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REPORTAGE PROMOTIONNEL

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LIEUX COMMUNS

LIEUX COMMUNS

ROY. FAIT L’ACQUISITION D’AIR INNOVATION

REPORTAGE PROMOTIONNEL

La grande entreprise en entretien d’immeubles commerciaux et industriels située à Montréal vient d’annoncer l’acquisition d’Air Innovation, une compagnie québécoise spécialisée dans l’assainissement de systèmes de ventilation.

Roy. compte désormais une nouvelle division, Air Innovation. L’entreprise complète ainsi son offre de services, en proposant à sa clientèle l’assainissement de systèmes et de conduits de ventilation afin d’assurer la qualité de l’air dans les immeubles. Une nécessité que la crise sanitaire actuelle a mise en évidence. «On sentait qu’il y avait un besoin dans le marché. Ça prévient la propagation des virus que de faire l’entretien des systèmes de ventilation. Autant les gens ont négligé cet aspect dans le passé, autant c’est devenu aujourd’hui une préoccupation pour tout le monde », commente Julie Roy, présidente et chef de la direction.

L’APPORT D’UNE EXPERTISE

Compagnie créée en 2003, Air Innovation s’est imposée comme un chef de file dans son domaine. Depuis plusieurs années, Roy. faisait d’ailleurs appel à ses services en sous-traitance. Son propriétaire, Martin Garon, avait déjà manifesté son intention de vendre l’entreprise. Au début de l’année 2021, Roy. a décidé de procéder à l’achat d’Air Innovation, qui s’est conclu cet été. «On est allés chercher les meilleurs dans l’industrie», déclare Marc-André Tessier, vice-président, développement des affaires.

S’il était important pour Roy. d’offrir un service additionnel à sa clientèle, l’idée était également de pouvoir s’appuyer sur une expertise. « J’aime à penser que les clients nous font confiance, affirme Julie Roy. Quand on met le nom de Roy. sur un service, c’est parce qu’on est prêts à en assumer les risques. Alors, on voyait une belle occasion d’être un partenaire de confiance pour nos clients, mais en même temps, on ne voulait pas s’improviser là-dedans. Donc, il fallait aller chercher des professionnels avec qui travailler. C’est pour cette raison qu’on s’est alliés avec une compagnie fondée en 2003, avec des équipes déjà formées et de confiance, de qui l’on pourra apprendre au profit de cette nouvelle division. »

UNE DEMANDE FORTE, DES TECHNICIENS EN RENFORT

À la suite de l’acquisition, Martin Garon a intégré l’équipe de Roy., tout comme l’ensemble des techniciens d’Air Innovation.

Actuellement, Roy. forme d’autres techniciens à même son personnel afin de répondre à la demande. « Quand on a fait l’acquisition, notre carnet de commandes était déjà plein. Ça s’est accentué ces derniers mois », souligne Marc-André Tessier. Toutefois, précise-t-il, «la demande était déjà présente avant la pandémie dans le commercial, l’industriel et l’institutionnel. Mais les gens faisaient nettoyer les conduits dans leurs édifices une fois tous les cinq ans. Maintenant, c’est une fois et même deux fois par année. Donc, ils veulent accentuer le nettoyage de leurs conduits de ventilation. »

JULIE ROY

Présidente et chef de la direction

DES TAPIS AUX CONDUITS

Réalisé par des techniciens spécialisés et certifiés, l’assainissement de systèmes de ventilation consiste à nettoyer les conduits et tout le réseau de ventilation, comme les unités, les ventilateurs, les ser pentins, l’apport d’air frais, les filtres, les grilles et les diffuseurs d’air. Ainsi, les conduits de ventilation, d’alimentation, de retour et d’évacuation d’air et les diverses autres composantes sont inspectés, nettoyés et désinfectés au moyen d’équipements robotisés de pointe.

Au cours de l’inspection des conduits d’aération, l’équipe de techniciens évalue la quantité de poussière selon les normes de l’Institut de recherche Robert-Sauvé en santé et en sécurité du travail (IRSST) et de la National Air Duct Cleaners Association (NADCA). Pour détecter la présence de contaminants dans un système de ventilation, elle prélève des échantillons de bactéries, de levures et de moisissures.

Les techniciens de la nouvelle division Air Innovation se rendent partout au Québec et en Ontario; ils travaillent dans les secteurs commerciaux, industriels, institutionnels, pharmaceutiques et alimentaires.

UNE CIBLE À ATTEINDRE

Pour la présidente et chef de la direction, cette acquisition s’insère aussi dans l’objectif plus global de l’entreprise de devenir le meilleur employeur au Canada d’ici 2025. En formant de nouveaux techniciens parmi ses équipes, Roy. veut ainsi offrir des perspectives d’avancement à ses employés.

« Ce qui fait qu’on est un bon employeur, c’est qu’on donne beaucoup d’opportunités à nos équipes. La meilleure façon de s’assurer que les gens évoluent dans l’entreprise, c’est en créant de la croissance. Alors, il y a toujours de nouveaux postes. D’ailleurs, notre service de ressources humaines travaille à déployer des plans de formation continue de dévelop pement des compétences. C’est dans notre ADN de faire croître nos gens », conclut Julie Roy. n

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FRANÇOIS BENDER

Courtier immobilier agréé et directeur Bender et Associés

FRANÇOIS BENDER, COURTIER IMMOBILIER À QUÉBEC REPRÉSENTER LES UTILISATEURS D’ESPACES

PAR JOHANNE LANDRY, JOURNALISTE

Il a pris la relève de son père. Sa valeur ajoutée: comprendre les besoins d’une entreprise, son orientation stratégique, puis l’arrimer avec une solution immobilière adéquate. Rencontre avec François Bender, courtier immobilier agréé et directeur de Bender et Associés.

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n 1997, Mark Bender a constaté que les locataires et les utilisateurs d’espaces étaient peu représentés dans le marché de la ville de Québec, et c’est pour occuper ce créneau qu’il a fondé l’agence immobilière Bender et Associés, après avoir travaillé 18 ans chez IBM Canada. Son approche: transposer des éléments de la culture IBM à son entreprise et allier la rigueur, la qualité totale et la satisfaction du client dans la gestion de situations délicates et complexes.

Son fils François étudiait alors en administration. «J’ai toujours aimé les affaires. Tout jeune, j’avais déjà démarré de petits commerces», affirme celui-ci. Deux ans plus tard, lorsqu’il s’est affilié à Devencore, Mark Bender a fait remarquer à son fils que de belles occasions de développement d’affaires se présentaient dans ce contexte. François, inscrit à l’Université Laval, marque alors un léger tournant pour ajouter le profil gestion urbaine et immobilière à son cursus et rejoindre son père au début des années 2000. «J’ai sauté dans cette aventure à pieds joints et je m’y suis tout de suite senti inspiré, relate François Bender. Mon père a été un bon mentor; il avait une approche bien plus conseil que seulement transactionnelle; écouter les besoins, comprendre, c’est sa force.»

Il faut du temps pour devenir un bon courtier immobilier. François a mis cinq ans à acquérir l’expérience nécessaire pour jouer dans la cour des grands, en gérant des transactions de plus en plus importantes et en représentant des clients d’envergure accrue. Comment s’est déroulé le passage du flambeau père-fils? «Il était structuré et inspirant, répond-il. Entre père et fils, on se dit les choses plus directement qu’entre employés, c’est un aspect auquel il a fallu faire attention.»

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Le nouveau centre de distribution de Simons, dans l’Espace d’innovation Chauveau

Aujourd’hui, Mark Bender ne pilote plus de transactions, mais il demeure conseiller stratégique auprès du cabinet. «Il apporte une vision plus globale, moins sur l’arbre et davantage sur la forêt, et ça génère d’excellentes idées», dit François, maintenant associé à Marie-Jasmine Cantin Obando, bachelière en gestion internationale de l’Université Laval, qui apporte une expérience en fusion et acquisition d’entreprise. «Nous travaillons en équipe et nos clients apprécient notre approche combinée», ajoute François Bender.

Depuis la fusion de Devencore avec Avison Young, l’agence immobilière Bender n’y est plus affiliée, mais travaille encore régulièrement avec eux.

MALGRÉ LES OBSTACLES, UNE TRANSACTION RÉUSSIE

Depuis quelques années, Bender et Associés entretient une relation de conseiller avec l’entreprise Simons. Son entrepôt, situé dans le parc industriel Frontenac, ne répondait plus aux besoins. «Il avait été agrandi au fil des années, un peu en pelure d’oignon. Les dirigeants de Simons se questionnaient sur son efficacité, car leur croissance pancanadienne changeait la donne. Ils ont décidé, après plusieurs études, de construire un nouveau centre de distribution dans l’Espace d’innovation Chauveau. Ils nous ont demandé de vendre l’ancien entrepôt», raconte François Bender.

Caractéristiques de l’immeuble: 450 000 pi2, un bâtiment développé pour un unique propriétaire occupant, un besoin qui ne court pas les rues à Québec. «Nous avons donc procédé à des analyses de coûts de transformation pour le rendre attrayant à la location à de multiples usagers. Bien entendu, nous avons eu plusieurs offres d’investisseurs à prix réduit, mais notre objectif était plutôt de donner au bâtiment une valeur ajoutée. Notre stratégie a été de trouver un locataire qui occuperait une grande partie de l’immeuble et de transformer le reste en espaces plus petits. Et nous y étions arrivés. Nous avons reçu des offres intéressantes d’investisseurs non seulement locaux, mais aussi d’ailleurs dans la province et même au Canada. Nous avions mis l’immeuble suffisamment en valeur pour obtenir le prix que nous souhaitions», poursuit François Bender.

Puis est arrivé le fatidique mars 2020, et tout s’est écroulé. Devant l’incertitude, les acheteurs se sont retirés, et la transaction a été mise sur la glace. «Depuis, on a vu que la crise sanitaire a favorisé le marché du secteur industriel», fait remarquer le courtier immobilier.

Nouveau revirement de situation, et l’ancien entrepôt Simons a finalement trouvé un acquéreur, le Réseau de transport de la Capitale (RTC) pour lequel cet emplacement stratégiquement positionné à quelques minutes des accès aux autoroutes Henri-IV et Robert-Bourassa répond à des besoins majeurs de remisage et d’entretien des autobus. «C’est finalement une super transaction, d’une valeur de 32,5 millions de dollars, commente François Bender, et cela malgré toutes les embûches qu’on a rencontrées. Pour le RTC, il n’était pas évident de trouver un immeuble d’une telle superficie à Québec, où l’on a davantage de propriétaires qui occupent des bâtiments industriels de moindre taille. Nous avons réussi à tirer notre épingle du jeu avec un produit génial, mais très niché.»

«Plusieurs facteurs nous conduisent vers un marché favorable aux utilisateurs et aux locataires, notamment une augmentation prévisible de l’offre d’espaces.»

– François Bender

UN CONTEXTE D’INCERTITUDE

François Bender précise sa conception d’un rôleconseil. «Trouver de l’espace, dit-il, c’est relativement facile. Il s’agit d’obtenir des informations qui, dans le monde d’aujourd’hui, sont de plus en plus disponibles partout. La valeur que nous ajoutons à nos services, c’est d’orienter l’immobilier selon les objectifs stratégiques de l’entreprise, qui sont propres à chacune. Plusieurs d’entre elles ont besoin de flexibilité parce qu’elles ne savent pas si elles obtiendront tel projet ou si un mandat important se terminera dans quelques mois.»

La flexibilité ne rime certes pas avec des baux de longue durée. La pandémie entraîne des transformations majeures dans l’organisation du travail, un mouvement qui par ailleurs s’amorçait déjà avant l’apparition du coronavirus. Conséquence: il est difficile pour les locataires d’évaluer l’espace dont ils auront besoin à long terme, et ils ne veulent pas non plus dépenser des sommes importantes dans l’aménagement de lieux sans savoir combien de temps ils les occuperont. «Plusieurs facteurs nous conduisent vers un marché favorable aux utilisateurs et aux locataires, anticipe François Bender, notamment une augmentation prévisible de l’offre d’espaces.»

Le marché des bureaux, à Québec, ce sont quelque 21 millions de pieds carrés, précise-t-il, largement occupés par les compagnies d’assurance et les services gouvernementaux qui iront, prévoit-il, de plus en plus vers le télétravail et les postes de travail non attitrés, donc vers une réduction des superficies occupées.

Comment se sent-il dans un contexte d’aussi forte incertitude? «Je trouve ça stimulant, répond-il. Il y a de beaux défis qui demandent de revoir les milieux de travail. Les études semblent démontrer que les employés ne veulent plus revenir au bureau à plein temps.» Après la tendance à offrir aux employés des milieux de travail agrémentés de multiples services, de gymnases, de salles de yoga, de grandes cuisines fonctionnelles, autant de façons de les inciter à demeurer au bureau le plus longtemps

De Rico Laflamme Cassidy Perreault Carrier

T 418-780-2330 | 1-877-780-2330 | F 418-781-0728 300-3200, chemin des Quatre-Bourgeois Québec (Québec) G1W 0G8

AU SERVICE DE VOS VALEURS!

JBC MÉDIA PAR LAËTITIA BOUDAUD

possible, la COVID-19 vient poser de nouveaux défis aux employeurs au chapitre de la motivation, mais surtout de l’attraction et de la rétention de la main-d’œuvre, selon le courtier immobilier.

«Les employeurs ne pourront plus exiger une présence sur place à plein temps, et leur personnel se sentira moins attaché. Il leur faudra offrir aux employés la possibilité de travailler de n’importe où et à n’importe quel moment tout en conservant une certaine rigueur. Et offrir au bureau ce que les gens n’ont pas à la maison, c’est-à-dire des contacts avec leurs équipes et leurs collègues pour entretenir le sentiment d’appartenance et le plaisir de socialiser», expose François Bender.

SE CONCENTRER SUR LE MOMENT PRÉSENT

Père d’un garçon et d’une fille respectivement âgés de 11 et de 4 ans, François Bender entretient de multiples centres d’intérêt après les heures de travail. La musique, car il joue du banjo et de la basse avec des groupes; l’entraînement, entre autres au triathlon; les arts martiaux et la pêche.

«Quand tu joues de la musique, si tu penses en même temps à ton travail ou à ta famille, tu ne seras pas bon. Quand tu essaies d’attraper un saumon, il faut que tu te concentres sur la mouche et sur la rivière. Ce sont des activités qui m’aident à m’imprégner du moment présent, qui me font relaxer et qui me font du bien», confie-t-il.

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