Portfolio 2015-2017

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PORTFOLIO JULIETTE MARMONIER



PORTFOLIO ARCHITECTURE INGÉNIERIE

Juliette Marmonier 2015 - 2017


Juliette MARMONIER 02/11/93

Français,

langue maternelle

Anglais,

niveau B2

Espagnol, niveau B1 Vectorworks

Indesign

Revit

Photoshop

Autocad

Pack office

QGIS

DesignBuilder

Illustrator

RhinocĂŠros / GrassHopper


FORMATION 2017, Sept.

Troisième année à l’École Nationale des Travaux Publics de l’État ENTPE - Spécialité Bâtiment, diplôme en Septembre 2018

2016,

Juin

2011

Diplômée d’État en Architecture École Nationale Supérieure d’Architecture de Lyon (ENSAL), PFE au sein du studio Stratégies et Pratiques Architecturales Avancées (SPAA)

Baccalauréat, série scientifique avec mention

EXPÉRIENCE PROFESSIONNELLE 2017, Avril Sept.

Éléments Ingénieries,

2015, Mai Juillet

Sidonie Joly Architecte,

2013, Juin Juillet

Tectoniques Architectes

2012, Janvier

VINCI - Chantier de la Fondation Louis Vuitton,

Bureau d’étude environnemental, Paris

Agence d’architecture et d’urbanisme, Lyon

Agence d’architecture, Lyon

Paris

EXPÉRIENCE EXTRA PROFESSIONNELLE 2015, Sept. à Mai

Scénographie du festival étudiant Archisound, édition 2015 ENSAL, Lyon

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SOMMAIRE


1

L’EFFET D’ÎLOT DE CHALEUR SUR LE CONFORT URBAIN, méthode pour une ingénierie du phénomène

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UNE APPROCHE TERRITORIALE DU LOGEMENT SUBURBAIN

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UN REGARD TECHNIQUE SUR UN TERRITOIRE COMPLEXE

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LA QUESTION DE L’HABITAT CONTEMPORAIN DANS UNE RECHERCHE PAR LE PROJET

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CONCEVOIR UN PROJET QUALITATIF PAR LA TECHNIQUE

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EFFET D’ÎLOT DE CHALEUR Quelle méthode et quels outils pour arriver au juste équilibre entre aide à la conception itérative et ingénierie du phénomène ? Recherche effectuée au sein du bureau d’études environnemental Éléments Ingénieries Avec l’appui technique de Benjamin Cimerman et Aurélien Keller

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< Les différentes couches atmosphériques et leurs interactions avec la surface urbaine

Au sein du Bureau d’Étude Environnemental Eléments Ingénieries, en parallèle des projets urbains opérationnels, un travail de recherche sur la modélisation du phénomène d’Îlot de Chaleur Urbain (ICU) dans l’espace urbain a été mené. L’ICU est aujourd’hui un sujet émergent dans de nombreuses métropoles, françaises comme étrangères, sujet caractéristique de l’impact de l’activité humaine sur les conditions atmosphériques. Ce phénomène est largement abordé aujourd’hui dans les discussions autour de la ville, mais encore trop peu modélisé et intégré à la conception. L’objectif de cette recherche a été double ; réaliser un ‘état de l’art’ des connaissances sur l’ICU et la climatologie urbaine, afin d’en saisir - au moins dans les grandes lignes - la complexité ; pour ensuite développer une méthodologie permettant, in fine, une aide à la conception des espaces publics, par le biais de cartographies microclimatiques. L’apprentissage des outils OpenSource Ladybug Tools, compléments du plugin Grasshopper de Rhinocéros 3D, a été nécessaire afin d’élaborer ces cartographies. Le projet urbain du quartier de la Part-Dieu à Lyon a été le support de test à ces outils et méthode, en partenariat avec les urbanistes de l’AUC, en particluier sur l’espace public de la place de Francfort. La question du confort extérieur urbain a finalement été le sujet final de cette aide à la conception.

< Synthèse des facteurs influant sur l’intensité de l’ICU

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> Modification des données météo en fonction du contexte bâti autour de la place de Francfort Prise en compte du phénomène d’ICU grâce au plug-in Dragonfly

Températures moyennes des surfaces pour la nouvelle configuration de la place de Francfort Utilisation du plug-in Honeybee, à partir du fichier météo modifié prenant en compte l’ICU


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Pierre-Bénite, territoire de mutation Projet de fin d’études au sein du domaine d’étude de Master 2 SPAA (Stratégies et Pratiques Architecturales Avancées), ENSAL Septembre 2015 à Juin 2016 Stratégie territoriale en collaboration avec Sascha Aguillon, Dorian Beydon, Meryl Cortes, Charlotte Debever, Damien Girard, Cécile Hermellin

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Ce projet de fin d’étude, fruit d’une année de travail, explore une démarche sur un territoire suburbain, et une posture sur le rôle que l’architecture peut y jouer. Bien qu’à intégrer dans une dynamique métropolitaine, la mutation de ces territoires délaissés doit pouvoir s’ancrer sur des actions locales, situées et concrètes. La connaissance des lieux et leur caractère propre sont essentiels à la viabilité des projets envisagés. En partant de la petite échelle - l’acte architectural - il faut proposer le faire avec. En impliquant les habitants, les usagers, le projet doit proposer de faire autrement la ville. Car c’est bien là l’enjeu de la petite échelle sur la grande. Arriver à proposer une évolution des modes d’habiter afin d’enclencher un processus de mutation. Sans chercher à trouver un modèle - il n’y en a pas - c’est donc une méthode qu’il est nécessaire d’acquérir. Questionner les modes d’habiter en place permet non pas de les rejeter en bloc, mais au contraire de les comprendre et voir comment ils peuvent faire émerger un art de vivre spécifique au lieu. La réalité constructive du projet devient un axe de recherche et d’exploration. Il s’agit d’affirmer un caractère propre, en lieu et place de la systématisation ambiante. La volonté de sortir du cadre non pas de manière ostentatoire et criarde mais sobrement et avec finesse, guide le projet dans son évolution. Afin de peut être réhabiliter un fragment de ces périphéries.

< La vallée de la chimie

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Industrie Habitat Gare

La vallée de la chimie, un territoire fragmenté Les voies ferrées et leurs gares comme interface entre habitat et industrie Un accès au fleuve restreint, voire impossible, pour les habitants


Pierre-Bénite, Une reconquête paysagère est/ouest à mettre en place pour un futur accès au fleuve?

Un redessin du PPRT par l’OMA, outil foncier pour une mutation urbaine future?

Paysage

Risque

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le

ARKEMA Gare

Stade

École Maison du peuple Mairie

Place du marché

Parc

Médiathèque

École

Pierre - Bénite, état existant

Rh

ôn

e


Arkema Un non-lieu vécu, une image fantasmée

Le mur, archétype de la limite, projet ou processus? 21


StratĂŠgie urbaine Habiter une frange de ville


Vue prospective La réserve paysagère La gare L’usine Arkema

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1

Processus de mutation Un principe de projet, différentes temporalités d’intervention

2

3

4


Accès Gare

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Commerces

École

Plan de rez-de-chaussée Habitat, commerces, artisanat et jardins partagés prennent place entre les murs de pisé

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Plan & Maquette Des volumes charpentés sont disséminés entre et sur les murs, au gré des évolutions et des besoins en logement, artisanat et commerces


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Vue depuis un cheminement public

> Axonométrie éclatée Les murs en pisé servent de base au logement - dans l’épaisseur, prennent place les pièces intimes. Ils peuvent être indépendants ou non du volume charpenté, qui défini les pièces de vie. Chaque volume est un logement, où des sous espaces viennent définir les chambres et sanitaires


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Quelle résilience pour le territoire Roussillon / Saint-Rambert d’Albon, dans une perspective de transition énergétique? Diagnostic territorial réalisé dans le cadre du Projet d’Aménagement du Territoire et d’Infrastructure de la deuxième année de l’ENTPE Septembre à Novembre 2016 Réalisé en collaboration avec Quentin Amirat, Florent Boudet, Hugo Decaudin, Alice Lefeuvre, Ariane Lesage, Valentin Ruelle, Coline Rémy, Sara Rouquette, ALbin Sautejeau, Clément Struillou

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Dans le cadre du Projet d’Aménagement du Territoire et d’Infrastructure - projet structurant l’ensemble de la 2ème année de l’ENTPE - une première phase de diagnostic territorial a permis de comprendre les caractéristiques, enjeux et objectifs du territoire d’étude: L’agglomération Roussillon / Saint-Rambert d’Albon, au cœur du territoire du SCoT des Rives de Rhône, 40 km au sud de l’agglomération lyonnaise. Face à une commande concrète - enrichir le volet aménagement durable et transition énergétique du Schéma d’Aménagement de l’Agglomération Roussillon Saint-Rambert - un travail en équipe de 11 a permis l’émergence d’une problématique spécifique, fil rouge de ce diagnostic : Quelle résilience pour le territoire Roussillon / Saint-Rambert d’Albon, dans une perspective de transition énergétique? L’élaboration de cette problématique s’est effectuée en plusieurs étapes de méthodologie, qui sont synthétisées et explicitées en partie dans les pages suivantes. Une première étape d’état des lieux a été nécessaire. Il a fallu comprendre ce territoire complexe, marqué à la fois par de vastes infrastructures linéaires et une présence industrielle déterminante, auxquels s’ajoutent aujourd’hui de réelles questions de qualité de vie des habitants. De ce constat, des hypothèses ont émergées par méthode itérative, un travail rigoureux essentiel à l’élaboration d’enjeux pertinents, et donc d’une problématique générale, le fil rouge. Des orientations d’aménagements ont été formulées, bases sur lesquelles des propositions d’actions concrètes ont été élaborées.

< Carte du territoire du SCoT des Rives du Rhône Au centre, les communes étudiées plus spécifiquement

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Une histoire industrielle impactant l’urbanisation du territoire En 1914, l’arrivée des industries chimiques dans cette zone rurale et agricole enclenche une profonde transformation du territoire. L’essor de l’industrie fait affluer les populations ouvrières, justifiant la création d’une nouvelle entité urbaine : les cités ouvrières. Caractéristiques du système paternaliste et témoin de la nouvelle organisation sociale du territoire, elles sont accompagnées de nombreux services encadrés par les industries, et entraînent une forte hausse de la population. Première activité économique de l’agglomération il y a encore peu de temps, la désindustrialisation touche désormais l’agglomération. L’urbanisation fragmentée et disparate est aujourd’hui un enjeu majeur pour le territoire.

Saint-Maurice l’Exil

Roussillon

Péage de Roussillon

Les usines et les cités

Salaise sur Sanne

Sablons Chanas

N

Saint-Rambert d’Albon

Les industries et leurs cités au sein du territoire de Roussillon, 1931


Un territoire exposé À des risques naturels et technologiques Plus de 100 ans d’activités chimiques marquent durablement un territoire. Au-delà des pollutions réelles des sols et nappes phréatiques, la mise en place d’un PPRT vient désormais impacter les possibilités d’évolution et de réhabilitation de secteurs à proximité. Les cités ouvrières et l’ensemble des équipements sportifs hérités du Rhodia Club sont mis en péril. Le Rhône, malgré son endiguement, présente un risque d’inondation fort, ainsi que son affluent, la Sanne. Un PPRI est entrain d’être revu.

Les industries et leur impact PPRT sur les espaces environnants

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Des ressources à protéger et valoriser

Le territoire possède de nombreuses richesses naturelles à préserver, et pour lesquelles certaines mesures et outils sont déjà en place. L’eau est une ressource essentielle à préserver. L’industrie a depuis ses débuts entraîné une pollution des sols mais aussi une pollution de l’eau. La nappe phréatique qui est une ressource majeure pour l’agriculture mais aussi pour les habitants, doit être conservée. Les industries et la centrale sont surveillées dans leurs prélèvements. Les espaces agricoles sont eux aussi à préserver. En effet, la répartition entre espace urbain et agricole doit être équilibrée. L’étalement urbain est favorisé par de nouvelles populations attirées par un habitat individuel à moindre coût. Dans la lignée des objectifs fixés par le SCoT, il devient important de densifier. Cependant la visée n’est pas une densification massive, mais plutôt ciblée autour des gares, accompagnée d’une revalorisation et réhabilitation des logements vacants situés dans les différents centres bourgs.

La coopération intercommunale essentielle pour la résilience du territoire L’installation de nombreux habitants ne travaillant pas sur l’agglomération vient former une tranche de population ayant peu d’attachement au territoire, qui représente cependant une opportunité pour développer davantage la diversité économique. Si l’industrie et l’économie qui en découlent sont un atout du territoire, les communes ont à leur disposition des ressources pour s’appuyer sur d’autre secteurs économiques. Afin de répondre au mieux au besoins et à la qualité de vie recherchée par les habitants sur le territoire, et ainsi préparer sa résilience.

< Carte des différentes zones urbaines, industrielles, agricole et boisée, ainsi que des différentes faisceaux d’infrastructures.

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Une population adepte du ‘tout voiture’

La voiture est le moyen de transport privilégié de tous les ménages. Dans un contexte de développement durable il est nécessaire d’inverser la tendance. En effet, il est prévu à horizon 2040 une saturation totale du réseau routier. Malgré la saturation actuelle, encore 83% des trajets domicile-travail au sein du territoire sont effectués en voiture, bien que des alternatives durables soient possibles. Le territoire est desservi par deux gares voyageurs à Péage de Roussillon et à Saint Rambert d’Albon avec notamment une offre TER sur la ligne Lyon-Valence. Un réseau de transport en commun existe : les Transport du Pays Roussillonnais, développés depuis 2012. Il est difficile de développer l’offre de transport en commun surtout d’Est en Ouest. Le territoire est marqué par une polarisation Nord Sud, dû à la vallée et aux nombreuses infrastructures. 37%

possèdent au moins deux voitures

11%

ne possèdent pas de voiture

51%

possèdent une voiture

Une forte empreinte carbone

La pollution de l’air est une problématique importante sur le territoire. En effet le territoire est une zone de transit, traversé notamment par l’autoroute A7, la RN7. L’agglomération est exposée par une importante émission de N02 et de particules fines.



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Modularité, Mutabilité, Flexibilité, une approche prospective du logement Mémoire de master, encadré par Joan Casanelles au sein de l’ENSAL Janvier 2015 à Septembre 2016

> Mémoire complet en ligne <

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Face à la standardisation grandissante des espaces du logement en France, se pose la question suivante: Comment faire autrement ? En décortiquant l’habitat selon trois axes - modularité - mutabilité - flexibilité- une méthode se met en place. Afin de retranscrire au mieux les dispositifs spatiaux étudiés, une analyse par le schéma est choisie. La recherche de dénominateurs communs et de points de convergences devient l’enjeu essentiel à cette approche prospective du logement. Ce travail de recherche constitué tout au long de mes deux années de master a été un aboutissement et un complément au travail de projet effectué pour mon diplôme. En effet, j’ai envisagé la recherche en architecture non pas comme une travail théorique, mais bien comme un moyen de questionner et alimenter la réflexion de projet. La méthodologie de recherche par le projet, portée par mon encadrant Joan Casanelles, m’a ainsi amené à analyser et problématiser le logement contemporain. Pour chacun des trois axes retenus, un grille d’analyse graphique est établie, afin de pouvoir comparer les différentes études de cas par catégorie, et en tirer (ou non) des dénominateurs communs.

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Une double page présentant la grille d’analyse de la catégorie ‘Modularité’

> Exemples de schémas analytiques selon différentes grilles d’analyse


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5


Un centre multisport À Jean Macé Projet d’équipement dans le cadre du domaine d’étude de Master 1 CCET (Concevoir pour Construire, Éthique et Technique), ENSAL Février à Avril 2015 En collaboration avec Hassen Kammoun et Delphine Vidal (ENSAL) Fabien Legendre, Laura Michel, Olivier Rossi, Chamsiddine Mohamed (INSA)

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Place Jean Macé

Gare Ave n

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Halles Sernam

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Effectué en collaboration avec des étudiants de l’INSA, ce projet explore avant tout l’interdépendance entre technique, architecture et ingénierie. Inscrit dans un contexte urbain très contraint, les compétences spécifiques de chacun ont été mises en œuvre de manière conjointe, afin de faire évoluer au mieux le projet. C’est dans le quartier de Jean Macé à Lyon - entre les deux faisceaux de voies ferrées - à côté de la gare, que le centre multisports s’insère. En souhaitant s’éloigner de l’avenue Jean Jaurès et de ses nuisances sonores, la pente du terrain est exploitée afin d’y ancrer le bâtiment, en jouant sur les différences de niveaux. Ces niveaux permettent une organisation simple et claire du programme. Une large rampe vient souligner clairement l’entrée dégagée, en hauteur par rapport à la rue. Arrivée devant l’entrée, une faille paysagère s’offre au visiteur. Elle permet la répartition du programme en deux entités distinctes: le Dojo et la salle de danse au nord, la halle sportive au sud. Elles sont reliées en deux points , une passerelle haute et une galerie semi-enterrée. Une fois à l’intérieur du bâtiment nord, la circulation affiche sa simplicité: sur la droite, la passerelle permettant aux visiteurs d’accéder aux gradins de la salle multisports. Plus loin, des escaliers permettent de descendre et d’accéder à la galerie, parcours des joueurs se rendant aux vestiaires de la halle. De cette même circulation, l’escalier principal mène visiteurs comme sportifs aux salles de dans et de Dojo, situées à l’étage. Dès la première esquisse, la matérialité du projet a été clairement exprimée. Une dualité bois/ béton s’exprime ainsi tant dans la structure que dans l’aspect extérieur. Le socle en béton, comprenant le sous-sol et le rez-de-chaussée, renforce l’image d’ancrage dans le sol. En choisissant un double mur béton porteur, la matérialité brut est conservée en intérieur comme en extérieur. Sur ce socle, un rythme serré de portiques bois fait émerger distinctement les deux volumes. Dans la halle multisports, les portiques sont dédoublés ( double trame de 3,5 / 1,5 m) permettent un éclairage naturel par lanterneaux filants. La faille paysagère, élément rotule du projet, participe à la gestion des circulations, à l’apport en lumière naturelle, et représente surtout l’axe paysager du bâtiment.

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B

C

1

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A

B

Plan de rez-de-chaussée 1. 2. 3. 4. 5.

Accueil Salle multisport Gradins Locaux techniques Faille paysagère


+1,12 m

Coupe BB

Faรงade est

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2

6. Salle de danse 7. Dojo 8. Vestiaires 9. Vestiaire encadrant 10. Bureau 11. Rangement

Plan R+1


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2015-2017

CONTACT Juliette Marmonier 06 20 90 53 96 juliette.marmonier@entpe.fr


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