Cet ouvrage finalisé et non commercialisé est en fait, le dernier opus de Jean-Pierre Grandjean sur cette ville qui a hanté ses rêves, et nourri son imagination.
C’est un saisissant hommage à la population de La Habana.
En 2002, Jean-Pierre Grandjean écrit en introduction de son ouvrage "Notas fotograficàs de La Habana": Descendu vers le bord de mer, le temps pour que le ciel assombrisse les façades, depuis longtemps écaillées des palais du Malecon. Sur le boulevard, réfugié sous quelques arcades lépreuses, aux teintes pastels, je photographie de vieilles voitures, une jeune fille passe, détrempée, ses vêtements collent à sa peau, je déclanche une seule fois quand passe la voiture noire. C’est ma Havane, magie cubaine sous une pluie tropicale, chaude et sensuelle. Une bague de Cohiba posée sur l’océan.