Israel Actualites - hors serie n°5

GRATUIT - Hors Série n°5- Edition Août 2015

Journal israélien en langue française

L’information en provenance d’Israël Edition Août 2015

Des leçons de justice.

Vraiment ?

Le monde crie à l’infâmie : un groupe d’extrêmistes juifs aurait lancé un cocktail Molotov sur une maison. Un bébé palestinien de 18 mois est mort et 4 personnes de la famille sont grièvement blessées. Il est sûr que cet acte est horrible, que ses conséquences sont choquantes, et il ne s’est pas élevé une seule voix en Israël pour dire le contraire. Classe politique, peuple, dirigeants, juifs de diaspora… Tous ont, à l’unisson, autant que faire se peut dans ces atroces circonstances, condamné ce geste impardonnable et manifesté leur soutien à la famille endeuillée.

Peut-on en dire autant du côté palestinien, où chaque mort juif, où chaque acte terroriste sur le sol occidental, est régulièrement salué par des scènes de liesse ?

Il faut aussi aller plus loin dans la réflexion, replacer les faits dans leur contexte : combien de mois de tension, combien de meurtres d’innocents du côté juif a-t-il fallu sans que l’opinion publique internationale s’en émeuve, avant que soit commis cet acte irréparable ?

Pourquoi le meurtre de la famille Vogel, dont le dernier-né n’avait que trois mois, n’a-t-il pas suscité l’indignation générale ? Les morts n’ont-ils de valeur que dans un seul camp ? Ce pantin de Mahmoud Abbas soit-disant responsable de l’Autorité palestinienne, appelle déjà à traduire Israël devant la Cour pénale Internationale et

à condamné l’Etat hébreu pour crimes de guerre...

Et dans ce déluge de condamnations, médiatiques, populaires, ou politiques, personne, pas une voix, pour dire la première des évidences, en la matière : quelles preuves avons-nous pour l’instant que ce soient bien des juifs qui aient commis cet attentat ? Une inscription ? At-on retrouvé les coupables, les a-t-on confondus au moyen de preuves irréfutables ? Non. La presse israélienne se fait d’ailleurs l’écho, cette semaine, du rétropédalage de la police israélienne, qui s’interroge sur la fameuse inscription Nekama : « vengeance » sur le mur de la maison incendiée.

Un graphologue indiquait récemment que les lettres, arrondies, sont typiques de celles d’une personne habituée à écrire en arabe plutôt qu’en hébreu.

On peut donc raisonnablement se demander si le tag n’a pas pour vocation de brouiller les pistes, afin d’orienter l’enquête dans une seule direction… La police a très vite suivi la voie toute désignée et n’a pas traîné à procéder à quelques interpellations musclées au sein des milieux juifs extrémistes. Elle se demande aujourd’hui si elle ne s’est pas fait mener par le bout du nez.

Où est la vérité ? Avant de la chercher, avant de la trouver, il faut rappeler une certitude : nous n’avons pas le droit, nous

juifs, de nous comporter comme des animaux, nous ne sommes pas ce genre d’êtres humains.

Les Israéliens l’ont prouvé par le passé et cela des milliers de fois depuis la création de l’Etat d’Israël : l’abjection ne fait pas partie de nos valeurs, ni de nos manières d’agir et quels que soient les coupables, ils ne font pas partie de notre peuple. Nous sommes le seul peuple au monde à porter secours à nos ennemis.

Les terroristes et ceux qui nous conchient sont les premiers à venir chercher l’expertise médicale de nos médecins, au sein de nos hôpitaux.

Quant à la condamnation, pourquoi serait-elle moins unanime, quand nous sommes les premiers à nous auto-flageller ?

Nous avons, en Israël, des journalistes qui vendraient père et mère, pour avoir le droit de cracher sur l’Etat d’Israël, cet état même qui aujourd’hui permet à chaque juif de vivre en toute liberté au lieu de se retrouver dans un ghetto, comme ce fut le cas il n’y a pas si longtemps. Ce droit, nous le devons à la grandeur d’Israël, des miracles que ce tout petit pays a su accomplir en 67 ans.

En terme de justice, Israël n’a

de leçon à recevoir de personne, et les gouvernements successifs ont toujours mis un point d’honneur à ce que la justice fasse son travail, en toute indépendance.

Là encore, nous l’espérons, elle travaillera sereine, pour démasquer les auteurs de ce crime afin qu’ils répondent de leurs actes.

A l’inverse de nos ennemis, nous ne subventionnons pas la famille d’un terroriste, nous ne lui dédions ni rue, ni place. Ni statue, ni statut héroïque, pour les meurtriers d’enfants…

Am Israel Hai Alain Sayada

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L’information en provenance d’Israël Edition Août 2015

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Israël face à une résolution sur le Incendie à Jérusalem : contrôle de ses installations nucléaires négligence ou terrorisme l’Iran ont proposé une résolution similaire lors de la conférence sur la révision du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires, mais les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et le Canada s’y sont opposés.

Israël a entamé il y a deux semaines une campagne diplomatique pour contrecarrer une résolution visant à soumettre ses installations nucléaires à un contrôle international. La résolution, qui a été déposée par l’Egypte et d’autres Etats arabes et musulmans, sera soumise au vote lors de la prochaine Conférence générale de l’Agence internationale de l’énergie atomique en septembre prochain, rapporte Haaretz.

Un haut responsable du ministère israélien des Affaires étrangères a déclaré craindre que le récent accord sur le nucléaire iranien signé entre Téhéran et les puissances occidentales, ne complique la tâche de l’Etat hébreu.

La résolution, intitulée “les capacités nucléaires israéliennes”, a été soumise à plusieurs reprises par l’Egypte au cours des dernières années. Elle condamne Israël, exige que celui-ci ouvre ses installations nucléaires aux inspections de l’AIEA, et appelle à une conférence internationale sur l’établissement d’une zone exempte d’armes nucléaires au Moyen-Orient Contrairement aux résolutions du Conseil de sécurité, celleci ne serait pas contraignante.

Mais elle pourrait encore causer des dégâts pour Israël sur le front diplomatique, et focaliser l’attention internationale sur le programme nucléaire israélien.

Bien que l’Egypte soit le principal initiateur de la résolution de l’AIEA, l’Iran pourrait rejoindre le mouvement. Le ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif l’a ainsi suggéré dans une tribune publiée dans The Guardian intitulée, “l’Iran a signé un accord nucléaire historique, au tour d’Israël maintenant”.

Dans son message, Zarif explique qu’Israël doit adhérer de force au TNP et promeut une conférence internationale sur l’abandon des armes nucléaires au Moyen-Orient. Selon lui, Israël dispose d’un arsenal nucléaire “non déclaré” qu’il considère comme une provocation envers la non-prolifération, malgré la “campagne alarmiste absurde” de l’Etat hébreu contre l’accord nucléaire iranien.

Source: i24News

Il y a quelques mois, l’Egypte et

Les Palestiniens portent plainte à la CPI après la mort du bébé brûlé vif en juin dernier.

Le ministre palestinien des Affaires étrangères Riad Malki a déclaré que l’Autorité palestinienne allait déposer une plainte lundi auprès de la Cour pénale internationale de La Haye pour l’attaque meurtrière de vendredi dans le village palestininen de Kfar Douma en Cisjordanie, où un incendie criminel a tué un bébé de 18 mois La mission palestinienne à l’ONU a indiqué que Malki est arrivé à Genève dimanche et va déposer la plainte à la demande de la direction palestinienne.

Ces derniers jours, l’Autorité palestinienne a affirmé avoir collecté des preuves et des témoignages concernant l’attaque de Kfar Douma, ainsi que d’autres attaques d’Israéliens extrémistes contre des Palestiniens.

Selon le quotidien israélien Haaretz, le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas s’est penché sur les rapports publiés ces derniers jours concernant l’incendie criminel del’église de la Multiplication des pains -haut lieu du christianisme situé dans le nord d’Israël,

Il a également fait part de son intérêt pour un document retrouvé par la police israélienne au domicile de Moshé Orbach, un des trois suspects inculpés pour l’incendie contre l’église de la Multiplication des pains, qui explique comment mettre le feu à des mosquées, des églises ou des maisons de Palestiniens sans laisser de trace.

Selon des sources palestiniennes, l’AP considère ce document comme la preuve que la série d’attaques menée par des extrémistes, parmi lesquelles, les incidents de Kfar Douma et de l’église de la Multiplication ont été prémédités.

Abbas doit se rendre au Caire lundi pour rencontrer des représentants de la Ligue arabe. Selon certaines sources, il devrait demander à ses interlocuteurs un soutien diplomatique à sa démarche.

Malgré le changement de « vent », les pompiers n’ont toujours pas maîtrisé l’incendie aux portes de Jérusalem.

Les responsables ont dit que le danger immédiat pour la ville proche d’Even Sapir, où l’incendie a éclaté, a diminué.

Cela inclut l’hôpital Hadassah Ein Kerem, a dit Udi Gal, un porte-parole du service des pompiers de Jérusalem. « Il n’y a pas de danger immédiat maintenant contre l’hôpital, mais nous gardons un œil attentif sur la situation. » Au moins 50 équipes de pompiers luttent contre l’incendie en question.

Les enquêteurs sont déterminés à découvrir la cause de l’incendie, un responsable déclarant que « toutes les possibilités sont prises en considération ». Dans un incendie majeur en juin dans le Goush Etzion, les enquêteurs ont déterminé que des criminels arabes avaient mis le feu dans le cadre de « l’intifada du feu ».

Les sources du service des pompiers ont dit qu’elles « suspectaient fortement » que l’incendie d’aujourd’hui était criminel.

Parlant a la dixième chaîne de télévision, une source a déclaré que le fait que l’incendie ait éclaté à Even Sapir, une zone industrielle dans laquelle se trouvent plusieurs entrepôts de bois, « n’était peut-être pas une coïncidence. » Au moins trois pompiers ont jusqu’ici été blessés, victimes d’inhalation de fumée. Une maison à Even Sapir a pris feu, et le reste de la ville a été évacué. Les secours se préparent à évacuer d’autres communautés de la région. Parmi les structures détruites dans l’incendie se trouve un vieil entrepôt avec des toits en amiante. Une combinaison des fumées chargées d’amiante et des fumées d’incendie a provoqué une chute brutale de la qualité de l’air dans et autour de Jérusalem, ajouté à la température qui dépasse aujourd’hui les 40 degrés, même à Jérusalem.

Les responsables exhortent les personnes âgées et malades à se mettre à l’abri.

Une bonne nouvelle aujourd’hui toutefois : un autre incendie qui avait éclaté au nord de Jérusalem a été maîtrisé. Les soldats de la base d’Ofer qui avaient été évacués sont retournés à leurs postes.

Les incendies sont fréquents en été en Israël, alors que la chaleur et la sècheresse du désert peuvent facilement attiser les flammes de feux de camp mourants.

Cependant, les terroristes arabes ont également utilisés le temps comme une occasion de commettre des incendies criminels dans plusieurs endroits d’Israël, et une vague d’importants incendies de foret l’année dernière a été attribué, au moins en partie, à des actes terroristes.

L’incendie du Carmel en 2010, près de Haïfa, considéré comme l’un des pires incendies d’Israël et qui a tué 44 personnes, était soupçonné par la police être l’œuvre de jeunes arabes du village druze de Usafia. Néanmoins, les poursuites criminelles contre eux ont été fermées en 2011 pour « preuves insuffisantes ».

Suite à l’incendie du mois de juin provoqué par des pyromanes arabes, le président du conseil régional du Goush Etzion, Davidi Perl, avait déclaré que « la situation actuelle ne peut pas continuer. Un incendie est un attentat terroriste à tout point de vue. » « Il n’y a pas besoin d’attendre que les terroristes réussissent à brûler une communauté pour comprendre que c’est une attaque, » a souligné Perl. « L’incendie criminel dans la foret adjacente aux communautés est un danger pour la vie, et il doit y avoir un terme à ces attaques maintenant. »

L’information en provenance d’Israël Edition Août 2015

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Mr et mme Tibi Michael ont le plaisir de vous faire part de la coupe des cheveux de leur fils Abraham Charles, qui aura lieu besrat achem le mardi 26 av 5775 à meron sur le kever de rabbi Chimon bar yohai

Levée des sanctions: l’Iran projette d’acquérir de nombreux avions civils

L’Iran cherche à reprendre ses vols directs vers les USA Téhéran étudie également la possibilité d’augmenter le nombre de vols vers d’autres pays occidentaux, dont l’Italie, la Russie, la Turquie, la France et l’Allemagne, a rapporté samedi l’agence officielle Tasnim.

Suite à l’accord sur son programme nucléaire signé récemment avec les puissances occidentales, l’Iran cherche à reprendre les vols directs depuis et vers des États-Unis, et mettre ainsi fin à un moratoire de trois décennies, a fait savoir mardi L’Autorité de l’aviation civile iranienne « La flotte de l’aviation iranienne est équipée d’avions longue portée qui peuvent faire des vols directs vers les États-Unis sans avoir besoin de faire d’étape pour faire le plein de carburant », a assuré Mohammad Khodakarami, le directeur general de l’Autorite National de l’Aviation Civile, dont les propos ont été rapporté par l’agence de presse semi-officielle Press TV.

« Une fois les autorisations seront émises, l’ANAC va commencer à se pencher sur mes autres aspects qu’impliquent cette initiative », a-t-il dit.

Cette annonce est le dernier signe du dégel entre l’Occident et l’Iran après plusieurs décennies de relations tendues du fait de la révolution islamique en 1979.

Alors que les extrémistes ont continué de multiplier récemment les déclarations antiaméricaines, des responsables occidentaux ont émis plusieurs signes d’ouverture afin de reprendre des relations commerciales longtemps gelées avec le pays, dans le sillage de l’accord sur le nucléaire conclu plus tôt ce mois.

Mais avant une éventuelle reprise des vols directs entre l’Iran et les Etats-Unis, le Congrès américain doit ratifier l’accord sur le nucléaire, qui suscite une opposition des législateurs républicains ainsi que de certains démocrates.

Les parlementaires ont 60 jours pour éventuellement empêcher la levée des sanctions américaines, promise par Washington et les grandes puissances en contrepartie des concessions iraniennes.

Le président américain Barack Obama a cependant promis d’opposer son veto à tout effort visant à bloquer l’accord. Il faut une majorité des deux tiers dans les deux chambres du Congrès pour renverser un veto présidentiel.

Suite à l’accord sur le problème nucléaire iranien et la levée des sanctions qui paralysaient le développement de son activité aérienne, l’Iran projette d’acquérir de 80 à 90 avions par an pour rattraper son retard.

L’Iran a l’intention de rénover sa flotte aérienne avec des Airbus et des Boeing, a déclaré le responsable adjoint de l’Organisation de l’aviation civile (OAC) iranienne, Mohammad Khodakarami, cité par l’agence IRNA. « Nous devons ajouter 80 à 90 appareils à notre flotte chaque année afin d’avoir 300 avions neufs et opérationnels (..). En conséquence, l’OAC envisage de rénover la flotte nationale avec des Airbus et des Boeing à égalité », a précisé Mohammad Khodakarami.

Selon le responsable de l’OAC, un tel contrat représentant 20 milliards de dollars est désormais possible puisque l’accord nucléaire conclu le 14 juillet

dernier à Vienne par l’Iran et les grandes puissances « stipule clairement que l’interdiction d’acheter, de louer et de transférer des moteurs ou des pièces d’avions a été levée ».

La flotte iranienne comprend actuellement 140 avions en activité, dont la moyenne d’âge est d’environ 20 ans.

L’industrie du transport aérien était soumise à un embargo américain depuis 1995, empêchant les constructeurs occidentaux de vendre des appareils et des pièces détachées aux compagnies iraniennes. Cet embargo avait été partiellement levé par l’accord intérimaire sur le nucléaire signé en novembre 2013 par l’Iran et les grandes puissances.

La levée des sanctions prévues par l’accord du 14 juillet à Vienne ouvre des perspectives juteuses pour les entreprises occidentales prêtes à investir massivement en Iran, un marché de près de 80 millions d’habitants.

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Alyah Israël. Nouvelle loi sur Contre la Violence, Netanyahu a promis la divulgation de revenus à la «tolérance zéro». 3 000 manifestants l’étranger des Olims ? rassemblés à Tel Aviv

Une enquête du Forum Mondial sur la transparence et l’échange d’informations a classé Israël « partiellement conforme ». Ainsi, la Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement (BERD) et la Banque Mondiale ont annoncé qu’ils cesseraient de coopérer avec Israël si ces «défauts» ne sont pas corrigés.

Israël a informé l’OCDE qu’il agira afin de modifier la loi pour faciliter l’échange d’informations conformément aux normes internationales. Tout d’abord, il est proposé de permettre au gouvernement d’échanger des renseignements fiscaux avec d’autres gouvernements. Actuellement, les conventions fiscales permettent cela à Israël principalement afin d’éviter la double imposition en ce qui concerne les contribuables spécifiques, et non dans le cadre d’une campagne générale.

Il est proposé de permettre à l’Autorité fiscale d’Israël d’obtenir plus d’informations par voie électronique auprès des institutions financières israéliennes sur les affaires et les comptes des clients privés. L’information sera transmise à une unité spéciale qui aura 45 jours pour examiner le dossier et, soit le supprimer ou le transmettre aux autorités fiscales d’enquête si le revenu ou des paiements semblent avoir été sous-déclarés de 500,000 NIS pour l’impôt sur le revenu, la TVA ou l’impôt foncier.

Des modifications sont proposées concernant les nouveaux résidents israéliens et soi-disant résidents de retour supérieurs (qui vivaient à l’étranger depuis 10 ans) – collectivement dénommées olim. Actuellement, les olim sont exonérés de l’impôt israélien pour des revenus provenant de l’étranger pendant 10 ans. Ils sont également exonérés de divulguer les revenus à l’étranger également durant 10 ans. Selon les propositions, l’exonération d’impôt va rester, mais l’exemption de la divulgation sera modifiée pour les olim qui arrivent en Israël le 1er Janvier 2016.

Durant l’année de l’arrivée et l’année d’imposition suivante, les olim auront seulement besoin de divulguer des revenus et des actifs étrangers si un corps étranger l’a exigé. Par la suite, les olim devront divulguer leurs revenus et leurs actifs étrangers chaque année.

Des propositions de divulgation similaires ont été faites il y a deux ans et ont causé un déchaînement de protestation jusqu’à ce qu’elles aient été abandonnées.

Maintenant, il semble qu’elles soient de retour. Les nouvelles propositions ne peuvent pas augmenter les impôts des olim – elles se contentent d’accroitre la divulgation et la bureaucratie.

Source: Article IsraelValley basé sur une traduction-adaptation du JPost.

Emotions en Israël. Images de haines et de morts. Une jeune fille de 16 ans tuée par un fanatique anti-gay à Jérusalem. Un bébé mort. Encore un été où Israël (ex-Paradis des gays du monde ?) se retrouve en première page des médias. La presse mondiale a retransmis ses derniers jours les violences des fanatiques qui se succèdent en Israël. Le Gouvernement israélien a très vite compris l’importance des faits qui peuvent altérer durablement l’image d’Israël.

Les titres du jour de la presse en France : «En Israël, M. Nétanyahou ferme face à l’extrême droite, “Israël choqué après le meurtre d’un bébé palestinien”, «Israël face aux “jihadistes juifs”, “Bébé tué en Cisjordanie: Israël ne parvient pas à contenir la colère”, “Israël pris au piège de ses extrémistes religieux ?”, “Ceux qui incitent (à la haine) contre les Arabes d’Israël ne doivent pas être surpris que des églises et des mosquées soient incendiées”.

Ce matin dans i24News : «L’ancien ministre israélien de l’Intérieur , Eli Yishai, avait appelé à la libération anticipée de Yishai Shlissel en 2007, le Juif ultra-orthodoxe qui a poignardé six personnes jeudi dernier lors de la Gay Pride à Jérusalem, quelques semaines après avoir purgé une peine de 10 ans pour une attaque similaire en 2005.

Yishai, l’ancien chef du parti

ultra-orthodoxe Shas, avait appelé en 2007 à la libération de Shlissel alors qu’il n’avait purgé que deux ans de sa peine, dans le cadre de l’amnistie de prisonniers, à l’occasion des 60 ans de la fondation de l’Etat d’Israël en 2008, selon le site Maariv. Yishai aurait alors demandé au ministre de la Justice de l’époque, Daniel Friedmann, d’envisager la libération de Shlissel».

ISRAELVALLEY PLUS. Selon 20Minutes : «Une adolescente israélienne de 16 ans a succombé dimanche à ses blessures après avoir été poignardée avec cinq autres personnes par un extrémiste juif lors de la Gay Pride à Jérusalem jeudi soir, a annoncé l’hôpital Hadassah de Jérusalem où elle avait été admise.

L’homme, aussitôt arrêté et inculpé, venait de purger 10 ans de prison pour une attaque similaire qui avait fait trois blessés lors de la Gay Pride de Jérusalem en 2005. L’incendie le lendemain de l’attaque d’une maison palestinienne dans lequel un bébé est mort brûlé vif, a lancé un vif débat en Israël sur l’«impunité» dont bénéficieraient les extrémistes juifs.

Tolérance zéro Ces deux attaques ont provoqué la consternation et une volée de critiques en Israël et dans les Territoires palestiniens, comme à l’étranger. De l’opposition israélienne à l’ONU en passant par les Palestiniens, tous

ont dénoncé des violences rendues possibles par «l’impunité» dont jouissent, selon différentes ONG, les colons et autres activistes d’extrême droite. Face aux pressions, Benjamin Netanyahu a promis dimanche matin la «tolérance zéro» et son ministre de la Défense Moshé Yaalon a autorisé la mise en détention administrative, c’est-à-dire sans charge et pour une durée illimitée, d’extrémistes juifs.

Cette mesure, habituellement réservée aux Palestiniens, pourrait donner aux enquêteurs le temps de réunir les preuves nécessaires à un procès, expliquent les médias».

Selon Médiapart : Plusieurs milliers d’Israéliens ont manifesté samedi dans tout le pays contre la violence, deux jours après l’agression à l’arme blanche de six personnes par un juif ultra-orthodoxe lors de la Gay Pride à Jérusalem et au lendemain de la mort d’un bébé palestinien. Samedi soir, 3 000 manifestants se sont rassemblés à Tel Aviv à l’appel du collectif israélien La Paix maintenant, opposé aux implantations juives de Cisjordanie, et plusieurs dirigeants de l’opposition ont demandé au gouvernement de prendre des mesures plus énergiques face aux colons les plus radicaux. Un autre rassemblement a été organisé à Jérusalem, tandis que des manifestations plus modestes ont eu lieu dans tout le pays.

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Israël : à 49°C en extérieur, la consommation d’électricité explose !

Alors que les températures deviennent folles (49°C au kibboutz Gilgal et à Beit Ha’arava dans le sud de la vallée du Jourdain), la demande d’électricité (principalement pour les appareils d’Air Conditionné) explose.

La vague de chaleur torride, qui a commencé jeudi et qui devrait se poursuivre tout au long de la semaine, « est le résultat d’une arête supérieure de l’air qui s’est formé en raison de la haute pression subtropicale, » selon le Dr Amos Porat, chef du département climatique de l’institut israélien de météorologie… « Cette vague se dépasse très lentement, de sorte qu’elle va survoler Israël pendant un certain temps, » a t-il déclaré. « Une zone de haute pression fait baisser l’air vers la terre… Et plus il descend, plus il devient chaud et sec ! » En général, la température moyenne en Israël dimanche était de 43/46°C. Bien que sur la côté ouest, les températures étaient un peu plus fraiches qu’ailleurs (34/36°C), le taux d’humidité (jusqu’à 80%) rend cette chaleur étouf-

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fante.

Parmi les records battus hier: 49,3°C au kibboutz Gilgal dans la vallée du Jourdain (49,3 ° C), 46,3°C à Havat Eden dans la vallée de Beit Shéan, 46°C à Sodome dans le désert de Judée, 40,9°C à Nir Ha’emek Youth Village près d’Afula.

Ainsi, à environ 15heures, la consommation d’électricité a atteint 12.525 mégawatts, ce qui laisse une réserve de seulement environ 900 mégawatts à l’Israël Electric Corporation. C’est là aussi un record puisque jusqu’à présent, les israéliens n’avaient consommé, au maximum, que 11.930 pendant le pic de froid en janvier 2015 !

Malgré la puissance de réserve disponible, la compagnie électrique prévient que des coupures sont possibles.

Pendant ce temps, en raison d’une tempête de sable qui a englouti l’aéroport international Queen Alia d’Amman, deux avions jordanien ont atterris à l’aéroport Ben Gourion.

Par Jérémyah Albert

Fondateur de Elad, Danny Dayan devient Ambassadeur d’Israël au Brésil

avec les pays de cette région du monde. Je suis sûr que Danny Dayan saura répondre aux prochains défis qui se dresseront devant lui », a déclaré Binyamin Netanyahou.

Netanyahou a annoncé la nomination de Danny Dayan au poste d’ambassadeur d’Israël au Brésil. Agé de 59 ans et originaire d’Argentine il était chargé ces dernières années d’assurer la promotion d’Israël à travers le monde.

M. Dayan est aussi l’un des fondateurs de la société israé-

lienne de programmation informatique Elad. « L’Amérique latine est l’une des destinations privilégiées des Israéliens. L’État d’Israël compte de nombreux partenaires commerciaux sur ce continent.

Notre pays souhaite augmenter le nombre de ses échanges

Le nouvel ambassadeur a lui promis au chef du gouvernement qu’ »il ne ménagerait pas ses efforts pour améliorer les relations entre les deux pays. » « En revanche, je ne me suis pas engagé sur le fait que nous pourrions ramener une médaille aux prochains Jeux olympiques de Rio en 2016″, a-t-il ironisé.

Danny Dayan est par ailleurs un cousin de l’ancien général et ministre Moshé Dayan.

E.A http://www.israpresse.net

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Pour les derniers mois qui lui restent à la Maison Blanche, Obama veut isoler Israël sur le plan international terrorisme toute mention liée au jihad ou à l’Islam !

En 2010, Obama a dit au New York Times que la solution du conflit palestino-israélien était « vitale » pour l’intérêt de la sécurité nationale américaine, parce que ce type de conflit au Moyen Orient « coûte beaucoup en sang et en argent ». Obama a ainsi fait le lien entre ce conflit avec les Palestiniens et la sécurité des soldats américains dans les guerres menées par les EtatsUnis en Afghanistan, Irak, Syrie et ailleurs. Il a même précisé que la clé de la paix se trouvait à Jérusalem, plutôt qu’à Téhéran ou une capitale arabe.

A la lumière des derniers événements relatifs à la participation de l’administration Obama au boycott d’Israël et à la signature des Accords de Vienne avec l’Iran, on est en droit de se demander si le président Barack Obama n’est pas sous l’influence d’une récente étude intitulée « Se préparer pour un après-Israël au Moyen Orient » (1) Il y a 2 ans le « Foreign Policy Journal » a révélé qu’un cadre de l’unité de recherche de la CIA avait indiqué que cette étude avait été commandée par le Renseignement américain.

President Barack Obama attends a meeting in the Roosevelt Room of the White House, Jan. 28, 2013. (Official White House Photo by Pete Souza) This official White House photograph is being made available only for publication by news organizations and/or for personal use printing by the subject(s) of the photograph. The photograph may not be manipulated in any way and may not be used in commercial or political materials, advertisements, emails, products, promotions that in any way suggests approval or endorsement of the President, the First Family, or the White House.

Dans cette étude, Israël est classé comme « la plus grande menace » pour les Etats-Unis, du fait que les puissantes relations israélo-américaines entravaient des relations « normales » avec les pays arabo-musulmans, et au delà, avec l’ensemble de la communauté internationale…. Cette étude a donné lieu à un Rapport officiel.

Dans ce Rapport, la présence israélienne au delà la ligne verte est considérée comme non légitime, immorale et non « tenable », désignée comme une occupation de la Palestine par l’Europe, via un groupe étranger….

A la lumière des événements qui ont suivi le printemps arabe, et du réveil islamique qui s’est emparé de la majorité du 1,2 milliard d’arabes et de musulmans, le Rapport précise que les Etats-Unis ne peuvent plus défendre cette occupation. Il est de la plus haute importance et de l’intérêt américain de construire de bonnes relations avec 57 états musulmans, plutôt que de lier les intérêts nationaux à un petit état dont les dimensions ne dépassent pas celles du New Jersey….

Le Rapport poursuit en accusant Israël d’intervenir dans les affaires intérieures des EtatsUnis, aussi bien en l’espionnant directement, qu’à travers 60 organisations éminentes et 7500 officiels qui cherchent à intimider et à dominer les medias et les agences gouvernementales, ce qui est intolérable. Il ajoute que le pays n’a plus les moyens financiers pour aider Israël, pays qui devient de plus en plus anti-démocratique, pratiquant de plus en plus l’apartheid, selon les sources du Renseignement.

Il est étonnant que ce Rapport ne mentionne nulle part l’influence grandissante et effective de la Confrérie des Frères Musulmans, de l’Arabie saoudite, qui a un lobby puissant, et des organisations iraniennes. Ce rapport ne condamne pas le soutien accordé à un pays comme le Maroc qui occupe illégalement le Sahara Occidental, alors qu’Israël se trouve en Judée-Samarie

en toute légalité. Le Rapport ne mentionne nullement l’espionnage pratiqué à grande échelle par l’Amérique pour aider des pays arabes non démocratiques à exister, bien qu’ils présentent réellement un risque pour elle.

Le Rapport n’adopte que la rhétorique antisémite de l’Autorité Palestinienne, condamnant l’Aipac par exemple, pour le cas d’espionnage en 2005 de James Kirchik, qui a clamé dans le Wall Street Journal que son intervention n’était que politique, précisant notamment que « si c’était vraiment un cas criminel, la moitié des journalistes du Belt Way auraient dus être condamnés! » Bien qu’il manque d’arguments historiques et de logique intellectuelle, ce Rapport intitulé « Se préparer pour un après-Israël au Moyen Orient » a eu une influence décisive sur l’administration Obama.

Rappelons ici qu’une fois élu en 2008, les premiers gestes du président Obama ont été d’appeler d’abord Abou Mazen, puis de faire un discours à l’Université théologique du Caire, disant aux Frères Musulmans qu’Israël n’a été créé que suite à la Shoa, et non pour des motifs historiques d’attachement millénaire à la terre de ses ancêtres.

Après avoir juré de combattre les stéréotypes négatifs relatifs à l’Islam, Obama a strictement appliqué les poncifs du Rapport, déclarant même que « la Guerre contre le Terrorisme était close ». Depuis ce jour sa politique a favorisé les éléments radicaux de l’Islam, tout en s’éloignant d’Israël, — et des amis traditionnels de l’Amérique, par ailleurs.

Il est allé jusqu’à supprimer des manuels de formation contre le

Puis Obama a annulé les assurances de sécurité que l’ex président G W Bush avait promises à Israël, y compris « les frontières sûres et reconnues » selon la résolution 242 du Conseil de Sécurité de l’Onu, le non retour des réfugiés en Israël et le non retour aux lignes d’armistice de 1967. Il a systématiquement condamné Israël pour les implantations au delà de la ligne verte et a nié que Jérusalem faisait partie d’Israël. Il n’a jamais condamné la terreur palestinienne et les incitations au meurtre d’Israéliens.

Il a aussi incité au changement de la plateforme du Parti Démocrate, pour qu’elle ne mentionne pas Jérusalem comme capitale d’Israël, qu’elle n’indique pas que les réfugiés palestiniens devaient être réinstallés dans le futur état de Palestine, que le Hamas soit isolé, à moins qu’il ne renonce au terrorisme et qu’il reconnaisse à Israël le droit d’exister. Dans la même veine, la plateforme ne mentionne plus le « maintien de la supériorité militaire d’Israël »…

De plus, les Etats-Unis ont commencé à faire pression sur Israël sur n’importe quel sujet, par exemple, pour libérer des terroristes ayant du sang sur les mains contre de vagues promesses de négociation sans lendemain. La position américaine a endurci la partie palestinienne qui s’est obstinée à ne plus faire de concessions, puisque Obama montait les enchères de son côté.

Adieu la solution à 2 états pour 2 peuples et adieu à toute paix.

En appuyant les Frères Musulmans et les islamistes, l’administration Obama a créé une

situation dangereuse pour Israël au Moyen Orient. En éliminant Qadahfi en Libye, Obama a ouvert les stocks d’armes aux islamistes de tout bord. En éliminant Moubarak, Obama a ouvert la voie aux Frères Musulmans. En n’appuyant pas Sissi, il a favorisé les islamistes de tout bord en Egypte. Obama n’a jamais condamné Erdogan et le Qatar pour leur attitude ambiguë vis à vis de l’Etat Islamique et du Hamas.

En Iran, lorsque le « Mouvement des Verts » a cherché à renverser les mollahs en 2009, Obama n’a pas levé le petit doigt pour l’aider. Rouhani venant au pouvoir, Obama n’a pas hésité à signer un accord nucléaire boiteux qui installe une hégémonie effective des ayatollahs shiites au Moyen Orient, directement ou à travers les nombreux groupes terroristes et milices affiliés. La levée des sanctions financières et économiques renforcera le pouvoir des ayatollahs installés en Iran pour des décennies.

Ila été signalé par ailleurs que selon l’accord signé, les EtatsUnis aideront l’Iran contre tout sabotage de leurs installations nucléaires et abattront tout avion qui chercherait à les détruire.

Obama avait fixé des lignes rouges en Syrie qu’il n’a pas respectées. Ce pays est à moitié contrôlé aujourd’hui par l’Etat Islamique et les milices pro-iraniennes. Les groupes modérés qui se sont rebellés contre le régime pro-iranien des Assad, se sentent trahis par Obama.

L’Irak est également aux mains de l’Etat Islamique d’une part et d’un gouvernement pro-iranien d’autre part, situation pour le moins explosive, quand on la compare à celle laissée par le général Petraeus.

Obama a rendu en 7 ans la région du Moyen Orient très dangereuse pour Israël. De plus il a favorisé des lobby antisionistes comme JStreet et New Israel Fund qui agissent dans le but de favoriser le boycott d’Israël et d’enlever toute légitimité à un état juif.

L’administration Obama se prépare ainsi à l’après Israël.

Traduit et adapté par Albert Soued, écrivain

L’information en provenance d’Israël Edition Août 2015

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Édifiant: une vidéo montre la propagation des religions sur 5000 ans en une minute

De moins 3000 à 2000 ans jusqu’à nos jours , le site BUISNESS INSIDER propose une vidéo édifiante qui permet en une minute d’observer les religions les plus expansionnistes, comment le christianisme et l’islam se sont partagés l’Afrique, l’Asie, l’Europe, comment le bouddhiste a pu se limiter à un territoire et comment le judaïsme présente de si petites ambitions comparées à ses « concurrents spirituels ». Or Imbar pour Tel-avivre.com. Lien vidéo : https://www.youtube.com/watch?t=65&v=AvFl6UBZLv4

L’information en provenance d’Israël Edition Août 2015

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Nucléaire iranien: « la communauté juive US n’est pas unie derrière Israël »

Jérusalem, Sideman fait part des inquiétudes de la communauté soucieuse des divisions entre les Etats-Unis et Israël sur le dossier, rapporteHaaretz qui a eu accès au dit-document. « La communauté juive aux Etats-Unis ne fait pas bloc derrière Israël », précise Sideman.

La communauté juive américaine ne soutient pas unanimement la position d’Israël concernant l’accord sur le nucléaire iranien, selon le consul

général israélien à Philadelphie, Yaron Sideman.

Dans un télégramme diplomatique envoyé cette semaine à

Il ajoute que le président d’une des fédérations juives de Philadelphie estime que la position d’Israël vis-à-vis de l’administration Obama pourrait nuire à la communauté juive sur place.

Sondages contradictoires

Netanyahou a lancé un appel aux Juifs américains contre l’accord sur le nucléaire

Les divisions de la communauté sur l’accord ont été mesurées ces dernières semaines par trois sondages, dont les résultats varient de près de 20% selon les instituts.

Selon le LA Jewish Journal, environ 48% des Juifs américains soutiennent l’accord contre 44% d’après le groupe pro-israélien The Israel Project et 60% selon le lobby de gauche J Street.

L’accord sur le programme nucléaire de Téhéran a été conclu à Vienne le 14 juillet au terme de 20 mois d’intenses négociations entre l’Iran et le groupe 5+1 (France, Royaume-Uni, Chine, Russie, Etats-Unis, Allemagne). Ces pays ont accepté de

Aux USA, une résolution contre l’accord nucléaire a été déposée à la Chambre des représentants Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a lancé mardi un appel aux Juifs américains contre l’accord sur le nucléaire iranien défendu par le président Barack Obama et présentement en examen au Congrès, affirmant qu’il risquait de provoquer une guerre catas-

trophique au Moyen-Orient.

«Je ne suis pas contre cet accord parce que je veux la guerre. Je m’oppose à cet accord parce que je veux éviter la guerre. Et cet accord va apporter la guerre,» a-t-il dit. “C’est le temps de se lever et de se faire entendre. Opposons nous à cet accord dangereux.”

Dans un webcast publié par des groupes juifs américains et dif-

lever progressivement des sanctions internationales en échange de garanties que Téhéran ne se dotera pas de l’arme atomique.

Mais il rencontre beaucoup de résistance au Congrès. Il faudra au moins deux tiers des élus pour bloquer l’accord, lors d’un vote prévu en septembre, car Barack Obama dispose d’un veto. La plupart des démocrates devraient soutenir le président, assurant a priori que l’accord ne sera pas torpillé.

Le chef du Pentagone Ashton Carter a par ailleurs dénoncé mercredi devant le Congrès « l’activité néfaste » de l’Iran au Moyen-Orient, afin de tenter d’apaiser des élus hostiles.

fusé à 10.000 personnes, Netanyahou, depuis son bureau en Israël, a attaqué des adversaires anonymes, qui mènent un campagne de “désinformation sur l’accord et la position d’Israël”.

l’avons fait dans le passé”, a-t-il dit. “Est-ce que je pense que le président Obama croit que c’est la meilleure façon de régler la menace nucléaire iranienne?

Oui, je le pense”.

“Plus les gens comprennent ce qu’il y a dans l’accord, plus ils sont opposés”, a-t-il dit, en martelant que les grandes puissances auraient dû ne pas conclure d’accord et continuer à accentuer la pression sur le régime iranien.

Une campagne intense est en cours à Washington où les élus du Congrès voteront en septembre sur l’accord conclu le 14 juillet entre les grandes puissances et Téhéran. Des groupes d’intérêts juifs américains comme Aipac (droite) et J-Street (gauche) dépensent des millions de dollars en lobbying et publicités pour influencer l’opinion publique et les parlementaires.

Interrogé sur la dégradation continue des relations entre les deux alliés, le Premier ministre israélien a assuré que le différend ne pourrait ébranler les liens historiques entre Israël et les Etats-Unis.

“Notre relation est assez forte pour résister même aux désaccords importants, comme nous

Benyamin Netanyahou est venu lui-même prononcer un discours au Congrès en mars.

L’exécutif tente de convaincre les démocrates de ne pas se joindre à la majorité républi-

« Nous continuons, à pleine vitesse, à être aux côtés de nos amis (…) et contre l’activité néfaste de l’Iran », a affirmé M. Carter, comme il l’avait dit il y a une semaine en visite en Israël et en Arabie saoudite. « Nous maintiendrons une position militaire forte pour empêcher toute agression, renforcer la sécurité de nos amis et alliés dans la région, notamment Israël, pour garantir la liberté de navigation dans le Golfe et pour surveiller l’influence néfaste de l’Iran », a argumenté le patron du Pentagone, en dénonçant l’appui militaire de Téhéran au régime syrien ou au Hezbollah chiite libanais. caine, qui tentera de torpiller l’accord.

Barack Obama recevra à la Maison Blanche mardi des dirigeants de la communauté juive américaine.

Les chefs républicains de la Chambre des représentants ont apporté plus tôt mardi leur soutien à une résolution de désapprobation de l’accord nucléaire, déposée le même jour. Deux tiers du Congrès devra in fine la soutenir pour surmonter un veto de Barack Obama.

“Il est évident que c’est un mauvais accord, et la Chambre votera pour le désapprouver en septembre”, a déclaré Kevin McCarthy, chef de la majorité républicaine.

Source: http://www.i24news. tv/

L’information en provenance d’Israël Edition Août 2015

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Le saviez-vous ? Comment Moshe Dayan a perdu son œil gauche…

Les lettres comprennent son récit personnel de l’incident et la facture originale de l’hôpital.

Dans une lettre, Dayan supplie son commandement (le Lt Gérénal Sir Henry Maitland Wilson) de le laisser en service actif: «Je vous prie de bien vouloir m’accepter dans l’unité Cadre Squad des Forces Palestiniennes à Sarafand, bien que j’ai perdu l’un de mes yeux en service actif avec nos forces britanniques pendant l’invasion de la Syrie. » « Je ne veux pas de demander de faveurs spéciales, » poursuitil, « sauf d’être autorisé à passer l’examen médical. Pour le reste, c’est à moi de remplir les conditions et de prouver que j’en suis capable. Je serai très reconnaissant si vous considériez mon cas et me donniez votre décision « .

S’il y a une chose que tout le monde sait sur Moshe Dayan, c’est qu’il n’avait qu’un œil.

Mais savez-vous quand et comment il a perdu le premier ?

Dayan a perdu son œil gauche en 1941 quand un tireur d’élite français en Syrie a essayé de le tuer. Après une longue période de convalescence, il a enfilé l’emblématique bandeau noir que chacun connaît.

Le 30 juillet 2015, des lettres personnelles liées à la perte de son œil seront mises aux enchères chez Nate D. Sanders Auctions.

Quand il a perdu son oeil, Dayan se battait avec la 7e division australienne de l’armée britannique contre les troupes françaises de Vichy en Syrie. Le rapport complet de la mission Moshe Dayan cette nuit-là, tapé en hébreu avec des notes manuscrites, est égale-

ment en vente dans le lot.

« A 01h00, nous avons atteint le pont, » qui, écrit-il, était gardé par des sentinelles et piégé avec des explosifs. Ils ont attendu, et « à 04h00, nous avons décidé de passer à Iskandaroun pour aider les forces britanniques [à capturer la ville]. » Son unité se déplaçait d’immeuble en immeuble et Dayan raconte: « je visais la zone ou était situé la mitrailleuse française. Je regardais dans le viseur et j’essayais de déterminer sa position exacte. A ce momentlà, mon œil a été touché par une balle, tout comme mon bras et j’ai alors perdu ma condition physique. » Egalement inclus dans l’archive : une facture d’un hôpital parisien pour le suivi de la chirurgie oculaire, totalisant 12.389 francs, et un billet de 5 francs attaché au document.

Prix de départ pour les enchères: 75.000 dollars.

Par Aliza S.

L’information en provenance d’Israël Edition Août 2015

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Denis Charbit : « L’anathème dont Israël fait l’objet est inadmissible » Sociologues, politologue et universitaire réputé, Denis Charbit est le nouveau chouchou des médias. Sur le dossier iranien et l’opposition d’Israël à l’accord signé, tous les médias internationaux et français l’ont consulté. Israël Actualités a voulu rencontrer ce brillant expert, dont l’essai, Israël et ses paradoxes*, a suscité autant d’éloges que de controverses… Interview. noble, celle qui permet justement de diviser le monde en deux camps, comme dans le bon vieux temps. Mais le problème, c’est que leur manière de voir gagne du terrain, même parmi des modérés à gauche comme à droite. Et là, pour le coup, nous avons, par nos ambiguïtés et nos choix politiques, une lourde responsabilité dans cette dégradation de l’image d’Israël.

Lorsqu’Yitzhak Rabin a signé la Déclaration de principes d’Oslo, lorsqu’Ariel Sharon a effectué le désengagement de la bande de Gaza, Israël disposait-il encore d’une «mauvaise image» ? Ne furent-ils pas, l’un et l’autre, encensés ? Les Israéliens préfèrent garder les territoires et le payer d’une mauvaise image. C’est le choix de mes concitoyens jusqu’à nouvel ordre.

Votre essai analyse méthodiquement 18 clichés sur l’Etat hébreu, confronte les points de vue des extrêmes de tous bords et propose un « juste milieu ». Pensez-vous qu’il existe réellement un moyen de battre en brèche les préjugés qui donnent d’Israël une image négative : état raciste, arabes israéliens citoyens de seconde zone...

Je suis convaincu que le pire moyen de battre en brèche ces idées reçues est de nier en bloc le problème et de ramener le préjugé à l’antisémitisme qui serait à l’origine du propos. Je ne peux pas non plus épuiser la question des citoyens israéliens arabes, par exemple, en me contentant de dire qu’un juge arabe siège à la Cour suprême.

C’est tellement plus complexe que la réduction à un slogan. Je

plaide pour le droit, sinon le devoir de nuance, mais cela oblige autant à récuser les idées reçues qu’à rejeter la tentation de l’excès contraire.

Le monde arabo-musulman est secoué par la montée des extrêmes, par l’arrivée de Daesh. Les attentats se multiplient sur le sol européen. Et pourtant, on a le sentiment que la condamnation ou la mauvaise image vont toujours au même : Israël. Pourquoi cet aveuglement de l’Occident ?

Vous pensez sérieusement que Daësh ou al-Qaïda et autres organisations du même acabit jouissent d’une meilleure image qu’Israël ? Ceci dit, il est indéniable que la cause palestinienne reste de toutes les causes du Tiers-monde et du gauchisme la plus romantique et la plus

Pour quiconque connaît mal le sujet, la volonté du gouvernement israélien de poursuivre l’implantation dans les territoires est toujours vécue comme une forme d’arrogance et de mépris d’Israël. Nombre de journalistes occidentaux, comme l’opinion publique du reste, s’interrogent sur la réelle volonté d’Israël de faire la paix avec les Palestiniens, plus encore depuis cette sordide histoire de bébé brûlé dans l’incendie d’une maison. Pourriez-vous expliquer les raisons pour lesquelles le gouvernement israélien prend ces décisions et comment il les justifie ?

Je discerne trois facteurs d’ordre idéologique, politique et international. Le gouvernement est favorable, pour des raisons idéologiques, au maintien de l’autorité israélienne en JudéeSamarie et au renforcement démographique de la population juive dans la région. Le facteur politique, c’est que les leaders des implantations sont parvenus, en une trentaine d’années, à s’imposer comme des acteurs

politiques de premier plan : ils sont représentés au gouvernement, des députés acquis à cette cause siègent à la Knesset, ils occupent des postes dans des ministères-clés et disposent de militants dévoués, comme pouvaient l’être en France les militants communistes dans les années cinquante. Le gouvernement est soit tacitement d’accord, soit complaisant, voire intimidé par cette force ; regardez récemment le tollé suscité par l’évacuation de deux maisons construites illégalement à Beit-El, entendez les injures et les insultes dont a écopé le ministre de la Défense pour avoir osé respecter une décision de la justice. C’état un crime de lèsemajesté, sinon une trahison. Un député de la majorité est allé jusqu’à déclarer qu’il fallait renvoyer le bulldozer en direction de la Cour suprême. Pas moins.

Enfin, le troisième facteur, c’est la faiblesse objective des EtatsUnis et de l’Europe. C’est là que joue en notre faveur le chaos régional, qui est sans aucune mesure avec telle ou telle décision du gouvernement israélien.

On laisse faire, mais on n’en pense pas moins. La frustration est grande à la Maison Blanche comme dans les chancelleries occidentales qui estiment que si, bien sûr, la barbarie ne règne pas en Israël comme en Syrie, Israël, par son refus de respecter le droit des Palestiniens à l’autodétermination, commet une réelle injustice.

Sur le dossier iranien, Netanyahou a eu beau parcourir le monde pour éviter l’accord, Barack Obama est parvenu à ses fins. Pourquoi cet acharnement du Président américain à vouloir favoriser ainsi l’Iran au mépris de ses autres alliés dans la région ?

Obama est convaincu, face au chaos régional, que l’Iran est, bon gré, mal gré, une source de stabilité. Il parie sur le fait qu’en

réintégrant l’Iran parmi les nations, il en résultera un assouplissement à l’intérieur du pays et un relâchement du soutien iranien au Hezbollah. Il redoute – et l’administration américaine également – cette balkanisation du Moyen-Orient en une série d’Etats tous en faillite, livrés aux violences extrêmes et à l’instabilité chronique. Bref, on voit l’Iran comme on voyait autrefois l’Union soviétique : une puissance capable de faire régner l’ordre avec fermeté, au sein de laquelle pourrait émerger une opposition dissidente capable de prendre les choses en main.

L’Irak, l’Arabie Saoudite sont-ils susceptibles réellement de devenir des alliés d’Israël compte tenu de ce paramètre ?

Ils le sont objectivement, mais pour que cela puisse déboucher sur une alliance réelle, Israël ne pourra éviter le contentieux israélo-palestinien. Si ce n’est pas le cas, cela restera une alliance tacite.

Quels risques réels le nucléaire iranien et la levée des sanctions font-ils courir à Israël ?

Au reste du monde ?

Le risque demeure aussi grand que les avantages. On voit bien que l’Iran n’a pas renoncé à son projet nucléaire, elle se contente de le repousser à plus tard. En outre, je pense qu’elle veillera à respecter l’accord pour que les sanctions ne soient pas rétablies.

Mais dix ans, ce n’est pas rien.

Tant de choses peuvent changer dans un sens ou dans l’autre…

Denis Charbit Israël et ses paradoxes, collection « Idées reçues ». Éditions Le Cavalier Bleu. Mars 2015.

Préface d’Élie Barnavi. 22 euros.

L’information en provenance d’Israël Edition Août 2015

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Docteur Gérard Korchia, président du medif : « Rentrez à la maison, vous êtes les bienvenus ! »

Le Medif, association des médecins israéliens francophones, œuvre depuis 25 ans, au soutien des praticiens, médicaux et paramédicaux francophones en Israël. Son président, Gérard Korchia, nous parle des nouveaux défis qu’elle se doit de relever, compte tenu de l’explosion de l’alyah française. Interview… cins généralistes n’ont que des formalités à remplir et un certain nombre de documents à fournir.

Pour les spécialistes, ces contingences administratives sont assorties d’un stage hospitalier.

Bien sûr, dans un cas comme dans l’autre, il est impératif de parler hébreu, donc de passer par un oulpan d’environ 5 mois.

Depuis quand le Medif existet-il et quels sont ses buts ?

Le medif existe depuis 25 ans.

Il défend la médecine française et regroupe les médecins francophones vivant en Israël, et tout le corps paramédical francophone : chirurgiens-dentistes, pharmaciens, infirmières, kinésithérapeutes, psychologues…

Il a été créé d’abord dans le but d’aider les médecins français à faire reconnaître leurs diplômes, ce qui, à l’époque n’était pas possible. Désormais, les méde-

Quels conseils donneriez-vous à un médecin envisageant une alyah ?

D’abord de nous contacter très en amont, pour que nous puissions le guider dans l’ensemble des démarches à accomplir.

S’il faut réclamer, auprès d’une faculté française, copie d’un diplôme obtenu il y a 10 ou 20 ans, ce sera toujours plus facile en étant sur place qu’une fois installé à Jérusalem ou Tel-Aviv !

Que peut-on dire de la pra-

tique de la médecine en Israël.

Quels sont les différences avec le système français ?

Sur le fond, disons que les Israéliens sont plus familiarisés avec la pratique de la médecine à l’américaine, soit une médecine très scientifique, reposant sur de nombreux examents. En France, nous avons une approche différente, selon laquelle l’examen clinique revêt tout autant d’importance pour poser le diagnostic. C’est en cela que nos médecins ont un réel savoir-faire à apporter. Concernant le système médical israélien, c’est une médecine que l’on peut qualifier de « socialiste », étatisée. Tout est informatisé et le patient ne règle pas sa consultation, il possède une carte d’assuré sociale remise par sa caisse d’assurance maladie (kuppat holim). Il en existe 4. Chacun doit choisir à laquelle il veut être affilié et

c’est la caisse qui lui remet une liste de praticiens avec laquelle elle travaille. Le patient doit donc choisir les médecins qu’il veut consulter dans chaque spécialité, dans cette liste et ne pourra en changer durant 3 mois. Pour un patient français, habitué à une médecine libérale, ce fonctionnement et toutes les restrictions qu’il implique, demande une certaine adaptation.

Quels sont les nouveaux défis que vous vous préparez à relever, compte tenu de l’afflux d’immigrants français ?

Il est une évidence : lorsqu’il s’agit de soins médicaux, un patient choisira toujours un praticien qui parle sa langue maternelle. Cela veut dire que l’augmentation de la patientèle française entraîne obligatoirement un nombre croissant de patients pour les médecins

francophones. Pour ne citer que mon propre cas, je suis pédiatre à Jérusalem et ma clientèle a augmenté de 20 % au cours des 2 dernières années.

Et pour les nouveaux médecins arrivant, c’est donc une chance ?

Israël, comme beaucoup de pays manquent de médecins, environ 3000. Il y a donc des perspectives en la matière, notamment pour les médecins de famille et les pédiatres, qui sont saturés. L’alyah implique, il ne faut pas le cacher, quelques mois de patience et de défis à surmonter pour trouver sa place. Mais quoi qu’il en soit, je dis et je dirai toujours à ceux qui veulent nous rejoindre : rentrez à la maison, vous êtes les bienvenus dans votre foyer : Israël !

G.-W. Goldnadel: « l’ONU et Israël: deux poids, deux mesures » manifestent la même curiosité intellectuelle devant le sort ancien, permanent, incontestable, réservé par l’ensemble des organisations internationales au seul État juif.

Je veux écrire encore que ce traitement particulier, relevant de la cérémonie rituelle, m’a toujours fait défense de sombrer dans la justification empressée des actes d’une nation ou d’un gouvernement forcément faillibles et critiquables par nature, mais sommés de s’expliquer constamment.

Quelques mots pour décrire une situation jamais exposée dans la presse hexagonale : La Cour pénale internationale est-elle raciste ? Cette question a été posée dans un quotidien du soir il y a quelques jours. Le contexte était les poursuites – pour l’heure très platoniques -contre le président soudanais pour génocide au Darfour. Suivait une réflexion étonnée : la plupart des poursuites contre les chefs d’État concernent l’Afrique.

Il me paraît aussi inconcevable que tristement significatif que ni ce journal français ni un autre ne

Depuis la création en 2006 du Conseil des droits de l’homme de l’ONU jusqu’à aujourd’hui, l’État juif, à lui seul, a fait l’objet de plus de condamnations (61) que l’ensemble de toutes les nations réunies (116). La Syrie d’Assad a été condamnée 15 fois, la Corée du Nord, qui affame son peuple, à 8 reprises ; l’Érythrée tellement effrayante que ses habitants la fuient en masse, 3 fois ; le Soudan génocidaire, 2 fois ; la Turquie qui détient le record d’emprisonnement de ses journalistes et qui occupe Chypre depuis 1974,

jamais.

Cette situation surréaliste a contraint la représentante d’une Administration Obama, peu suspecte de complaisance aveugle envers l’État hébreu, de déclarer : « L’acharnement du Conseil vis-à-vis d’Israël dont les faits et gestes sont systématiquement à l’ordre du jour ne s’applique pas aux autres pays, même à ceux qui perpètrent les pires violations contre les droits de l’homme. » Le juge Richard Goldstone fut chargé par l’ONU d’enquêter sur les crimes de guerre qu’aurait commis Israël lors de l’opération « Plomb durci » en 2009 contre le Hamas. La presse internationale a fait ses choux gras des premières conclusions du magistrat, sévères à l’encontre de Tsahal. Stéphane Hessel, dans son fameux best-seller planétaire, s’en est délecté.

Mais coup de théâtre, le 1er avril 2011, le juge Goldstone fait son mea culpa dans le Washington Post : « Nous en savons bien plus aujourd’hui sur ce qui s’est passé durant la guerre de Gaza.

Il n’y a aucun doute que des crimes délibérés ont été commis par le Hamas, qui utilisait des boucliers humains. En revanche,

concernant l’État juif, qui a le droit de défendre ses citoyens contre les attaques venant de l’extérieur et qui a consacré d’importants moyens pour enquêter sur des incidents, il n’y a pas eu de politiques ciblant intentionnellement les civils. » Qui peut soutenir sérieusement que le revirement du juge a reçu en Europe la publicité nécessaire ?

Nouvelle offensive du Hamas durant l’été 2014, qui lance des bordées de missiles sur les villes Israéliennes, parfois en utilisant des écoles de l’ONU. Riposte de Tsahal. À nouveau l’organisation internationale missionne une commission d’enquête présidée par l’expert William Shabas.

Israël conteste cette nomination. Haussement d’épaules de l’ONU et des médias internationaux. Quelques mois plus tard, William Shabas, convaincu d’avoir était payé par l’Autorité palestinienne, est contraint de démissionner. Combien de lecteurs l’ont-ils appris dans la presse européenne ?

Avant lui, Richard Falk, rapporteur spécial de l’ONU sur la Palestine, lui aussi largement

encensé, bien que friand de comparaison entre les Israéliens et les nazis, avait été poussé vers la sortie pour avoir publié sur son site Facebook une caricature antisioniste. Ce fait, pourtant non dénué d’intérêt pour une presse gourmande de ce genre d’événements, n’a fait l’objet d’une publicité excessive. À vrai dire, je ne sais tout à fait où se situe le centre du scandale.

Au sein de la corruption financière et morale de l’organisation internationale, ou dans le silence effrayant des médias qui considèrent désormais que l’anormalité du sort réservé à l’État juif est devenue la norme ?

Mon propos n’est pas de geindre mais de tenter d’expliquer que tant que cette situation perdurera, il ne faut pas attendre de l’État qui en est la victime de sortir d’un sentiment obsidional, qui n’a rien de paranoïaque. À se demander cependant si, comme Jupiter, les dieux de Manhattan ne voudraient pas rendre fou l’État qu’ils veulent perdre.

Par Gilles-William Goldnadel – Le Figaro (édition papier) L’auteur est avocat et Président de l’Association FranceIsraël.

L’information en provenance d’Israël Edition Août 2015

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CSG/CRDS: la France va devoir rembourser Israël: les propriétaires ne des français de l’étranger ! pourront plus augmenter

les loyers tous les ans !

Le Conseil d’Etat a rendu le 27 juillet sa décision dans l’affaire de Ruyters et a suivi, point par point le raisonnement de la Cour de Justice de l’Union Européenne du 26 février 2015.

Dans cet arrêt, la haute juridiction administrative indique clairement que M de Ruyters, salarié d’une entreprise néerlandaise et assujetti au régime de protection sociale néerlandaise ne peut être soumis à la CSG/CRDS. Cet arrêt confirme la thèse que j’ai défendue sans relâche dans l’hémicycle, suscitant parfois l’irritation du gouvernement.

Ce dernier avait donné rendezvous aux contribuables lésés au rendu de la décision du Conseil d’Etat…

C’est chose faite !

Le gouvernement va devoir rembourser les sommes indûment perçues aux contribuables qui auront formulé des réclamations pour les années 2013 et 2014.

Il me semblerait équitable par ailleurs que le gouvernement n’oppose pas la prescription pour les réclamations relatives à l’année 2012.

Par ailleurs le gouvernement m’a fait savoir dans un courrier du 20 juillet, que dans l’hypothèse d’une confirmation par le Conseil d’Etat de l’arrêt de la CJUE, il entendait traiter différemment les Français vivant en Europe de ceux vivant hors Europe.

Ce faisant il s’apprête à commettre la même erreur que

lorsqu’il a voulu maintenir des taux différenciés de taxation des plus-values immobilières des non-résidents selon leur localisation au sein de l’UE ( 19%) ou en dehors de l’UE ( 33,33%).

Il aura fallu une condamnation par la Cour Administrative d’appel de Paris et le Conseil d’Etat puis des mois de bataille dans l’hémicycle pour que le Gouvernement finisse par accepter mon amendement numéro 3 rectifié alignant à 19% la taxation des plus-values des Français hors Union Européenne sur celle des Français vivant en Europe.

Gagner du temps sur le dos de la justice fiscale n’est pas très digne même si je connais la situation budgétaire délicate de la France.

Il serait d’ailleurs paradoxal, après que le Conseil d’État ait estimé dans un arrêt du 20 octobre 2013 qu’il convenait en matière de taux d’imposition des plus-values immobilières d’appliquer le même taux de 19 % aux non-résidents qu’ils soient établis au sein de l’Union Européenne ou en dehors de l’union européenne, d’opérer une distinction en matière de prélèvements sociaux.

Faudra-t-il attendre une nouvelle condamnation de la France, pour les mêmes motifs que sur les plus-values, pour que la justice l’emporte enfin sur la CSG ?

Il n’est pas acceptable que les non-résidents vivant en dehors de l’Union européenne se voient appliquer un régime différent de ceux résidant au sein de l’Union européenne alors qu’ils sont en matière de protection sociale

dans une situation identique.

Les critères dégagés par le Conseil d’Etat (activité professionnelle à l’étranger et bénéfice d’un régime de protection sociale étranger) ne concernent pas spécifiquement les non-résidents de l’Union Européenne, mais bien l’ensemble des nonrésidents !

C’est pourquoi je demande également au gouvernement de tirer les conséquences de l’arrêt Ruyters pour l’ensemble des non-résidents.

Pour votre situation particulière, il est impératif afin de ne pas vous mettre en tort vis-à-vis de l’administration fiscale qui reste en droit d’exiger le paiement des prélèvements tant que la loi de financement de la sécurité sociale n’aura pas abrogé l’extension de la CSG-CRDS aux nonrésidents, de payer les sommes exigées.

En revanche je vous recommande de contester ces prélèvements, selon les modèles de lettres se trouvant sur mon site pour les revenus fonciers et les plus-values immobilières, par envoi recommandé avec accusé de réception en y joignant copie de votre avis d’imposition et d’un certificat d’affiliation à un régime de protection sociale de votre pays de résidence.

Vous pouvez compter sur ma détermination pour mener à bien l’ultime combat de l’application de cet arrêt du Conseil d’Etat à l’ensemble des non-résidents et vous informer des mécanismes de contestation et de remboursement.

Par Frédéric Lefèbvre

Une proposition de loi visant à améliorer les conditions de location d’un bien a reçu l’approbation du Comité ministériel pour la législation.

Le « projet de loi location équitable » de la députée Stav Shaffir (Union sioniste) et de Roi Folkmann (Kulanu) empêchera les propriétaires d’augmenter le loyer d’un appartement pendant 3 ans… Et après 3 ans, les prix ne pourront augmenter que de 2% au maximum par an, même s’il y a un nouveau locataire. En outre, les propriétaires ne pourront plus résilier un contrat sans motif valable.

La partie explicative du projet de loi stipule qu’il cherche à ramener la stabilité dans la vie des locataires, leur permettant de vivre dans au même endroit plusieurs années, sans que les propriétaires n’augmentent les prix tous les ans de 5%.

En outre, les propriétaires devront faire en sorte toutes les réparations nécessaires au maximum 30 jours après avoir été informé des dégâts par le locataire. Toutefois, les locataires devront fixer des dommages mineurs résultant d’une utilisation abusive des lieux.

Par Déborah Coen

Entre 4000 et 6000 israéliens meurent tous les ans d’infections nosocomiales

Incapable de dire combien de personnes ont été infectées en 2014 par des infections nosocomiales dans les hôpitaux israéliens, le ministère israélien s’est engagé ce matin à lutter contre ce fléau qui aurait tué entre 4000 et 6000 patients, pour la plupart des personnes âgées.

La Présidente Comité de contrôle de l’État, la députée Karin Elharar (Yesh Atid) a déclaré que le problème est « pire et plus grave chaque année, surtout dans les hôpitaux de périphérie. »

Une action en justice a été menée il y a sept mois pour forcer le ministère à révéler les statistiques. Rachel Edri, la conseillère juridique du Mouvement pour la liberté de l’information, a fait valoir que « depuis deux ans déjà, le ministère a promis de publier un rapport sur les infections nosocomiales, mais il n’a pas fait. » « Les hôpitaux manquent de données sur le phénomène » indique la députée israélienne.

Par Jérémyah Albert

L’information en provenance d’Israël Edition Août 2015

Est-ce que les israéliens lisent la Torah ?

Réponse…

Combien d’israéliens possèdent un Tanakh (Bible), le texte de base du judaïsme composé de la Torah, des Prophètes et des Ecrits (Hagiographes) ?

Une enquête menée par le Collège Universitaire Herzog à Alon Shvut en Judée avant sa conférence « Ouvrir le Tanakh » révèle des chiffres surprenants, qui ont été rapportés par la presse israélienne.

Au total, 95% des israéliens ont un Tanakh dans leur maison, selon le sondage réalisé pour le Collège par l’Institut Yifat Gat Brand auprès de 501 répondants adultes.

En ce qui concerne la fréquence à laquelle ils lisent le Tanakh, 42% ont dit le faire à des moments rares, avec une petite portion disant que la dernière fois qu’ils l’ont étudié était avant les examens de fin d’étude secondaire.

Par ailleurs, 13% ont dit lire le Tanakh, en particulier les Tehilim (Psaumes), en temps de crise. 15% ont dit qu’ils ne lisent jamais le Tanakh, un chiffre qui monte à 30% parmi les juifs laïcs.

Divisant les résultats par région, le sondage a révélé que 71% des femmes habitant la région de

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Jérusalem lisent fréquemment le Tanakh, un chiffre qui descend à 32-40% dans le reste du pays.

Seulement 2% des résidents de la région de Jérusalem disent n’avoir jamais lu le Tanakh, par opposition à 16% dans le reste d’Israël.

Bien que légèrement plus de la moitié de tous les juifs israéliens ne lisent pas fréquemment le Tanakh, 68% le décrivent comme un « livre saint », tandis que 16% le décrivent comme un livre que « façonne l’identité ».

Seulement 9% disent n’avoir aucun lien avec le Tanakh.

Fait révélateur, la tendance à se déconnecter du Tanakh était plus prononcée chez les universitaires, avec 20% d’entre eux disant ne jamais lire le Tanakh et que cela ne « leur parle pas ».

Pour sortir de l’autisme, Lilo a besoin de nous pour le faire jouer !

Jessica, jeune maman de 4 enfants, tombe des nues. Son fils de deux ans présente des troubles autistiques. Prête à battre des montagnes pour aider son enfant à vaincre la maladie, la famille se mobilise et lance un appel à bénévoles.

Lorsqu’on leur a demandé quelles figures du Tanakh les influences le plus, 19% des juifs israéliens ont répondu Moshé (Moise), suivi par le Roi David (13%) et le premier patriarche, Avraham (11%).

La conférence du Collège Académique Herzog a commencé lundi, et doit se tenir pendant cinq jours. Elle comprend environ 200 classes et conférences sur le Tanakh, et est suivie par plus de 7 000 personnes venant d’Israël et du monde entier.

Il a une bouille ronde, de jolis yeux et un sourire craquant.

Joli bonhomme de 26 mois, Lilo est comme tous les bouts de chou de son âge : mignon à croquer. « Je ne m’attendais pas, lors de la visite de routine chez le pédiatre, alors que Lilo avait 22 mois, à un tel diagnostic. », raconte sa maman.

Lilo est dans son monde. Il ne s’intéresse pas aux dessins animés, ne répond pas quand on l’appelle, semble happé dès qu’il entend quelques notes de musique.

Pour le pédiatre, pas de doute : il

présente des troubles du spectre autistique. Une consultation à l’hôpital des enfants, à l’hôpital Necker, confirme le diagnostic. « Nous nous sommes beaucoup renseignés sur cette maladie, lorsqu’on nous a donné la nouvelle. On nous a parlé d’une méthode qui, sur les très jeunes enfants, fait des miracles : la méthode des 3 i. » Mais il faut pour cela faire jouer l’enfant 40 heures par semaine et cela implique qu’une quarantaine de bénévoles se relaient auprès de Lilo, à raison d’une heure et demie par semaine, pour venir chez nous jouer avec lui. » Pour la famille qui vit dans l’Essonne, le défi est colossal. « Je n’ai jamais rien demandé à personne, souligne la maman, mais pour mon fils, je n’hésite pas à solliciter l’aide de tous ! » La famille, qui ne peut partir en vacances cet été, mobilise donc toute son énergie pour installer le protocole à la rentrée, avec l’aide d’une association. Jessica a créé une page Facebook : le monde de Lilo. Inquiète, elle

espère que son appel sera entendu, pour que Lilo puisse grandir et s’épanouir comme n’importe quel enfant. Elle lance un appel.

Israël Actualités le relaie et sera à ses côtés pour aider Lilo de toutes les manières possibles. Si vous avez du temps, des jouets à donner, que vous êtes sérieux, motivés et que vous aimez les enfants, aidez Lilo et venez le faire jouer !

Contact : Sur Facebook le monde de lilo Par mail : soutien.lilo@gmail.com

L’information en provenance d’Israël Edition Août 2015

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Le billet d’humeur de Bernard Korn Brzoza

Parfois je me pose la question suivante « est ce que les juifs ne sont pas pires ennemis des juifs ? » Cela m’interpelle à chaque « une » qui nous désenchante de l’illusion sioniste, auxquelles des millions de juifs de par le monde, survivants de l’extrême, ont donné leurs vies, fondés leurs espoirs, ont sacrifiés des situations, ont plaidé sur tous les terrains politiques, confondu leur croyance à une réalité plus forte que la raison, combattu avec l’énergie héroïque de nos héros tout cela pour donner naissance à cette entité si réduite dans ce qui est notre terre, notre héritage que nous ne pouvons partager avec aucune des autres nations qui peuplent cette planète : ISRAEL. Rêve sanglant devenu réalité, largement contesté dans ce monde ou la vertu des consciences politiques n’est qu’une vieille réminiscence quasiment oubliée.

Le salut de notre survie est que nous soyons dignes du message que nous défendu depuis des millénaires : pas cette guerre des juifs qui résonne dans le tumulte de l’horreur et de l’intolérance face à nos extrémistes aussi radicalisés que ceux qui

abreuvent le monde d’images plus horribles les unes que les autres et qui sont de surcroit une menace devenu constante de la société dans laquelle nous vivons. Et voila, que dans ce consensus fragile d’un équilibre qui s’oblige à accepter Israël tel qu’il est, bien que les blâmes pour mauvaises conduites répétitifs avec un acharnement à la limite de la paranoïa alors qu’en fait il s’agisse pour l’essentiel d’auto défense d’une UE partiale lâchement favorable aux revendications palestiniennes et sans aucune critique pour leur incitation à la haine et à la violence et à leurs attentats. Deux poids, deux mesures. Cela est constaté en permanence mais jamais contesté. A l’évidence, nous ne sommes pas du bon côté des médias et encore moins des donneurs de leçon : il faut faire avec. Mais plus que cela quand un de nos coreligionnaires dépendant d’un groupuscule de colons extrémistes incendie une maison palestinienne à Douma prés de Naplouse et qu’un enfant de 18 mois est brulé vif : que cela soit un enfant, un adulte, cela est inadmissible. C’est un crime, bien entendu on peut répondre, les palestiniens font la même chose et sans critique, sans une déferlante négative de l’opinion, même certains s’enthousiasme par des cris de joie et crie à la gloire du martyr, c’est une « ola » joyeuse qui n’interpelle pas l’UE et le reste de l’Occident, une indécence criminelle et honteuse que la victime juive soit crucifiée comme la conséquence d’une politique honnie par les « bien pensants » et s’en félicite en se donnant le bon rôle. Gravissime, que ces groupes se croient les représentants de la pensée de D. et qu’ils coordonnent en se fondant sur les textes bibliques ou leurs interprétations de juger du droit de vie et de mort au nom d’une morale stricte totalement à contre courant de la vraie éthique religieuse juive. A cela s’ajoute, le jour de la Gay Pride à Jérusalem qu’un de ces extrémistes poignardent six participants, dont l’une des vic-

times, une adolescente de 16 ans vient de mourir. C’est un deuil national qu’il faudrait décréter pour ces victimes « innocentes » comme on dit en Europe. Les paroles de notre premier ministre ne sont pas une solution, sans l’action : comme en France ou la sanction se laisse attendre avant de conclure à un non lieu. « Un acte terroriste dans tous les sens du terme » dixit Netanyahou, cela ne suffit pas et déjà les affrontements entre les palestiniens aux cris de « vengeance » et les forces de l’ordre israélienne qui à grands renforts médiatique relaient la faute d’Israël sur toutes les ondes du monde.

L’intolérable, je ne suis pas un critique fondamental de la politique de Netanyahou : je regrette que pour les récentes élections, dans un jeu politique très serré à l’enjeu national pour une question de pouvoir il a pu accorder autant de privilèges sociaux à ces « colons » sans en réaliser les conséquences. En oubliant la différence de conception morale et humaine des bâtisseurs des premières années de la création de l’état d’Israël. On a beau surfé sur la vague d’un « nouveau terroriste juif » cela est un mal pour la démocratie israélienne dans un monde si politisé et si intolérant à notre égard, ce terrorisme existe, il ne mérite aucune circonstances atténuantes, il est le fruit d’une politique trop permissive, aveugle acceptée, votée, entretenue par le parlement israélien. C’est notre responsabilité, il n’est plus question de territoires occupés ou implantations, lutte contre les palestiniens, sauvegarde de notre terre, querelle politique et D. sait qu’elle ne manque pas, fracture sociale en constat direct avec les privilèges accordés aux « colons », c’est un schisme de confiance au sein de notre société et la crainte que la dérive de conscience d’Israël ne soit que le début de notre fin.

Ne nous conduisons pas comme Amalek.

Bernard Korn Brzoza

L’information en provenance d’Israël

COMMUNIQUE DE PRESSE DU KEREN HAYESSOD

Edition Août 2015

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Obama pourrait intervenir dans le jugement contre l’Autorité palestinienne

4 août 2015 A la mémoire des victimes des attentats

L’administration Obama pourrait intervenir pour 218. millions de $ dans le jugement du tribunal de district fédéral de New York contre l’Autorité Palestinienne.

En tant que membres du Keren Hayessod, une organisation qui incarne tout particulièrement le lien entre les Juifs du monde entier et ceux d’Israël, et parce que nous dénonçons sans faiblesse la haine fanatique si souvent à l’œuvre contre les Juifs, nous dénonçons l’assassinat de Ali Dawabcheh un bébé palestinien de dix-huit mois, brûlé vif dans l’incendie criminel de la maison où il habitait, avec des membres de sa famille, lesquels luttent aujourd’hui contre la mort.

religion n’est à l’abri du fanatisme, que nous rappelons avec gravité et angoisse les paroles de Hillel l’ancien: « Ce que tu ne voudrais pas que l’on te fasse, ne l’inflige pas à autrui. C’est là toute la Torah, le reste n’est que commentaire. Maintenant, va et étudie... ».

Tout indique malheureusement que ce crime a été perpétré par des Juifs. Nous disons, comme l’ont fait beaucoup de hauts responsables israéliens, qu’il s’agit d’assassins terroristes. La loi doit s’appliquer contre eux avec la plus extrême sévérité, aussi bien au niveau des auteurs qu’à celui de ceux qui les incitent par leurs paroles à la suppression de l’ « autre », que cet autre soit un palestinien comme Ali Dawabcheh, une Juive comme Shira Banki, 16 ans, assassinée au cours de la « gay pride » de Jérusalem, ou un Chrétien dont l’Eglise de la Multiplication a été récemment mise à feu.

Site internet : http://www.keren-hayessod.fr/

Nous nous souvenons de tous ces enfants israéliens froidement assassinés parce qu’ils étaient Juifs. C’est en leur nom, parce que nous constatons qu’aucune

Richard Prasquier Président du Keren Hayessod France Informations presse : Sophie Atlan - 01 77 37 70 85 ou sophie.atlan@kh-aui.fr

Le Keren Hayessod est l’institution officielle de collecte de fonds pour Israël et le peuple juif. Elle existe depuis 1920 et est présente dans 45 pays. Répondant aux priorités nationales, elle œuvre aujourd’hui à la réduction de la fracture sociale en Israël, l’alyah et l’intégration des nouveaux immigrants, le sauvetage des Juifs dans le monde, le renforcement de l’identité juive en diaspora et répond aux situations d’urgence. Jusqu’en 2013, elle était représentée en France, au sein de l’AUJF. Keren Hayessod 10, place de Catalogne 75014 Paris 01 77 37 70 80 http://www.kerenhayessod.fr

L’administration du président américain Barack Obama envisage sérieusement une intervention dans le jugement contre l’Autorité palestinienne sur les attaques terroristes brutales qui ont tué et blessé des dizaines de citoyens américains il y a plus d’une décennie en Israël.

Un jury au tribunal fédéral de district de New York a établi que l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) et l’Autorité palestinienne (AP) étaient coupables de soutien aux terroristes qui ont mené des attaques dans lesquelles les Américains sont morts.

Selon un rapport de la Fox News, le ministère de la Justice a informé la cour le mois dernier qu’il envisageait de verser une « déclaration d’intérêt » au dossier pour le 10 Août. Les fonctionnaires n’ont pas précisé leurs intentions. Le ministère n’avait auparavant aucune implication dans l’affaire. Une source a déclaré à Fox News que le ministère de la Justice travaillait avec le Département d’Etat sur la question.

Un porte-parole du Département de la Justice (DOJ) l’a déclaré à FoxNews.com , « Tout dépôt de dossier sera fait au nom des États-Unis, et non pas au nom de toute autre partie. » L’avocat des plaignants, Kent Yalowitz, a exigé que la direction palestinienne soit tenue de placer $ 30 millions par mois en

dépôt le temps que l’affaire est en appel. Il soupçonne le gouvernement américain d’être en train de réfléchir à une possible aide à l’Autorité palestinienne pour lui éviter l’obligation – une intervention directe de la Maison Blanche au nom de ceux qui ont directement parrainé le terrorisme. « Une administration qui prétend combattre le terrorisme prévoit de peser en faveur des terroristes » , a déclaré Yalowitz à FoxNews.com . « Si notre gouvernement vient réellement à être en faveur des terroristes condamnés, ce serait une manière vraiment désolante de la façon dont notre gouvernement traite le terrorisme. » Les attaques, ont fait 33 morts et plus de 450 blessés – y compris certains qui ont été mutilés de façon permanente.

L’Autorité Palestinienne – qui reçoit l’aide étrangère généreuse des Etats-Unis et de l’Union européenne – paie les allocations aux terroristes et à leurs familles qui effectuent les attaques terroristes. Plus l’attaque est forte et plus il y a de dégâts, plus l’allocation, est importante.

Le procès intenté par 10 familles composées de quelque 36 membres a été déposé en vertu de la Loi antiterroriste qui permet aux citoyens américains qui sont victimes de terrorisme international de poursuivre leurs agresseurs devant un tribunal aux États-Unis.

L’affaire internationale avait traîné pendant une décennie avant que la décision ne soit finalement rendue.

L’OLP et l’AP ont été jugé responsables de plus de six fusillades et d’attaques à la bombe entre 2002 et 2004 dans la région de Jérusalem qui ont été attribué aux Brigades du groupe terroriste d’Al Aqsa Martyr du Fatah – lié à la première faction du gouvernement de l’Autorité Palestinienne basée à Ramallah – et à Gaza – base du Hamas. Dans deux des cas, les assaillants étaient des vrais agents de police de l’AP. Un des kamikazes a été étroitement lié à un officier du renseignement militaire de l’Autorité. Dans un attentat suicide d’un bus en 2004 , la police de l’Autorité et des responsables de la sécurité avaient également avoué avoir planifié l’opération et fabriqué la bombe.

Tous les terroristes emprisonnés et leurs familles, ainsi que les familles des kamikazes ont été payé pour leurs actions par le gouvernement de l’Autorité Palestinienne.

Le jour où le jugement a été rendu, pas un réseau national de média américain n’a porté l’histoire aux « dernières nouvelles » quand le verdict a été annoncé, nul ne l’a mentionné dans les bulletins des nouvelles du soir.

Image à la Une : Quand Obama était du côté de Morsi, des Frères Musulmans et instillait le terrorisme en Egypte. Les Egyptiens ont tenu bon et se sont débarrassés de Morsi et ont mis les Frères Musulmans au pas….

Source : Par Hana Levi Julian – Jewish Press.com – 4 août 2015 D’après l’adaptation de malaassot.over-blog.com

L’information en provenance d’Israël Edition Août 2015

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Voici en résumé les cinq parachiots qui vous accompagnerons durant tout l’été

Parachat Ekev - Réé - Choftim - Ki’Tétsé - Ki’Tavo La première d’entre elles est la Parachat Ekev

Ekev qui veut dire le talon et Rachi nous fait remarquer qu’il s’agit des commandements que l’on juge «sans importance» et dont on a l’habitude de fouler aux pieds…Comment alors est-ce que le verset promet des bénédictions, pour le respect de mitsvot que tout le monde le foule aux pieds? Le problème majeur de l’homme est qu’il craint d’avantage le regard de l’homme que le regard de D-ieu, or justement la crainte du Ciel

consiste à aller à contre courant de ce phénomène. Le Talmud nous enseigne que : «Tout est entre les mains du Ciel, sauf la crainte du Ciel». Ceci fait allusion au fait qu’avant de venir au monde, l’Assemblée Céleste décide de la force, l’intelligence et la richesse d’un individu.

La seule chose qui demeure indéterminé et fonction de notre libre arbitre, c’est d’être un Tsadik ou un Râcha. Dans cette paracha D-ieu dit à nos ancêtres

«Observez donc toute la loi que je t’ordonne ce jour, afin que vous soyez forts, et que vous rentriez et héritiez ce pays dans lequel vous passer pour l’occuper». Le verset poursuit … Afin que vos jours se prolongent sur le pays que l’Eternel a juré à vos pères de leur donner, à eux et à leur descendance, pays ruisselant de lait et de miel. En examinant ce verset, certains commentateurs nous précisent que le seul moyen de « garder » la

Terre d’Israël est d’appliquer la Thora. Le Chébah-les louanges de la terre d’Israël, atteignent ici le sommet : «Ki aarets achér ata ba chama lérichta lo kéérets misraïm…Cette terre que tu va hériter n’est pas comme la terre d’Egypte…Erets achér Achêm éloékha dorêch ota tamid…

C’est une Terre dont ce souci en permanence D-ieu « éné Achêm éloékha ba méréchit achana véad aharit chana.. » «Les Yeux de D-ieu sont pointés sur elle,

du début de l’année jusqu’à la fin de l’année!». A notre époque, beaucoup de nos frères se préoccupent de savoir quelle sera leur moyen de subsistance dans ce beau pays d’Israël. La Thora vient leur rappeler : «Non pas sur le pain uniquement vivra l’homme, mais sur tout ce que sort de la Bouche d’Achêm vivra l’homme».

Dans la seconde paracha intitulée : Rééh

Qui est la Suite du discours de Moise. Il place devant Israël la bénédiction et la malédiction, selon qu’ils obéissent ou non à la voix de D-ieu. Il leur explique que le culte sacrificiel sera centralisé dans un lieu à déterminer, et enjoint le peuple à ne pas écouter les conseils pervers de ceux qui voudraient les inciter à servir d’autres d-ieux. En tant que fils de D-ieu, ils doivent se différencier des peuples ido-

Elle nous parle de la nécessité de nommer des juges et des policiers qui sont sensés faire appliquer la Loi. D-ieu a doté l’homme de l’intelligence, une faculté qui doit lui permettre de baser sa vie en société sur des principes logiques notamment du respect mutuel, qu’il ne devrait pas enfreindre. Hélas, Achêm l’a doté aussi du penchant ou instinct au Mal. Par ailleurs, il a confié à l’homme la tâche ardue de lutter contre

Elle renferme un très grand nombre de commandements : 47 interdits ou commandement «négatifs» et 27 commandements «positifs», qui font d’elle la paracha la plus importante du point de vue du nombre des mitzvot de toute la Thora . Elle nous parle du devoir impérieux de «sortir en guerre» contre ses ennemis…et le verset ajoute: «si tu remarques, une femme de belle apparence parmi les captives et qu’elle te plaise, tu pourras la prendre pour épouse!» En parlant de l’ennemi, Achêm dit : «Je te le donnerais dans tes mains..» en fait le Kéli Yakar

lâtres alentour, notamment par leur alimentation. Ils doivent prélever le dîmes agricoles, respecter le repos septénaire de la Terre, aider les pauvres, libérer les esclaves, ils doivent par ailleurs accomplir les fêtes de pèlerinage. Ramban écrit dans un commentaire sur les Pirké avot : «l’ascension spirituelle de l’homme ne peut s’atteindre grâce à un acte isolé, aussi extraordinaire soit-il! Celui-ci af-

firme que c’est la multiplication d’actes positifs- maasim tovimqui favorise cette ascension spirituelle!. La thora est soucieuse de préserver chez l’homme son essence qui est la tendance vers le bien. C’est pourquoi le verset concernant la ville pervertie se termine ainsi : «Afin que l’Eternel t‘accorde la pitié et te récompense en te multipliant comme il a juré à tes pères ! » L’expression « t’accorde la pitié » disent

les sages peut être comprise de deux façons, La première, celle qui nous est familière : l’Eternel t’accorde la pitié c’est-à-dire qu’Achêm manifeste sa pitié à l’égard de ce peuple qui vient de vivre un événement traumatisant, alors Achêm apportera en quelque sorte une consolation aux Bné Israël qui pleurent les victimes frappées par le sort de la ville maudite…La deuxième signification de : «l’Eternel t’ac-

La troisième parachat, Choftim

ce mal et de le canaliser dans la voie du Bien. «Oubaharta ba Haïm» Tu choisiras le chemin de la vie!. Cette voie est semée d’obstacles, et l’homme tantôt les surmontera ou se laissera vaincre par eux. Dans le dernier cas, la Thora a prévu le système de justice et de police qui permettra de remettre l’homme sur le droit chemin.. Nos sages nous conseillent : «Ne fait pas à autrui ce que tu ne veux pas que l’on te fasse à toi-même » Cette devise

devrait en tous les cas nous éclairer!. La société humaine nous donne hélas, l’image complexe d’une mosaïque où les instincts au Mal prédominent et surtout en période de crise économique. Pour remédier à cette situation, les gouvernements ont institués un nombre toujours de plus en plus grand de fonctionnaires et ceci est justifié par le coté négatif de cette réalité sociale. Si chacun respectait à la lettre tous les articles du droit

civil, toutes les règles du code de la route, toutes les lois de la thora régissant le comportement de l’homme envers son prochain et envers son Créateur, alors on peu se poser la question de savoir si la présence de juges ou de magistrats est encore nécessaire? C’est peut être là une vue de la fin des temps, la vision d’un monde de perfection humaine et sociale…Selon la Thora Le Roi doit demeurer un model pour tout son peuple

La quatrième paracha, Ki’Tétsé dans son commentaire nous parle plutôt d’un ennemi intérieur…qui est le mauvais penchant de l’homme contre lequel il devra lutter durant toute son existence...La Thora fait ici une concession au Yétsér Araau mauvais penchant nous dit Rachi, car dit-il si Achêm interdit à l’homme d’épouser cette captive, il l’épousera malgré l’interdiction !

Cette explication peut paraître surprenante, car si nous acceptons cette logique alors se sera la porte ouverte à tous les abus.

Par exemple un homme se trou-

vera bonne conscience de manger une nourriture non cachére, ou de travailler chabat sous prétexte que même si la thora le lui interdit, il le fera…et les exemples ne manquent pas !

Cet argument est absolument indéfendable, car les commandements et la morale n’auraient plus de sens !

Alors pourquoi une telle logique est-elle appliquée dans le cas de la femme captive de guerre? En analysant de plus près l’explication de Rachi nous comprenons le sens exact de ce qui pourrait paraitre à nos yeux comme

étant une «concession» faite à l’homme et effectivement en disant : «Si on ne lui permet pas la femme en question, il l’épousera quand même!» Rachi révèle une profonde connaissance de la psychologie humaine. En effet l’homme prend plus de plaisir à convoiter un objet qui lui est refusé…Lui interdire de s’unir à cette femme ne ferait qu’accroitre et renforcer son envie et ce en dépit de cette interdiction…

« Maim guénouvim mamtakim » : L’eau dérobée est délicieusement sucrée…de même que

cordera la pitié» veut nous dire en fait «qu’il donnera la vertu de la pitié» et c’est cela qu’exprime le Or Haim akadoch parce que dit-il après que D-ieu ordonna de mettre à mort tous les habitants de la ville maudite, y compris le bétail, le peuple d’Israël courait le risque que ces actes développent en lui- La Hakhzariout- la cruauté.

et si il s’engage dans cette voie, Achêm lui promet qu’il conservera longtemps sa royauté, ainsi que ses fils au milieu d’Israël.

«Tsédek Tsédek tirdoff» C’est La justice, la justice seule que tu dois rechercher! C’est le fondement de tout. Les voies pour y parvenir ne sont pas hors de portée des hommes!.Il suffit de s’en tenir à la doctrine des sages que nous indique la thora : «Ne t’écarte pas de ce qu’ils auront dit, ni à droite, ni à gauche.…

le pain dérobé ! » Écrit le Roi Salomon dans ses proverbes.

En d’autres termes, l’homme «apprécie» particulièrement les plaisirs interdits!(les petites escapades..)

Cela dit, à partir du moment où cette femme captive lui est permise, elle perd en quelque sorte de sa «valeur» et cesse du coup de l’attirer physiquement. C’est la raison pour laquelle la Thora la lui permet de manière qu’il ne désire plus l’épouser d’autant quelle devra s’enlaidir en se rasant la chevelure qui du reste fait la beauté d’une femme!

L’information en provenance d’Israël

est une séquence où la Thora énumère 98 malédictions. Pas de quoi s’affoler disait notre Maître Rébbi Fraji Uzan zatsal : «Tout est bon dans notre Sainte Thora!» y compris ce passage.

Nos sages nous expliquent que cette paracha est souvent lue au terme de l’année hébraïque, soit quelques semaines avant Roch Hachana de manière à en finir avec les malédictions et les mésaventures qui ont accompagnés l’année écoulée. Cette paracha commence par la mitzva des prémices, qui représente la joie suprême tant du point de vue matériel que spirituel et pourtant elle se termine par ces 98 malédictions. Mais aussi surprenant que cela puisse paraitre à l’intérieur de cette déferlante de malédictions, il apparait en «négatif» la notion de réjouissance à deux reprises. Tout d’abord

La cinquième Paracha Ki’tavo

lorsque Achêm fait dépendre la calamité au cas où les Bené Israël n’auraient pas accompli les mitsvot «dans la joie» comme dit le verset : «Toutes ces malédictions s’abattrons et te poursuivrons jusqu’à ce que tu périsses, D-ieu en préserve…Parce que tu n’auras pas servi D-ieu «avec joie», dans l’allégresse de ton cœur, et dans l’abondance de tes biens!». Comme quoi la notion de joie est cardinale dans la pratique des mitzvot. La seconde allusion à la joie est celle qui émane de D-ieu Lui-même comme il est dit : «Il s’était réjoui de vous combler de bienfaits et de vous multiplier, autant, il se réjouira de vous faire périr… et vous serez (haz échalom) déracinés de cette terre que tu vas prendre en possession ».

Comment pouvons nous comprendre que de telles épreuves

pourront s’abattre sur le peuple, simplement parce qu’il n’aura pas réalisé les commandements «dans la joie», d’autant qui n’y a pas dans la Thora une obligation «globale» de servir Achêm dans l’allégresse? Comment également comprendre q’Achêm puisse se réjouir de la destruction de Son peuple, d’autant que nous savons que même aux anges, il leur est strictement interdit d’entonner des chants de joie devant la souffrance des hommes!. La Réponse nous la trouvons chez MaïmonideLe Rambam auteur du Michné Thora, qui explique que «La joie avec laquelle l’homme réalisera les commandements et l’amour pour HM est un grand principe de la Thora, et tout celui qui s’interdit cette joie devra rendre finalement des comptes», comme dit le verset : «Parce

que tu n’auras pas servi ton Dieu dans la joie et l’allégresse de ton cœur». Le Rav Chaloum Koskas zatsal pratiquait un judaïsme joyeux qu’il savait transmettre à tous ses disciples. Souvent les chants accompagnés de simples brakhot! il enseignait à ses élèves : «Achêm n’aime pas «Lahjen» D-ieu n’aime pas la tristesse!». Comment la Thora peut-elle ériger en principe fondamental un sentiment-La joiequi est par définition soumis aux humeurs de chacun? D’autant

Très bonnes vacances et qu’Hachêm veille sur vous !

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que la vie n’est pas rose tous les jours…En fait une des réponses nous viens de Rabi Moché Haim Louzato, qui dit : «Le fondement de la joie, c’est l’amour pour D-ieu qui entraine outre la joie, mais également le zèle et l’adhésion au nom de D-ieu.

Ainsi le Roi David écrit dans les Psaumes : «Ebdou Achêm bésim’ha ..» «Servez D-ieu dans la joie, venez à Lui avec des chants d’allégresse». C’est d’ailleurs dans cet esprit que débuteront le 17 août, les Sélihot.

Insulté, menacé, embarqué par la police… Quand le retour de colo d’un ado vire au cauchemar !

Elle tremble de colère et d’émoi quand elle parle. De sa voix claire, Judith, jeune quadra divorcée se battant comme une lionne pour élever ses deux enfants, résume parfaitement les événements qui ont conduit son fils au poste de police, il y a deux semaines.

Encore sous le choc, elle a mis plusieurs jours à accepter d’en parler publiquement. Désormais, elle veut à tout prix tout dire, pour défendre son enfant. « Eviter que de telles choses se reproduisent aussi ! Ce qui est arrivé à Nathaniel, mon fils est inadmissible ! » Pourtant, l’ado de 15 ans avait commencé l’été sur une note plus que positive : premier de sa classe, félicité par ses professeurs et par le maire de la commune où il étudie pour avoir rendu un rapport de stage exemplaire, le jeune garçon a été récompensé de ses succès scolaires par un super voyage en Grèce au sein d’une colonie juive.

Après deux semaines d’aventure, d’amitié et de complicité, Nathaniel devait retrouver ses copains de voyage dans

un café parisien. « Le rendez-vous incontournable des gamins qui rentrent de colonie et veulent se revoir, précise sa maman. Ils s’étaient donné rendez-vous au Starbucks, dans le 16ème arrondissement. Un peu inquiète, je l’ai laissé prendre le métro pour la première fois et rejoindre ses copains dans ce quartier de Paris où il ne met jamais les pieds. » Et pour cause, l’enfant vit dans l’est parisien en banlieue. Arrivé sur place, le môme rejoint quelques camarades. Le gros de la bande de potes n’est pas encore arrivé. Il entre dans l’établissement, commande une pâtisserie, paye et s’étonne, alors qu’on lui emballe son gâteau comme s’il allait s’en aller sur le champ. « Non, je m’installe en terrasse, j’attends des amis », précise le jeune. « Pas question, tu prends ton beignet et tu te casses », lui répond méchamment l’homme qui le sert, présenté comme le gérant.

L’ado passe outre et s’installe en terrasse avec ses copains. La

bande bruyante, rit un peu fort.

A plusieurs reprises, la même personne, « un homme assez massif », d’après les jeunes, qui dit être le gérant, les insulte, menace d’appeler la police et leur demande de déguerpir. « Les ados faisaient du bruit, ils ne le nient pas. Est-ce interdit de rire et de plaisanter ? », s’indigne Judith qui jure que selon son fils, à aucun moment les enfants n’ont dégradé quoi que ce soit ni dérangé des clients, à l’exception de leurs éclats de rire. Un bien infâme crime, manifestement, puisque le gérant, toujours lui, s’énerve et les menace encore : « Venez avec moi dans le coin de la terrasse, je vais vous régler », prévient-il débitant moult grossièretés.

Interloqués par l’attitude de l’homme, les enfants commencent à se sentir mal à l’aise.

Certains décident de s’en aller.

Mais la police débarque. « C’est hallucinant !, s’insurge Judith très en colère. Une bande de gosses rit un peu fort, on appelle la police ? » Sur place les policiers, peu amènes, contrôlent l’identité des ados. Le fils de Judith n’a pas sa pièce d’identité sur lui. Il a moins de 16 ans et ne pensait pas en avoir besoin pour aller s’acheter un goûter. « Les policiers leur ont demandé s’ils avaient consommé. Nathaniel a dit oui, mais il venait de finir la dernière miette de son gâteau et avait jeté le ticket de

caisse. » Les forces de l’ordre entraînent alors le jeune vers la caisse et demande au personnel si l’enfant a consommé. Frappés d’amnésie soudaine, les employés soutiennent que non !

mettrait la pagaille depuis plusieurs semaines au sein de l’établissement et aurait dégradé du matériel. « Impossible, répond Judith, les enfants étaient à des milliers de kilomètres de là. »

Le gamin, halluciné, commence à avoir sérieusement peur. Il a raison. Embarqué au poste, en même temps qu’un autre môme qui, comme lui, n’a pas ses papiers sur lui, Nathaniel veut prévenir sa mère, on lui confisque son portable. « C’est là que l’histoire prend une tournure cauchemardesque », s’indigne encore Judith. Tétanisés de peur, les mômes pleurent. Les flics les insultent. Les menacent de les « gazer ». Ambiance… Au poste, alors que Nathaniel insiste pour que l’on prévienne sa mère, on le prévient qu’il risque d’avoir droit à une fouille au corps « jusqu’au trou du cul ! »

Oui mais voilà. Le Starbucks en question est fréquenté par de nombreux gamins de la communauté juive habitant l’arrondissement ou s’y donnant rendezvous. De là à les prendre les uns pour les autres, à les menacer et à les faire embarquer par la police… Contactée par notre rédaction, la direction de la communication de Starbucks a répondu qu’elle enquêterait sur l’affaire pour donner sa version.

A ce jour, elle ne nous a toujours pas fourni d’explication.

Judith se fige lorsque son fils lui raconte l’affaire. Elle a cherché son fils comme une folle pendant des heures, avant que la police daigne la prévenir. A dû traverser la région parisienne en un temps record pour qu’on lui rende son fils, le commissariat menaçant de le garder jusqu’au lendemain si elle n’arrivait pas avant le « changement d’équipe ».

Ulcérée, elle retourne au Starbucks et demande pourquoi son fils a eu droit à un tel traitement.

Réponse du personnel : la bande

Mais pour Judith, c’est le comportement de la police qui s’avère le plus inquiétant. La jeune maman a alerté le BNVCA, écrit à la commissaire de police du 16ème arrondissement, au ministère de l’Intérieur, et compte aussi solliciter le maire du 16ème pour connaître son opinion sur la façon dont on traite un ado juif dans son arrondissement. « Pour moi, le délit de sale gueule est évident.

Et même si aucune insulte n’a été ouvertement prononcée, les ambiguités du comportement du gérant, du personnel du café et les insultes proférées par les policiers ne laissent aucun doute… »

L’information en provenance d’Israël Edition Août 2015

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Iran: le Guide suprême publie un livre Menace EI dans le Sinaï : Israël déploie le système appelant à la destruction d’Israël Sky Shield sur ses avions civils desservant Eilat Son plan se base sur l’hypothèse que tous les Juifs auraient une double nationalité et préféreraient plutôt vivre en Europe et aux Etats-Unis. C’est la raison pour laquelle il recommande de rendre la vie des Israéliens aussi inconfortable que possible au point de les faire quitter le pays volontairement pour éviter les menaces qui pèsent sur eux.

Selon un article publié samedi par le New York Post, l’ayatollah Ali Khamenei, guide suprême de la République islamique d’Iran explique dans son nouveau livre « Palestine » pourquoi Israël doit être effacé et de quelle manière. « La solution est un seul Etat », affirme-t-il, et « cet Etat s’appelle la Palestine ».

Il écrit que ce « mécanisme pratique et logique » permettrait d’avoir Israël sous la loi islamique avec certains Juifs autorisés à rester en tant que « minorité protégée », mais seulement après avoir prouvé des « racines authentiques ».

Il prône un apartheid strict contre les Juifs, précisant qu’ils ne seraient pas autorisés à voter dans un futur Etat musulman alors que les Arabes jouiraient de pleins droits.

Khamenei insiste que ce plan favoriserait l’ « hégémonie de l’Iran » tout en éliminant « l’hégémonie occidentale » du

Moyen-Orient.

Khamenei, qui est décrit dans le livre comme « le porte-drapeau du djihad pour libérer Jérusalem », écrit que ses idées ne sont pas antisémites, mais islamiques et fondées sur des « principes islamiques bien établis ».

Pour Khamenei Israël comme un Adou [ennemi], doshman [l’ennemi] et une « tumeur cancéreuse » pour plusieurs raisons, dont la première est d’être un « allié du Grand Satan américain ».

Israël est aussi un ennemi car il « occupe » Jérusalem qu’il appelle la « troisième ville sainte de l’Islam ».

Khamenei dit son plan s’appuie sur une guerre de faible intensité basée sur l’usure de la patience des Israéliens et de la communauté internationale. Il écrit que ce plan n’implique pas de ‘guerre classique’ et il ne veut pas, tout au moins l’affirme-t-il, tuer les Juifs.

Puis il décrit ce qu’il appelle la tactique de la « fatigue d’Israël » où la communauté internationale pourrait décider d’arrêter de soutenir militairement l’Etat hébreu.

Il écrit également qu’il a pour objectif de recruter des « combattants » en Cisjordanie au sein d’unités créées sur le modèle du Hezbollah.

Bien qu’il ne fasse pas référence directement au programme nucléaire iranien, il mentionne néanmoins qu’un Iran nucléaire serait à même de dissuader Israël de prendre des actions militaires contre la République islamique.

Il fait également allusion à la Shoah, qu’il qualifie de « stratagème de propagande » et écrit: nous ne savons pas ce qu’il s’est passé et comment ».

Le livre du dirigeant iranien est actuellement disponible seulement en Iran et perse, mais une version en arabe serait en cours de traduction.

Liban : assassinats et règlements de compte dans le camp palestinien d’Aïn el-Héloué

Assassinats et règlements de compte se multiplient dans le camp palestinien d’Aïn el-Héloué, au Liban. Des combats éclatent sporadiquement et des familles ont commencé à fuir.

Deux personnes ont été tuées, dont un membre du Fata (OLP)h, Talal el-Ordoni, et cinq autres blessées en soirée lors d’un échange de tirs entre des éléments du Fateh et des jihadistes de Jund el-Cham dans le camp palestinien d’Aïn el-Héloué.

Le second tué est un civil.

Talal el-Ordoni faisait partie du mouvement du président palestinien Mahmoud Abbas.

Depuis samedi dernier, jour de

l’assassinat de l’officier du Fatah (OLP) Talal el-Ordoni , dit « Le Jordanien », avec son garde du corps, dans un quartier de Aïn el-Héloué, le camp palestinien le plus peuplé du Liban, à l’est de Saïda, vit sous tension.

Dans la nuit de lundi à mardi, des rafales de coups de feu ont été entendues par intermittence dans un quartier du camp tenu par l’OLP. Aïn el-Héloué, qui compte une dizaine de quartiers sur une superficie d’1,5 kilomètre carré, subit l’influence de diverses factions.

Deux de ces zones sont tenues par des groupuscules fondamentalistes.

L’assassinat de Talal el-Ordoni (le Jordanien), un haut cadre du Fateh,

dans le camp palestinien de Aïn el-Heloué, représente une escalade sans précédent entre les factions palestiniennes modérées et le mouvement extrémiste des Jeunes musulmans, composé des membres des mouvances terroristes de Fateh el-Islam et de Jund el-Cham Le camp abrite près de 17 factions armées, le Fatah étant une des factions les plus puissantes. On a cependant assisté, ces dernières années, à la montée des mouvances salafistes, dites dures, comme Fateh el-Islam et Jund el-Cham, aux dépens d’autres formations aujourd’hui devenues relativement plus modérées, comme celles de Osbat el-Ansar, un groupe salafiste.

Les services de sécurité israéliens ont autorisé le déploiement du système Sky Shield sur les vols commerciaux israéliens desservant l’aéroport d’Eilat en raison de la menace terroriste du groupe djihadiste Etat islamique opérant dans le Sinaï.

La nouvelle mesure défensive, rapporte le journal, a été introduite en réponse aux craintes que les groupes terroristes opérant dans la péninsule du Sinaï risquent de tenter d’attaquer des avions volant près de la frontière entre Israël et l’Egypte.

Le ministère de la Défense a annoncé l’année dernière qu’il avait terminé de tester le système Skyshield, qui a obtenu « 100 % de succès. » Le système combine des lasers et une caméra thermique pour contrecarrer les missiles sol-air et changer la trajectoire d’un eventuel projectile entrant.

La compagnie de technologie de

défense israélienne Elbit Systems a commencé à développer le système de brouillage Skyshield il y a environ une dizaine d’années, suite à une tentative d’attaque de missiles contre un avion de ligne israélien.

Des terroristes islamistes avaient tiré deux missiles sol-air contre un avion charter israélien peu après son décollage de Mombasa, au Kenya, en 2002. Les missiles avaient manqué leur cible et provoqué un effort israélien pour améliorer les contre-mesures.

Le gouvernement israélien se serait engagé à investir 76 millions de dollars en développement afin d’équiper les avions commerciaux israéliens avec le système Skyshield, qui peut être fixé sous les avions.

Ces mesures sont cependant prises au cas par cas, en raison de l’usure supplémentaire et l’augmentation du poids et du coût de carburant qu’il génère, peut-on lire dans l’article.

L’information en provenance d’Israël Edition Août 2015

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Le Canada achète le système Tsahal mobilise après que l’OLP ait mis israélien du Dôme de fer en cause Israël pour l’incendie criminel

une excuse pour stimuler l’activité terroriste, » a-t-il averti après avoir condamné l’attaque.

L’armée israélienne a déjà pris des mesures actives pour contenir la possibilité de violences de la part des arabes de l’autorité palestinienne, a annoncé vendredi le porte-parole de Tsahal.

Le Canada a choisi la technologie israélienne de défense antimissile Iron Dome pour son système radar à moyenne portée destiné à ses forces armées, a annoncé mercredi le ministère de la Défense.

L’achat du système Iron Dome de la société Israel Aerospace Industries (ELTA) va être exécuté par la filiale canadienne du groupe de défense allemand Rheinmetall. Le contrat porte sur 10 systèmes radars à moyenne portée et la maintenance en exploitation pour un montant de 243,3 millions de dollars canadiens (175 millions d’euros).

Cette technologie radar permettra aux forces armées canadiennes de « localiser les armes hostiles de concert avec d’autres capteurs acoustiques et radars que le Canada possède déjà »,

selon un communiqué du ministère de la Défense.

C’est la technologie qui équipe « les forces israéliennes de défense pour se défendre contre les roquettes lancées par le Hamas et par d’autres groupes terroristes », a souligné le ministère.

Depuis l’arrivée à la tête du gouvernement conservateur en 2006 du Premier ministre Stephen Harper, le Canada est devenu l’un des pays les plus favorables à Israël au sein de la communauté internationale. Il est l’un des très rares pays à avoir voté contre l’accession de la Palestine au statut d’Etat observateur à l’ONU le 29 novembre 2012.

La livraison des systèmes radars devrait commencer en 2017, selon la Défense canadienne.

Belga

Rambouillet: Un converti à l’islam menaçait les éducateurs de les égorger et de les décapiter

L’organisation de libération de la Palestine (OLP), une organisation terroriste derrière l’autorité palestinienne (AP), tient le gouvernement israélien pour « entièrement responsable » de la mort d’un enfant arabe en bas âge dans un incendie criminel vendredi dans le village de Douma en Samarie, a annoncé vendredi le groupe terroriste. « Nous tenons le gouvernement israélien pleinement responsable de l’assassinat brutal de l’enfant en bas âge Ali Saad Dawabsha, » a déclaré le responsable de l’OLP Saeb Erekat dans un communiqué. « Ceci est la conséquence directe de décennies d’impunité accordées par le gouvernement israélien au terrorisme des habitants des implantations. »

Quatre membres de la famille de l’enfant d’un an et demie ont été transférés vers des hôpitaux israéliens pour être soignés tôt vendredi après l’attaque, que le ministère de la défense, Tsahal, le premier ministre Benyamin Netanyahou et une grande partie du monde politique ont qualifié de « méprisable ».

Un député, Bezalel Smotrich du parti Bayit Yéhoudi, a mis en garde vendredi d’être en alerte pour que l’AP n’utilise pas l’incident comme un moyen pour appeler à plus de terrorisme contre les juifs israéliens. « Le terrorisme meurtrier contre des palestiniens ne devrait pas être une raison pour attaquer des juifs, mais ils l’utilisent comme

Dans le box des prévenus, ce petit homme brun joue le malade mental et se veut rassurant. (…)

L’armée israélienne a en outre envoyé pas moins de quatre bataillons entiers pour retrouver les auteurs de l’incendie, un geste jamais fait par Tsahal quand les victimes sont juives.

Selon le rapport, Nasrallah a sollicité les services des Gardiens de la Révolution iraniens, qui ont fourni une formation aux gardes du corps personnels du chef du Hezbollah.

Lors d’une visite médiatisée avec sa fille de 18 mois, placée depuis sa naissance dans une famille d’accueil, le papa les a menacés de les égorger et les décapiter avec son sabre alors qu’une éducatrice venait de prendre l’enfant dans ses bras.

Un homme de 34 ans a été condamné, lundi par le tribunal correctionnel de Versailles, à une peine de deux ans de prison dont six mois avec sursis.

La justice lui reproche d’avoir à Versailles le 3 juillet dernier menacé de mort deux éducateurs d’une association et un

Par ailleurs, le chef d’état-major du commandement central, Roni Numa, a rencontré des dirigeants de toutes les forces de sécurité d’Israël, du Shin Bet et de la police israélienne, pour déterminer quelles nouvelles mesures prendre pour prévenir toute escalade.

Nasrallah renforce sa sécurité par peur d’un assassinat d’ISIS

agent de l’aide sociale à l’enfance du conseil départemental.

Cet homme d’origine portugaise, converti à l’islam, a également traité une fonctionnaire de police de « sale chrétienne » avant de lui conseiller d’avoir peur des musulmans.

Le commandant de la police du district de Jérusalem, le général Moshé Edri, a tenu une réunion vendredi matin pour évaluer la situation et, plus tard, a interdit l’entrée sur le Mont du Temple pour les prières du vendredi aux hommes âgés de moins de 50 ans, un geste typique des forces de sécurité israéliennes pour prévenir l’infiltration de terroriste venant de l’autorité palestinienne.

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Le chef du groupe terroriste libanais Hezbollah, Hassan Nasrallah, a resserré les procédures de sécurité, de peur que l’Etat Islamique et le groupe lié à Al-Qaïda Nusra Front essayent de l’assassiner, a rapporté mardi le quotidien panarabe Al-Qods Al-Arabi basé à Londres.

Le chef du Hezbollah craindrait que les groupes sunnites radicaux rivaux cherchent à le punir pour avoir aidé les forces loyales au dictateur syrien Bachar al-Assad dans la guerre civile qui dure depuis maintenant cinq ans.

Nasrallah est déjà terré dans un réseau de tunnels creusés dans le sud de Beyrouth de peur d’une tentative d’assassinat de la part d’Israël. En conformité aux nouvelles mesures, seulement six gardes du corps ont accès au chef terroriste.

Le rapport affirme également que Nasrallah a toute sa nourriture livrée directement d’Iran, prétendument par crainte d’un empoisonnement.

L’information en provenance d’Israël Edition Août 2015

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Alstom : Huit salariés Français sont Le pianiste israélien basés en Israël pour l’installation Matan Porat exerce d’un projet solaire son art en France nuit, c’est le réseau électrique local qui prend le relais. » L’équipe basée à Belfort finalise actuellement l’ingénierie.

Depuis trois mois, huit salariés sont basés en Israël pour préparer l’installation du projet, qui débutera cet été. Ils resteront sur place jusqu’à la mise en service de la centrale, en septembre 2017.

Depuis deux ans et demi, Alstom développe la branche énergies nouvelles. Composé d’une dizaine de personnes à l’origine, le service a embauché 23 salariés supplémentaires en 2013 et 17 nouveaux en 2014 pour atteindre l’effectif de 55 personnes. De nouveaux postes seront à pourvoir cette année pour finaliser cette « montée en puissance ».

La branche énergies nouvelles s’est spécialisée dans la géothermie industrielle avec des forages allant de 1.500 à 3.000 m de profondeur et les centrales solaires thermiques.

La première réalisation est en cours dans le désert du Néguev, au Sud d’Israël. « Le projet de financement a été signé en juin 2014 », précise Thierry Dulong, directeur de l’activité énergies nouvelles d’Alstom. Le projet,

baptisé Ashalim, s’élève à 450 millions d’euros. Alstom et son partenaire américain, concepteur des panneaux solaires, interviennent pour un client, intermédiaire pour l’état d’Israël.

Le champ solaire (les 55.000 miroirs occuperont 3,15 km² en plein désert) développera une puissance de 121 mégaWatts (et jusqu’à 250 MW si besoin) et alimentera 120.000 foyers en électricité. La journée uniquement puisque cette technologie ne permet pas de conserver l’énergie solaire. « Nous sommes néanmoins capables de développer un autre process pour stocker cette énergie propre », assure Thierry Dulong.

Dans le désert du Néguev, isolé de 40 km de la ville la plus proche, le soleil brille 230 jours par an en moyenne. « Si le ciel est trop nuageux ainsi que la

L’équipe, résolument internationale, compte neuf nationalités différentes. Dimitri Pacios est Belfortain, embauché depuis novembre 2014. « Les nouvelles technologies sont un vrai challenge car tout est nouveau et incite à une remise en question permanente. Avec le solaire, c’est à nous de nous adapter à l’énergie et non l’inverse. » Avec ses collègues, il échange en français et beaucoup en anglais. Comme avec Esteve Herrero, qui a quitté Séville pour s’installer dans la cité du Lion en septembre. « Je travaillais dans une compagnie multinationale spécialisée dans les énergies renouvelables. » Les seuls concurrents d’Alstom sur ce marché porteur se situent en Espagne. Mais si Esteve a choisi la France, « c’est parce qu’Alstom est reconnue internationalement. Elle a du prestige dans le domaine. » Isabelle PETITLAURENT http://www.estrepublicain.fr

Des touristes français floués à leur arrivée en Israël

Une location de vacances réservée sur Internet inexistante et 2.000 dollars partis en fumée. Telle est la mésaventure vécue par un couple de touristes français et leur enfant malade à leur arrivée mercredi en Israël. Le couple était censé prendre ses quartiers dans un appartement de Tel-Aviv. Or, après plusieurs

heures de recherches ils se sont vus contraint de reprendre le chemin de l’aéroport Ben Gourion de Lod pour alerter la police de l’escroquerie. Une plainte contre X a été déposée.

Les autorités de l’aéroport ont pris contact avec la fédération hôtelière d’Israël pour régler le problème humanitaire.

Une solution a été trouvée avec les gérants de l’hôtel « Armon Yam » de Bat-Yam, situé proche de la grande ville du centre du pays. Le directeur de l’établissement Dani Assa a accepté de loger la famille française en pension complète et gratuitement tout au long de leur séjour prorgrammé dans le pays.

Le président de la Fédération hôtelière Noaz Bar Nir constate avec effroi que « certains profitent de cette saison touristique pour escroquer les ressortissants étrangers. » « Aujourd’hui il y a près de 6000 appartements loués à Tel-Aviv qui n’ont reçu ni autorisation ni licence des autorités compétentes. Tous ces propriétaires font fi des règles de sécurité et de protection du consommateur pour leur enrichissement personnel. J’espère que le gouvernement se penchera sur ce dossier dans les prochains jours », a-t-il déclaré.

E.A Source : Israpresse.net

Le Figaro : «Fin juillet, le plus grand festival de piano au monde s’est ouvert pour sa 35ème édition. Fidèle à sa tradition, le Festival International de Piano de la Roque d’Anthéron va offrir au public plus de soixante-dix concerts.

Comme chaque année, le programme des festivités est caracterisé par son éclectisme.

Il abordera de très nombreux registres et répertoires, du baroque au jazz en passant par la musique de chambre. De même, les concerts réuniront aussi bien de jeunes talents, de grands noms du piano français que les plus prestigieux interprètes internationaux.

Le festival s’est ouvert vendredi avec un concerto et une symphonie de Tchaïkovsky interprêtés par le pianiste concertiste Denis Matsuev et l’Orchestre Philarmonique de l’Oural. Les festivaliers pourront écouter, entre bien d’autres, une prestation du jeune pianiste russe Andreï Korobeinikov le 28 juillet, des variations de Bach par le compositeur et pianiste israélien Matan Porat le 31 juillet, et la pianiste classique française Anne Queffélec le 9 août jouant des concertos de Mozart et de Beethoven. Le festival s’achèvera le Vendredi 21 août avec le légendaire pianiste Monty Alexander, qui interprè-

tera des reprises de Bob Marley, Louis Armstrong mais aussi Marvin Gaye.

Un lieu idéal pour la musique «Quand j’ai vu cet endroit, je me suis dit que c’était le lieu idéal pour la musique», explique René Martin, directeur artistique. «Là on remet la musique à sa vraie place», ajoute-t-il en rappelant que nombre de compositeurs étaient inspirés par la nature.

Les musiciens eux-mêmes se réjouissent de se produire à la Roque d’Anthéron. «Ici il y a une atmosphère très spéciale, très particulière à cause de l’environnement qui est champêtre et à cause du public qui est fin connaisseur», explique Denis Matsuev.

Depuis plusieurs années, les sites du festival se diversifient.

Aujourd’hui, les concerts se produisent sur douze scènes différentes, dont Le Parc du Château de Florans, qui demeure le haut lieu de l’événement. À savoir, les passionnés de piano qui n’ont pu se déplacer pourront écouter de nombreux interprètes sur le disque officiel qui accompagne cette nouvelle édition».

Le Figaro (Copyrights)

L’information en provenance d’Israël Edition Août 2015

Air France raye Israël de la carte …

Je suis tombé hier sur une information étonnante publiée sur Facebook. Je vous traduis la chose qui, si elle était confirmée, me semblerait très grave « Apparemment, Air France a retiré Israël et Tel-Aviv de leurs cartes de suivi de vol, en dépit du fait que Tel-Aviv est une de ses destinations. De plus, ces cartes mentionnent « West Bank » et « Bande de Gaza » alors que ces lieux ne sont pas desservis par la compagnie. » Le passager qui a signalé le fait et montré cette photo a déclaré que l’avion est équipé d’une nouvelle technologie de cartes qui permet de zoomer dans toutes les directions et Israël ni

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Tel-Aviv n’apparaissent à aucune échelle ni angle de vue.

A la suite d’un premier signalement, un autre passager d’Air France (un vol New-York –Paris), a confirmé le fait.

Si cette information était confirmée, cela voudrait dire que cette compagnie s’aligne sur les prétentions les plus extrêmes des « palestiniens » : la disparition de l’Etat d’Israël… Gageons que les activistes anti-israéliens du BDS et consort – dont beaucoup ne sauraient même pas situer Israël sur une carte – vont se frotter les mains…

Par Yaakov Rotil

Attaque contre la synagogue de la rue Darius Milheaud (Paris XIX): « finir le boulot des Kouachi »

source de JSSNews. Les 2 agresseurs s’attendaient pas à tomber sur une dizaine, une quinzaine de jeunes, qui ne baissent plus la tête. » Et après une bagarre plutôt sérieuse (le temps de l’arrivée de la police) les 2 assaillants ont été déféré au parquet pour une comparution immédiate…

Et 2 défenseurs juifs ont été mis en garde à vue et relâchés dimanche, après 24 heures au poste.

Samedi en début d’après-midi, à la fin des prières du shabbat et alors qu’une « seuda » (collation) est organisée sur la terrasse de la synagogue de la rue Darius Milheaud dans le XIXème arrondissement parisien, deux habitants de l’immeuble de la synagogue, des « français » selon les témoins qui se sont confiés à Jerusalemplus, sont descendus dans le temple pour casser du juif. « Je vais finir le travail des Kouachi » a crié le premier des

voisins, pendant que le deuxième, tout aussi furieux, prenait une bouteille de bière et la cassait bruyamment sur le sol !

Sur la terrasse de la synagogue, c’est l’étonnement. Certes, on prend le temps de rire et de manger un peu de houmous entre amis le samedi midi, mais sans faire trop de bruit et sans gêner les voisins. « Mais quand ils ont parlé de Kouachi, les jeunes ne se sont pas laissé faire » affirme une

« Les actes antisémites sont devenus quotidien dans le XIXème arrondissement parisien » explique notre source. « Ils viennent maintenant dans nos synagogue. Nous, jeunes juifs, on ne peut pas accepter cela. On n’a jamais fait de mal à personne, on a jamais embêté personne. On se fait les plus discrets possible. Mais à partir de maintenant, on ne laissera plus rien passer. » Par Ariel Melles

L’information en provenance d’Israël Edition Août 2015

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En Israël des bandes de fréquences nouvelles pour la téléphonie mobile 4G Le ministère des Communication attribuera des bandes de fréquences pour la téléphonie mobile 4G, d’après des sources issues du marché, citées par le site d’informations économiques Globes.

Les opérateurs mobiles avaient démarré le processus d’appel d’offres pour l’attribution des bandes de fréquences en janvier, mais la mise en œuvre du projet a été retardée après que le ministère a décidé de conditionner la procédure à une modification des modalités de la transaction.

Les opérateurs mobiles ne recevront pas de réductions sur les coûts des bandes de fréquences, qui seront réservées à la création de nouveaux réseaux mobiles.

Ces conditions, fixées par la commission parlementaire des Finances il y a quelques semaines, ont finalement été publiées la semaine dernière par le ministère de la Justice, ce qui laisse supposer que les fréquences seront attribuées aux compagnies dans la semaine, permettant ainsi à Israël de se doter d’une téléphonie mobile 4G. L’attribution des fréquences prendra en considération le fait

que plusieurs opérateurs continueront à partager leurs réseaux.

Ainsi les couples de compagnies comme Cellcom Israel et Golan Telecom, ou encore Partner Communications et HOT Mobile se verront attribuer des fréquences voisines pour leur permettre d’optimiser leur bande passante.

Quelle est la première ville exportatrice d’Israël ?

En janvier, ces deux couples de compagnies ont acquis le droit d’utiliser des blocs de fréquences 4G. L’homme d’affaires Hezi Bezalel a également acquis une bande de fréquences et devrait donc entrer sur le marché de la téléphonie mobile 4G dans un avenir proche.

YA IsraPresse (Copyrights)

Le ministère de l’Économie publie un rapport inédit sur la répartition géographique des entreprises exportatrices d’Israël: Petah Tikva est en tête.

Beaucoup de surprises dans la liste inédite que vient de publier le ministère de l’Économie à Jérusalem. D’abord, c’est la première fois qu’un classement des villes israéliennes est réalisé selon leur part dans les exportations israéliennes. Ensuite, les villes qui arrivent en tête de liste ne sont pas forcément celles que l’on s’attendait à voir.

PETAH TIKVA EN TÊTE La ville de Petah Tikva arrive en tête du classement : les entreprises qui sont sur son territoire municipal ont exporté pour 17,2% des exportations israéliennes de marchandises et services (diamants exclus).

L’usine Intel, fraîchement installée à Petah Tikva, y est sans doute pour quelque chose, mais elle n’est pas la seule : la ville compte 1.539 entreprises exportatrices parmi lesquelles 4 exportent plus de 100 millions de dollars par an.

TEL AVIV DERRIÈRE HAÏFA ET ASHKELON Derrière Petah Tikva, arrivent les villes de Haïfa (15,6% des exportations israéliennes) et d’Ashkelon (12,7% des exportations israéliennes). Tel Aviv n’arrive qu’à la quatrième place au classement du ministère de l’Économie, avec 10,2% “seulement” des exportations israéliennes.

Au 5e et 6e rang, figurent respectivement Beer-Sheva (7,9% des exportations israéliennes) et Rehovot (6,7%). Vient ensuite Jérusalem dont les entreprises

contribuent pour 5,6% des exportations du pays.

LES GRANDS INDUSTRIES DANS LE NORD Le rapport du ministère de l’Economie fait une autre révélation : les grandes sociétés exportatrices (c’est-à-dire qui exportent plus de 100 millions de dollars par an) sont plus nombreuses dans le Nord et dans le Sud, que dans le centre d’Israël.

Ce déséquilibre géographique s’explique par le fait que les industries exportatrices nécessitent d’importants investissements qui ne sont pas toujours réalisables dans le centre du pays en raison de la forte densité de population : il s’agit, notamment, des industries chimiques, des Raffineries de pétrole et des industries lourdes.

Jacques Bendelac (Jérusalem)

L’information en provenance d’Israël Edition Août 2015

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Travaux Géants : Lancement des Louer un appartement travaux du métro léger de Tel Aviv en Israël. Des conseils et des faits réalité et que les entreprises vont continuer à prospérer «.

Beaucoup de routes principales à Tel Aviv seront fermées, transformées en rues à sens unique, ou être inaccessibles pour les véhicules privés.

La construction du système de métro léger sur rail à Tel-Aviv a commencé sans que cela n’entraine de grands embouteillages qui avaient été prévus.

“La construction du métro léger a commencé, et le ciel ne tombe pas”, a déclaré le ministre des Transports Yisrael Katz aux journalistes lundi. “Le trafic a même été fluide.”

“C’est un jour historique”, a déclaré le maire de Tel Aviv Ron Huldai. « Nous commençons un projet très important … qui permettra d’améliorer la vie de beaucoup de gens quand il sera terminé. Je demande à chacun d’être patient. Il y aura des embouteillages demain. Ils disent qu’il est en raison de la [construction du] train, comme si il n’y avait pas d’embouteillages hier. » «Nous avons eu des embouteillages à Tel Aviv durant de nombreuses années. En fin de compte, ce projet est censé améliorer les transports en commun, donc il en vaut la peine», at-il

dit.

Waze, l’application communautaire indiquant les itinéraires et le trafic, contribue à apporter des informations en temps réel pour les navetteurs. Une carte des embouteillages sur Waze est affichée sur un écran dans la salle des opérations du projet, située dans la municipalité de Tel-Aviv. La police a dû créer 168 postes supplémentaires de personnel pour faire face aux problèmes découlant de la construction du train léger sur rail, mais jusqu’à présent, aucun n’a été recruté.

Les propriétaires d’entreprise à Tel Aviv sont particulièrement préoccupés par l’impact négatif que la construction aura sur leurs boutiques. Ils ont échoué dans leur tentative à la cour pour arrêter ou retarder le projet.

“Les propriétaires d’entreprise ont besoin de s’adapter”, a déclaré Katz. «Nous allons les aider physiquement avec l’accessibilité. Je souhaite que, comme aujourd’hui la peur [de perturbation] est supérieure à la

La construction de la station de métro Allenby, à l’intersection des rues Yehuda Halevy et Allenby, vient de commencer et devrait durer quatre ans. Les restrictions de circulation seront levées conformément aux progrès de la station. Une clôture autour du projet doit être achevé dans les prochains jours. Il y aura des fenêtres permettant aux spectateurs de regarder le processus de creusement.

Le projet de train léger sur rail dans la grande région de Tel Aviv devrait prendre six ans. La ligne rouge se déroulera de Petah Tikva, passera àtravers Bnei Brak, Ramat Gan, Tel Aviv, Jaffa et Bat Yam, et éventuellement à Rishon Letzion à un stade ultérieur.

De nombreux moyens seront mis en oeuvre afin d’inciter les automobilistes à utiliser les transports publics avec par exemple la mise en place de certaines navettes ou parkings gratuits.

Sources : IsraelValley et Haaretz.

Asaf Avidan, chanteur israélien avec une sidérante voix de chat

Benoît Guérin : «Bête de scène.

Ses nouvelles compositions, issues de Gold Shadow, ont permis au chanteur de convaincre les derniers réfractaires à ses miaulements, cet été. On pouvait comprendre le débat, il y a deux ans. Mais il est désormais clos. Asaf Avidan est un artiste irrésistible sur scène. Il l’a prouvé tout l’été, notamment à Poupet, festival vendéen au long cours, qu’il a ouvert le 2 juillet. Il y avait déjà joué, en 2013. Et c’est tout vu : « C’est la deuxième fois que je viens vous voir et c’est chaque fois meilleur », assurait-il au public. On confirme.

Ce qui a changé ? Sur la forme,

pas grand-chose. Le chanteur israélien sait toujours jouer de sa sidérante voix de chat, miauler dans les aigus, ronronner de plaisir, sans hérisser les tympans. Il sait également capter un public qui ne lui est pas acquis, qu’il se charge de convaincre et de séduire, par petites touches.

Une recette qu’il avait déjà appliquée à Poupet. Enfin, il est séducteur : il multiplie les sourires et les échanges en français, et s’offre quelques envolées philosophico-délirantes sur « la loi de la gravitation », juste pour inciter son public à sauter en l’air.

C’est drôle et léger. Asaf Avidan, entouré de ses belles musiciennes, est un très bon client.

Ce qui serait assez vain si le garçon n’avait pas créé de superbes chansons. Et le changement se joue là. Different Pulses (2013) était un album assez fade. Gold Shadow, sorti en début d’année, est un pur chef-d’œuvre. Disposer d’autant de cartouches de séduction massive en concert, ça facilite bien la vie d’un artiste. À Poupet, plus de la moitié de Gold Shadow y est passée.

Over My Head, The Jail That Sets You Free, Little Parcels Of An Endless Time, ou encore la sublime ballade qui a donné son nom à l’album, au piano, ont fait basculer le public. On parie que d’autres connaîtront le même sort».

Le Parisen (Copyrights)

Vous venez enfin de trouver un appartement en Israël que vous désirez louer. Sachez tout d’abord qu’il n’y a pas de « contrat standard ». Tout se négocie et tout doit être stipulé précisément pour éviter des pertes et dommages futurs.

Les conseils qui suivent pourront vous être précieux.

1.Le loyer et les garanties : À ce jour en Israël, il n’existe pas de réglementation ni de limitation des loyers. De même, un bail est en général d’un an et rien ne limite le loyer au moment du renouvellement. Il est coutume pour le propriétaire de demander 12 chèques d’avance datés au début de chaque mois.

En plus de cela, le propriétaire exigera le dépôt d’une caution, des garants, une garantie bancaire, ou encore un billet à ordre (Shtar Hov). Il n’est pas recommandé de laisser le propriétaire encaisser une caution dont il pourrait se saisir librement. Le mieux est d’exiger que celle-ci soit placée sous séquestre chez son avocat et de stipuler dans le contrat les conditions d’utilisation de la caution.

2.La répartition des obligations : Dans le cas où le contrat ne mentionne pas d’autres dispositions, la loi prévoit la répartition des obligations entre le propriétaire et le locataire de façon plutôt logique. Ainsi, le locataire est tenu de maintenir l’appartement en bon état et de réparer les dommages qui résultent de l’utilisation qu’il fait de l’appartement.

Quant au propriétaire, il est responsable de l’amortissement

des infrastructures louées. Il faut donc faire attention à ce que le contrat proposé par le propriétaire ne vienne pas à l’encontre de ces principes. Quant à la répartition des charges, un contrat doit normalement prévoir que le locataire paie les dépenses courantes (eau, électricité, taxe municipale, charges d’immeubles), mais que les travaux dans la copropriété sont à la charge du propriétaire. Notons qu’un nouvel immigrant qui s’inscrit à la mairie comme locataire d’un bien, pourra bénéficier de larges exonérations de la taxe municipale.

3.La résiliation du bail : Le préavis connu en France est peu répandu en Israël. Toutefois, vous pouvez prévoir une clause de préavis unilatéral ou bilatéral, pour pouvoir mettre fin au contrat avant l’heure. La loi précise que dans le cas où rien n’est prévu, le locataire est en droit de se libérer de ses obligations s’il trouve un remplaçant qui remplisse le contrat. Quant à la résiliation à l’initiative du propriétaire, dans le cas où le locataire ne respecterait pas ses engagements, la loi prévoit une procédure judiciaire simplifiée pour permettre son expulsion.

La signature d’un bail de location est donc un engagement contraignant qu’il ne faut pas prendre à la légère. A ce jour, il y a très peu de réglementation légale, mais le gouvernement actuel fait de ce problème une priorité. Affaire à suivre…

Hagege Maruani Law Office

L’information en provenance d’Israël POLITIQUE Disputes autour du Budget 2016 L’Inde et Israël ont d’Israël. Le Shass dit «non» signé des accords plus de $2 milliards Edition Août 2015

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venus ou les retraités de l’armée qui verront leur retraite coupée.

Le budget de l’Etat pour l’année 2016 n’a toujours pas été accepté par le gouvernement à cause notamment de dissensions existantes entre le ministère des Finances et le parti orthodoxe sépharade Shas.

EDUCATION. Le ministère des Finances, le syndicat étudiant et le Conseil de l’enseignement supérieur sont parvenus mercredi à un accord concernant le budget de l’enseignement supérieur, selon un communiqué du ministère des Finances. Celui-ci sera finalement réduit de 110 millions de shekels. L’enseignement supérieur n’est pas épargné par les coupes budgétaires, même si ce secteur était menacé d’une diminution de budget à hauteur de 263 millions de shekels. Par ailleurs, le ministère des Finances s’est engagé, sur les trois prochaines années à allouer un montant total de 120 millions de shekels afin de financer la construction de campus universitaires. 19 millions de shekels supplémentaires serviront à offrir des bourses aux étudiants impliqués dans des projets utiles à la collectivité.

ISRAELVALLEY PLUS LE 5 AOUT 2015.

Débat-marathon ce matin à Jérusalem : le Conseil des ministres discute du projet de budget 2015 et 2016. Le vote interviendra dans la journée.

133 pages : le texte de la Loi de Finances pour 2015 et 2016 est plus court que les années précédentes. Et pour cause: Moshé Kahlon, le ministre des Finances qui l’a concocté, a voulu le réduire à l’essentiel. Le projet de loi sur le budget 2016 tourne donc autour d’un objectif essentiel : la réduction du coût de la vie. À lire le document qui est discuté ce mercredi matin par les ministres, c’est bien l’amélioration du niveau de vie des

Israéliens qui est visé par les réformes proposées. Toutes les postes de dépense des ménages du pays seront concernés par des réformes qui devraient conduire à une baisse des prix : l’agroalimentaire, le logement, la finance, l’énergie, la santé, etc.

LES GAGNANTS Plusieurs catégories d’Israéliens devraient voir leur niveau de vie s’améliorer dès la fin de 2015. Par exemple, on peut relever quelques mesures phares du projet de loi de finances: l’introduction de l’assurancechômage pour les travailleurs indépendants; l’accroissement des allocations familiales qui seront versées, en partie, sous la forme d’un plan d’épargne bloqué jusqu’à l’âge de 18 ans; l’exonération de la TVA sur l’eau, électricité et transports en commun, pour les familles à faibles revenus.

Du côté de la baisse du coût de la vie, la priorité du gouvernement sera donnée au secteur de l’alimentaire. Le gouvernement entend ouvrir les produits agricoles à la concurrence étrangère ; les barrières douanières seront réduites pour toute une série de produits alimentaires (comme œufs, lait, fromage et poissons).

Les agriculteurs israéliens seront indemnisés par des subventions plus substantielles.

Quant à l’immobilier, le gouvernement essaiera de dégonfler la bulle des prix en accélérant les procédures de construction, en taxant les logements transmis par héritage, ou en transformant les bureaux en appartements.

Toutes ces mesures devraient permettre d’augmenter l’offre de logements disponibles et de faire baisser leurs prix.

LES PERDANTS Certes, le projet de budget du gouvernement ne fait pas que des heureux. Parmi les mécontents : les agriculteurs qui craignent une baisse de leurs re-

En fait, pour respecter les accords de coalition (évalués à 8 milliards de shekels par an ou 2 milliards d’euros), le gouvernement a dû repousser certaines réformes ou couper certains budgets : l’Éducation est amputée de 1 milliard de shekels et les Transports publics de 220 millions de shekels. De plus, une coupe transversale de 3,3 milliards de shekels sera réalisée dans toutes les dépenses civiles.

Mais le principal perdant du projet de loi de Finances pourrait être la croissance de l’économie israélienne. La Banque centrale d’Israël fait remarquer que le budget de 2016 ne comporte aucune mesure visant à rallumer les moteurs de la croissance : les dépenses civiles restent en recul par rapport aux dépenses militaires en augmentation. La Banque d’Israël donne l’exemple de l’Enseignement supérieur : son budget est encore réduit alors qu’il s’agit d’une dépense qui garantit la formation humaine et la croissance future de l’économie.

LA POLÉMIQUE DU DÉFICIT Au total, la dépense publique de 2016 se montera à 345 milliards de shekels, contre des recettes fiscales évaluées à 301 milliards de shekels. Autrement dit, le Trésor table sur un déficit de 44 milliards de shekels, soit 2,9% du PIB. Depuis quelques jours, une polémique s’est développée entre la Banque centrale et le ministère des Finances sur le montant du déficit ; la gouverneure Karnit Flug recommande au gouvernement de réduire son déficit à 2% du PIB. Dans tous les cas, la banque centrale suggère une coupe budgétaire de 10 milliards de shekels supplémentaires pour contenir le déficit en dessous de 2,5%.

Pour l’heure, la principale inconnue reste le budget de la Défense ; celui-ci a été fixé à 59 milliards de shekels, soit 17% des dépenses de l’Etat. Il n’est pas impossible qu’un compromis de dernière minute soit trouvé pour ramener les dépenses militaires au niveau de 56 milliards de shekels.

Jacques Bendelac (Jérusalem)

L’Inde et Israël testeront fin août un missile à longue portée, Barak 8. Le lieu du test est pour le moment inconnu.

Au départ, il était prévu de tirer le missile depuis le destroyer indien Kolkata, mais aujourd’hui, on parle de plus en plus d’un navire israélien.

L’ambassade d’Israël à New Delhi se refuse à tout commentaire.

Sputniknews.com : «Selon les experts militaires, cet essai doit constituer une réponse à la menace grandissante émanant pour l’Inde de la Chine et du Pakistan, ainsi qu’au renforcement des positions de Pékin en mer de Chine orientale.

Invité par l’agence Sputnik à commenter cette situation, le porte-parole de l’ambassade israélienne à New Delhi, Ohad Khorsandi, a souligné que ces dernières années, la coopération militaire entre l’Inde et Israël avait connu un nouvel essor.

“Nos pays font face à des menaces similaires qui s’accentuent de jour en jour. Aussi devons-nous conjuguer nos efforts pour riposter ensemble à ces menaces. Israël fait entièrement confiance à la compétence des spécialistes indiens et à leur expérience professionnelle dans différents domaines, surtout dans le domaine de l’industrie d’armements. Si les deux pays agissent de concert, nous serons

en mesure de faire face aux défis actuels. Notre principe fondamental en matière d’armements est de nous considérer mutuellement comme des partenaires égaux. Nos pays ont beaucoup de choses que nous pouvons apprendre l’un auprès de l’autre”, a déclaré M. Khorsandi.

Le missile surface-air Barak 8 a été développé pour les forces navales indiennes par Indian Defence Research et Israel Aerospace Industries conformément à l’accord signé entre les deux pays en 2009. Les premiers missiles seront transmis à l’Inde en 2017.

La coopération technico-militaire entre les deux Etats se renforce depuis la rencontre entre le ministre israélien de la Défense Moshe Yaalon et le premier ministre indien Narendra Modi en février dernier. C’est également à cette époque que l’Inde et Israël ont signé des accords pour un montant total de plus de 2 milliards de dollars. A la fin de l’année, Narendra Modi doit se rendre en Israël. Ce sera la première visite effectuée dans ce pays par un chef de gouvernement indien».

A la fin de l’année, Narendra Modi doit se rendre en Israël. Ce sera la première visite effectuée dans ce pays par un chef de gouvernement indien. http://fr.sputniknews.com/