Piccolo MR | n°36

qui recycle tout, sauf ses articles !

 Agenda

Edito

 En bref...Et en images

Pensée libérale

 International

Dossier | Énergie et Climat : les enjeux de demain

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Et tu disais ?

Près de chez vous

Congrès

PiccoloMR | n°36 | Mars-Avril | www.jeunesmr.be |

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Agenda

25 avril 2015

"Start (me) Up !", le Congrès politique à ne pas manquer !

Le samedi 25 avril 2015, les Jeunes MR organisent à Louvain-La-Neuve leur Congrès "Start (me) Up!" sur l'entrepreneuriat et le "boom" des startups en Europe. Au programme, trois workshops: « Les défis de l’entrepreneuriat en 2015 », « Lancer sa startup : tout un concept ! » et « Comment je finance ma startup ? ». Ne ratez pas cette occasion unique de venir discuter, débattre et définir les mesures de demain en matière d'entrepreneuriat, en présence d'experts et au sein d'une des plus importantes plateformes de co-working de Wallonie.

01 mai 2015 say cheese avec les jeunes mr lors de la fÊte du travail à jodoigne Cette année encore, les Jeunes MR seront présents à Jodoigne avec une Cheesebox, en collaboration avec la FEL et Jeunes & Libres.

L’occasion de venir te faire tirer le portrait de façon amusante et décalée, mais aussi de repartir avec ses photos en souvenir.

Sans oublier nos fédérations provinciales et sections locales qui se mobiliseront également ce 1er mai via différents stands !

tous les dimanches

Envie de te préparer aux 20 km de bruxelles ? Viens courir avec les jeunes mr bruxellois!

Tu veux impressionner tes amis en terminant les 10km d’Uccle, les 10km ou 20km de Bruxelles sans courbatures?

Les Jeunes MR d'Uccle et les Jeunes MR de la Région de Bruxelles-Capitale t'offrent LA solution: un entraînement hebdomadaire !

Retrouve toutes les dates d'entrainement sur notre site web, dans la rubrique Agenda.

N'hésite pas à confirmer ta présence via jmrbxl@gmail.com ou au 0497/432.698.

16 mai 2015 belgian pride - kiss me i'm liberal 7e participation à la Belgian Pride cette année pour les Jeunes MR! Pour cette 20e édition, nous maintenons notre collaboration avec le MR, l’Open VLD et les Jong VLD afin de mettre sur pied un char commun et montrer notre soutien à la communauté LGBTI pour toujours plus de liberté et de respect !

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Retrouve encore plus d'activités et d'événements sur le site des jeunes MR

 Edito Avril amène avec lui un renouveau printanier de la nature, et dès lors quoi de mieux pour le PiccoloMR de traiter d’une question « verte », le climat et son corollaire énergétique ?! Ne vous inquiétez pas, nous ne vous rabâcherons pas les oreilles des mêmes sempiternels conseils ! Les problèmes énergétiques, nous en entendons régulièrement parler : sécurité de nos centrales nucléaires, black-out hivernal, le fameux photovoltaïque, etc. À la place, nous vous proposons de découvrir une approche différente de ce que vous avez l’habitude d’entendre et de lire. Non, le climat n’est pas une question à laquelle seule l’écologie politique peut répondre, ou tente de répondre.

Vous pourrez ainsi découvrir un autre aspect du libéralisme, celui du développement durable.

Que serait un PiccoloMR sur l’énergie si nous n’avions pas pris la peine d’interroger la Ministre fédérale de l’énergie, Marie-Christine Marghem ?

Elle se livre à une présentation de la situation énergétique du pays et des enjeux auxquels nous allons devoir répondre dans les prochaines années. La Belgique n’est pas seule face à l’énergie et à ses interrogations. L’Europe tout entière s’y retrouve confrontée et propose ce qu’elle appelle l’Union de l’énergie.

N’hésitez pas à nous contacter afin de réagir aux articles, ou de nous proposer votre plume pour les prochains numéros à venir ! Quoiqu’il en soit, nous serons heureux de vous retrouver lors de nos prochaines activités, dont le Congrès "Start (me) up!" et le 1er Mai !

En bref & en images

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PensÉe libÉrale

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Le like et le dislike du mois,...

Libéralisme et déceloppement durable sont-ils (in)compatibles?

Dossier

Energie et Climat : les enjeux de demain

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Et tu disais?

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international

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Twitto’s & comment’s

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Une nouvelle rubrique pour ton PiccoloMR

Paris 2015 : la dernière chance de sauver notre planète?

Tour d'horizon des Jeunes MR sur les réseaux sociaux

près de chez vous

Retour sur les activités locales, provinciales et nationales des Jeunes MR

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PICCOLO MR n°36 Mars - Avril 2015 Éditeur responsable : Mathieu BIHET Rédacteurs en Chef : Julien FORTIN & Frédéric Vanderstraeten Graphiste - infographiste : Thomas Pieterhons Comité de rédaction : Gwenaëlle Williot | Florent Dufrane | Mathieu Bihet | François Burniaux | Charles HOSTEN | Gilles Agosti | Hubert Chapelain | Steve DETRY | Jessica Mayon | John DE COSTER | Julien WELCH Julien FORTIN & Frédéric Vanderstraeten Rédac’Chefs

Numéro d’identification ISNN : 1784-7192 Jeunes MR ASBL, Avenue de la Toison d’Or, 84-86 à B-1060 Bruxelles

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Le chiffre du mois

 En bref...Et en images La photo qui tue

LE SITE DU MOIS

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LE disLIKE DU MOIS L'Action commune socialiste Elio Di Rupo, Jean Pascal Labille et Marc Goblet (Les Riri, Fifi et Loulou de la gauche) relancent l'Action Commune socialiste. Un rassemblement, dans un combat commun, des différentes organisations membres du pilier socialiste, dont les trois principales sont la mutuelle, le syndicat et le parti.

Ils ont donc pris leur bâton de pèlerin afin d'aller dénoncer et critiquer les "attaques contre la Sécu" de ces méchants qui gouvernent le pays.

Bref… Riri, Fifi et Loulou partent à l'attaque de la droite qui "veut attaquer le modèle que les socialistes ont construit"…

Dites les gars, c'est pas vous qui cumuliez un peu plus de 25 ans au pouvoir? Si vos idées étaient si formidables, cela se saurait depuis longtemps non?

Petite piqûre de rappel. Ce sont pourtant bien vous qui avez procédé à certaines réformes sociales, en matière de chômage notamment, qui n'étaient guère… sociales.

L'exclusion du chômage, la limitation dans le temps des allocations. Cela ne vous dit rien? Pas d'Action Commune socialiste? Le refus de la FGTB de négocier des accords sociaux, on en parle?

Tiens en y réfléchissant, puisque l'Action commune socialiste est de nouveau sur les rails, ce serait quand même bien sympa d'aller à l'attaque des mesures antisociales du Gouvernement wallon.

La phrase du mois "Les

socialistes sont au pouvoir en Wallonie, qu'ils assument et qu'ils fassent leur impôt [sur la fortune] en Wallonie"

Ah non, ... pardon...

Hervé Jamar Ministre fédéral du Budget

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milliards

C'est le montant 2014 de l'excédent commercial et des exportations record en Allemagne. Il s'agit du plus haut niveau depuis la création de cette statistique. Les importations record de l'Allemagne ont permis une hausse de 11% de l'excédent en un an. En comparaison, la Belgique, affiche pour l'année 2014 un déficit de 5,5 milliards d'euros même si les exportations belges ont augmenté de 1,2% par rapport à l'année 2013.

LE LIKE DU MOIS

Etablissement de la filiation pour les couples homosexuels Il y a quelques mois encore, la seule possibilité pour un couple homosexuel d'être reconnu légalement parent de l'enfant biologique de son conjoint ou de son partenaire était l'adoption. Depuis ce 1er janvier 2015, grâce au MR et à Christine Defraigne (co-dépositaire du Projet de Loi), les couples de femmes peuvent enfin établir leur filiation à l’égard de leur enfant de la même manière que les couples hétérosexuels. Même si cette nouvelle loi s'applique uniquement lorsqu'il existe un lien biologique entre l'enfant et l'un des deux membres du couple, on peut se réjouir de voir que la Belgique est une fois de plus un pays ouvert et avant-gardiste.

Cette loi va même plus loin car la coparente mariée à la mère de l'enfant voit sa filiation établie de manière automatique. Quant à la coparente non mariée à la mère de l’enfant, elle peut faire une reconnaissance à l’Administration communale pour établir sa filiation. Pour les anti-libéraux, voici donc un acte supplémentaire qui prouve bien que nous sommes progressistes et non pas conservateurs comme certains voudraient le faire croire.

F u a

Libéralisme et développement durable sont-ils (in)compatibles?

Pensée libérale Intéressons-nous à une interview qu'il a donnée en 2003 (disponible sur le site www. contrepoints.org). Parmi les divers sujets abordés dans cet entretien, retenons tout d'abord le regard que porte Friedman sur un des faits marquants de la fin du siècle précédent : la chute du mur de Berlin, qui a mis fin à une expérience grandeur nature qui se déroulait depuis près d’un demi-siècle.

D’un côté, on avait l’Union soviétique avec son système marxiste d’économie centralement planifiée. De l’autre, les pays occidentaux avec des économies plus ou moins mixtes, mais dont aucune ne se rapprochait, même de près, de ce qui se passait en URSS. Suite à l'effondrement de l'Union soviétique, rares sont ceux qui croient encore aux vertus de l’économie planifiée. La population, désormais, se déclare massivement favorable à l’économie de marché, même si pour beaucoup, les actes ne sont pas toujours en accord avec les discours. Dans le reste du monde également, si on ne peut pas parler partout de liberté économique ni politique, le modèle de l'économie entièrement planifiée et centralisée est peu à peu délaissé.

Milton Friedman, économiste libéral américain né le 31 juillet 1912 à New-York et décédé le 16 novembre 2006 à San Francisco, est l'un des économistes les plus influents du XXe siècle. Critique virulent de l'interventionnisme étatique, il a reçu le Prix Nobel d'Économie en 1976.

Il considère que le principe d'une fiscalité écologique est compatible avec un régime de marché. Pour lui, deux solutions existent. La première technique est celle de la taxation des rejets polluants (par exemple, les rejets que les centrales électriques émettent dans l’atmosphère). Ce principe devrait pouvoir être mis en place lorsqu'il s’avère concrètement impossible d’assigner les coûts d’une pollution à un individu en particulier. Ce n'est pas une solution parfaite puisqu'il est impossible de calculer le montant optimal d'une telle taxe. L'idée d'un « niveau optimal » de pollution est d'ailleurs absurde, il faut donc trouver la technique la moins pénalisante, soit la taxation des déchets selon Friedman.

Marchés de droits La seconde technique est celle des « marchés de droits ». Elle s’applique lorsque, à tort ou à raison, il a été décidé d’imposer des normes quantitatives de pollution. L’intérêt de la collectivité est que ses objectifs de dépollution soient atteints aux moindres coûts possibles de manière à minimiser les dépenses. Le système consiste à attribuer à chaque établissement industriel un permis de polluer (dans les limites autorisées par la réglementation) qui peut ensuite être librement revendu à une autre entreprise sur un marché spécialement organisé. L’avantage de cette formule Développement durable est d’inciter l’industrie à concentrer ses Concernant le « développement durable », efforts de dépollution dans les entreprises c’est-à-dire l’idée selon laquelle la croissance qui peuvent le faire aux moindres coûts. n’est pas une fin en soi et qu’elle doit préserver Tout le monde y gagne en efficacité. les grands équilibres de la planète, Milton Friedman considère que l’environnement est Milton Friedman n'était pas favorable à la un problème à aborder de façon réaliste. S'il ratification d'un accord international dans ce admet que l’État a un rôle à jouer en matière domaine, mais pensait qu'il valait peut-être de lutte contre les pollutions, la question mieux laisser chaque pays agir individuellement. est de savoir comment. Doit-il agir par voie En effet, l'Histoire a démontré que les pays réglementaire ou par des mécanismes de qui polluent le plus sont ceux où la liberté prix et de marché ? Friedman affirme que les économique est la moins développée. L’exsolutions de marché se montrent supérieures Union soviétique en était un bel exemple. aux outils réglementaires.

Même en matière de pollution, la liberté est quelque chose qui compte.

Jessica MAYON

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 Dossier | Énergie et Climat : les enjeux de demain

Qui a dit que les matières énergétiques et climatiques étaient la chasse gardée des partis écologistes ?

Ou même, de la gauche ? Trop souvent, la droite est caricaturée comme le paillasson des gros entrepreneurs pollueurs, comme les pyrrhoniens de l’urgence climatique. Au contraire, en tant que jeunes et libéraux, nous sommes convaincus de l’importance de ces dossiers. Par principe de responsabilité, d’abord, vis-à-vis des générations futures. Mais aussi au vue des opportunités que pourrait offrir une économie de marché libérale, innovante et durable.

John De Coster : À l’heure actuelle, peut-on considérer la Belgique comme un bon élève en matière d’énergie?

Marie-Christine Marghem : À ce propos, je serai franche : je dois pallier l’absence de politique énergétique dans notre pays depuis 15 ans. Dès que j’ai été nommée Ministre, j’ai été confrontée au risque d’un black out. C’est vous dire que le défi est de taille ! Heureusement, on y a échappé cet hiver grâce à une météo clémente. Mais tout reste à faire. En attendant la mise en place de mesures à plus long terme, il faut trouver des solutions à court terme telles que la prolongation de Doel 1 et 2.

« Trouver un mix énergétique équilibré et durable sera l’enjeu majeur du Pacte interfédéral que je prépare avec les Régions » C’était la surprise du Gouvernement Michel et, pourtant, elle a su imposer sa marque de fabrique.

Franche et travailleuse, Marie-Christine Marghem a hérité du Ministère de l'Énergie, de l'Environnement et du Développement durable. Ce portefeuille, trop souvent sousestimé, touche pourtant de près tous les citoyens belges. En étroite collaboration avec sa cheffe de cabinet Anne Junion et entourée de nombreux experts, Marie-Christine Marghem a très rapidement démontré toute l’étendue de ses compétences sur des dossiers complexes en matière d’Énergie et d’Environnement. Il faut dire que sa prise de fonction n’a pas été de tout repos : menace de blackout, microfissures nucléaires, polémique sur l’éolien, sommet de Paris en décembre prochain, etc.

En exclusivité pour ton Piccolo, la Ministre fédérale a accepté de nous éclairer, sans tabous, sur les grands enjeux énergétiques et climatiques d’aujourd’hui… Et de demain !

Une interview réalisée par un tout nouveau membre de notre Comité de rédaction, John De Coster.

JDC : On voit qu’en Belgique, l’utilisation des sources fossiles, comme le gaz naturel ou le mazout, est bien ancrée dans nos habitudes énergétiques. Pourrait-on envisager de se passer de ces sources fossiles dans notre pays ?

MCM : Comme vous y allez, se passer du gaz ou du mazout… Qu’il s’agisse du dernier rapport de l’Agence Internationale de l’Énergie, de celui du SPF Économie, de la Direction Générale de l’Énergie ou bien du Bureau du Plan, tous s’accordent sur l’utilisation probable des différentes sources d’énergie à l’horizon 2050.

Qu’en déduire ? Le gaz constituera toujours une de nos sources essentielles d’énergie. Quant au charbon, il représentera toujours, à l’échelle mondiale, une des ressources les plus utilisées et le pétrole sera présent en tout pendant au moins plusieurs centaines d’années…

En Belgique, les études prospectives d’électricité prévoient un mix composé, presque pour moitiés égales, des ressources d’énergies renouvelables et d’unités thermiques gaz. Nous devons, pour l’heure, assurer une transition énergétique difficile. Nos unités nucléaires approchent de leur fin de vie et, en 2025, nous devrons avoir mis en place des unités de production capables de pourvoir à leur remplacement et d’assurer l’approvisionnement en électricité, aux conditions que j’ai évoquées il y a quelques instants. Trouver un mix énergétique équilibré et durable sera l’enjeu majeur du Pacte interfédéral que je prépare avec les Régions.

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JDC : Face à des énergies renouvelables peu matures, doit-on craindre le recours à d’autres sources d’énergie controversées comme le gaz de schiste, voire même d’effectuer un retour en arrière vers le charbon, comme chez nos voisins allemands ?

MCM : Il ne faut pas s’étonner qu’en Europe, comme en Allemagne ou en Pologne, ou dans le monde, en Asie, aux États-Unis ou en Australie, on observe le développement de certaines techniques controversées.

On y constate également le retour en force de ressources que l’on croyait passéistes…

Ainsi, le charbon, que d’ailleurs l’AIE voit en 2050 comme l’une des premières ressources mondiales, effectue un retour remarqué. Je n’exprime pas d’opinion particulière quant à cette source d’énergie, j’observe simplement que nos voisins allemands parviennent, grâce à l’utilisation de nouvelles techniques, à exploiter cette ressource très abordable, en respectant les normes européennes en matière environnementale. Dans le respect de la déclaration gouvernementale, j’examine, sans tabous, les différentes solutions que nous pouvons mettre en œuvre, dans le respect des normes européennes et nationales pour assurer à nos concitoyens et à nos entreprises une énergie à des conditions économiques favorables et durables.

« Je défie quiconque de me dire comment nous pourrions assurer l’approvisionnement énergétique de la Belgique dans les années qui viennent sans avoir recours au nucléaire » JDC : Le nucléaire est souvent présenté comme le remède à tout en matière d’énergie. Ne montre-t-il pas ses limites avec les récents rapports sur Doel 3 et Tihange 2 ? Pourrons-nous nous en passer dans un futur proche ?

MCM : À moins de me référer à quelques oracles, il m’est impossible de vous dire si nous pourrons, dans l’avenir, nous passer du nucléaire. C’est une question, à la fois, d’évolution technique et d’évolution des mentalités. Pour l’instant, nous en avons besoin et je défie quiconque de me dire comment nous pourrions assurer l’approvisionnement énergétique de la Belgique dans les années qui viennent, sans avoir recours au nucléaire, tant que nous en disposons encore.

Il appartiendra certainement aux gouvernements qui succéderont à celui-ci d’en décider.

En attendant, je me tiens à l’accord du gouvernement qui prévoit la fermeture des centrales actuelles entre 2022 et 2025 au plus tard.

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JDC : Et l’éolien dans tout ça? Cela semble être une réelle alternative « verte » mais sous quelle forme doit-on l’appréhender? À la manière du Ministre Carlo Di Antonio (CDH), sous-entendant le-dit « petit éolien » ou vu sous un autre angle ?

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MCM : Si l’énergie éolienne est une énergie inépuisable, comme le solaire d’ailleurs, elles ont en commun d’être intermittentes. Cette intermittence cause beaucoup de problèmes aux gestionnaires de réseaux qui doivent, en permanence, assurer l’équilibre entre production et demande et sont contraints pour parer à ces variations continues de déployer d’importants et coûteux moyens de flexibilité.

L’éolien n’en est pas moins une précieuse ressource, mais qu’il faut intégrer progressivement à nos réseaux, ce qui implique la mise en place de moyens additionnels de régulation comme le stockage d’énergie.

Autre élément important : l’énergie verte est fortement subsidiée. Ce qui a un impact sur le coût de l’électricité pour le consommateur final, qu’il s’agisse d’un particulier ou d’une entreprise. Je dois donc tenir compte de ces différentes contraintes.

Dossier | Énergie et Climat : les enjeux de demain

« La Belgique soutient fermement l’idée de la création d’une Union européenne de l’Énergie » JDC : On parle beaucoup de l’Union de l’Énergie (cf. page 10) en ce moment. Comment mener une politique énergétique commune au niveau européen ?

MCM : Tout d'abord, la Belgique soutient fermement l'idée de la création d'une Union européenne de l'Énergie basée sur les cinq piliers tels que présentés par la Commission, à savoir : la sécurité, la solidarité et la confiance; l’achèvement du marché intérieur; la modération de la demande énergétique (efficacité énergétique); la décarbonisation de l’économie; la recherche et l'innovation technologique. Une plus forte coordination des politiques énergétiques nationales aura de nombreux avantages liés à la sécurité de l'approvisionnement de l’ensemble des États membres de l’UE. L’Union trace donc un cadre, définit les objectifs mais les États disposent encore d’une large autonomie pour les atteindre.

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JDC : Le Sommet de Paris (cf. page 12) aura lieu à la fin de cette année. Quelles ambitions se profilent à l’horizon ?

MCM : En décembre 2015, à Paris, les pays du monde entier s’engageront, via le Protocole de Paris, à lutter contre le réchauffement climatique. Cet Accord entrera en vigueur en 2020 pour succéder au Protocole de Kyoto.

Il est important de distinguer l’Accord proprement dit et les contributions faites par les Parties dans le contexte de l’Accord. En effet, de nombreux signes avant-coureurs indiquent que les contributions proposées par les Parties dans le contexte de l’accord post-2020 ne seront pas suffisamment ambitieuses pour réaliser notre objectif commun visant à limiter le réchauffement à maximum 2°C par rapport au niveau préindustriel. Ceci s’applique aussi pour les engagements pris par les Parties avant 2020 sous le protocole de Kyoto.

Pour faire face à ces défis, nous souhaitons inclure dans l’accord de la Convention de Paris un « cycle d’ambition », qui obligerait les Parties à reconsidérer leurs niveaux d’ambition tous les 5 ans, en prenant en compte les développements scientifiques et les développements technologiques les plus récents. Ceci devrait permettre d’augmenter le niveau d’ambition graduellement pendant les années à venir et de nous rapprocher d’une trajectoire d’émissions compatible avec l’objectif de 2°C. En outre, il est indispensable que l’accord définisse des règles communes pour mesurer, vérifier et comptabiliser les émissions des Parties, afin de préserver l’intégrité environnementale, éviter le double comptage et mesurer l’ambition individuelle et collective.

« Nous souhaitons inclure dans l’accord de la Convention de Paris un "cycle d’ambition", qui obligerait les Parties à reconsidérer leurs niveaux d’ambition tous les 5 ans »

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 Dossier | Énergie et Climat : les enjeux de demain Cet événement est passé quasiment inaperçu dans la presse, malgré son importance symbolique. Le 4 mars 2014 s’est tenu à Madrid un « mini-Sommet » européen de l’Énergie entre les représentants de l’UE, la France, l’Espagne et le Portugal. Au programme de cette réunion : les interconnexions énergétiques entre la péninsule ibérique et le reste de l’Europe, ou plutôt l’absence de celles-ci. En effet, depuis longtemps, l’Espagne et le Portugal sont fortement isolés du marché intérieur européen de l’Énergie dont l’objectif est, depuis la signature du Traité de Rome en 1952, de renforcer les échanges de gaz et d’électricité entre les États membres. D’importants efforts ont été consentis par les pays de la péninsule ibérique pour pallier à cet isolement énergétique, comme l’ouverture récente d’une ligne à haute tension entre la Catalogne et la France. Mais le taux d’interconnexions de l’Espagne, par exemple, reste le plus faible d’Europe. C’est pourquoi, lors de ce Sommet, les partenaires européens ont présenté une série de projets qui devraient être financés par l’Union européenne.

Tout est fait pour que la péninsule ibérique atteigne les objectifs européens fixés à 10% d’interconnexions énergétiques d’ici 2020.

Aujourd’hui, l’Espagne est à 2,7%. Et il ne lui reste plus que cinq ans pour rattraper son retard.

Autant dire qu’on est encore loin du compte.

« L’Europe est le plus gros importateur d’énergie au monde.

53% de son énergie provient de l’étranger, ce qui représente un coût annuel de 400 milliards d’euros. » Si l’Union européenne presse la péninsule ibérique à améliorer sa situation dans le domaine de l’interconnexion énergétique, c’est parce qu’elle ambitionne la finalisation de l’Union de l’Énergie afin de répondre aux grands défis de demain dans ce domaine. À l’heure actuelle, l’approche nationale des problématiques énergétiques a fait de l’Europe le plus gros importateur d’énergie au monde. 53% de son énergie provient de l’étranger, ce qui représente un coût annuel de 400 milliards d’euros. Cette

Le grand défi européen de l’Union de l’Énergie dépendance énergétique accrue a de lourdes conséquences sur l’économie des États membres.

Non seulement le prix élevé des factures énergétiques affecte fortement le pouvoir d’achat des ménages mais il affaiblit également la compétitivité des entreprises qui font face à des coûts de production importants. À côté de cela, plusieurs États comme les Pays baltes ou la Pologne vivent dans la crainte d’une coupure d’approvisionnement de la part de la Russie, comme cela a été le cas en 2006 lorsque Moscou a interrompu 3/4 des flux gaziers à destination de l’Europe pour cause de relations tendues avec l’Ukraine. On ne s’étonnera donc pas que, lors de son installation au Berlaymont, la Commission Juncker a rapidement indiqué que l’Union de l’Énergie serait une priorité de son mandat.

« L’enjeu est de taille puisque Paris accueillera, à la fin de cette année, la Convention des Nations Unies sur les changements climatiques » La stratégie énergétique définie par la Commission européenne repose sur trois axes principaux : la compétitivité, la sécurité d’approvisionnement et la durabilité du marché de l’Énergie en Europe. Ainsi, un marché intégré permettra d’économiser près de 50 millions d’euros, ce qui bénéficiera directement aux consommateurs. Mais l’Union de l’Énergie doit impérativement répondre aussi aux ambitions climatiques de l’UE en vue de refaire de notre continent un partenaire influent dans la lutte contre le réchauffement climatique. Dans cette optique, la Commission européenne a déjà annoncée qu’elle soutiendrait les politiques favorisant l’efficacité énergétique des bâtiments et la mise en place d’un secteur du transport à faibles émissions de CO2. L’Europe misera également sur l’innovation et la technologie dans le domaine de l’énergie et du climat. Et l’enjeu est de taille puisque Paris accueillera, à la fin de cette année, la Convention des Nations Unies sur les changements climatiques, un Sommet déjà considéré par certains experts comme celui de la dernière chance si on veut limiter la hausse des températures à 2°C et éviter les conséquences climatiques liées à un dépassement de ce seuil. À l’issue du Sommet européen du 19 mars, les chefs d’États et de Gouvernements ont entériné à l’unanimité le projet d’une Union de l’Énergie.

Le Conseil européen n’a aucun p ou voir législatif mais, au vu de son influence importante dans les directions prises par l’UE, cette décision se révèle être un bond en avant dans la concrétisation de cette Union. Reste à espérer que l’ambition de la Commission ne doive pas être revue à la baisse par un revirement soudain des États membres, toujours frileux quand il s’agit de perte de souveraineté…

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trop me faire remarquer, je confie à mes oreilles le soin de m’enrichir des propos échangés aux tables voisines. À deux tables de moi, dans un coin, un curieux petit couple semble s’approprier l’espace sonore disponible. La conversation n’est pas conflictuelle mais passionnée, on y parle politique.

Jouissance ! L’orientation politique du jeune homme m’apparaît de façon indiscutable.

Il est de gauche, respire gauche, mange gauche, parle gauche et s’appuie sur sa garde-robe pour le proclamer à la face du monde.

Un T-Shirt « CHE’nge the world » (pauvre Ernesto Guevara) le transforme en porte bannière tout en lui conférant, en accessoire, un petit côté révolutionnaire : « Oui, moi MÔsieur, je me bats".

La jeune fille, quant à elle, paraît indéterminée et subit les airs (je dis bien les airs) gorgés de science de son acolyte. Lorsque celle-ci parvient à insérer quelques propos dans cette Nouvelle rubrique pour ton PiccoloMR : conversation dérivant dangereusement vers un monologue infécond, le Che en herbe s’agace.

Et tu disais ?

Et tu disais ? Ici, nous nous efforcerons de te donner des armes pour défendre le libéralisme que nous chérissons tant face à ces clichés dont nos détracteurs usent sans modération.

Si tu souhaites nous faire part d’un cliché en particulier auquel nous pourrions apporter un argumentaire, n’hésite pas à nous envoyer tes idées à info@jeunesmr.be. Pour inaugurer cette rubrique, voici, en prélude, la narration d’un instant choisi du quotidien que nous avons tous connu dans nos vies de tous les jours.

Une première rédaction pour une nouvelle rubrique, je ne pouvais pas rêver mieux. Une nouvelle rubrique liée à ces mots qui traînent, épars, dans notre quotidien. Ces propos aussi petits qu’énormes qui, lorsque le métro te digère, viennent à ton oreille ou, parfois, sortent de ta bouche comme de la mienne.

Carnet en main, j’ai donc entrepris il y a peu de tendre l’oreille et de récolter la substance de ces incohérences. Herbier de propos caricaturaux, cabinet de clichés, j’espère que tu croiseras au sein de cette rubrique un peu de l’infondé que la rumeur, toute habillée de latin, se permet parfois de soutenir. Il doit être dix-sept heures. Les rues se bondent d’étudiants et de travailleurs rentrant chez eux, les trams affluent, les commerces se remplissent à nouveau et, dans ce petit monde, certains choisissent de prendre le temps de boire un verre comme pour installer un sas de décompression entre leurs deux quotidiens. Installé à la table d’un agréable bistrot, je me réclame de ces derniers. Sans

Yeux au ciel, bouquet de moues désapprobatrices, soupirs irrités, la rage l’emporte. De blanc, il devient rose et, de rose, le voici bientôt rouge comme si son t-shirt l’avait dévoré. Il ne paraît pourtant pas bien méchant et, je dois l’avouer, je retrouve chez ce garçon certains stigmates curieusement familiers : ceux de la passion. Lentement, la jeune fille semble regagner du terrain et, cependant qu’elle détient un temps de parole qu’elle aimerait voir durer un peu plus longtemps que d’ordinaire, le rageux rougeâtre ne la regarde déjà plus. Les mains dans les poches, il observe son verre, torturant sa lèvre inférieure de ses incisives. "Mais tu pourrais quand même comprendre que j’ai pas le même avis que toi, c’est fou quoi…", poursuit la Sainte Patience lui faisant face (plutôt mignonne, au passage). Mutique, il ne répond pas.

Désireuse de régler le différend, la jeune fille se risque à changer de sujet en ignorant que le silence de son ami n’était qu’un arrêt au stand de réparation. La coupant, en frappant du plat de la main sur la table (Waw, la trouille !), le voici plus passionné que jamais, motivé, fin prêt et mûr à balancer, en une phrase, l’artillerie lourde.Il se redresse, lève un doigt vindicatif, entrouvre les lèvres et dit : "Excuse-moi si j’ai fait le choix de la générosité, pas comme ces connards de droite !". Fin de citation. Les mots résonnent encore dans le bistrot bien que l’instant épique soit passé, je m’étouffe dans ma tasse. Il est si fier que cela en est irrésistible, j’aimerais me lever pour le remercier tellement je me marre. Du pain béni !

De retour de ma fructueuse chasse, en terminant cet article, me revient cette phrase de Jules Renard : "Il parlait très peu, mais on voyait qu’il pensait des bêtises".

Permettez-moi d’y apporter quelques retouches modernes et nécessaires à l’illustration du propos, en disant : "Il parlait trop et disait des conneries."

Charles HOSTEN

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Paris 2015 : International

la dernière chance de sauver

notre planète ?

C’est LE rendez-vous climatique à ne pas manquer ! Chaque année, les dirigeants du monde se réunissent lors de la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques afin de prendre des engagements concrets pour lutter contre le réchauffement de la planète. La prochaine Conférence sur le Climat aura lieu en décembre 2015 à Paris et de nombreux experts parlent déjà du Sommet « de la dernière chance »

des outils administratifs, comme le système Redd+ qui prévoit de lutter contre la déforestation. Enfin, il y a des outils plus politiques puisque deux Comités ont été créés pour aider les pays à s’adapter au changement climatique. Le premier vise à mieux coordonner les politiques nationales, que ce soit au niveau de la santé, de l’alimentation, ou de la gestion des écosystèmes alors que le second cherche à faciliter un plus grand accès aux technologies des pays du Nord pour les pays en voie de développement.

Cancùn et la limitation Malgré ce programme à priori ambitieux, de nombreuses critiques sont apparues au sein de la société civile. Certains scientifiques et du réchauffement ONG ont souligné que l’accord de la COP19 n'était pas assez abouti. planétaire à 2°C C’est pour cela que les organisateurs de la Conférence de Paris veulent aller beaucoup plus loin, en évitant de devoir arracher un accord édulcoré à la La dernière Conférence des Nations Unies dernière minute. qui a marqué les esprits est celle de Cancùn (COP19), en 2010. Malgré le caractère non- Aller encore plus loin à Paris, contraignant du texte final, celui-ci a été adopté par l’ensemble des représentants, en décembre prochain! moins la Bolivie qui s’est abstenue. Cet accord est considéré par beaucoup comme L’agenda de la Conférence de Paris a déjà été défini et une grande avancée en la matière par l’objectif des organisateurs est très clair : obtenir un rapport à ceux des précédentes conférences. accord ambitieux et contraignant cette fois-ci.

Cet accord indique clairement le cap à Ce sera l’occasion de dépasser le « symbolisme » maintenir : la limitation du réchauffement des accords précédents pour présenter de planétaire à 2°C en mettant à contribution vrais engagements climatiques pour la les pays riches, tout en insistant sur une préservation de notre planète. Si tout le participation morale à cet objectif de la part monde (ou presque) s’accorde à dire des pays en voie de développement. Plusieurs que le réchauffement climatique outils ont été mis en place pour y parvenir. est une réalité de part les Ces outils sont d’abord financiers avec conséquences de plus en plus l’instauration du Green Climatefund, alimenté visibles autour du globe, reste annuellement à hauteur de 75 milliards à savoir à quel point les d’euros pour aider financièrement les pays pays du monde sont prêts à réduire leurs émissions de CO2. Dans le à s’investir concrètement même temps, une aide financière prévoit dans la sauvegarde de également d’aider les pays les plus pauvres notre planète… dans leur lutte contre les conséquences du Julien FORTIN réchauffement climatique. On retrouve aussi

12 | PiccoloMR | n°36 | Mars-Avril | 2015 |

Twitto’s & Comments JeunescdH

@lesjeunescdh | 28 mars 2015

La jeunesse engagé est créative est là #plushumain # lecdh

Brian Gokas

@BrianG ks | 23 mars 2015

Les @JeunesMRBLA sur Twitter ! #Mrbe

MR de rire

‫@‏‬MR_derire | 22 mars 2015 L'élection à la présidence d'Ecolo c'est un peu les play-offs 3 de la politique. Le suspens en moins pcq on s'en fout autant que du Lierse

Charles Michel

@CharlesMichel | 19 mars 2015 Le gouvernement belge n'a donné de mandat ni à la France ni à l'Allemagne pour négocier en son nom avec la Grèce http://ec.europa.eu/ avservices/ebs/schedule.cfm

Christophe Cordier

@ChristopheCordi | 12 mars 2015 On parle concertation sociale à la Chambre.

Où sont eliodirupo et le @PSofficiel, tjs à la manif ?

Mathieu Bihet

@BIHETMathieu | 11 mars 2015 Girouette - L'avantage avec un nœud pap' est que même quand tu le retournes, personne ne le voit.

COMMENT’S FACEBOOK Maxime Bourlet

"Le socialisme ne fonctionne qu'au paradis, où l'on peut s'en passer, et en enfer, où on l'a vraiment.'"

Thomas Sowell

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@GillesAgosti | 27 fév. 2015

26 / 03 / 2015

Jérôm e de Warzée

Paul Magnette au parleme nt wallon sur l'état de la Wallonie: ''Les régions les plus compétitives sont les régions qui possède nt les villes les plus compétitives.

Par contre, nous n'avons pas pu identifie r de régions gagnantes où ne se trouvent pas de villes gagnantes.'' C'est subtil, ça. Parce qu'à la première lecture, on croit qu'il parle pour ne rien dire, mais à la deuxième lecture, on en a la confirmation.

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23 / 03 / 2015

Steve Detry Au JT de la RTBF, on dit "les libéraux" pour qualifier les membres du Parti Populaire espagnol de Rajoy... ‪#facepalm‬"Sont à droite donc ce sont des libéraux non?"

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18 / 03 / 2015

Nicolas Tzanetatos

Marcour t ne voit pas l'intérêt de répondre à Magali Dock vu qu'il a déjà donné des interviews sur le sujet à la presse… #mediacratie.

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18 / 03 / 2015

Service Communication - Musée National du BARDO/Tunisie VIVE LA TUNISIE VIVE LE BARDO VIVE LE BARDO VIVE LE BARDO VIVE LA CULTURE, L'ART, L'ARCHEOLOGIE, VIVE LE TOURISME TUNISIEN, VIVE LE BARDO

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COMMENT’S FACEBOOK Jessica Mayon

Gilles Agosti

30 / 03 / 2015

12 / 03 / 2015

Lu sur la twittosphère "Les anglais avaient empêché un parisien de prendre le métro, les parisiens empêchent les anglais d'aller en quart. Normal " amusée

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PaulMagnette: C'est là qu'on se demande: à quoi sert le MR au fédéral? #Thalys #Index - Laurette Onkelinx, sors de ce corps ...

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28-02 < 01-03 Liège-Ville

1er Congrès eurEgio

Près de chez vous 06-03-2015

Brabant Wallon Est

Drink d’inauguration de la plurilocale du Brabant Wallon Est Orp-Jauche, Ramillies et Hélécine : 3 petit es communes partageant un mode de vie plus rural mais surtout une convivialité typique, ont décidé d’un ir leurs forces en mettant sur pied la section Jeun es MR du Brabant Wallon Est. Pour lancer officiellement cette section, le nouveau bureau organisait un drink de lancement le 6 mars dernier. Un drink qui a perm is de rencontrer de nouvelles personnes et des jeun es motivés qui sont venus rejoindre les rangs des jeun es libéraux. Pour les contacter : Julie Masuy, Présiden te - juliemasuy@gmail.com.

14 | PiccoloMR | n°36 | Mars-Avril | 2015 |

La première édition du congrès des jeunes libéraux de l’Euregio, rassemblant les Jeunes MR Liège-Ville, les Jeunes MR de la Province de Liège, les Jonge Democraten Limburg, les Jong VLD Limburg, le JOVD Maastricht et les Junge Liberale NRW Aachen and Niederrhein, fut, de l’avis unanime de tous les participants et invités, un véritable succès !

Si les échanges ont été constructifs et ont permis d’aboutir à des propositions communes face à des thématiques en lien avec l’économie, la mobilité, la sécurité et l’enseignement, le congrès fut également l’occasion, pour de nombreux participants ne connaissant pas Liège, de découvrir la Cité Ardente, tant le jour que la nuit. Confronter les avis de plus de cent participants, issus de 5 organisations de jeunesse libérales et de 3 pays différents, fut une expérience très enrichissante !

21 et 28-03-2015

2015 29-03Wavre

Courcelles/Pays de Herve

Grand nettoyage de printemps, une Wallonie plus propre !

Ce samedi 21 mars, les Jeunes MR de Courcelles ont sillonné les rues de la cité Thônes dans le cadre de l’action «Grand Nettoyage de Printemps, une Wallonie plus propre!» Encore une belle récolte de déchets clandestins organisée par cette section. Car la problématique des déchets sauvages est au centre des préoccupations des jeunes courcellois. Comme chaque année, ils ont également débuté leur Action Déchets clandestins…Nos Gilles le valent bien.

Plusieurs journées de ramassage dont une semaine avant le Carnaval de la commune, afin que les sabots de leurs Gilles réveillent le printemps sur fond de pavés «blancs».

Les Jeunes MR du Pays de Herve sont eux-aussi partis à la chasse aux déchets le 28 mars dernier. Une belle mobilisation de terrain de nos jeunes militants.

La grande chasse aux oeufs de wavre Ce 29 mars dernier et à l’initiative des Jeunes MR de Wavre et du Bourgmestre en titre Charles Michel, le Parc du Château de l’Ermitage s’est transformé en un immense terrain de jeux pour le plus grand bonheur des enfants. Trois chasses aux œufs, des animations diverses et variées (châteaux gonflables, piste vélo,…) ont ponctué cette matinée.

Autre surprise, les enfants ont pu profiter de deux invités de marque. Walibi et Squad, les deux frères du célèbre parc d’attraction wavrien, sont venus avec leur groupe « W.A.b et The Skunk » pour animer cette chasse aux œufs mais également pour un mini-concer t.

Malgré le temps maussade, les enfants s’en sont donnés à cœur joie et ont pu repar tir avec de nombreux cadeaux et œufs en chocolat.

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Workshop 1

Les défis de l'entrepreneuriat en 2015,

Workshop 2

Lancer sa startup : tout un concept !

Workshop 3

Comment je finance ma startup ?

www.jeunesmr.be - PICCOLO MR n°36 | Mars-Avril 2015 Éditeur responsable : Mathieu Bihet | Avenue de la Toison d’Or, 84-86 | B-1060 Bruxelles | Ne pas jeter sur la voie publique