Israël Actualités n°491

GRATUIT - Numéro 491 - Edition du 10 au 16 Octobre 2018

Journal israélien en langue française

ÉDITO

Edition du 10 au 16 Octobre 2018

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La coexistence pacifique, cette utopie douloureuse

Tichri s’en est allé. Que 5779 soit douce et sucrée pour chacun d’entre vous chers lecteurs. Que vous soyez tous inscrits dans le Livre de la vie. Le peuple juif, au cours de ce mois de fêtes, est passé par une myriade d’émotions, de réflexions, de la peine à la contrition, de la joie à l’espérance. Entre rivière de miel et jeûne, notre rentrée, qui coïncide avec le début de l’année hébraïque, nous a obligés à la remise en question. Oui. Mais voilà. L’ennemi, lui, ne connaît manifestement pas ce chemin-là. Il faut croire que l’envie de vivre ensemble, de coexister, d’aimer tout simplement, n’existe pas chez lui.

Alors qu’ils travaillaient ensemble, qu’ils vivaient ensemble, qu’ils partageaient leurs joies, leurs peines, leurs idées en même temps que le déjeuner, l’un des employés d’une usine a pris une arme. Alors qu’il avait passé du temps à contempler les photos du bébé de sa collègue, écouté ses petites anecdotes sur la première dent ou les nuits sans sommeil, il a pu lui loger une balle dans la tête. Froidement. En sachant que le soir-même, son bébé ne reverrait pas sa maman. Il a aussi assassiné un père de famille, laissé trois autres enfants orphelins.

Une troisième victime prise en otage s’en est sortie par miracle. On nous dit, au lendemain de cet horrible attentat que les terroristes n’auront pas notre haine, que la coexistence entre Palestiniens et Israéliens telle qu’elle se vivait dans cette usine, dans cette ville, survivront à ces meurtres. Honnêtement et avec désespoir, j’avoue que je n’y crois guère. Que je n’y crois plus en tout cas.

Le phénomène se transpose, avec une symétrie parfaite, d’ailleurs, dans les pays occidentaux dont le nôtre : les juifs sont contraints de déménager, de se protéger, de se taire parfois, car toute manifestation verbale de soutien à Israël suscite immanquablement des torrents de boue

Directeurs de la publication Rédacteur en chef Eliahou Ben Yoshua Tel: 06 68 17 25 55 Israël Actualités est une marque déposée en France

et de haine. Etre juif aujourd’hui, en Europe notamment, c’est savoir que l’on peut à tout moment se faire insulter ou agresser. Voire tuer.

Pour ce que l’on est…Ilan Halimi, Sarah Halimi, Mireille Knoll pourraient, depuis le Gan Eden, en témoigner.

Nous ne sommes pas les seuls à en avoir assez. Car si une minorité politisée soutient la haine islamique à l’égard des juifs, une majorité de Français voudrait que la composante arabo-musulmane de notre population pose moins de problèmes. Réels ou fantasmés, les problèmes en question alimentent la haine et le vote extrémiste. Nombre de Français, lors de la dernière présidentielle, n’ont pas caché qu’ils en avaient assez d’entendre toujours les mêmes anecdotes, assez de ne plus avoir l’impression d’être en France, assez de voir une minorité causer tant de problèmes. Et que le vote Le Pen leur paraissait être une solution. Nombre de pays d’Europe ou d’ailleurs ont basculé dans le vote d’extrême-droite, au Brésil, le candidat de l’extrême-droite à la Présidence est même arrivé en tête des suffrages lors du premier tour.

Même s’il faut souligner que le vote honteux n’est jamais une solution et qu’il fait peser sur le monde la menace d’un retour de la peste brune, il faut aussi dire à haute voix que critiquer ceux qui se tournent vers les extrêmes ne doit pas nous empêcher de regarder les problèmes en face et d’y trouver des solutions.

Tout cela est le signe d’une revendication, d’un malaise ou d’un sentiment d’insécurité au sein de la population.

En Israël, la peur, le ras-le-bol, l’envie d’être en sécurité sont les mêmes que partout ailleurs.

Mais l’action est là : le Premier ministre et le parti dont il est issu ne laissent pas les vrais sujets de société de côté. Il les affronte en face. Si c’est au prix de quelques qualificatifs nauséa-

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bonds, alors qu’il en soit ainsi. Il ne mégote pas avec la sécurité de son peuple ni de son pays.

Et au diable les leçons de morale du reste du monde… L’histoire nous a appris qu’un juif ne peut compter que sur lui-même pour assurer sa survie. Et encore…

Si j’émets ce doute, c’est parce que je voudrais dire ma déception devant le manque de responsabilité en la matière qu’affichent certains médias. Je pense en particulier à I24 News. Emissions de qualité, intervenants talentueux, beau travail éditorial et pourtant ! On n’échappe,

Directeur commercial Israel: Sigalit Siksik Sitbon 06 67 78 40 00 Directeur commercial France: Yohann Azoulay 06 68 75 46 26 Commerciaux : Patrick Haddad : 01 43 63 26 02

hélas, pas à l’intoxication made in AFP dont le narratif pro-palestinien ne vous aura pas échappé. Une dépêche, chers confrères, se doit d’être remise en perspective, pas juste balancée à l’antenne sans autre forme de procès. Sont-ils tenus de donner la parole aux ennemis d’Israël ? Ils disent que oui, j’ai un tout autre avis sur le sujet.

Et je leur donnerai un seul conseil : en temps de haine et de guerre, restons soudés. C’est de notre union que viendra le salut du peuple juif.

Am Israël Haï !

Alain Sayada

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Editeur 2SCOM Limited 50 Rehov Dizengoff Tel Aviv Journaliste Gary Bensoussan

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À LA UNE

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Charles Aznavour : le peuple Charles Aznavour : 1er artiste français à s’être produit en 1949 juif orphelin

Il disait de nous, juifs, que nous avions été son premier public, les premiers à l’avoir accepté, à l’avoir écouté, à lui avoir ouvert les bras et tendu la main.

Il y avait entre lui, l’Arménien qui avait vu toutes les horreurs du siècle, et nous, peuple martyrisé fier de renaître sur sa terre, une proximité de vie, d’histoire de destins qui nous liaient à tout jamais. Il est parti nous laissant orphelins. Monsieur Charles, le peuple juif et l’Etat d’Israël ne vous oublieront pas…

Charles Aznavour s’est éteint, le 30 septembre dernier. Lui, l’inoxydable troubadour, l’homme aux 800 chansons, que l’on croyait immortel, invincible, s’est envolé vers le paradis des poètes. Il nous laisse plus d’un demi-siècle de « tubes », des titres dont les textes nous prennent aux tripes, dont la douce mélancolie nous laisse les yeux embués de larmes.

C’est désormais en pensant à lui que nos larmes couleront : le grand Charles n’est plus.

Grand ami du peuple juif, Charles Aznavour s’est souvent produit en Israël. Mais avant son histoire d’amour et d’amitié avec l’Etat hébreu, c’est avec la communauté juive parisienne que le lien s’est initié : Lui, l’Arménien né moins d’une décennie après l’horreur qui a brisé son peuple et réduit un million d’âmes au néant, connaissait, pour l’avoir inscrit dans sa chair, ce que les juifs ont vécu. Il disait de nous, juifs que nous avions été « son premier public ». Celui qui, d’emblée a connu et reconnu son talent, accepté ses mots, ouvert son cœur et sa maison pour lui faire une place. Cet accueil chaleureux, il nous l’a rendu au centuple…

Né Shahnourh Varinag Aznavourian à Paris, en 1924, au sein d’une famille d’artistes arméniens, Charles Aznavour disait « n’avoir pas vu le temps passer ». Eternel jeune homme, il a vécu mille vies, fait mille fois le tour de la planète, chanté en une multitude de langues, aimé une multitude de fois.

Mais il l’a dit à maintes reprises, Israël et la ville de Tel-Aviv, tenaient une place particulière dans son cœur… « J’ai l’impression que je viens dans un coin de ma famille » Durant la guerre, sa famille cache, au péril de sa vie, juifs et Arméniens persécutés par les nazis. Un acte de bravoure récompensé, l’an dernier, par le prix de la fondation Raoul Wallenberg. En 1949, alors que l’Etat juif vient de naître, il est l’un des premiers artistes à venir s’y produire. C’est dans les cabarets de Tel-Aviv, ville qu’il affectionne

tout particulièrement, qu’il vient à la rencontre de son public pour la première fois.

Une histoire d’amour commence entre Israël, son peuple et le jeune artiste. « Nous avons tant de choses en commun, les juifs et les Arméniens, dans le malheur, dans le bonheur, dans le travail, dans la musique, dans les arts. J’ai un petit peu l’impression que je viens dans un coin de ma famille à moi parce que nous avons la même manière, aussi, de vivre et de manger et de boire », explique-t-il au Président Rivlin, qui le reçoit, en 2017 pour lui remettre la médaille Raoul Wallenberg.

De « Yiddish Mama » à « Yeroushalaïm » en passant par « Sarah » ou « J’ai connu », nombre de ses chansons évoquent le destin des juifs au cours du siècle écoulé, son attachement millénaire à sa Terre.

Père de six enfants, nés de trois épouses différentes, Charles Aznavour était le patriarche d’une grande famille recomposée, au sein de laquelle la religion tient une place importante, même si chacun a sa foi : « mon petit-fils est juif, ma petite-fille est musulmane, raconte-t-il un jour, évoquant les mariages mixtes de ses enfants avec la tolérance qui l’a toujours caractérisé. Rappelons qu’il fut aussi celui qui osa dire la peine silencieuse de ceux que la société condamnait encore durement, dans la France de 1972, avec « Comme ils disent », texte évoquant un artiste homosexuel et travesti.

En octobre 2017, il y a presque un an désormais, Charles Aznavour avait enchanté Tel-Aviv avec un grand récital dédié à ses plus grands tubes. Il n’avait pas dit son dernier mot en hébreu, son prochain concert, prévu quelques semaines après son 95ème anniversaire, était déjà annoncé. Les places commercialisées. Il chantera au Gan Eden désormais. Baroukh Dayan Haemet. Ainsi en a décidé le Juge des Vérités…

Israël Actualités

en Israël

L’emblêmatique Charles Aznavour, décédé ce lundi après-midi à l’âge de 94 ans, avait un lien profond avec Israël et le peuple juif qu’il affectionnait particulièrement. Lui-même se vantait lors de sa dernière conférence de presse à Tel-Aviv d’ »être le premier artiste français à s’être produit en 1949 juste après la déclaration d’indépendance ».

Des mélodies et des paroles ancrées dans la mémoire, l’amour que témoignait Charles Aznavour envers l’Etat hébreu se reflétait à travers ses chansons comme le titre « Yerushalaim » , »la Yiddish Mama » ou encore « Sarah ». « Entre son coeur et mon coeur, mais j’ai en moi l’espoir toutefois, que l’amour encore renaisse et vive encore, pour toi Yerushalaïm », chantait-il pour la capitale israélienne.

Il a également joué des personnages juifs dans plusieurs films (Qu’est-ce qui fait courir David, Yiddish Connection et Mangeclous). L’artiste s’est produit trois fois en Israël à guichet fermé attirant aussi bien les francophones que les Israéliens. « Je ne dis pas ça parce que je suis ici mais il y a des villes dans le monde que je préfère et je dois avouer que ma ville préférée est Tel-Aviv parce que ça bouge beaucoup », avait-il dé-

claré à Tel-Aviv en 2017.

De nombreuses chansons les plus célèbres ont été traduites en hébreu par des artistes tels que Matti Caspi, Achinoam Nini (Noa) et River Band. L’an dernier, la légende aux 1200 chansons avait reçu des mains du président israélien Réouven Rivlin une médaille de la fondation Raoul Wallenberg.

La famille de Charles Aznavour, qui habitait Paris pendant l’Occupation, a abrité des dizaines de Juifs et d’Arméniens pendant la Shoah. « On peut lire dans le Talmud (texte central du judaïsme) que quiconque sauve une seule vie sauve tout un monde », a dit le président Rivlin, « vous et votre famille, cher Charles, avez sauvé beaucoup, beaucoup de monde pendant les jours très sombres de la Seconde Guerre mondiale dans la France occupée par les Nazis ». Le géant de la chanson française, qui a reçu son étoile à Hollywood l’an dernier, devait se produire à nouveau en Israël le 29 juin 2019 à TelAviv, un an et demi après sa dernière représentation en Israël et quelques semaines après son 95e anniversaire.

Source : https://www.i24news.tv

Charles Aznavour avait obtenu le prix Scopus

Le chanteur Charles Aznavour est mort dans la nuit de dimanche à lundi, à son domicile dans les Alpilles (sud de la France). Charles Aznavour avait obtenu le prix Scopus 2011 attribué par l’Université Hébraïque de Jérusalem. Le prix SCOPUS est la plus haute distinction décernée par les Associations d’Amis de l’Université de Jérusalem.

Dans Le Parisien en 2011 : « Le chanteur franco-arménien Charles Aznavour est le lauréat du prix Scopus 2011 décerné par l’Université de Jérusalem et qui lui a été remis dimanche soir au Théâtre des Champs-Elysées de Paris, ont annoncé les organisateurs.

Charles Aznavour, 86 ans, a été distingué

pour « son parcours d’homme de culture mais aussi celui de militant de la cause arménienne ». Le prix Scopus « représente et reflète la tradition d?excellence incarnée par l’Université de Jérusalem ». Charles Aznavour succède notamment à Serge et Béate Klarsfeld, couples de « chasseurs » de nazis, le philosophe français Bernard-Henri Lévy, l’homme politique français Robert Badinter, l’acteur américain Gregory Peck ou encore le chanteur américain Frank Sinatra.

Lors du gala parisien Scopus, Charles Aznavour a animé une vente aux enchères pour financer le Centre Edmond et Lily Safra sur le cerveau de l?Université de Jérusalem.

Fondée en 1918, l’Université de Jérusalem accueille 24.000 étudiants et 1.300 professeurs permanents ».

À LA UNE

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L’aide apportée par la famille de Charles Aznavour à des juifs

Charles Aznavour avait reçu à Jérusalem la médaille Raoul Wallenberg, célébrant l’aide apportée par sa famille à des juifs et des Arméniens pendant la Seconde Guerre mondiale.

Dans Paris Match (document d’archives): « La légende de la chanson française croulant sous les honneurs en a reçu de nouveaux jeudi à Jérusalem. L’aide apportée par la famille de Charles Aznavour à des juifs et des Arméniens pendant la Seconde Guerre mondiale a été célébrée.

L’auteur de la Bohème a reçu à 93 ans des mains du président israélien Reuven Rivlin la médaille Raoul Wallenberg, décernée par le comité du même nom basé à New York.

Pendant trois ans, les Aznavour ont au péril de leur vie dissimulé des juifs et des Arméniens dans leur modeste appartement parisien, selon le comité, qui tient son nom d’un diplomate suédois célébré pour avoir aidé des dizaines de milliers de juifs à fuir la Hongrie pendant l’Holocauste. « On peut lire dans le Talmud (texte central du judaïsme) que quiconque sauve une seule vie sauve tout un monde », a dit le président Rivlin, « vous et votre famille, cher Charles, avez sauvé beaucoup, beaucoup de monde pendant les jours très sombres de la Seconde Guerre mondiale dans la France occupée par les Nazis ».

Reuven Rivlin n’a pas dissimulé le bonheur particulier de recevoir Charles Aznavour, parmi toutes les visites qui font son quotidien. « Moi et ma femme nous nous sommes connus sur les chansons, les magnifiques chansons de Charles Aznavour », a-t-il dit assis au côté de l’artiste, tout de noir vêtu, de larges lunettes noires sur le visage. « La Bohème était notre chanson », a-t-il ajouté. « J’en ai une autre pour vous, très spéciale », l’a interrompu l’auteur des Plaisirs démodés, provoquant les éclats de rire. « Nous recevons beaucoup de gens ici », a poursuivi le président, « mais aujourd’hui c’est vraiment une joie ». « C’est ce qu’il m’a dit ce matin, en se réveillant », l’a plaisamment coupé sa femme à son tour. « Nous avons tant de choses en commun, les juifs et les Arméniens, dans le malheur, dans le bonheur, dans le travail, dans la musique, dans les arts », a dit l’artiste, « j’ai un petit peu l’impression que je viens dans un coin de ma famille à moi parce que nous avons la même manière, aussi, de vivre et de manger et de boire ». Charles Aznavour, en concert samedi à Tel-Aviv, a choisi de recevoir son prix en Israël en raison de ses « relations fortes avec le pays et avec le peuple juif », selon la présidence israélienne ».

Israël heureux d’accueillir Angela Merkel. Grand Sommet bilatéral

Source et Coyrights : parismatch.com

Le juge Brett Kavanaugh a prêté serment

Les médias israéliens ont suivi avec précision le dossier « Kavanaugh » qui aurait pu blesser à mort le Président Trump.

Selon (1) : « Le juge Brett Kavanaugh a prêté serment samedi à la Cour suprême, quelques heures après la confirmation de sa nomination par le Sénat, qui constitue une grande victoire pour le président Donald Trump à un mois d’élections de mi-mandat cruciales. « C’est une soirée historique« , a lancé M. Trump lors d’un rassemblement électoral à Topeka, dans le Kansas. « Je me tiens devant vous aujourd’hui après une formidable victoire pour notre nation, pour notre peuple et pour notre Constitution« , a déclaré le président sous les acclamations de la foule.

Le Sénat a approuvé la nomination du juge Kavanaugh à la Cour suprême à une très courte majorité (50-48), mettant un terme à un processus de confirmation chaotique marqué par des accusations d’agression sexuelle contre le magistrat. « J’applaudis et je félicite le Sénat pour la confirmation de notre formidable candidat« , a tweeté M. Trump après le vote.

Les accusations contre le juge ont accentué les clivages au sein de la société américaine et des milliers de personnes ont protesté contre la confirmation de Brett Kavanaugh à Washington et dans quelques autres villes dont Seattle.

Un millier de manifestants ont passé la journée de samedi devant la Cour suprême, située à quelques dizaines de mètres du Capitole.

Les protestataires ont scandé des slogans comme « Pas de justice, pas de siège » ou « Votez contre eux » et brandi des pancartes hostiles au juge Kavanaugh.

Certains ont exprimé leur colère en frappant sur les portes de bronze du bâtiment de la Cour suprême ».

(1) www.lexpress.fr

La chancelière allemande Angela Merkel est en visite officielle en Israël mercredi et jeudi, elle devrait notamment recevoir un doctorat honorifique de la part de l’Université de Haïfa. En attendant ce matin les radios en Israël annoncent des embouteillages monstres sur les routes.

Surtout à l’entrée de Jérusalem.

Jérusalem et Berlin ne sont pas d’accord sur l’Iran et les Palestiniens, mais l’Allemagne reste une alliée clé d’Israël et un partenaire commercial de premier plan.

L’Allemagne reste un allié clé d’Israël, qui fournit les sous-marins navals à capacité nucléaire d’Israël et est le plus grand partenaire commercial européen de l’État juif.

La visite de Mme Merkel s’inscrit dans le cadre d’un sommet plus large de gouvernement à gouvernement qui amène plusieurs ministres allemands en Israël pour des réunions avec leurs homologues. Il fait suite à une visite du Premier ministre Benjamin Netanyahu à Berlin en juin.

Selon i24News : « Angela Merkel arrivera

mercredi soir à Tel-Aviv puis devrait dîner avec le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou. Jeudi, la chancelière visitera le mémorial de Yad Vashem à Jérusalem avant de recevoir un doctorat honorifique de l’Université de Haïfa et de rencontrer les étudiants au Musée d’Israël.

Elle s’entretiendra notamment avec le Premier ministre Netanyahou lors d’une table ronde avec des hommes d’affaires, puis avec le président Rivlin. Une conférence de presse conjointe aura également lieu jeudi après-midi avant une réunion intergouvernementale. Merkel est partisane des liens étroits entre l’Allemagne et l’État d’Israël.

Elle a été invitée en Israël à plusieurs reprises et, en 2008, elle a convoqué une réunion spéciale du gouvernement allemand en Israël en l’honneur du 60ème anniversaire de l’indépendance du pays. Son voyage officiel intervient dans le cadre d’un sommet bilatéral entre les gouvernements allemand et israélien, avec le déplacement de plusieurs ministres allemands pour rencontrer leurs homologues israéliens ».

À LA UNE

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Israël se mobilise. Aide humanitaire d’urgence à l’Indonésie

Israël a commencé à envoyer de l’aide humanitaire à l’Indonésie après le tsunami qui a ravagé l’île des Célèbes, où les besoins sont « immenses » dans les zones sinistrées et que le temps presse pour dégager des survivants, a rapporté mercredi soir le radiodiffuseur israélien Kan. Selon M. Tohir, un porte-parole de l’armée indonésienne, plus de 1.400 personnes ont déjà perdu la vie. L’agence de gestion des catastrophes naturelle locale a précisé que 519 corps avaient déjà été enterrés.

D’après Kan, Israël a envoyé des appareils de purification de l’eau à Sulawesi, une île durement touchée par le tsunami.

Etant donné que Jérusalem et Jakarta n’entretiennent officiellement aucun lien diplomatique, l’aide israélienne a été envoyée via la Croix-Rouge.

Une grande partie du matériel a tardé à être livrée et n’arrive que maintenant, cinq jours après le séisme.

cuées par la mer, via un navire militaire indonésien qui a pu accoster, chargé d’aide humanitaire, dans la ville côtière de Palu.

Les secours se concentrent sur quelques sites autour de ce lieu, qui a été ravagé, et notamment sur l’hôtel Roa-Roa où une soixantaine de personnes serait toujours ensevelie sous les gravats. Les efforts se focalisent aussi sur un centre commercial, un restaurant ainsi que sur le quartier de Balaroa, tous sinistrés.

Près de 200.000 personnes ont besoin d’une aide humanitaire d’urgence, parmi lesquelles des dizaines de milliers d’enfants, selon le bureau de coordination des affaires humanitaires de l’ONU (Ocha).

On estime à 66.000 le nombre de logements détruits par la secousse de magnitude 7,5 et le raz-de-marée destructeur qu’elle a engendré.

Une équipe humanitaire israélienne est également sur le point d’être envoyée sur place.

Des dizaines de personnes, ensevelies sous les gravats

Le gouvernement indonésien a beau avoir affirmé aux équipes étrangères intervenant dans les zones sinistrées que la situation était sous contrôle, les habitants de localités éloignées comme Wani, dans la province de Donggala, disent n’avoir pas, ou presque pas, vu la couleur de l’aide.

Quelque 1.600 personnes ont déjà été éva-

Source :i24News

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8 israéliens sur 10 aiment Trump. 9 Français sur 10 n’aiment pas Donald

La cote de popularité du président américain Donald Trump est plus élevée en Israël que dans presque tous les autres pays au monde, alors que de faibles taux ont été enregistrés parmi ses alliés, d’après une nouvelle étude publiée par le Pew Research Center.

L’enquête a révélé que 82% des Juifs israéliens avaient confiance dans la gestion des affaires internationales par Trump, tandis que 94% d’entre eux (mais seulement 43% des Arabes israéliens) avaient une opinion favorable des États-Unis en général (83% au total).

Le sondage portait sur l’image globale des Etats-Unis parmi 25 nations, y compris auprès de ses principaux alliés européens. Les résultats montrent une baisse de la cote de popularité internationale de Trump face à une opposition généralisée à la politique de son gouvernement.

Parmi les principaux alliés des Etats-Unis, la Grande-Bretagne s’est prononcée à hauteur de 28% seulement avoir confiance en Trump, le Canada à 25%, la France et l’Allemagne, quant à elles ont enregistré des scores inférieurs à 10%. Israël s’est notam-

ment démarqué en passant de 56% en 2006 à 69% en 2018.

Aux Philippines, 78% des personnes interrogées ont une opinion favorable du président.

Par ailleurs, 79% des sondés israéliens estiment que les relations avec les États-Unis se sont améliorées au cours de l’année écoulée, alors que le président américain a reconnu Jérusalem comme capitale d’Israël et y a déplacé son ambassade dans l’Etat hébreu.

A l’Assemblée générale de l’ONU la semaine dernière, Trump a réaffirmé son soutien à Israël en déclarant que « les EtatsUnis travaillent afin d’établir une alliance régionale et stratégique pour maintenir la paix au Moyen-Orient ».

Lors de nombreuses rencontre entre dirigeants israéliens et américains, les parties se sont accordées à dire que les relations bilatérales entre les deux pays n’ont jamais été aussi fortes en comparaison avec les dernières administrations, notamment sous le mandat de Barack Obama.

Source : i24News

Le superbe pont Yehudit et le respect du Shabbat. Discorde sans fin Tel Aviv assigne en justice pour faire démarrer les travaux du pont Yehudit. Les travaux du pont avaient été interrompus à la fin du mois d’août par le ministre des Transports suite aux plaintes des ultra-orthodoxes concernant les travaux pendant Shabbat.

La municipalité de Tel Aviv a demandé à la Cour suprême une injonction pour obliger les travailleurs à commencer la construction de la passerelle piétonne Yehudit.

Les travaux du pont avaient été interrompus à la fin du mois d’août par le ministre des Transports Yisraël Katz après que les par-

tenaires de la coalition ultra-orthodoxe se sont plaints de la construction du pont pendant le jour de repos juif.

Les concepteurs affirment que la construction du pont exigera la fermeture de l’autoroute Ayalon très fréquentée de Tel Aviv pendant plusieurs heures de suite, ce qui fait du samedi le seul jour où le travail pourra être effectué. Dans la plainte, la ville affirme que le ministère n’a pas réagi aux demandes visant à savoir pourquoi les travaux avaient été interrompus et à trouver une solution.

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The End pour Primera Air. Faillite de la compagnie low-cost

La compagnie aérienne Primera Air a annoncé la suspension de ses rotations entre la France et Israël. Il y a à peine moins d’une semaine, la société Low cost avait pourtant annoncé l’ouverture d’une nouvelle ligne moins chère entre Tel-Aviv et la capitale française.

Coolamnews Selon Capital.fr : « Le low-cost long courrier aura entraîné la chute de Primera Air. Comme le rappelle Le Figaro, la compagnie aérienne basée à Copenhague s’était d’abord spécialisée dans les vols charters vers les pays européens ensoleillés. Mais en mai dernier, elle avait tenté de se positionner sur les vols long-courrier low-cost en proposant des Paris-New York à 99 euros l’aller. Cet été, des liaisons Paris-Boston et Paris-Toronto étaient proposées aux passagers. Elle opérait également des vols au départ de Londres Stansted vers Washington et New York.

Primera Air avait misé sur des A321neo et espérait être la première à exploiter l’A321LR (long range). Grosse désillusion pour la compagnie qui disait il y a quelques semaines encore envisager de nouveaux vols vers l’Amérique depuis Madrid et Francfort dès 149 euros l’aller. « En ce triste jour, nous vous disons à tous au revoir », a inscrit la compagnie aérienne sur son site internet mardi 2 octobre. Une faillite que la société impute à des retards de livraison de ses appareils A321neo. Des retards et des annulations de vols étaient dernièrement déplorés par les usagers de la compagnie.

Faute de négociations favorables avec sa banque, la compagnie aérienne a déclaré n’avoir « pas d’autre choix que de se déclarer en faillite ». La compagnie n’a rien précisé sur les possibilités de remboursement des billets des passagers. La Tribune estime qu’ils ont peu chance d’être remboursés puisque les billets étaient achetés directement sur le site internet de la compagnie aérienne. »

Ouvertures et fermetures d’Ambassades d’Israël dans le monde Combien de visiteurs sont-ils déjà venus en Israël en 2018 ?

Pour assurer ces liaisons longue-distance,

Le nombre de touristes qui ont visité Israël au cours des neuf premiers mois a augmenté de 15 % par rapport à la même période l’année dernière, a rapporté l’institut national de la statistique.

De janvier à septembre, 3,1 millions de visiteurs sont venus en Israël, et 2,9 millions d’entre eux y sont restés au moins une nuit, indique le rapport. Au cours de la même période en 2017, quelque 2,7 millions de visiteurs s’étaient rendus en Israël, et 2,54 millions d’entre eux étaient des touristes.

Selon LPH : « Sur la période de janvier à mai 2018, plus d’1,7 million de touristes ont visité Israël soit une hausse de de 22% par rapport à la même période l’an dernier et sur ces 1 700 000 touristes, 137 000 sont français, ce qui représente aussi une hausse de 15%.

Mais les plus grosses progressions touristiques en Israël viennent des pays de l’Est

dont la Pologne avec +149% sans oublier aussi le Mexique qui totalise une progression de + 43% et l’Inde (+ 32%). Selon l’Office de Tourisme Israélien, les deux événements de ces cinq premiers mois de l’année qui ont attiré le plus de touristes en Israël sont le Giro d’Italia 2018 qui a démarré à Jérusalem et c’est poursuivi sur trois étapes dans tout le pay et le record d’affluence de la Gay Pride à Tel-Aviv (250 000 participants cette année).

L’année avait démarré fort, car déjà, entre janvier et mars 2018, environ 949 000 touristes avaient débarqué en Israël, ce qui representait une augmentation de 30% pour le trimestre par rapport à la même période l’an dernier et une augmentation de 58% par rapport à la même période en 2016.

En outre, depuis janvier 2018, le tourisme a injecté plus de 8 milliards de shekels (soit presque deux milliard d’euros) dans l’économie israélienne ».

Le Premier ministre Benyamin Netanyahou a déclaré que l’élargissement des liens entre Israël et l’Afrique, l’Asie et l’Amérique latine sont une priorité absolue.Israël fermera donc sept missions diplomatiques et ambassades à l’étranger, ont annoncé des responsables diplomatiques. Dans le cadre du budget de 2019, sept délégations seront fermées au cours des trois prochaines années, dont trois d’entre elles durant la première année et deux lors des deux années suivantes.

Les missions seront celles de Biélorussie, de République dominicaine, Érythrée, Irlande et Lettonie ou en Lituanie. Netanyahou a indiqué vouloir ouvrir de nouveaux bureaux et de nouvelles ambassades, en particulier en Afrique. Il a déclaré en novembre dernier au président rwandais Paul Kagame lors d’une réunion à Nairobi qu’Israël ouvrirait une ambassade à Kigali dans un proche avenir. Dans le cadre du budget de 2019, sept délégations seront fermées au cours des trois prochaines années, dont trois d’entre elles durant la première année et deux lors des deux années suivantes.

Bien qu’Israël soit obligé de fermer certaines ambassades ou consulats, l’argent économisé sera utilisé pour en ouvrir d’autres dans une zone jugée importante. « Ce sera une question de priorités », a assuré le responsable. Le consulat d’Israël à Atlanta aux Etats-Unis sera également fermé. Le pays compte actuellement neuf missions israéliennes aux Etats-Unis à Washington, Atlanta, Boston, Houston, Los Angeles, Miami, San Francisco, Chicago et New York, y compris la délégation de l’ONU ce qui parait tres lourd entermes de budget alors que de nouveaux amis diplomatiques sont un peu delaisssé Source : http://israelmagazine.co.il/

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3,7% contre 4%. Le chômage est plus bas aux Etats-Unis qu’en Israël

Donald Trump s’en est réjoui, et il aurait eu tort de ne pas le faire : « Ça vient de sortir : 3,7 %. Le chômage est au plus bas depuis 1969 ! », s’est réjoui le président des Etats-Unis juste après la publication des chiffres de l’emploi, vendredi 5 octobre. le taux de chômage en Israël a atteint son point le plus bas des quarante dernières années. En effet, en décembre 2017, le chômage ne concerne plus que 4% de la population israélienne. Un taux si faible mais pourtant encore en constante progression, représentant une baisse de 0,3% par rapport au mois précédent.

Les réserves de monnaies sont de $115 milliards en Israël

Selon (1) : « Le taux de chômage a reculé en août plus que prévu, de 0,2 point par rapport au mois de juillet, et a retrouvé pour la première fois ses niveaux du temps de la guerre du Vietnam.

Les salaires ont augmenté de 2,8 % sur un an Sur les neuf premiers mois de l’année, 211 000 emplois ont été créés en moyenne, en net progrès par rapport aux 182 000 de 2017. La participation à l’emploi est stable, au niveau de 62,7 %, chiffre qui est bas mais qui est jugé de manière plutôt positive en raison du vieillissement de la population.

Enfin, les salaires ont augmenté de 2,8 % sur un an — ce chiffre était de 2,9 % en août —, ce qui confirme une hausse modeste mais régulière.

Dans ce contexte, les opérateurs s’attendent à ce que la Fed — qui a remonté en septembre ses taux dans une fourchette comprise entre 2 % et 2,25 % — poursuive sa politique de resserrement monétaire. Cette anticipation avait d’ailleurs conduit la veille à des ventes de bons du Trésor, entraînant une hausse des taux d’intérêt à dix ans. Vendredi, après la publication des chiffres de l’emploi, ils atteignaient 3,22 %, leur plus haut niveau depuis mai 2011.

Selon la Banque d’Israël, les réserves de monnaie étrangères sont de $115.459 Milliards. En baisse de $546 million (en comparaison avec l’an dernier). Les réserves de change sont des avoirs en devises étrangères et en or détenues par une banque centrale. Elles prennent généra-

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lement la forme de bons et obligations du Trésor d’États étrangers, ce qui permet à ces réserves de rapporter un intérêt. Elles sont utilisées par les autorités monétaires pour réguler les taux de change. Les réserves représentent 31.5% du PNB.

Réduction d’impôt et augmentation des dépenses La conjoncture est clairement dopée par le double programme de réduction d’impôt et d’augmentation des dépenses de Donald Trump, qui a conduit à des déficits de l’ordre de 5 % du produit intérieur brut, mais à une croissance qui devrait dépasser

3,1 % cette année. Cette politique risque de se poursuivre, s’est inquiété Adam Posen, président du Peterson Institute for International Economics, à Washington, lors de la présentation des prévisions semestrielles de ce think tank jeudi 4 octobre : si les démocrates remportent la Chambre, un programme de grands travaux pourrait être décidé ; si les républicains la conservent, de nouvelles baisses d’impôt pourraient être annoncées.

Les Etats-Unis connaissent leur plus longue période de croissance historique sans récession Pourtant, selon des économistes comme Karen Dynan, professeure à Harvard et invitée du Peterson Institute, le stimulus aura des effets négatifs à partir de 2020, faisant retomber la croissance sous son rythme normal, estimé à 1,8 %. Les Etats-Unis connaissent leur plus longue période de croissance historique sans récession (9,3 ans), après celle des années 1990. Mme Dynan a toutefois brossé un tableau très positif de l’économie américaine : le patrimoine des ménages est remonté à sept fois leur revenu annuel ; leurs intérêts d’emprunt ne représentent que 10 % de leur revenu disponible — contre 13 % au moment de la grande crise financière — ; tandis que leur taux d’épargne est beaucoup plus élevé qu’attendu, d’environ 6,5 %.

Sur le front de l’emploi, Jason Furman, professeur à Harvard et associé du Peterson Institute, a essayé d’expliquer la faible progression des salaires. Cet ancien conseiller de Barack Obama a démonté une idée reçue, celle des inégalités croissantes. En réalité, les salaires du premier quintile de revenus — les plus pauvres — croissent aujourd’hui plus qu’ils ne le faisaient à la fin des années 1990, comme en attestent la hausse du salaire minimal dans de nombreux Etats ou la remontée de salaires dans les entreprises à forte intensité de maind’œuvre peu qualifiée, comme Amazon.

De même, la tendance sur la participation à l’emploi est comparable à celle de l’époque qui était déjà mauvaise, l’inflation est plus élevée que sous l’ère Clinton. Reste donc la faiblesse des gains de productivité pour expliquer cette relative faiblesse des salaires.

(1) lemonde.fr

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L’Algérie et Israël, une coopération secrète ?

Selon Jacques Benillouche : « Un député algérien a révélé devant l’Assemblée populaire nationale algérienne (APN) ce qu’il qualifie de scandale lié à l’importation de matériel made in Israël.

Sonelgaz, entreprise nationale de gaz et d’électricité, a acquis une série de vannes de contrôles dans le cadre du projet de la nouvelle centrale électrique de Boutlelis dans la ville d’Oran. Le ministre algérien de l’Énergie, Mustapha Guitouni, a dû s’expliquer devant l’APN sur ce commerce avec un pays qu’officiellement l’Algérie ne reconnaît pas et a nié les relations commerciales.

Il a confirmé que l’Algérie «est parmi les rares pays au monde à n’avoir pas établi

de relations avec Israël» mais il a tenté de donner plus de précisions sur le processus d’acheminement des vannes israéliennes.

Il était difficile d’ignorer l’origine du matériel mais le ministre algérien s’est défendu en précisant que les vannes avaient été importées par une société franco-américaine.

Normalement, les pièces devaient être acheminées depuis l’Espagne mais «par erreur», elles ont été envoyées directement d’Israël.

Il est difficile de croire à cette argutie de la part de grands pays. Quelques jours seulement ont suffi à Sonelgaz pour identifier l’origine du matériel estampé «made in Israël». La société nationale d’électricité et de gaz a dit avoir déposé plainte contre la société franco-américaine Cegelec/General Electric, qui lui a fourni ce matériel ».

Au Championnat du monde d’échecs, l’Algérie contre Israël

L’Hotel Banksy va t-il s’autodétruire ?

Un artiste anti sioniste

Méfiez vous avant de réserver une chambre dans l’hôtel de Banksy. Cet antisioniste est capable de tout pour faire parler de lui. Va t-il autodétruire « son » fameux hôtel? Le « Walled Off Hotel » décoré par Banksy est situé à quelques mètres du mur de séparation construit par Israël en Cisjordanie. Pour profiter du confort des neuf chambres, il faut débourser entre 30 dollars pour une place dans un lit superposé et 965 dollars par nuit pour la suite présidentielle.

LE PLUS. « La passion de la destruction est en même temps une passion créatrice« . La citation est du philosophe et théoricien de l’anarchisme Mikhaïl Bakounine, mais Banksy l’attribue à Pablo Picasso dans un message publié sur son compte Instagram.

Le « street artist » s’est une nouvelle fois fait remarquer vendredi avec un coup qui fera longtemps parler de lui dans le monde de l’art contemporain. Alors que son dessin « Girl with balloon » venait d’être adjugée aux enchères chez Sotheby’s pour un peu plus d’un million d’euros, l’image est sortie de son cadre pour être automatiquement déchiquetée.

La scène « a pris le monde de l’art par surprise« , écrit Sotheby’s sur son site internet.

L’entreprise était-elle complice de l’artiste ?

Rien ne permet à ce jour de l’affirmer. Dans une vidéo publiée samedi soir, Banksy affirme qu’il avait prévu son coup « il y a quelques années« . Des lames auraient été cachées dans le cadre « au cas où (le dessin) serait mis aux enchères« .

Des questions… et une certitude Dans le clip posté sur son compte Instagram, on assiste à la vente depuis plusieurs angles de caméras, signe que tout était bien organisé par l’artiste sur place. On n’en saura pas plus sur le mécanisme lui-même.

Comment s’est opéré le déclenchement à distance ? Banksy a-t-il eu accès à son oeuvre une dernière fois avant la vente pour s’assurer que tout fonctionnerait en temps et en heure ? Connaîtra-t-on l’identité de l’acheteur de l’oeuvre, qui a fait son acquisition par téléphone ? Au milieu des questions, il reste cette certitude : l’artiste a une nouvelle fois fait un pied de nez au marché de l’art et à son goût pour la spéculation.

(1) .rtbf.be

Sabrina Latrèche s’est retiré lundi du Championnat du monde d’échecs, qui se déroulent actuellement en Géorgie, pour ne pas avoir à affronter une concurente israélienne. L’Algérie et Israël n’ont pas de relations diplomatiques officielles, le gouvernement algérien ne reconnaissant pas l’État d’Israël, et interdisant aux ressortissants Israéliens toute entrée sur son territoire.

comme concurrente une adversaire israélienne. Sabrina Latrèche était selon les journaux algériens une concurente sérieuse au titre de championne du monde mais il semble qu’elle soit tombée sur plus forte qu’elle. En tout cas, le boycott semble avoir bon dos, il est plus facile de se faire passer pour une héros en abandonnant la compétition plutôt que de risquer de se prendre une sérieuse défaite.

L’algérienne a abandonné la compétition lorsque le tirage au sort lui a désigné

Source Koide9enisrael

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Les vins Barkan (Israël) et les juifs Ethiopiens, un souci ?

Un attentat dans la zone industrielle de Barkan (8000 employés)

Barkan, un important producteur de vin israélien avait fait l’objet de critiques et d’appels au boycott après que son directeur général avait admis discriminer ses employés d’origine éthiopienne, à la demande de juifs ultra-orthodoxes qui doutaient de leur judéité. Cette affaire est bien close (Israelvalley a rencontré cette semaine l’ancien propriétaire de Barkan) et les employés ont été réintégrés dans leur travail. Des excuses ont été présentés aux juifs Ethiopiens par les propriétaires de Barkan.

Selon i24News : « La télévision publique avait diffusé un enregistrement du directeur général de Barkan Winery Gilles Assouline affirmant qu’il devait changer de poste trois employés juifs éthiopiens afin d’éviter qu’ils aient un contact direct avec le vin.

Depuis très longtemps Barkan n’a pas été victime d’un attentat. Ce matin tout a changé.Un homme et une femme ont été tués lorsqu’un Palestinien a ouvert le feu à l’arme automatique dans la zone industrielle de Barkan. Yossi Dagan, président du conseil régional de Shomron, a qualifié l’incident de ce matin de “grave incident de sécurité”. “Je vois ici des Arabes et des Juifs qui s’assoient ensemble et pleurent”, s’est-il exclamé. “Je tiens à souligner une chose. Cet incident est très grave, mais ils ne nous briseront jamais ».

L’attentat a eu lieu dans l’usine de recyclage du groupe Alon. Ce groupe fabrique des

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systèmes de gestion des déchets. La zone de Barkan est considérée comme le symbole de la coexistence entre Arabes et Juifs qui y travaillent ensemble. Plus de 8 000 employés y travaillent, la moitié d’entre eux étant juifs et la moitié résident dans l’Autorité palestinienne.

Barkan est située au nord de la Cisjordanie, à environ 25 km à l’est de Tel-Aviv et à 8 km à l’ouest de Salfit, sous le gouvernement local administratif du Conseil régional de Shomron. Sa population est de 1 798 habitants. Les entreprises du parc industriel Barkan sont situées près d’Ariel (1).

Le responsable avait expliqué qu’il ne faisait ainsi que se conformer aux exigences de la communauté Edah Haredit (littéralement « la communauté des craignants Dieu » en hébreu), qui regroupe une bonne partie des juifs ultra-orthodoxes, dont des représentants sont chargés depuis un an de vérifier que les vins de Barkan sont bien cachers, c’est à dire conformes aux règles alimentaires du judaïsme.

Selon ces règles, le vin, pour être consommable, ne doit pas être touché ou servi par des non-juifs.

En exigeant que des Israéliens d’origine éthiopienne ne puissent pas s’occuper du vin produit et qu’ils soient employés à d’autres tâches, la communauté Edah Haredit met en doute leur judéité.

Il y a plusieurs décennies, le Grand Rabbin d’Israël Ovadia Yossef avait statué que les juifs éthiopiens devaient être considérés comme juifs.

Mais la communauté Edah Haredit, qui délivre ses propres certificats cachers et ne reconnait pas l’autorité du Grand Rabbinat, a mis en place ses propres procédures de contrôle.

L’actuel Grand Rabbin pour les séfarades (juifs orientaux) Yitzhak Yossef, fils d’Ovadia Yossef, a dénoncé l’attitude de cette communauté en affirmant qu’il s’agissait d’un « pur racisme ». « Les juifs éthiopiens sont juifs en tous points », a proclamé le Grand Rabbin dans un communiqué.

Le président Reuven Rivlin avait soutenu la position du Grand Rabbin et avait rappelé que les juifs éthiopiens ont été dans le passé « prêts à donner leur vie pour leur religion ». « Nous devrions nous en souvenir afin d’éviter de graves erreurs comme celle qui s’est produite à Barkan », a ajouté le président.

Dans l’enregistrement diffusé par la télévision, Gilles Assouline avait déclaré que personnellement il n’a pas de problème envers les employés éthiopiens, mais a-t-il ajouté: « les affaires sont les affaires ».

Des responsables politiques, des journalistes et amateurs de vin avaient exprimé le dégoût que leur inspire cette affaire. « Je n’achèterai rien à ceux qui humilient des juifs d’origine éthiopienne, et j’appelle la police à agir contre ceux qui violent la loi qui réprime les discriminations raciales », a affirmé le dirigeant du parti travailliste d’opposition Avi Gabbay sur son compte Twitter ».

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Index Interbrand des « 100 marques » puissantes. Israël absent du « TOP 100 »

Parmi les 100 marques les plus puissantes du monde, le cabinet de conseil Interbrand distingue 9 marques françaises (toutes actives en Israël), dont Louis Vuitton, Chanel, Hermès ou encore L’Oréal.

Aucune marque israélienne ne se trouve dans cette liste prestigieuse. Patience, cela viendra bien un jour…

Selon Le Figaro : « Le cabinet de conseil en stratégie de marque Interbrand a publié cette semaine son classement annuel des Best Global Brands 2018, estimant la valeur en milliards de dollars des 100 premières marques mondiales.

Le cabinet de conseil a ainsi dressé son classement en fonction de la performance financière de la marque, son influence dans les décisions d’achat, et la force concurrentielle de la marque indiquant sa capacité à fidéliser ses clients et à maintenir des profits stables pour le futur. Parmi les marques qui dominent le classement, on retrouve les géants de l’Internet, le secteur du luxe ainsi que le secteur du commerce de détail.

La domination des géants de l’Internet En tête du classement mondial, les géants de la tech campent sur leur position de leader avec notamment Apple qui reste la marque la plus puissante du monde. Le cabinet de conseil estime sa valorisation à 214.480 milliards de dollars.

Ainsi, Google se hisse à la deuxième position avec une valorisation de 155,506 milliards de dollars, et le géant de la vente en ligne Amazon ferme la marche du podium avec une valorisation estimée à 100,764

milliards de dollars. Parmi les 100 marques leaders, c’est Amazon qui réalise la plus grande progression en 2018 avec une augmentation de 56% de sa valorisation en seulement un an.

De son côté, le réseau social Facebook, sous pression depuis les nombreux scandales concernant en outre la protection des données de ses clients, enregistre une baisse notable de 6% et se place alors en 9ème position du classement mondial ».

Les marques françaises sont à l’honneur Sur le Vieux Continent, les constructeurs automobiles allemands ont la cote avec les marques Mercedes et BMW qui se positionnent en tête du classement européen.

Cependant, la France revendique une position solide dans le classement et apparaît comme le deuxième pays, au côté de l’Allemagne, le plus représenté dans le top 100 cette année. Bien qu’encore loin derrière les États-Unis, qui comptabilisent près de 50 marques au classement, la France se distingue avec la présence de 9 marques françaises.

Parmi les marques françaises les plus influentes, le groupe LVMH confirme sa position de leader avec ses marques Louis Vuitton, Dior et Hennessy présentes dans le classement. Le numéro 1 mondial du luxe a réalisé un chiffre d’affaires records de 21,8 milliards d’euros pour le premier semestre 2018, réalisant ainsi une augmentation conséquente de 10%.

Source : Le Figaro

Tel-Aviv. Controverses sur la répression des infractions de stationnement

La municipalité de Tel-Aviv n’est pas autorisée à faire fonctionner des caméras qui documentent ce qui se passe dans la rue pour appliquer des procès verbaux. Ainsi a statué le juge Itay Hermelin devant un tribunal des affaires locales de la ville.

Le tribunal local a acquitté David Mizrahi, qui avait reçu un PV de la municipalité pour une double infraction de stationnement, documentée il y a trois ans alors qu’il était garé sur la rue Yefet à Jaffa, par le biais de caméras de sécurité de la municipalité de Tel Aviv.

Mr Mizrahi a fait appel contre la municipalité – un processus qui a duré plusieurs années – en affirmant que cette dernière n’était pas autorisée à appliquer les lois sur le stationnement au moyen de caméras installées dans les rues de la ville. Il a réussi à prouver que l’utilisation de caméras installées sur des bâtiments et de caméras de rue en faveur des contraventions pour stationnement interdit constituait une violation de la vie privée.

Le juge a écrit dans l’acquittement que le consentement donné à la municipalité pour faire fonctionner les caméras ne devait servir qu’à surveiller les voies réservées aux transports en commun. Le juge a expliqué qu’en raison des dommages causés par les caméras

vidéo à la vie privée des passants dans la rue, une approbation explicite de la Knesset est nécessaire pour pouvoir les activer à une autre fin comme la répression des infractions de stationnement. « En raison du fait que la municipalité n’est pas autorisée à faire fonctionner des caméras vidéo documentant ce qui se passe dans la rue au nom de l’application des lois sur le stationnement, j’ai disqualifié les preuves recueillies contre l’accusé », a déclaré le juge. Comme l’accusé lui-même a nié avoir commis l’infraction reprochée, j’ai décidé de l’acquitter, faute de preuves recevables de sa culpabilité. « La municipalité de Tel-Aviv-Jaffa a déclaré qu’elle ferait appel de la décision. « Il convient de noter que la question de la protection de la vie privée a été soulevée devant la Cour suprême et que, dans sa réponse, l’État s’est associé à la position de la municipalité selon laquelle l’application au moyen de caméras de stationnement est licite et légalement appliquée, et a même réglementé la question dans la procédure. L’application du système de stationnement dans la ville de Tel Aviv-Jaffa au moyen de caméras de stationnement se poursuivra comme d’habitude, a déclaré le porte-parole « .

Source : Israel HaYom

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Au Loto en Israël, quel est le La position de plusieurs pays numéro le plus souvent joué ? sur « Jérusalem Capitale » ?

Dans le livre, « Les millionnaires de la chance. Rêve et réalité », des témoignages attestent que devenir riche est parfois difficile. La Française des Jeux a mis au point un programme de suivi psychologique des nouveaux millionnaires. En Israël selon nos informations, le suivi est « ultra-léger ».

Les chiffres montrent que le plus grand nombre de gagnants du gros lot en Israël provient du Gush Dan. Le numéro le plus populaire est le 26 (valeur numérique du nom de Dieu). Le numéro le plus joué en tant que « numéro supplémentaire » pour améliorer les chances de gagner le gros lot est le 6.

Selon (1) : « En milieu populaire, la richesse inattendue offre une multitude de potentialités dont on ne possède pas les clefs. Le gagnant se trouve démuni devant une plus ou moins grande fortune : il ne sait par quel bout la prendre. » Après le coup de massue reçu par celui qui vient d’apprendre son nouveau statut de millionnaire, vient une période de désarroi et de questions. L’accompagnement de la Française des Jeux est alors capital pour surmonter le choc et se projeter dans l’avenir en apprenant à être riche. Gagner soudainement une somme importante qui efface les incertitudes matérielles peut entraîner un réel et angoissant bouleversement.

« Nous prenons en charge les personnes qui gagnent des sommes d’au moins 1 million d’euros », explique Brigitte Roth, responsable du service Relations Gagnants, qui mobilise trois personnes à plein-temps. « Nous avons une première mission lors de la remise du gain. Cette première étape, qui consiste en une cérémonie suivie d’un déjeuner, permet d’échanger, de rassurer les gagnants, de mieux les connaître. Après, nous leur proposons notre programme d’accompagnement. Près de la moitié des gagnants suit ce programme », explique la responsable.

Outre la lecture d’un livret de conseils, les gagnants ont la possibilité, s’ils le souhaitent, de participer à des ateliers pédagogiques pour se familiariser avec divers aspects de la fiscalité, la finance, le droit de la famille, etc. Des groupes de paroles entre gagnants sont également organisés par la Française des Jeux. Il y a une quinzaine de réunions par an. « Quand on gagne, on est comme un créateur d’entreprise. On a besoin d’information et de formation ; on a besoin d’être écouté et de parler ; et on a besoin d’avoir un réseau relationnel », résume Brigitte Roth, qui garde parfois des relations avec « ses » gagnants des années durant. « C’est un plaisir pour nous et pour eux, qui jouent le rôle des parrains des nouveaux gagnants. C’est un peu comme une amicale. » (1) ladepeche.fr

Les documents ou déclarations officiels de quelques pays précisent leur position quant à la capitale d’Israël : Allemagne : l’Allemagne constate qu’Israël considère Jérusalem comme sa capitale mais constate également une non-reconnaissance de ce fait par la communauté internationale. États-Unis : en 1995, les États-Unis ont reconnu Jérusalem comme capitale d’Israël.

Cependant la décision d’y déplacer l’ambassade des États-Unis n’a été entérinée que le 6 décembre 2017 par le président Donald Trump qui a reconnu de nouveau Jérusalem comme capitale d’Israël et qui a annoncé des plans pour y transférer l’ambassade des États-Unis. Le transfert est effectif le 14 mai 2018. La veille, le ministère des Affaires étrangères israélien organise une réception pour la délégation américaine à laquelle sont représentés une vingtaine de pays dont des pays de l’Union européenne, l’Autriche, la Roumanie, la Hongrie et la République tchèque.

France : le ministère des Affaires étrangères note que « l’État d’Israël a fixé sa capitale à Jérusalem en dépit de l’absence d’accord international sur le statut de cette ville »et considère Jérusalem comme un « corpus separatum ». De ce fait, l’ambassade de France en Israël est installée à Tel-AvivJaffa. Le 6 décembre 2017, le président Emmanuel Macron précise que « la France soutient la solution de deux États, Israël et la Palestine, vivant en paix et en sécurité, avec Jérusalem comme capitale des deux États ».

Guatemala et Paraguay : ces deux pays ont transféré leur ambassade à Jérusalem après le transfert de l’ambassade américaine. Toutefois, le 5 septembre 2018, le nouveau président du Paraguay annonce revenir sur ce transfert

Inde : la position indienne précise : « Jérusalem, proclamée comme capitale indivisible d’Israël mais cela n’a pas reçu une acceptation internationale».

République tchèque : la République tchèque reconnaît Jérusalem-Ouest comme la capitale d’Israël. Le ministre des Affaires étrangères de la République tchèque a cependant déclaré que le gouvernement tchèque ne déplacera son ambassade de Tel Aviv à Jérusalem que sur la base des résultats des négociations avec les partenaires clés dans la région et dans le monde Royaume-Uni : la position britannique précise : « Israël soutient que sa capitale est Jérusalem, une revendication non reconnue par la communauté internationale».

Russie : la Russie considère Jérusalem-ouest comme la capitale d’Israël et Jérusalem-est comme celle du futur État palestinien. Toutefois, l’ambassade de Russie se situe à Tel-Aviv.

Vanuatu : le Vanuatu reconnaît Jérusalem comme capitale d’Israël.

Suisse : la position suisse précise : « en l’absence d’un accord international sur le statut de Jérusalem, la Suisse, comme le reste de la communauté internationale, a son ambassade à Tel-Aviv. » De plus, elle cite également Jérusalem-Est comme future capitale d’un État palestinien.

Union européenne : le 8 décembre 2009, l’Union européenne appelle Israël à partager Jérusalem comme capitale conjointe de deux États hébreu et palestinien. Les VingtHuit assurent qu’ils « ne reconnaîtront aucun changement autre que négocié » au statut d’avant 1967.

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Le Livre de Stéphane Amar. « Pourquoi il n’y aura pas d’Etat palestinien »

Officiellement, Israël se dit prêt à la création d’un Etat palestinien mais en coulisse, l’Etat hébreu prépare l’annexion de la Cisjordanie, estime le journaliste Stéphane Amar dans son dernier ouvrage.

Le jour venu, Israël abattra ses cartes.

Le journaliste français a publié ce printemps un livre au titre péremptoire: « Le grand secret d’Israël: Pourquoi il n’y aura pas d’Etat palestinien ». Selon lui, les espoirs diplomatiques s’opposent diamétralement à la réalité politique et territoriale, qui voit les colonies israéliennes s’étendre de plus en plus. « Démographiquement, Israël est en train de prendre le dessus. Son taux de natalité extrêmement fort va lui permettre d’annexer la Cisjordanie et de faire un seul Etat entre la mer et le Jourdain », analyse Stéphane Amar dans l’émission Géopolitis. « Lors de mon arrivée à Jérusalem en 2003, environ 400’000 Israéliens vivaient de l’autre côté de la ligne verte, en Cisjordanie et à Gaza. Ils sont aujourd’hui près de 650’000 rien qu’en Cisjordanie. C’est 10% de la population israélienne, un chiffre considérable », détaille-t-il.

Dans ce contexte, la création d’un Etat palestinien est devenue difficile, de l’avis de Stéphane Amar: « Les colonies ne sont pas placées au hasard mais sur des axes stratégiques dans le but de couper les continuités territoriales palestiniennes. Et plus elles se développent, plus un partage du territoire devient compliqué, sinon impossible ».

L’appui de Donald Trump L’autre bouleversement, c’est l’arrivée au pouvoir de Donald Trump aux Etats-Unis.

Le président américain s’est récemment dit favorable à une solution à deux Etats pour régler le conflit israélo-palestinien.

Pourtant, « il a clairement pris le parti d’Israël » en reconnaissant Jérusalem comme capitale et en coupant l’aide humanitaire aux Palestiniens, rappelle Stéphane Amar.

Le Hamas contre l’OLP Le dernier obstacle à la création d’un Etat palestinien, c’est la division des Palestiniens eux-mêmes, explique l’auteur: « Il y a d’un côté Gaza, avec le Hamas, et de l’autre la Cisjordanie avec l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) de Mahmoud Abbas ».

Plus qu’une séparation politique, ce sont deux visions du monde qui s’affrontent. A Gaza, la société est de plus en plus hostile à Israël et à l’Occident tandis qu’en Cisjorda-

nie, elle s’occidentalise et s’ouvre sur l’extérieur. « Même si le nationalisme reste fort, il y a là un divorce inéluctable et fatal à la cause palestinienne », note Stéphane Amar. Et le journaliste de préciser que les Palestiniens eux-mêmes commencent à se résigner: « Ils ont compris pour la plupart que la colonisation était allée trop loin et qu’il n’y aura jamais d’Etat palestinien ».

Décathlon devrait ouvrir un 3ème magasin sur Allenby Street à Tel-Aviv

Kevin Gertsch Lire: Stéphane Amar, « Le grand secret d’Israël: Pourquoi il n’y aura pas d’Etat palestinien », Editions de l’Observatoire, 2018 Source : https://www.rts.ch

Difficile à savoir si l’information est vraie où fausse. Selon Globes « Décathlon devrait ouvrir un troisième magasin. Cette fois-ci au centre de Tel-Aviv, rue Allenby ». Il arrive souvent en Israël que des promoteurs immobiliers, pour valoriser leurs biens à vendre, inventent des acheteurs potentiels. IsraelValley enquête…

Selon i24News : « Décathlon va ouvrir un deuxième magasin en Israël. Le géant français des articles de sport et de loisirs, Décathlon, devrait ouvrir un second magasin en Israël d’ici la fin de l’année.

L’enseigne installera sa nouvelle boutique au nord de l’Etat hébreu, dans la banlieue de Haïfa, au sein du complexe commercial du groupe Big, selon une information du site israélien Globes.

L’été dernier, Decathlon avait ouvert son premier magasin israélien à Rishon LeTsion, dans la banlieue de Tel Aviv. Des milliers de passionnés de sport et de loisirs s’étaient précipités dans les 3.000 m2 d’espace de vente et la plupart des 16.000 références proposées par l’enseigne avaient rapidement été en rupture de stock ».

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Ernst Bergmann, le père du programme nucléaire national d’Israël ci vont des mécanismes de polymérisation (réaction de formation des chaînes macromoléculaires à partir d’entités plus légères) à l’isomérisation (transformation d’un composé chimique en isomère), à la réactivité des hydrocarbures insaturés, aux réactions de Grignard (synthèse de composés organiques donnant de l’alcool et des hydrocarbures), aux réarrangements moléculaires, etc.

En avril 1933, avec l’adoption de la loi qui interdit aux « non-Aryens » des emplois gouvernementaux en Allemagne, Bergmann est renvoyé de son poste universitaire.

Ernst David Bergmann est un scientifique et chimiste israélien, souvent considéré comme le père du programme nucléaire national. Grace à lui, l’Etat hébreu est devenu le sixième pays à acquérir la puissance atomique.

Ernst David Bergmann nait à Karlsruhe en Allemagne en 1903. Il est le fils ainé du Rabbin Judah Bergmann.

En 1924, le jeune homme entre à l’Université de Berlin où il passe en 1927 son doctorat de chimie organique, avec grande distinction. Après son diplôme, Bergmann continue à travailler à l’université. A l’âge de 25 ans, sur la base d’études qu’il réalise en stéréochimie, il est nommé chargé de cours.

Le scientifique se montre exceptionnellement prolifique : entre 1928 et 1933, il publie plus de 72 articles et notes traitant d’une incroyable gamme de sujets. Ceux-

Il part alors pour l’Angleterre et commence à travailler avec Haïm Weizmann à l’Université de Manchester. Mais finalement, Bergmann quitte l’Europe moins d’un an plus tard et arrive en Palestine le 1er janvier 1934. Il accepte l’offre de Weizmann, devenu entre-temps directeur scientifique de l’Institut de recherche Daniel Sieff de Rehovot (renommé Institut Weizmann en 1949), de superviser l’achèvement de la construction du nouveau centre.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, le savant quitte l’Institut pour travailler sur des projets de défense pour les Français, les Anglais et les Américains. Après la guerre, Bergmann retourne au Centre duquel il devient directeur scientifique.

Au cours des années suivantes, le chimiste, rendu célèbre par son travail et son lien avec Weizmann, se lie intimement avec David Ben Gurion qui le nomme à plusieurs postes éminents : chef du département scientifique des forces de défense israéliennes en août

1948, Conseiller scientifique du ministre de la Défense en 1951 et directeur de la Division de la recherche et de l’infrastructure du ministère de la Défense début 1952. En juin de la même année, il est nommé premier Président de la Commission israélienne de l’énergie atomique (IAEC), dans laquelle il joue un rôle crucial dans la conduite du programme nucléaire national, en collaboration avec le ministre de la Défense d’alors, Shimon Peres. Il fournit les premiers conseils techniques dans ce domaine sensible. Mais son travail à l’IAEC reste secret et l’agence elle-même demeure inconnue du public jusqu’à ce que son existence soit révélée en 1954.

En 1952, le savant quitte donc l’Institut Weizmann pour devenir Président de la chaire de chimie organique à l’Université hébraïque de Jérusalem.

En 1964, après que Ben Gurion soit remplacé par Levi Eshkol à la tête du gouvernement, Bergmann propose de démissionner de l’IAEC mais on le convainc d’y rester deux ans de plus. Il se désiste finalement en tant que Président de la Commission de l’énergie atomique et de ses deux postes au ministère de la Défense le 1er avril 1966.

En 1968, après une carrière bien remplie au service de la Nation, Bergmann reçoit le prix Israël.

Il s’éteint le 6 avril 1975 à l’Hospital Hadassa de Jérusalem, à l’âge de 71 ans. Le président Ephraïm Katzir, qui a travaillé pendant des années avec lui à l’Institute Weizmann, l’a décrit comme « le plus grand scientifique d’Israël ».Un scientifique dé-

voué au pays Bien que la direction de l’Institut exigeât une grande partie de son énergie, Bergmann a continué à écrire régulièrement de nombreux papiers. En tout, plus de 500 articles scientifiques publiés dans des revues internationales, traitant une variété de sujets en chimie organique. Ainsi grâce à eux, en 1951, l’Etat juif figure parmi les pays ayant le plus haut taux de parutions dans ce domaine par rapport à sa population globale.

Bergmann se sentait surtout très impliqué dans sa mission de développer la science en Israël. Son engagement dans le nucléaire traduisait bien son idéal : le scientifique considérait la science comme le moyen qui permettrai à la Nation et au peuple juif de palier le nombre supérieur de ses ennemis, de se défendre et « d’éviter une autre Shoah ». « Ce savant d’une grande intelligence a vécu et travaillé pour le pays et seulement pour le pays » écrit Weizmann à son sujet.

Par ailleurs, le Professeur Bergmann était membre de l’Académie israélienne des sciences ; Président du Conseil national pour la recherche spatiale ; Président honoraire de la Société Israélienne de Chimie ; membre du Conseil national de la recherche et du développement, en plus d’être à la tête de la Commission de l’énergie atomique.

Il a été vice-président de l’Université hébraïque jusque peu avant sa mort.

Plus que la légende d’un homme, la vie de Bergmann se confond ainsi avec l’histoire d’Israel.

Noémie Grynberg

Les « Amis » reveillez-vous !

Comme nombre d’entre vous, j’ai suivi avec attention les discours à l’ONU.

Le chef palestinien ne cesse de menacer et poursuit son double langage.

Ceux des ennemis traditionnels d’israël, ceux des vrais et faux amis et enfin celui du premier ministre Israélien Benjamin Netanyahu.

À chacune de ses prises de parole, il s’adresse non pas aux Nations mais aux plus extrémistes de son peuple.

Je veux en féliciter et en saluer chaque mot.

Ce discours était celui d’un véritable leader Juif, fier de son peuple et d’Israël, son pays qui, en 70 ans et dans l’adversité a réussi à se développer en gardant sa flamme fondatrice. Même si l’œuvre reste à parfaire et que des inégalités sociales intolérables sont à combattre, Israël est un joyau dans une région et dans un monde qui perd ses repères et tant de ses valeurs.

Cette réussite suscite l’admiration mais aussi la jalousie et la haine.

Cette haine s’est retrouvée dans les discours propagandistes et mensongers du président iranien et du leader palestinien. Ce dernier assène des contrevérités et appelle à mots à peine cachés à la reprise de la violence.

Son discours pervers n’étonne encore que ceux qui refusent de voir la vérité en face. Il trouve encore une écoute favorable auprès de certains qui pourtant se disent amis d’Israël.

Cette amitié qu’il serait bon de prouver plutôt que de simplement déclarer.

Cette amitié qui demande toujours plus à Israël qu’à ses adversaires .

Cette amitié qui parle sincèrement de la sécurité d’Israël sachant qu’Israël est fort et qu’il ne compte sur personne pour protéger sa population.

Cette amitié qui sait surtout qu’Israël ne sera jamais un État voyou ni une menace pour les démocraties .

Cette amitié qui trouve toujours Israël à ses côtés lorsqu’il s’agit de la lutte contre le terrorisme.

Cette amitié du savoir, de la culture et des valeurs humanistes.

Cette amitié qui pèse parfois !

Israël donne souvent plus qu’il ne reçoit !!!

Preuves en sont les réticences et condamnations outragées suite à la décision courageuse des autorités américaines de reconnaître une simple évidence, celle que Jérusalem est et restera la capitale d’Israël.

Tout comme l’indignation face à une simple vérité et un constat sur le fait que les institutions onusiennes financent aveuglément le terrorisme.

Malheureusement, ces Nations manquent de courage et n’ont pas compris qu’il ne sert à rien de se voiler la face. La politique de l’autruche n’a jamais protégé du terrorisme.

L’ONU ne retrouvera sa crédibilité et son rôle que lorsqu’elle redeviendra libre et indépendante des dictatures qui trop nombreuses l’ont gangrenée.

Il est grand temps d’ouvrir les yeux et d’accepter une réalité historique : Jérusalem est la capitale éternelle d’Israël.

Que cet état a son drapeau frappé de l’Etoile de David et sa langue: l’Hebreu Comme l’a déclaré le PM Israélien, pourquoi ce qui est permis à tous ne le serait pas pour Israël ?

Ces faits connus de tous doivent, pour trop d’amis déclarés, rester sous la table.

Israël a besoin d’alliés fidèles mais Le Monde libre a besoin d’Israel

Ils ne doivent surtout pas être dévoilés par Peur d’un terrorisme islamique qui attend les ordres pour repartir.

Gil Taieb

À LA UNE

Edition du 10 au 16 Octobre 2018

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Le billet d’humeur de Bernard Korn Brzoza

73ème session de l’Assemblée Générale de l’ONU, d’année en année, même public, les vindicatifs, les compassionnels criminels, les menaçants, les tortionnaires, les provocateurs, les vertueux bien silencieux, les donneurs de leçons parmi les plus dangereux, démocraties et démocratures confondues pour le même conflit, le seul semble t’il dans ce vaste monde, une accusation plutôt qu’un dialogue, les conseils amicaux de tout à chacun sans en mesurer les conséquences sur l’avenir, une confrontation entre le déni et la détestation, la même haine, les mêmes mensonges paranoïaques, les mêmes agresseurs, les mêmes victimes, la même raison de haïr, la colère vengeresse, le même carnassier sanguinaire, celui qui est la honte des Nations, celui dont l’existence est le produit de la lâcheté de l’Occident et de sa repentance, cette récurrente obsession d’un monde qui serait parfait si Israël n’existait pas. « Ecoute ONU, la voix d’Israël ne peut s’éteindre de la volonté d’indignes représentants d’un monde qui méprisent la liberté, de sages vertueux qui refusent d’entendre la vérité, se taisent et se calfeutrent dans une soumission sans retour, cette violence séculaire, ils sont là, dans cette Assemblée de la honte, du chantage et des alliances perverses, cela change t’il quelque chose ? Ce monde corrompu tourne sur son indignité et ces crimes, ces massacres, ces attentats de l’horreur si lointains qu’ils ne touchent pas nos médias et sombre dans une totale indifférence. Nous, Israël, au cœur de cette frénésie aberrante haineuse, victime d’un ressentiment millénaire incompréhensible qui perdure, Israël est un état de droit voté par cette même Assemblée, continuellement controversé, la haine se poursuit de génération en génération, la déconsidération, au mépris de notre histoire et de notre passé, nous sommes condamnés à entendre la sempiternelle trame de discours, de diatribes innommables niant jusqu’à l’évidence de notre existence. Face aux Nations d’un monde dit « libre », quel pays soulève des objections face à ses aberrations génocidaires ? Ne serait ce qu’un seul état ? Un seul, sauverait l’humanité ! Quel état tape du poing en invectivant ces délégués de menteurs, de prédateurs primaires et de délateurs stupides ? Calme plat, des délégués inexistants écoutent dans un silence de honte cette messe de violence et de mort, à l’incitation à la haine, cela n’a plus de sens, les sociétés civiles vivent dans la peur, une peur diffuse, la menace est encore trop lointaine pour se transformer en psychose, pas de jour sans un crime crapuleux, de viols, d’agressions, la peur de l’acte, un crainte devenue réelle, jusqu’ou cela peut il aller ? Les sanctions ne sont pas à la hauteur du crime dit on, la société est dépassée par le « vivre ensemble » une justice qui veut éviter les amalgames unilatéraux.

Le système judiciaire en question ?

Les lois sont elles mal adaptées ? Les petites incivilités, les crimes de sang excusés pour troubles psychiques sous des prétextes variables engendrent un sentiment d’impunité favorable à la récidive et à la tentation de l’exemple.

Il faut le dire. Une question, la permissivité antisémite, la haine du sionisme, la haine de la différence n’est en rien condamnée par des peines appropriées.

Un tourment récurrent sans fin, des discours bâclés, lus sans qu’ils ne soient écrits par les ministres concernés, cela ne vient pas du cœur, ni des tripes, c’est devenu une formule polie de la compassion démocratique à notre égard.

Par contre, on parle peu du discours de Benjamin Netanyahou, les vérités n’ont pas vocation à être reproduites.

Ces grandes messes onusiennes avec un Mahmoud Abbas pleureur, une émotion feinte forte comme un plaidoyer à l’inépuisable vocabulaire victimaire est une source financière de la compassion d’une UE piégée par son aveuglement à la cause de l’AP et le terrorisme des « martyrs » du Hamas, des adolescents offrant leur corps aux tirs israéliens, des images chocs d’un grotesque inacceptable mis en scène pour l’opinion publique et on compare ces sacrifices à des crimes contre l’humanité. Cela a rapporté plus de 138 millions d’euros pour les œuvres sataniques de l’UNWRA, maigre compensation en rapport du retrait de l’aide américaine. Nous, Occident, nous nourrissons la haine, nous fortifions le combat des djihadistes ou des frères musulmans, nous entretenons par un acharnement sectaire et aveugle une tragédie dont les ramifications se jouent dans les banlieues du péri urbain, des sanctuaires inviolables par nos polices, dans l’attente d’une guérilla qui prendra en otage nos capitales. S’ajoute Rohani, l’Iranien qui surajoute à l’opprobre international en déclarant « Israël représente la plus grave menace à la stabilité régionale et à la paix mondiale », l’exagération, maitre mot de la communication, du vide à l’intérieur, les menaces rassurent « ces infoxs » sont elles de nature à faire céder les démocraties au nom d’une paix « munichoise » au lieu de s’associer au chantage américain sur l’économie iranienne. C’est si facile de faire croire la nuit en plein jour, l’économie, est un problème de conscience national, l’enjeu en vaut il la peine ? La paix est à vendre, la paix s’achète, elle n’est jamais en l’honneur de ceux qui s’y prêtent ! Rohani appelle cela un « terrorisme économique » qui étrangle son peuple et il annonce avec force et une velléité sans concession son droit de détruire Israël, de l’éradiquer de la surface de la terre ! L’UE dans son innocence occidentale ne peut croire en une situation si ubuesque, si fantasmée, trop gros pour être possible ! Cette arrogance des mots est une force démoniaque, un véritable pouvoir, il s’adresse à son public ou la folie du pouvoir les galvanisent depuis des années, il entretient cette ferveur à son paroxysme, Rohani veut, c’est le

retentissement de son discours à une planète désenchantée et qui doute ! Le conflit atomique un danger suspendu au dessus de nos têtes ? Une farce, cette drôle de guerre ou les arguments défient la raison, la logique, le tout est possible parce qu’il est tenu entre les mains de dirigeants imprévisibles ! L’UE en est consciente, mais elle représente la civilisation celle de « l’Europe trésor inestimable de l’humanité » la civilisation avec un A majuscule, celle des valeurs, celle des droits de l’homme, celle, encore de la libre expression, bien qu’en arrière plan souffle une censure qui s’acharne à étouffer la pensée de tout sens critique. Nos démocraties molles face à ses démocratures féroces, aux verbes hauts et aux instincts criminels cèdent au chantage. La Turquie, Erdogan, le sultan « accuse le Conseil de Sécurité de l’ONU de rester les bras croisés face aux massacres des palestiniens en encourageant les agresseurs. Nous continuerons à être du coté des palestiniens opprimés et protégerons le statut historique et légal de Jérusalem ». En Turquie, le viol des libertés, l’acharnement aux opposants, la presse muselée, une politique manipulant une UE étrangement silencieuse, une diplomatie aux abonnés absents et « il multiplie le crime par l’hypocrisie et la perfidie par l’absurde » l’UE en est témoin et complice.

Macron se fait l’écho du show larmoyant à la cause palestinienne soumise à la « loi du plus du plus fort, qui ne font que renforcer la violence »dit il, il la justifie, « martyrs est un statut honorable « dans cet espace d’incitation à la haine et à la mort.

Ahed Tamimi reçue à la fête de l’humanité présentée comme une résistante de la répression israélienne fait appel aux meurtres des juifs, incitation à la haine et désignant Israël comme un état dictatorial, le public adore entendre cela, pas de scrupule, ça doit faire mal. Le Real Madrid reçoit cette icône maléfique, était ce nécessaire ? Palestiniens sans défense à la clôture de la bande de Gaza, ils sont 20000 à se jeter dans la confrontation, chaque jour, chaque nuit, ils envoient « des enfants pour traverser la barrière aux regards révulsés et plein de haine » une faiblesse que le Hamas exploite, nous ne tuons pas les enfants, pourtant c’est l’image que s’approprie les médias, dans cette « guerre à sens unique » bien plus difficile et complexe. On souille l’honneur de nos soldats, on souille Israël, on souille notre éthique, notre morale, on souille le peuple juif. Nos soldats, encore des enfants ont moins de 20 ans, pas de médaille, on leur jette des anathèmes infamants des qualificatifs odieux alors que les « hommes du Hamas » jubilent de cette situation, elle plonge Israël dans un dilemme humain et de conscience pour ce que subissent nos soldats psychologiquement, dans les profondeurs de leur intime, le devoir, pas d’autre alternative que la défense d’Israël.

L’univers de l’AP est garni d’une pléiade de terroristes innocents, des fantômes

mémorisés, canonisés au panthéon des « martyrs » au nombre de victimes juives assassinés dans ces attaques. Gloire éternelle à ces héros encensés par les médias et les familles récompensées par une rente à vie payée par l’UE, pourquoi, cela cesserait il ? Les autorités s’honorent de maintenir l’héroïsme et de soutenir les refugiés depuis 70 ans, ils défient la morale onusienne pour « un retour à la maison » entretenus de générations en générations par la charité et la veulerie occidentale.

Un pied de nez à Trump, le maudit, l’intraitable « ami des juifs », loin cette supercherie d’une solution à 2 états. Qui y croit vraiment ? Les manifestations à la bordure de Gaza sont des escarmouches en attendant le grand jour tant promis, la reconquête d’Israël, leur terre ! Par dizaines de milliers manipulés par la mouvance djihadiste : les dirigeants du Hamas s’en donnent à cœur joie, applaudissent dans leur intime, quoi de plus porteur qu’un adolescent palestinien tombé au champ d’honneur, chaque victime nouvelle créée un choc médiatique, le sentiment de vengeance explose, l’ADN en fusion, ils provoquent Tsahal, des victimes dont le nombre s’alourdit et inexorablement grandit cette haine sans pardon. Plus M. Abbas pleure à cette fumeuse tribune de l’ONU, plus les millions tombent dans son escarcelle mafieuse, le sourire niais de la ministre des Affaires Etrangères de l’UE, Fédérica Mogherini, la main sur le cœur, le baiser de Judas à M. Abbas, j’attends de voir ses sanglots sur cette misère criminelle, un alibi si bien construit que le monde y croit. Ils se paient de nos impôts, ils se paient de notre naïveté, de notre « tête » pour être dans le politiquement « écrit ». Des millions d’euros en plus pour compenser l’ignoble trahison de Trump sur les fonds adressés à l’UNRWA, c’est si bien orchestré, c’est un show façon « Las Vegas » mais il est celui de la honte, encensé le crime comme une doctrine qui rapporte du « cash ». Helka Maas ministre de la Justice Allemand déclare vouloir augmenter son aide à l’UNRWA, suivie d’autres nations européennes, et on jubile dans les coulisses palestiniennes, ils peuvent continuer à instruire l’enseignement de la haine d’Israël et des Juifs dans les écoles de l’UNWRA, leur expliquer par le contraire l’abomination du négationnisme, glorifier le terrorisme comme une étape vers un paradis tentateur, voila ce que l’UE leur prépare en les aidant, un gouffre financier pour nous et le maintien d’une éducation subventionnée aux futures générations palestiniennes à qui nous permettons d’entretenir leur haine et leur violence victimaire. « Il y aura toujours une infinité de politiques pour professer toutes sortes de crimes ».

Bernard Korn Brzoza

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Les conseilleurs ne sont pas les payeurs !

Je ne me sens pas de donner des conseils à notre Premier Ministre, d’autant que je suis sans doute, comme tous les donneurs de conseils, j’ignore s’ils sont applicables, du point de vue du droit international.

Cependant, nous sommes si nombreux à le penser, que l’exposer me fera un bien fou au moral. Posons pour commencer la solution à 2 états. Qui serait assez fou pour accepter un pays limitrophe, dont les frontières nous ceintureraient? Qui est assez fou pour croire, qu’aussitôt la paix signée, les arabes changeraient de loups en agneaux ? Qui serait assez fou, pour ne pas imaginer qu’il y aurait, en permanence, revendication territoriale, jusqu’à, envahissement total?

Ne vous énervez pas, on suppose ! Entres nous, cet envahissement a été possible, dans des départements d’Ile de France, bien plus grand que la Jude Samarie. Après en avoir débattu avec nombre d’amis, de connaissances et même d’inconnus, on finit toujours par conclure, que la solution a 2 états serait une hérésie. Pourtant, au bout de 70 ans, c’est la 4 eme ou la 5 eme génération de HAYALIM qui affronte ces fous sanguinaires, affamés, francs tireurs, fous de D et autres Kamikazes.

Nous ne pouvons l’envisager 70 ans de plus.

Ou alors, il ne fallait pas faire naître, un tel espoir. D’autant, ce qu’à D ne plaise, la population lassée par les guerres, séduite par un beau parleur de gauche, verrait la terre éparpillée, distribuée, sous l’action d’individus

sans scrupules.

Alors, il reste la seule solution. inacceptable sans doute pour les arabes, mais qu’il faudra appliquer, sans tarder, pendant que la conjoncture est propice. Certes, il faudra un courage sans limites. Certes, il faudra supporter les insultes et les condamnations, qui ne manqueraient de fuser, ni de l’ONU, ni de l’intérieur.

Mais l’expérience nous a prouvé, que les condamnations sont sans effet, que le monde est peuplé de couards, qui sont dirigés par des individus lâches et corrompus, qui passeront en priorité leur place au Soleil tout en aboyant. Alors que nous reste-t-il? Faire accepter l’intégration des habitants de Jude Samarie par la Jordanie. Annexer la zone à Israël. Faire de même avec l’Egypte et y intégrer la population de Gaza. Verser les aides aux populations et non aux dirigeants. Faire de Gaza le Singapour de proche orient.

J’imagine que je récolterai les MIKE des inconditionnels et quelques commentaires critiques. Dites vous que si cela se passe de mon vivant, je n’en tirerai aucune gloriole.

Si cela se passe après mon 120 eme anniversaire, je vous dirai, à l’instar de HERZL : « IM TIRTSOU, EN ZOU AGADA! » Si vous le voulez. Ce ne sera pas une légende.

RENÉ SEROR

Cher Marco KOSKAS,

Judée Samarie : Clé urgente

Après sa prestation magistrale, il faudrait que BIBI s’attelle à une solution de règlement du conflit. Saisir la chance, qui risque de ne pas se représenter, par le biais de la position de TRUMP.

Avant que ce dernier ne propose son plan de paix et sa solution à 2 états. Avant qu’il ne soit, ce qu’à D ne plaise, destitué, l’opportunité d’annexer la Judée Samarie, aurait pu être possible après la guerre des 6 jours.

Nos généraux vainqueurs et vaniteux, sûrs de leur ego, ont laissé passer la chance. Toujours l’étique juive. Ce qui nous a valu 51 ans de batailles, d’escarmouches, d’attentats, de provocations...

Et qui risque de durer encore longtemps.

Tout le monde a entendu que 500.000 en 1948 dont 13 millions, après 50 ans. Dans 10 ans, ils se prétendront toujours réfugiés et annonceront être 20 ou 25 millions.

Aujourd’hui, l’annexion est possible. Car, comme l’a rappelé Daniel HAÏK sur I24, ce n’est pas un traité de paix qui ramènera la paix. Il a, d’autant plus raison, que ce matin, le Hamas fustige Abbas après son discours mensonger et haineux à l’ONU. Preuve, s’il en fait, qu’un traité de paix, ne servira qu’à desservir Israël et soyez convaincus que les

Lettre de Marco à Koskas

arabes sauront en tirer profit.

Malgré les réticences et les grincements de dents, malgré les condamnations qui ne manqueront pas de pleuvoir Israël n’a aucun autre choix que d’annexer la Judée Samarie.

En dehors de cette solution, tout plan de paix, basé sur une solution à 2 états, permettra à Abbas où a son successeur de marquer des points et de revendiquer encore et toujours une portion de notre terre.

Ce 28 septembre, Abbas, pour odieux qu’il fut, ne manqua aucune occasion de se couvrir de ridicule. En revanche, et je le dis avec la fierté que tout juif se doit d’exhiber, BIBI fut magistral. Il a marqué des points.

Avant de mettre un point final, je vous livre une petite réflexion. Si le commissariat de police de votre quartier reçoit un appel, disant que dans un immeuble voisin se cache un criminel recherché, que vous donnez l’adresse et que la police ne vient pas, qu’allez-vous penser?

Et bien, nous pensons la même chose de l’IAEA. René SEROR

Quand tu m’as informé de la sortie de ton livre, je n’étais, physiquement, pas apte à te répondre. Me rendant en France pour Roch Achana et Kippour, un fidèle a dit qu’un juif, originaire de Tunisie était nominé pour le Renaudot. Il ne savait ni le nom de l’auteur, ni le titre du livre.

J’ai dit: « Marco KOSKAS? » « BANDE DE FRANÇAIS » Aussitôt, autour de nous, les visages se sont animés et ont confirmé. Depuis, je suis rentré en Israël et les fêtes, les obligations familiales, je n’ai pris connaissance que ce matin du papier au vitriol que t’a offert LIBÉRATION. Pourtant, après l’avoir parcouru, je me suis fendu d’une seconde lecture. Plus appliquée! Il en ressort plusieurs points. A savoir, qu’au travers de leur prose officiellement dégoûtée, mais sur le fond machiavélique, ils m’ont donné envie de lire ton livre. Non relu, bourré de coquilles disentils. Mais, et c’est bien connu, « Quand on veut tuer son chien, on dit qu’il a la rage. » Alors, ce matin, j’ai adressé à un grand nombre d’amis l’article de Libé. Des amis Juifs,non-Juifs, Tunisiens ou non, en leur demandant leur avis. Unanimité. TOUS ont souhaité le lire. Pour ma part je ne peux lire, pour l’heure, que des documents numé-

riques. Mais après mon opération, j’espère si D veut retrouver quelques dixièmes. Ce sera le premier achat de livre que je m’offrirais.

LIBÉRATION, par leur ton exaspéré et surtout exaspérant t’ont offert, contre leur volonté, une tribune magistrale. En revanche, à travers ce qu’ils voudraient, critique, ils prouvent que tu as dressé une véritable photographie de la situation. Parallèlement, ils démontrent, une fois encore, qu’ils font du journalisme de bureau.

Confortablement assis derrière un ordinateur, ils ignorent la réalité du terrain au profit de leurs idées nauséabondes. Leurs doigts courent sur le clavier et ils font l’opinion, en fonction de leur rougeoyante humeur.

Et tous ces crétins ne comprennent pas, qu’ils sont à la source de tous les populismes, naissants ou dormants. Quant au couplet, sur notre extase pour Bibi, je terminerai en bénissant notre Premier Ministre Mais pour comprendre le sens de cette BRAKHA, il faut une Nechama juive. Ce, dont ils sont totalement dépourvus. Bien à toi, frère. Écris et laisse braire. Un sfaxien a un Nabeulien. Avec ma sympathie.

René Seror PS: tu devrais mettre en ligne, un extrait de ton livre

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Fontenay-sous-Bois, une communauté qui bouge !

Entretien avec le président de la synagogue Beth Chalom, Richard Chetboun munauté importante a Fontenay sous bois quels conseils donneriez vous a une autre communauté pour réussir ?

RC : Avant tout respecter les fidèles, qui appelle t’on respectable ? c’est celui qui sais respecter les autres. Respecter les fidèle qu’ils se sentent et considérés et leur donner la possibilité de se retrouver dans leur synagogue et pas chez un président ou un rabbin, ils doivent se sentir chez eux.

IA : Nous savons que vous êtes très proches des élus de Fontenay sous bois, maire, député de la circonscription, comment faites vous pour toujours être de l’avant pour la sécurité et le vivre ensemble ?

Israël Actualités : Monsieur le président Richard Chetboun, depuis combien de temps vivez vous en France ?

Richard Chetboun : Depuis 1954 nous sommes venus avec nos parents, j’étais jeune au lendemain de la Shoah. Les juifs avaient beaucoup de mal a vivre en France a la limite ils se cachaient d’être juif, il y avait très peu de magasins cacher et pas du tout d’office sépharade a Paris.

IA : Le communautarisme est t’il dans les gènes Chetboun ?

RC : Oui je pense puisque en 1962 nous avons habités Vincennes et nous avons crée le rite sépharade de la rue Céline Robert mon père, mon frère Z’l et moi-même et depuis cet office sépharade s’est développé a grande vitesse. A partir d’une petite salle de classe que nous avons obtenu et c’est comme ca que nous avons organisé cet office qui maintenant un des plus important du Val de Marne. J’ai été président de l’association Atikva pour la jeunesse et je suis toujours le président du dernier devoir a Vincennes.

IA : Depuis quand dirigez vous la synagogue Beth Chalom ?

RC : Depuis 1982 ont m’a demandé de devenir président c’était Monsieur Mendelbaum le président et Meyer Saadia et d’autres personnes qui étaient des fondateurs de cette synagogue, je suis devenu président et j’ai fais le maximum pour développer cette communauté et en étant respectueux toutes les structures de toute les obédiences de chacun puisque nous vivions avec les Loubavitch, Les Ashkénazes, et les Sépharades nous formions un seul office qui dure jusqu’à aujourd’hui.

IA : Qu’est ce qui fait le succès de Beth Chalom aujourd’hui ?

RC : Je pense que c’est la tolérance, le respect vis-à-vis des autres fidèles, que chacun se sente chez soi et aidé moralement et matériellement pour les fidèles dans le besoin.

IA : Votre comité est très actif, comment voyez-vous l’avenir ?

RC : Je suis très optimiste sauf si malheureusement nous devions tous faire notre Alya, je suis confiant et vigilent.

IA : De nombreuses familles juives viennent s’installer a Fontenay sous bois, Beth Chalom est telle responsable en partie de cette migration ?

Mynian des jeunes

RC : Je pense oui très sincèrement parce qu’il a une possibilité d’étudier, la synagogue est ouverte du matin au soir, donc la possibilité aux gens de venir, lire, prier avec notre jeune et combien aimé hazan Jonathan Bokobza, se documenter et faire partie de diverses activités. Nous avons une très grande bibliothèque et c’est très important et puis bien sur les commerces cacher, les écoles autour de nous et un Gan dirigé par Madame Simone Sebban depuis 1980.

IA : Plusieurs associations gravitent autour de Beth Chalom, comment les aidez-vous ?

RC : En faisant des appels et les soutenir dans leurs actions au maximum de nos possibilités, nous avons la Banque alimentaire dirigé par Monsieur Lionel Vaturi, Lev Zahav dirigé par Messieurs Chlomo Barouk et Sylvain Halfon, les cours, les activités l’UCAJF Union des associations juives de Fontenay, les cours de Krav Maga tous les mercredis soir par Maitre Avi Atlan 5è Dan et touts les dimanches matins la danse des petites filles 8 à 10 ans et surtout la possibilité d’étudier sans modération.

IA : Président charismatique d’une com-

RC : J’avoue très sincèrement qu’a Fontenay sous bois nous n’avons aucun problème de racisme malgré nos trois synagogues, écoles, commerces, si il y a un dérapage concernant Israël, la mairie sait que nous sommes avant tout des français, nous sommes juifs et nous sommes proches d’Israël, attaché a Israël je le dis tous les ans a kippour cet état de fait que nous avons besoin d’Israël, et si il y a un soucis sur ce fait je suis le premier a me déplacer au bureau de Monsieur Jean-Philippe Gautrais maire de Fontenay, pour lui faire la remarque et y remédier. On peut se promener ave notre kippa sans soucis. Le maire nous le recevons deux fois par an dans la synagogue, le député Guillaume Gouffier est parfait nous avons d’excellentes relations. Je félicite Monsieur le maire pour toutes ses actions, ami de la communauté et nous n’avons jamais eu aucun refus de sa part concernant les fêtes soit pour les salles, les chaises pour le confort de Beth Chalom.

IA : Président c’est un honneur que nous vous avons cette semaine dans notre journal qu’avez-vous a rajouter ?

RC : Je trouve que le journal Israël actualités est un très bon journal qui n’est pas tendancieux qui dit la vérité des choses que tous le monde dit tout bas et le journal le dit ouvertement. Et ce que pense fait sa force et je félicite son directeur Monsieur Sayada en lui souhaitant le meilleur.

Beth Chalom aujourd’hui

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Une Sexagénaire fragile

Pas de commémoration, pas de festivité particulière pour la Constitution de la 5ème République qui a fêté la semaine dernière le soixantième anniversaire de sa promulgation.

C’était le 4 octobre 1958. Le putsch des militaires en Algérie avait entrainé le retour au pouvoir du général de Gaulle. La Russie s’appelait alors l’URSS, le président américain était le général Dwight Eisenhower, l’Allemagne était divisée en deux, nous payions nos courses en franc et sur la seule chaine de télévision, les français suivaient les enquêtes du commissaire Bourrel dans la série « les cinq dernières minutes ».

Adoptée par référendum par 80% des Français quelques jours avant, la France inaugurait une nouvelle constitution, la cinquième de son histoire républicaine.

Une constitution, un ensemble de principes qui fixe l’organisation et le fonctionnement d’un pays. Nous connaissons tous celle des Etats-Unis celle de Georges Washington qui proclamait la République, les droits de l’homme et un pouvoir présidentiel.

En France, la nouvelle constitution voulue par le Général de Gaulle et écrite par Michel Debré avait pour objectif de mettre fin à l’instabilité gouvernementale de la IVème République ; elle installait un Président de la République doté d’une autorité importante élu pour sept ans, et organisait la décolonisation en Afrique.

Soixante ans plus tard, on ne peut que se féliciter de la stabilité qu’apporte la Constitution.

Sous un autre régime, l’affaire Benalla ou les démissions successives de ministres d’Etat comme celles de Nicolas Hulot ou de Gérard Collomb, auraient emporté le gouvernement actuel.

Mais le regard des Français est lui plus critique, lassés de la perpétuelle course présidentielle, qui dévorent ses prétendants une fois élu ; ils jugent notre système politique à bout de souffle et moins efficace que les autres grandes démocraties pour juguler les effets dévastateurs de la crise économique.

La Constitution devrait être révisée pour la 25ème fois de son histoire en janvier prochain : elle devrait conduire à une réduction du nombre de députés, à la limitation du nombre de leurs mandats et à installer une dose de proportionnelle.

Mais attention. La rapide désillusion créée par la présidence actuelle renforce ce sentiment de doute chez nos concitoyens qui se défient chaque jour un peu plus de leur système politique.

Au risque de changer de constitution et de République …

Jack-Yves Bohbot

Le debrief de la semaine Par Jack-Yves Bohbot

Taxe carbone : Israël autorise l’extradition de deux protagonistes Le parquet israélien a recommandé au tribunal de Jérusalem de donner son feu vert à l’extradition demandée par Paris de deux Franco-israéliens, Stephane Alzraa et Michael Aknin. Actuellement emprisonnés, ils sont accusés d’avoir dirigé des sociétés ayant détourné environ cinquante et un millions d’euros en fraudant la TVA sur le marché des «droits à polluer».

L’ambassadrice de France en Israël hostile à la politique israélienne Pour Hélène Le Gal, ambassadrice de France en Israël, le déménagement de l’ambassade des Etats-Unis à Jérusalem «était une mauvaise décision, prématurée» et le président Trump «s’est tiré une balle dans le pied» ! «Sur la question de la colonisation je trouve que bâtir de plus en plus en Cisjordanie c’est préempter le résultat des discussions, c’est grignoter un territoire que les Palestiniens revendiquent…», a-t-elle ajouté.

140 artistes demandent le boycott de l’Eurovision en Israël Dans une tribune publiée dans le quotidien britannique « Guardian », cent quarante artistes internationaux appellent à boycotter la prochaine édition du Concours de l’Eurovision, qui se tiendra en Israël. Les artistes réclament la délocalisation du concours

dans un autre pays, en signe de soutien « aux artistes palestiniens ».

Attaque terroriste à Barkan : deux israéliens tués Deux des trois Israéliens touchés lors d’une fusillade terroriste perpétrée dimanche matin dans une usine près de l’implantation de Barkan ont succombé à leurs blessures.

Selon l’armée, l’auteur de cette attaque, un palestinien originaire d’un village proche de Tulkarem, a ligoté des employés de la société dans laquelle il travaillait puis les a exécutés. Les deux victimes, un homme et une femme, étaient des trentenaires.

Israël renforce l’égalité entre tous ses citoyens Le gouvernement a alloué 96 millions de dollars à l’assistance aux étudiants arabes en difficulté et une somme similaire au profit de la communauté druze. Au sein des communautés arabes, le taux d’inscription est ainsi passé de 57% en 2015 à 66% en 2017.

Nicolas Sarkozy invité du Consistoire de Marseille L’ancien président de la République s’est rendu à la grande synagogue Breteuil à Marseille, à l’occasion de la cérémonie des vœux du Nouvel an juif. Jean-Claude Gaudin, Renaud Muselier et Martine Vassal participaient à cet événement.

SÉCURITÉ

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News sur l’ONU, l’anti-terrorisme et l’Iran

1. Le terroriste franco-palestinien, Salah Hamouri, 33 ans, membre du FPLP, a été libéré dimanche après 13 mois de détention administrative. Après avoir payé une caution de 709 euros, Salah Hamouri a rejoint le domicile familial situé dans le quartier d’Al-Ram, un faubourg de Jérusalem-Est. 2. La Russie a commencé à livrer son puissant système de défense anti-aérien S-300 à la Syrie, a déclaré vendredi le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, en dépi 3. L’OLP appelle l’ONU à placer Israël sur sa liste noire. Le secrétaire général de l’OLP a réitéré sa demande de protection internationale pour les civils palestiniens, ajoutant que « plus de 350 enfants palestiniens étaient actuellement emprisonnés en Israël 4. Le Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou a rejeté lundi les allégations

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Chasseur furtif F-35. Israël a payé 125 millions d’euros pour chaque avion

iraniennes quant à l’implication d’Israël dans l’attaque meurtrière commise le mois dernier pendant un défilé militaire en Iran ».

5. L’Agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) a annoncé lundi le retrait provisoire d’une partie de son personnel de la bande de Gaza en raison d’incidents « alarmants » liés à des suppressions de postes consécutives à l’arrêt des financements américains.

6. Environ 200 policiers menaient mardi matin douze perquisitions à Grande-Synthe, dans le nord de la France, au siège du «Centre Zahra France», une association islamique chiite, et aux domiciles de ses principaux dirigeants en raison de leur «soutien marqué» à «plusieurs organisations terroristes», a annoncé la préfecture du Nord. http://koide9enisrael.blogspot.com/

A l’avenir, Israël sera contraint d’utiliser le chasseur furtif F-35 pour attaquer la Syrie, a rapporté Galei Tzahal, une decision qui fait suite a la livraison des missiles S-300 par les russes aux syriens.

La Russie a annoncé son intention de fournir aux syriens des missiles anti-aériens S-300 après la frappe aérienne israélienne du 17 septembre qui aurait abattu par erreur un avion de reconnaissance militaire russe, faisant 15 victimes à bord. La Russie considère Israël comme seul responsable et affirme avoir été, d’une part, induit en erreur sur le lieu attaque et d’autre part, n’avoir pas été informé à l’avance de l’attaque par les israéliens.

Le ministre russe de la Défense, Sergei Shoigu, a informé le président russe, Vladimir Poutine, que le système de missiles S-300 était bien arrivé en Syrie, poussant la porte-parole du département d’Etat américain, Heather Nauert, à affirmer qu’il provoquerait « une grave escalade des inquiétudes dans la région ».

Le nouveau système anti-aerien S-300, vendu à la Syrie par la Russie, vise à empêcher les avions ennemis, y compris les avions israéliens, d’attaquer son territoire.

Galei Tzahal a cité une source de l’armée de l’air israélienne qui lui aurait confié que; pour mieux gérer la menace croissante, Israël avait donc décidé d’accroître l’utilisation du chasseur furtif F-35 lors de ses opérations militaires futures contre la Syrie. « Les attaques à venir ne seront pas les premières, mais elles seront plus sûres pour les pilotes compte tenu de la nouvelle réalité du ciel syrien », aurait déclaré la source à Galei Tzahal avant d’ajouter: « C’est l’arme la plus chère au monde, et l’avion le plus perfectionné du monde. Israël a payé 125 millions d’euros pour chaque avion, et le ministère de la Défense a acheté 50 avions de la Model A. Huit des avions ont déjà atterri en Israël et 33 devraient arriver d’ici 2021 ».

En mai, Israël était le premier pays à mener des frappes avec le F-35. « Nous pilotons le F-35 sur tout le Moyen-Orient qui fait maintenant partie intégrante de notre arsenal opérationnel « , a déclaré le commandant de la Force aérienne israélienne, le général Amikam Norkin. « Nous avons été les premiers au monde à attaquer avec le F-35.

L’armée de l’air israélienne a déjà effectué des frappes à deux reprises avec le F-35, sur deux fronts différents. »a-t-il conclu.

Source : Tel-Avivre

SÉCURITÉ

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Au beau fixe. L’Allemagne et les services secrets israéliens

La dernière visite de la Chancelière Angela Merkel à Jérusalem a renforcé les relations bilatérales entre les deux pays. Plus que jamais, ces relations sont au beau fixe et sont de loin plus amicales et plus fructueuses que celles que nous avons avec la France. L’Allemagne est notre partenaire commercial le plus important de la planète juste après les Etats-Unis. Les importations israéliennes représentent au total presque trois milliards de dollars.

L’Allemagne combat l’antisémitisme par tous les moyens. Contrairement au gouvernement français, la politique de la chancelière est constante, les promesses sont tenues notamment sur les visites officielles.

La politique vis-à-vis du départ des forces iraniennes et russes de Syrie et le droit d’Israël à se défendre par lui-même est claire et sans aucune ambiguïté. Merkel comprend parfaitement que les raids israéliens contre l’Iran et le Hezbollah soient nécessaires pour la sécurité de l’Etat juif.

Certes, il existe des divergences, qui le sont d’ailleurs avec l’ensemble des pays de l’Union européenne, sur les implantations et la solution du problème palestinien, mais avec Merkel cela se dit en toute amitié et franchement, et non pas par des leçons moralistes. C’est le cas pour l’application de l’Accord nucléaire avec l’Iran.

Dans le combat contre le terrorisme de Daesh et des pasdarans iraniens en Europe, l’Allemagne collabore étroitement avec les services secrets israéliens, les informations précieuses fournies par le Mossad ont déjoué des dizaines d’attentats sur le sol européen.

Ce n’est pas la première fois qu’un chancelier allemand effectue un voyage en Israël mais chaque visite nous plonge dans la mélancolie et le souvenir d’un passé sombre et douloureux. Face à la banalisation quoti-

dienne de la Shoah et à la multiplication des actes antisémites, la visite de la chancelière à chaque fois à Yad Vashem prouve que les leaders actuels de l’Allemagne ne pourront jamais gommer la barbarie nazie de notre mémoire individuelle et collective. Le syndrome de la Shoah continuera de nous hanter car les menaces proches et lointaines sont ici, et en Diaspora, omniprésentes.

Cependant, qui aurait imaginé dans les années 1930 une rencontre officielle et amicale entre Allemands et Juifs à Jérusalem ? Entre plusieurs ministres venus spécialement de Berlin pour discuter avec leurs homologues israéliens de l’avenir des relations économiques, culturelles, scientifiques et militaires entre les deux pays amis ?

Il est regrettable que la presse minimise la portée de cette visite et a focalisé ses articles et reportages sur des soi-disant tensions et malentendus concernant un événement insignifiant dans les relations internationales : le démantèlement d’un campement bédouin illégal près de Jérusalem, ignorant comme d’habitude et méchamment, qu’il s’agit de l’application d’une décision de la Cour suprême.

Dans ce contexte, la visite de la chancelière Angela Merkel avec son impressionnante délégation ministérielle est plus que jamais importante pour renforcer et consolider nos relations dans tous les domaines et sur tous les plans.

Enfin, preuve supplémentaire de la spécificité de nos relations : Madame Merkel a choisi de visiter exclusivement Israël. Elle a refusé de suivre les autres chefs d’Etat européens, particulièrement français, en ne se rendant pas comme de coutume chez les Palestiniens…

Freddy Eytan

Un ingénieur qui exerce à Tel-Aviv, exclu d’un congrès en France

Un franco-israélien a été exclu d’un congrès d’informaticiens organisé par l’association AFUP (Association française des utilisateurs de PHP) après une « analyse de son compte twitter et de sa prise de position géopolitique ». « Le président de l’AFUP a décidé de m’exclure et de me boycotter, au motif que j’exprime sur Twitter des opinions en matière géopolitique dont la nature controversée ne peut être niée », a déclaré Gabriel à i24NEWS. L’ingénieur en informatique, qui exerce à Tel-Aviv dans une grande entreprise technologique israélienne de renommée mondiale, s’exprime régulièrement sur Twitter « librement » et « à titre privé » en faveur d’Israël, de l’armée et du sionisme. « Il ne fait aucun doute que, des mots mêmes du directeur de l’organisme, mes

opinions sont gênantes pour une partie des participants à ce congrés annuel parisien, » a souligné le spécialiste. « J’ai été très fier lorsque mon sujet de conférence a été sélectionné, puis très déçu de la réaction limite puérile de l’organisateur. Ce qui m’indigne particulièrement, c’est que l’on puisse déjà simplement envisager que je puisse utiliser ma tribune pour diffuser perfidement des discours politiques », a-t-il déploré. « Mes opinions personnelles n’ont pas été évoquées et n’allaient pas l’être pendant le congrès et c’est en cela que tout ceci ressemble fortement à de l’exclusion discriminatoire, » a-t-il soutenu.

La conférence annuelle internationale, qui a lieu le 25 octobre au Mariott rive gauche, invite une vingtaine de spécialistes informatiques et technologiques.

FRANCE

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Journée nationale du KKL à Yavné Marseille

Premier dérapage contre le chanteur Aznavour

Lundi 1er octobre, la France apprenait avec tristesse le décès de Charles Aznavour à l’âge de 94 ans. Si de nombreux fans ont partagé leur peine sur les réseaux sociaux, d’autres n’ont pas hésité à critiquer ouvertement l’artiste.

de Charles Aznavour a provoqué une vague de tristesse sur la France : « Ses propos sont honteux », peut-on lire. « France Bleu Vaucluse, cautionnez-vousles propos nauséabonds de votre animatrice ? », a également interpellé un abonné sur Twitter.

C’est le cas d’une animatrice qui officie pour France Bleu Vaucluse. Il est clair qu’en dehors de ce cas très rare les hommages sont unanimes. Les anti-Israël n’ont pas encore osé attaquer la mémoire d’Aznavour qui a chanté plusieurs fois en Israël et qui a été considéré comme l’un des grands amis de l’Etat Hébreu. Le silence fracassant du BDS est assez rare. C’est le cas actuellement.

Et bien, la réponse est non. Face au bad buzz, France Bleu est intervenu sur la Toile en se désolidarisant de son animatrice : « France Bleu ne cautionne pas les propos injurieux et diffamatoires émis par une animatrice du réseau à l’encontre de Charles Aznavour.

Ces propos diffusés sur les réseaux sociaux ont été tenus à titre personnel. France Bleu se joint à l’hommage unanime rendu à ce grand artiste ».

Selon (1) : « Un dérapage qui ne passe pas inaperçu. Peu de temps après le décès soudain de Charles Aznavour, retrouvé sans vie dans sa baignoire, une animatrice qui officie pour France Bleu Vaucluse s’est quelque peu réjouie de la mort de l’interprète de La Bohème : « Aznavour sexiste, raciste de droite, bon débarras », a-t-elle écrit sur ses réseaux personnels avant de supprimer son post. Très vite, Nathalie Mazet a reçu de nombreux messages de colère de la part des internautes. Ces derniers ont dénoncé les propos de l’animatrice, alors que le décès

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Loin de cette vive polémique sur les réseaux sociaux, l’hommage national se prépare. Mardi 2 octobre, l’Elysée a bel et bien confirmé l’organisation de cette cérémonie vendredi aux Invalides à Paris en accord avec la famille du défunt. Un rendez-vous nécessaire pour les fans, nombreux à avoir émis le souhait d’un hommage national.

Pour un ultime adieu ».

(1) https://www.gala.fr

Le Dimanche 7 octobre s’est déroulée la journée nationale du KKL. Cette dernière a eu lieu au sein du Groupe Scolaire Yavné Marseille en présence de tous les membres du Bureau national du KKL dont le Robert Zbili, Ephraïm Edery, Haim cohen, Bernard Guigui, Samy Perez.... et beaucoup d’autres participants venues de plusieurs endroits de l’Hexagone mais aussi des personnalités de la region Sud.

Le Directeur de l’école Yavné Marseille Paul Fitoussi a donné une conférence sur les enjeux de l’éducation juive, ses problématiques et ses perspectives, ‘s’en est suivi un jeu de questions réponses .Par la suite un bilan a été dressé sur les activités passées du KKL ainsi que les projets futurs . A noter que c était la première fois qu’une telle journée était décentralisée .

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Frédérique Vidal en Israël en novembre 2018

Excellente nouvelle pour les relations académiques France-Israël. Frédérique Vidal devrait se rendre en Israël (Jérusalem et Tel-Aviv) très prochainement.

La Ministre est biochimiste. Présidente de l’université Nice-Sophia-Antipolis de 2012 à 2017, elle est nommée ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation dans le gouvernement Édouard Philippe sous la présidence d’Emmanuel Macron le 17 mai 2017, et demeure à ce poste après le remaniement du 19 juin. À ce titre, Frédérique Vidal porte le projet de loi « Orientation et réussite des étudiants » (ORE), concrétisant le Plan Étudiants, présenté le 30 octobre 2017, et qui a pour

objectif affiché de mettre fin au tirage au sort pour l’accès à l’enseignement supérieur, de réduire le taux d’échec en licence, et d’améliorer les conditions de vie des étudiants.

Elle est chargée d’une réforme de l’accès au 1er cycle universitaire. Le projet, dénommé Plan Étudiants, est présenté à la presse le 30 octobre 2017 par le Premier ministre Édouard Philippe, Frédérique Vidal et le ministre de l’Éducation nationale Jean-Michel Blanquer. Ce plan national a notamment pour objectif de modifier et d’améliorer les conditions d’accès dans l’enseignement supérieur et de transformer le 1er cycle universitaire.

Le Ministre israélien Tzachi Hanegbi en France pour une visite officielle Le nombre de ministres israéliens qui se rendent en France est curieusement assez faible. Benyamin Netanyahou est le plus souvent celui qui se déplace le plus souvent à Paris. Le Ministre Hanegbi (Coopération régionale) sera en France dans quelques jours. Il est annoncé dans le cadre d’une conférence qui se tiendra en Octobre.

La Fondation France-Israël est partenaire du Collège académique de Netanya qui organise le jeudi 11 octobre 2018 un symposium international sous l’égide d’Elise Fasjeles, députée de Paris, Présidente du groupe d’amitié France Israël et d’Adrien Morenas, député du Vaucluse en charge de la mission sur l’eau.L’EAU et le VIVANT; Les défis de l’eau: vers un New Water Deal au Proche-Orient. Ce Colloque mettra en avant les techniques de pointe destinées à apporter des solutions aux problèmes d’eau grâce aux coopérations régionales et internationales mises en place dans les zones menacées par la sécheresse.

Si vous souhaitez y participer, merci de confirmer votre présence à : waterandlifeconference@gmail.com Jeudi 11 octobre 2018 - 13h30 à 19h30 101 Rue de l’Université – Salle Victor Hugo 75007 Paris Fondation France-Israël BP 20024 – 75008 Paris Cedex Tél : +33 (0)1 82 28 95 85 info@fondationfranceisrael.org

Votes. La communauté française en Israël occupe une place inédite

La communauté française en Israël occupe une place inédite, tant au niveau des élections locales que des élections législatives. Il est impossible de ne pas remarquer que tous les partis, à tous les niveaux, se sont mis à employer la langue de Molière. Des pages spécialement dédiées aux francophones font leur apparition sur les réseaux sociaux pour vendre les mérites de tel ou tel candidat, ou de tel ou tel parti ; dans les municipalités avec une forte proportion de Français, les différentes listes ont pris soin d’insérer un nom français qui puisse attirer l’électorat venu de France, et à Raanana, par exemple, la communauté française s’est même organisée pour présenter une liste indépendante.

communautés anglo-saxonnes, les Franco-israéliens ont une position ambigüe dans la société israélienne qui les enferme souvent dans un rôle mi pittoresque mi grotesque.

La pertinence de telles initiatives peut être débattue. Il existe un vrai risque qu’elles maintiennent les Français d’Israël dans leur statut de communauté minoritaire au lieu de les aider à se fondre dans la société israélienne dans son ensemble. Il faut néanmoins reconnaître que c’est ainsi que fonctionne la politique en Israël. Les différentes communautés du pays ont, notamment au cours des dernières décennies, souvent fait valoir leurs droits dans le monde politique grâce à la création de lobbys internes aux partis existant voire par la création de partis sur une base uniquement communautaire.

Les différentes élections qui arrivent semblent donc, dans ce contexte où les différents candidats veulent attirer à eux le vote français, être le moment où la communauté française d’Israël passe du statut de communauté marginale à celui d’électorat à satisfaire.

La tendance actuelle pourrait de plus conduire à une amélioration concrète de la situation des citoyens israéliens d’origine française.

N’ayant ni la puissance numérique des russophones, ni la puissance financière des

Ainsi, la jeunesse israélienne a passé l’été à danser sur un tube nommé « Comme ci, comme ça », en français dans le texte, qui est lui-même la continuation d’une campagne publicitaire reprenant tous les clichés que peuvent avoir les Israéliens sur les Français (présentés comme niais, un peu trop enthousiastes, et inadaptés aux réalités israéliennes). Cela résume bien ce que sont encore trop souvent les franco-israéliens en Israël : difficilement intégrés, rarement pris au sérieux et peu entendus.

Encore une fois, on pourrait souhaiter qu’Israël fonctionne selon un modèle politique plus universaliste qui laisserait moins de place à la communauté dans le rapport entre les citoyens et l’Etat. Mais dans l’état actuel des choses, l’affirmation de la communauté franco-israélienne en tant qu’acteur politique qui compte, et donc acteur social à prendre en considération pourrait permettre un certain nombre d’avancées pour une population qui connaît des difficultés certaines dans son intégration à la société israélienne. http://frblogs.timesofisrael.com

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Fin de cavale. L’homme qui aime Emmanuel Macron va s’envoler pour Israël, Redoine Faïd, de nouveau l’Arménie. Et son voyage en Israël ? en prison

La rumeur publique le disait en Israël.

En fait il était en France. En cavale depuis le 1er juillet, le braqueur évadé de prison a été interpellé dans la nuit de mardi à mercredi, dans l’Oise, avec six autres personnes.

Dans Tribune Juive : « De temps en temps, Redoine Faïd part se faire oublier et se ressource à l’étranger, principalement en Israël, où il installe sa « base arrière » avec ses complices juifs. Il loue un superbe appartement à Tel-Aviv, sort avec une étudiante locale, se met à l’hébreu… « Je me sens bien en Israël, dit-il. Mais il y a un problème. Je m’emmerde. » En « manque » de braquage et de son lot d’adrénaline, la bande retourne régulièrement en France, où « les affaires (…) s’enchaînent tous les trois mois ». Avec un allié précieux rencontré à Tel-Aviv : un militaire israélien, qui le forme au maniement des explosifs et lui fournit du plastic ».

ARRESTATION. Selon BFM : « Il était l’homme le plus recherché de France. Le braqueur Redoine Faïd, qui s’était évadé de prison il y a trois mois et était activement recherché depuis, a été interpellé avec six autres personnes dans la nuit de mardi à mercredi à Creil, dans l’Oise, la ville dont il est originaire. Le « roi de la belle » était introuvable depuis sa spectaculaire évasion de la prison de Réau, en Seine-et-Marne, le 1er juillet dernier. Retour sur les circonstances de son interpellation.

Redoine Faïd a été arrêté en pleine nuit, aux alentours de 4 heures du matin, dans son fief de Creil, dans l’Oise, alors qu’il se trouvait dans l’appartement d’une amie, situé dans le quartier du Moulin. Quatre autres personnes qui se trouvaient avec lui ont également été interpellées. Il s’agit de l’un des frères de Redoine Faïd, de ses deux neveux, et d’une femme, qui serait la fameuse amie. Deux complices ne faisant pas partie de la famille ont aussi été arrêtés, portant le nombre total d’interpellations à sept.

Un numéro de téléphone à l’origine de l’interpellation Selon nos informations, l’enquête pour tenter de retrouver le fugitif de 46 ans s’était accélérée au cours de ces trois derniers jours. La police disposait d’un numéro de téléphone, qui était surveillé. Ce numéro de

téléphone a amené les enquêteurs à s’intéresser à une voiture, qui a elle-même mené à une adresse.

La BRI s’est mise à surveiller cette adresse, où ont été observés des mouvements suspects d’hommes le soir, dans le quartier du Moulin. Des doutes se sont rapidement portés sur un homme en particulier, qui montrait de nombreux signes de prudence. Alors que l’arrêter dans sa voiture semblait être une solution trop risquée, les policiers ont choisi d’intervenir ce mercredi matin dans cet appartement, situé au 4e étage d’un immeuble, à quelques centaines de mètres du quartier d’origine de Redoine Faïd. L’intervention de cette nuit a été menée par la Brigade de recherche et d’intervention (BRI).

Au total, 80 policiers avaient cerné et bouclé l’immeuble.

Selon nos informations, la colonne d’assaut de la BRI est montée dans l’escalier jusqu’au 4e étage sans faire de bruit, avant d’ouvrir la porte de l’appartement à l’aide d’un « door breaker« . Redoine Raïd, l’un de ses frère, deux de ses neveux et une amie se trouvaient à l’intérieur. L’opération s’est déroulée sans incident, le fugitif et ses complices n’ont pas opposé de résistance aux forces de l’ordre. Deux complices qui ne sont pas de la famille ont également été arrêtés. Au moment de l’arrestation, Redoine Faïd portait deux armes de poing sur lui: un revolver et un pistolet mitrailleur.

Sur les sept individus interpellés, trois sont en garde à vue à la direction centrale de la police judiciaire, à Nanterre. Les quatre autres, dont Redoine Faïd, ont été placés en rétention judiciaire, car ils étaient visés par des mandats d’arrêt. Cette rétention peut durer au maximum 24 heures, pendant lesquels ils ne seront pas entendus sur les faits.

Ils doivent être présentés dans les 24 heures aux juges d’instruction.

Redoine Faïd avait été condamné en avril à 25 ans de prison pour son rôle d’ »organisateur » dans un braquage raté en 2010, qui avait coûté la vie à une policière municipale. Le 1er juillet, en quelques minutes à peine, il s’était évadé de la prison de Réau, en Seine-et-Marne, aidé par un commando armé qui avait auparavant pris en otage un pilote d’hélicoptère ».

La semaine prochaine Emmanuel Macron s’envolera pour un déplacement officiel en Arménie. Question évidente pour notre rédaction basée à Tel-Aviv.

Et sa visite dans l’Etat Hébreu, quand aura t-elle lieu? Seul le Quai d’Orsay qui a le monopole des actions sur le MoyenOrient peut répondre à cette question.

Israël attendra t-il donc 2020 pour voir Emmanuel Macron dans la Capitale de l’Etat Hébreu, Jérusalem? L’année 2019 sera une année électorale en Israël et on voit mal le Président en déplacement dans la Startup Nation. Selon des officiels interrogés par IsraelValley « un voyage est prévu pour Macron le dernier trimestre 2018 ». Wait and see…

Une liste noire secrète d’étudiants anti israéliens aux Etats-Unis. Et en France?

Une fondation gérée par la fédération juive de San Francisco a financé, dans le passé, Canary Mission, liste noire secrète d’étudiants anti-israéliens, selon un article publié par Forward. Cette situation est impensable en France où la loi est très sévère. Selon la CNIL : « Une « liste noire » (ou liste de personnes considérées comme étant « à risques » par une société, un organisme ou un commerçant) est un fichier de données personnelles .

La société, l’organisme ou le commerçant qui a ce type de liste doit vous informer de son existence et de son objectif (lutte contre la fraude, lutte contre les impayés, etc.) dès que vous lui achetez un produit, signez un contrat de location, etc.

Par ailleurs, la société, l’organisme ou le commerçant doit également vous informer avant de vous inscrire sur cette liste et vous laisser un délai raisonnable pour régulariser votre situation ou faire vos observations.

Il devra ensuite bien sûr vous informer au moment de votre inscription effective sur la liste noire ».

Selon (1): « La fédération juive de San Francisco a noté que ce financement avait consisté en une subvention unique de 100 000 dollars en 2016. L’argent provenait d’une fondation familiale, la Helen Diller Family Foundation, fonds privé géré par la fédération. Il avait été envoyé via le Fonds central d’Israël, une organisation qui finance des initiatives pro-israéliennes de droite, selon le Forward.

La fédération de la communauté juive a depuis déterminé que le fonds central d’Israël n’était pas conforme à ses directives de financement, et elle a indiqué qu’elle ne verserait plus d’argent à Canary Mission à l’avenir, selon J., le journal juif de la ville ».

(1) Times of Israel

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Jacob Azeroual : « Plus que l’amour, le pardon est une notion fondamentale au sein du couple » Le psy préféré des célébrités et des éditeurs caracole, depuis cet été, en tête des ventes avec une version audible de son livre : « Couple : clefs pour le réussir » (éditions Maxima et audible). Pour Israël Actualités, il détaille, en exclusivité, les piliers d’une vie conjugale épanouie, alors que la rentrée, survoltée, après la pause estivale, provoque souvent des éclats de voix au sein des familles ! Entretien…

Docteur, vous avez véritablement caracolé en tête des ventes de livres audios tout l’été. Pourquoi, à votre avis, un tel regain d’intérêt pour le couple en plein cœur de la période estivale ?

Parce que le changement de décor, la rupture de rythme que provoque l’été sont propices à la remise à plat des problèmes, mais aussi à l’éclatement des couples. L’été est une période d’extrêmes, où l’on enregistre autant de ruptures que de réconciliations.

C’est une période qui suscite aussi beaucoup d’espérances, donc si la réalité n’est pas à la hauteur des attentes, il y a fort à parier que la situation s’aggrave à la rentrée.

A l’inverse, c’est aussi une période au cours de laquelle on prend le temps, on met à distance le stress, le travail et dans ce cadre idéal, on crée un nouveau lien avec son ou sa partenaire.

Vous parlez d’un nouveau souffle pour le couple. Comment ne pas le laisser s’évaporer, une fois la rentrée venue ?

On a tendance à confondre escapade estivale et échappatoire. Il faut distinguer les deux, ce qui permet d’aborder la rentrée avec réalisme : une escapade permet de resserrer les liens et de redonner de la couleur au sentiment, une échappatoire est une vision qui privilégie l’idée de fuite. Or, on ne peut fuir les problèmes, ils finissent toujours par nous rattraper. Si l’on a conscience de cette distinction, alors on se servira de la respiration estivale comme d’une source d’énergie pour affronter la réalité, une fois rentrés chez soi. Normalement, cette vitalité, cet enthousiasme nouveau permettent de prendre les choses avec du recul et d’être à même de les gérer.

Votre ouvrage est la résultante de plusieurs années d’expérience au chevet des couples. Alors dites-nous docteur, de l’homme ou de la femme, lequel est plus enclin à se remettre en question ?

Ce sont les femmes car elles sont, plus que les hommes, dans une logique de préservation de la structure familiale. Quand les hommes, eux, acceptent de regarder les problèmes en face, il y a déjà le feu ! C’est souvent trop tard, car le sentiment d’altérité est moins développé chez l’homme…

Vous évoquez régulièrement le mal que certains clichés peuvent causer au couple : par exemple, madame a la migraine, monsieur la sollicite tout le temps…

Non, ce sont effectivement des clichés. La proportion, dans ma patientèle, de couples qui consultent parce que l’un ou l’autre n’a

plus de libido est équivalente : le problème vient de manière égale soit de l’homme, soit de la femme. Ces clichés, pour moi, sont aussi le fruit d’un phénomène que je veux dénoncer : la multiplication de pseudo-experts dont on nous vend l’ouvrage comme révolutionnaire : ces gens ont-ils une expérience de terrain ? Combien de couples ont-ils accompagné, aidé ? Souvent très peu voire aucun. Je le dis et le répète, pour être d’une réelle efficacité, il faut avoir soigné des gens ! Pas se contenter de la théorie !

Vous avez donné, dans le monde entier, de multiples conférences au cours de l’été sur le thème du pardon. Pourquoi le pardon ?

C’est une notion fondamentale dans le couple. Plus j’avance dans ma pratique et plus je réalise à quel point, d’ailleurs. Demander pardon et pardonner sont deux démarches essentielles pour avancer. L’erreur trop souvent commise est de croire que le pardon est un acte tourné uniquement vers celui qui a suscité peine ou colère. C’est faux. Le pardon est une démarche par rapport à soi-même, parce qu’il libère des énergies négatives. Il permet la rupture avec le statut d’être blessé, de victime. Il rend à celui qui a subi le tort le contrôle sur sa vie, ses émotions. Quant à la colère que l’on peut ressentir, la garder vivante, c’est se nuire à soi-même. Car seul celui qui la ressent en souffre, finalement…

Terrorisme islamiste. Le rappeur Médine face à des opposants Lille : Génération Identitaire s’oppose au concert du rappeur Médine et monte sur le toit de la salle. Un peu plus tôt dans la journée, le groupe d’activistes d’extrême droite avait envahi les locaux de l’ONG d’aide aux migrants SOS Méditerranée à Marseille.

Une deuxième action coup de poing ce vendredi pour Génération Identitaire. Après avoir attaqué dans l’après-midi le siège de l’association SOS Méditerranée à Marseille, le groupe d’activistes d’extrême droite a occupé vendredi soir le toit de la salle de concert où doit se produire le rappeur Médine.

Accusé de promouvoir le terrorisme islamiste, le rappeur avait annulé ses concerts prévus au Bataclan les 19 et 20 octobre à Paris. « Pas de rappeur islamiste à Lille », ont clamé plusieurs militants via une banderole accrochée sur la façade de la salle de spectacle L’Aéronef, quelques minutes avant le début du concert. « Il est parfaitement scandaleux de laisser cet individu exprimer sa haine de notre civilisation et diffuser sa vision islamiste comportant des appels aux meurtres », a ajouté le collectif dans un communiqué.

Cette action n’a pas empêché l’artiste, menacé de mort par l’ultra-droite à plusieurs reprises selon le JDD, de se rendre sur scène. « Moi vs Les 4 Fantastikks / PS : Lille j’arrive », a-t-il réagi sur Twitter.

SOS Méditerranée envahi dans l’après-midi Un peu plus tôt dans la journée, une vingtaine de militants s’étaient infiltrés quelques minutes dans les locaux de SOS Méditerranée, l’association qui affrète l’Aquarius, le navire portant secours aux réfugiés naufragés et actuellement menacé de perdre son pavillon panaméen. Une action saluée par le chef de file marseillais du Rassemblement national (ex-FN), Stéphane Ravier, et conspuée par plusieurs figures. Jean-Luc Mélenchon et Ian Brossart ont par exemple demandé « la dissolution des bandes d’extrême droite ». A noter que Facebook, Twitter et Instagram avaient suspendu au mois de mai les comptes de cette association.

Sous la bannière « Defend Europe », l’action de Génération Identitaire se focalise ces derniers mois sur les migrants, en Méditerranée ou dans les Hautes-Alpes, à la frontière franco-italienne. Dans le passé, elle avait ciblé des mosquées.

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A l’Aéroport Ben Gourion, un bagagiste reconnait le vol d’objets

La police a arrêté le voleur de valises de l’aéroport Ben Gourion de Tel-Aviv.

Après une enquête menée par la police israélienne et le département de prévention de la criminalité de l’aéroport, un résident de Petah Tikva âgé de 52 ans qui travaillait comme bagagiste a été arrêté mardi soir pour avoir volé des centaines d’objets dans des valises à l’aéroport Ben Gourion de Tel-Aviv.

et tablettes.

Lors d’une perquisition au domicile du suspect, la police a découvert de nombreuses cartes de crédit, des parfums, des devises étrangères, des colliers, des boucles d’oreilles, des bracelets, des portefeuilles, des téléphones cellulaires et des ordinateurs

Il sera traduit devant le tribunal de première instance de Rishon Lezion pour une prolongation de son arrestation.

Au cours de l’interrogatoire, le suspect a d’abord affirmé que les objets étaient tombés des valises… pour ne pas dire du camion.

Art Source, pour ceux qui s’intéressent à l’art israélien contemporain

Cependant, il a du admettre ensuite avoir régulièrement ouvert des valises et volé des objets.

Source : Tel-Avivre

Les bouchons en Israël sont-ils si stressants?

Art Source, la plateforme où acheter de l’art contemporain israélien Sarah Peguine organise des visites guidées artistiques dans les galeries d’art contemporain de Tel Aviv. Vous recevez peut-être sa newsletter hebdomadaire avec les informations sur les vernissages du week-end à Tel Aviv. Vous avez suivi la naissance de sa plateforme Oh-So-Arty où elle a étendu à l’internationale son concept de visites guidées, et où il est possible de réserver des tours artistiques dans plus de 20 villes, de Paris à Rome, de Shangai à Melbourne, en passant par New York, Londres ou Bruxelles. Et maintenant, elle lance Art Source, une plateforme où acheter de l’art contemporain en ligne.

Le but d’une étude menée par l’application de navigation Waze était d’examiner les effets psychologiques des embouteillages sur la vie quotidienne des conducteurs israéliens: les résultats sont clairs: 80% des conducteurs en Israël ont déclaré que la congestion routière était leur principale cause de stress quotidien.

L’étude a également révélé que la violence des conducteurs sur les routes (68%) et les embouteillages quotidiens pour se rendre au travail et en revenir (48%) causaient plus de tension que la situation sécuritaire (37%) ou d’autres problèmes socio-économiques.

Les bouchons sur les routes bien plus stressants que la situation sécuritaire En outre, l’étude a révélé que deux conducteurs sur trois (66%) ont déclaré être sortis plus tôt de la maison – ou restés plus tard au travail – au moins une fois le mois dernier pour tenter d’éviter les embouteillages.

Trois personnes sur quatre (73%) ont déclaré être arrivées fatiguées et démotivées au travail après avoir été bloquées dans les embouteillages le matin ou être rentrées fatiguées et nerveuses à la maison après avoir perdu du temps sur le chemin du retour.

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Un tiers des conducteurs ont déclaré qu’au moins une fois au cours du dernier mois, ils avaient été contraints de reporter une réunion ou une opportunité commerciale pour éviter de rester pris dans les embouteillages. 83% des conducteurs ont déclaré que les embouteillages leur faisaient perdre du temps de qualité avec leur famille et leurs proches. « La situation actuelle dans laquelle les routes sont de plus en plus encombrées est non seulement un problème israélien, mais aussi mondial », a déclaré Guy Berkowitz, responsable des opérations de Waze. « L’expansion des infrastructures ne suit pas le rythme de la croissance du nombre de véhicules et, combinée aux résultats de nos recherches, il s’agit d’un problème économique, social et personnel extrêmement grave qui n’ira qu’en s’aggravant. Par conséquent, nous pensons que le meilleur moyen et le plus rapide de lutter contre la circulation est de réduire le nombre de véhicules sur les routes.»

Source : mako.co.il

fique série sur l’actrice Ronit Elkabetz - Khen Shish et sa mariée tunisienne - Tal Shohat et un palmier-dattier de toute beauté Avec Michal Freedman, sa partenaire dans ce projet, elles partagent le même enthousiasme pour l’art israélien et elles ont à coeur de s’adresser à tous les publics et à inciter les jeunes à acheter de l’art. Elles proposent donc un large éventail de prix et notamment une série d’oeuvres à moins de 2000 dollars.

Il y aussi une carte-cadeau : Give the gift of Israeli Art. Quelle belle idée, offrir pour les fêtes, pour une bar-mitsvah ou pour un mariage, de l’art israélien !

Sa vocation est de faire connaître l’art israélien à un public de plus en plus large et donc, grâce à sa maîtrise des réseaux sociaux, de permettre aux artistes israéliens de s’exporter à l’internationale.

C’est une plateforme de vente mais aussi une plateforme d’information qui comporte une section magasine avec des articles intéressants en anglais sur l’art contemporain israélien.

Le site est particulièrement soigné et esthétique. On peut naviguer soit en sélectionnant des artistes, soit des oeuvres. Parmi les artistes, et pour n’en citer que quelques uns : - Joseph Dadoune et notamment sa magni-

Art Source va donc devenir un site incontournable pour tous ceux qui s’intéressent à l’art israélien contemporain.

Source : http://kefisrael.com

Omer Adam, Eden Ben Zaken et Netta, au top musical en Israël

Le hit-parade de la chanson israélienne à la radio sur Galgalatz est paru. Les trois personnalités de l’année sont Omer Adam, Eden Ben Zaken et Netta, la ga-

gnante de l’Eurovision, qui est aussi la découverte de l’année. http://kefisrael.com

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Chanel, Vuitton, Dior, Hermès, Danone, Henessy, L’Oréal, Cartier en Israël ?

Quelles sont les marques françaises les plus influentes dans le monde? Sontelles actives en Israël? Notre réponse : La liste des firmes françaises est ci-dessous. Toutes les firmes sont plus où moins actives en Israël depuis bien longtemps.

L’Oréal possède des usines dans l’Etat Hébreu.

Selon Le Figaro : « Parmi les 100 marques les plus puissantes du monde, le cabinet de conseil Interbrand distingue 9 marques françaises, dont Louis Vuitton, Chanel, Hermès ou encore Axa. La France peut se targuer d’être, avec l’Allemagne, en deuxième position parmi les pays les plus représentés.

Zoom sur ces 9 marques françaises les plus influentes 1. Louis Vuitton Le groupe Louis Vuitton domine le classement français et se place en 18ème position parmi les marques les plus puissantes du monde, avec une valorisation estimée par le cabinet de conseil à 28,15 milliards de dollars et une évolution sur un an de +23%.

La stratégie du groupe d’élargir son offre de maroquinerie aux jeunes acheteurs avec des prix plus accessibles se révèle ainsi gagnantes.

2. Chanel Étant 23ème du classement mondial, la maison Chanel est ainsi la 2ème marque française la plus puissante avec une valorisation estimée à 20,01 milliards de dollars.

3. Hermès Le secteur du luxe français continue de se distinguer à l’international, avec Hermès qui se hisse au 32ème rang des marques les plus puissantes au monde. Avec ses célèbres sacs Birkin et Kelly, la marque Hermès se place en 3ème position chez les marques françaises avec une valorisation estimée à 16,37 milliards de dollars, progressant ainsi de 15% sur un an.

4. Axa Le groupe d’assurance Axa se positionne à la 47ème place du classement global d’Interbrand, et s’illustre ainsi comme la 4ème marque française la plus influente au monde avec une valorisation de 11,12 milliards de dollars. L’assureur affichait au premier se-

mestre 2018 des résultats en hausse, avec un chiffre d’affaires, en base comparable, de 30.8 milliards d’euros.

5. L’Oréal La marque L’Oréal est la 48ème marque la plus puissante du monde, et se hisse au 5ème rang des marques françaises les plus influentes. Sa valorisation a progressé de 4% sur un an, atteignant ainsi les 11,10 milliards de dollars. La maison de cosmétique l’Oréal Paris avait récemment fait sensation le 30 septembre dernier à Paris en organisant un défilé sur la Seine avec ses plus belles égéries.

6. Danone Le cabinet de conseil Interbrand estime à 9,53 milliards de dollars la valorisation de la marque Danone, et le place à la 58ème place au classement mondial, ce qui fait d’elle la 6ème marque française la plus puissante. Danone a dévoilé un chiffre d’affaires de 6,085 miliards d’euros au premier trimestre 2018, en croissance de 4.9%. La marque est première mondial dans les produits laitiers frais, avec 49% des ventes, et deuxième mondial dans les produits de nutrition infantile réalisant 23% des ventes.

7. Cartier La marque française Cartier est en 67ème position du classement mondial, et se place 7ème parmi les marques françaises les plus puissantes avec une valorisation estimée à 7,65 milliards de dollars.

8. Dior La maison Dior est 8ème du classement français, et se hisse au 91 ème rang du classement global avec une valorisation estimée à 5,22 milliards de dollars. Le créateur français a récemment choisi l’actrice Jennifer Lawrence pour incarner la cavalière chic de sa collection Croisière 2019.

9. Hennessy Enfin, la célèbre marque de cognac Hennessy occupe la 98ème place du classement général et ferme ainsi la marche des marques françaises les plus puissantes au monde selon le cabinet de conseil. Interbrand estime alors sa valorisation en 2018 à 4,72 milliards de dollars ».

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Israël a alloué $96 millions à l’assistance aux étudiants arabes en difficulté L’économiste Smadar Bat Adam a écrit dans le quotidien Israel Hayom que depuis 2009, la qualité de vie des citoyens israéliens non juifs avait connu une amélioration sans précédent. « Ce processus important bat toujours son plein. C’est un fait« , a t-elle d’ailleurs écrit.

pour intégrer les arabes israéliens [dans la société]« .

Si elle a concédé que « jusqu’à la dernière décennie, il était possible de blâmer l’Etat pour la négligence des communautés arabes », elle a toutefois précisé qu’il était possible d’en faire autant concernant « les dirigeants de la communauté arabe, qui pour leurs propres raisons, ont choisi de ne pas percevoir les taxes foncières et redevances des personnes relevant de leur autorité.»

Le gouvernement a alloué 350 millions de shekels (96 millions de dollars) à l’assistance aux étudiants arabes en difficulté, et une somme similaire au profit de la communauté druze, qui bénéficie désormais du taux de scolarisation le plus élevé en Israël.

« Un sentiment de satisfaction » Au mois de mai, le quotidien financier israélien The Marker a interviewé Aiman ​​Saif, le chef de l’administration du développement économique des secteurs arabe, druze et circassien, retraité depuis peu.

Le haut responsable arabe a alors évoqué travail de Netanyahou visant à augmenter le budget de l’Etat pour le secteur arabe et a salué la décision du gouvernement en 2015 d’allouer entre 12 et 15 milliards de shekels aux communautés arabes.

Il a déclaré qu’il avait quitté son poste « avec un profond sentiment de satisfaction tiré du fait que le gouvernement agisse ici

Un rapide coup d’œil sur les chiffres donne une image claire des vastes efforts entrepris par Israël pour assurer l’égalité civile entre tous ses citoyens.

Au sein des communautés arabes, le taux d’inscription est passé de 57% en 2015 à 66% en 2017.

Alors qu’il n’existait que très peu de centres communautaires destinés aux populations arabes, il en existe aujourd’hui plusieurs dizaines.

Des milliards de shekels ont été alloués à des plans pluriannuels en faveur du développement des communautés arabes bédouines, druzes et circassiennes et des milliards supplémentaires ont été affectés au développement économique et commercial de ces secteurs, notamment pour améliorer les transports et les routes et créer des infrastructures touristiques.

Source : unitedwithisrael

Les arabes israéliens ont-ils des satisfactions en Israël ?

Les détracteurs d’Israël tentent de convaincre du fait que les arabes et les non-Juifs vivant dans au sien de l’Etat hébreu sont persécutés, discriminés, doivent faire face au racisme, ou encore à la pratique d’un apartheid.

systèmes médicaux les plus avancés de la région et bénéficient de tous les services fournis par l’État hébreu.

Toutefois, il suffit d’un très bref examen des faits pour constater une réalité différente.

Sans surprise, un récent sondage montre que la grande majorité des Arabes d’Israël, 73%, ressent un sentiment d’appartenance à l’Etat juif et que 60% sont fiers d’être israéliens.

Les arabes israéliens présentent l’espérance de vie la plus élevée du Moyen-Orient comparée aux populations de 21 pays musulmans et arabes, selon une enquête réalisée en décembre par le Centre Taub pour les études de politique sociale en Israël..

Les arabes israéliens peuvent être embauchés par le gouvernment, étudier dans toutes les universités du pays, y compris l’Université Ariel en Samarie, ou encore exercer les fonctions de juges, de médecins, d’officiers de Tsahal et de parlementaires.

En 2015, le taux de mortalité moyen des Arabes israéliens était de 79, plus élevé que celui des pays riches tels que le Qatar, les Émirats arabes unis et Bahreïn, et égal à celui de la population américaine dans son ensemble.

Source : unitedwithisrael.org

Les arabes israéliens ont accès à l’un des

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Pourquoi une souccah dans l’Eglise du Christ à Yafo ?

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Alcoolisme au volant. Tué place de Paris, dans le centre de Jérusalem

ALCOOLISME EN ISRAËL. Le Cofix Bar est un des nouveaux établissements qui ont été créés en Israël ces deux dernières années et qui ont révolutionné le commerce des anciens bars où l’alcool est toujours vendu à des prix élevés. Ils créent une nouvelle façon de boire en Israël mais ils s’adressent aussi à une communauté d’étudiants, de touristes, de nouveaux émigrants venus de pays avec des habitudes de boire beaucoup plus conséquentes.

Des milliers de chrétiens du monde entier ont prié fin Septembre au sein des congrégations, églises, communautés et organisations pour le retour (des corps) du lieutenant Hadar Goldin et du sergent Oron Shaul, soldats de Tsahal enlevés et tués par le Hamas pour durant cessez-lefeu humanitaire 1er août 2014, lors de l’opération Bordure Protectrice.

L’initiative internationale a été promue par la famille Goldin qui a envoyé une pétition en août aux églises et aux organisations chrétiennes du monde entier pour leur demander de se joindre à l’initiative avant la réunion de l’Assemblée Générale des Nations Unies prévue mardi 25 septembre.

La prière a été initiée en Australie, aux Philippines, à Taiwan et en Inde, et s’est poursuivie en Israël, en Afrique et en Europe avant de se terminer aux États-Unis, au Costa Rica et au Brésil.

En Israël, les prières se sont déroulées dans l’église du Saint-Sépulcre à Jérusalem, dans une église du le village chrétien de Fassuta en Galilée et au sein de l’église orthodoxe grecque de Capharnaüm, village biblique situé sur la côte Nord de la mer de Galilée.

Dans l’Eglise du Christ à Jérusalem, près de la porte de Jaffa dans la vieille ville, le pasteur David Pilgi a dirigé quatre prières en hébreu et en anglais au cours de la journée, devant une souccah installée dans l’église.

Selon Amit Barak, consultant sur les relations entre Israël et le monde chrétien, l’initiative répond à l’importance du monde chrétien et à la reconnaissance de son influence croissante dans plusieurs pays.

Barak a déclaré à TPS: « Les chrétiens ont sans aucun doute une certaine influence. La solidarité et l’action humanitaire occupent une place importante dans la théologie chrétienne et dans le monde chrétien. « « Après l’envoi de la demande initiale, nous avons lancé un deuxième appel et chaque jour [depuis lors] nous avons reçu des demandes des églises, organisations et

personnes souhaitant se joindre au mouvement« , a-t-il déclaré.

Barak a ajouté « Des églises et organisations en Indonésie, en Inde, au Bangladesh, aux Philippines, en Israël, au Kenya, en Afrique du Sud, à Taiwan, au Ghana, aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Allemagne, au Costa Rica, et au Brésil se sont jointes à la prière, ainsi que des personnes privées et des familles d’Australie, de Nouvelle-Zélande, de France, du Guatemala, de Hollande et d’autres pays. » Une église à Houston, Texas (USA) a inauguré dimanche deux arbres en mémoire de Goldin et Oron, et une organisation chrétienne en Allemagne a chanté tout au long du dimanche des Psaumes (en allemand).

Le premier à se joindre à l’initiative, le pasteur Becky Keenan de Gulf Meadows Church à Houston, au Texas, a déclaré: «Certaines conventions humaines sont universelles. Le retour des corps de ceux qui sont tombés après un conflit armé est l’un de ces actes moraux. Les familles méritent de donner une sépulture adéquate à leurs proches. Conserver leurs restes à des fins de manipulation politique est obscène. Nous soutenons fermement la Journée internationale de prière et encourageons les décideurs à rendre rapidement Hadar Goldin et Oron Shaul. » Le pasteur Kent Lerher, de l’église presbytérienne de Deerfield, dans le New Jersey, a déclaré: « Nous sommes heureux de participer aux prières pour Oron et Hadar. Ce serait une grande joie et un soulagement si l’effort de cette prière apportait une solution à la situation pénible de leurs familles. »

Encore une histoire terrible. Chaim Tukachinsky, 31 ans, un juif orthodoxe, pianiste-compositeur au talent prometteur et chef d’orchestre a été tué place de Paris, dans le centre de Jérusalem, alors qu’il revenait du mur Occidental lors de la fête juive de Souccot. Le chauffard présumé responsable de l’accident est un journaliste espagnol qui travaille depuis quelques années au sein de l’Etat juif et qui aurait reconnu avoir pris le volant en état d’ébriété.

» Pour les touristes, c’est un rêve » dit le co-propriétaire du HaMezeg Bar à Tel Aviv qui a été le premier à proposer une formule de bar à volonté.Les clients payent un prix unique pour une des options de consommations, par exemple vin ou bière ou alcools divers ou grandes marques.Et on leur remet un bracelet de la couleur de leur choix. Ils peuvent pendant toute la nuit boire et ne plus rien payer. » Nous savons qu’il y a surtout des touristes parce que, pour eux , boire sans limitation est un million de fois mieux que pour un israélien. Les israéliens n’aiment pas tellement boire mais ils aiment bien obtenir un bon deal ! »

Forte baisse des étudiants inscrits en droit en Israël

Michael Dirks, Président des Amis Chrétiens d’Israël dans le nord de l’Allemagne, a déclaré: « Nous devons soutenir Israël en toute solidarité. En paroles et en actes et, bien sûr, en prière. C’est pourquoi nous appelons tous les amis d’Israël du nord de l’Allemagne à unir leurs forces. »

Lors de l’année scolaire 2017-2018, il y a eu en Israël plus d’étudiants inscrits en ingénierie, environ 18,3 % de la population des étudiants, qu’en sciences sociales, seulement 17,9 %. Un diplômé sur quatre en Israël – soit environ 50 214 – étudiait soit l’ingénierie soit les sciences informatiques cette année.

des étudiants inscrits dans filiales de droit, 6,9 % pour l’année scolaire 2017-2018 contre 9,4 % en 2007-2008. Le nombre d’étudiants en école de commerce a aussi diminué tous les ans depuis 2015, selon les données. Le nombre d’étudiants en médecine en 2017-2018 a augmenté de 1,1 %, par rapport à 0,9 % en 2007-2008.

Source: Aurora

Les chiffres témoignent d’une forte baisse

Times of Israel

POLITIQUE

Poursuites absurdes et délirantes contre Sarah Netayahu ?

Sara Netanyahu, l’épouse du Premier ministre israélien, est jugée sous l’accusation d’avoir fait passer pour plus de 80.000 euros de repas aux frais du contribuable, alors que la résidence officielle disposait d’un cuisinier.

La mise en cause de Mme Netanyahu ne semble pas de nature à avoir un effet politique immédiat sur son mari, Benjamin Netanyahu, étranger au dossier. Mais elle s’ajoute aux différentes affaires de corruption présumée qui menace le long règne du Premier ministre, au pouvoir depuis 2009.

Mise en examen pour « fraude » et « abus de confiance » présumés, Mme Netanyahu, 60 ans en novembre, est soupçonnée d’avoir commandé entre septembre 2010 et mars 2013, pour elle-même, les membres de sa famille et des invités, des centaines de repas pour « plus de 350.000 shekels » (83.000 euros), selon le ministère de la Justice.

La justice lui reproche d’avoir menti en invoquant l’absence de cuisinier à la résidence du Premier ministre pour faire livrer, jusqu’à des dizaines de fois un même mois, des repas de différents restaurants de Jérusalem.

Ezra Saidoff, ancien directeur général adjoint au bureau du Premier ministre, est lui aussi mis en examen.

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Merkel en Israël. Signature d’accords. Economie, innovation et coopération

Selon les médias israéliens citant l’acte d’accusation, il aurait agi de concert avec Mme Netanyahu pour créer l’impression qu’aucun cuisinier n’était employé à la résidence.

Les avocats de Mme Netanyahu affirment que les plats ont été commandés « contre sa volonté ».

Le procès a débuter dimanche au tribunal de première instance de Jérusalem et pourrait durer des mois. Il devait initialement commencer en juillet mais a été reporté pour des raisons n’ayant pas été rendues publiques.

La première audience déterminera si l’affaire sera supervisée par trois juges au lieu d’un seul, en raison de la « sensibilité publique » du dossier. « Poursuites délirantes » « Pour la première fois dans l’histoire, des accusations sont portées contre l’épouse d’un dirigeant à propos de nouilles et autres plats à emporter (commandés) il y a six ou sept ans », ont dénoncé les avocats de Mme Netanyahu dans un communiqué publié dimanche.

Lors de l’annonce de sa mise en examen en juin, ils avaient qualifié les poursuites d’ »absurdes et délirantes ».

Source : capital.fr

Entre Merkel et Netanyahu, constat de désaccord sur la méthode vis-à-vis de l’Iran. Jérusalem (AFP) – La chancelière allemande Angela Merkel et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu ont proclamé jeudi leur objectif commun d’empêcher l’Iran d’acquérir la bombe atomique, tout en constatant leur désaccord sur la méthode. « Nous croyons très fermement avec Israël (…) qu’on doit tout faire pour empêcher l’Iran de se doter de l’arme nucléaire », a dit Mme Merkel au côté de M. Netanyahu devant la presse à Jérusalem. « Là où nous ne sommes pas toujours d’accord, c’est sur le moyen d’y parvenir ».

Objet du différend: l’accord nucléaire conclu en 2015 entre la République islamique et plusieurs grandes puissances, dont l’Allemagne et les Etats-Unis.

Mme Merkel défend l’accord, tout en reconnaissant qu’il n’est pas parfait. M. Netanyahu a milité sans relâche pour son abrogation et ne cesse d’applaudir à la décision de l’administration Trump de s’en retirer.

Israël considère l’Iran comme la princi-

pale menace pour sa sécurité, refusant de croire au caractère proclamé civil de son programme nucléaire et s’alarmant de son expansion régionale et de son engagement militaire chez le voisin syrien.

Non seulement l’accord « ouvrait la voie (de l’Iran) à un arsenal nucléaire », mais il mettait des « milliards de dollars » à sa disposition, a dit M. Netanyahu. « Cet argent n’a pas servi à améliorer la vie des Iraniens, mais à financer la machine de guerre iranienne, dédiée à conquérir tout le MoyenOrient », a-t-il ajouté.

M. Netanyahu et Mme Merkel ont admis leurs divergences sur ce sujet et d’autres, mais ont préféré mettre en exergue leurs convergences.

Mme Merkel a souligné à plusieurs reprises la réalité du « danger » que représentait pour Israël la présence iranienne en Syrie, et affirmé la nécessité de ramener cette influence « le plus près possible de zéro ».

L’Allemagne passe pour le principal allié d’Israël parmi les grandes puissances européennes. Mais les liens ont connu des accrocs, et même une crise ouverte en 2017.