programme de stage dans le cadre d’Êchange universitaire concernant les institutions:
REMERCIEMENTS
Afin de débuter ce rapport, nous remercions à la CAPES et au Gouvernement Brésilien pour l’unique opportunité d’avoir étudié un an en France dans le cadre d’une formation en niveau international au programme CIÊNCIA SEM FRONTEIRAS. Une expérience singulière que certainement nous apportera beaucoup de bons fruits lors du moment de rentrée au Brésil. Il serait impossible, dans un texte si court, remercier à Jacqueline BAYON et à Aurelie BRAYET pour tous les efforts et l’excelle gentillesse qu’elles avaient eu avec nous, qui démarre dès une excellente réception dans une institution toujours « neuve » pour nous, et une patiente infinie dans toutes les contraintes venues des habitudes différente de laquelle dont nous sommes venus, chacun avec ces bagages culturelles et linguistiques. C’est bien clair, pour nous, que l’objectif initial de ce programme d’échange a été atteint avec triomphe, vu que les liaisons académiques que nous avons pu créer dans cette année universitaire resteront, sans doute, sans frontières. Nous remercions également l’opportunité et le rapport très positif parvenu de l’encontre avec Mme. Helene FORTIN et Mme. Brigitte RENOUF, qui nous ont donné le défi et la confiance de réorganiser spatialement son lieu de travail, et donc aussi un espace qui fait partie de sa vie. Il faut remercier aussi à Mme. Emilie KOHLMANN, pour la gentillesse de nous céder son bureau de travail pendant l’époque que nous sommes restés à la bibliothèque. Dans ce contexte, nous remercions tout le personnel de la Bibliothèque Universitaire Tréfilerie, pour l’échange toujours positif vécu dans notre expérience de stage. A nous, il nous reste juste attendre que les projets réalisés pendant ses quatre mois puissent, enfin, permettre des résultats positifs dans la vie de tous concernés, soit à la bibliothèque Universitaire, soit au Campus Patrimoine de l’Université Jean Monnet.
SOMMAIRE 1. Introduction et Objectifs
.................................................................................................................. 8
2. Organisation des travails / Méthodologie ........................................................................................... 9 2.1. Réorganisation du hall de la Bibliothèque Tréfileirie ................................................................... 9 3.2. Réorganisation du ensemble des espaces du Campus Le Corbusier ............................................ 10 3. La Bibliothèque Universitaire Tréfilerie ........................................................................................... 11 3.1. Le hall et ses environ ...................................................................................................... 12 3.2. Les enjeux et l’objectif du projet ........................................................................................... 14 3.3. Problématiques, Défis, Souhaites ........................................................................................... 15 3.4. Matériaux .................................................................................................................. 16 3.4.1. Analyse des Bibliographies ............................................................................... 16 3.4.2. Analyse des donnés ........................................................................................... 17 3.4.3. Références ...................................................................................................... 18 3.4.4. Visite à B.U. de Grenoble ............................................................................... 22 3.5. Développement du projet ...................................................................................................... 23 3.5.1 1ère étape – état de lieu ............................................................................... 24 3.5.2 2ème étape – 3 options ............................................................................... 26 3.5.3. 3ème étape – développement du projet final ........................................................ 32 3.6 Présentation du projet final de la réorganisation du hall ........................................................ 33 4. Le Campus Patrimoine Le Corbusier – UH Ecole à Firminy
................................................................... 38
4.1. Bref contextualisation ...................................................................................................... 4.2. Les enjeux et l’objectif du projet ........................................................................................... 4.3. Considérations sur la demande ........................................................................................... 4.4. Problématiques, défis et souhaites ........................................................................................... 4.5. Le processus de projet ...................................................................................................... 4.6. Présentation du projet de réorganisation ...............................................................................
5. Considérations finales
39 40 41 42 44 47
.................................................................................................................. 50
6. Bibliographie
.............................................................................................................................. 51
7. Pièces ajoutés
.............................................................................................................................. 54
1.
INTRODUCTION ET OBJECTIFS nous on mis en contacte avec madame Brigitte RENOUF, directrice de la Bibliothèque Universitaire du Campus Tréfilerie de l’Université Jean-Monnet de Saint-Etienne, et aussi avec madame Hélène FORTIN, responsable du département des services aux usagers dans la même Bibliothèque Universitaire. De ce contacte-à, engagé grâce à la médiation de M.Bayon et Aurélie Thollot, nous sept, nous sommes accordés que le stage de notre groupe serait composé de deux différents travaux de caractère architectonique en ce que concernent des réorganisations d’espace. Premièrement, proposer un projet de réorganisation pour le hall de la Bibliothèque Universitaire Tréfilerie à cause d’une série de problèmes que le hall luimême présent actuellement. Parallelement à ce projet, proposer une réorganisation de l’ensemble des lieux (salles, couloirs) qui forment le campus Patrimoine de l’Université Jean-Monnet de Saint-Etienne, localisé sur le bâtiment de l’Unité d’Habitation Le Corbusier à Firminy. Cet importante à dire que les responsables des ces deux projets sont différents, raison pour laquelle ils se déroulent au même temps de façon parallèle et distincte. Bien dit, le projet de réorganisation du hall de la Bibliothèque Universitaire Tréfilerie a été fait sous la direction de Mme. Renouf, Mme. Fortin et de tout le personnel de la Bibliothèque qui étaient aussi bine engagés dans le processus de son développement; dans le cas du projet de réorganisation de l’espace du Campus Le Corbusier, le processus de développement a été soutenu par Mme. Bayon et Mme. Brayet. Dernièrement, il faut dire que notre temps prévu pour développer des réponses architectoniques a été la deuxième moitié mars 2015 jusqu’à la fin juin 2015.
Premièrement, nous semble d’une importance significative commencer ce mémoire de stage en nous présentant vu que puis que nous sommes arrivés en France afin de suivre une année du cours MASTER STEP 1 en Patrimoine e Paysage Culturel de l’Université Jean-Monnet, nos chemins se sont convergés encore une autre fois en ce que concerne la proposition de stage que nous a été faite pour la continuation du programme d’échange, bien entendu : le deuxième semestre. Notre groupe de travail est composé pour trois étudiants, comme déjà dit brésiliens, tous devenus de différentes écoles d’architecture et urbanisme du Brésil : Eduardo Freitas de Andrade (âgé de 21 ans) devient de la PUC-RS localisée dans la ville de Porto Alegre (Pontificía Universidade Católica do Rio Grande do Sul) ; João Lucas Nogueira Domingos (âgé de 27 ans) devient de la FAUUSP (Faculdade de Arquitetura e Urbanismo da Universidade de São Paulo) localisée dans la ville de São Paulo ; et, Julia Saba e Silva (âgé de 22 ans) devient du Centro Universitário Moura Lacerda localisée dans la ville de Ribeirão Preto. Nous tous sommes venus en France dans le cadre du programme brésilien d’échange académique Ciências Sem Fronteiras soutenue par la CAPES (Centro de Apoio à Pesquisa), institution de niveau fédérale liée au Minitério da Educação e Cultura. Notre parcours depuis l’arrivée en France a été toujours pareil de manière qu’il nous a engagés dans la formation tant d’un group d’amis très fort comme d’un group de travail engagé en exécuter les défis que nous ont été proposés cet année-là. Ayant connaissance de notre parcours au Brésil en tant qu’étudiants en architecture et urbanisme, notre directrice du MASTER, madame Jacqueline BAYON, et aussi notre coordinatrice, madame Aurélie THOLLOT, 8
2.
ORGANISATIONS DES TRAVAILS ET MÉTHODOLOGIE
2.1.
Cette partie du rapport a comme objectif énoncer la manière qui était organisé notre parcours de travaux d’une façon chronologique. Pour que soit possible réussir tel objectif, nous avons énuméré au-dessous ces processus en manière de texte, pour qu’il ne soit pas très fatigant au lecteur, et aussi sectorisé par rapport à chaque projet, comme sera vu, respectivement : le projet pour la Bibliothèque Universitaire du campus Tréfilerie et, ensuite, le projet du Campus Patrimoine Le Corbusier. Nos travaux ont été organisés de manière que les développements des deux différents projets de réaménagement puissent être faits parallèlement. Nous avons décidé dans une réunion du groupe pour prendre ces méthodes à fin de ne pas laisser à côté, ni pour un temps minimal, aucun des deux défis que nous étaient lancé. C’est pour cela qu’à la fin c’était accordé que nous partagerons les jours de la semaine de façon au même temps s’occuper de chaque projet et de nous laisser un delay minimum pour les penser hors travails – à notre avis, élément pertinent au processus de développement des projets en architecture. Donc, nos semaines à partir du début de mars ont été divisées de la manière suivante : de lundi à mercredi le groupe a travaillé sous le projet de la Bibliothèque Universitaire dans un bureau localisé dans le même bâtiment ; les jeudis étaient réservées pour que nous puissions penser et développer le projet du Campus Le Corbusier soit dans des réunions du groupe dehors l’Université, soit in loc avec la participation de Mme. Bayon et Mme. Brayet; les vendredis étaient réservées pour que le group puisse penser, organiser et écrire ce rapport de stage. En suivant, nous présenterons de manière chronologique comme sont passés les développements des chacun des trois travails – c’est-à-dire, le déroulement des actions qui culminent dans les propositions des projets architectoniques – et comment le temps a été géré effectivement, a savoir, dans la praxis.
PLAN DE TRAVAIL _ RÉORGANISATION DU HALL DE LA BIBLIOTHÈQUE UNIVERSITAIRE TREFILERIE
À la fin janvier, après l’annonce de Mme. Bayon que nous serions chargés de réaliser un projet pour le hall de la bibliothèque universitaire Tréfilerie, il fallait connaître les agents responsables pour la guidance de ce projet. Il a été fixé, donc, une première rencontre dans l’école maternelle de l’Unité d’Habitation de Firminy. Dans ce jour que nous avons fait connaissance de Mme. Renouf et de Mme. Fortin, et, vice versa, elles ont pu faire connaisse de ce groupe de brésiliens très motivés pour débuter ce projet. Il était accordé donc, même si très brièvement, la manière dont nous allions organiser notre stage. Une nouvelle réunion a été fixée, vers 22 janvier pour que nous puissions connaître la bibliothèque et tous les agents qui y travaillent. Dans cette réunion, il a été présenté par Mme. Fortin une première vision de la situation actuelle du hall de la bibliothèque, avec la présence du personnel des services publics aussi engagés dans le développement du projet du nouveau hall. C’était dans ce jour que nous a été introduit pour la première fois quels étaient les problématiques et les enjeux présents dans le hall de la bibliothèque Tréfilerie, et les différentes visions que les bibliothécaires ont de cet espace singulier. Le stage a commencé effectivement à partir de la semaine du 16 mars, quand nous avons nous promené avec Mme. Fortin, Mme. Isabelle Beal et Mr. Frédérique Etard pour vraiment connaître comment se passeent le fonctionnement quotidien de la B.U. C’était dans ce jour aussi que nous avons été installés dans un bureau provisoire appartient à Mme. Émilie Kolhmann (à qui nous remercions beaucoup de nous avoir mis à 9
disposition son espace personnel) et donc nos activités ont pu débuter. Dans cette semaine, nous avons donc organisé comment le travail serait réalisé et nous avons discuté à quel résultat nous voulons arriver à la fin et les différentes manières pour arriver à ce résultat. Comme nous était donnée la tâche de produire nous-mêmes un état des lieux par rapport à la configuration actuelle du hall, notre groupe a discuté des stratégies nécessaires pour comprendre l’appropriation des espaces pour les gens et aussi ses configurations par rapport aux caractéristiques architecturales. C’est-à-dire, stratégies qui puissent nous donner éléments d’analyses plutôt qualitatives qui puissent nous donner une idée globale des espaces étudiés.
pensant dans une intervention plus radicale de l’espace a été prise, et après confirmé dans un deuxième réunion (19 mai) élaborée avec le personnel qui était aussi prénsent dans le rendez-vous du 22 janvier. C’est à partir de ce jour que nous arrivons au processus de développement de la proposition finale pour l’aménagement du hall de la bibliothèque universitaire Tréfilerie, en culminant dans une présentation finale de ce projet dans la semaine du 24 juin.
2.2.
Dans les deux semaines qui suivent toutes les informations nécessaires pour pouvoir interpréter le hall de la bibliothèque ont été rejoints. Comme résultat, nous avons pu réunir et produire une série de pièces graphiques et des réflexions qu’ont été présentés, plus tard, dans un rendez-vous avec le même personnel indiqué dans la première réunion du 22 janvier.
PLAN DE TRAVAIL _ RÉORGANISATION DU ENSEMBLE D’ESPACES DU CAMPUS LE CORBUSIER
Le début du projet de réaménagement des espaces de l’école maternelle de l’Unité d’Habitation conçue pour l’architecte Le Corbusier a finit pour tarder à commencer : initialement prévu pour être fait en parallèle avec le projet de la BU, son début a été fait de manière effective le 20 mai. Dans ce cas-là, le développement des travails s’est passé un peu plus accéléré, vu que nous connaissons déjà le projet et, en étant élèves au bâtiment, nous connaissons aussi une partie de leurs enjeux et nécessités. À la fin, le processus de projet s’est déroulé conformé la disponibilité de Mme. Brayet et de Mme. Bayon, et deux visites ont été réalisées pour des raisons techniques. Le développement de projet commence de manière intensive pour qu’on puisse arriver à la fin jusqu’à la semaine du 22 juin.
Dans les semaines suivantes - jusqu’à la présentation de l’état des lieux le 12 mai, toutes ces informations prises en compte et une visite à Grenoble (pour connaître les bibliothèques universitaires de droit et de sciences) ont été « traduites » dans trois scénarios possibles pour l’aménagement du hall, que nous expliquerons en détail à la suite de ce rapport. Un premier scénario de minimale intervention, un deuxième avec moyen et un dernier où tout changera. Une première réunion a été faite avec la présence du comité de pilotage de ce projet : Mme. Renouf, Mme. Fortin, Mme. Houdoys et M. Giraudet. La décision de suivre ce projet en 10
3.
LA BIBLIOTHÈQUE UNIVERSITAIRE TREFILERIE
source: site de l’université Jeann-Monnet
l’Université. Donc, elle joue un rôle d’espace d’intégration dans la vie universitaire. Son public compte plusieurs types d’usagers, entre eux: étudiants universitaires, étudiants qui se préparent pour les examens de niveau nationale (BAC), chercheurs et enseignantes, en comprenant un chiffre qui peut arriver à environ trois mil usagers par jour. Il ne faut pas oublier le groupe assez grand de personnes forméees pour des bibliothécaires, des moniteurs-étudiants, des stagiaires, des fonctionnaires, sans oublier le personnel chargé de la vie du bâtiment lui-même, du concierge aux personnes qui maintiennent les objets en bonnes qualités d’usage et les agents d’entretien.
source: google maps
Dès sa ouverte et après tous les agrandissements réalisésdans différentes époques, la Bibliothèque Tréfilerie joue un rôle d’extrême importance dans la vie académique engagée par l’Université Jeann-Monnet de Saint-Etienne. Composée d’un grand bâtiment central localisé dans le Campus Tréfilerie, d’où devient son nom, la bibliothèque est une pièce centrale tant physiquement - dû à sa taille et localisation - qu’en relation au fait qu’elle est un point de conjonction de toutes les personnes liées à
En raison à son implantation au cœur du campus Tréfilerie, situé près du centre ville de Saint-Etienne, la bibliothèque gagne à chaque année plus d’importance par rapport à la ville. Cependant, son contexte d’implantation peut aussi poser des problèmes en ce que concerne le programme architectural du bâtiment lui-même vu, par exemple, qu’il est le seul édifice appartient à l’université qui est ouvert au public aux samedis, 11
3.1.
situation qui fait que la disponibilité des machines à café et aussi encore d’autres services liés à l’université soit difficulté, pour ne pas dire empêché. En ces raisons, le programme architectonique du bâtiment semble un peu insuffisant si nous analysons les projets contemporains des bibliothèques autour du monde. Le bâtiment a été construit en plusieurs époques, toujours en visant à améliorer ses services et à permettre l’occupation confortable de son chiffre croissant d’usagers. Par contre, nous pouvons exprimer que son programme, en tant qu’offerte de services divers, est encore timide et donc, c’est possible à dire que, le bâtiment lui-même et ses usages ont besoin d’une sorte d’évolution. En conséquence, nos propositions de réorganisation convergent dans ce sens évolutif du bâtiment comme sera démontré dans ce rapport. Jusqu’à maintenant, sa dernière augmentation était achevé dans l’année 2009 donc c’est dans la configuration spatiale remontée à cette année-là que nous allons travailler et développer un projet de réorganisation du hall.
LE HALL ET SES ENVIRONS
La bibliothèque universitaire tréfilerie, dès son début, a vécu une histoire de successives augmentations et réformes – en raison de l’augmentation de l’université elle-même. Dans le plan actuel de la BU (2009), nous avons une bibliothèque caractérisée par la sectorisation des espaces – des salles de catalogue séparées, des espaces de convivialité que ne se communiquent pas entre eux (lors du moment d’arrivée au hall de la B.U. il n’y a rien indiquant l’atrium dans l’étage, par exemple), et des salles pour les étudiants qui sont aussi perdues dans l’espace.
plan du rez-de-chaussé de la Bibliothèque Trésiferie
sectorisation des espaces du hall de la Bibliothèque Tréfilerie
12
Il faut commencer à expliquer le hall da bibliothèque en prenant compte qu’il n’est pas seulement un espace genre « sas d’entrée » ou quand même « vestibule ». Dans la bibliothèque Tréfilerie, nous interprétons comme Hall, un espace qui comprens un SAS, des toilettes, une salle de travail en groupe, un kiosque, un jardin, la banque d’accueil et de prêt-retour et, aussi des coins de consultation du catalogue, photocopieuse, recherche internet, et un « grand couloir » qui fait la liaison entre les espaces de consultation des collections. Cet ensemble, à la fin, compose un espace d’environ 1000m².
vail. L’analyse du plan de l’ensemble du hall nous démontre une lecture d’un espace sectorisé, fermé par des cloisons. L’entrée est faite pour un SAS de taille considérable, et donne sur un « grand couloir » qui fait la connexion entre les salles de colection de livres. Dans ce couloir, on peut voir suite une salle de travail en groupe toute en face de l’entrée. Au fond de cet espace, caché par des gros murs portants, l’entrée d’un espace dédié aux périodiques – le kiosque – est aussi fermée pour une porte pas de tout attractive. À gauche, la banque d’accueil de cette bibliothèque, placée dans un coin peu visible vers l’entrée. Sans oublier dans cet espace la présence d’un jardin, qui reste fermée pendant toute l’année et est inaccessible aux gens.
L’analyse de l’image du plan nous démontre, de manière très simple, des espaces sectorisés autour d’une grande surface au milieu (en rose) utilisée plutôt comme un lieu de circulation, (même si on voit des usages particuliers, comme consultation au catalogue), elle donne accès a tous les espaces qui composent l’ensemble du hall : la salle de travail en groupe, le kiosque, les salles de collection, l’accès au deuxième étage et la banque d’accueil et prêt-retour, à gauche. Aussi, un grand jardin fait partie de cet ensemble, même si l’accès est interdit. Vers le SAS d’entrée, nous avons les seules toilettes destinées pour les usagers de ce bâtiment. Quelques éléments sont remarquables dans la composition de cet espace : d’abord, un choix de carrelage gris foncé, qui donne une sensation sombre au espace, des gros murs qui renforcent la sectorisation de l’ensemble et une signalétique confuse à ceux qui entrent au bâtiment pour la première fois. Tout cela, lié à la configuration esthétique de l’ensemble du hall, donne la sensation que nous ne sommes pas dans un espace d’une bibliothèque, problèmes que seront développées tout au long de ce tra-
La configuration actuelle du hall de la bibliothèque est faite de manière singulière au propos de réaliser des espaces bien encadrés dans une rigide grille structurale présente. Par contre, lorsque nous arrivons dans cette espace, la notion est que nous ne savons pas exactement où nous nous situons, une fois que la première information que nous avons c’est d’une salle de travail en groupe, normalement remplie d’étudiants qui travaillent très, très informellement (et avec un tel niveau de bruit qui est dérangeant à ceux qu’y passent le temps). L’accueil de cette bibliothèque est seulement remarqué une fois que nous nous habituons à l’espace, parce qu’il n’est pas visible du tout quand on y entre. Caché dans un coin vers la gauche, un pilier signale qu’une banque d’accueil est présente. On la découvre enclosure dans l’espace, figée, sans perspective de changement. 13
3.2.
LES ENJEUX ET L’OBJECTIF
Il faudra, dans le point de vue exposé pour Mme. Renouf et Mme. Fortin des efforts professionnels pour faire face aux problématiques démontre pour elles par rapport au hall concerné. Partant, notre mission en tant que stagiaires en architecture et urbanisme a été mise en accord : réorganiser le hall de la bibliothèque universitaire Tréfilerie pour offrir un véritable espace d’accueil, voire un lieu de vie à la fois calme et agréable.
Les enjeux du projet, selon la lettre de mission (annexe1) écrite par Mme. Fortin : « Depuis sa réouverture en 2009, la bibliothèque universitaire tréfilerie connaît un afflux de fréquentation important. Le hall d’accueil de la bibliothèque a toujours posé problème, avec une banque de prêt et d’accueil peu visible dès l’entrée, un espace jamais réellement aménagé, vide où stagnent des groupes qui discutent parfois de façon très bruyante. Ce projet s’inscrit dans la démarche d’amélioration de la qualité de l’accueil menée au SCD de l’Université Jean Monnet depuis plusieurs années. Il s’agit de renforcer l’image positive de la B.U. auprès de son public tout en garantissant au personnel des conditions de travail satisfaisantes à coût maitrisé »
Ensuite, à fin d’organiser notre parcours de stage, nous tous avons formulé des étapes que devraient être exécutés pour que l’objectif puisse être atteint. À chaque étape conquise notre groupe de stagiaires devrait présenter nos processus et productions obtenues au personnel et à un comité de pilotage. Ainsi, a été accorder le parcours suivant : 1. Formuler un « état du lieu » afin de démontrer non seulement notre appréhension des problématiques posées par le personnel de la Bibliothèque mais encore notre point de vue « architectonique » de l’espace il-même ; 2. Formuler trois options d’interventions que puissent faire face aux problèmes de ce hall, mais qu’ont chacun des chemins distincts et qui a comme objectif donner au personnel et au comité de pilotage l’opportunité de prendre démocratiquement la décision de quelle option sera la plus intéressante par eux et par rapport à ses problèmes ; 3. Formuler plus précisément l’option de projet qui a été choisi dans l’étape 2. Chacune de ces étapes sera décrite dans le corps de ce mémoire. Nous envisageons de raconter le processus de développement des travails dans ce mémoire.
L’objectif du projet :
« Dans un premier temps, il s’agira de proposer plusieurs scénarios de réaménagement de l’espace, tenant compte des contraintes techniques du bâtiment et des objectifs du service, en prévoyant la possibilité d’offrir de nouveaux services dans cet espace. Un comité de pilotage suivra l’évolution des propositions et sera chargé de prendre les décisions permettant au projet d’avancer. Le scénario retenu par le comité de pilotage sera approfondi afin de livrer une proposition comptant des préconisations de nature architecturales, une estimation de coûts sachant qu’ils devront être maitrisés, ainsi qu’un phasage de réalisation du projet » 14
3.3.
PROBLÉMATIQUES, DÉFIS ET SOUHAITES
été présentés tout d’abord, c’est-à-dire, notre premier contact avec les données qui seront vastement discutés et bien utilisés dans le processus de développement de notre stage.
À la suite de la première réunion à propos de l’organisation actuelle du hall de la bibliothèque universitaire Tréfilerie réalisée par Mme. Fortin le 22 mars, nous commençons à nous rendre compte de la taille des enjeux autour de cet espace. De manière très simple, la problématique nous a été présentée à partir des souhaits existants, de la part de la B.U., de ce que devrait être un bon hall, différent de ce qui est mise en place aujourd’hui. Les problèmes qu’ont été exposés étaient d’abord basés sur les réflexions devenues des échanges entre le personnel de la B.U., surtout des bibliothécaires qui travaillent dans la banque d’accueil et que, par conséquent, vivent pendant ses heures de travail insérées dans l’espace du hall. D’une certaine manière, le consensus entre eux c’est que le hall même étant un espace central d’accueil aux usagers est : bruyant, cloisonné, peu et difficilement lisible. Par rapport à la banque d’accueil, ils l’ont caractérisé comme : peu ergonomique, un lieu très sollicité par multiples taches et, lumineux.
Selon cette première rencontre, le hall devrait : 1. offrir un véritable accueil à ses usagers ; 2. offrir un espace calme et convivial permettant d’accueillir dans de bonnes conditions les activités non strictement documentaires des étudiants 3. avoir une banque d’accueil visible dans l’espace ; En sachant que ces caractéristiques pourraient définir un hall idéal et que nous ne les avons pas ici présent, une série de défis et de souhaites ont été pointés comme pistes capables de guider un projet de réaménagement idéal de cet espace, en formant donc des axes de projet. Ces axes étaient définies comme : renforcer la qualité des services offerts, améliorer les conditions de travails des agents, assurer le confort des usagers et des agents, faciliter la circulation entre les espaces, améliorer na lisibilité du ensemble du hall lui-même, créer un espace qui aille une identité – c’est-à-dire, que correspond à un espace de bibliothèque – et, aussi, améliorer la visibilité de la banque d’accueil et prêt. En outre, ces pistes ont fait émerger des points spécifiques qui pourraient aussi aider dans la configuration d’un hall idéal : des boîtes de retour des livres, des casiers pour garder les affaires, des panneaux d’affichage dynamique et, le plus polémique entre eux, un espace café ; éléments qui seront discutés dans le déroulement de ce rapport.
Ces problématiques ont été aussi faites à partir des interprétations du personnel sur les enquêtes et groupes d’interview qu’ils-mêmes ont produits avec la collaboration des étudiants qui fréquentent souvent la bibliothèque et à partir d’un état de lieu interne fait pour ce personnel. Sur ces enquêtes et d’outres types d’informations produits par le personnel de la B.U. dans ce cadre d’investigation des pensées des usagers seront bien explorées bientôt dans ce rapport. Dans ce moment, nous semble importante d’exprimer les problématiques, défis et souhaites qui nous ont 15
3.4.
3.4.1.
MATÉRIAUX
Dans ce point, nous avons envisagé d’expliciter, petit à petit, d’une façon plus approfondie tant les éléments qui nous avaient été donnés par le personnel de la bibliothèque que les éléments que nous avons cherchés au début de ce stage afin que le processus de projet soit le plus réfléchis possible. Entre eux content : les lectures de base rencontrées dans une vaste bibliographie, les documents des réunions à quelles nous n’avons pas l’opportunité de participer surtout parce que notre stage n’avait encore commencé au moment qu’elles étaient faites, les données résultants de l’état de lieu fait pour le personnel au début des discussions sur une nouvelle configuration du hall, les références iconographiques des projets que nous avons cherché au début du stage et aussi les réflexions sur une visite faite à deux bibliothèques de Grenoble – projets pertinents en ce que concerne le développement du projet. Chacun de ces éléments a une pertinence unique soit dans notre processus de compréhension des problèmes et des enjeux par rapport au hall, soit en nous donnant des idées et des arguments de base pour développer des solutions, soit dans la formulation d’une vision critique de base qui nous puisse servir comme fondation pour projeter un espace. Ils ont tous été vastement discutés avant le début des dessins architectoniques eux-mêmes.
MATÉRIAUX _ LES LECTURES DE BASE: L’IMPORTANCE DE LA BIBLIOGRAPHIE
Les lectures de base composent un élément de grande importance évidemment dans le cadre de la constitution d’une vision critique sur le sujet par le fait de données aux architectes une base théorique sur laquelle c’est possible de s’appuyer pour la production des espaces tout à fait nouveaux. Mais elle est aussi une pièce clé dans la compréhension des espaces qui nous sommes habitués à vivre, même qu’habituellement et sans une vision critique. La base théorique même que fait autour des exemples lointains ou des discussions plus générales font que nous puisons revoir ces espaces où nos corps sont déjà habitués à vivre avec une vision critique. Avec une base argumentative stimulée par la lecture l’action d’architecte peut sortir d’un dessin introspectif fondé sur le goût et l’esthétisme et revenir au monde réel en visant améliorer la vie des gens par ses espaces « habités ». Nous n’irons pas réfléchir ci-dessous sur chacun des textes lit, car cette activité serait extrêmement longue et fatigante. L’objectif de ce bref commentaire c’est de renforcer l’importance de la bibliographie et des textes, c’est-à-dire de la théorie devenue des recherches et des réflexions critiques, dans un monde complètement rempli de dessins et représentations où plusieurs fois les mots sont cachés. Les textes sont une partie intégrante très pertinente qui fait qu’améliorer les résultats. Nous remercions alors au personnel de la Bibliothèque en question qui a fait beaucoup d’efforts pour que nous puissions avoir disponibles tous les textes nécessaires pour l’avenir du meilleur parcours possible. 16
3.4.2.
MATÉRIAUX _ ANALYSE DES DONNÉES
d’une bibliothèque. Autre problème posé par les usagers et contenu dans ce document c’est que le kiosque – partie destiné à mettre en disposition les périodiques et un coin presse bien comme des espaces de lecture – a une fréquentation faible en effet d’être caché tout au fond du hall, invisible aux yeux de ceux qui entrent dans la bibliothèque. C’est pertinent à commenter que sa porte toujours fermée et loin d’être visible est aussi peu attrayante aux usagers, car elle n’a pas une personnalité correspondant à un espace agréable d‘être fréquenté. Comme solution possible l’enquête nous donne une piste : le changement de place entre le kiosque et la salle de travail en groupe, actions que peut causer des problèmes au même temps que des solutions très pratiques, une action alors polémique.
Il faut commencer cette partie qui veut analyser les données que nous avait été mise en disposition en remerciant le personnel de la B.U. Tréfilerie, surtout M. Damien Munoz qui a produit une enquête des usagers, élément très utilisé pour nous dans la compréhension des souhaites (soit des usagers, soit des bibliothécaires) pour le hall à être réorganisé. L’objectif de l’enquête réalisé c’était de connaître les usager de la B.U. tant que ses pratiques dans les lieux du hall et ses ressentis par rapport à eux. Résultant de ce travail, la caractérisation globale de l’espace nous avait fait revenir sur une connaissance beaucoup élucidée d’eux. Entre elles que le hall n’est pas vu comme un espace qui appartient à la bibliothèque, il est vu comme un espace de transition entre les salles et l’extérieur, un espace donc de passage. Ce “non identification” devient du fait que dans le hall, il n’y a pas visiblement éléments typiques d’une bibliothèque, en résume, des livres ne sont pas trouvés dans l’espace. Ainsi, l’enquête propose des pistes de comment les mettre en place à fin de résoudre ce problème. Action que devrait être faite d’une manière non oppressante, sans produire une coupe entre le monde dehors et le monde dans la bibliothèque, mais au contraire, en les connectant doucement. De plus, l’enquête raconte qu’autre situation causale de ce problème est aussi le fait que dès l’entrée dans le bâtiment, la première chose vue est une salle de travail en groupe tout encloisonnée qui donne l’impression que nous sommes entrées plutôt dans un lieu de travail que
En tant que résultats, il y aussi les remarques qui disent que le hall n’est pas un espace d’accueil vu que la banque destinés à ce service n’est ni visible à partir de l’entrée, ni bien signalisée dans l’espace (c’est tout à fait un peu compliqué de la trouver hormis la première visite à la B.U.). Afin de terminer cette partie, nous allons expliciter les souhaites plus précises des usagers qui sont sorties de cette enquête : le souhaite le plus clair, c’est le besoin d’un espace où trouver du café (machine à café plus précisément), non moins important c’est le souhaite d’un espace détente de la partie des usagers. Toutes ses données, plus d’autres qui ont été trouvés dans les documents fournis, ont été très pertinentes pour notre compréhension des espaces du hall. Ils ont, bien dit, nous aidé beaucoup dans le processus de projet, surtout dans la formation d’axes de projet. 17
3.4.3.
dessiné. Finalement, avant de partir à l’analyse de quelques images de références paradigmatiques – un total de 6 que nous avons choisi. Il faut renforcer que les images que suivent ne sont pas la totalité des références pour nous utilisés, vu que dans ce rapport nous visions à clarifier d’une manière simple e didactique le parcours qu’a rendu le projet final pour la Bibliothèque Tréfilerie.
MATÉRIAUX _ RÉFÉRENCES DE PROJET
C’est tout à fait vrai que la recherche d’autres projets architectoniques c’est un élément-clé dans le développement des projets. C’est quand même évident qu’il ne faut pas prendre ces projets ipsis litteris, dans une logique mimétique, parce que à la fin chaque projet architectonique doit prendre en compte des particularités de chaque demande. Le mimétisme devient donc une praxis dangereuse dans la profession d’architecte. À part de cella, travailler appuyé sur des références pose plein d’éléments positifs. Premièrement, les discussions basées dans l’interprétation des images – façon la plus récurrente de travailler avec références des projets – sont très importantes dans la vie des architectes. Soit parce que nous sommes toujours obligées à travailler avec elles – que dans le regard architectonique, toutes seules peuvent raconter des histoires derrière - pour lire des espaces, même si nous n’y sommes pas forcément dedans, soit parce que les images sont la façon de communication entre l’architecte et la clientèle – innombrables fois non habituées aux dessin techniques et a langage du dessin, domaine très récurrent dans la vie professionel. Ensuite, la recherche pour références architectoniques sert plusieurs fois comme une action de déclenchement du développement créatif de la production des projets, elles peuvent fonctionner comme source d’inspiration d’où plusieurs fois sortent grandes idées. En plus, prendre ses références comme exemple peut aussi aider dans la constitution d’un programme architectonique actuel d’un espace à être
source: photographie de Mark Herboth
Dans l’image au-dessus, photographie du projet de la Bibliothèque de Hunt aux États Unis, c’est possible de remarquer une série 18
d’éléments qui nous ont fait beaucoup réfléchir. Premièrement, c’est notable que la configuration spatiale est faite par l’intégration de plusieurs fonctions et « espaces » différents. Ils sont tous sectorisés pourtant, ils sont tous dans un même grand salon. Ils sont tout à fait intégrés. L’espace est composé par des meubles bas qui n’empêchent pas la vision globale de l’ensemble de manière à les connecter grâce à possibilité de la vision ; la présence des murs transparents à la fois des cloisons opaques produisent aussi le même résultat. Les marcations de sols (chaque espace a un différent type et couleur de sol) montrent aussi que c’est une sectorisation ou une division spatiale ne dépend pas des murs. Cet élément peut aussi remarquer une organisation des flux sans empêcher une libre circulation globale. En plus, nous pouvons voir que les couleurs jouent un rôle intéressant dans le projet, soit pour le fait que les objets sont marqués par couleurs distinctes et alors chaque espace sa propre identité, soit par rapport à la communication du bâtiment avec son public (la marcation en jaune des éléments de circulation verticale, par exemple). Ces caractéristiques peuvent aider le public à s’orienter dans l’espace d’une façon assez simple. L’espace plus en évidence (l’ensemble de fauteuils, petites tables, étagères basses et canapés) représent un espace de lecture plus informel qui peut aussi être utilisé tant pour des étudiants qui aiment étudier d’une façon plus relaxée que comme espace de détente et pause. Il est, comme observé, configuré des espaces plutôt individualisés de façon à éviter des dérangements en relation à devenir une fonte de bruit intense.
source: photographie de Michel Denancé
En passant à la prochaine image, réfèrent à la Bibliothèque Terrassons en France, nous pouvons affirmer qu’elle est la plus proche de l’espace que nous avait été donné comme défi de réorganisation dans ce stage. Ses proportions sont la plus proches de celles que nous trouverons dans le hall de la bibliothèque Tréfileirie : un espace plus profond avec la hauteur du plafond plutôt bas. C’est remarquable dans l’image que l’utilisation des couleurs était fortement réfléchie : l’élément du plafond tout au-dessous de la banque d’accueil mettre en évidence son importance dans l’espace, sa centralité en tant que service dans une bibliothèque – l’usager peut voir de presque n’importe 19
où le lieu dans lequel se trouvent des bibliothécaires ; des éléments rouges (fauteuils et vases) font aussi la marcation des petites boules d’usage différents, ils délimitent espaces ; l’utilisation des matériels clairs dans le sol et les murs créent un espace globale plus lumineux au même temps que mettent en évidence par le contraste les espaces d’importance. L’utilisation des plantes est aussi remarquables due au fait qu’elles peuvent séparer les espaces d’une façon vivante et d’une manière à ne pas empêcher complètement la vision. Les meubles, toujours d’hauteur basse, visent aussi à n’empêcher pas la visibilité globale du lieu au même temps que servent pour ranger éléments caractéristiques d’un espace de lecture (magazines et livres). Pour finaliser l’analyse de ce photo, nous allons remarquer que la signalétique hors murs positionné dans le plafond jouent d’une façon simple et claire le rôle d’orienter l’usager dans l’espace.
ple de bibliothèque peut nous donner des pistes d’actions. Entre elles : une banque centrale, localisée vers l’entrée de l’espace et qui englobe la structure du bâtiment lui-même presque en le cachant dans le salon (stratégie qui peut être bien placée en ce que concerne l’arrivée des installations électriques dans un îlot centralisé). Dans cet exemple est aussi notable : une illumination basse que permettre la création d’un espace de transition entre la rue et la salle de cinéma – deux endroits complètement différents -, les éléments d’absorptions de bruit dans le plafond qui aident dans la configuration d’un espace plus calme et la présence des panneaux d’affichage dynamiques – élément compris dans les souhaites pour la B.U. L’autre exemple de banque d’accueil, devenu de la Bibliothèque Publique A. & M. Miskiniai en Lituanie démontre l’utilisation d’une couleur contrastante qui la met en évidence dans l’espace. Même qu’elle ne soit pas centralisée physiquement dans l’espace, le contraste fait qu’elle devient un élément central, attrayant aux yeux de ceux qui entrent dans la bibliothèque. Il faut aussi remarquer la présence d’un espace de détente et d’attente juste en face de cette banque d’accueil.
source 1: www.metroo.com.br/projects/view/64/0 source 2: photographie de R. Urbakavicius
Les deux exemples qui suivent ont été utilisés comme exemples clés de configuration d’une banque d’accueil. Le premier, la banque de vente de tickets du Itaú cinéma, même que ne concernant pas un exem20
source: photographie de Shannon McGrath
source: photographie de Andrés Valle Florsheim
L’avant-dernière photo qui illustre nos références, c’est de la Bibliothèquede Raheen de l’Université Catolique Australienne. La première chose notable c’est la présence des étagères remplies des livres, ce qui donne à l’ambiant une identité claire de bibliothèque. C’est notable que, même dans un espace remplit des livres, avec une identité très marquée, les usagers semblent d’être à l’aise pour étudier d’une façon plus calme et relaxer, - la présence des livres ne le fait pas peur. Nous avons aussi un espace détente intégrée aux autres espaces fait de manière à donner du confort aux usagers par le contrôle de lumière, par l’utilisation des couleurs foncées et par le mobilier spécifique.
Comme dernier exemple, nous avons la Bibliothèque U. Talca au Chili. La pertinence de cet exemple devient du fait que nous trouvons dans la photo un espace d’étude fermé, cloisonné, que, cependant reste bien visible aux personnes qui y sont dehors. Les éléments transparents jouent un rôle pertinent dans la configuration des espaces fermés qui ont parfois le besoin d’être surveillés. C’est-à-dire que même les espaces qui doivent être cloisonnés, comme une salle d’étude en groupe, en raison de la création d’un espace plutôt bruyant peut être surveillé afin que ne soit pas un « no man’s land » dans un contexte précise comme d’une salle destiné au agroupement des jeunes universitaires dans une bibliothèque qui veut avoir un hall où les bruits soient contrôlés. 21
3.4.4.
MATÉRIAUX _ VISITE À B.U. DE GRENOBLE
photographie panoramique du hall d’entrée de la Bilbliothèque Universitaire de Sciences de Grenoble
Afin de produire un projet c’est important connaitre un espace qui se ressemble avec celui lequel nous allons projeter. Par exemple, dans notre cas c’est d’une extrême importance connaitre les fonctionnements d’une Bibliothèque universitaire, et comment sont les différents maniérés de s’approprier d’un espace bibliothécaire. A partir de ça Mme. Brigitte RENOUF et Mme. Fabienne GUIRAO, que nous remercions énormément pour l’opportunité et disposition d’avoir agrandir notre « background » de références, nous a proposé a visiter deux Bibliothèques Universitaire de Grenoble, la Bibliothèque de Sciences, dont nous avons connu son directeur et l’histoire des réaménagements faits dans cet espace, et une deuxième visite, plus rapide, mais pas du tout moins importante, a la Bibliothèque Universitaire de Droit et de Lettres.
proprient des espaces et comment ils apercevaient ses associations avec lui (voir que les gens sont respectueux même dans un espace « ouvert »), c’est crucial pour l’exécution de quelques points délicats. Comme dans notre cas, qu’avons comme proposition un espace café ouvert aux usagers – normalement très critiqué pour mettre en place dans une bibliothèque - a comme proposition un espace pour fournir connaisse d’après la lecture, pas un espace qui peut être bruyant, mais un lieu surveillé et avec un langage qui permet une pause aux études plus détendue et de boire un café. Tout suit quand on entre dans la BU de sciences de Grenoble le premier élément que c’est remarquable c’est le espace café, un îlot très présent dans le hall. Cette espace a été fait il n’y a pas beaucoup de temps, une fois que la BU de Sciences de Grenoble a passé par une réaménagement récent que faisaient l’ espace d’accueil un grand ensemble des espaces d’une bibliothèque, et presque tout ouvert et intégré, (sauf le kiosque au fond qu a une mur
Voir l’espace in loco et remarquer comment les usagers s’ap22
en verre, dont la vision dès l’entrée donne une identité de bibliothèque au lieu), en le transformant dans un hall multifonctionnel.
En regardant cet exemple d’espace qu’a quelques points très particuliers, nous pouvons arriver, donc, à changer l’idée et les caractéristiques d’une bibliothèque « classique, avec l’ensemble des tables au milieu du hall, l’accès a magazines libres (coin presse au fond) au même temps en que c’est possible boire un café ou manger avec la présence de livres.
La photo montre une panoramique du hall de la BU de Science, qu’exemplifie un hall multifonctionnel, sans cloisons ni barrières visuels. Et même si à la base nous pouvons penser que cet espace est bruyant (déjà qu’il a un ensemble d’espaces, comme le café d’auto service, un autre espace café lié au CRUS avec du personnel, un espace central avec un des tables et des poufs, et juste au fond la banque d’accueil, que c’est bien visible même si c’est ne pas central). Heureusement, pourtant, l’espace n’est pas très bruyant, même si dans quelques moment dans la journée nous pouvons entendre des conversations entre les étudiants l’espace est bien isolé et projeté pour être un lieu de vie.
C’est après cette visite à Grenoble avec Mme Renouf et Mme Guirao, que nous avons vu que c’est possible, enfin, mettre quelques éléments que normalement posent une grande inquiétude à ceux qui travaillent dans une bibliothèque. Présents dans cette espace et en ayant la possibilité de parler avec les fonctionnaires, nous avons vu que c’est possible exécuter le souhaites existants dans la BU Tréfilerie, pas forcément dans la même maniéré, mais avec les mêmes idées ou les solutions pour des problématiques qu’existent toujours dans des bibliothèques.
3.5.
DÉVELOPPEMENT DU PROJET
Le début de cet exercice de projet a commencé par le développement d’un état de lieu : façon trouvée pour les commandeurs du projet de ,au même temps vérifier notre appréhension et lecture de l’espace actuel du hall de la bibliothèque et, aussi, une façon de stimuler des
Espace centrale du hall de la B.U. Sciences Grenoble
23
état de lieu pour nous réalisé et les trois « pré-projets » eux-mêmes. À la fin de ce topique sera aussi expliqué le processus de développement du projet final, qui était choisi par le comité de pilotage.
études profondes qui puissent résulter dans une analyse de focus architectural qui nous sont très habituel dans nos écoles d‘architecture et urbanisme au Brésil. Conforme était accordé entre les parties, après l’étape de production d’un rapport d’état du lieu, nous avons produit trois différentes propositions, plus spécifiquement trois « pré-projets », de réorganisations du hall de la bibliothèque qui puissent être présentées tant au comité de pilotage qu’au ensemble du personnel de la bibliothèque Tréfilerie, c’est-à-dire tous qui étaient engagé dans la construction d’un nouveau hall. À savoir, nous comprenons comme « pré-projet » un ensemble d’images, entre elles, dessins, croquis, perspectives, plans et vues qui puissent représenter les concepts généraux quI seront adoptés dans le développement plus profond du projet lui-même. Le « pré-projet » arrive jusqu’à un niveau fondamental de représentation, ne comportant pas décisions définitives des stratégies à être prises.
3.5.1.
DÉVELOPPEMENT DU PROJET _ PREMIÈRE ÉTAPE : L’ÉTAT DE LIEU
Les analyses des matériaux (sujet de l’item 3.4.) nous ont provoqué des multiples réflexions qui nous ont fait revenir sur une petit e conclusion : il manquait, dans les analyses du personnel, une analyse de l’espace du hall actuel basé sur un regard architectural, c’est-àdire, des analyses – qui seront bientôt exprimées – qui considèrent l’espace bâtit lui-même un sujet d’observation. Nous avons alors fait un grand débat visant à trouver des meilleures façons d’arriver dans une analyse appuyé sur ce « regard architectural ». Des discussions sur « qu’est-ce que c’est un « regard architectural » et de comment les faire passer de manière très claire au personnel de la B.U. étaient très importants avant le déroulement des activités de cette partie. Les résultats de ces discussions nous ont emmené à la production d’une présentation d’état des lieux qui était, heureusement, très apprécié. Nous n’irons pas les exprimer ici en raison de la profondeur des ses sujets toujours présents dans les discussions sur comme représenter les idées architecturales, sujets qui provoquent plein de débats dans nos parcours en tant qu’étudiants dans nos écoles.
L’objectif de cette conduite, c’était de développer plusieurs scénarios pour que le comité de pilotage puisse choisir, soit un entre eux, soit un mélange de plusieurs scénarios comme axe de développement du projet final. C’est pertinent à dire qu’avant de proposer n’importent quels axes pour définir la réorganisation spatiale du hall de la Bibliothèque, la reconnaissance du lieu actuel et da configuration étaientt absolument nécessaires. Des réflexions sur ce point de vue étaient présentées en forme de diaporamas avant la présentation des trois « pré-projets » et sertont traitées dans un topique particulier toute suite. Au-dessous sera largement expliqué tant le processus de travail du groupe pour la configuration de ces trois scénarios que les résultats d’un 24
Nous sommes donc arrivés dans une première stratégie : observer pendant une période que nous paraissait suffisante chaque espace du hall en essayant de répondre des questions formulées en avance (annexes 2 à 4). Ces observations nous ont fait arriver dans une conclusion pas très positive : que tout que nous avons observé était déjà démontré dans les échanges avec le personnel de la B.U. et dans les matériaux qui nous avons analysé dans le point 3.4.2. de sorte qu’ils ne nous semblaient pas suffisants aux buts qui nous voulons arriver au début. Par conséquent, nous avons réfléchi sur comment il faudra faire pour arriver dans des résultats d’analyse que le personnel ne pourrait pas arriver tout seul à cause d’un non « backgroud » professionnel des bibliothécaires. C’est donc que nous avons conclu qu’il faudra une observation plus « technique » par rapport au monde de l’architecture des espaces, c’est-à-dire, voir les espaces comme agente et acteur de la configuration des espaces en tant qu’usage et configuration physique concrète.
image digitale des éléments fixe de la B.U. Tréfilerie
Fait partie de ce processus de lecture voire comme était l’espace tout vide, avec seulement ses éléments structures. Afin de réussir cette analyse, nous avons produit une maquette en 3d qui nous avait aidé à mieux comprendre l’espace globalement comme c’est possible d’observer dans la photo au-dessus. Des points très pertinents ont apparu : même en retirant toutes les cloisons en laissant juste la structure du bâtiment présent, l’espace continuait très divisé en raison de sa grille structurelle. Alors, notre idée de travailler dans une pretendue intervention radicale où toutes les cloisons seraient retirées don de travailler dans un « plan libre » était tout à fait limité. C’est aussi pcertinent de renforcer que nous avons été étonnés par le fait que la seule partie du bâtiment qui n’avait pas une structure était encloisonnée afin de configurer la salle de travail en groupe ; faite qu’empêche l’arrivée de la lumière naturelle provenant de la grande fenêtre qui donne des limites au jardin.
Comme résultat, nous avons produit une quantité assez pertinente des pièces graphiques qui font une lecture de l’espace dans différents domaines : des analyses des flux ; des surfaces ; des usages par rapport aux usages, au temps qui les personnes y passaient ; des incidences de lumière naturelle et des vents ; des conditions acoustiques ; et, à la fin, de la structure du bâtiment et des ces éléments fixes (entrées et sorties qui ne pouvaient pas être changeables, escalier, structure). C’est important à dire que toutes ces pièces graphiques peuvent être rencontres dans les annexes de ce rapport (annexes 6 à 10)
25
Avec ces analyses, même si elles ont été effectuées séparément,
3.5.2.
nous devrons prendre en considération tous les éléments pour arriver à une ou plusieurs décisions en faveur de la solution des problèmes exposés. C’est-à-dire qu’une analyse globale doit prendre en compte non seulement les usages et le flux mais aussi toutes les conséquences des actions anthropiques et naturelles dont l’espace « hall » souffre, sachant que, à cause de la très rigide grille structurelle existante, il est impossible d’effectuer certains changements. La conclusion de cette étude, alors, nous a conduits à des prémisses et des souhaites ou, bien dite, à des axes qui ont pu guider des actions de projet architectural donc, qu’il faudra :
DÉVELOPPEMENT DU PROJET _ DEUXIÈME ÉTAPE : LES TROIS “PRÉ-PROJETS”
Comme déjà exprimé, Mme Renouf et Mme Fortin nous proposaient de produire trois projets de réorganisation du hall. À partir ce moment, nous avons réfléchi en faire ces trois propositions en se fondant dans ses différences par rapport à la vitesse et la praticité du réaménagement ; comment il irait déranger le personnel et les usagers; et, à la fin, la quantité du travail qui nécessaire, cela veut dire, si le projet était simple ou non de mettre en place en tant que chantier de travail. Nous avons toujours respecté les souhaites et nécessites du personnel et des usagers. En considérant cette décision de procédure, nous avons commencé l’élaboration des projets : une intervention minimale, une moyenne et autre que nous appelons pleine.
_ penser à des espaces multifonctionnels _penser à une nouvelle signalétique _intégrer de manière cohérente les espaces _créer une identité de bibliothèque au hall _créer une ambiance accueillante pour tous _améliorer l’identité visuelle des espaces _donner de visibilité au accueil et à partir du accueil _créer un espace plus perméable (luminosité, flux, visibilité) _mettre en place des éléments souhaités comme : un espace détente calme et pas très bruyant ; des livres dans le hall pour lui donner une identité claire d’un espace de bibliothèque ; un espace café/snacks ; des panneaux d’affichage dynamiques ; des casiers ; et, une boîte de retour de livres. Bref, pour conclure, dans notre avis serait possible de proposer nouvelles configurations au hall de la bibliothèque si on prenait en compte tous ses caractéristiques bien explicités ci-dessus.
INTERVENTION MINIMALE Quand nous pensons dans une intervention minimale, nous pensons dans un projet assez rapide et simple, sans changement du plan actuel, moins chère mais qui peut résoudre quelques problématiques déjà mentionnées dans ce rapport. Ainsi, le projet propose surtout une nouvelle identité visuelle, nous avons changé la signalétique du hall, afin de faire que l’espace soit plus fluide et plus lisible. Nous avons mis des couleurs pour signaler quelques espaces (de manière à rendre plus pratique la compréhension des indications des espaces et ses localisations) et pour laisser l’espace plus vivant et agréable. 26
sont dans un espace appartient à une bibliothèque, car le type de mobiliers envisagé servait comme des surfaces pour ranger des livres, dans ce cas-là, livres d’une lecture plus banalisée (romances et Bd’s, par exemple). La disposition de ces meubles permettrait la création d‘un nouveau flux, avec sa forme, il pourra orienter par où les usagers devraient suivre. Ce mobilier visait aussi à donner au hall des fonctions (dans ce cas de « lecture-détente ») pour changer sa caractéristique qui synthétisait les avis sur le hall, qu’il est vu comme un grand couloir.
perspective de l’intervention minimale
Par l’analyse des données, plus spécifiquement l’enquête faite, d’où devient le ressenti d’un usager qui dit : « le hall est un grand couloir » nous avons balisé la stratégie de produire dans le cadre d’architecture d’intérieurs une proposition que visait à donner aux espaces du hall une « identité-bibliothèque ».
iimage digitale de l’intervention minimale: vue du hall
Une autre action prise c’était le changement de la forme de la banque d’accueil afin d’améliorer sa visibilité dans et de l’espace. Dans ce premier pré-projet, la banque d’accueil proposée accompagne le pilier qui est actuellement juste en sa face, c’est-à-dire que nous avons avancé un petit peu un côté de la banque jusqu’à ce point-là, dans une configurations plutôt inclinée. Afin de la mettre en évidence nous l’avons
Donc pour transformer le grand couloir dans un espace agréable et vivant qui aurait l’air d’une bibliothèque, nous avons envisagé de mettre en place un mobilier spécifique au centre du hall. De cette façon que dès l’entrée dans l’espace, ces qui y entrent peuvent percevoir qu’il 27
INTERVENTION MOYENNE
envisagée de la couleur orange, ainsi comme sa surface d’influence dans le sol. Dans cette nouvelle configuration un usager qui entre dans le hall peut voir plus facilement l’accueil de la BU.
image digitale de l’interventions minimale: vue à partir de la nouvelle banque d’accueil
Nous avons aussi mis dans ce pré-projet tous les 4 points que souhaités par le personnel : la boîte de retour de livres, localisée juste à côté de l’entrée ; les panneaux dynamiques d’informations de l’université et de la ville fixés dans le mur du SAS d’entrée ; les casiers pour déposer les affaires à gauche dans le SAS ; et, l’espace café juste en face du actuel kiosque, avec une machine à café et autre de snacks et des petites tables séparees par des plantes (possible barrière pour éviter conversations entre tables et donc la formation de groupes nombreux).
perspective de l’intervention moyenne
En ce que concerne une intervention moyenne, nous nous sommes appuyés dans une stratégie de travailler avec plus de liberté par rapport à localisation actuelle des espaces du hall, c’est-à-dire que nous ne nous figeons pas dans la division actuelle des espaces d’usages particuliers. Le principal changement c’était la transformation complète du flux d’entrée. Nous avons changé physiquement le flux dès l’entrée par le conduisant à 28
gauche (non plus tout droit comme actuellement). Pour arriver dans un résultat mieux, la banque d’accueil était reconfigurée. En fait, elle continue presque dans le même lieu, nous l’avons tournée en 90 degrés. Partant quand quelqu’un rentre dans la B.U., il arrivera toute suite en face à la banque, de manière que l’accueil serait la premier chose vue dès l’entrée, en renforçant une identité claire de bibliothèque dès l’entrée. Cette nouvelle configuration globale de l’entrée aide aussi dans la surveillance pour la partie du personnel du flux d’entrée et sortie et met l’accueil dans un espace beaucoup plus caractéristique d’un vrai accueil.
l’entrée de lumière naturelle dans le hall comme aussi une vision plus perméable des espaces que permettre une intégration entre les lieux. Un espace café était prévu en face de ce nouveau kiosque (où se trouverait un poste de travail capable de surveiller son bon fonctionnement.
image difgitale de l’intervention moyenne: vue de la propositions de changement de l’entrée
image difgitale de l’intervention moyenne: vue de la nouvelle configuration du kiosque
Ensuite, un changement de place entre le kiosque et la salle de travail en groupe et la substitution des cloisons qui délimitent actuellement cette deuxième salle par der vitrages était envisagé afin de donner au hall une identité de bibliothèque. L’espace kiosque a par son usage des caractéristiques éminemment d’un espace de bibliothèque. Il peut alors donner au hall cette identité. Les murs en verre permettent
INTERVENTION PLEINE
Par rapport aux autres éléments souhaités (les 4 éléments au total) qui n’étaient encore traités, nous les prévenons quasiment dans les mêmes endroits que dans l’intervention minimale.
L’objectif de cette intervention était de permettre l’intégration la plus globale possible des espaces, soit par la visibilité entre eux, soit par leur contact direct, soit par l’utilisation des meubles qui puissent donner cette idée de liaison. Afin d’en réussir, cette intervention 29
a pris en considération un plan du hall où seulement les points fixes du bâtiment y étaient présents : les piliers, les murs portants, les ascenseurs et escaliers. Tout le reste était donc susceptible à changements : les cloisons et l’emplacement des espaces. Nous arriverons par conséquent dans un dessin tout à fait nouveau du hall, un réaménagement complet. En résumé, nous avons travaillé sur le concept du « plan libre » toujours en respectant les souhaites et nécessités du personnel et des usagers. Ce pré-projet a comme prémisse l’optimisation des espaces dans un grand hall où tout serait visible et intégré.
perspective de l’intervention pleine
Le flux d’entre est similaire à ce du premier pré-projet ainsi que les éléments présents dans le SAS d’entrée (casiers pour affaires, boîtes de retour de livres et panneaux dynamiques pour information). Cependant, afin de régler problèmes de flux de vent dans le hall, fondamentale dans ce développement d’un hall rempli d’usage, perméable et vivant, un panneau en verre (ou quelque autre matériel transparent (nous avons aussi pensé dans un panneau en acrylique) est situé au milieu du SAS pour que le vent ne puisse pas faire un chemin direct jusqu’au hall, plus
croquis Eduardo Andrade : intégration des espaces
30
(comment les gérer). Ces documents ont été distribués à chacun des membres du comité de pilotage lors de la présentation des trois pré-projets.
précisément, comme nous allons voir, à la banque d’accueil. Banque que, grâce à son importante dans le cadre d’un hall de bibliothèque - le contact entre bibliothécaires et usagers, entre autres - était mis dans une place absolument central. Elle deviendrait donc la première chose vue dès l’entrée et, principalement, elle deviendrait visible pour la grande partie des espaces du hall. Elle aurait aussi visibilité de ces espaces. C’est tout à fait un espace privilégié. Pour que la banque aill cette visibilité, c’était nécessaire envisager la composition du nouveau hall par un mobilier plutôt bass qui n’empêcherait pas la perméabilité et la fluidité de l’espace pour la vision. Toutes les activités du kiosque ont été mises autour de cette banque, de manière qu’elles puissent configurer de façon structurelle un espace de bibliothèque. Son ancien lieu était destiné à la salle de travail en groupe; dans l’ancienne place de la banque d’accueil, nous avons mis en place l’idée d’un espace détente, espace qui dans ce moment de pré-projet n’avait pas encore un dessin à cause d’être un défi bien complexe. Nous avons aussi envisagé l’ouverture du jardin afin de discuter, dans un rendez-vous que se passerait pour présenter les trois pré-projets, les possibilités d’une action de ce type.
image difgitale de l’intervention pleine: vue sur le hall reorganisé
Pour chacun des trois pré-projets, nous avons produit un document que qui visait à expliquer synthétiquement chaque action qui était prise. De façon que nous avons énuméré chaque action et, avec un parcours assez simplifié mais assez suffisant, nous avons essayé de les expliquer (comment), les justifier (pourquoi), de prévoir quelques risques qu’elle donnait (risques) et, pour finir, de donner des pistes qui puissent résoudre les possibles risques
image difgitale de l’intervention pleine: vue dès l’entrée
31
3.5.3.
DÉVELOPPEMENT DU PROJET _ TROISIÈME ÉTAPE : PROCESSUS DE DÉVELOPPEMENT DU PROJET FINAL CHOISI
le support à des idées comme la centralisation de la banque d’accueil et prêt et le mettre en place d’un espace café, bien sûr, avec toutes les conditions déjà posées, réflexions sur l’emplacement de l’espace détente où est actuellement la banque d’accueil ont mouvementé un débat. Il faudrait faire attention pour ne pas créer cet espace de manière à produire un lieu très bruyant donc, nous arrivons dans des prémisses qu’il faudrait créer un lieu plutôt individualisé et que, vu qu’il s’installerait vers un parcours très utilisé par le personnel, il ne causerait pas un problème en ce que concerne sa surveillance. La taille de la banque d’accueil et prêt était questionnée pour apparenter d’être très large. Toutes ces remarques seront finalement conjointes dans le plan final développé pour le développement du hall de la bibliothèque universitaire tréfilerie qui sera présenté ci-dessus.
Avant de débuter cette étape il faut bien dire que tant dans la réunion avec le comité de pilotage (12 mai) comme celle avec le personnel (19 mai), c’était enfin démarré les axes nécessaires pour le développement d’un projet dit « final » une fois que des remarques très pertinentes ont été faits pour qu’on puisse arriver dans un dessin le plus souhaité d’un nouveau hall. L’échange entre notre vision autant que des étudiants en architecture et des professionnels bibliothécaires nous a fait voir que le fonctionnement d’une bibliothèque est toujours beaucoup plus complexe de ce que nous imaginons, surtout quand elle appartient à une université. Dans la réunion du 12 mai, nous sommes arrivés à quelques pistes qu’il faudrait considérer, comme : n’hésiter pas en ouvrir les portes du jardin àfin de créer un espace « outdoor » dans la bibliothèque ; le support de la plupart des parties à la stratégie de centraliser dans l’espace la banque d’accueil et prêt à condition que les flux des vents devenus de l’entrée puissent être régulés de manière à ne pas gêner le confort du personnel qui y travaille ; la configuration d’un espace multifonctionnel autour de la banque centralisée qui correspondait aux usages actuellement appartenant au kiosque ; le mise en place d’un espace café attrayant ; et qu’il faudra faire attention au besoin de ne pas empêcher les flux des sorties de secours et l’évacuation du bâtiment s’il soit necéssaire. La deuxième réunion nous a aussi apporté des axes pertinentes : au-delà de renforcer
En prenant compte de toutes ces remarques, nous avons commencé le processus final de projet qui arrivera dans la proposition finale. Dans cette partie, la production de dessins, d’images et de la maquette 3D ont été toujours supportées par des discussions et réflexions qui comptaient comme base tout le « background » formé jusqu’à ce moment. Le projet final a été présenté en forme de diaporamas avec un parcours qui semblait d’être le mieux pour la compréhension du projet : un essai de comparaison entre la configuration actuelle et celle de notre proposition, une vision globale où les concepts généraux peuvent être vus et des zooms dans chaque espace spécifique qui démontraient la représentation d’actions de projet plus particulières à chacun de ces espaces. 32
Deux semaines avant que nous finissions notre proposition, un rendez-vous avec une autre partie du personnel de la B.U., partie qui n’avait pas encore vu le projet, a été organisé par Mme. Fortin qui l’a justifié grâce au bon résultat des pré-projets remarqué par le personnel présent dans le rendez-vous du 19 mai. Cependant, les résultats de ce dernier rendez-vous ont été, d’un certain point de vue, tragiques. Les intégrants de ce rencontre n’ont pas de tout aimé les choix des axes du comité de pilotage fait qu’au décours de la rencontre nous a mis dans des situations de tension et de conflit parfois très désagréable. Malgré ces situations, grande partie des remarques ont été positives, sauf quelques-uns qui partaient d’une vision très subjective, individualisée et, pourquoi ne pas dire, égocentré. Évidemment, ces types de remarques ont été déconsidérés dans le projet. Après les rapports qui nous avons fait entre nous sur ce rendez-vous, la conclusion qui nous semblait la plus intéressante à être remarquée, c’était que dans la vie professionnelle des architectes, ou de n’importe quelle activité professionnelle, plaire aux Grecs et les Troyens est tout à fait une situation assez difficile d’y arriver, quand même presque utopique, quoiqu’il était au début notre plus importante souhaite.
3.6.
semble. Une fois que nous sommes finalement arrivés dans ce point-là, nous avons encore une fois nous posé la question de ce que devrait être une bibliothèque universitaire, pour être sûr d’avoir résolu tous les défis posés jusqu’à ce moment, toujours en prenant compte que chaque fois que notre publique (dans ce cas, le public universitaire) change, leurs besoins aussi changeront et il faut réfléchir à l’évolution des espaces comme un axe de travail à suivre.
PRÉSENTATION DU PROJET FINAL DE LA RÉORGANISATION DU HALL
Pour débuter donc l’analyse de ce dernier scénario produit, il est bien pertinent comprendre que la décision d’avoir créé un espace sans cloisons n’est pas faite justement pour pouvoir les intégrer physiquement. Cela est aussi une réflexion autour de comment se passe l’appropriation des gens au bâtiment de manière à pouvoir, avec l’architecture, intégrer tous les agents responsables pour donner de la vie à la bibliothèque, cela veut dire : les personnes. Soit aux bibliothécaires, soit aux usagers,
Après toutes les étapes déjà exprimées jusqu’à ce moment, la décision pour un scénario dit « final » pour le réaménagement du hall de la Bibliothèque Tréfilerie a finalement été prise : un lieu décloisonné où une banque d’accueil centrale sera mise en évidence pour renforcer une vraie identité de bibliothèque et permettre une surveillance de l’en33
nous ne parlons pas justement d’un espace sans murs, mais d’un espace sans barrières. Barrières telles qu’à la fois n’encouragent pas la prise de conscience que, pour qu’un espace puisse bien fonctionner de manière à plaire tout ce qu’y sont dedans, il faut des actions conjointes et du respect mutuel entre ceux qui offrent un service et ceux qui l’utilisent.
disposées autour de cet « îlot » si important pour le fonctionnement de l’ensemble. Cette action de centralisation de la banque d’accueil est déjà une solution concrète pour plusieurs défis découlant de l’actuelle sectorisation des espaces. D’abord, nous renforçons le fait que la mise en évidence de la banque au milieu du hall joue un double rôle de visibilité dans le milieu : une fois qu’elle est placée directement en face de l’entrée, c’est possible, de la part des bibliothécaires, avoir un contrôle direct de ceux qui pénètrent dans l’espace, et de l’autre part, ceux qui y entrent se rendent compte tout de suite qu’il y a quelqu’un pour les accueillir, qu’il y a des yeux vigilants pour surveiller un bon fonctionnement du hall. La centralisation de la banque d’accueil a aussi une raison très simple que c’est celle de, encore une fois dès l’entrée, faire que les gens perçoivent de qu’ils sont à l’intérieur d’une bibliothèque et donc un changement d’attitude et de comportement est nécessaire. Nous ne sommes plus dans un lieu de passage entre les espaces de la bibliothèque , mais déjà dans son cœur, et la présence de plusieurs activités liées à la lecture et à l’étude et aussi la présence constante du personnel au centre de ce lieu créent une identité claire : nous sommes dans la bibliothèque et donc c’est nécessaire respecter l’espace, c’est-à-dire, il faut faire attention au silence !
perspective du projet final
C’est avec ce concept d’un espace sans barrières que nous pouvons finalement arriver à un projet autrement dit « radical » de réaménagement. De manière très pratique, le premier pas pour l’intégration des espaces c’est l’enlèvement de tous les murs non-portants. Nous arrivons à un « plan libre », où, au cœur de cet espace, c’est placé une banque d’accueil, avec toutes les autres activités de la bibliothèque 34
image difgitale du projet final: vue de la banque d’accueil vers l’entrée
image difgitale du projet final: vue du kiosque vers le SAS du jardin
Pour les activités autour, nous avons toutes les activités existantes organisées de manière à diffuser le flux des gens, en créant donc une appropriation beaucoup plus fluide des différents espaces prévus au même temps que ces activités font aussi leur travail d’aider à communiquer une identité de bibliothèque. Une fois que nous entrons dans l’espace et c’est possible de voir qu’il y a des « vraies activités » d’une bibliothèque, avec la présence des livres, des magazines, des gens qu’étudient et que lisent, encore une fois nous nous arrêtons pour, chacun faisant sa partie, garantir le bon fonctionnement du hall. C’est pour ces raisons donc que nous avons, autour de la banque d’accueil centrale, les activités d’un kiosque – avec sa collection de périodiques mises à disposition et visibles dès l’entrée – des espaces pour lire, pour consulter des journaux, des ordinateurs pour recherche internet ou pour consulter le catalogue.
Aussi, en répondant donc à des besoins déjà exprimés plusieurs fois pour les étudiants de l’université et aussi dans ce rapport, nous avons la présence d’un espace de café à l’intérieur du bâtiment, ce qui fait que c’est ne plus nécessaire sortir de la bibliothèque pour pouvoir reprendre ses énergies avec une petite tasse de boissons chaudes. Ce aussi dans cette idée de répondre aux besoins des usagers que deux nouveaux espaces sont conçus pour le hall. Le premier existait toujours, mais son accès était barré : nous parlons du jardin. Avec son ouverture, c’est maintenant possible de « prendre de l’air » sans devoir forcément sortir de la bibliothèque, en rendant plus facile et agréable les activités de la bibliothèque à tous ceux qui passent de longues journées de travail à son intérieur.
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café plus détendu. Tout cela c’est une série d’actions prises pour, encore une fois, créer une identité de bibliothèque et forcer la relation des gens et changer le rapport qu’ils ont avec le bâtiment, toujours pensant qu’une fois que tous prennent soin de l’espace, il pourra bien fonctionner de manière ordonnée comme prévu.
image difgitale du projet final: vue du café vers la banque d’acuueil
image difgitale du projet final: vue de l’espace déténte
Dernièrement, mais pas moins important, c’est aussi intéressant remarquer que l’emplacement de la salle de travail en groupe où aujourd’hui c’est placé le kiosque joue aussi un double-rôle de contrôle de bruit. D’abord, en tenant compte que c’est un espace où les conversations sont permises (et aussi les bienvenues, en laissant des espaces de tranquillité dans d’autres parties de la bibliothèque). Nous créons donc une « zone de bruit » plus isolée du reste de l’ensemble du bâtiment, au même temps que remplacent ces cloisons par des murs vitrés, nous pouvons avoir la possibilité d’un regard toujours présent de la banque d’accueil, ce qui n’a pas du tout dans la configuration actuelle du hall de la bibliothèque tréfilerie.
image difgitale du projet final: vue du jardin
Le deuxième espace conçu c’est le coin détente, une salle pensée à toujours être modulaire (pour pouvoir changer l’espace si nécessaire) pour permettre à ces mêmes élèves à avoir des temps de calme pendant les périodes d’études, en créant des « îlots » de confort pour lire plus tranquillement, consulter leurs ordinateurs portables, même boire un 36
Nous finissons notre analyse de ce nouvel espace pour son entrée : comme déjà remarquée dans ce rapport, la décision d’avoir créé un espace sans cloisons fait surgir plusieurs questions autour de la gestion climatique du hall. C’était avec beaucoup d’efforts et des longues discussions autour de cette pièce polémique que nous arrivons a une configuration que peut résoudre des problèmes des fuites d’air, tellement récurrent et « à empêcher » pendant l’hiver. Il est prévu l’installation d’un panneau en verre (ou en d’autre matériel transparent), légèrement courbé, qui va du sol jusqu’au plafond de la pièce, de manière à pouvoir contrôler le vent qui entre en raison de l’ouverture des portes. Allié à la technologie présente des rideaux d’air chaud, il nous semble possible de créer une ambiance avec un climat contrôlé à l’intérieur de l’ensemble du hall, et donc permettant la bonne utilisation et le confort de tous ceux qui y sont dedans.
image difgitale du projet final: vue du SAS d’entrée
37
4.
LE CAMPUS PATRIMOINE LE CORBUSIER _ UNITÉ D’HABITATION FIRMINY Firminy. À l’époque surnommée « Firminy, la Noire » en raison de son caractère minier et sidérurgique, le maire rêve de construire une vraie ville du XXème siècle, moderne, airée, vers la nature. C’est dans ce contexte d’un souhait de renouvellement de la ville que la figure illustre de Le Corbusier émerge : d’après les expériences faites à Marseille, Nantes, Berlin et Briey-en-Forez, le grand architecte a conçu donc quatre bâtiments emblématiques pour la ville de Firminy – le plus grand ensemble d’œuvres réunis de Le Corbusier autour d’un même endroit – dont une Maison de Culture, un Stade, une Église, et une Unité d’Habitation, aujourd’hui tous classés comme Patrimoine du XXème Siècle. La patrimonialisation de l’Unité d’Habitation de Firminy qui aura lieu en septembre 1993 a créé plusieurs interrogations autour des actions pratiques pour la gestion de cet immeuble (l’interdiction de colorer les murs et de changer le sol, par exemple, sont des contraintes prises en compte pour nous dans la gestion de notre projet) et dans ce contexte l’école maternelle, qui fonctionnait en pleines activités jusqu’à 1998, est fermée pour des raisons de lois de sécurité. Elle restera fermée pendant des années jusqu’á 2012, lors du placement de l’Université Jean Monnet dans cet immeuble emblématique. Cela est fait de manière très consciente à faire ressurgir l’esprit le corbuséen dans ce bâtiment : on redonne à cet endroit d’éducation sa vocation originelle d’étude, de création, de convivialité et d’une communauté engagée pour la formation des gens, sauf que maintenant avec un nouveau public : des universitaires. Il est créé donc le Campus Patrimoine de Firminy, appartient à l’Université Jean Monnet de Saint Étienne, où se sont d’abord placés les masters STEP – Patrimoines, aussi comme le programme Erasmus-Mundus MACLANDS, en donnant à
source: archives municipales de Firminy
Comme était bien entendue dans des sujets déjà introduits dans ce rapport, notre expérience de stage a été faite en deux parties, celle concernant la Bibliothèque Universitaire Tréfilerie, et celle concernant le Campus Patrimoine dans l’Unité d’Habitation Le Corbusier. Pour débuter nos analyses à propos du réaménagement des espaces de l’école maternelle de l’Unité d’Habitation de Le Corbusier à Firminy, où c’est installé l’université Jean Monnet en 2012, il nous semble nécessaire faire un tout petit point sur l’histoire de cet immeuble emblématique. En sachant que plusieurs d’autres chercheurs ont déjà fait des réflexions tout à fait remarquables à propos de ce sujet, nous le ferons de manière à synthétiser cette histoire pour expliquer le contexte de son développement. Nous commençons donc, en 1953, quand Eugène-Claudius Petit fut élu maire de la ville de 38 1
la ville de Firminy, l’expérience d’avoir des étudiants dans une sphère internationale. Cette internationalisation est encore agrandie après des accords prévenants du programme d’échange brésilien Ciencias sem Fronteiras, dont nous sommes heureux de pouvoir avoir participé. Dans ce caslà, il faut dire que, pour des étudiants provenant du Brésil où Le Corbusier est toujours une grande référence architecturale et conceptuelle, étudier dans une Unité d’Habitation et vivre à Firminy Vert a été une expérience très enrichissante pour notre formation.
situe doublement en haut de la ville de Firminy. L’Unité est placée dans le point le plus haut de Firminy Vert, un grand bloc de béton et verre qui pousse de la nature, présente toujours aux alentours. L’école maternelle, à son tour, reste au tout dernier étage de cet immeuble, au toit-terrasse, le « jardin en bêton » prévu par Le Corbusier comme un espace de rencontre de gens. En appuyant « école » dans l’ascenseur, nous arrivons à la limite des espaces qui appartiennent à l’université et ceux de la mairie : à droite, nous conservons l’école maternelle dans son état d’origine dont l’accès est fait juste en compagnie des guides de visite. À gauche, derrière la porte orange, le Campus Patrimoine de l’Université Jean-Monet. Comprenant un espace de cinq salles unies, entre elles, par des panneaux roulants et aussi par un couloir, l’espace est fait pour être intégré : lors de l’ouverture de tous les panneaux de division, nous pouvons voir jusqu’au fond la dernière salle, sans que rien empêche la vue. Le programme pour cette espace commence avec la première pièce, un hall réservé à l’accueil des étudiants et des professeurs, à la suite, une salle de convivialité pour les étudiants, une première salle de cours, une salle d’informatique et une deuxième salle de cours. Des grandes baies vitrées qui vont du sol jusqu’au plafond occupent toute les murs de la façade est (à gauche), et l’on se sent baigné par la nature qui entre dans l’espace comme s’il n’y avait pas de barrières.
Cette évolution des activités de l’enseignement à l’ancienne école maternelle de Le Corbusier, où maintenant un mélange de cultures et d’expériences sont rassemblés dans un seul bâtiment, est la base pour une réflexion autour de la manière dont elle a été conçue originalement et les besoins présents aujourd’hui pour un public tout à fait différent de ce qui était prévue à l’époque. Pour approfondir cette discussion et déjà lancer quelques pistes pour le travail de réaménagement que se poursuivra, nous en parlerons donc comment l’école maternelle est aujourd’hui, pour, encore plus tard, voir les directions nécessaires à prendre pour développer notre projet.
4.1.
BREF CONTEXTUALISATION SUR L’ÉCOLE
Arriver à l’école maternelle de l’Unité d’Habitation de Firminy a été toujours un chemin agréable dans notre quotidien, et il nous semble raisonnable pour comprendre mieux la situation du bâtiment lui-même, parler de ce sujet. D’abord, il faut comprendre que l’école maternelle se
La dichotomie ici présente c’est le fait de, dans un espace patrimonialisé où c’est interdit de faire n’importe quel type de changement au niveau du bâtiment – comme déjà était cité – avoir des activités uni39
Les enjeux du projet, selon la lettre de mission écrite par Mme. Brayet (annexe 11): Projet : “Réorganiser l’ensemble des lieux (salles, couloirs) avec une priorité au hall/bureau/salle de réunion (après l’entrée) pour offrir un bureau modulable à la coordinatrice pédagogique et administrative du Campus, un espace pouvant accueillir des ouvrages en libre lecture et un lieu de réunion indispensable. Les lieux doivent être les plus accueillantes possibles, calmes tout en respectant les contraintes d’un MH (pas de trou aux murs, pas de percements…). Le projet doit restituer l’esprit de la filière (internationale, humaniste, interculturelle etc. …) et faire comprendre que la jeunesse du monde entier peut se retrouver là !”
plan du côté nord de l’école maternelle
versitaires contemporaines qui changent et évoluent de plus en plus lors de la reconnaissance et de l’importance prise pour le campus patrimoine lui-même, c’est-à-dire, le fait d’avoir chaque année plus d’élèves (soit au niveau national soit international) et aussi l’agrandissement des activités universitaires dans le bâtiment qui, en 2016, va recevoir aussi une bibliothèque en créant donc un espace de catalogue et de recherche qui manquait dans le programme présent. Toutes ces actions arrivent à des réflexions de comment gérer un espace immutable et patrimonialisé avec une demande de la part des usagers des nouvelles fonctions et usages, avec des meilleurs espaces pour accueillir les activités qui ne cessent pas d’évoluer. Dans ce contexte qui nous arrivons aux vrais enjeux présents dans l’École Maternelle, et que les directions à prendre pour arriver à un projet architectonique sont finalement prises.
4.2.
Les enjeux du projet : “1. Ne pas toucher au Monument Historique donc une empreinte au mur faible : 2. Etre accueillant pour des étudiant(e)s, intervenants, enseignants, visiteurs ; 3. Etre lisible : faire d’emblée comprendre où l’on est, l’esprit du lieu et de ceux qui y travaillent.” L’objectif du projet : “1. Proposer plusieurs scénarios de réaménagement de l’espace, tenant compte des contraintes techniques du bâtiment et des enjeux du projet ; 2. Pouvoir à partir du hall, être lisible ;
LES ENJEUX ET L’OBJECTIF
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3. De manière générale, pouvoir intégrer une petit bibliothèque d’ouvrages autour du patrimoine ; 4. Le scénario retenu par le comité de pilotage sera approfondi afin de livrer une proposition comportant une analyse des coûts.”
renforcer l’esthétique très particulière du grand architecte 3. Puis, la création des matériaux pour que cet aménagement puisse être accompli avant l’entrée de 2015-2016, et comme résultat c’était produit deux panneaux d’explication du projet, avec un nouveau plan pour l’ensemble, des images, et un catalogue des objets choisies.
Partant de toutes les contraintes que la conception d’un projet d’intervention spatiale dans un monument historique a toujours été une évidence dans plusieurs points organisés entre le groupe et les commanditaires de ce projet, Mme Bayon et Mme Brayet. D’après la lettre de mission, nous arrivons en accord que cette intervention sera faite à partir de la création des espaces avec l’aménagement des meubles. Il nous semble pertinent renforcer l’idée qu’une fois étudiants de ce même espace, il y a un double rôle dans le processus créatif, celui de penser à l’espace comme nous voudrions qu’il serait et aussi répondre à une demande du changement pour l’avenir.
4.3.
CONSIDÉRATIONS SUR LA DEMANDE
Les considérations sur la demande sont une partie d’extrême importance dans le processus de développement de ce projet de réorganisation spatial. Premièrement, c’est pertinent de réaffirmer que, en tant qu’étudiants en architecture, proposer des solutions architectoniques qui font des relations avec un espace construit par un architecte de haute importance comme Le Corbusier démontre non seulement un défi comme un plaisir. Les réflexions ont été toujours appuyées dans les pensées « le corbuséens » pour qu’une proposition esthétique puisse bien fonctionner au même temps que respecter un langage impair devenu du grand architecte.
Ce processus a été mis en accord avec nos commanditaires, et nous avons pu, donc, arriver à un chemin logique pour qu’un projet d’aménagement puisse être fait : 1. C’était toujours accordé la proposition des différents scénarios d’aménagement, à ce que concernait surtout la meilleure organisation spatiale par rapport au flux, aux espaces créés et au confort dans ces espaces, toujours pensant à la possibilité de les déplacer pour répondre aux besoins passibles de surgir. 2. Après que l’étude des scénarios était complet et un soit choisi, il fallait chercher dans les catalogues disponibles des meubles que puissent avoir une relation avec l’architecture le corbuséenne, pour toujours
Ensuite, en tant qu’étudiants qui ont suivi le cours de patrimoine dans leur année d’échange universitaire international, « intervenir » dans une œuvre d’importance élevée pour une communauté, pour l’histoire de la ville, pour l’histoire de l’architecture mondiale et pour l’emplacement tout à fait cohérent d’un campus destiné aux réflexions sur le patrimoine et, en plus, dans un bâtiment qui est classé comme patrimoine du XXème siècle, démontre non seulement un défi professionnel mais aussi un défi évidem41
ment académique. Cette proposition de stage nous a rendu des décalages intellectuels et professionnels très importantes et qui feront sûrement partie de nos pratiques soit comme architectes, soit comme possibles professeurs et chercheurs.
En plus de tout qui était déjà expliqué dans les topiques précédents par rapport aux difficultés trouvées dans le fait que nous proposons des nouvelles configurations dans un bâtiment classé d’assez d’importance, nous allons maintenant expliquer de manière exhaustive des problématiques, des défis et des souhaites posés par les « clientes » de ce projet, Mme. Bayon et Mme. Brayet.
En dernier lieu, mais jamais avec moins d’importance, cette proposition de stage nous a mis dans un double positionnement qui était aussi capable de provoquer grands résultats dans nos vies de futurs professionnels. Nous étions d’une certaine manière les « clients de nous-mêmes », vue que nous avons fait un projet en tant qu’étudiants du campus, sans oublier les souhaites de nos commanditaires Mme. Jaqueline Bayon et Mme. Aurélie Brayet. C’est analogue à projeter notre propre maison, même que soit triste de penser que nous serons déjà « déménagés » quand elle sera prête. Ce double rôle a créé une espèce d’attention aussi doublé, il y a fallu parfois prendre distance du « nous-commanditaires » pour arriver dans le « nous-contractés », vice-versa. Nous semblait pertinent de révéler cette côte parfois paradoxale pour enfin affirmer que le résultat est fruit des pensées extrêmement profonds, tant intellectuellement que sentimentalement. Pour conclure, il faut réaffirmer que l’opportunité d’avoir fait un stage comme ce qui s’est passé nous a donné une expérience inoubliable en tant qu’étudiants, futurs professionnels, chercheurs, académiques et/ou penseurs du monde de l’architecture et du patrimoine.
4.4.
D’abord, une question d’extrême pertinence, c’est le souhaite de la coordinatrice des cours, Mme. Brayet, qui nous a demandé une nouvelle réorganisation de son bureau (situé dans la partie centrale du hall) : un espace lumineux par rapport aux incidences de la lumière naturelle qui entre dans le bâtiment le corbuséen – la lumière naturelle est-elle une pièce clé d’extrême importance dans les configurations d’espaces dans l’architecture de Le Corbusier - ; le maintien de la très belle vue qu’elle a déjà à partir de son bureau actuel face à la façade est ; un espace facilement changeable avec de mobilier de facile déplacement pour répondre aux multiples besoins de sa fonction (réunions, échanges au téléphone, concentration dans les activités bureaucratiques, assistance aux étudiants du campus) ; un espace bien marqué que peut être parfois plus fermé parfois plus ouvert ; un grand plan de travail ; la proximité aux chauffages du hall ; et, à la fin, le maintien de la visibilité de l’entrée. Ses souhaites ont été un énorme défi par rapport à la réorganisation du nouveau hall d’entrée vue qu’ils sont parfois paradoxaux en tant que configuration spatiale : un espace fermé, bien délimité, libre des bruits qui devient du hall et des salles juste à côté en combinaison avec la non-perte d’une belle vue et de l’entrée, sont difficiles à maîtriser quand nous ne pouvons que jouer avec des meubles – une quantité assez
PROBLÉMATIQUES, DÉFIS ET SOUHAITES
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faible d’eux – en raison du classement du bâtiment. Opter pour le bâtir des cloisons transparentes et des murs de délimitation, même que faites en verre, étaient tout d’abord annulés. Tous ces souhaites ont aussi posé des restrictions à la configuration générale de la salle d’entrée. Mme. Brayet nous a demandé de prendre soin pour ne pas créer un espace dans cette salle qui soit très attrayant à formations des grands groupes d’étudiants dans leurs moments de pause entre classes, par exemple. La justificatif, tout à fait valable, c’était que pendant la pause des étudiants les travaux de Mme. Brayet ne cessent pas, c’est-à-dire, qu’elle ne peut pas arrêter ses tâches à cause de la pause-café des étudiants. Pour cette pause, une autre salle était déjà destinée et il faudra mettre en évidence cette caractéristique. Le défi était lancé.
possible augmentation des places assises dans l’ensemble d’espaces du campus, vu que le chiffre d’étudiant fait que monter à chaque année et qu’un déménagement d’un site si spécial et si approprié au contexte de formation sur le patrimoine est-il hors question. Finalement, pour la salle juste à côté du hall d’entrée, aujourd’hui destiné plus précisément à la convivialité, était envisagée la création d’une salle tout à fait versatile où soit possible le maintien de ses fonctions actuelles, bien qu’un échange entre enseignantes et étudiants dans ses moments des classes, un échange plus informel mais aussi sérieux. Par rapport à première salle, celle que concerne le hall d’entrée et le bureau, la demande pour un coin qui puisse fonctionner comme un espace de rendez-vous était faite. Cet espace existe déjà, mais au point de vue de tous, il est un peu hyper dimensionné actuellement et alors il faudrait maîtriser cette question.
Moins compliqués étaient les souhaites lancées par Mme. Bayon en ce que concerne la nouvelle configuration de l’espace. En tant que directrice des cours du Campus Le Corbusier, elle envisageait la globalité des espaces comme des lieux de convivialité, des espaces agréables pour l’échange des étudiants – beaucoup entre eux devenus des différentes parties du monde. Elle voulait aussi créer une ambiance universitaire en mettant en place des livres, rapports et mémoires de recherche de plusieurs sujets qui font des relations avec les débats sur le patrimoine, c’est-à-dire un ou plusieurs coins bibliothèque. Ce dernier souhaite pose aussi des défis pertinents vue que étagères ne peuvent pas être collées aux murs, surtout pas fixé avec des instruments que font des marques dans les murs classés.
En tant que défis, c’est tout d’abord remarquable qu’évidemment le classement du bâtiment comme patrimoine historique pose une quantité énorme de questions à faire attention. Cette raison annule quelque type d’intervention que puisse perturber concrete et visuellement l’espace conçu par Le Corbusier, situation qu’empêche quelques actions dans la réorganisation spatiale comme : faire trous dans les murs pour fixer des éléments nouveaux, ou même des actions que peuvent menacer ces murs de quelque façon (meubles collés aux murs qui peuvent pour actions des efforts physiques les abîmer). C’est aussi remarquable que dû au fait que les espaces appartiens aux campus actuel ont été bâtis afin de constituer une école maternelle, les toilettes, quasiment la totalité d’eux faits pour les enfants (cuvettes de proportions particulières impossibles de être utilisés par adultes) et qui sont localisés dans les salles de
Quant aux souhaites demandés par les deux, nous avons : une 43
cours délimités par murs très bas ne peuvent pas être touchés dans vraiment aucune situation. L’espace devrait donc être vu comme figée en ce que concerne la construction elle-même. Tous les éléments bâtis sont vus comme fixes, non changeables, intouchables. En outre, comme l’espace a, globalement, palette de couleurs très singulière, effectivement très « le corbusiènne », un respect au monument historique devrait être pris en compte de sorte que l’emplacement de nouveaux meubles devrait être fait toujours en harmonie chromatique par rapport au espace. En conséquence, les options des meubles qui puissent être utilisés ont été franchement diminuées et nous conduisent ainsi à un outre défis : trouver des meubles qui harmoniseront avec l’ambiant. En dernier lieu, les coûts de la proposition devraient être maitrisés : meubles qui coûtaient moins que huit cents euros chacun c’était l’accord entre nous et Mme. Bayon et Mme. Brayet, ainsi qu’une somme pas non plus très coûteuse.
4.5.
raisons de ce retard, c’était quand même nécessaire accélérer le projet, ce qui n’a pas changé le résultat final achevé, une fois que, étant déjà étudiants de patrimoine dans le bâtiment lui-même et avec toutes les références acquises dans nos cours en architecture, nous avons beaucoup de connaissance sur le langage et les caractéristiques corbuséennes. Même avec cette connaissance, comme c’est d’habitude dans le processus de développement d’un projet architectural, ils doivent commencer par la recherche des références qui puissent nous donner des pistes de comment réaliser une intervention dans un bâtiment classé, en respectant un langage très forte du modernisme français et aussi en faisant du sens avec ce qui était souhaité pour l’espace. Ayant déjà fait plusieurs « petits-points » avec Mme Bayon et Mme Brayet, pour pouvoir comprendre plus à fond quels étions les souhaits et les problématiques présentes dans l’espace du Campus Patrimoine, et elles nous avons peut confirmer que le souhaite de continuer avec les mêmes espaces, sauf quelques désirs de ajouter des « petits coins ». Des petites espaces nécessaires comme, par exemple, une bibliothèque pour les ouvrages autour du patrimoine, un espace détente pour les élèves, toujours en renforçant l’idée que les espaces devrait être conçus en tenant compte que nous aussi étions déjà étudiants dans ces salles, et donc le programme final devrait nous plaire aussi.
LE PROCESSUS DE DÉVELOPPEMENT DU PROJET
Le réaménagement de l’université Jean Monnet à Firminy, aussi dît « Campus Patrimoine », situé dans le dernier etage de l’Unité d’Habitation a eu son début fin mai. Même ayant déjà connaissance des souhaits provenant des commanditaires de ce projet à partir d’une lettre de mission accordé dès le début de notre stage, nous avons fini par tarder à le débuter de ce qui était originellement prévue. Laissant à côté des
Après les recherches de références nous sommes allés à l’Ecole pour récupérer les plans de l’espace et connaitre les mesures réelles des salles, parce que même connaissant les connaissant déjà par cœur, il faut toujours des mesures précises pour démarrer un projet. A partir de ça il 44
fallait enfin faire un model 3D de l’espace, pas seulement pour présenter aux clientes et être plus claire à expliquer le projet final, mais pour nous, ce qui vont produire l’espace, ayons une idée plus réelle de l’échelle et de la taille des meubles dans l’espace. Par contre nous avons trouvé un petit/grand problème, que c’était l’échelé du plan. Comme il n’était pas digitalisé dans un programme propre d’archi avec les mesures correctes entre autres choses, le groupe l’a scanné et in locu a pris des mesures pour a partir de ca faire un plan en escale et continuer le processus dans la meilleur maniéré possible.
Dans cette même visite nous avons peut finalement discuter dans l’espace d’intervention lui-même les souhaites de nos commanditaires Mme Bayon et Mme Brayet, en faisant des propositions de comment se serait possible arranger les espaces, comme le bureau de Aurelie, entre autres échanges qui ont été fait. Pour ce bureau, par exemple, il avait la nécessite d’un mobilier qui était possible de changer le quand nécessaire, de manière a le « fermer » si voulu, au même temps qu’en maintenant la vue vers les baies vitrées. C’était à partir de ses échanges que nous avons commencé à chercher encore une fois des références et des solutions pour ces questions, comme paravents mobiles, un mobilier avec des roulettes, toujours bas pour ne pas barrer la vue, d’entre autres questions. Une fois que nous avions tous les informations nécessaires pour développer le projet, les mesures correctes de l’espace et la maquette électronique déjà prête avec tous les éléments fixes existants dans l’école, le processus architecturel est débuté. Nous avons commencé à faire de croquis, et des possibilités pour le espace, au début seulement avec un mobilier simple (seulement son volume, sans pense dans l’esthétique dans ce moment la), pour savoir s’il y avait un espace suffisant pour les flux et les « coins » dédiés aux espaces que nous désirions, comme le souhaites de diviser la salle de réunion par deux types d’usage.
croquis João Domingos: études sur la réorganisation du Campus Le Corbusier
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croquis João Domingos: études sur la réorganisation du Campus Le Corbusier
croquis João Domingos: études sur la réorganisation du Campus Le Corbusier
Selon Mme Bayon il n’y avait pas beaucoup de restriction sur les meubles, seulement un budget limité par chaque meuble et toujours tenant compte que tels objets devaient exister dans un catalogue français pour que après un tableau avec tout le mobilier puisse être réalisé. Le grand défi après avoir déjà une configuration pour l’espace c’était de trouver des meubles qui ont une langage pareil avec celle de Le Corbusier (une architecture des années 50), et donc pensant toujours aux caractéristiques du bâtiments, comme l’utilisation des couleurs, le jeune ou le vert; les forme géométriques, carrées et rectangulaires, et avec des ligne simples. Le groupe a trouve la solution dans le catalogue
français, comme ikea, alinea et steelcase, et a partir de ça nous avons faire le projet final que a été enfin présenté à madame Bayon et à Mme Brayet. Le projet a été accepté et tout de suite le groupe a commence a faire la présentation final, avec un panneau A1 et une affiche complet avec tous les informations du projet, qui va être présente en suite.
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4.6.
En respectant tout ces axes de réflexion déjà approfondis dans le parcours de ce rapport, nous irons proposer donc pour la nouvelle organisation du hall de l’École quatre espaces d’utilisation différents, afin d’optimiser l’ensemble de l’entrée. Ce grand ensemble maintenant vas être composé par le bureau de Aurélie, le coin bibliothèque, l’espace réunion et, dernièrement, un petit espace détente, vers les fenêtres. Ces espaces ont été réaménagé de manière à répondre le meilleur possible les souhaits des commanditaires de ce projet, pensant toujours d’abord à comment faire un bureau au même temps « fermé » et avec une vue vers la nature, sans perdre une vision de la porte d’entrée. Une solution pensée c’était de le changer avec l’actuel emplacement dédié à la photocopieuse, mais cela a été mis au rebut lors de la résolution de maintenir le même espace, en l’organisant avec du mobilier différent et en permettant qu’il soit à la fois modulaire et mobile. Avec cette solution et les meubles choisis, nous avons la possibilité de changer l’espace par rapport aux usages nécessaires. Avec l’aide des roulettes, c’est possible changer la position des étagères qui délimitent l’espace derrière le bureau, en changeant donc la vue de ceux qu’y passent. Aussi, avec des panneaux paravents mobiles et transparents, nous avons la sensation très claire d’un espace qui est restreint, mais au même temps fluide une fois qu’on peut voir à travers. Dernièrement il faut aussi dire du choix des meubles toujours bas, permettant donc, début ou assis, une vision globale de l’espace.
PRÉSENTATION DU PROJET FINAL
Partant de notre concept initiale de projet de réaménager le Campus Patrimoine de l’Université Jean Monnet à Firminy en respectant tous les contraintes autour d’un objet patrimonial comme l’Unité d’Habitation, nous commençons avec des études de l’espace pour pouvoir le comprendre et arriver à une solution architectonique suffisamment bonne pour répondre à tous les besoins déjà présentés, toujours tenant compte de continuer avec le langage du bâtiment. Ce bâtiment de Le Corbusier, classé comme patrimoine du XX siècle, avec une maniéré de s’exprimer dans l’époque du modernisme, avec l’utilisation des couleurs vivantes, (comme l’orange, le vert et le bleu, majoritairement primaires), et beaucoup de formes géométrique, remarquées dans les vitrages, ou dans les espaces, que quelques fois ont une sinuosité singulière, comme le grand mur orange, vue directement dès l’entrée.
image digital du projet final du Campus Patrimoine : vue vers l’entrée
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image digital du projet final du Campus Patrimoine : vue vers le bureau
image digital du projet final du Campus Patrimoine : vue du coin bibliothèque
A cote du bureau d’Aurelie, à droite de l’entrée dans le hall de l’École, la proposition c’est de créer un coin bibliothèque. Afin de répondre à la nécessite du Campus Patrimoine d’avoir un espace pour des œuvres autour de ce sujet, nous proposons un coin dédie à la consultation et aussi à lecture, même si très simple et spatialement petit. Actuellement dans cet espace nous avons déjà la présence des étagères avec les mémoires des anciens étudiants, et celle si sera changé pour continuer avec une idée de mobilité des meubles et à la configuration spatiale développé. Le petit coin bibliothèque va être mis en place ensemble avec la photocopieuse, consistant d’une disposition des fauteuil et des étagères mobiles, avec une marcation au niveau du sol (tapis, linoleum) pour créer l’impression d’être dans un espace, même si sans cloisons.
Actuellement à cote des baies vitrées il y a une grande salle de réunion composé par une grande table que, si nous pouvons dire, n’est pas si pratique ou même optimisé dans l’espace, déjà qu’elle ne pose pas la possibilité de la changer, si nécessaire. Visant un langage différent de celle que nous avons maintenant, avec des espaces plus mobiles et plus modernes, c’est proposé, d’abord, la division de ce grande espace en deux usages différents mais qui ont une claire relation entre eux. Avec l’utilisation des mêmes panneaux paravents roulants, c’est possible créer deux espaces versatiles, central, qui peuvent être utilisé avec des différentes fonctions. Nous avons d’abord le maintient d’un espace de réunions, mais avec une table plus petite et quand même plus détendue pour permettre le rencontre des gens. Deuxièmement, un espace de réunion plus détendu avec des fautteils confortables et des petites tables, toujours super agréable avec la vue unique que nous avons du haut de l’Unité d’Habitation à Firminy. 48
l’espace a été optimisé, c’est aussi possible la mise en place d’autres 3 tables carrées, plus petites, afin de créer un coin plus agréable pour manger avec la vue de la foret autour de l’Unité.
image digital du projet final du Campus Patrimoine : vue de l’ensemble et de l’espace réunion
La deuxième pièce adjointe au hall, dite comme sale de convivialité est toujours pensée comme possible d’avoir plusieurs types d’usages. Actuellement avec quatre grandes tables rondes et un petit « coin cuisine », la utilisation principal c‘est dédiée aux étudiantes de faire leurs repas et faire les pauses antre une classe et autre. Pourtant, sachant que parfois la disponibilité de places dans l’École n’est pas toujours sufisante, il faut toujours penser dans cette espace comme un lieu qui peut accueillir d’autres usages, genre, devenir une salle de cour, donc utilisé par des professeurs aussi. En sachant tous ses différents usages, notre projet d’intervention dans l’école vise toujours l’optimisation de l’espace, utilisant des meubles plus pratiques (avec les tables rondes c’est impossible de les joindre ensemble…) et les planifier d’une meilleur manière. En substituant les grandes tables rondes par quatre retanguliers, c’est possible économiser l’espace au même temps que permettre de, si necessaire, les metre ensemble pour créer une table plus grande. Aussi, lorsque
image digital du projet final du Campus Patrimoine : vue de la salle de convivialité
Dans ce meme espace il y a été aussi pensé pour optimiser la surface totale un coin avec des étagères bas en béton existantes dans le projet original conçu par le Corbusier. Sachant que c’est impossible de les retirer et qu’il apparait dans toutes les autres salles, nous créons don un coin-détende-pause-café dans toutes les salles, en donnant donc aux étudiants un espace tranquille pour attendre entre les cours, pour passer un temps agréable pendant les pauses, très à l’esprit le corbuséen de permettre de rencontre des gens.
49
5.
CONSIDÉRATIONS FINALES
Pour terminer ce rapport, nous remercions encore une fois à la CAPES et au gouvernement brésilien pour l’opportunité d’avoir participé du programme Ciência sem Fronteiras et avoir un an académique à l’Université Jean Monet de Saint-Étienne, en France, dont nous remercions également de nous avoir accueillis pour cette année. C’était une expérience singulière dans nos vies que certainement nous allons toujours nous rappeler avec tendresse. Dans les parcours de ce stage, c’était aussi un plaisir avoir l’opportunité d’avancer un projet sur le lieu de travail des gens, toujours en se tenant compte qu’il est aussi également un espace de vie de chacun. Dans ce contexte, avoir la possibilité de travailler sur une bibliothèque universitaire nous a fait apprendre beaucoup sur l’univers très particulier et les enjeux présents dans un espace toujours en mouvement. Également, comprendre la dichotomie présente dans un bâtiment patrimonialisé comme l’Unité de Firminy et le changement évolutif toujours présent à son intérieur c’était un gonfle de contemporanéité pour un espace qui risquait vers la cristallisation et que nous a fait apprendre énormément a propos de la gestion patrimoniale. Nous pouvons affirmer sans hésiter que si nous partons au Brésil comme meilleures personnes et comme meilleurs professionnels c’est aussi grâce aux fruits rendus du processus de ce stage. C’était une expérience sans précédents pour des étudiants d’architecture d’avoir la possibilité de travailler avec des vrais clients dans des vrais projets architecturaux, avec tous les défis, les contraintes, les difficultés mais aussi le bonheur de la profession. Cela nous a déplacé vers un monde diffèrent auquel nous sommes habitués – où quelques gribouillis seuls dans une feuille peuvent avoir tout le sens d’un projet – vers des personnes où il fallait se rendre pratique et très didactique dans la présentation d’un espace crée, force motrice de la création de stratégies de communication entre
ces deux parties également importantes dans la conception d’une œuvre architecturale. Nous remercions encore une fois à Mme. Bayon, Mme, Brayet, Mme. Fortin et Mme. Renouf pour le soutien tellement attentif dans ces quatre mois de stage, en espérant toujours que les résultats de nos actions puissent être le meilleur possible pour la vie des bâtiments et des gens.
50
6.
BIBLIOGRAPHIE MONOGRAPHIES ARIS, Dominique et HENRY Elisabeth (dir.), Architectures de la culture, culture de l’architecture : 1959-2009. Paris : Ed. du Patrimoine et Centre des monuments nationaux, 2009, 351 p. (Sudoc) ASSOCIATION DES DIRECTEURS DE BIBLIOTHEQUE ET DE LA DOCUMENTATION UNIVERSITAIRE (France). Congrès national (35 ; 2005 ; La Rochelle), Bibliothèques en chantier : constructions, extensions, restructurations. S.l. : ADBU, 2006, 269 p. (Sudoc) BISBROUCK, Marie-Françoise (dir.), Bibliothèques d’aujourd’hui [Multimedia support] : à la conquête de nouveaux espaces. Paris : Ed. du Cercle de la librairie, 2014. < Bibliothèques >. 437 p. (BU Droit Lettres fonds pro 020 Bis) CHAINTREAU, Anne-Marie et GASCUEL, Jacqueline, Votre bâtiment de A à Z : mémento à l’usage des bibliothécaires. Paris : Ed. du Cercle de la librairie, DL 2000. < Bibliothèques >. 314 p. (BU Droit Lettres fonds pro Cc 4 et R 51555) DE POLI, Aldo, Bibliothèques : architectures, 1995-2005. Arles : Actes Sud ; Milan : Motta, impr. 2004, 278 p. (Sudoc) FRANCE. DIRECTION DU LIVRE ET DE LA LECTURE, Architecture (s) de bibliothèques : 12 réalisations en régions, 1992-2000 : exposition, Paris, Institut français d’architecture, 25 octobre 2000-14 janvier 2001. Paris : Direction du livre et de la lecture : Institut français d’architecture, 2000, 104-[23 p] (Sudoc) FRANCE. SERVICE DU LIVRE ET DE LA LECTURE, Concevoir et construire une bibliothèque : du projet à la réalisation. Paris : Ed. du Moniteur, DL 2011, cop. 2011, 339 p. (BU Santé bureau PRO CON) FRANCE. SOUS-DIRECTION DES BIBLIOTHEQUES ET DE LA DOCUMENTATION, Les bibliothèques universitaires : évaluation des nouveaux bâtiments : 1992-2000. Paris : La Documentation française, cop. 2000, 152 p (BU Droit Lettres fonds pro Cc 5) GASCUEL, Jacqueline, Un espace pour le livre : guide à l’intention de tous ceux qui créent, aménagent ou rénovent une bibliothèque. Paris : Ed. du Cercle de la librairie : Promodis, impr. 1984. < Bibliothèques > 331 p. (ENSASE 727.8 GAS) MIRIBEL, Marielle de (dir.), Veiller au confort des lecteurs : du bon usage des cinq sens en bibliothèque. Paris : Ed. du Cercle de la librairie, DL 2015, cop. 2014 < Bibliothèques > 335 p. (BU Droit Lettres fonds pro 020 Vei) PETIT, Christelle, Architecture et bibliothèque : 20 ans de constructions : 1992-2012. Villeurbanne : Presses de l’Enssib, impr. 2012, 215 p. (BU Droit 51
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7.
PIÈCES JOINTES
ANNEXE 1 : lettre mission du projet de réorganisations du hall de la BiBliothèque Tréfilerie
ANNEXE 2 : ensemble de questions pour l’observations des espaces 1
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ANNEXE 3 : ensemble de questions pour l’observations des espaces 1
ANNEXE 4 : ensemble de questions pour l’observations des espaces 1
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ANNEXE 5 : étude du hall par rappot au temps d’usage des espaces
ANNEXE 6 : étude du hall par rappot au group d’usage
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ANNEXE 7 : étude du hall par rappot aux conditions acoustiques
ANNEXE 8 : étude du hall par rappot à l’incidence des vents
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ANNEXE 9 : étude du hall par rappot à la lumière naturelle
ANNEXE 10 : étude du hall par rappot aux éléments fixes
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ANNEXE 11 : lettre mission du projet de rĂŠorganisations du esemble dâ&#x20AC;&#x2122;espaces du Campus Patrimoine Le Corbusier
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CROQUIS DE DÃ&#x2030;VELOPPEMENT
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