Israël Actualités n°349 by epsilon media Associés

GRATUIT - Numéro 349 - Edition du 2 Juin au 8 Juin

Journal israélien en langue française

L’information en provenance d’Israël Edition du 2 Juin au 8 Juin

Trois par jour : le chiffre qui fait peur

Le dernier rapport du Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme (BNVCA), présidé par Sammy Ghozlan vient de sortir, et à la lecture de ce bilan, un chiffre me frappe : trois actes antisémites sont recensés par jour. Un chiffre qui, déjà violent en soi, masque une triste réalité : un nombre important d’agressions n’est suivi ni de plainte ni d’action en justice, par peur des représailles.

La France pays antisémite ? La réalité est plus complexe et surtout bien différente de ce que les leçons de l’Histoire nous ont enseigné. Et pour en donner tous les contours, force est de sortir du politiquement correct. Car un fait est indéniable : les agressions que subissent, on peut le dire, quotidiennement, les français juifs sont le fait d’individus issus de l’immigration et de confession musulmane. Dans leur immense majorité. Ceux qui, sur le sol républicain, appellent à nous anéantir en France, ceux qui tuent des juifs depuis près de 10 ans , sont bien des individus issus de la communauté musulmane, 100 % de ceux qui ont tué des juifs en France sont des musulmans. Triste constat pour une France qui voulait promouvoir l’égalité, la fraternité et le vivre ensemble. Aujourd’hui, nous avons donc le droit et même le devoir de demander des comptes à ceux , qui soit-disant nous représentent, c’est à-dire le CRIF... Depuis des années, le Crif gère les affaires d’agressions et rien n’en ressort. Aucune nouvelle de

ce qui s’est passé à Créteil (Valde-Marne), ou deux ados avaient été agressés… Silence Radio... L’agression et le viol, encore une fois à Créteil, encore rien... Le silence est omniprésent. Dernièrement, l’agression du petit Guershon, dans le 19ème arrondissement de Paris, n’a pas suscité plus de réactions de nos instances dirigeantes. Cerise sur le gâteau, le dernier acte antisémite fait froid dans le dos. De faux techniciens se sont introduits tout récemment au sein de l’école Ganenou, boulevard Voltaire, à Paris, prétextant vouloir vérifier les compteurs d’eau. Fait encore plus grave, 72 heures après les faits, je me suis moi-même rendu sur place, pour constater l’effraction. J’ai pu alors pénétrer dans l’école comme dans un moulin, profitant de l’absence momentannée des militaires chargés de la sécurité des lieux. Si c’est en laissant tout le monde, moi y compris, pénétrer dans l’école sans aucun contrôle (porte blindée ouverte) que les instances dirigeantes prennent en main une telle affaire, il y a de quoi s’inquiéter sérieusement !!! Il faut préciser que lors de cet événement, un représentant du BNVCA s’était déplacé pour apporter une aide à l’école. Il a été éconduit par les personnes présentes, au motif que le SPCJ, qui agit sous la houlette du CRIF, avait déjà été saisi de l’affaire. En avez-vous entendu parler ? Certainement pas ! Les affaires de ce type sont bien évidemment étouffées. Surtout ne pas affoler, ne pas faire de vague. C’était il y a à peine trois semaines. Mais pourquoi refuse-t-

on au public le droit légitime à être informé ? Notons d’ailleurs qu’un certains nombres de parents d’élèves de l’école Ganenou ont pris l’initiative de gérer la sécurité aux abords de l’école en faisant des rondes lors des entrées et sorties des enfants... Preuve qu’en matière de sécurité, nous sommes désormais face à nous-mêmes ?

Aujourd’hui, la communauté juive, Monsieur Cukierman, vous demande des comptes. En tant que Président du Crif, vous devez répondre à ceux qui s’inquiètent. Pourquoi un tel manque de transparence, pourquoi tant de passivité ? Pourquoi n’y a-t-il aucune réaction face à la fracture qui s’est installée avec une partie radicalisée

de la communauté musulmane. Que fait le Crif des subventions que donne l’Etat pour la sécurité des biens communautaires... Nous attendons vos réponses.... Am Israel Hai Alain Sayada

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L’information en provenance d’Israël Edition du 2 Juin au 8 Juin

Accord Secret Netanyahou - Rivlin Boycott d’Israël : la Cour pour un Dialogue réel Israël-Hamas ? suprême de Washington inflige un revers au BDS la résistance à l’Etat hébreu qu’il considère être son oppresseur. Dans quelle mesure ce mouvement islamiste palestinien serait-il prêt à dialoguer avec son ennemi ?

Interview de Gil Mihaely, historien et journaliste. Actuellement éditeur et directeur de Causeur. Atlantico (Copyrights) : «Le président israélien, Reuven Rivlin, a évoqué cette semaine la possibilité d’engager un dialogue avec le groupe terroriste Hamas qui est à la tête de la bande de Gaza. En Israël, le rôle du président est essentiellement honorifique. Néanmoins, quel est le poids de Reuven Rivlin au sein du gouvernement ? Gil Mihaely : Sur le plan constitutionnel, Israël est une “4eme République” avec un président “reine d’Angleterre”. Néanmoins, une fois élu pour cinq ans – souvent à la fin d’une longue carrière – il peut “déborder” du cadre institutionnel par la force de son personnage. C’était le cas de Shimon Pérès, le prédécesseur immédiat de Rivlin. Quant à ce dernier, il s’agit de quelqu’un de spécial. Tout d’abord ses origines : Rivlin est issu d’une famille juive lituanienne installée à Jérusalem en 1809. Il est donc le fils de l’un des piliers de ce qu’on appelle “l’ancien yichouv”, c’est-à-dire la communauté juive pré sioniste. Le frère de sa grande mère paternelle était un héros : le premier juif à assurer la sécurité des propriétés des juifs en Palestine otto-

mane, il est considéré comme le “papy” mythologique des forces de défense israéliennes. Enfin son père, Yoel Rivlin, était professeur d’islamologie et d’arabe dans la toute jeune université hébraïque de Jérusalem. C’est lui qui a traduit, en 1936, le Coran en hébreu et plus tard les contes de mille et une nuits… Au sein de la droite israélienne, Reuven Rivlin est donc un “spécimen” rarissime et les liens avec les habitants non juifs du pays fait partie de son histoire personnelle. Il a grandi dans une maison où l’on parlait arabe et où l’on vouait à cette langue un culte. Il a toujours été entouré d’intellectuels juifs et arabes imbibés par la culture arabe classique. Il connait parfaitement l’Islam et s’il y a aujourd’hui quelqu’un en Israël capable de parler (je ne dis pas négocier) avec des membres du Hamas en arabe et presque comme un des leurs, c’est bien lui. Néanmoins, il est difficile de savoir s’il s’agit d’un ballon d’essai donc d’une initiative réfléchie et coordonnée avec Netanyahou puisque bien évidement personne ne dira la vérité avant d’écrire ses mémoires dans trente ans… Le Hamas ne reconnait pas Israël. De plus, son existence repose sur

Tout d’abord, le Hamas existe et gère tant bien que mal un territoire partageant des frontières avec Israël. Des échanges indirects existent ne serait-ce que pour négocier des cessez le feu et régler des problèmes quotidiens. Ensuite, le Hamas dure et cherche à faire évoluer sa stratégie. Son défi numéro un aujourd’hui n’est pas l’élimination de l’Etat d’Israël, mission impossible, mais essayer d’assurer son pouvoir à Gaza et miner celui de l’autorité palestinienne en Cisjordanie pour éventuellement s’en emparer aussi. La violence contre Israël est un moyen pour arriver à ces deux objectifs et non plus – comme il pourtant clairement indiqué dans ces documents officiel – une stratégie. La dernière guerre à Gaza l’été 2014 a été déclenchée essentiellement parce que le gouvernement du Hamas était à la fois sous une importante pression égyptienne (depuis la chute des Frères musulmans, le Hamas est perçu par le Caire comme un ennemi et le business des tunnels est durement affecté) et à court d’argent pour payer les salaires de ses fonctionnaires… Donc au minima, le Hamas est obligé de “surclasser” la destruction d’Israël en un espoir-idéal sans date précise (au même titre que la venue du Messie) et s’en contenter – comme tous les pays arabes depuis 1948 – en attendant des relations plus ou moins étroites avec Israël pour pouvoir atteindre des objectifs plus terre à terre…»

La Cour suprême de Washington a accordé une victoire aux organisations pro-israéliennes contre l’organisation BDS qui milite pour le boycott des produits israéliens. Cinq plaignants pro-israéliens, aidés de l’association StandWithUs, avaient porté plainte contre une petite chaîne de supermarchés de Washington, Olympia Co-Op, qui avait annoncé qu’elle ne vendrait plus aucun produit israélien. Ils arguaient que le boycott contrevenait aux lois en vigueur dans l’Etat. Suite à cela, la chaîne de supermarchés, aidée par le BDS avait fait appel devant un tribunal de district pour faire cesser l’action des plaignants pro-israéliens. Cette action

avait effectivement été stoppée et les plaignants avaient même été condamnés à payer 230.000 dollars d’amende à Olympia Co-Op! Ils avaient alors fait appel devant la Cour suprême qui a cassé le jugement du tribunal et infligé un cinglant revers au BDS: les neuf juges ont estimé à l’unanimité que les plaignants étaient parfaitement habilités à porter plainte! Leur action contre la chaîne de supermarchés va donc pouvoir poursuivre son cours. La procédure n’est pas encore gagnée mais il s’agit à n’en pas douter d’une première et grande victoire contre le BDS et les boycotteurs d’Israël. leptithebdo.net

Le consul d’Israël à Budapest insulté en pleine rue !

Source: http://www.atlantico.fr/

Le Consul israélien à Budapest Motti Rave a été insulté de « sale Juif» hier, avant que son agresseur ne regrette qu’Hitler « n’ait pas fini le boulot. » Le diplomate israélien, né de survivants hongrois de la Shoah, parle et comprends parfaitement cette langue. Il a ainsi appelé immédiatement la police et le coupable a été arrêté. Si la Hongrie a récemment présenté ses excuses pour son rôle dans

la déportation des Juifs pendant l’Holocauste, les organisations juives locales sont en désaccord avec leur gouvernement, accusant Budapest de réviser l’histoire des mémoriaux de l’Holocauste pour blanchir leur complicité dans le génocide hongrois. Le parti Jobbik, qui est fortement anti- juif et anti-Roms, est le troisième plus grand parti du pays. Et il y a quelques jours, la chanteuse franco-hongroise a été forcée de couper un couplet de sa chanson à l’eurovision: elle y chantant sa haine d’Israël et son soutien aux organisations terroristes islamiques quand elles attaquent les juifs. Par William Gants

L’information en provenance d’Israël Edition du 2 Juin au 8 Juin

Le sénateur Lindsay Graham à Netanyahou : S’il le faut, nous couperons les vivres à l’ONU tant que président de la Commission des crédits au Congrès, il est vrai que Lindsey Graham a bien des cartes en main.

La Palestine renonce à demander la suspension d’Israël

Les propos du républicain se réfèrent à la nouvelle initiative avancée par la France et la Nouvelle-Zélande à l’ONU, visant à déterminer les contours d’une solution au conflit israélo-palestinien et fixant un délai au retrait israélien de Judée Samarie. Et lorsqu’un journaliste lui a demandé s’il soutenait la solution à deux Etats, Graham a rétorqué : « oui, tant qu’Israël ne perd pas le sommeil devant ce nouvel Etat qui pourrait être capable de la détruire ». Le sénateur républicain Lindsey Graham s’est engagé hier auprès de Binyamin Netanyahou à contrer énergiquement toute tentative des Nations Unies de reprendre le contrôle du processus de paix entre Israël et les Palestiniens et toute nation qui incite à poursuivre les soldats israéliens pour crimes de guerre par le biais de la Cour pénale internationale.

Graham a même donné quelques pistes sur ses intentions. Les mesures de rétorsions pourraient être d’ordre financière : suspendre l’aide des Etats-Unis à l’ONU. «Nous fournissons 25 pour cent du financement de l’organisation internationale”, a déclaré le sénateur de Caroline du sud. ”Je ne vais pas demander au contribuable américain de financer une organisation qui va marginaliser Israël, qui est notre meilleure alliée.” En

Le républicain Lindsey Graham a annoncé lundi qu’il officialiserait le 1er juin sa candidature à l’investiture républicaine pour la course à la Maison blanche en 2016. Le sénateur, connu pour son opposition à la politique étrangère de Barack Obama, a annoncé sur CBS qu’il ferait part de sa décision le 1er juin. “Je me présente parce que je pense que le monde s’effondre”, a-t-il indiqué.

Djibril Rajoub, le président de la Fédération palestinienne de football, a retiré sa proposition de suspendre Israël. Le président de la Fédération israélienne s’est réjouit qu’on ait évité une «situation absurde». Israël s’est réjoui vendredi que la FIFA ne soit pas amenée à voter une proposition de suspension de sa fédération nationale de football, d’abord avancée puis retirée par la

Fédération palestinienne. «Le résultat des discussions à la Fifa est positif et je me félicite du fait que nous ne soyons pas arrivés à une situation absurde dans laquelle un Etat comme Israël aurait été suspendu d’un organisme dont la vocation est avant tout sportive», a indiqué la ministre adjointe des Affaires étrangères Tzipi Hotovely dans un communiqué.

L’information en provenance d’Israël Edition du 2 Juin au 8 Juin

Le Canada veut punir les boycotteurs d’Israël

Conséquences économiques

Toujours à la pointe des pays soutenant Israël, le gouvernement du Canada a signalé son intention d’utiliser les lois déjà existantes contre les crimes haineux envers des groupes canadiens qui encouragent le boycott d’Israël. Une telle démarche cible un large éventail d’organisations et de particuliers, depuis “l’Église Unie du Canada” jusqu’à des groupes d’étudiants dans les campus, en passant par des syndicats professionnels. Dans le cas où la procédure est appliquée, elle constituera un arsenal de poids face aux détracteurs d’Israël mais aussi une autre mesure de soutien du gouvernement canadien en faveur du Premier ministre israélien Binyamin Netanyahou.

« L’holocauste n’a pas commencé dans les chambres à gaz; ça a commencé par des mots », avait lancé M. Blaney lors de son témoignage pour justifier un article du projet de loi qui rend illégal le fait d’applaudir à un acte terroriste. (…) Les discours extrémistes, les langages qui vont à l’encontre des valeurs canadiennes, le langage haineux n’ont pas leur place au Canada. »

Le ministre de la Sécurité publique du Canada, Steven Blaney a clarifié les intentions du gouvernement canadien au cours d’une interview à la chaine d’informations “CBC News”, suite aux déclarations très dures de ministres fédéraux qui ont exigé la tolérance zéro contre tous ceux qui appelaient au boycott de l’état hébreu. « Cette tolérance zéro sera appliquée selon la liste détaillée des lois sur la haine mise à jour au Canada.

Le projet de loi permettrait également de faciliter l’imposition de restrictions de déplacements aux personnes soupçonnées de terrorisme.

Un peu plus tôt, à propos d’une loi plus globale dénommée C-51 renforçant les mesures antiterroristes au Canada, Blaney avait affirmé :

Le projet de loi C-51 accorderait plus de pouvoirs au Service canadien de renseignement de sécurité (SCRS) et rendrait illégale l’apologie d’un acte terroriste. Il permettrait également le partage d’informations entre les divers organismes gouvernementaux.

Concernant les appels au boycott d’Israël, le gouvernement a modifié la définition du Code criminel de ce qu’est un discours de haine l’année dernière, en y ajoutant le critère de « l’origine nationale » à ceux de la race et de la religion. Ce changement pourrait en théorie, cibler plus efficacement les personnes ou les organismes au Canada qui parlent contre Israël ou contre les Juifs.

Avis de décès

Au-delà des conséquences politiques, le froid diplomatique entre les deux anciens alliés a des répercussions économiques lourdes pour Israël, qui se manifestent encore plus aujourd’hui, selon une étude. En effet, les exportations de l’Etat hébreu vers Ankara ont chuté l’an dernier, à l’exception des produits chimiques, selon une analyse de l’Export Institute citée par Haa-

retz.

Institute.

L’un des secteurs les plus touchés par cette dégradation est celui des métaux, qui enregistre une baisse de 32% l’an dernier.

Par ailleurs, une enquête récemment menée en Turquie révèle que près de la moitié des citoyens voient Israël comme la plus grande menace sécuritaire, suivie par les Etats-Unis et la Syrie, d’après une étude de l’Université Kadir à Istanbul, basée sur les réponses de 1.000 sondés.

Le nombre d’entreprises exportant vers la Turquie est également en baisse puisqu’un tiers d’entre elles ont abandonné le marché turc en 2014, note l’économiste Shauli Katznelson, à la tête de l’Export

Le Keren Hayessod-Appel Unifié pour Israël a appris avec tristesse le décès de Mme Debora PRASQUIER née Zilberberg, mère de leur ami, le docteur Richard Prasquier, président du Keren Hayessod France et président d’honneur du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF). La grande famille du Keren Hayessod en France et dans le monde entier s’associe à sa peine et à celle de ses proches et leur présente ses

sincères condoléances. Sophie ATLAN Directrice communication marketing 10, Place de Catalogne 75014 Paris http://www.keren-hayessod.fr 01 77 37 70 85 / 06 85 72 63 70

L’information en provenance d’Israël Edition du 2 Juin au 8 Juin

Le Maroc construit également un mur de sécurité à la frontière algérienne. Mais seul celui érigé par Israël est contesté par les « humanistes »… Le Maroc construit actuellement plus de 100 kilomètres de clôtures à ses frontières avec l’Algérie. Menaces terroristes, immigration clandestine, contrebande, le Maroc cherche décidément à se barricader. Mais pas une voix ne s’élève contre ce nouveau mur… Il est vrai que les « humanistes » ne protestent que contre celui érigé par Israël pour les mêmes raisons. Révélés par la presse l’année dernière, ces travaux n’ont jamais été confirmés officiellement par le gouvernement jusqu’à l’intervention de Benkirane au parlement cette semaine. Mardi dernier au parlement, le Chef du gouvernement a reconnu la construction de clôtures aux frontières de l’est les justifiant par les différends que connaissent actuellement les deux pays. La première fois où le sujet a été abordé publiquement remonte à

Mavi Marmara: 5 ans après, les relations israélo-turques toujours empoisonnées hommage aux victimes en tenant des pancartes sur lesquelles était inscrit: « Nous vous saluons peuple turc », selon Haaretz. « Nous sommes réunis pour honorer ceux qui ont fait le plus grand sacrifice et sont morts pour la Palestine », a déclaré Jamal al-Hudari, président du Comité populaire contre le blocus.

juillet dernier quand le ministre de l’Intérieur Mohammed Hassad a reconnu implicitement la construction de clôtures en les justifiant par la menace terroriste ciblant le pays.

La détérioration des relations entre Israël et la Turquie, qui a débuté en 2009 après l’opération « Plomb Durci » à Gaza, a atteint son sommet en mai 2010 après le raid de l’armée israélienne sur le navire Marmara qui a essayé de « briser le blocus maritime israélien de la bande de Gaza ».

Le Maroc a, à plusieurs reprises, accusé l’Algérie d’inonder le royaume avec du carburant de contrebande et des psychotropes. De son coté, l’Algérie accuse le Maroc d’exporter du haschich vers le pays. Les frontières terrestres entre les deux pays sont fermées depuis 1994 date à laquelle le Maroc a décidé d’imposer le visa aux ressortissants algériens, suite à l’attaque terroriste contre un hôtel à Marrakech imputée par Rabat aux services secrets algériens. En représailles, l’Algérie a décidé de fermer les frontières terrestres. Bladi.net

La Turquie et la bande de Gaza ont organisé plusieurs cérémonies dimanche pour marquer le cinquième anniversaire de l’incident du Mavi Marmara, au cours duquel neuf activistes turcs avaient été tués en 2010. Plusieurs personnes se sont rassemblées pour des prières devant la résidence de l’ambassadeur

israélien à Ankara, a rapporté le quotidien turc Hurriyet tandis qu’une exposition a également eu lieu dans une autre ville pour rendre hommage à l’une des victimes. De leurs côtés, les Palestiniens ont déposé une couronne de fleurs devant un mémorial construit en

La crise a conduit à une dégradation des relations officielles et à l’expulsion de l’ambassadeur israélien d’Ankara en septembre 2011. Israël a présenté officiellement ses excuses en 2013 pour des « erreurs opérationnelles » et les deux parties négocient depuis lors un accord de compensation pour les familles de victimes.

L’information en provenance d’Israël Edition du 2 Juin au 8 Juin

Chypre : un libanais arrêté Immigration économique. Israël possède pour terrorisme contre des une pratique souvent citée par les experts richesses. israéliens Il faut donc inverser les caracté-

ristiques actuelles d’une politique migratoire généreuse en termes de regroupement familial et malthusienne en terme de migration de travail. Emmanuelle Auriol, vous proposez que l’Union européenne organise la vente de visas de travail. Quels en seraient les bénéfices, et à quels problèmes cela pourrait-il répondre ?

La police chypriote soupçonne un homme arrêté cette semaine d’avoir planifié une attaque contre des intérêts israéliens sur l’île, après avoir trouvé près de deux tonnes de nitrate d’ammonium dans un sous-sol, ont rapporté vendredi les journaux locaux. Le nitrate d’ammonium est un engrais, mais en grande quantité peut être mélangé avec d’autres substances pour créer un puissant explosif.

Chypre est une destination de vacances populaire pour les israéliens, et l’île accueille une ambassade israélienne à Nicosie. Le suspect est arrivé à Chypre durant la troisième semaine de mai et est resté dans la maison de deux étages située dans un quartier résidentiel de la ville côtière de Larnaka. La police a refusé de parler du cas, disant que toutes les possibilités sont explorées.

L’homme de 26 ans, un libanais également doté d’un passeport canadien, est détenu par la police depuis le 27 mai, après que les autorités aient découvert l’explosif dans le sous-sol d’une maison.

Les autorités judiciaires ont ordonné que toutes les procédures judiciaires se déroulent à huis clos, citant la sécurité nationale. Le suspect a été placé pour huit jours en garde à vue jeudi.

Trois journaux chypriotes ont déclaré vendredi que les autorités enquêtaient sur un lien possible entre l’individu et le groupe terroriste libanais Hezbollah soutenu par l’Iran.

Malgré sa proximité avec le Moyen Orient, Chypre a vu peu d’activités liées au terrorisme au cours des dernières décennies. Son premier incident sécuritaire majeur a été une attaque ratée contre l’ambassade israélienne en 1988, qui avait tué trois personnes.

Deux journaux ont dit que l’homme, qui n’a pas encore été nommé, est soupçonné d’avoir un lien étroit avec le leader du groupe terroriste, Hassan Nasrallah. Les trois journaux ont dit que la police soupçonne que des intérêts israéliens étaient la cible, et disent que les autorités pensent que le nitrate d’ammonium était stocké dans la résidence depuis un certain temps.

En 2013, un citoyen suédois d’origine libanaise a été emprisonné à Chypre pour avoir comploté une attaque contre des touristes israéliens. Il a dit qu’il s’est vu demander par le Hezbollah de suivre les mouvements de touristes israéliens sur l’île, mais a nié avoir l’intention de toute attaque.

En matière d’immigration économique, quelles seraient les pistes à envisager pour répondre à la fois aux besoins du pays et des migrants eux-mêmes ?

de nature à faciliter un développement des échanges commerciaux.

Gérard François Dumont : Il faut être plus ouvert à l’immigration de travail en tirant les enseignements des erreurs précédentes. Ainsi, l’instauration d’une période probatoire restreignant l’immigration de travail des nouveaux pays membres de l’Union européenne, après le cinquième élargissement de 2004, a été une aberration privant l’économie française d’une main-d’œuvre prête à travailler et à acquérir un savoir-faire susceptible ensuite de favoriser notre économie. La même décision a écarté de nombreux étudiants d’Europe centrale et orientale de la France, les poussant à privilégier la langue et des formations anglo-américaines.

En troisième lieu, les étudiants d’Europe de l’Est ont ressenti plus d’attirance pour les îles Britanniques puisque, d’une part, leur inscription administrative se trouvait facilitée, tandis que, d’autre part, la possibilité d’y acquérir une première expérience professionnelle était possible et aisée, ce qui ne l’était que difficilement en France. En quatrième lieu, la France a donné, une fois encore, l’image d’un pays méconnaissant l’autre « poumon de l’Europe », d’un pays peu ouvert, malthusien. Enfin, un cinquième effet pervers tient au fait que l’absence de libre circulation des travailleurs s’est trouvée en partie contournée par l’emploi de travailleurs clandestins venus de l’Est, subissant souvent des conditions de travail peu équitables.

Cette attitude malthusienne vis-àvis des nouveaux États membres s’est révélée contre-productive, avec cinq effets pervers ayant des conséquences bien au-delà de la période probatoire de sept ans. En premier lieu, les jeunes des pays de l’Est se sont moins tournés vers l’apprentissage de la langue française au profit de la langue anglaise qui leur ouvrait les marchés du travail britannique et irlandais alors qu’il n’en allait pas de même pour la France. En deuxième lieu, la présence d’immigrants dans les îles Britanniques a contribué à tisser avec l’Europe de l’Est des liens

Cette erreur devrait servir de leçon et conduire à comprendre que l’immigration de travail est toujours bienvenue, alors que notre politique demeure à cet égard malthusienne comme si, lorsqu’une entreprise française recrutait un étranger, cela se faisait au détriment du marché français de l’emploi. C’est une vue comptable erroné. Il est préférable qu’une entreprise française offre un contrat de travail à un étranger lorsqu’elle ne trouve pas sur place la personne correspondant au profil recherché plutôt qu’elle n’embauche pas, ce qui réduit forcément la création de

Emmanuelle Auriol : Les pays qui organisent une politique de migration temporaire, de deux ou trois ans comme c’est le cas en Israël, en Jordanie, ou au Liban, commencent par mettre en place des agences de recrutement dans les pays d’origine. Celles-ci ont pour mission d’aider les candidats à l’immigration dans leurs démarches administratives, et surtout d’évoquer avec eux les réalités auxquelles ils seront confrontées : opportunités économiques réelles, coût de la vie, sont des éléments bien peu considérés, et l’Europe continue d’alimenter malgré elle un fantasme d’Eldorado. Ces agences recueilleraient également les besoins en termes de besoins de compétences des pays de la zone euro. Certains pays comme l’Espagne font appel à des immigrés clandestins parce qu’ils n’ont pas le choix, tout comme en Allemagne. Cette réalité est à prendre en compte, car le silence qui existe sur ces sujets participent à donner l’impression d’une immigration non-contrôlée pour les populations européennes. D’autre part, le regroupement familial, ainsi que les politiques de l’immigration basée sur des bons sentiments est probablement à mettre en cause : la société ne peut pas tolérer qu’une jeune accueilli par le regroupement familial projette quelques années plus tard de perpétrer un attentat contre des églises, comme on a pu le voir récemment. Source: http://www.atlantico.fr/

L’information en provenance d’Israël

Un ministre allemand visitera la Bande de Gaza

Edition du 2 Juin au 8 Juin

John Bolton : “Israël doit attaquer l’Iran dans les 20 prochains mois” “L’horloge tourne et l’Iran est en marche vers un arsenal nucléaire légitimé par les puissances que manipulent Obama, un Obama qui défend l’idéologie du mal.” En marge du concert de la Journée d’Israël dans Central Park à New York, l’ancien ambassadeur américain à l’ONU, John Bolton, a donné un aperçu du programme nucléaire de l’Iran et de l’accord imminent qui doit être freiné.

Le ministre des Affaires étrangères allemand a annoncé qu’il se rendrait prochainement dans la Bande de Gaza — une visite rare pour un politicien occidental sur un territoire contrôlé par les militants du Hamas Lors d’une rencontre avec des représentants israéliens et palestiniens, dimanche, Frank-Walter Steinmeier s’est dit inquiet de la situation du petit territoire de la

Cisjordanie, qui peine à se relever d’une guerre dévastatrice contre Israël il y a un an. M. Steinmeier a dit au président israélien Reuven Rivlin que des «mesures concrètes» devaient être adoptées pour améliorer la vie quotidienne des Gazaouis. Il a appelé à une «reconstruction rapide» de la Bande de Gaza, tout en incitant le Hamas à cesser ses attaques à la roquette en Israël.

Alors que les négociations entre l’Iran et les puissances mondiales ont atteint un accord provisoire avant la date limite du 30 juin, Bolton prédit que les négociations avec l’Iran sont “vouées à l’échec. Je ne pense pas que l’Iran a l’intention de renoncer à ses efforts pour obtenir des armes nucléaires. Même si un accord est signé dans le courant de l’été, je pense que les ayatollahs montreront leur violence avant même que l’encre soit sèche.” Accréditant ces soupçons, de hauts responsables iraniens ont dit qu’ils

commenceront à utiliser les centrifugeuses IR-8, qui sont 20 fois plus efficaces que les standards, dès que l’accord sera atteint, alors même que les États-Unis affirment qu’un accord limitera l’utilisation de centrifugeuses de pointe. Selon Bolton, l’Occident n’a pas suffisamment de connaissances du programme nucléaire secret de l’Iran, ni ne possède de mécanisme suffisant pour surveiller les violations possibles d’un futur accord, ce qui signifie qu’un tel accord ne fera que “légitimer le chemin de l’Iran vers l’arme nucléaire.” Alors, pourquoi le président américain Barack Obama fait si ardemment pression pour obtenir un accord avec l’Iran? Selon l’estimation de Bolton, “ses actions découlent d’une conviction que les négociations peuvent changer la nature du régime islamique, parce qu’Obama “est entraîné par une idéologie qui voit l’influence américaine dans le cadre du problème, et s’il peut montrer aux ayatollahs que les USA ne sont pas une

menace pour eux, ils seront heureux de renoncer à leur poursuite de leur programme nucléaire. Je pense juste que c’est absolument faux.” Face à la menace d’un Iran possédant l’arme nucléaire, Israël devra frapper les installations nucléaires de l’Iran sur la base des estimations, car dans les 20 prochains mois l’Iran sera en mesure de produire un arsenal nucléaire. Israël doit décider bientôt, car une fois que l’Iran aura la bombe, “toute attaque risquerait d’entraîner des représailles nucléaires.” Dans le cas d’une attaque israélienne sur les sites nucléaires de l’Iran, l’Etat juif aura le Congrès pour l’aider contre l’antagonisme d’Obama à un tel développement. Pendant l’attaque, Israël aura besoin de souligner combien son action fait partie de son droit légitime à l’autodéfense, et après les bombardements, il aura besoin de se réapprovisionner, de se réarmer avec l’aide des États-Unis.

L’information en provenance d’Israël

Icube : Ashkelon à l’honneur !

Edition du 2 Juin au 8 Juin

Le 59ème salon ICUBE aura lieu le 7 juin prochain et offrira une exposition bienvenue à la ville d’Ashkelon. L’occasion de mettre en lumière le travail acharné de Daniele Turk et de son équipe pour promouvoir l’immobilier en Israël, mais aussi et surtout permettre aux juifs français de trouver leur place dans la société israélienne.

Elle a déjà une idée claire des festivités qu’elle compte engager pour le 60ème anniversaire d’ICUBE. Et pourtant, elle n’a pas encore fini la 59ème édition ! Infatigable autant qu’enthou-

siaste, Daniele Turk a toujours un métro d’avance en matière d’organisation. Son côté visionnaire sans doute. « Quand j’ai fait le choix d’Israël, avec mon mari et mes enfants, au

tout début des années 80, tout le monde nous prenait des fous ! Aujourd’hui, tous ceux qui s’interrogeaient sur notre choix sont en passe de nous rejoindre, voire ont déjà fait leur alyah ! », s’amuse Daniele. Psychanalyste de formation, Danièle a gardé de son ancienne vie le goût du contact et du rapport humain. Si elle s’intéresse autant à la pierre en Israël, c’est par amour. Un amour immodéré pour Eretz Israël, quelles que soient les turbulences qu’elle ait pu y traverser. Un amour pour les gens, aussi, dont elle prend plaisir à encourager la fibre sioniste en les aidant à trouver leur place en Israël. ICUBE, le salon qu’elle a créé et qui fête, au Hyatt Regency, à Paris (ex Concorde Lafayette) sa 59ème édition printanière en est le reflet. « Ce salon a un supplément d’âme, soulignet-elle. Sans vouloir se substituer à l’Agence Juive qui fait parfaitement son travail, ICUBE est un salon sioniste. »

Ashkelon à l’honneur Daniele attend avec impatience sa rencontre avec le public le 7 juin prochain. « Je préfère lorsque les salons se déroulent en dehors des périodes de fébrilité intense, comme après l’attentat de l’Hyper cacher. Lorsque les gens sont très stressés et touchés par une actualité, ils prennent des décisions hâtives. Je préfère que le public vienne et s’engage sur des projets concrets dans la sérénité. » Et c’est bien pour l’encourager, cette sérénité que Daniele et son équipe, ne se contentent pas d’une offre immobilière. « Sur ce salon, c’est la ville d’Ashkelon qui s’est engagée à venir proposer aux visiteurs des offres concrètes et des engagements en matière d’emploi, d’école et d’aides à l’intégration de la communauté francophone. », précise Daniele fière de pouvoir annoncer la présence du maire de la ville entre autres officiels. Ville du Sud d’Israël située en bord de mer, Ashkelon mise sur la communauté francophone pour assurer l’avenir. « En plein essor, la ville offre un cadre de vie

agréable. Le bord de mer a été réaménagé en profondeur et les nouvelles constructions sont de très belle qualité, souligne Daniele, ajoutant que la ville dispose d’un fort potentiel en matière d’investissement. » Bien sûr, cette 59ème édition d’ICUBE mettra aussi en avant d’autres projets immobiliers répartis sur l’ensemble du pays et pour toutes les bourses. Avec un objectif commun à chaque fois : s’adapter à l’évolution du marché : « Le monde bouge, conclut Daniele. Il est important de s’y adapter. Quand on n’avance pas, on meurt ! » Daniele, elle, a tellement de projets, d’envies et de passion à transmettre que le monde lui-même a du mal à marcher à son rythme ! Par contre, elle a su surtout transmettre à son fils qui tient la barre du paquebot pour l’amener à bon port et c’est sa grande victoire. 59ème édition du salon immobilier ICUBE, le 7 juin à partir de 10 h au Hyatt Regency (ex Concorde Lafayette) 3 place du Général Koening, 75017 Paris. (Porte Maillot)

L’information en provenance d’Israël Edition du 2 Juin au 8 Juin

Rouhani parle de paix alors que les L’ONU cherche à mettre militaires fléchissent leurs muscles Tsahal sur liste noire Le « président » a appelé à « l’unité, l’unanimité et l’harmonie à l’intérieur (du pays) et à la résistance contre les complots de l’ennemi pour créer l’insécurité dans la région. »

Alors que Rouhani parlait d’harmonie et de compréhension, le chef de la marine iranienne chantait une mélodie différente, vantant les plans pour construire une flotte de vedettes rapides qui renforceront la force maritime de la dictature islamique.

Le régime iranien envoie des signaux mixtes ces derniers jours. Alors que le « président » Hassan Rouhani parle de modération, son armée, dirigée par le haut commandement des Gardiens de la Révolution, poursuit avec ses rodomontades. Lors d’un rassemblement près de Téhéran mardi, Rouhani a parlé de

la poursuite de la « voie de la paix » et d’interactions « constructives avec le monde. » « La majorité absolue de la nation iranienne soutient la voie de la paix, la réconciliation et le cours d’une interaction constructive avec le monde, » a déclaré Rouhani.

« Basé sur le cinquième plan de développement de cinq ans, nous devons concrétiser notre objectif de vedettes militaires rapides produites en masse avec une vitesse de 150 kilomètres par heure, » a déclaré l’amiral Ali Fadawi à une foule rassemblée à Téhéran. « Ceci est une vitesse formidable dans les marines du monde. » « Par conséquent, nous devrions essayer de produire en masse des vedettes rapides qui peuvent passer la vitesse de 150 km/h et qui sont équipées de missiles d’une portée de 100 kilomètres, le navire que personne ne peut attraper, » a-t-il ajouté. Comme à son habitude, l’Iran produit au même moment deux types de message, un message d’apaisement, généralement donné par le soi-disant président, l’actuel étant même considéré comme un « modéré » par les occidentaux, et un autre message, relayé soit par l’armée, soit par le « guide suprême », qui est de fait l’unique dirigeant de la nation iranienne, bien plus belliqueux. La magie dans ces messages est que c’est généralement le premier qui est repris par la presse européenne, alors que c’est le second qui colle bien plus à la réalité sur le terrain.

Des pressions sont actuellement faites à l’ONU pour mettre l’armée israélienne sur la liste noire du Conseil pour les Enfants et les Conflits Armés.

th, des responsables du secrétariat de l’ONU soutiennent également les palestiniens et ont exhorté Ban à ne pas céder aux menaces d’Israël.

Le représentant spécial du secrétaire général pour les enfants et les conflits armés, Leila Zerrougui, d’Arménie, a recommandé que Tsahal soit inclus sur la liste en raison des soi-disant « 500 enfants palestiniens tués et 3 300 blessés » lors de l’opération Bordure Protectrice l’été dernier. Il faut préciser que ces chiffres viennent du groupe terroriste Hamas, qui dirige la bande de Gaza et utilise de toute manière les enfants comme boucliers humains pour protéger leurs installations terroristes.

Un allié sur lequel Israël peut probablement compter est l’Amérique. Discutant de la question avec le premier ministre Benyamin Netanyahou mercredi soir, le sénateur américain Lindsey Graham a averti que la poursuite des mauvais traitements contre Israël entraînerait un « refoulement violent » contre l’ONU.

Le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon semble susceptible de résister à l’appel, en particulier à la lumière des fortes pressions d’Israël et des menaces qu’un tel geste pourrait mettre fin définitivement aux relations entre Israël et l’ONU. Cependant, les pressions palestiniennes viennent non seulement de l’autorité palestinienne, mais aussi de ses supporters et de groupes de « droits de l’homme ». Selon le journal israélien Yedioth Ahrono-

Graham a menacé de couper tout financement américain aux Nations Unies, si l’entité devait continuer à travailler à « marginaliser » Israël. La réponse d’Israël était également la colère, des responsables du ministère des affaires étrangères condamnant le parti pris de l’ONU contre l’état juif. « Les ennemis d’Israël menacent et effraient l’ONU et personne ne se plaint. C’est un scandale. Combien d’enfants ont été tués dans les bombardements saoudiens au Yémen ? Je veux voir le représentant spécial algérien oser mettre l’Arabie Saoudite sur cette liste noire. »

L’information en provenance d’Israël Edition du 2 Juin au 8 Juin

En Allemagne, les visites éducatives des camps de concentration ne sont pas obligatoires pour certains élèves

Un député bavarois ne souhaite pas imposer ces visites aux élèves musulmans ni à ceux inscrits dans des établissements spécialisés. Trois arguments assez surprenants sont évoqués pour justifier cette exception.

Un manuel d’histoire aux Pays-Bas: « Ben Gourion et Begin étaient des terroristes »

arabes en territoire israélien, après sa déclaration d’indépendance, avec l’intention déclarée de la détruire. Ce manuel scolaire est sur la liste officielle du Ministère de l’éducation hollandais. Le livre affirme également que l’ancien Premier ministre Menahem Begin, « maintenant connu comme un artisan de paix, était pendant une grande partie de sa vie un terroriste et un extrémiste. »

Pour ceux qui se demandent comment l’antisémitisme a gagné la bataille des idéologies en Europe, voici un exemple parmi tant d’autres ! L’ambassade d’Israël en Hollande a condamné l’apparition de déclarations anti-israéliennes dans un manuel scolaire d »histoire pour les élèves du secondaire.

A propos de la création de l’Etat d’Israël, le livre affirme que David Ben-Gourion, le premier Premier ministre du pays, a déclaré un Etat après que les « milices juives ne commettent des meurtres dans les villages arabes et que des centaines de milliers de Palestiniens fuient pour s’installer de l’autre côté des frontières. »

Le livre Geschiedeniswerkplaats a d’abord été dénoncé par les membres de la communauté juive du pays.

Le livre omet de mentionner les atrocités arabes contre la population juive pré-étatique Israël ou l’invasion de plusieurs armées

Le livre montre aussi une image de propagande d’un garçon palestinien lançant une pierre sur un char israélien. « Petite opposition contre l’occupation israélienne des territoires palestiniens en 2000, » affirme la légende. «Neuf jours après cette photo, il a été abattu lors d’une autre manifestation. » Pour l’heure, le ministère de l’Education néerlandais n’a pas répondu aux questions des journalistes. Par Valériane de Chardonnay

Durant leur scolarité, les lycéens bavarois sont tenus de visiter un ancien camp de concentration ou un centre de documentation sur le nazisme en approfondissement du programme scolaire consacré à l’étude du Troisième Reich et de l’Holocauste. Une obligation assez rare en Allemagne, la plupart des Länder se contentant de conseiller ce type de sortie scolaire, mais qui ne vaut pas pour tous les élèves. C’est pour cela que, début mai, le député bavarois Günther Felbinger, membre du petit parti Freie Wähler («Électeurs libres»), a proposé d’étendre cette obligation à tous les élèves de Bavière. L’objectif: que les jeunes inscrits dans des filières d’enseignement technique ou que ceux qui fréquentent des établissements spécialisés en raison de leurs difficultés d’apprentissage puissent eux aussi prendre conscience de l’horreur de

l’Holocauste en se rendant dans un de ces lieux de mémoire. Cette idée de visite obligatoire d’un ancien camp de concentration à été lancée à l’origine par le président du Conseil central des Juifs d’Allemagne, Josef Schuster. Comme il l’expliquait début 2015 au quotidien Neue Osnabrücker Zeitung, «la théorie et les cours, c’est une chose, l’expérience concrète sur place, appréhender de façon plastique, c’en est une autre». 1 – Enfants de réfugiés disposant de papiers allemands seraient non-concernés par l’histoire de l’Europe. Mais le parlement de Bavière, tenu par la très conservatrice CSU, la branche bavaroise de la CDU, a rejeté la proposition du député avec des arguments pour le moins troublants, rapporte le quotidien bavarois Main Post. Le député CSU Klaus Steiner a ainsi argué que parmi les élèves qui fréquentent une «Mittelschule», un type d’établissement scolaire destiné aux élèves qui envisagent des études courtes, se trouvent de

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nombreux enfants de réfugiés et de migrants, ce qui selon lui pose problème : «Parmi eux se trouvent de très nombreux enfants issus de familles musulmanes, qui n’ont aucun rapport avec notre passé. Nous devons aborder ce sujet avec prudence avec ces enfants.» 2 – Certains évoquent un inaptitude intellectuelle à visiter un ancien camp À ses yeux, les élèves inscrits dans un établissement spécialisé ne constituent, eux non plus, un public apte à visiter un ancien camp de concentration : «Une approche attentive est nécessaire, surtout vis-à-vis des élèves qui souffrent d’un handicap cognitif et émotionnel.» «L’époque nazie est-elle trop compliquée ?» s’interroge le quotidien bavarois Augsburger Allgemeine, faisant écho aux réactions des députés de l’opposition. Gisela Sengl, députée verte au parlement bavarois, estime par exemple que, «pour comprendre les atrocités qui ont été commises durant l’époque nazie, on n’a pas besoin d’avoir un certain QI». Pour comprendre les atrocités qui ont été commises durant l’époque nazie, on n’a pas besoin d’avoir un certain QI. 3 – Les musulmans ne sont pas concernés Günther Felbinger, députée verte au parlement bavarois, a également qualifié de non-sens l’argument de Klaus Steiner selon lequel il ne faudrait pas imposer ces visites aux élèves musulmans, soulignant que «les enfants musulmans doivent aux aussi se confronter à l’histoire allemande». Bien que le Troisième Reich occupe toujours une place centrale en cours d’histoire dans les lycées allemands, la visite d’un ancien camp de concentration ne semble plus aller de soi. En 2012, le quotidien berlinois Der Tagesspiegel rapportait ainsi que le nombre de groupes d’élèves visitant le camp de concentration d’Oranienbourg, situé au nord de Berlin, s’était réduit de moitié entre 2007 et 2011. La question que soulève ce type d’exception indique que beaucoup d’Européens considèrent un musulman comme un étranger et que l’histoire de l’Europe ne le concerne pas. Cela sous entend qu’il n’a pas à se pencher sur l’histoire des locaux puisqu’il devrait un jour rentrer « chez lui ». Source: Slate.fr

Un candidat US aux Présidentielles: « on ne laissera pas la France agir au Proche-Orient »

En visite à Jérusalem, le sénateur républicain Lindsey Graham et candidat à la présidence des Etats-Unis, a été très dur visà-vis de la diplomatie française au Proche-Orient. Graham, président du sous-comité sénatorial qui supervise le finan-

cement américain d’organisations internationales, a déclaré lors de sa conférence de presse que si le Conseil de sécurité de l’ONU adopte une position anti-israélienne (définir les lignes du processus de paix sans rien demander aux israéliens), alors il créera un effort « afin de suspendre le finan-

cement de l’ONU. »

Les commentaires de Graham visent directement la France et la Nouvelle-Zélande qui vont proposer au Conseil de Sécurité de définir aux-même les frontières entre Israël et les territoires palestiniens.

«Nous fournissons 25 pour cent du financement de l’Organisation des Nations Unies», a déclaré Graham. « Nous avons beaucoup d’influence. Nous ne recevons pas grand chose en retour de notre argent. »

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Le billet d’humeur de Bernard Korn Brzoza

Par Internet nous recevons des milliers de messages, tout genre, toutes tendances, tous les sites se font une obligation d’être mercantile, il faut vendre cela reste une affaire de « gros sous » mais à l’instar des profits qu’engendrent cette technologie il y a les autres, ceux qui vendent les idées d’une dégénérescence sociétale, les monstres, les assassins, les idéologies les plus abjectes, la pensée de la violence et de la mort pour tous les publics : il suffit de cliquer et les sources du mal nous attrapent dans nos maisons, touchent nos enfants, créent cette terreur au cas ou cette violence explosait dans la rue, métamorphosait nos comportements, traquait nos existences pour tuer tout sentiment d’humanité. A l’Assemblée Nationale, les députés, les promoteurs de nouvelles lois en fonction s’épuisent à se mettre d’accord sur des textes de lois comme un remède aux pulsations du mal ambiant. Rien ne passe, droite, gauche, extrême la liberté d’expression est un droit inaliénable de la République : on

n’y touche pas ! L’information israélienne regroupe l’ensemble de tout ce que l’on dit en bien et en négatif sur Israël, sur la communauté aussi. L’explosion des politiques qui poignardent l’état d’Israël sans retenu et sans tenir compte des réalités vécues sur le terrain. Un job technocratique sans aucune mesure avec les faits : seuls les sentiments négatifs appuient leurs théories fumeuses et partiales. Je sais, je parle de l’information à chaque « billet d’humeur » que l’on publie dans Israël Actualités hebdomadairement, je ne peux m’en empêcher parce que « la vérité ciblée rend le mensonge plus évident » et aucun des médias et rares ceux qui prennent une attitude objective, courageuse semblent craindre pour leur carrière et des menaces qui pourraient s’avérer violente à voire ce jeune étudiant qui a repris l’esprit« CHARLIE » dans une publication scolaire et reçoit des menaces de mort et autres injures terrifiantes : « une fatwa » pour mineurs en guise d’exemple : le pire est toujours à craindre. Le courage et la liberté d’expression dont se

targue notre société est soumise de facto à une censure d’état et de conscience personnelle rendant toute la presse et les multi médias télévisuelles comme un subterfuge ou une trahison à l’indépendance de l’information. Dans ces conditions comment discerner le vrai du faux : si en toute logique l’intelligence se prenait le temps de réfléchir, chaque commentaire défavorable serait à reprendre dans le sens inverse de ce qui est dit ou écrit. Une autre explication, les propos antisémites, antisionistes hurlés sur la place publique, dans sa violence primaire sont exploités par le gouvernement pour le combattre mais ce qui est dit à des tribunes partisanes, colloques animés par de vrais penseurs racistes à la philosophie trouble mais doué d’un certain charisme lorsqu’il y a une possibilité de le transcrire, de le filmer et de le diffuser sur des chaines publiques : ça ne se fait pas, ça ne se sait pas , mauvais genre, critique passionnée ou circonstance atténuante de principe parce que rien n’est blanc ou noir et selon l’usage « il n’y a pas de fumée sans feu ».

Il ne faut pas creuser la plaie plus profondément qu’elle n’ait. Les gens adorent ces petites phrases à la sémantique douteuse mais qui convient à une frange sociétale de se donner bonne conscience et de croire que la réalité est plus monstrueuse au vécu qu’à sa transcription et serait largement censurée. Déviance qui permet de robotiser les esprits de ces témoignages et de les considérer comme des faits à une fiabilité assermentée donc sans blocage émotionnel puisqu’ils sont publiés : il en ressort que toutes les théories du « peut être réel » deviennent des certitudes. C’est le décryptage du politiquement correct qui rejoint une bien pensance nationale alors que c’est une perversion et un blocage de l’esprit au niveau de intelligence que l’on a rendu complaisante à la critique d’Israël et porté de ce fait vers une idéologie anti sioniste comme le mal absolu. Les organismes de presse quelqu ‘elles soient ont une véritable obsession d’Israël : de cette sournoise désinformation ou les principes d’honnêtetés sont trahis et peuvent être considérés comme les porteurs de l’antisémitisme en France alors que le gouvernement « prétend faire de l’antisémitisme une cause nationale ».Son silence n’en est que plus dangereux et cible notre communauté comme étant partie prenante avec la politique critiquable d’Israël. Nous disions que l’élection de Benjamin Netanyahou avait provoqué un séisme politique en EU : au point que la France avant » gardiste » de nombreuses résolutions au conflit Israélo-palestinien, toujours partante pour honorer ces sympathies à l’égard de l’état d’Israël et de ses voisins qu’ils soient terroristes ou de braves citoyens. On peut se demander au nom de quel pouvoir elle s’arroge le droit à vouloir œuvrer pour la paix ? Peut être parce la France est une amie d’Israël, alors lorsqu’on est amie d’Israël , que la communauté juive de France est la plus important d’Europe hors la Russie et que le principe moral d’une culture identitaire est permissif alors, on a le droit de tout se dire : on aime Israël, on veut le bien d’Israël, au nom des grands principes républicains, on peut aussi le trahir, on peut aussi mentir, enfin prêcher la bonne parole pour finaliser un règne désastreux. La France prépare donc un nouveau plan de paix, en fait « une offre de résolution » du conflit Israélo-palestinien d’ici septembre en accord avec le Conseil de Sécurité » de l’ONU et cela dans un

délai impératif de 18 mois. Texte validé par Laurent Fabius ministre des Affaires Etrangères : un but à atteindre, presque une injonction, négociations pour une solution juste et durable, globale. C’est net, précis, dans le fond Israël le souhaite mais avec QUI ? Quel partenaire ? Sinon, à l’issue de ce délai, la France fait savoir qu’elle reconnaitrait officiellement l’état de Palestine. Ca a le mérite d’être clair : on ne discute plus, entre nous la France se cherche un bon prétexte pour reconnaitre La Palestine ? L’attitude Israël en serait la cause : une façon de dire « à bon entendeur, salut. C’est un fardeau politiquement difficile à porter dans une société ou le communautarisme musulman est une arme électorale. Maintenant, comment concilier un gouvernement israélien dont la composition n’est pas sujette à compromis et à une paix éventuelle avec nos voisins ? Actuellement cela parait improbable. Encore, si cette paix n’était réservée qu’à nos voisins, cela pourrait être plus réaliste mais là, nous avons une coalition de pratiquement tous les pays européens qui n’ont aucun rapport direct avec Israël, pas de frontière commune, pas de chantage économique, pas d’otages, pas de conflit armé, pas de problème sécuritaire, pas de perspective guerrière dans un proche avenir, nous ne sommes pas un danger pour eux et pour l’humanité et pourtant il semblerait que cette paix qu’ils veulent nous imposer soit la leur ? Que craignent-ils ? Ont-ils peur de l’impasse terroriste ? Sommes nous si dangereux qu’ils veulent nous museler ? Cette pseudo paix est un nouveau leurre comme un endoctrinement aux valeurs mortifères des Palestiniens, à nouveau victimes d’une injustice flagrante financée et entretenue par une ONU lâche, partiale à laquelle se joignent toutes les dictatures du monde et de certaines démocraties honteuses. Le principe de deux états est convenu : mais dans sa lecture et ses doléances l’impossibilité de trouver un réel signe encourageant à une perspective d’une paix prochaine. Pour l’UE, un sombre fiasco que les demandes irréalistes, injustifiées des Palestiniens discréditent aux yeux du peuple israélien. » Cette propagande pro palestinienne outrancière retransmis par nos propres réseaux médias va aux mieux renforcer en Israël le camp des faucons à l’égard des Palestiniens et plus que probablement l’annexion de la Cisjordanie. » Bernard Korn Brzoza

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Feu vert suisse aux drones israéliens

Le ministre de la défense Ueli Maurer présente le matériel dans le cadre du programme d’armement 2015 (Source: Département fédéral de la défense) Photo: Département fédéral de la défense L’achat de drones israéliens est nécessaire pour répondre aux exigences actuelles de l’armée. Par 16 voix contre 7, la commission de la sécurité du National a accepté le programme d’armement 2015, devisé à 542 millions de francs. Le Parlement se prononce cet été. Il n’y a pas de meilleure technologie à disposition, a expliqué mardi à Berne le président de la commission Thomas Hurter (UDC/SH) devant les médias. La Suisse avait le choix entre les Etats-Unis, où il n’y en a plus de disponibles, et Israël. Le Conseil fédéral propose d’acheter six drones d’exploration, non armés, du type Hermes 900, à la firme israélienne Elbit, devisé à 250 millions. Selon le ministre de la défense Ueli Maurer, cette acquisition répond aux critères définis pour l’armée et ne pose pas de problème.

Place d’armes bloquée

Un avis partagé par la commission qui a également accepté, par 16 voix contre 7, ce volet-là du programme. Plusieurs voix, notamment à gauche, se sont pourtant élevées contre cet achat. Elles accusent l’Etat hébreu d’avoir violé les droits de l’homme et d’avoir testé le matériel en Cisjordanie, à Gaza ou au Liban. Pour manifester leur mécontentement, des militants de différentes organisations ont bloqué l’accès à la Place d’armes de Thoune (BE) mardi matin. Le Groupe pour une Suisse sans armée (GSsA) a expliqué que les activistes ont voulu empêcher les membres des commissions des deux Chambres fédérales d’accéder à la place d’armes. Ueli Mau-

rer leur présentait le matériel que la Suisse compte acquérir. « Les violations des droits de l’homme doivent être condamnées, mais une interdiction d’acquisition de drones israéliens n’est pas une solution », a réagi Thomas Hurter. Cet achat ne signifie pas que la Suisse soutient la politique d’Israël, a-t-il ajouté.

Pointe de l’iceberg

Ces drones, accompagnés de composants au sol et d’un simulateur, doivent remplacer le système en service depuis une vingtaine d’années et ne disposant que du niveau technologique des années 1980. « Des lacunes qu’il faut combler », a expliqué Tho-

mas Hurter.

Le gouvernement souhaite en outre se procurer des simulateurs de tir de nouvelle génération pour le fusil d’assaut 90, (21 millions de francs) et un véhicule léger tout-terrain destiné aux systèmes techniques (271 millions de francs). Deux projets d’acquisition du Programme d’armement 2015 qui ne sont pas contestés. Avec ses 542 millions de francs, la facture globale est modeste par rapport au programme de 2014

(771 millions) et de 2013 (740 millions). Mais ce n’est que la pointe de l’iceberg: le Conseil fédéral prévoit un programme supplémentaire qui devrait coûter 1,1 milliard de francs. D’ici 2020, le Département fédéral de la défense (DDPS) prévoit d’investir 6 milliards dans l’achat de matériel militaire. Une somme nécessaire, selon lui, pour garantir à l’armée un équipement « moderne et complet ». bluewin.ch/fr

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Eté 2015 : la sélection d’Israël Actualités !

Vous l’attendiez, nous l’avons fait ! Comme à Pessah, Israël Actualités vous aide à choisir votre destination estivale ! Vacances en mode famille, sportif, zen ou culturel, les spécialistes du séjour casher ont pensé à tout et à tout le monde ! Pour vous aider à faire votre choix, Israël Actualités vous présente sa sélection.

Le luxe absolu sur les rivages hélléniques

quelques kilomètres d’Athènes, près de la petite ville de Loutraki est réputé autant pour son cadre enchanteur que pour son sens de la démesure. Côté confort, le lieu joue la carte du luxe discret : sauna, hamma, spa, salle de fitness…

Le volontariat : joindre l’utile à l’inoubliable

Le casino : le somptueux établissement, géré de main de maître par une équipe israélienne, comporte le plus grand casino d’Europe. Et si vous tentiez votre chance et que vos vacances changeaient votre vie ? Où et qui ? T.O. Club : une référence en matière de séjour casher ! Thérèse Ohayon, ses 26 ans d’expérience et son équipe n’ont qu’une seule ambition : vous offrir luxe, sérénité et loisirs à foison pour des vacances d’exception ! Le séjour Du 5 au 25 août au Clubhôtel Loutraki en Grèce. Cinq étoiles luxe, l’hôtel dispose du plus grand casino d’Europe ! T. O. Club propose une formule de deux semaines avec vol et séjour en demie-pension et pension com-

plète glatt casher le shabbat ou une formule à la carte, sans vol, permettant aux vacanciers de choisir la durée de leur séjour et leurs dates d’arrivée. Tarifs A partir de 1820 euros par personne les deux semaines (vol non inclus). A noter : le family plan offre des tarifs tout doux pour les enfants de moins de 12 ans. On aime Le cadre : un paradis à découvrir absolument ! Pieds dans l’eau, le Clubhôtel Loutraki, situé à

L’animation ! Thérèse Ohayon et son équipe promettent l’exception et vous l’apporte sur un plateau ! T.O. club a fait appel à l’équipe de Brother Orchestra pour vous offrir émerveillement et animation tout au long de vos vacances. Pour les bébés et les enfants, carte blanche à Laurence animation qui prendra le plus grand soin de vos bambins ! L’ultra disponibilité de Thérèse et des équipes de TO club, toujours aux petits soins pour que vos vacances soient une intense bulle de plaisir et de sérénité.

Sur les traces du judaïsme slave détour. »

Les tarifs 1990 euros vol compris en pension complète casher beth din. Un prix très compétitif par rapport aux autres voyages en destination soleil.

Où et Qui ? L’inénarrable Guy Azria vous emmène en Croatie pour un séjour alliant mer, soleil, histoire et culture ! Directement en bord de mer, le Grand hôtel Néum, 4 étoiles luxe offre détente et loisirs en famille ou en célibataire sur la côte dalmate en pension complète casher Beth Din. Le séjour Chambres avec vue sur mer, plage

privée, base nautique, piscines spa et discothèque… L’hôtel Néum combine tous les éléments de confort et de loisirs nécessaires à votre bien-être lors de ce séjour. Les excursions et conférences, en mode culture et curiosité, achèveront de vous séduire. « Les gens veulent désormais des vacances intelligentes, souligne Guy Azria, professionnel du secteur depuis des décennies. La Croatie et son patrimoine culturel juif méritent le

On aime Les excursions et découvertes proposées : la synagogue de Dubrovnik et le musée Judaïca, la Haggadah de Sarajevo, la conférence du grand rabbin de Zagreb… Autaut de portes ouvertes sur le judaïsme slave qui ajouteront une jolie dose d’histoire et de mémoire à vos vacances ! La destination : insolite et originale L’humour et le talent de Guy Azria qui feront de vos vacances un grand moment de rire et de détente.

Où et qui ? L’Upi Sarel propose, comme chaque année, des séjours pour ados et adultes en volontariat civil sur des bases de Tsahal situées en plein cœur du pays (aucune base concernée n’est située dans les territoires). Qui peut partir ? « Tout le monde, à condition d’être en bonne santé », précise Yossi du bureau national du volontariat. Chaque année, ce sont plus de 800 personnes qui découvrent Israël par le biais du volontariat et permettent à des réservistes de retrouver leurs familles. « Une aide indispensable », souligne Yossi. Le séjour : A l’intérieur des bases de Tsahal, les volontaires sont affectés à des taches diverses : préparation des packetages, des rations de survie ou des trousses de premier secours pour les soldats. Le week-end permet de visiter Israël via des excursions organisées ou de rejoindre sa famille dans le pays pour ceux que cela concerne. Lors des circuits découvertes supplémentaires, les participants sont logés dans de très conviviales auberges de jeunesse.

Les tarifs : A partir de 110 euros plus le billet d’avion pour un adulte. (19-49 ans). Ceux qui veulent en profiter pour prolonger l’expérience peuvent aussi opter pour un circuit de découverte du pays à l’issue de leur séjour en base pour 795 euros supplémentaires. Pour les adolescents, deux formules possibles : 15 jours de volontariat (10 jours en bases, shabbat et découverte le week-end) plus une semaine de circuit ou une semaine « Tsahal expérience », sur un site spécifique où les jeunes découvriront le quotidien très sportif de l’armée israélienne : Krav Maga, et formation para-militaire. Frisson et émotion garantis ! On aime L’idée d’être utile à Israël tout en posant un regard différent sur le pays. L’expérience, forcément inoubliable et bouleversante/ « On en revient jamais intact, souligne Yossi. Et on y retourne quand on y a goûté ! » Le tarif : la formule met Israël à la portée de toutes les bourses !

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Eté 2015 : la sélection d’Israël Actualités !

La Côte d’Azur en mode farniente et sérénité

Récemment rénové, le Marriott Ambassadeur est un concentré de charme, de luxe et de confort disposant d’une superbe piscine, d’une plage privée et d’un très beau restaurant terrasse, mis, exceptionnellement à la disposition de la clientèle casher. Entre concerts de jazz dans la pinède, casino, farniente sur la plage et découverte de la région, venez vivre à l’heure azuréenne !

L’air pur, le charme et la beauté de la montagne

Tarifs A partir de 1400 euros (hors transport) par personne pour une semaine en demie-pension et pension complète le shabbat. Cuisine casher sous le contrôle du Beth Din de Nice.

Où et qui ? Céline et Moïse Ohayon, du Club Paradise nous offrent, cas exceptionnel, un séjour casher à Juan-Les-Pins au Marriott Ambassadeur, 5 étoiles luxe du 2 au 23 août. Fidèles de l’hôtel, où ils organisent Pessah chaque année, Céline et Moïse Ohayon ont eu

l’opportunité d’organiser cet été un séjour casher. Une chance exceptionnelle pour tous ceux que la célèbre ville de Juan-Les-Pins, petit Miami de la Côte d’Azur, séduit par son animation et sa convivialité. Le séjour

On aime La plage, réputée pour être la plus belle de Juan-Les-Pins ! Le casino et les concerts de jazz, à quelques mètres à pied de l’hôtel L’hôtel : une référence en matière d’accueil, de luxe et de bon goût. Le restaurant, qui permettra aux vacanciers de Juan-Les-Pins de rejoindre le groupe de Club-Paradise, à l’heure du déjeuner. « Le shabbat, les gens en vacances dans les environs nous rejoignent pour les repas. En vacances, les familles ne veulent pas s’embarrasser de courses et de cuisine. Nous leur offrons la possibilité de vivre un shabbat convivial et gastronomique, dans un cadre exceptionnel. »

Où et qui ? La Toque d’argent, traiteur à Marseille, organise, comme chaque été, un séjour Glatt casher à la montagne. Cette année, c’est aux Arc 2000 que la Toque d’Argent et le Lior club ont élu domicile. Trois étoiles de charme, l’hôtel les Mélèzes accueille les familles pour un séjour alliant découverte, oxygénation et sport dans le somptueux cadre des Arcs. Le séjour Du 30 juillet au 23 août en pension complète Glatt casher. Entre sport et conférences données par d’éminents rabbanim, venez vous oxygéner et faire le plein de grands espaces. L’équipe d’animation a prévu de multiples activités pour petits et grands : kayaks, randonnée, vélo… Le soir, animation musicale et chants hassidiques. Une destination privilégiée pour les familles pratiquantes désireuses de laisser la pollution urbaine et l’agitation balnéaire au loin pour découvrir le calme et le charme in-

solite des hauteurs à l’heure d’été. Tarifs A partir de 440 euros par semaine en pension complète hors transport. Mini club à partir de 1 an en supplément. On aime L’offre qui fait la différence, destinée à une clientèle qui soit ne supporte pas la chaleur, soit souhaite passer des vacances familiales et tsniout à la montagne. Les tarifs tout doux pour des vacances qui ne grèvent pas le budget familial. Les conférences de rabbanim et les soirées hassidiques qui ajoutent un supplément d’âme à des vacances sous le signe de la sérénité. Le restaurant épicerie casher d’altitude qui permettra aux vacanciers de déjeuner au cœur de la station et de se fournir en produits casher de toutes sortes sans forcément revenir à l’hôtel. Pizzas, sushis, salades sur place et repas de shabbat à emporter !

L’information en provenance d’Israël Edition du 2 Juin au 8 Juin

Eté 2015 : la sélection d’Israël Actualités !

Israël : sortir des sentiers battus

l’envie au sein du public. Ecouter la Tosca au cœur de Massada, vous faire séjourner dans un relais et château, sur la route des vins en Galilée ou en cure de bien-être à Herzlya ou Eilat, rien n’est impossible et tous vos rêves sont à votre portée. « Outre nos offres à destination des agences de voyages, nous offrons du sur-mesure aux particuliers qui nous confient leurs envies de vacances. », explique Marc Abergel, de Touriscope. Notre but, c’est de leur proposer un autre regard sur le pays et ses attraits touristiques.

Ski d’été et paysages d’exception aux Deux Alpes

Les tarifs : Prix très compétitifs sur les vols au cœur de l’été pour une réservation tôt : à partir de 637 euros ttc vol sec Paris Tel Aviv A/R. sur août 2015 en prévente !

Où et qui ? Forts de ses 30 années d’expérience, l’équipe de Touriscope repositionne son offre et travaille à nous faire découvrir les mille et uns visages d’Israël, loin des clichés et du sentiment de déjà-vu. Court séjour, circuit avec chauffeur privé, ou package familial classique, Touriscope peut tout

faire à la carte et à la mesure de vos besoins, de votre budget et surtout de vos envies ! Le séjour Israël en point de mire ! L’agence de voyage spécialisée sur l’Etat hébreu et son partenaire aérien, la compagnie Arkia misent sur l’insolite pour attiser la curiosité et

On aime L’offre insolite infiniment séduisante par sa différence. La Tosca à Massada, la route des vins ou la cure bien-être, il y en a pour tous les goûts et tous les budgets ! L’expérience de l’équipe Touriscope : 30 ans de bons et loyaux services ! Le dynamisme et la pugnacité de l’équipe qui, forte de sa spécialité sur Israël, met un point d’honneur à se renouveler pour proposer de l’exception et de l’émotion en prime ! Les tarifs ultra-compétitifs pour les vols du mois d’août.

Croisière & Maroc au TOP !

Où et qui ? Le Kangourou club propose pour la 4ème année consécutive, des séjours aux Deux Alpes, destinés : - Aux familles, du 12 juillet au 23 août au sein de l’hôtel La Farandole : hôtel spa 3 étoiles de standing, le lieu dispose d’une superbe piscine chauffée, et du 2 au 30 août au Panorama, trois étoiles disposant d’un spa entièrement rénové. - Aux célibataires du 23 au 30 août : Pour les 20-35 ans au Panorama Pour les 35-55 ans au Farandole Le séjour Dans un cadre juif traditionnaliste, venez découvrir le charme de la station des 2 Alpes en pension complète Glatt casher. Réputée pour être l’une des plus belles de France, la station des Deux Alpes bénéficie d’une température très douce, grâce à ses 1600 m d’altitude. Facile d’accès, elle offre les charmes de la baignade, grâce au lac artificiel et du ski d’été. Très animée, elle saura séduire toutes les clientèles et toutes les tranches d’âge !

Tarifs A partir de 400 euros la semaine hors transport en pension complète. On aime L’animation en journée comme en soirée et la liste impressionnante de loisirs accessibles au sein de la station : cours de gym, fitness, zumba, guide de randonnée pédestre professionnel pour des promenades enchanteresses… Le soir, les Twin Brothers s’occupent de l’animation du 26 juillet au 23 août. A partir du 23 août, DJ set pour les soirées des célibataires ! L’offre spécifique pour les célibataires, réellement axée sur la rencontre. Un coach professionnel venu d’Israël, permettra à ceux qui le désirent de participer à des entretiens privés et conférences afin de retrouver l’épanouissement en matière sentimentale et peut-être trouver son mazal !

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Eté 2015 : la sélection d’Israël Actualités !

El Al : Israël en toute sérénité

deux packages originaux : Un circuit de 7 jours en demie-pension avec excursions, guide francophone à partir de 1680 euros par personne. Une escapade au Royal Beach de Tel Aviv séjour de 4 nuits plus vol El Al à partir de 1015 euros TTC.

Où et qui ? LA compagnie aérienne El AL et son tour opérator Superstar Holydays ont une seule ligne de conduite : maintenir sur toutes les prestations et toutes les offres une qualité de service irréprochable. Que ce soit sur des vols secs directs ou des packages avec hôtel, voiture, ou circuits, on ne transige

pas sur le service ! Les tarifs compétitifs sur certaines dates et certains produits : Vols Paris-Tel Aviv à partir de 369 euros si vous pouvez partir le 26 août ! Pour la période la plus prisée : La compagnie propose, notamment,

Australie, Japon, ou pays baltes : cap sur le levant…

On aime Le service, la qualité et les petits « plus prestige » comme l’accès au business lounge sur certains produits. Le côté « à la carte » et la souplesse des offres. L’esprit vacances en toute zénitude : « Repas, valises, films, duty free, tout est compris sur un vol EL AL, explique Michèle Ricci qui tient à mettre en avant la qualité de service et la multiplicité des vols El AL. Nous assurons en période d’été, jusqu’à 4 vols par jour au départ de Paris et 6 par semaine à partir de Marseille. » Chez nos concurrents, lorsque tous les services se font payants, la différence de prix reste mince. »

Grèce ou Israël 100 % découverte !

de la capitale grecque. Visites des vestiges de la civilisation héllénique, mini-croisières, excursions avec guide francophone… Tarifs A partir de 1680 euros hors vols pour Israël en demie-pension et pension complète le shabbat. A partir de 1690 hors vols pour la Grèce en demie-pension et pension complète le shabbat. A noter : le family plan avec pension complète durant tout le séjour et mini-club inclus pour les enfants !

Où et qui ? Dani club 26 et ses équipes a mitonné, en accord avec deux partenaires, Isratourisme pour Israël et Mazi Travel pour la Grèce, plusieurs séjours misant sur la découverte. Sympathique et charmeur, Daniel Ohayon, pionnier du voyage casher, saura vous séduire par son offre aussi pléthorique qu’originale. Les séjours Du 30 juillet au 27 août, en fonction des hôtels et des formules. En Israël séjour détente et plage la première semaine en 4 ou 5 étoiles

(Metropolitan ou Herrod’s). La deuxième semaine, programme riche en excursions et rencontres entre Jérusalem et Tibériade : rencontres avec des personnalités politiques israéliennes, forum sur la alyah, conférences et débats… En Grèce, deux formules sont disponibles : Tout balnéaire dans deux superbes hôtels 5 étoiles sur la côte thessalonique, le Mediterranean village et le Dion Palace en demie pension Glatt casher, et pension complète le shabbat. Découverte de la Grèce avec circuit au départ d’Athènes, à partir du superbe hôtel le Ledra, au cœur

On aime L’originalité et la souplesse de chaque formule qui peut se décliner à la carte en fonction des budgets, des dates de vacances et des durées de séjour choisis. L’enthousiasme de Daniel Ohayon, qui mise sur des partenaires locaux réputés pour garantir le succès de ses voyages. Le choix entre farniente balnéaire et découverte, quelle que soit la destination. Le forum sur la alyah et les rencontres avec des acteurs de la vie politique israélienne, véritable attente du public français.

Où et qui ? Sol Tours et son équipe de 10 personnes fait dans l’exceptionnel ! Israël, l’Australie, les pays baltes, ou même l’Alaska, l’agence a toujours de quoi vous surprendre ! Le séjour Spécialisée dans les offres qui sortent de l’ordinaire, l’agence Sol Tours a, pour l’été 2015, un panel de produits extrêmement varié. Destination phare cet été : les pays baltes : Estonie, Lettonie, Lituanie. Plus qu’un voyage, c’est une rencontre fraternelle et solidaire empreinte d’histoire et de mémoire que Sol Tours nous invite à faire lors de ce périple balte cet été. Plus exotique, les autres offres Sol tours voient loin, très loin : « Nous négocions depuis plus d’un an avec les croisières premium Princesse Cruises afin d’obtenir des repas cashers, voire Glatt casher sur certaines destinations lointaines comme le Japon, l’Australie ou l’Alaska, explique Ary qui dirige l’agence. Sur Israël, nous proposons toute la palette des

voyages, des plus classiques et des plus fiables, tels que les forfaits SUNDOR / ISROTEL, à ceux plus secrets des Boutiques Hôtels (Ancien hôpital, Prison ou Cinéma reconvertis en hôtels de charme) aux plus spécifiques (Kibboutz hôtels, etc...) qui font le charme d’Israël. » Tarifs A partir de 1700 euros pour une croisière en Australie (vol non inclus) ! Imbattable et exceptionnel ! On aime La personnalité, extrêmement attachante d’Ary Toledano, qui met de son âme et de son cœur dans chacun des produits que son agence commercialise. Impossible donc, de ne pas apprécier vos vacances si c’est lui qui vous les a concoctées. Le choix des destinations des plus insolites aux plus classiques : Japon, Alaska, Pays Baltes, Australie… sans oublier Israël ! Le pari des Boutiques hôtels, qui a clairement en 2015, le vent en poupe, en Israël comme ailleurs !

L’information en provenance d’Israël Edition du 2 Juin au 8 Juin

L’Etat islamique déclare la guerre aux milices du Fajr Libya

Déclassifié: Moshe Dayan interrogeait les rabbins «Et si nous avions rasé la Mosquée sur le Mont du Temple?»

pour tester la réaction des rabbins.

Le compte-rendu d’une réunion en 1970 entre le ministre de la Défense Moshe Dayan et les dirigeants de l’entreprise de peuplement juive en Judée et Samarie a été publié pour la première fois – et ils comprennent des déclarations très surprenantes des deux côtés, avec M.Dayan le laïc

soulevant l’idée de permettre aux Juifs de prier sur le Mont du Temple, et ses invités religieux s’y opposant en majorité. À un moment donné, M. Dayan même lancé l’idée de raser la mosquée d’Omar, qui est située à côté de la mosquée Al Aqsa sur le Mont du Temple, apparemment juste

Le contenu de la réunion a été publié vendredi par Arnon Segal, un activiste du Mont du Temple, dans le journal Makor Rishon. Selon M. Segal, la réunion a eu lieu deux jours après la mort soudaine du président égyptien Gamal Abdel Nasser. La discussion devait se concentrer sur les arrangements concernant le Caveau des Patriarches à Hébron pour les prières de la journée du vendredi, qui était aussi le deuxième jour de Rosh Hashana en cette année 1970. Lors de ces discussions, M. Dayan a eu cette remarque surprenante: “Si nous l’avions voulu au gouvernement, nous aurions pu prendre un bulldozer et détruire la mosquée d’Omar en disant: “Ceci est notre Mont du Temple. Peu importe si nous construisons un temple ou si nous ne construisons pas un temple – nous ne voulons pas d’une mosquée sur notre lieu saint. Notre Saint des Saints devrait être situé sous une mosquée musulmane ?! “

Un kamikaze s’est fait exploser à bord d’une voiture près d’un point de contrôle à une entrée de la localité de Dafiniyah, entre Zliten et Misrata, à l’est de Tripoli, selon un porte-parole de Fajr Libya (Aube de la Libye). L’attaque a tué cinq miliciens et blessé sept, selon un bilan donné par l’agence de presse LANA, proche des autorités de Tripoli, non reconnues par la communauté internationale. L’EI a revendiqué l’attaque et affirmé qu’elle avait été menée par un Tunisien identifié comme «Abou Wahib al-Tounsi». Il a prévenu dimanche les miliciens qu’ils devaient se préparer à la «guerre». «Les apostats de Fajr Libya (…) doivent savoir qu’une guerre se profile», a aussi indiqué l’EI. Territoires contestés Fajr Libya est une coalition de milices, hétéroclites mais dont certaines sont composées d’islamistes, qui a pris le pouvoir l’été dernier à Tripoli. Elle y a établi un gouvernement et un Parlement, poussant les autorités reconnues par la communauté internationale à s’exiler. Une partie du territoire contrôlée par Fajr Libya est désormais contestée par l’EI, qui a pris pied l’an dernier en Libye. Les djiha-

distes contrôlent déjà des zones dans la région côtière de Syrte, à 450 km à l’est de Tripoli, et ont revendiqué des attaques suicide contre Fajr Libya près de Misrata. Et le gouvernement Fajr Libya a appelé de son côté à la «mobilisation urgente» face au groupe Etat islamique. Et un député du parlement siégeant à Tripoli, Salim al Hamali, qui était porté disparu, a été par ailleurs retrouvé tué au sud de la capitale, a dit la chaîne de télévision Al-Nabaa. «Croissant pétrolier» Des djihadistes se sont emparés ces derniers jours de l’aéroport de Syrte, duquel des combattants de Fajr Libya se sont retirés. Cet aéroport, qui se trouve à 150 kilomètres de l’important «croissant pétrolier» libyen, est le premier pris par l’EI en Libye. Le groupe ultra-radical sunnite contrôle désormais des zones entières dans cette région pétrolière. Les autorités de Tripoli accusent les djihadistes de s’être alliés à des anciens du régime de Kadhafi pour prendre pied à Syrte, la ville du défunt dictateur. Toujours selon le gouvernement de Tripoli, l’EI disposerait par ailleurs de «cellules dormantes» dans la capitale, où le groupe djihadiste a déjà revendiqué des attaques.

L’information en provenance d’Israël Edition du 2 Juin au 8 Juin

Le Népal remercie chaleureusement l’Etat juif !

L’ambassadeur du Népal en Israël, Prahlad Kumar Prasai, s’est rendu au siège du Magen David Adom. Il y a été reçu par Eli Bin, directeur-général du MDA ainsi que divers responsables de départements au sein de l’organisation. Au nom du peuple et du gouvernement népalais, l’ambassadeur a remercié le Magen David Adom pour toute l’aide apportée aux sinistrés du tremblement de terre : « Je connais le Magen David Adom, son histoire et son action. Merci pour tout ce que vous avez fait au Népal, pour l’aide, les secours, la

nourriture, les soins, les médicaments, les moyens de protection et toute votre sollicitude envers la population durant ces jours si difficiles ». Eli Bin a remercié l’ambassadeur pour ses chaleureuses paroles et l’a assuré que le Magen David Adom continuera à apporter son aide au Népal. Il a demandé à l’ambassadeur de lui faire savoir quels sont les besoins de la population népalaise afin que le MDA puisse encore aider dans la mesure du possible. Par ailleurs, le directeur-général a informé l’ambassadeur que son organisation désire

offrir quatre ambulances au Népal et lui a demandé d’intervenir pour faciliter les démarches. L’ambassadeur a pu également visionner un petit film réalisé sur place par les équipes de secouristes quant à leur action sur place. L’une des volontaires du MDA, Ravit Martinez a dit à l’ambassadeur que c’est la première fois qu’elle se rendait à Katmandou et qu’elle a été impressionnée par la chaleur et la reconnaissance des gens qu’elle a rencontrés. Par IsraPresse

Geert Wilders : « 5.000 migrants au cours des dernières 24 heures. Il faut tous les renvoyer chez eux ou des millions suivront. » Fabrice Leggeri.

45.000 migrants en Italie depuis le début de l’année

«Plus de 5.000 (migrants) ont été secourus en Méditerranée centrale depuis vendredi 29 mai», a indiqué Frontex dans un communiqué. Lors des opérations, les sauveteurs ont découvert 17 corps, a ajouté l’agence, confirmant le chiffre donné auparavant par les garde-

Des bateaux britanniques, maltais, belges et italiens, ainsi que des avions islandais et finlandais ont été déployés dans le cadre de cette opération. côtes italiens. L’opération qui a commencé vendredi concernait les migrants qui sont partis de Libye sur 25 bateaux, selon l’agence qui indique que cinq autres opérations de sauvetage concernant 500 migrants sont en cours. «Il s’agit de la plus grande vague de migrants que nous avons vue en 2015», a souligné le directeur de Frontex

Depuis le début de l’année, plus de 45.000 immigrés clandestins ont débarqué en Italie, mais selon l’Organisation internationale pour les migrations, environ 1.770 hommes, femmes et enfants sont morts ou disparus en tentant la traversée.[…] 20 minutes.fr

L’information en provenance d’Israël

Voyage de la Mémoire

Chères Amies, Chers Amis,

Nous organisons, le dimanche 7 juin 2015, un VOYAGE de la MEMOIRE au Cimetière Mémorial Américain de COLLEVILLE-sur-MER en Normandie, pour honorer la mémoire des soldats juifs américains et soldats juifs canadiens, tués lors du débarquement en juin 1944. Nous allons organiser et célébrer un KADDISH collectif à leur mémoire en présence de nombreux officiels et personnalités françaises et étrangères. Cette cérémonie sera placée sous la présidence et du Grand Rabbin de France Haïm KORSIA. La récitation du KADDISH sera

assurée par le Cantor Raphaël COHEN et le CHŒUR JUIF de France. Nous voudrions que le plus grand nombre de personnes assiste à cette cérémonie du 71ème anniversaire du débarquement

C’est pourquoi, nous souhaiterions que vous soyiez présent à cette cérémonie et à ce VOYAGE de la MEMOIRE. Vous trouverez ci-après le visuel de l’annonce et le bon de réservation que vous pouvez transférer à tous vos contacts. Dans l’attente de votre réponse, je vous prie de croire, Chères Amies, Chers Amis, à l’assurance de mes très cordiales salutations.

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L’information en provenance d’Israël

Souvenirs du 5 juin 1967 à Tunis

suivions les nouvelles chez la famille Farhi, le marchand de boissons - en maudissant les piles faiblardes de leur radio transistor – sur laquelle nous écoutions tous les soirs à minuit, «Kol Israël» en français…Nous nous réunissions également chez les Cartozo pour suivre avec la même attention sur la Raï uno, le «Télégornale de la sera» présenté par Erinco Levi.. Nous étions fières de prouesses de Tsahal.

La guerre des Six Jours est la guerre qui opposa, du 5 au 10 juin 1967, Israël à l’Égypte, la Jordanie, la Syrie et l’Irak. Cette guerre fut déclenchée comme une « attaque préventive » d’Israël contre ses voisins arabes, à la suite du blocus du détroit de Tiran aux navires israéliens par l’Égypte le 23 mai 1967 (les Israéliens avaient préalablement annoncé qu’ils considéreraient cet acte comme un casus belli). Le soir de la première journée de guerre, la moitié de l’aviation arabe était détruite; le soir du sixième jour, les armées égyptiennes, syriennes et jordaniennes étaient défaites. Les chars de Tsahal bousculèrent leurs adversaires sur tous les fronts. En moins d’une semaine, l’État hébreu tripla sa superficie : l’Égypte perdit la bande de Gaza et la péninsule du Sinaï, la Syrie fut amputée du plateau

de Golan et la Jordanie de la Cisjordanie et Jérusalem-Est. Beaucoup de juifs vécurent durant cette période, des moments tragiques. A Tunis, le 5 juin 1967, une foule déchainée déclencha un pogrom contre les Juifs, brulant la grande synagogue, la seule usine de Matsot et une distillerie de vin, ainsi que de nombreux commerces notamment à la galerie du Colisée, tenus par les Juifs, et provoquant une panique et un départ massif des Juifs de Tunisie. Ayant 13 ans alors, je me souviens avoir vécu - à distance, puisque nous habitions la Goulette, une banlieue nord - les émeutes antijuives de Tunis comme un coup de tonnerre dans un ciel bleu ... Bénéficiant de vacances à rallonge (l’école étant traditionnellement fermé dès le mois de juin ), nous

Le début de la guerre au Proche Orient, nous inquiété davantage que le devenir proche de notre communauté car nous savions que nous devions partir un jour… Pourquoi le nier ? Cette terrible journée nous avait tous marqué. Je revois les visages graves des adultes qui nous annoncé les nouvelles de Tunis où les grands rabbins de l’époque Meiss Cohen et Fraji Uzan zatsal, venaient de rencontrer quelques membres apeurés de la communauté ainsi que les plus hautes autorités de l’Etat, en l’absence du Président Habib Bourguiba, qui était à l’étranger et revint le lendemain précipitamment. Bien que le choc des émeutes fut terrible, nous garderons il me semble en mémoire, les mots apaisants de Bourguiba, l’indéfectible ami de Mendès France, qui considérait les juifs de Tunisie, comme ses propres enfants. YLellouche

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«Les clés retrouvées». Une enfance juive à Constantine par Benjamin Stora

Lorsque la mère de Benjamin Stora est décédée en 2000, il a découvert, au fond du tiroir de sa table de nuit, les clés de leur appartement de Constantine, quitté en 1962. Ces clés retrouvées ouvrent aussi les portes de la mémoire. La guerre est un bruit de fond qui s’amplifie soudain. Quand, en août 1955, des soldats installent une mitrailleuse dans la chambre du petit Stora pour tirer sur des Algériens qui s’enfuient en contrebas, il a quatre ans et demi et ne comprend pas. Quelques années plus tard, quand ses parents parlent à voix basse, il entend les craintes et l’idée du départ. Mais ses souvenirs sont aussi joyeux, visuels, colorés, sensuels. Il raconte la douceur du hammam au milieu des femmes, les départs à la plage en été, le cinéma du quartier où passaient les westerns américains, la saveur des plats et le bonheur des fêtes. Ces scènes, ces images révèlent les relations entre les différentes communautés, à la fois proches et séparées. Entre l’arabe quotidien de la mère et le français du père, la blonde institutrice de l’école publique et les rabbins de l’école talmudique, la clameur des rues juives et l’attirante modernité du quartier européen, une histoire se lit dans l’épaisseur du vécu. Benjamin Stora a écrit là son livre le plus intime. À travers le regard d’un enfant devenu historien, il restitue avec émotion un monde perdu, celui des juifs d’Algérie, fous de la République et épris d’Orient. Benjamin Stora, historien, professeur des Universités, Président du conseil d’orientation du musée de l’histoire de l’immigration, est l’auteur de très nombreux ouvrages. Dans ce livre Benjamin Stora livre avec émotion les images de son enfance à Constantine. Lui le grand historien de l’Algérie coloniale. Stora reconstitue le pan de son histoire avec des personnages pittoresques du quartier juif, comme Lilo, le meilleur vendeur de sandwichs ou Chouilêm le marchand de friandises. L’auteur nous conte ses promenades sur le vertigineux pont Sidi M’cid ou l’écho des ritournelles des maîtres du Malouf (arabo-andalouse) comme Raymond Leyris, Tahar Ferjani ou Sylvain Ghrenassia ; la

vie quotidienne, remplie de joie et d’entrain. « Des dizaines de cafés, d’où partout s’échappait de la musique ». C’est au « Jacky Bar » où Benjamin découvre les chansons d’Elvis Presley et explose de joie le jour de la victoire du boxeur Alphonse Halimi, « un enfant de chez nous » qui gagne le championnat du monde des poids coq à Londres en 1960. C’est aussi le temps de la découverte du cinéma Américain avec le Pont de la rivière Kwai, les Westerns ou encore les Dix commandements. Nous fréquentions le Vox avec les copains se souvient Stora ; où régnait un brouhaha permanent et réjouissant. L’auteur décrit l’animation des ruelles, les petits artisans comme le repasseur de couteaux, les vitriers et les marchands ambulants ; l’ambiance des grands jours à l’approche des grandes fêtes juives, Roch hachana, Kippour, Pessah, ou musulmanes, le Mouled ou l’Aïd el Kebir. C’est aussi la sensualité de la plage et de la mer Méditerranée. « Dés l’approche de l’été, il faisait une chaleur terrifiante la journée. Mais dés le soir tombait, la fraicheur arrivait, et très vite les gens sortaient ». Stora décrit avec sensibilité ces promeneurs décontractés, ce paseo un peu italien ou espagnol. Le quartier juif écrit-il était imbriqué dans le quartier arabe. Carrefour des rencontres des cultures, prières et chants se mêlant, psalmodies des versets de l’Ancien testament et du Coran. Avec dit-il un amour indéfectible de la France Républicaine chevillé à l’âme «Je voyais autour de moi une vie judéo-musulmane». Stora, nostalgique, nous raconte au passage qu’il parle arabe avec sa mère et se régale de beignets brulants, de zlabias et de makrouds, gâteaux enveloppés dans du papier journal, dont il livre la saveur, au cœur des souvenirs. Que l’on soit originaire de Tunis ou de Rabat ou d’ailleurs, nul ne pourra rester insensible à ce dernier ouvrage de Benjamin Stora. YLellouche

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Parachat Bêalotêkha : L’éclairage de la Thora

Dans cette section hebdomadaire D-ieu prescrit à Aaron par l’entremise de Moïse, la façon de procéder à l’allumage de la Hanouka, le candélabre, de manière à ce que toutes les flammes soient orientées vers la flamme centrale. Il lui ordonne également d’initier les Lévites à leur rôle d’auxiliaires du culte. Après avoir prescrit comment devrait être célébrer un «deuxième Pessah» dans le cas où l’on a légitimement été empêché de consommer l’agneau pascal en son temps, la thora décrit la façon dont se déplacent les hébreux dans le désert, guidés par la colonne de nuée et de feu, au son des trompettes d’argent. Mais soudain le peuple commence à s’agiter, manifestant sa lassitude de la manne et réclamant de la viande comme en Egypte. Par ailleurs, Myriam, sœur de Moïse, lui reproche de négliger son épouse. Pour la punir, D-ieu la frappe de lèpre pendant sept jours. Les branches du candélabre étaient situées trois de chaque coté du corps central, et les mèches des six lumières latérales devaient être dirigées vers la lumière centrale. Il en résulte que le verset devrait porter : c’est vis-à-vis de

la face du candélabre que six lumières éclaireront. Pourquoi le verset port-il sept lumières?.Nos Sages nous expliquent qu’une des significations – la plus fondamentale- données au nombre sept des lumières du candélabre est reliée au rythme du temps de l’origine de l’histoire du monde selon le récit biblique : six jours du commencent, et le septième, le Chabbat. Or, les six jours du commencement se référent au monde de la Création. Pendant six jours, selon le récit de la Genèse, le Créateur façonne (yétsira) la matière du monde apparue à l’instant de l’origine (Bérechit). A la fin des six jours – pour lequel il n’est pas encore écrit ; selon Le Pirké de Rebbi Eliezer : «Et ce fut soir, ce fut matin, jour septième» commence ainsi l’histoire de l’humanité. Ce 7éme jour, où la relation du Créateur à son monde est celle du Chabbat, le monde de la Création devient le monde de la nature. Mais ce monde «abandonné à son déterminisme» aurait été maudit si D-ieu ne l’avait pas sanctifié par son Chabbat. C’est pourquoi le septième jour est celui de l’histoire de l’humanité.

Or, selon le texte biblique (proverbes de Salomon), il existe deux sortes de sagesses. Les sagesses dites «extérieures» assimilées aujourd’hui aux «sciences», et la sagesse de la Thora. Les premières sont les sciences qui traitent des phénomènes propres au monde des «six jours» devenu la nature au 7éme jour, alors que la Thora a pour objet l’idéal de la conduite de l’homme libre dans le monde où l’attend la «nature». Selon le Talmud, la Thora a été révélée un jour de chabbat, le 6 Sivan de l’année de la sortie d’Egypte. Le huitième jour étant connu quant à lui, comme étant le jour messianique par excellence. Selon la tradition du Midrach, du Talmud, et du Zohar, Eliahou le prophète tant attendu, annoncera le Machiah Ben David ultime à la fin du sixième millénaire, vers la fin du chabbat. C’est la raison pour laquelle la cérémonie de la Havdala lui est consacrée, ainsi d’ailleurs que toutes les liturgies du huitième jour, y compris celle de la Brith Milla, (circoncision), parachèvement de l’homme au-delà de son être de nature (mèal’ateva), car la mitzva de la Brith prend le pas sur celle du chabbat. La mitzva de racheter les premiers-nés de génération en génération semble

aussi signifier qu’il leur reste une certaine sainteté aujourd’hui également. L’être humain voit plus clairement la main de D-ieu dans la première apparition de toute chose – que ce soit le premier fruit à murir sur l’arbre, le premier grain de blé de la nouvelle récolte ou encore le premier morceau de pâte que l’épouse a pétri pour le pain familial. Pour célébrer ces moments porteurs de symboles, la Thora nous a donné trois mitzvot : Les Bikourim, la Térouma et la Hala. De la même manière, le père juif voit dans son premier né la continuation de sa lignée. Ici aussi, il voit plus clairement la main de D-ieu et la mitzva du Pidyon Aben s’empare de ses saintes pensées. Elle donne peut être aussi réalité au profond désir du père juif de voir son premier né capable de consacrer sa vie au service de D-ieu. Dans cette paracha, D-ieu dira : «Les lewiyim seront miens» « Miens» signifie qu’ils «me seront consacrés» par le rôle cardinale qui était le leur, ce qui implique un service totalement et exclusivement exécuté pour l’amour du ciel-Lîchma. Ce statut, à notre époque, a été repris par les êtres de grande valeur qui se consacrent

à l’étude et à l’enseignement de la Thora, sans se soucier de l’importance de leur compte bancaire… Comme l’écrit Rambam : «Car ce n’est pas seulement la tribu de Lewi, mais n’importe qui, parmi tous les hommes qui se sent inspiré à se tenir devant D-ieu et à le servir…renonçant à tous les calculs matériels de ce monde… Le Rav Lèon Akénazi zatsal disait à propos du verset de notre paracha : «Parle à Aaron et dis-lui : «Quand tu feras monter (la lumière) des lampes, c’est vis-à-vis de la face du candélabre que les sept lumières éclaireront». Ce verset expliquait-il, nous donne une leçon importante de monothéisme : c’est toutes ensemble que les sept lumières doivent éclairer. C’est en s’éclairant mutuellement que les sciences des six jours du monde créé par Celui qui a révélé la Thora, et la Thora elle-même, donneront leur lumière. On est loin, on le voit, il est vrai, d’une conception dualiste de la vérité où la «religion» et la «vie dans le monde» créé par D-ieu sont vécues comme inconciliables. Yvan Lellouche

Ces femmes Yézidies qui se battent contre l’Etat islamique

Les femmes Yézidies ont décidé de se battre et de prendre les armes face à Daech. Elles tiennent position sur les hauteurs désertiques d’Irak, près du village de Bare, là où les hommes de l’État islamique ne sont qu’à quelques kilomètres. Qu’importe, ces femmes n’ont plus peur. Elles résistent pour donner un avenir à leur peuple. Paris match publie une série de portraits de ces femmes. Elles ont longtemps été persécutées ou opprimées, devenant souvent les esclaves sexuelles des barbares islamiques. Alors aujourd’hui plutôt mourir. Qualifiés d’«adorateurs du diable», les Yézidis ont vécu le

pire en août 2014, quand Daech a pris le nord-ouest de l’Irak : massacres, viols… Le peuple n’a pu que fuir face à cette barbarie. Beaucoup de réfugiés, cachés sur les monts Sinjar, sont malheureusement morts de faim ou de soif. Près d’un an après, le peuple Yézidi, une minorité kurde au culte millénaire, a pris conscience qu’il risquait de disparaître s’il ne résistait pas au groupe terroriste. Grâce à l’aide des YPG, les indépendantistes kurdes de la Syrie toute proche, la révolte s’organise. Les femmes aussi. Une révolution dans ces familles ultratraditionnelles. Gülan, 16 ans, Rajbin, 21 ans, ou bien encore Hitte, 65 ans, sont à présent des femmes soldats.

L’information en provenance d’Israël Edition du 2 Juin au 8 Juin

Le Hamas construit enfin une route à Gaza … pour attaquer Israël

Une roquette tirée depuis Gaza explose à l’est d’Ashdod

L’armée de l’air israélienne a mené quatre frappes contre des sites terroristes de la bande de Gaza mercredi matin, quelques heures après qu’au moins une roquette a été tirée sur le sud d’Israël. « Israël n’a aucunement l’intention d’ignorer les tirs contre ses citoyens (…) S’il n’y a pas de tranquillité en Israël, le Hamas paiera le prix fort », a déclaré le ministre israélien de la Défense, Moshe Ya’alon mercredi, mettant en garde le mouvement terroriste contre toute « tentative de nous tester ». Les avions de Tsahal ont visé dans la nuit des camps d’entraînement du Djihad islamique à Rafah, Khan Younès et dans la ville de Gaza, selon des témoins. Aucune victime n’a été recensée. Mardi, une roquette tirée depuis la bande de Gaza a touché le sud d’Israël, sans occasionner aucun blessé ou dommage. L’armée israélienne a indiqué avoir frappé « quatre infrastructures terroristes dans le sud de la bande de Gaza » en représailles à ce tir.

« Le fait que le territoire du Hamas soit utilisé comme base arrière pour attaquer Israël est inacceptable et intolérable et aura des conséquences », a déclaré un porte-parole militaire israélien, le lieutenant-colonel Peter Lerner, dans un communiqué.

la conséquence de rivalités au sein du Djihad islamique, une organisation terroriste soutenue par l’Iran. Le Hamas serait actuellement à la recherche des responsables du tir de la roquette et détiendrait plusieurs suspects.

« Tsahal ne tolérera aucune tentative d’attenter à la sécurité des habitants de l’Etat d’Israël », a-t-il ajouté.

D’après plusieurs analystes de la presse israélienne, la réponse de Tsahal devrait être limitée étant donné qu’aucune des parties ne souhaite un nouveau conflit ouvert.

Le mouvement terroriste du Hamas, au pouvoir dans la bande de Gaza, n’a pas revendiqué l’attaque.

Israël a déclaré la guerre l’été dernier au Hamas pour mettre un terme au tir incessant de roquettes sur son territoire.

Des témoins en Israël ont fait état d’ »explosions très fortes, jusqu’à faire trembler les maisons ».

Le dernier tir contre Israël a eu lieu le soir du Yom Haatsmaout, le jour de l’Indépendance de l’Etat d’Israël, il y a un mois, après quatre mois d’accalmie. Les blindés de Tsahal avaient immédiatement répliqué en visant des cibles du Hamas au nord de la bande de Gaza.

La police israélienne a indiqué avoir retrouvé des débris d’une roquette dans le secteur de Gan Yavneh. Le mois dernier, une roquette de Gaza avait touché Israël. L’armée avait répliqué par des tirs de chars, qui n’avaient pas fait de blessés. Selon des sources palestiniennes à Gaza, le tir de la roquette serait

La mairie d’Ashdod a affirmé mardi soir que les établissements scolaires qui ne sont pas protégés contre les tirs de missiles resteront fermés demain mercredi.

L’ancien ministre de l’intérieur (…) du groupe terroriste Hamas, Fathi Hamad, a déclaré vendredi qu’une nouvelle route que le groupe terroriste construit le long de la frontière entre la bande de Gaza et Israël l’est en préparation à une « fenêtre d’opportunité pour attaquer ».

le Hamas a tenté apparemment de désamorcer la situation récente, avec une source au sein du groupe terroriste disant que le groupe a arrêté ceux qui sont derrière le tir d’une roquette contre le sud d’Israël la semaine dernière. Selon la source, le Hamas essaye de parvenir à un accord de cessez-le feu à long terme avec Israël.

Hamad, qui est considéré comme un des membres les plus extrémistes du Hamas, a parlé lors d’une manifestation en mémoire d’un des commandants du groupe, Ahmad Sahmoud, qui a été éliminé lors de l’opération Bordure Protectrice.

Des sources sécuritaires israéliennes ont déclaré qu’ils surveillaient de près le pavage de la route, mais ne peuvent pas dire avec certitude sa destination.

Il a appelé les pays musulmans à travailler ensemble pour « supprimer le siège » de la bande de Gaza. Ses commentaires sur la nouvelle route sont les premiers à être faits par un responsable du Hamas à propos de cette mystérieuse route construite sous haute sécurité. Selon l’ancien ministre de l’intérieur, la route est construite à quelques 250-300 mètres de la clôture frontalière. Malgré le ton militant de Hamad,

Une enquête de Tsahal a trouvé que la route est pavée dans une zone adjacente à Nahal Oz, juste à l’extérieur de la zone tampon dans laquelle les arabes de Gaza sont interdits d’entrée. L’armée croit que le pavage de la route ne représente pas une menace sécuritaire pour Israël. Aussi dans la zone proche de Nahal Oz, le Hamas fait des travaux d’infrastructures importants à la périphérie du quartier de Saja’iyya, un quartier de la ville de Gaza, pour reconstruire les postes militaires détruits par Tsahal durant l’opération Bordure Protectrice.

L’information en provenance d’Israël Edition du 2 Juin au 8 Juin

Ces jeunes de Garges et Sarcelles ont « grandi » avec leur voyage en Israël « les idées reçues ont volé en éclat » alors qu’on ne ressent pas de tension, note Steve. Finalement, leur guerre, ce n’est pas une guerre de religion mais de territoire. Et les différentes religions cohabitent mieux qu’ici. » Au début, pour certains, ça n’a pas été facile de faire accepter un tel voyage. « Pour plusieurs membres de ma famille, c’était mal vu d’aller en Israël », raconte Dilan. « Mais maintenant, tout le monde nous dit qu’on a de la chance, les gens posent plein de questions », remarque Angela.

Ils sont rentrés il y a déjà un mois et pourtant, ils ont l’impression de ne pas avoir encore complètement atterri. « On revient différent d’un tel voyage. Grandi », note Yassine. Sept élèves du lycée Arthur Rimbaud de Garges-lès-Gonesse sont partis avec huit collégiens de Jean Lurçat à Sarcelles pour un voyage d’une semaine en Israël.

C’est Latifa Ibn Ziaten, la mère du militaire tué par Mohamed Merah en 2012, qui les a emmenés avec son association, Imad, du prénom de son fils. Un voyage qui a transformé ces élèves, sélectionnés pour leur engagement au sein du conseil de la vie lycéenne. Ce sont d’abord

les idées reçues qui ont volé en éclats. « Avant, je pensais que les Israéliens ne se mélangeaient pas avec les étrangers, mais en fait, ils sont très chaleureux », raconte Dilan, en Terminale. « On a vu des musulmans faire la prière sur l’herbe, en plein centre de Jérusalem. Je pensais que ça n’était pas possible », souligne Omer. « A la télé, on ne montre que la guerre,

Sophie maîtresse de CE2 : « Mon père va venir t’égorger si tu me punis » « Si je punis deux élèves noirs j’ai la garantie de me faire traiter de raciste » Ma classe de CM2 est extrêmement dissipée et même les punitions n’y font pas grandchose. Plus grave encore, ils les contestent sans cesse. Si je punis deux élèves noirs dans la même journée, j’ai la garantie de me faire traiter de raciste.

Dans l’Éducation nationale, les difficultés ne se concentrent pas que sur le collège. Alors que la réforme de Najat Vallaud-Belkacem a donné lieu à d’âpres débats ces dernières semaines, Sophie L., maitresse remplaçante dans le primaire depuis septembre, dépeint une situation désastreuse dans les deux écoles où elle travaille. La plupart des élèves de CM2 n’ont pas le niveau pour entrer au collège… Indiscipline, niveau accablant, elle envisage même de changer de métier.

Face à un élève qui me dit que « son père va venir m’égorger » lorsque je le punis, je suis complètement démunie. Lorsque j’avais l’âge d’être en primaire, je n’étais pas dans une zone spécialement favorisée ni défavorisée, pourtant, les paroles de la maîtresse était toujours bus avec une raisonnable attention par l’ensemble de la classe. Ce n’est pas faux de dire que les temps ont changé à l’école. Je suis maîtresse d’école pour des CM2 de ZEP et pour des CE2 dans une zone de plus en plus difficile : je vis un enfer depuis le premier jour. Je n’ai pas été suffisamment préparée à ce qui m’attendait. Ma

formation était trop théorique et la réalité du terrain est ignorée par les formateurs. […] Le lundi, j’ai donc une classe de CM2 dans une école primaire difficile du 94. Comme je ne suis « que » la maîtresse remplaçante, je n’ai, selon eux, aucune légitimité à leur enseigner quoique ce soit. Ils prennent ma journée de cours pour une continuité de leur week-end. Du côté des parents, c’est pareil. Pour eux, je ne suis pas importante puisque je ne suis pas « la vraie maîtresse ». […] Je ne peux pas réellement leur enseigner le programme de CM2, leur niveau est identique vois en dessous de celui de mes CE2. Les lacunes se sont accumulées et sont aujourd’hui presque insurmontables. À part trois ou quatre élèves, sur un peu plus d’une vingtaine, aucun n’a le niveau pour entrer au collège. […] Nouvel Obs

Mur des lamentations, mosquée Al-Aqsa, église du Saint Sépulcre, mais aussi visite de la vieille ville de Jérusalem, Ramallah et TelAviv. Le programme était chargé. La découverte, pour beaucoup, ça a aussi été celle du judaïsme. Les rites, l’histoire, les traditions, on leur a tout expliqué. « La prière est différente mais au fond, on a tous le même Dieu », constate Dilan. Le petit groupe a même été invité à célébrer Shabbat dans une famille. Un des moments forts du voyage. Mais bien sûr, les difficultés existent et n’ont pas échappé aux

jeunes. « Un mur qui sépare les populations, c’est choquant, injuste », s’exclame Steve, toujours marqué par les images de ces morceaux de béton érigés autour des territoires palestiniens, couverts de graffitis tels que « Freedom ». « On prend aussi conscience de la chance qu’on a, observe Yassine. On se plaint beaucoup, mais nous, on a la liberté d’aller et venir comme on veut. Les Palestiniens, non. » Yassine se souvient notamment de ce jeune du lycée français de Jérusalem, mais habitant de Ramallah, dont le seul moyen pour passer la frontière est d’emprunter le bus diplomatique qui passe une fois par jour. Ou de cette jeune Palestinienne qui a perdu deux membres de sa famille, tués lors d’une manifestation. Alors que faire de toutes ces rencontres ? Les élèves ont pour mission de devenir ambassadeurs de la paix. « Au fond, on est tous pareils, insiste Yassine. Il faut arrêter de vivre enfermé. » Le 11 juin, tous livreront une présentation de leur voyage au sein du lycée.

Assemblée générale du Consistoire de Paris

Dimanche dernier s’est tenue l’assemblée générale ordinaire du Consistoire de Paris en présence d’adhérents. Les chiffres de cette année sont encore en baisse. On notera pour information : moins 300.000 en Dons, moins 300.000 en Cacherout, bref une dégradation des recettes pour plus de 600.000 euros selon le trésorier. Par ailleurs il a été indiqué que les raisons de ces mauvais chiffres de la cacherout étaient du essentiellement à la Alya massive.. que la baisse des mariages était également du aux gens qui préféraient

se marier en Erets et que la Hevra Kadicha n’était pas non plus en bonne santé, cela étant du à tous ceux qui ont choisi de mourir en Israël… Pour palier à ces nombreux déficits et faire face à certains projets à venir, les responsables songeraient parait-il à la vente de «bijoux de famille» du patrimoine immobilier de l’acip. Alors à l’an prochain… dans la salle «Jérusalem»?. En attendant mangez cacher BDDP, il en a bien besoin ! YL

L’information en provenance d’Israël Edition du 2 Juin au 8 Juin

Laurent Fabius sera en Israël autour du 15 Juin 2015. Négociation au Proche-Orient

Laurent Fabius, se rendra le mois prochain au Proche-Orient pour tenter de relancer les pourparlers israélo-palestiniens et convaincre les parties de souscrire à la résolution promue en ce sens par la France au Conseil de sécurité de l’Onu. “Je me rendrai avant la fin du mois (de juin) en Egypte, dans les Territoires palestiniens et en Israël”, a-t-il déclaré jeudi sur France Inter. Dans son entourage, on précise que la visite aura lieu dans la deuxième quinzaine de juin, avant la dernière session de négociation sur le nucléaire entre l’Iran et les grandes puissances. “Nous voulons reprendre la négociation entre les deux parties et que cette négociation soit encadrée”, a-t-il encore indiqué. La France souhaite faire adopter par le Conseil de sécurité de l’Onu une résolution qui définirait un cadre temporel et des paramètres en vue d’une reprise des pourparlers de paix. Le projet de texte a été remis récemment aux pays de la Ligue arabe, ont dit des diplomates français. “Vous connaissez l’analyse de la France : nous sommes pour une solution des deux Etats. Il faut assurer la sécurité d’Israël, c’est évident, mais il n’y a pas de sécurité et de paix sans justice. La justice n’est pas rendue aux Palestiniens donc il faut aller vers la solution des deux Etats”, a dit Laurent Fabius. “La France a fait des propositions à Noël dernier mais on n’a pas pu

les examiner parce qu’il y avait l’approche des élections israéliennes”, a-t-il ajouté. Les pourparlers ont été suspendus en avril 2014, les Palestiniens condamnant la poursuite de la construction dans les implantations et les Israéliens dénonçant l’accord de réconciliation entre l’Autorité palestinienne et les terroristes du Hamas, au pouvoir à Gaza. Benyamin Netanyahou a de son côté affirmé être favorable à une solution à deux Etats et serait prêt à négocier un tracé des frontières d’un Etat palestinien, basé sur des échanges de territoires selon des rapports publiés dans les médias. Une offre rejetée par le négociateur palestinien en chef, Saëb Erekat. (Avec Reuters) Source: i24News (Copyrights)

Bayonne : ville pionnière du chocolat

Il semblerait que Bayonne doive son histoire chocolatière...à l’Inquisition. En effet, en 1492, fuyant les persécutions des rois catholiques, Isabelle de Castille et Ferdinand d’Aragon, des artisans juifs espagnols et portugais s’installent à Bayonne, toute proche. A l’époque ces juifs étaient poursuivis par des inquisiteurs d’une redoutable pugnacité, les « conversos » (convertis) qui les accusés de ne pas avoir abjuré la religion juive et de simuler leur conversion tout en continuant à pratiquer la Thora (les inquisiteurs guettaient leur cheminée les samedis matin d’hiver et si la fumée n’en sortait pas, c’est qu’ils observaient le Chabbat..). Ces juifs trouvèrent refuge au Pays Basque, où perdurait une forme de tolérance envers les juifs à l’époque où le Roi de Navarre Sanchez VI « le Sage » promulgua un édit menaçant de mort toute personne portant atteinte à l’intégrité d’un de ses sujets de confession israélite. Son successeur Charles III ira même jusqu’à nommer un juif à la cour des comptes de Pampelune… Initiés aux subtilités du cacao, ils créent sur la rive droite de l’Adour les premiers sites de transformation du cacao en France. Secret de fabrication que les juifs initiés aux sciences apothicaires liées aux vertus médicinales du cacao et rapportées des Indes occidentales allaient se transmettre de généra-

tion en génération. C’est en 1670, que le mot « chocolat» désigné par les Aztèques «Xocoatl», apparaît pour la première fois dans les archives de la ville de Bayonne.

Importées en Europe par l’Espagne au 16ème siècle, les fèves de cacao ramenées du Mexique par l’explorateur Cortès apparaissent en France au 17ème siècle. À l’époque, le chocolat est encore une boisson, rare et précieuse, à laquelle on prête des vertus médicamenteuses et aphrodisiaques. C’est au Pays basque que s’installent les premiers ateliers de cacao français d’origines juives, sans doute attirés par les sites de surf exceptionnels de la région (cette entorse à l’histoire vise à tester votre attention). Très vite, le cacao joue un rôle important dans l’économie locale, et les chocolateries se multiplient. À la fin du 18ème siècle, le chocolat de Bayonne a gagné ses galons et se vend à Paris ainsi que dans plusieurs villes du royaume. Au 19ème, la ville est même la Cité du chocolat en France, tant par la qualité de sa production que par son dynamisme : on compte alors 31 chocolateries à Bayonne parmi lesquelles Daranatz, Pariès ou encore Gazenave.. Ce savoir-faire est partagé par d’autres villes du Pays basque, dont Biarritz, Cambo, Ustaritz et Saint-Jean de Luz... Au début du 20ème siècle, l’industrialisation explose et bouleverse la façon dont on consomme et fabrique le chocolat. Bayonne

perd alors de nombreux artisans locaux et son rang de capitale chocolatière. Mais l’histoire d’amour entre la ville et le chocolat perdure. Le passage par Bayonne nous rappelle la saga de ces grands voyageurs, pas tous très sympathiques d’ailleurs, revenu des Amériques avec la fameuse fève, ce qu’en firent les juifs de la péninsule Ibérique avant de se réfugier sur les bords de l’Adour à Bayonne, pour perpétuer leur savoir et leur art.

A Bayonne aujourd’hui encore, cet aspect de son identité connaît même une nouvelle vigueur grâce au travail d’organisations comme l’Académie du Chocolat, dont l’Atelier fait partie. L’Académie a ainsi créé depuis 1993 les « Journées du chocolat », un événement qui attire de nombreux participants chaque année. YLellouche UCCF

L’information en provenance d’Israël Edition du 2 Juin au 8 Juin

Colère des victimes : le père de Mohamed Merah de retour en France en toute illégalité

Selon RTL, Mohamed Benalel Merah a bien été entendu par la police. À deux reprises précisément, au mois de février, à la demande des magistrats. La première fois, dans le cadre des tueries de Toulouse et Montauban perpétrées par son fils, Mohamed Merah. Puis à propos du départ en Syrie de sa fille, Souad Merah. Il a été relâché à chaque fois, aucune charge n’ayant été retenue contre lui.

Un an déjà

Richard Halimi zal, le président de la communauté de Sarcelles nous a quitté il y a juste un an, alors que nous l’avions rencontré le jour même de l’assemblée générale du consistoire de Paris en 2014. Richard fut un homme affable et humble à l’image de son père le Rav Halimi zatsal qui officia durant de très nombreuses

Personnalité éminemment connue dans la communauté juive, en particulier la communauté juive de Belleville. Rebbi Tsemah avait une grande exigence en matière d’éducation , du respect d’autrui, de l’amour de la Thora et le secours porté au prochain, sans rien attendre en retour. La transmission était un devoir sacré dans la famille Smadja à l’instar du père Rabbi Braïtou qui forma dans la années auprès du Rav René Guedj à la synagogue Av. Paul Valéry de Sarcelles. Comme le rappel le roi Salomon dans l’Ecclésiaste, «l’homme n’est qu’une ombre qui passe..», que le souvenir de Richard Halimi soit pour nous une bénédiction. YL

rabbanout plusieurs de ses enfants dont Daniel, rabbin à Bat Yam en Israël, ou encore le rav Victor. De l’avis de tous ceux qui l’on côtoyé, la modestie était l’une des grandes qualités du maître, Rabbi Tsemah Julot zatsal. Que sont souvenir demeure une bénédiction. YL

Le père de Mohamed Merah se serait installé en toute illégalité en France. BFMTV révèle que la police judiciaire l’a auditionné en février dernier… mais la justice « n’a pas retenu de charges contre lui ». Le père du terroriste de Toulouse de retour illégalement en France Le père de Mohamed Merah, qui a perpétré les tueries de Toulouse et Montauban, serait revenu vivre à Toulouse… en toute illégalité. Le père du « tueur au scooter » aurait un appartement dans le quartier de Bagatelle. BFMTV précise qu’ « il serait désormais en France en toute illégalité, sa carte de séjour étant périmée ». Cette information a évidemment provoqué une intense colère des familles des victimes, convaincues que le père de Mohamed Merah n’a jamais été auditionné par la police. Le père du tueur, après le décès de son fils, avait affirmé,

depuis l’Algérie où il vivait depuis plusieurs années, qu’il détenait des enregistrements vidéo confidentiels. Le père avait également déclaré que son fils travaillait pour les services secrets français, et qu’une plainte avait été déposée contre la France. Selon les informations de BFMTV, Mohamed Benalel Merah aurait bien été auditionné par la police judiciaire de Toulouse, dans une commission rogatoire. La justice n’a finalement rien retenu contre lui. La colère des victimes Le père d’un militaire tué par Mohamed Merah, sur RTL, ne contenait pas sa colère : « Pourquoi l’Etat cache cette vérité, je parle de la présence de Merah à Toulouse. Est-ce qu’il nous cache quelque chose, est-ce parce que ça dérange ? (…) Je réclame que le procureur François Molins signe un mandat d’arrêt pour que l’on entende ce monsieur (…). Qu’il lui pose la question, qu’il le fasse venir à Paris et qu’il lui dise, ‘maintenant, Monsieur, dites-nous ce que vous savez. Et où sont ces vidéos, si elles existent bien? » a-t-il ajouté. Mohamed Merah avait tué trois militaires, puis trois enfants et un enseignant de confession juive, entre le 11 et le 19 mars 2012 à Montauban et Toulouse, avant d’être tué par la police. Valeurs Actuelles

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Le Premier Ministre Indien Modi, bientôt en Israël

Le Premier ministre indien Narendra Modi se rendra en visite en Israël à une date à convenir d’un commun accord, a annoncé dimanche la ministre indienne des Affaires étrangères Sushma Swaraj. Si cela se concrétise, ce sera la première visite d’un Premier ministre indien en Israël depuis l’indépendance de l’Inde en 1947. L’Inde a établi des relations diplomatiques “complètes” avec Israël en 1992 bien qu’elle ait reconnu l’Etat hébreu en 1950.

Conflit entre la Baronne de Rothschild et les Autorités fiscales

La Baronne de Rothschild fait part de son désarroi dans une controverse fiscale qui oppose sa famille à l’Etat d’Israël. Son mari ne se rend plus en Israël du fait de ce conflit qui ne semble pas trouver d’issue. “Il (Benjamin, le baron de Rothschild ndlr) a explicitement dit qu’il ne viendrait pas en Israël tant que cette question [avec les autorités fiscales] n’est pas résolue”, dit la baronne. “J’espère, qu’une solution sera rapidement trouvée,

de sorte qu’il puisse venir et que nous puissions passer du temps ensemble ici. C’est une honte qu’il y ait un tel malentendu à propos de ce que nous faisons et comment nous le faisons. Il est insultant que l’Etat d’Israël jette le doute sur nous. S’il y a une famille qui n’a pas à prouver son engagement envers Israël, c’est bien la nôtre”. La baronne rappelle les décennies de contribution de sa famille à la communauté et la société israéliennes dans le cadre de son diffé-

rend avec les autorités fiscales. Le différend concerne la Fondation Césarée (qui est un organe distinct du groupe Rothschild Israël), et qui a été fondée par la famille, non seulement pour financer des projets, mais aussi pour gérer la ville de Césarée qui est la seule ville en Israël sans municipalité, et son parc industriel. La famille Rothschild est également propriétaire de plusieurs milliards de shekels d’actifs, sur lesquels elle n’a pas eu à payer d’impôts, jusqu’à une demande récente des autorités fiscales israéliennes, créant la controverse. ISRAELVALLEY PLUS. Benjamin de Rothschild, né le 30 juillet 1963 à Neuilly-sur-Seine est le fils d’Edmond de Rothschild (1926-1997), banquier, et de Nadine Lhopitalier (1932-), actrice. Il s’est marié le 23 janvier 1999 à Ariane Langner avec qui il a eu quatre filles. C’est la 20e fortune de France en 2014 avec 2.9 milliards d’euros. Il réside à Genève, en Suisse. Coolamnews (Copyrights)

Coolamnews ISRAELVALLEY PLUS. La coopération Israël-Inde est sur la sellette. Excellente nouvelle pour le hightech d’Israël. La startup Panaya, installée à Raanana (160 employés), et qui possède un savoir-faire unique en matière d’automatisation des logiciels de gestion pour les grandes entreprises, va passer dans les mains d’un leader mondial d’origine Indiennne. C’est Infosys qui a acheté cette firme israélienne d’exception. Selon le Monde Informatique (Copyrights) : «La SSII indienne Infosys vient de procéder à l’acquisition de la start-up israélo-californienne Panaya spécialisée dans l’automatisation des logiciels de gestion pour les grandes entreprises, pour 200 millions de dollars en numéraire. Cette transaction est en ligne avec la stratégie de Vishal Sikka, nouveau CEO du groupe, visant à automatiser les processus, réduire les tâches répétitives et accélérer la prestation des services. «Cette acquisition permettra à Infosys d’utiliser l’automatisation pour accroître ses revenus sans devoir augmenter ses effectifs, «

a commenté Sudin Apte, PDG et directeur de recherche du cabinet d’études Insights Offshore. Il a également fait remarquer que certains concurrents du groupe, dont Tata Consultancy Services, utilisaient déjà un certain degré d’automatisation développé en interne. Eliminer les tâches répétitives Vishal Sikka entend redresser Infosys, dont la croissance est atone depuis ces deux dernières années, à la fois en raison de problèmes d’’exécution et d’un marché affaibli. Le groupe va injecter une partie de ses 5 milliards de dollars de trésorerie dans des acquisitions liées aux domaines du cloud, de l’intelligence artificielle et des big data. Ses fonds de capital-risque devraient également augmenter, passant de 100 à 500 millions de dollars. Au cours du quatrième trimestre 2014, Infosys a totalisé un chiffre d’affaires de 2,2 milliards de dollars, en hausse de 5,6%, et dégagé 522 millions de dollars de bénéfices (+13%). « La technologie cloud de Panaya réduit le risque, le temps et les coûts requis pour apporter des changements aux solutions d’entreprise telles que celles proposées par SAP et Oracle, en identifiant comment les environnements existants seront touchés, en indiquant aux utilisateurs ce qu’ils ont besoin de tester, et en assurant la gestion des phases de tests », a précisé Vishal Sikka. « Ainsi, Infosys sera délestée de la corvée de devoir procéder à de nombreuses tâches répétitives », a-t-il ajouté. La transaction sera finalisée le 31 mars 2015, sous réserve des conditions de clôture habituelles». Article de Véronique Arène avec IDG NS

L’information en provenance d’Israël Edition du 2 Juin au 8 Juin

Pour $200 millions Fattal (Israël) rachète 12 Hotels en Europe

Y a-t-il un pilote aux commandes du gaz israélien ? Fattal hotels a l’assaut de l’Europe! Selon le journal économique israélien Globes, La chaine d’hotels israéliennes Fattal rachète 18 hotels en Europe (12 hotels en Allemagne, 5 en Belgique, 1 en Suisse) pour plus de 200 millions de dollars. Ce tournant vers l’Europe du groupe Fattal peut s’expliquer pour deux principales raisons : tout d’abord ayant déjà plus de 35 Hotels en Israël, un de ses relais de croissance est l’international. La promesse du gouvernement israélien de briser le monopole de la production de gaz ne sera pas respectée : alors au moins un contrôle des prix ? La semaine dernière fut agitée pour le secteur du gaz en Israël. Le directeur de l’Autorité de la Concurrence (David Gilo) a démissionné à défaut d’avoir reçu le soutien du gouvernement dans son projet d’introduire un peu de concurrence sur le marché du gaz. Peu après, c’est le ministre des Finances lui-même (Moshé Kahlon) qui décidait de transférer ses prérogatives en matière de gaz au Premier ministre ; ses relations amicales avec Kobi Maimon, un des patrons du gaz israélien, constituent un conflit d’intérêts qui lui interdit de prendre des décisions objectives. RÉGULATION ET CONFLITS D’INTÉRÊTS Pourtant, Moshé Kahlon avait promis à ses électeurs de combattre les monopoles qui dominent l’économie israélienne et qui ne permettent pas la baisse des prix. Sur sa ligne de mire : le monopole du gaz et des services bancaires, mais aussi les monopoles de l’agroalimentaire, ou de l’Internet.

Après le succès qu’il a obtenu sur le marché de la téléphonie mobile, Kahlon avait surtout promis de s’attaquer au secteur du gaz. Celui-ci reste dominé par deux consortiums monopolistiques, Nobel-Energy et Delek. Or le candidat Kahlon avait omis de révéler à ses électeurs que son amitié avec un des Tycoons du gaz, Kobi Maimon, lui interdisait en fait de s’occuper du dossier gazier. Devenu ministre des Finances, Kahlon a dû se rendre à l’évidence : ce n’est pas lui qui démantèlera le monopole du gaz. Au même moment, le régulateur de la concurrence David Gilo rendait aussi son mandat ; le ministère de l’Économie et celui de l’Énergie s’opposaient à son projet de briser le monopole du gaz et d’introduire de nouveaux concurrents sur le marché. LES ENJEUX : 500 MILLIARDS DE SHEKELS En fait, les intérêts du gouvernement israélien ne sont pas très éloignés de ceux des sociétés gazières : en maintenant un prix du gaz élevé, les caisses de l’Etat, tout comme les poches des ac-

tionnaires privés, vont se remplir. Selon les calculs de la Banque d’Israël, les royalties que l’Etat percevra de l’exploitation du gaz se monteront à 125 milliards de dollars au cours des 25 années à venir, c’est-à-dire de 2015 à 2040. Au taux de change actuel du billet vert, 125 milliards de dollars représentent environ 500 milliards de shekels. Le gouvernement israélien a décidé que 60% de cette somme seraient conservés dans un fonds souverain et 40% seront versés au budget de l’Etat. Autrement dit, tous les partenaires (gouvernement et sociétés exploitantes) ont intérêt à ne pas trop tirer les prix à la baisse. À la différence de la Norvège, Israël a privatisé l’exploitation gazière. Alors que le gouvernement norvégien a pris le risque d’investir des fonds importants dans la recherche gazière, en Israël le gouvernement a laissé des investisseurs privés se partager le pactole du gaz. À défaut de démanteler le monopole du gaz, le gouvernement israélien peut encore imposer un contrôle des prix. S’il le veut. Jacques Bendelac (Jérusalem)

Deuxièmement, le Groupe suit sa clientèle israélienne très friande notamment de la destination allemande avec près de 200.000 israéliens qui s’y rendent annuellement

(et principalement à Berlin). Ainsi le groupe Fattal peut jouer de ses marques comme Leonardo et faire des offres spécifiques à ses propres clients au lieu de les voir partir a ma concurrence. Nulle doute que dans l’avenir la chaîne Isrotel, son challenger, vise une stratégie similaire surtout qu’avec l’accord de ciel ouvert et l’arrivée de low cost avec l’Europe comme EasyJet, Transavia,.. et des comparateurs de prix tels que AirTelAviv. com, les perspectives de développement touristiques restent prometteuses notamment sur 2015. L.B

La Grève des employés d’IsraelRailway n’aura pas lieu

La grève des employés de Israel Railway annoncée pour ce dimanche depuis quelques jours n’aura finalement pas lieu. Tous les Israéliens pourront emprunter leurs lignes habituelles pour se rendre au travail. La grève sera peut-être reportée à plus tard. Israel Railways avait annoncé que dès dimanche, les personnels seront en grève. Selon le comité,

cette grève est le résultat de « la poursuite des mesures unilatérales prises par la direction ainsi que des violations systématiques des accords entre la direction et les travailleurs «. Le comité des travailleurs a ajouté que même si “la direction des chemins de fer israéliens a été prévenu des doléances des travailleurs, elle a choisi de les ignorer”. La direction, quant à elle, a publié une déclaration condamnant la grève : « Israel Railways regrette le comportement irresponsable du comité des travailleurs au détriment des citoyens d’Israël. Toutes les tentatives de la direction pour maintenir ouvert le dialogue avec le comité ont été rejetées, y compris les réunions qui étaient déjà prévues «.

L’information en provenance d’Israël Edition du 2 Juin au 8 Juin

Bonne nouvelle pour l’économie La marque Coréenne d’Israël : l’inflation est de retour Kia a été Numéro 1 des ventes en Israël lienne est toujours dans une phase de ralentissement. Car l’hirondelle de la déflation, qui semble s’éloigner, n’est pas encore confirmée par les chiffres de l’activité : le printemps de la croissance n’est pas encore annoncé. CROISSANCE MOLLE

L’inflation en Israël s’est redressée en avril du fait d’une moindre baisse des prix du pétrole mais le rythme de croissance reste ralenti. L’annonce d’un indice des prix positif (0,6%) pour le mois d’avril a été saluée par les économistes israéliens comme une sortie de la déflation. Comme dans la zone euro, les prix en Israël auraient atteint leur point le plus bas. En revanche, la croissance reste molle, même s’il ne s’agit pas d’un ralentissement généralisé. DÉFLATION : LE SPECTRE S’ÉLOIGNE L’indice des prix à la consommation pour le mois d’avril a augmenté de 0,6%. Voilà plus de deux ans que l’inflation n’avait pas montré un tel signe de redressement. Certes, les facteurs de hausse des prix sont saisonniers ou exogènes : le mauvais temps et la fête de Pessah expliquent le bond de près de 8% des fruits et légumes frais, et cela malgré une crise des expor-

tations vers la Russie. De même, les prix du pétrole avaient constitué les mois précédents le principal facteur du recul des prix en Israël ; désormais, leur moindre repli explique une grande part de la hausse des prix constatée en avril. Les prix des transport sont remontés de 0,5% alors que le logement a reculé de 0,1%. UNE HIRONDELLE NE FAIT PAS LE PRINTEMPS L’indice positif d’avril survient après un indice faible en mars (0,3%) et un indice négatif en janvier et février. Sur les douze derniers mois, les prix ont baissé de 0,5%. Si l’inflation n’est pas définitivement de retour en Israël, les prévisions sont encourageantes : selon la Banque d’Israël, les anticipations inflationnistes des spécialistes du marché monétaire sont remontées à 1,2% pour les douze prochains mois. Certes, une hirondelle ne fait pas le printemps: l’économie israé-

ENCORE

Au premier trimestre 2015, le rythme annuel de la croissance en Israël a été de 2,5% seulement ; c’est en dessous des 3,2% que la Banque d’Israël a prévu pour toute l’année 2015. Certes, il ne s’agit pas d’une faiblesse générale, mais plutôt localisée : la baisse des dépenses publiques (le budget 2015 n’a pas été voté) et la baisse des investissements en véhicules de transport expliquent la croissance décevante du premier trimestre. En revanche, la consommation privée augmente au rythme annuel de 5,5% et les exportations de biens et services ont bien redémarré. Pour la Banque d’Israël, le retour de l’inflation est une relative bonne nouvelle. Pour lutter contre les risques de déflation, la banque centrale envisageait de fixer un taux d’intérêt négatif pour relancer l’activité, tout en rachetant massivement des dollars. Aujourd’hui, le marge de manœuvre de la banque centrale s’élargit et le spectre d’un intérêt négatif semble s’éloigner de l’économie israélienne. Jacques Bendelac (Jérusalem)

La marque coréenne Kia a été numéro 1 des ventes en Israël au mois d’avril, avec 2 560 unités écoulées dans le pays, contre 2 503 unités pour son concurrent Toyota. En outre, le véhicule de loisir Sportage a pour la première fois été le modèle le plus vendu dans le pays, avec 996 unités écoulées en avril. La Picanto s’est classée en troisième position, avec 866 unités vendue. ccfa.fr ISRAELVALLEY PLUS Kia est le nom d’un constructeur automobile sud-coréen, créé en 1944, ayant des usines en Corée du Sud (à Sohari, Hwasung et Gwangju), aux États-Unis et en Europe. Fondée en 1944 par M. Chul-Ho Kim pour fabriquer des composants pour bicyclettes, Kia fabrique son premier véhicule à deux roues le samcholli-ho, en 1952. Ce modèle reste en production pendant neuf ans. En 1961 Kia lance sa première motocyclette, la C-100 et trois mois plus tard le triporteur K-360. Il faut attendre neuf ans pour que Kia se lance dans la fabrication d’automobiles sous la marque Asia Motors, en 1971, en assemblant la Fiat 124 sous licence pour le marché de la Corée du Sud. En 1973 Kia réalise son premier moteur essence pour automobiles. En 1974 Asia Motors devient Kia Motors Company et lance la première voiture de sa propre conception qu’il exporte à partir de 1975. Trois ans plus tard, Kia lance son premier moteur diesel et en 1976, il débute la production sous licence des modèles Fiat 132 et Peugeot 604. Les années 1980 marquent un tournant de l’entreprise avec le lancement d’un petit fourgon, le Bongo, puis Kia s’associe avec le

japonais Mazda pour la construction d’un véhicule pour l’agriculture. En 1986 un nouvel actionnaire entre au capital de Kia, Ford, qui fait fabriquer par Kia son modèle Ford Festiva dans l’usine coréenne pour ensuite l’exporter vers les États-Unis. En 1997, après une période faste qui lui permet une expansion rapide, Kia plonge dans une profonde crise qui touche tout le SudEst asiatique. Kia est déclarée en banqueroute et elle est rachetée le 1er décembre 1998 par son principal concurrent, Hyundai Motor. Kia Motors Company est actuellement le plus ancien constructeur automobile de Corée. Kia emploie plus de 32 000 personnes sur 12 sites de production à travers le monde. La première syllabe Ki du mot Kia signifie « se révéler au monde ». La seconde syllabe A est la première lettre du mot Asie. Donc, Kia signifie « l’Asie se révèle au monde ». Kia est la première marque à proposer une “garantie 7 ans ou 150 000 km (premier terme échu)” sur tous ses modèles, mais avec des limitations : la batterie, le système audio, les systèmes de navigation et multimédias et la peinture du véhicule dont la garantie n’est pas de 7 ans, ainsi que les pièces dites d’usure qui ne sont pas couvertes par la garantie. La garantie débute quand le concessionnaire fait le «départ en garantie et pas forcément à la “1 ère mise en circulation”. Source: http://www.ccfa.fr/

L’information en provenance d’Israël Edition du 2 Juin au 8 Juin

Les «parlements populaires» font concurrence à la Knesset

Benny Begin, fils de Menahem Begin quitte le Gouvernement jamin Netanyahu ne dispose que d’une voix de majorité (61 sur 120) au Parlement. AFP

Le ministre sans portefeuille Benny Begin, fils de l’ancien chef du gouvernement Menahem Begin (photo), a démissionné du gouvernement en raison d’un surnombre de ministres du parti Likoud, a annoncé dimanche la radio publique. Benny Begin a abandonné son poste à la suite de la récente entrée au gouvernement de Gilad Erdan, lui aussi du Likoud, le parti du Premier ministre Benjamin Netanyahu, qui est devenu ministre de la Sécurité intérieure, de la Diplomatie publique et des Affaires stratégiques. Avec l’arrivée de M. Erdan, qui

avait refusé dans un premier temps d’entrer au gouvernement, le nombre de ministres du Likoud était passé à 13 sur 20, sans compter Benjamin Netanyahu. Les quatre autres partis religieux, nationaliste et centriste membres de la majorité avaient exigé que le nombre de ministres du Likoud soit limité à 12, ce qui a contraint M. Begin à la démission. Benny Begin a été élu député lors des législatives du 17 mars après une pause dans sa carrière politique. Il avait été ministre des sciences entre 1996-1997 et ministre sans portefeuille de 2009 à 2013. Le gouvernement de Ben-

ISRAELVALLEY PLUS. Selon israpresse.net “Le Premier ministre Binyamin Netanyahou, qui tenait absolument à maintenir M. Begin au sein du gouvernement, s’était adressé aux chefs des autres partis de la coalition afin qu’ils acceptent de faire une exception et permettent à Benny Begin de rester au gouvernement. Face au refus de ces derniers, Benny Begin, dont l’éthique politique est légendaire, a préféré démissionner et restera simple député Likoud. Le Premier ministre ne désespère pourtant pas de le réintégrer à l’avenir au gouvernement. Cela pourrait se faire par exemple dans le cas où se confirment les rumeurs de la nomination du ministre Ofir Akounis au poste de prochain ambassadeur d’Israël à l’ONU». R. Kl

Les 120 nouveaux députés israéliens sont prévenus : les “parlements populaires” font concurrence à la Knesset pour traiter de l’avenir du monde. Un phénomène typiquement israélien fleurit depuis quelques années dans les lieux publiques, comme les cafés et les jardins publics : les parlements populaires du vendredi matin. Il s’agit d’espaces de délibération publique et de débat où s’opèrent des prises de parole dans tous les domaines: de la politique au sport, en passant par la religion ou une émission télévisée. Le dernier livre de Jacques Bendelac et Mati Ben-Avraham, “Les Israéliens hypercréatifs !” consacre quelques pages à cette pratique d’assemblées populaires en Israël. En voici un extrait: « C’est un trait, ô combien caractéristique, de la société israélienne : le vendredi matin, les parlements populaires se réunissent pour traiter de l’avenir du monde, du futur d’Israël, de la guerre, de la paix, de la corruption, de l’éducation, des minorités, des Palestiniens palestiniens, c’est-à-dire ceux qui sont voisins mais non israéliens, de l’armée bien entendu, de Maccabi Tel-Aviv (basket), du foot, du viagra, de l’existence de Dieu et tutti quanti ! Et ne dites pas : bon, des discussions de Café-com-

merce. Non, monsieur, non. Ici, on ne papote pas, on ne ramène pas des ragots, des on-dit : On débat. Sérieusement, mais sans se prendre au sérieux, comme ceux qui de la Knesset… Et où se tiennent ces Parlements ? Dans les cafés, les jardins publics, les restaurants, une buanderie, un salon de coiffure… Certaines séances débutent à 7 heures du matin, elles concernent ceux qui travaillent encore le vendredi, journée généralement chômée en Israël, donc majoritairement des commerçants, des professions libérales, des artisans. Plus généralement entre 10 heures et midi, les séances durent une à deux heures, voire plus, tout dépend de l’ordre du jour ; et il est déjà arrivé qu’une discussion sur la taxation douanière sur les alcools se soit éternisée, tandis qu’une tentative de débat pour refaire le monde n’a pas fait long feu… Du moins tant que l’on n’y mêle pas Dieu ». COPYRIGHT – Editions Ateliers Henry Dougier (« Les Israéliens, hypercréatifs ! » par Jacques Bendelac et Mati Ben-Avraham, Paris, 2015)