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LE MBA : clé du savoir et du succès Redéfini par une mondialisation des marchés et de multiples changements technologiques et organisationnels, le monde des affaires est fait d’exigences et de performances. Pour les professionnels de toutes disciplines qui y œuvrent, l’obtention d’un MBA, diplôme de gestion par excellence, est un incontournable. Afin de permettre aux bacheliers visant les plus hautes sphères de la gestion, des finances et du marketing, de même qu’aux cadres comptant déjà une solide expérience, de relever les multiples défis de leurs fonctions, les universités et écoles de gestion ont su adapter leurs différents programmes de MBA aux réalités du milieu, mais aussi au mode de vie des étudiants. Ouverture sur le monde, spécialisations particulières, méthodes d’enseignement, double certification, stages en entreprise… Trois des plus grandes institutions québécoises présentent ici les caractéristiques des formations qu’elles offrent. Une réalisation de Jacques Boisvert Communications inc. www.jacquesboisvert.com | ILLUSTRATIONS : ISTOCKPHOTO par Tavik Morgenstern
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La Faculté des sciences de l’administration de l’Université Laval : innovation et perspective internationale au service des leaders d’aujourd’hui et de demain
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a Faculté des sciences de l’administration (FSA) de l’Université Laval célébrait récemment les 40ansdesonprogramme de MBA. Guidée par la constante quête d’excellence qui la caractérise si bien, elle obtenait également en 2008 l’agrément européen EQUIS de l’European Foundation for Management Development. Venant s’ajouter à l’agrégation attribuée
ROBERT W. MANTHA Doyen
par l’Association to Advance Collegiate Schools of Business (AACSB) en 1995, cette distinction permet dorénavant à la Faculté de se classer parmi les institutions les plus reconnues mondialement avec une soixantaine d’autres écoles de gestion du plus haut calibre. Bien au fait des réalités et de l’évolution du milieu des affaires, la FSA offre 18 concentrations de MBA qui répondent aussi aux attentes et besoins des clientèles étudiantes. Parmi les plus récentes innovations, on compte le nouveau MBA Gestion pour cadres en exercice, un programme clés en main intensif comptant 15 cours et s’échelonnant sur 24 mois. Offert dès la fin août 2010, ce programme se distingue par son mode d’enseignement, qui combine avantageusement la formation en ligne et les séances plénières en présence de professeurs. «Le mode hybride des activités pédagogiques en fait un programme unique, certainement au Québec», mentionne Robert W. Mantha, doyen de la Faculté. Conçu après une décennie d’expertise et d’évaluation auprès d’entreprises québécoises, il permet aux gens d’affaires déjà actifs dans le milieu de concilier l’approfondissement de leurs connaissances avec leur vie professionnelle et personnelle. L’utilisation des outils technologiques rend cette formation plus accessible et mieux adaptée, étant directement basée sur l’environnement de collaboration qui existe déjà au quotidien entre partenaires d’affaires. «Dans notre programme, il n’y a pas de distance. Les gens sont proches, parce qu’ils sont branchés. Ils travaillent étroitement ensemble, une
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dynamique de groupe s’installe dans la cohorte. Des professeurs d’expérience, triés sur le volet, les accompagnent et les voient toutes les deux semaines, les samedis», préciseencoreM.Mantha. De plus, un séjour d’une semaine dans une université hors du Québec vient enrichir les notions théoriques de gestion et les études de cas pratiques mis de l’avant. «Les réactions sont très positives, les gens de partout en province sont enthousiastes», souligne pour sa part M. André Gascon, à la fois vicedoyen, responsable du MBA Gestion pour cadres en exercice et responsable académique des missions commerciales offertes depuis 13 ans aux étudiants. «Enjeux du XXIe siècle, gestion du changement, leadership, managementinternational, impact des technologies,
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transformation des organisations, ce programme comporte des volets présents dans d’autres MBA,maislestraiteselon unaspectdeconcertation, d’expérimentation et d’intégration, en incluant un projet d’intervention, parce que ces gens d’affaires ont de l’expérience et apportent au groupe leur vécu», poursuit-il. Autre nouveauté qui correspond à la fois aux attentes des étudiants et aux exigences du milieu: l’ajout,depuisjanvier2010, de l’espagnol comme langue d’enseignement dans le MBA Gestion internationale, un programme intensif de 12 mois dont les cours se donnaient déjà en français et en anglais. À cela s’ajoute également la possibilité d’effectuer un stage d’études d’une session en Amérique latine. « Ces éléments viennent appuyer l’orien-
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tation internationale claire et forte de ce programme, qui existe depuis 20 ans. Les étudiants ont la possibilité d’aller chercher une compétence distinctive et de vivre une expérience d’apprentissage internationale», explique M. Mantha. Cette dimension internationale, qui prime de plus en plus dans le contexte de mondialisation que connaissent les marchés, est très importante, voire fondamentale, pour la Faculté. D’ailleurs, la moitié des étudiants inscrits à ce MBA disciplinaire, de même que 40% des professeurs, proviennent d’autres pays. «Nous croyons que les étudiants de ce MBA veulent quelque chose de concret, développer un réseau international et comprendre la dimension interculturelle à travers leurs études, notamment les différences entre les façons d’aborder les problèmes et les enjeux, qui ne sont pas tout à fait les mêmes», ajoute M. Gascon. Ainsi, en acquérant des compétences analytiques et stratégiques axées sur l’international, les étudiants sont amenés à développer leur plein potentiel et accéder aux plus hautes sphères d’emploi. Comptant plus de 75 partenaires dans plusieurs pays, permettant annuellement de nombreux échanges étudiants, la FSA de l’Université Laval s’efforce constamment d’enrichir ses programmes, de les adapter. Ainsi, des ententes verbales concernant l’obtention possible d’un double diplôme avec quatre établissements européens ont récemment été conclues. « Nos MBA sont branchées sur le monde, conclut M. Mantha, le monde en tant que représentation du globe, bien sûr, mais se référant aussi aux gens.»
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ANDRÉ GASCON Vice-doyen à la formation et aux affaires étudiantes et secrétaire de la Faculté
www.fsa.ulaval.ca/mbalaval
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L’École de gestion John-Molson de l’Université Concordia :
L’
École de gestion JohnMolson (JMSB) de l’Université Concordia est l’un des établissements d’enseignement les plus reconnusaupays.Grâceà l’agrément de l’Association to Advance Collegiate Schools of Business (AACSB), il dispose d’une qualité d’enseignement de premier niveau comparable aux meilleures universités du monde. En 2009, ses programmes de MBA se classaient au troisièmerangau Canada et au premier rang à l’échelle provinciale selon le Corporate Knights School Ranking. Les formations, données en anglais, attirent beaucoup d’étudiants étrangers, mais aussi de plus en plus de Québécois ayant effectué leurs études en français, ce qui leur confère une atmosphère multiculturelle. Parmi les programmes du JMSB, on compte notamment le MBA général, une formation interdisciplinaire
comprenant 13 cours obligatoires calqués sur les enjeux du marché, dont un nouveau cours d’éthique, et 6 cours à choix permettant aux étudiants d’orienter leurs études selon leurs intérêts. Les cours sont offerts le jour et le soir, à temps partiel ou à temps plein. Certains d’entre eux ont également lieu le vendredi, le samedi et le dimanche. «Cette flexibilité des horaires fait en sorte que ce programme est adapté à la réalité du milieu des affaires. Dans nos petits groupes, chaque étudiant peut facilement collaborer avec les professeurs et bénéficier d’un environnement stimulant valorisant les échanges. Un minimum de deux ans d’expérience est requis, mais pas nécessairement en gestion. Les étudiants inscrits sont d’abord motivés par leur engagement dans leur communauté», explique M. Alan Hochstein, directeur des programmes MBA et GDBA et vice-doyen des programmes d’études supérieures. Ce MBA compte plusieurs attraits offerts par l’Institut d’enseignement coopératif et le très récent Community Service Initiative. Ces deux options permettent aux étudiants de faire valoir et de développer leur expérience de MBA au sein d’un organisme ou d’une entreprise. Depuis 2010, ils ont aussi la possibilité d’effectuer un voyage de quatre semaines à New York, une initiative qui permettra à une douzaine d’entre eux de participer à des colloques avec pour invités des professionnels de l’industrie et de visiter les sites d’affaires stratégiques du cœur économique et financier de la ville. Le JMSB offre également l’Executive MBA, un programme innovateur conçu il y a 25 ans pour les
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des programmes personnalisés et concrets à la mesure des attentes des gestionnaires
ALAN HOCHSTEIN Directeur des programmes MBA et GDBA et vice-doyen des programmes d’études supérieures
gestionnaires faisant déjà partie intégrante du milieu. Le quart des cohortes est formé par des ingénieurs alors que l’ensemble des cadres proviennent de diverses industries. Ces professionnels comptent en moyenne 14 ans d’expérience et continuent de travailler à temps plein durant leur perfectionnement. Les cours, fixés deux à trois ans à l’avance, sont donnés en alternance un vendredi sur deux et un samedi sur deux chaque mois, une planification hors pair qui convient autant
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aux étudiants qu’aux employeurs. «L’approche personnalisée rend aussi ce programme très populaire, puisqu’il s’y développe un réseau qui perdure au-delà de la formation de deux ans. Les professeurs possèdent une expérience en entreprise qui leur permet d’avoir une vision réelle et pratique du milieu des affaires. Nous croyons beaucoup à la méthode d’études de cas.Lesétudiantspeuvent
ANNE-MARIE CROTEAU Professeure agrégée en système d’information et directrice du programme Executive MBA
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absorber et s’approprier le contenu et le mettre en pratique dans leur entreprise. Ces pistes de solutions concrètes représentent un retour direct sur investissement pour les employeurs», mentionne Anne-Marie Croteau, professeure agrégée en système d’information et directrice du programme Executive MBA. Également adapté à une clientèle professionnelle, le MBA with Complete CFA® Integration, instauré par le Goodman Institute of Investment Management au JMSB il y a 10 ans, offre une spécialisation dans la gestion des investissements. Il inclut une préparation adéquate aux trois examens d’accréditation Chartered Financial Analyst (CFA), permettant ainsi aux étudiants de se distinguer et d’intégrer l’élite financière mondiale. Les personnes inscrites à ce programme de trois ans peuvent aisément suivre la formation tout en poursuivant leur carrière. Les cours sont donnés les mercredis et samedis soirs, à Montréal et à Toronto, en présence d’un professeur ou par le biais d’une vidéoconférence. L’accessibilité des professeurs, tous accrédités CFA et spécialistes réputés, est très importante. De plus, des activités et ateliers visant à développer de nouveaux modèles d’organisation et de gestion sont offerts. «Il y a un nombre limité de programmes comme celui-ci, qui intègre le curriculum de MBA avec la préparation aux examens CFA. Cela en fait un programme assez unique. Les cas sont présentés et étudiés selon une perspective différente, un point de vue stratégique», mentionne pour sa part Ian Rakita, directeur du Goodman Institute of Investment Management. Ainsi, les hauts dirigeants en devenir sont à même de trouver, au JMSB, le programme qui leur permettra de relever les défis qui les attendent.
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IAN RAKITA Directeur du Goodman Institute of Investment Management
johnmolson.concordia.ca
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L’École des sciences de la gestion de l’UQAM : des formations enrichissantes qui ouvrent de nouveaux horizons
600 inscriptions annuellement, et 7 000 diplômés sur 4 continents. «Nos diplômés nous disent apprécier la proximité des échanges avec les professeurs, en lien avec de solides expériences d’apprentissage. Ils sont animés d’une motivation particulière et ils rayonnent partout. De nombreux liens d’affaires se tissent parmi eux. Cela génère tout un réseau », souligne Mme Ginette Legault, doyenne. «À l’ESG UQAM, notre marque de commerce est le MBA de type "exécutif" (EMBA), que nous avons développé en 1979. C’était alors une première au Québec», mentionne pour sa part M. Benoît Bazoge, vice-doyen aux études. Suivi à temps partiel, avec des cours la fin de semaine, le programme est adapté au cheminement professionnel exigeant des cadres qui cherchent à acquérir des compétences managériales spécifiques. Le EMBA général propose une vision globale du milieu des affaires et de ses enjeux en permettant l’intégration, dansunmêmemoduledecours,deplusieurs disciplines telles que le marketing et la finance ou la gestion de la production et du personnel. D’une durée de deux ans, il offre également, grâce à un partenariat avec l’Université Paris-Dauphine, la possibilité d’obtenir un double diplôme, fort profitable dans le contexte de mondialisation qui prévaut.
PHOTO : DENIS BERNIER
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elativement jeune puisque son premier programme de MBA a été créé il y a 30 ans, l’ESG UQAM se démarque par le dynamisme de ses diplômés, nombreux à faire leur place dans le milieu des affaires. Détentrice de l’accréditation EQUIS (European Quality Improvement System) depuis 10 ans, elle se distingue en ayant le plus important programme de MBA au Québec, avec quelque
GINETTE LEGAULT Doyenne
Les EMBA sectoriels offrent, de manière unique au Québec, des expertises particulières dans des secteurs bien définis de l’industrie tels que les services financiers, les hautes technologies, l’immobilier, la gestion
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des villes et métropoles, les entreprises collectives de même que les sciences comptables. Le programme exécutif CMA-MBA, qui combine les exigences d’un EMBA à celles d’un ordre comptable,faitégalementfigure d’exclusivité puisqu’il résulte d’un partenariat avecl’OrdredesCMA.Ilest aussi offert à Lévis, en partenariat avec l’UQAR. «Nous sommes la première université québécoise en ce qui a trait à la formation des comptables, affirme M. Bazoge. Plusieursdenosétudiants obtiennent des postes clés de directeur financier au sein de grandes entreprises et de firmes comptables.» Autre programme populaire, le MBA Conseil en management interpelle quant à lui une clientèle de consultants. Les candidats admissibles,
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qui doivent posséder au moins quatre ans d’expérience en entreprise, sont appelés à développer des habiletés de diagnostic organisationnel et une pensée stratégique par le biais du partage de leurs expériences professionnelles et de projets d’intervention qui, souvent, incluent une perspective internationale. Finalement,leMBASciences et génie, d’une durée de 12 ou de 24 mois, a été conçu pour les diplômés en génie ou en sciences pures sans expérience en gestion. Premier programme de la sorte dans la province, il combine des cours en gestion de latechnologieetenlancement de projet d’affaires avec des séances d’observation en collaboration avec des entreprises permettant aux étudiants une application concrète et réelle des notions et modèles inculqués.
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À ces cinq options s’ajoute aussi le EMBA – International, qui élargit le réseau des étudiants du Québec à 12 autres pays (dont la France, la Pologne et le Mexique, par exemple), auxquels viendront bientôt s’ajouter d’autres partenariats. Les mêmes cours sont donnés par les mêmes professeurs, en français, en anglais et en espagnol. Les étudiants peuvent suivre le programme dans leur pays puis prendre quelques cours dans un autre. « Nous visons l’internationalisation des contenus des cours, en cherchant des modèles partout, notamment grâce à nos partenariats. C’est l’un de nos principaux objectifs», explique Mme Legault en évoquant les ententes conclues avec des universités situées en Amérique latine, en Europe, en Asie et en Afrique. Favorisant pleinement la participation en classe et le travail d’équipe, les méthodes d’enseignement mises de l’avant à l’ESG UQAM s’appuient également sur l’utilisation d’outils technologiques. Ainsi, en consultant Moodle, une plateforme en ligne mise à leur disposition, les étudiants ont accès pour l’ensemble des cours à des sources documentaires, des séquences vidéo, des forums de même que des « wikis », des pages thématiques conçues par des étudiants et commentées par leurs collègues et leurs professeurs. « Ainsi, nous proposons une pédagogie différente à l’enseigne de la convivialité pour le partage des savoirs. Le contenu informationnel est davantage donné par le biais de l’électronique afin de libérer du temps en classe pour les discussions sur les projets de consultation », précise encore M. Bazoge.
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BENOÎT BAZOGE Vice-doyen aux études
www.esg.uqam.ca
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