine mena les Bné Israël jusqu’à leur installation en Terre Sainte. Or pour le second retour des exilés, cette protection leur a fait défaut, parce qu’ils n’étaient pas tous montés, ce qui était à l’évidence un manque d’Emouna- de confiance en D-ieu.

Selon Rachi, ils furent recensés en présentant leurs documents généalogiques et des témoins pour confirmer leur ascendance et être enregistrés chacun dans sa tribu. Nous lisons dans le Talmud le récit suivant à propos de l’Exode : « Jusqu’à ce qu’il passe ton peuple ô Eternel », ce verset fait allusion à la première entrée en terre d’Israël. « Jusqu’à ce qu’il passe, ce peuple que tu a acquis » fait allusion à la deuxième entrée en Terre Sainte. C’est pour nous enseigner disent les sages, que les Enfants d’Israël auraient dû bénéficier, à l’époque d’Ezra (2éme retour en Erest Israël) des même miracles que tu temps de Josué (s’il n’y avait pas eu des péchés au second retour). On raconte cette anecdote à propos de Rach Lakich dans le Talmud Yoma. Un jour est arrivé Rabba bar Hanna qui a tendu la main à Tach Lakich celui-ci lui dit : « HM ne vous aime pas ! Vous qui faite partie de la génération exilée à Babel, car la majorité d’entre vous n’avez pas voulu monter en Terre Sainte..» Etant donné qu’il est écrit dans le Cantique des Cantiques : « Si c’est une muraille, nous construirons pour elle un palais d’argent ». Si c’est un portail, nous l’entourerons de planches de cèdre… Autrement dit explique le Talmud, si vous étiez montés en force en Israël, comme une « muraille», au temps d’Ezra, vous auriez été semblables à l’argent sur lequel l’oxydation n’a pas de prise. Mais voilà, vous êtes montés comme un « portail » à double battant (un ouvert, ceux qui sont montés, et l’autre fermés, ceux

Pour expliquer cette défaillance, nous dirons ceci : L’union, la fraternité et l’amour qui régnaient parmi les enfants d’Israël du temps de Josué, n’étaient pas au rendez-vous en Babel, et nous pouvons tirer l’enseignement suivant : La concorde au sein de la communauté –le Klal Israëlsuffirait à lui valoir non seulement la bienveillance du Ciel, mais également des Miracles à profusion. Yvan Lellouche

Yvan Lellouche


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Abbas défend son union avec les terroristes du Hamas

Le président palestinien Mahmoud Abbas a répondu dimanche soir au discours du président américain Barack Obama devant l’AIPAC au cours duquel il a appuyé la position israélienne qui dit que la réconciliation du Fatah avec le groupe terroriste Hamas « pose un énorme obstacle à la paix ». « Le Hamas fait partie de la société palestinienne, et prendra part au jeu démocratique dans l’opposition, » at-il dit au cours d’une conférence de presse avec le premier ministre jordanien, Marouf Bakhit.

Abbas affirme que le nouveau gouvernement d’union palestinien, qui comprendra des ministres « indépendants », se chargera des négociations avec Israël. Toutefois, l’autorité palestinienne n’a pas encore annoncé la composition du nouveau gouvernement.

Sami Abou Zouhri a répondu au discours du président américain devant l’AIPAC en disant que « le gouvernement américain a échoué dans le passé, et continuera d’échouer dans sa tentative de convaincre le Hamas de reconnaître l’occupation israélienne. »

Le président palestinien a aussi souligné que le plan de l’autorité palestinienne de déclarer son indépendance lors de l’assemblée générale de l’ONU en septembre « n’est pas une tentative pour isoler Israël ».

« Ils ont une nette préférence pour Israël, au détriment de la liberté du peuple palestinien et de son droit à l’auto-détermination et la mise en place d’un état palestinien souverain, » a-t-il dit.

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L’Iran inaugure un nouveau missile

Profitant que les projecteurs sont dirigés vers la Libye et le Syrie, le régime des ayatollahs continue à développer son programme nucléaire et à fabriquer des armes sophistiquées en prévision d’attaques venues de l’extérieur pour l’empêcher d’accéder à la bombe atomique. Les Gardiens de la Révolution ont présenté dimanche lors d’une cérémonie officielle les nouveaux missiles balistiques sol-sol de type « Khiam-1″. Le ministre iranien de la Défense, Ahmad Wahidi était présent lors de la présentation. Le premier lancement

d’essai avait été effectué au mois d’août dernier. Selon les spécialistes militaires iraniens, le « Khiam-1″ est doté d’un équipement qui lui permet d’échapper aux systèmes de repérages par radar. Le ministre de la Défense s’est « réjoui de ces énormes pas réalisés par l’Iran en direction de son indépendance en matière de fabrication d’armement sophistiqué ». La semaine dernière, un Rapport de l’ONU indiquait que la Corée du Nord avait transféré du matériel technologique à l’Iran pour son programme balistique. par Shraga Blum

Ca se passe comme ça, chez Mc donaldSrallah…

Pendant ce temps, le porte-parole

L’Iran accusé de l’attentat du World Trade Center Le renseignement militaire libanais a arrêté un cheikh chiite dans le sud du Liban sur des soupçons d’espionnage pour Israël. Une source de sécurité libanaise confirme l’information qui devrait faire grand bruit tant l’homme est important et est considéré par les siens.

Ben Laden à peine éliminé du scénario, voici que l’Iran se retouve accusé d’avoir organisé l’attentat du 11 septembre 2001. Au même moment l’UE augmente les sanctions contre Téhéran. Cette escalade annonce-telle une intervention militaire imminente contre l’Iran ? C’est un article de Benjamin Weiser et Scott Shane publié dans le New York Times et le Sydney Morning Herald qui vient de lancer l’affaire. Selon ces journalistes, deux transfuges des services de renseignements iraniens ont déclaré que les responsables iraniens etaient informés à l’avance des attentats du 11 Septembre 2001, contre le WTC et le Pentagone.

Leurs témoignages ont été recueillis par un tribunal américain et a fait l’objet d’une procédure de dédommagement à l’encontre de l’Iran accusé de ‘’soutien direct et parrainage de l’acte le plus meurtrier du terrorisme dans’’ l’histoire américaine, procédure menée au nom des familles de plusieurs dizaines de victimes du 11 Septembre. L’un des deux transfuges a également affirmé que l’Iran était impliqué dans la conception des attaques. Le rapport officiel de la Commission d’enquête sur le 11 Septembre indiquait qu’il y aurait des preuves solides indiquant que l’Iran aurait facilité le transit des membres d’Al-Qaïda dans et hors

d’Afghanistan avant les attentats. Mais la commission avait déclaré qu’elle n’avait trouvé aucune preuve impliquant l’Iran ou le Hezbollah dans la planification un 11 Septembre. Le témoignage des deux transfuges des services de renseignements iraniens viennent opportunément donner aux USA l’occasion d’accuser directement l’Iran d’etre derrière ce causus belli. Ces accusations survenant juste après la suppression de l’ancien responssable, Oussama Ben Laden sontelles vraiment dues à une coincidence ? par Aldous

Le cheikh, qui était connu pour être critique à l’égard du terrorisme du Hezbollah et de ses parrains syriens et iraniens a été interpelé à Tyr hier. Ses amis et fidèles disent de lui que “jamais il n’aurait pu donner des informations à Israël et ce, même s’il considère le Hezbollah comme l’ennemi du Liban. Peut-être a t-il été arrêté pour ses croyances politiques qui déplaisent. Cela se passe comme ca chez Mc Nasrallah…” D’ailleurs, le plus étrange réside dans le CV de cheich en question. Il était lui-même membre d’une organisation para-militaire appelée “Résistance arabo-islamique” et à revendiqué la responsabilité, il y a deux ans, de lancements de roquettes vers des habitations civiles israéliennes. Mais ces faits d’armes apparaissent, yeux des milices libanaises, comme étant possiblement un coup monté pour un alibi visant à assurer sa sécu-

rité personnelle en faisant croire qu’il est des notres.” Cette arrestation est la première détention très médiatisées ces derniers mois. Le Liban a lancé une vague d’arrestations en avril 2009 dans le cadre du soi-disant enquête sur un immense réseau du mossad. Plusieurs officiers militaires haut-gradés, la plupart d’entre eux chrétiens. Le président Michel Suleiman, chrétien vendu à la solde du Hezbollah, a appelé à des peines sévères pour les espions et dit qu’il mériterait la peine de mort. Sept personnes ont été jugé coupable ces deux dernières années et ont toutes reçues la peine capitale. Jonathan-Simon Sellem – JSSNews


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L’information en provenance d’Israël Edition du Mercredi 25 Mai 2011

Strauss-Kahn acquitté ?

L’ex directeur du Fonds monétaire international (FMI) Dominique Strauss-Kahn sera acquitté dans le procès pour tentative de viol et

agression sexuelle qui lui est intenté, affirme un de ses avocats Benjamin Brafman, dans une interview publiée dimanche par Haaretz.

«Il plaidera non coupable, et en fin de compte il sera acquitté», déclare Me Brafman dans cette interview au quotidien israélien libéral, la première depuis l’arrestation de son client le 14 mai. «Rien n’est sûr, mais dans ce que je discerne dans l’enquête, il (StraussKahn) sera acquitté (...) Il m’a beaucoup impressionné. En dépit des circonstances, il tient bien le coup», a-t-il insisté. «Il n’est pas heureux d’être accusé de faits qu’il n’a pas commis», a encore dit Me Brafman, venu en Israël pour participer à un évènement familial. M. Brafman, 62 ans, est considéré comme l’un des grands maîtres du barreau aux Etats-Unis. Il a été l’avocat de plusieurs vedettes américaines, y compris du défunt Michael Jackson. JERUSALEM (AFP)

L’autre scandale Strauss-Kahn

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HALLUCINANT ! Mais où va-t-on ?

« Alors que la crise économique accroît les risques d’affrontements intercommunautaires, ces enseignes à forte connotation religieuse pourraient être ressenties par certains comme une forme de discrimination, voire comme une provocation », poursuit ParisBeurs-Cités.

MEME LA FORME DE LA CROIX SUR LES ENSEIGNES PHARMACEUTIQUES COMMENCE À LES DÉRANGER ! ET QUOI ENCORE ? Les pharmacies parisiennes bientôt obligées de décrocher leur enseigne en forme de croix ? Une association maghrébine parisienne, Paris-Beurs-Cités, a adressé IL y a une dizaine de jours une lettre à la mairie de Paris afin de demander que soient « progressivement supprimées Des devantures Des pharmacies les enseignes en forme de croix ». La conseillère technique du Cabinet de Bertrand Delanoë en charge des cultes, Ilda Vrospinos, a officiellement répondu que la demande allait être «examinée avec la plus extrême attention ». L’association, qui se présente pourtant comme « non confes-sionnelle » et entend « regrouper les jeunes Français issus de l’immigration maghrébine afin de les aider à trouver leur place dans une société encore largement discriminatoire », explique sa démarche par le fait que « ce symbole religieux ostentatoire, vestige d’une époque révolue où la religion catholique était omniprésente dans notre pays » est susceptible de «heurter la susceptibilité des croyants non chrétiens, mais aussi des personnes non ou antireligieuses » et « contrevient gravement au principe républicain de laïcité ».

La demande pourrait bien aboutir si l’on en croit la réponse officielle de Mme Vrospinos, qui affirme dans la lettre qu’elle a adressée à l’association « comprendre pleinement [ces] préoccupations La conseillère indique qu’elle va « soumettre [sa] demande à Bertrand Delanoë qui, n’en doutez pas va l’examiner avec la plus extrême attention. La conseillère technique précise également que Le maire de Paris « qui a fait du «vivre ensemble» l’un Des fondements de son engagement », « est très attentif à la bonne entente entre communautés » et qu’il est « pleinement conscient du caractère néfaste de certains anachronismes ». Une dernière phrase lourde de menaces. A savoir pour les abrutis qui veulent nous faire retirer les enseignes: La croix verte qui signale les pharmacies est issue, comme la Croix Rouge, du symbole de protection civile et militaire porté par les croisés du Moyen Age (à cette époque on était pas emmerdé par ces c.....) La couleur verte vient d’une loi de la Révolution Française, qui attribua le vert aux collets des pharmaciens militaires (et le rouge aux chirurgiens). Bientôt on ne pourra plus se servir du signe + , il faudra peut-être employer simplement le mot «plus». Sommesnous devenus fous ??? Par:Victor COHEN

Agression antisémite devant la synagogue HAYA MOUCHKA Paris 19ème

Les journalistes de la France entière s’apitoient sur le dur traitement que réservent la justice et la presse américaine à DSK et oublient totalement qu’il y a une victime présumée qu’ils ont d’ailleurs déjà cataloguée comme affabulatrice. Cette jeune femme cumule tous les mauvais points aux yeux de la classe médiatico-politique française, pauvre, noire, vivant avec sa fille apparemment sans père identifié, possiblement séropositive, bref une quasi-prostituée qui a voulu se faire du fric A cette presse française si arrogante, je rappelle qu’avant dimanche dernier, quasiment personne ne connaissait DSK aux États-Unis, quand bien même il y avait une photo de lui en tant que VIP dans la salle des personnels d’étage du Sofitel, il est certain que la femme de chambre ignorait ce qu’est le FMI et encore plus qui est DSK.

Pour ceux qui connaissent un peu les États-Unis, et j’en fais partie, la plupart des américains ne connaissent même pas le nom du gouverneur de leur Etat et seulement 35% des américains savent que le visage reproduit sur la pièce de 5 cents depuis 1938 (le Nickel) est celui de Thomas Jefferson, 3ème Président américain, alors comment peut-on imaginer qu’ils savent qui est DSK ! Mais l’autre scandale DSK n’est pas là, il réside dans son parachute doré d’ex patron du FMI. En poste il touchait un salaire et des frais de représentations, pour un total annuel de près de un demi-million de dollars, non imposables auxquels se rajoutent le remboursement de tous ses frais de déplacement, avion (1ere classe), hôtels restaurant etc. A son départ du FMI, quelqu’un soit les causes, démission, renvoi, s’il est resté plus de deux ans en poste il peut

toucher une prime de départ de près de 350.000 $ et une retraite annuelle de près de 280.000 $. il faut dire que pour un couple capable de mobiliser en cash 1 millions de dollars en quelques heures, qui possède entre autre une maison de 5 millions de dollars à Washington, un appartement estimé à 4 millions d’Euros dans l’un des quartiers le plus cher de Paris, la Place des Vosges, un Riad au Maroc et certainement quelques autres petits bien ça et là, que représentent 350.000 $, environ 36.000 heure de travail payées au SMIC, soit environ plus de 20 ans de travail, ou encore 15 ans de salaire moyen de plus de 50 % des français (source INSEE 2006 -50% des français vivent avec moins de 1500 € par mois) ! Mais cela ne choque ni la presse ni les socialistes pourtant si prompts à vouloir faire « payer les riches » et taxer les parachutes dorés des patrons du CAC 40.

Hier soir vient d’avoir lieu une agression antisémite devant la synagogue HAYA MOUCHKA à Paris 19 ème ! Une bande d’individu, tous d’origine maghrébine, a agressé et frappé une famille à la sortie de la synagogue avant d’être chassé par la Police alertée rapidement. L’un des agresseurs a été arrêté. Au moins une personne a été blessée. Les agresseurs criaient “Sales Juifs !”

Remy Marceau – JSSNews

Cette agression antisémite est l’un des

signes qui démontrent que l’islamisme est en train de gangrener toutes ces populations maghrébines sensibles aux discours antisémites et antisionistes proférés dans les certaines mosquées. Les médias français et européens ainsi que les responsables politiques portent une grande part de responsabilité à sans cesse “diaboliser” Israël. Cela ne peut que conduire à encourager une haine antisémite europe-israel.org


L’information en provenance d’Israël Edition du Mercredi 25 Mai 2011

La gauche et l’affaire DSK : «le fric, c’est chic !»

Dans l’affaire DSK, la presse est en plein déni de réalité. Par exemple, Drzz.fr a été le premier média, et, à mon grand étonnement l’un des seuls, à publier l’acte d’accusation de Strauss-Kahn. Aujourd’hui encore, je me retrouve à publier une autre information qui ne se trouve nulle part dans la presse francophone, mais partout dans la presse américaine

Nous savons que lundi, le juge avait refusé, pour 1 million de dollars, de libérer Strauss-Kahn. Mercredi, l’avocat de DSK est revenu à la charge avec de nouvelles cartouches : SIX MILLIONS DE DOLLARS ! Et il a fait craquer le juge. Avec une caution qui est passée de 1 à 6 millions, plus quelques amuses-gueule (un appartement loué en urgence, des body guards, un bracelet électronique), le juge a donné son accord, DSK sera tout à l’heure libéré sous caution. Ne vous méprenez-pas : je respecte la décision de la justice américaine. Je respecte la décision de poursuivre DSK pour viol, séquestration et violences sexuelles puisque les preuves sont accablantes. Je respecte encore sa décision d’avoir accepté six millions de dollars pour une libération sous caution. Et je ressens le soulagement de sa femme et de sa fille pour cet assouplissement qui n’ampute pas les droits de la victime. Mais de voir la gauche et ses journalistes, avec une indécence qui donne la nausée, applaudir la victoire du fric, du très grand capital, tan-

dis que les français grincent des dents, et rament avec un pouvoir d’achat en peau de chagrin, je digère mal, et nous sommes des millions dans ce cas.

La gauche scandalisée qu’un tribunal ait montré ce qu’être égaux devant la loi veut vraiment dire. La gauche hurlant, parce que la «sous-culture» américaine a choisi de croire une domestique noire, plutôt qu’un membre de leur caste de nantis. La gauche qui a craché sur Sarkozy quand il a dépensé 5000 euros au Fouquet’s pour célébrer son élection. La gauche encore qui a lynché Berlusconi pour ses frasques supposées, et qui là ne connaissait pas le sens des mots présomption d’innocence. La gauche toujours qui se réjouit que le nouveau juge ait accepté 6 millions de dollars (1 million cash + 5 millions de caution garantis par une hypothèque sur son appartement) pour libérer DSK. Foutez-moi des baffes à cette gauche qui a trahi les valeurs dont elle se prétend dépositaire ! On avait presque tout vu dans l’inversion des valeurs, mais là... Voir ces ténors socialistes dénigrer la justice américaine, puis jubiler quand la justice accepte une caution démente, ça fait drôle. Vous savez ce qui se dit dans les dîners parisiens : si cela se passait en France, Strauss-Kahn s’en tirait avec un an de prison avec sursis et 3.000 euros d’indemnités pour la femme de ménage. Elle peut donner des leçons aux américains la justice française ! © Jean-Patrick Grumberg

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L’information en provenance d’Israël Edition du Mercredi 25 Mai 2011

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Ministre turc met en garde Israël Vers une nouvelle ère glaciale entre Obama et Netanyahu ? vertu d’un droit biblique. Tous les Israéliens ne sont pourtant pas aussi attachés à ce territoire et le principal parti d’opposition israélien a approuvé les propos de Barack Obama. “Un président américain qui soutient la vision à deux Etats représente les intérêts d’Israël, il n’est pas antiisraélien“, a souligné la chef de file de Kadima, Tzipi Livni.

Alors que des organisations de militants et de défense des droits humains se préparent à prendre la mer pour Gaza , le ministre turc des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu, a mis en garde Israël contre toute nouvelle attaque contre la flottille, comme celle contre la Flottille de la Liberté dans les eaux internationales, tuant neuf terroristes turcs et en en blessants des dizaines d’autres, avant de s’emparer du navire et de le remorquer au port israélien d’Ashdod. Le journal israélien Yedioth Aharonoth a rapporté que Davutoglu a déclaré lors d’une interview au Sydney Morning Herald, qu’il était de la responsabilité morale et internationale d’Israël de lever le siège de Gaza, ajoutant que la commission d’enquête des Nations-Unies avait jugé le siège illégal. De son côté, le président de l’organisation humanitaire turc, IHH, a décla-

ré que le navire turc (Mavi Marmara), qui a été agressé l’an dernier alors que l’armée israélienne interceptait dans la violence la Flottille de la Liberté, repartira pour Gaza, qu’il portera le même nom et prendra la mer en juin , sraël a contacté plusieurs pays européens et les États-Unis pour tenter de les convaincre de dissuader leurs ressortissants de participer à la flottille, et d’essayer d’empêcher l’appareillage. Davutoglu a déclaré encore au Sydney Morning Herald que son pays n’essaiera pas d’empêcher les navires de prendre la mer à partir de ses ports, mais qu’il informera les passagers des risques qu’ils encourent. Compte tenu de cette nouvelle déclaration, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a convoqué son cabinet pour préparer une réponse. Netanyahu a précédemment appelé les Nations unies à empêcher la flottille de tenter d’entrer à Gaza, mais les Nations unies ne lui ont pas répondu.

A quoi bon la Paix ? Les dirigeants de la planète sont penchés sur le conflit proche-oriental et tentent de trouver, pour certains une paix juste et durable pour la région, pour les autres le moyen d’en finir définitivement avec l’état juif. Pour les premiers, se trouve à leurs dispositions, entre autres, le site de l’OLP expliquant ce qu’est cette « paix juste et durable » tant recherchée. A les entendre, on ne peut douter qu’ils ont des oreilles attentives au narratif ‘’palestinien’’. Concernant le « droit au retour des réfugiés » (1), la position de la Mission de Palestine en France est la suivante : « Il ne peut y avoir de solution complète et définitive au conflit israélopalestinien sans honorer les droits des réfugiés palestiniens.

La clé de la résolution du problème des réfugiés est la reconnaissance par Israël de sa responsabilité quant à la création de ce problème, et son acceptation des principes et droits applicables aux réfugiés, y compris leur droit au retour à leurs maisons et à leurs terres. La reconnaissance de principe de ces droits permettrait d’ouvrir la voie à une négociation entre les deux parties sur leur mise en œuvre ». Outre qu’il est sommé à l’état juif de reconnaître sa pleine responsabilité dans le refus du monde arabe de sa propre existence, il lui est demandé également d’ouvrir largement ses portes à des individus élevés dans la haine du juif, dans l’esprit de revanche et n’ayant aucun lien avec Israël sauf d’avoir eu des aïeuls empressés à fuir

Barack Obama et Benjamin Netanyahu, en septembre, à Washington. Les propos du président américain sur le processsus de paix israélo-palestinien annoncent une nouvelle période de relations glaciales entre les deux dirigeants, le Premier ministre israélien s’étant senti trahi, selon son entourage. Les propos de Barack Obama sur le processus de paix israélo-palestinien annoncent une nouvelle période de relations glaciales entre le président américain et Benjamin Netanyahu, estime la presse israélienne. Dans l’entourage du Premier ministre israélien, on souligne que Netanyahu a été pris au dépourvu et se sent trahi par les déclarations d’Obama, qui a souhaité jeudi qu’un futur Etat palestinien soit déterminé par les frontières antérieures à la guerre de 1967, des frontières “indéfendables” aux yeux de l’actuel gouvernement israélien. Les responsables de l’Etat juif s’avouent choqués par cette prise de position énoncée à quelques heures d’une visite de Netanyahu à Washington et se plaignent de n’avoir pas été alertés en dépit de contacts réguliers avec la Maison blanche à l’approche du déplacement du Premier ministre aux Etats-Unis. “C’est une surprise totale. Ils ont l’impression d’avoir été dupés“, souligne une source politique proche de l’entourage de Netanyahu. “ les combats de 1948, lorsqu’ils n’aidèrent pas les armées de leurs frères à jeter les Juifs à la mer. Dans un récent entretien dans le Guardian, Saëb Arékat a dénombré les « réfugiés » à près de sept millions ! Autre sujet épineux du conflit : Jérusalem, que le monde musulman nomme Al’Qods (la sainte). Il est vrai qu’il affirme que la ville contient le troisième lieu saint de l’Islam. Un lieu cependant nullement cité dans le Coran et vers lequel aucun musulman au monde ne se tourne pour prier. Pas même ceux se trouvant sur place. Une ‘’sainteté’’ que même les Jordaniens ayant eu « l’Esplanade des mosquées » entre les mains de 1948 à 1967 ne sanctifièrent pas en radiodiffusant, par exemple, le prêche sacré du ven-

“Si quelque chose fait consensus en Israël, c’est que la relation avec les Etats-Unis est essentielle pour Israël, et un Premier ministre qui met en péril cette relation sur un point qui n’est pas capital met en péril la sécurité et la dissuasion d’Israël“, a-t-elle ajouté. Depuis la nuit dernière, la seule chose qui intéresse Benjamin Netanyahu est d’empêcher la réélection de Barack Obama“, avance même le quotidien populaire Ma’ariv, pariant que le président américain serait en mesure de réclamer davantage à Israël s’il remportait un second mandat. Barack Obama n’a pu qu’agacer encore Benjamin Netanyahu en déclarant explicitement qu’un futur Etat palestinien devrait avoir une frontière commune avec la Jordanie, laissant dans le flou une exigence israélienne de garder le contrôle de la vallée du Jourdain comme zone-tampon pour assurer sa sécurité. Les diplomates à Jérusalem estiment depuis des années que tout accord de paix pour mettre fin au conflit israélo-palestinien devra s’appuyer sur les frontières de 1967 pour obtenir un accord palestinien, avec des échanges de territoires pour compenser la perte de colonies par Israël. Cependant, aucun président américain n’avait formulé cela de manière aussi explicite, soulignent les Israéliens, et l’idée de revenir à 1967 est insupportable à bon nombre de membres de la coalition conservatrice au pouvoir, qui comprend des partis favorables aux colons. Les colons estiment que la Cisjordanie, qu’Israël baptise Judée et Samarie, appartient à l’Etat juif en dredi. Une mosquée d’Aman fit, pour l’occasion, l’affaire. Le dernier point de litige à régler pour permettre l’arrivée de la ‘’Paix’’, est la création d’un état de ‘’Palestine’’. Un pays devant permettre l’autodétermination du ‘’peuple palestinien’’ mais qui se refuse d’avance à toute présence juive en son sein. Un état rendu judenrein que le III Reich n’aurait guère désavoué. Ceci, malgré que cette terre fut le berceau du Judaïsme et a nourri, de tout temps, des Juifs. Le caveau des Patriarches, la Tombe de Rachel, la Tombe du prophète Samuel ou encore, sans exhaustivité, celle de Joseph sont là pour en témoigner. On ne trouve, en revanche, aucun signe proche ou lointain de présence de saints, de prophètes ou de diri-

Les relations entre Netanyahu et Obama n’ont jamais été chaleureuses mais les responsables israéliens tablaient sur l’apaisement après les tensions suscitées en mars 2010 par l’annonce de la construction de colonies en pleine visite du vice-président américain Joe Biden en Israël. L’essentiel du discours d’Obama consacré au conflit israélo-palestinien coïncide pourtant avec les principales exigences d’Israël, notamment qu’Israël doit être un Etat juif et la patrie du peuple juif, ce qui exclut de fait un retour en masse des réfugiés palestiniens. Barack Obama s’est élevé contre les efforts que pourraient engager les Palestiniens pour faire reconnaître un Etat de Palestine devant l’Assemblée générale de l’Onu en septembre. “En tant que Palestinien, j’attendais davantage de sa part. Son discours est décevant. Il a reporté à plus tard les questions de Jérusalem et des réfugiés“, déclare Samir Aouad, analyste politique à l’université Birzeit en Cisjordanie. “Par ce discours, l’Amérique s’est totalement rangée à la position israélienne.” Avec Maayan Lubell à Jérusalem et Mohammed Assadi à Ramallah, Jean-Stéphane Brosse pour le service français - Par Reuters geants du ‘’peuple palestinien’’ dont beaucoup peinent à définir l’origine. Récapitulons : - Un état d’Israël rempli de « réfugiés » à en perdre son caractère et sa spécificité de refuge pour le peuple juif. - Le Mont du Temple, premier lieu saint du Judaïsme, et la veille ville construite par le Roi David entre les mains de l’Islam. Un état de ‘’Palestine’’ judenrein. Trois conditions qui imposent à tout quidam bien équilibré et honnête de s’interroger quant à l’intérêt d’Israël de souscrire à une telle « Paix juste et durable » ! Sauf, si le peuple israélien devient suicidaire. A l’heure actuelle, nul ne peut lui imputer cette folle tendance. Avis aux pays amis. Victor Perez ©



L’information en provenance d’Israël Edition du Mercredi 25 Mai 2011

Jumelage des villes de Saint-Mandé (France) et de Akko (Israël)

Les maires de Saint-Mandé et d’Akko ont officiellement paraphé le protocole de jumelage, le 16 mai, lors d’une chaleureuse et émouvante cérémonie qui s’est déroulée dans l’auditorium du conservatoire municipal d’Akko devant une nombreuse assistance. Sur la photo de gauche à droite JP Nectoux Adjoint au maire Président

des jumelages Patrick BEAUDOUIN Deputé maire de Saint-Mandé Shimon LANCRY Maire d’AKKO Claude Levy Responsable des Relations avec la France et Sabrina SCETBON Marraine du Jumelage Une Réception amicale, généreuse et très chaleureuse à l’invitation de la communauté française d’AKKO

Eldad: « La Jordanie doit être la Palestine! »

que la Jordanie est également la Palestine », et qu’une solution au conflit ne peut faire l’économie de cette donnée historique de première importance.

Lorsque l’on parle de concepts de « justice », « vérité historique », « droits », « solution au conflit israélo-palestinien », ou « concessions douloureuses », il ne faut jamais oublier l’axiome de base selon lequel le meilleur remède n’aura jamais d’effet si le diagnostic de la maladie est erroné.

Royaume artificiel de Transjordanie.

C’est d’ailleurs la raison pour laquelle toutes les solutions proposées par la gauche israélienne, une partie de la droite, et à plus forte raison celles proposées et presque imposées par la communauté internationale, ne seront jamais effectives car basées sur une compréhension inexacte (parfois volontairement) des origines du conflit.

Et c’est ainsi que l’on sème les problèmes futurs! L’aspect « palestinien » de la Jordanie est renforcé par le fait que les trois-quarts de la population de ce pays sont déjà constitués d’Arabes palestiniens, et que la transformation de la Jordanie en Palestine fait partie des objectifs à long terme du mouvement palestinien même s’il concentre pour l’instant sa stratégie en direction de la Palestine occidentale uniquement.

Depuis 1948, les projecteurs du conflit israélo-arabe sont dirigés vers la partie occidentale de la Palestine historique, et c’est sur cette étroite bande de terre qu’Israël est aujourd’hui sommé de transiger, et de céder face aux ennemis qui jurent sa perte.

Les conseillers de Netanyahou «satisfaits» par le discours d’Obama devant l’AIPAC On ne peut pas s’attendre a ce qu’Israël négocie avec le Hamas, a déclaré le président américain Barack Obama à la conférence annuelle de l’AIPAC dimanche. La conférence se tient à Washington en présence de 10 000 personnes. « On ne peut attendre d’aucun pays de négocier avec un groupe terroriste qui vise sa destruction, » a dit Obama en se referant au récent accord d’union entre le Hamas et le Fatah.

Dans une interview à la BBC, le président américain a déclaré que « les conditions sur le terrain ont changé, et il y aura besoin d’échanges pour concilier les intérêts des deux parties, » reflétant le langage utilisé par les dirigeants israéliens qui disent que des ajustements devront êtres faits à la ligne de 1967 pour inclure les larges blocs d’implantations qui comprennent des centaines de logements pour des milliers d’israéliens.

Obama a également appelé le Hamas à libérer le soldat israélien retenu en otage, Guilad Shalit. « Nous appelons le Hamas à libérer Guilad Shalit, qui a été tenu éloigné de sa famille pendant cinq longues années, » a-t-il déclaré.

Les juifs américains et les responsables de l’AIPAC ont spéculé ces derniers jours disant que le discours du président américain pourrait recevoir un accueil plutôt froid de la part des personnes présentes à la conférence du principal lobby pro-israélien.

« Nous devons reconnaître que l’échec d’essayer n’est pas une option, » a poursuivi Obama. « Le statu quo n’est pas viable. » « C’est précisément du fait de notre engagement à la sécurité d’Israël que nous avons avancé la paix entre Israël et les palestiniens, » a déclaré Obama à la conférence.

Or quand il est question de « solution globale de la question israélo-arabe », Israël a tort de ne pas mettre en avant les droits historiques du peuple juif sur Eretz Israël, et de montrer comment ces droits ont été lésés par la décision unilatérale de la Grande-Bretagne en 1921, qui détachait les 4/5e du Foyer National Juif et créait à l’est du Jourdain ce qui allait devenir plus tard le

Cet acte arbitraire n’avait d’autre but que d’être un « lot de consolation » pour la dynastie Hachemite, promise par les Britanniques à régner sur « un grand royaume du Hedjaz » avant d’en être empêchée par la dynastie séoudienne.

Dans les années 1970, Yasser Arafat et l’OLP, basés en Jordanie avaient tenté de renverser le Roi Hussein et prendre le pouvoir à Amann. Dénué de scrupules, en septembre 1970 le « petit roi » avait fait tirer ses troupes bédouines sur les Palestiniens tuant presque 20.000 Arabes palestiniens sans se faire tirer les oreilles par qui que ce soit. C’est de là qu’apparut l’organisation « Septembre Noir ». C’est donc tout le mérite aujourd’hui de certains hommes politiques israéliens de rappeler de temps en temps «

L’AIPAC espère que le président américain Barack Obama va profiter de l’occasion de son discours devant le lobby pro Israël pour adopter une approche plus conciliante envers Israël que lors de son discours sur le Proche Orient, jeudi, a déclaré l’ancien porteparole du groupe, Josh Block, lors d’une interview avec la radio de l’armée dimanche.

Le discours d’Obama vient trois jours après qu’il ait donné un des discours les plus important au sujet d’Israël depuis ses deux années au poste de président. Suite aux critiques sur son plan pour les futures frontières d’un état palestinien, qui seraient basées sur les lignes d’avant 1967, Obama a déjà changé de ton dimanche.

« Le président serait judicieux de profiter de l’occasion pour pleinement expliquer et préciser ce qu’il entendait dans son discours de jeudi, » a déclaré Block, faisant allusion aux propos controversés d’Obama dans lesquels il a déclaré qu’un futur accord de paix doit être fondé sur les lignes de 1967 avec un accord sur des échanges de terres.

L’ « option jordanienne » constitue en fait un test de bonne foi pour les Arabes palestiniens mais aussi pour le monde arabe en général: veulent-ils un Etat sur une partie de la Palestine ou ne veulent-ils en réalité que la fin de l’Etat d’Israël. La réponse est aisée. Le Prof. Aryeh Eldad (Ihoud Leoumi) a fait circuler une pétition qu’il va envoyer à différentes ambassades jordaniennes dans le monde – dont celle de Tel-Aviv – à l’occasion de la journée d’Indépendance jordanienne. Le député a récolté 40.000 signatures qui soutiennent l’idée « que la Jordanie doit êtrre la Palestine » et avec courage il va la transmettre à qui de droit. La pétition propose au Roi Abdallah II « de décréter la Jordanie comme étant la patrie des Palestiniens avant que cel ne vienne de la rue, comme cela s’est passé dans d’autres pays arabes ». Face à l’échec des tentatives toutes basées sur les mêmes schémas illusoires, il faut commencer « à réfléchir en dehors de la boîte » comme disent les Israéliens pour exprimer le fait de trouver des solutions en dehors des sentiers battus. Les opposants à cette formule diront « qu’il est inconcevable de transformer ainsi un pays existant » tout en imaginant tout à fait par ailleurs que l’on puisse expulser des dizaines de milliers de Juifs du pays de la Bible et mettre des terroristes à leur place, à quelques kilomètres des centres vitaux du pays. par Shraga Blum

Proches de Netanyahou : « Obama est détaché de la réalité »

question controversée des réfugiés palestiniens. Obama s’est également abstenu de critiquer sévèrement l’accord de réconciliation Fatah-Hamas, et a rappelé à Netanyahou que la communauté internationale était fatiguée d’un processus qui n’a toujours pas abouti à un accord de paix. Un associé de Netanyahou a déclaré que le président avait apparemment « oublié les conditions énoncées par le Quartet international, qu’Obama a lui-même approuvé. »

« Obama a de bonnes raisons de s’inquiéter d’une mauvaise réception lors de son discours du très pro-israélien AIPAC ce dimanche, » a écrit Tevi Troy, ancien chargé de liaison juif lors de la présidence de George W. Bush, sur son blog National Review Online.

« Le lien entre Israël et les Etats-Unis est incassable et notre engagement à la sécurité d’Israël est à toute épreuve, » a poursuivi Obama. « Tant en paroles qu’en actes, nous avons été inébranlables dans notre appui a la sécurité d’Israël. » « Ne vous méprenez pas, nous allons maintenir la supériorité militaire qualitative d’Israël, » a-t-il dit.

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Des associés du premier ministre Benyamin Netanyahou ont exprimé leur déception suite au discours de Barack Obama jeudi, un de ses aides disant que le président américain était détaché des réalités régionales. Les associés ont déclaré tôt vendredi que Netanyahou, qui a quitté Israël dans la nuit pour les Etats-Unis, est prêt pour une confrontation avec le président Obama sur les questions essentielles. Se referant au discours du président américain en matière de politique au Proche Orient, un associé de Netanyahou a déclaré : « Il (Obama) n’a pas livré la marchandise… Obama ne semble pas comprendre la réalité du Proche Orient ». Il a ajouté

que le discours ‘historique’ d’Obama n’avait pas beaucoup de points clés, et que son adresse était « mauvaise pour Israël ». Netanyahou lui-même a publié une réponse rapide au discours plus tôt, demandant que le président réaffirme les précédents engagements des Etats-Unis qu’Israël ne se verra pas demander de se retirer aux frontières de 1967 dans le cadre d’un accord de paix avec les palestiniens. Dans son discours de Washington, Obama a dit qu’un état juif et démocratique doit être basé sur les frontières de 1967, avec des compromis territoriaux. Le président a exprimé son opposition à l’intention des palestiniens de demander à l’ONU la reconnaissance de leur état en septembre, mais s’est abstenu de répondre à la

Cet associé a ajouté qu’Obama n’a répondu à aucune demande présentée par le premier ministre, se referant au récent discours de Netanyahou, où il a déclaré qu’Israël n’abandonnera pas les blocs d’implantations et maintiendra une présence militaire le long du Jourdain. Obama n’a pas parlé non plus dans son discours de la question de la reconnaissance palestinienne d’un état juif comme condition préalable aux négociations. « Netanyahou est disposé à offrir des concessions douloureuses. Dans son discours à la Knesset, le premier ministre a été loin, » a dit un associé de Netanyahou. « Il est soutenu par une coalition de droite problématique. Nous nous attendions à ce qu’Obama le comprenne et prenne en considération ces questions dans son discours. »




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