ingĂŠnieur-paysagiste
Kévin Clare
34, rue de Sévigné 75004 Paris tel : (33) 6 58 28 23 95 e-mail : kevinclare86@gmail.com 26 ans Permis B
2012 2011
2010
2009 2008 2008 2007 2007 2007 2005 2005
FORMATION
2006 2004
EXPÉRIENCES PROFESSIONNELLES
2012
INGÉNIEUR-PAYSAGISTE. Diplômé de l’École Nationale Supérieure de la Nature et
du Paysage de Blois (ENSNP).
4 mois à l’agence G+C architectes et paysagistes à Paris - assistant-paysagiste Études préliminaires pour l’insertion d’un BHNS à Angoulême.
0nze semaines de stage à l’agence Ter à Paris. Participation au projet de maîtrise d’oeuvre des espaces publics de la ZAC Eurorennes (Phase AVP). Participation au projet d’une voirie en centre-ville visant à redonner au piéton toute sa place, Cagnes-sur-mer. Trois mois de stage à l’agence Itinéraire-bis à Lyon. Participation à l’analyse grand paysage d’un sous-bassin versant de la Saône et du bassin versant de l’Aygues dans les baronnies près de Nyons, visant à l’élaboration de contrats rivière et l’aménagement des cours d’eau.
Un mois de stage au Jardin Botanique Hanbury à Vintimille en Italie. Deux mois de stage à Prospect Park à New York City. Un mois de travail saisonnier dans les jardins du Château de Lorière et du Manoir du Pontgirard dans l’Orne. Deux mois de stage dans le jardin Pukeiti Rhododendron Trust en Nouvelle Zélande. Un mois de stage à l’agence Osty à Paris. Deux mois de stage ouvrier à Hillier Arboretum and gardens en Angleterre. Un mois de stage ouvrier au Jardin Botanique de Catane en Italie. 3 mois de stage en aménagement urbain au Service Urbanisme de Clichy-la-Garenne (92)
Activités
INTÉRÊTS
Langues
COMPÉTENCES
2004
Anglais - courant (IELTS niveau 6) Italien - opérationnel
conférences.
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PROJETS URBAINS
Valorisation de l’entrée de ville et traitement des abords de la départementale
MUIDES-SUR-LOIRE 41- Retrouver le paysage du val de Loire
Penser l’urbanisation des dents creuses en préservant les continuités paysagères
VINEUIL 41 - Les dernières poches agricoles
GRAND PAYSAGE
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Réaménagement des berges des biefs de la centrale
ST-LAURENT-DES-EAUX 41- La centrale nucélaire
Redonner une unité à deux places pour le moment dissociées
BLOIS 41- Le parvis des écoles
Recomposer la ville de Roubaix en tissant un maillage dense d’espaces publics
ROUBAIX 59- Les places de la ville
Profiter du déclasement de l’autoroute A4 en boulevard urbain pour envisager un nouveau quartier à proximité du centre-ville
REIMS 51- Les quartiers St-Charles et Bois d’Amour
1
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Urbanisation des délaissés agricoles en préservant les continuités
de l’urbanisation. Il évident que ces sites sont soumis à une Leur situation dans le tissu urbain les prédestinent à être construit. La ville de Vineuil s’est établit sur un éperon calcaire, formé par la vallée de la Loire et du Cosson. Les bourgs anciens se sont installés, éloignés les uns des autres, en partie haute du côteau. Progressivement, l’extension urbaine les a réunis ne formant plus qu’une masse urbaine continue accompagnée de poches agricoles. Ces espaces agricoles, pour le moment préservés, constituent une réserve foncière majeure pour la ville. Il convient de penser dès à présent la manière dont la ville doit continuer tout en préservant des respirations indispensables à son équilibre. baines, agricoles et forestières) à préserver dans le cadre de l’urbanisation. La composition de l’espace s’est organisée autour du Bois des Arbanelles. À l’ouest du bois, la ville accompagnée d’espaces publics généreux est privilégiée. proximité avec la ville, les grandes cultures sont remplacées par des pré-vergers et du maraîchage. Des nombreuses sentes piétonnes sillonnent le nouveau quartier, recréant ainsi de nouveaux passages.
Projet Grand paysage // Atelier 4 ENSNP //
Lieu Vineuil (41)
Date 2011
Tissu pavillonnaire Bourgs anciens Parcellaire agricole Boisements
Vineuil
Les trois poches agricoles insérées dans le tissu urbain de Vineuil sont situées sur la partie haute du côteau Délaissé agricole présentant des friches Agricole inséré dans le tissu urbain Paysage agricole ouvert sur les terrasses sablonneuses
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Nouvelle trame bâtie comprenant des logements individuels et des petits collectifs avec jardins insérés dans un quartier dessiné par une trame boisée réservant des jardins et espaces publics. 10
Mail planté : entrée principale du quartier. La voirie est minimisée, pour favoriser les modes doux. Espace public ou jardin proposant une mise en scène et une traversée du bois. Cet espace entretient un dialogue entre la masse boisée et la nouvelle trame urbaine.
Jardins potagers destinés à conserver la vocation agricole du site ainsi que d’établir un lien entre le maraîchage et l’urbain. Parcelles de maraîchage. Favorsisent la continuité agricole vers les terrasses agricoles.
Les accroches végétales défnissent des seuils aux sites, ancrent le nouveau quartier dans le tissu existant
Le quartier des Arbanelles s’appuie sur des cheminements existants. La trame plantée utilise ces tracés pour structurer l’urbanisation et les espaces publics. Le végétal oriente la ville et non pas l’inverse, ainsi l’équilibre entre le construit et les jardins apparaît.
Potagers
Chemins de modes doux accompagnés d’une trame plantée
Verger
Espace public jardiné
Bois des Arbanelles Maraîchage
Jardin en dépression stockant les eaux pluviales
A’
Place minérale plantée de Frênes
Rue plantée A
Mail de platanes 10 0 A
40m A’
Rue transversale aux usages partagés
Le mail de plantanes structure l’entrée du quartier et offre des espaces partagés aux usagers
Îlot jardiné central : espace privé traversable
Jardin verger et pelouse plantée
Le sentier dans le bois des Arbanelles lie la partie bâtie au vergers et potagers
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Un parc agricole : nouvelles dynamiques pour le paysage Muidois
Muides-sur-Loire est un village-rue situé en bord de Loire, à proximité du domaine national de Chambord. Pour se 10 rendre au château, les touristes doivent emprunter la ville. Seulement, depuis la sortie d’autoroute, le paysage traversé n’est pas très évocateur du val de Loire. L’entrée dans Muides se fait pas une départementale qui constitue une colonne vertébrale aux nombreuses nuisances. Sa largeur exagérée laisse peu de place aux piétons et encourage les automobilistes à accélérer à l’approche du centre-ville. Il est nécessaire de réduire la vitesse de cette route et d’en améliorer ses abords pour en offrir une vision plus accueillante pour les touristes de passage. Le traitement des abords immédiats de la route semble évident mais il faut aussi penser aux épaisseurs de cette traversée urbaine. Pour cela, je me suis alors penché sur le paysage agricole que l’on donnait à voir depuis cette départementale. Le paysage du Val de Loire n’est pas très évocateur : maïs, blés, cultures fourragères. La vigne, installée depuis fort longtemps tend à disparaître. Le territoire AOC Cheverny ne parvient pas à lutter contre cette tendance. Le peu de vigne restant est installée contre la forêt de Chambord, s’éloignant de la route départementale.
Analyse
Projet Grand paysage
Lieu
Date
UN PAYSAGE DESSINÉ PAR LA PAC, OUBLIANT LE PARCELLAIRE
PATRIMOINE VITICOLE ÉFFACÉ
Terroir AOC Cheverny - Outil de valorisation des 10
des parcelles maraîchères desti-
Aire de stationnement pour le public du parc agricole
observer les petites parcelles agricoles aux limites de la ville
Des techniques de production en lien avec le
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10
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Quand l’autoroute A4 devient un boulevard urbain, l’émergence d’un nouveau quartier
Quarante ans après la construction de l'autoroute, les élus sont unanimes : le paysage urbain et naturel de la métropole doit être reconsidéré et valorisé. Il faut penser la reconversion de cette infrastructure et 10 la façon dont la ville pourra réinvestir ses franges. Depuis mars 2011, une déviation propose un contournement de Reims. En 2012, la portion urbaine de l'autoroute doit être déclassée en boulevard urbain, ce qui implique une réduction de la vitesse dans cette zone, de 90 à 50 km/h. Quelles conséquences pour la ville, et comment tirer parti de cette transformation ? Nous nous intéresserons à cette question à travers les projets de réaménagement de l'un des quartiers contigus de l'autoroute, qui jouit d'une situation bien particulière. Triangle formé par le canal, la voie ferrée et la Vesle, le quartier Bois d’Amour à l'ouest de Reims est la porte d'entrée jardinée de la ville, à la rencontre entre le tissu péri-urbain et le paysage agricole. Il s'agit d'une vaste zone humide : là se trouvaient autrefois les marais de Reims. Pris entre le canal et l'autoroute, le quartier donne cependant une impression d'enclavement. De surcroît, il est l'un de ces espaces en frange de ville induits par l'histoire industrielle, qui ne correspondent plus aux usages actuels : les terrains sont en friche et les usines en déshérence. Peu à peu, les immeubles d'habitation viennent remplacer ces vestiges d'une ère révolue, faisant de cet espace en mutation un enjeu pour la commune. Le déclassement de l'autoroute en boulevard urbain est ainsi une opportunité importante pour le quartier Saint-Charles. Le déclassement de l'autoroute introduit un nouveau rapport à l'espace : din urbain. En considérant les nuisances que autoroute, l'aménagement de cette traversée urbaine doit rendre le quartier plus agréable et relié à son contexte.Aux abords de ce nouveau boulevard, la Vesle réduite au minimum par les activités humaines pourrait retrouver son emprise plus confortable, et ainsi s’ouvrir sur les espaces urbains qu’elle traverse.
Pour le paysagiste, il s’agit de proposer de nouvelles façons d’occuper cet intervalle urbain qu’est le marais de Reims et pour la ville de reprendre la main sur le foncier pour créer un quartier. S'il est relativement préservé de l'urbanisation, cet intervalle urbain n'est pas « vide » pour autant : le corridor écologique de la Vesle y dessine un espace naturel à préserver, et de nombreux « jardins habités » décrivent des usages constitutifs de l'identité du lieu. Pour accompagner au sans les altérer. Il doit également organiser la mutation de ses usages en s'inspirant de l'existant, dans le souci de maintenir une certaine continuité avec son histoire. C'est une gageure, car le bâti du quartier s'est largement développé en dehors de tout règlement d'urbanisme et même d'autorisation légale : l'essentiel en sera donc rasé (une hypothèse urbanistique qu’il faudra questionner). Pour recomposer le quartier, une taines bases constitutives de son identité : la trame viaire, le parcellaire, les modes de gestion, les rapports avec le canal, la rivière et les boisements sont autant d'éléments à prendre en compte. Il faudra également proposer des solutions pour les habitants expropriés. Cette « couture urbaine » entre les infrastructures doit donc être l'ocquelle mesure ils peuvent participer à la vie du quartier. Il convient là de faire apparaître ce morceau de ville dans la ville, dessiner de nouvelles occupations, de nouveaux usages. Par exemple, la création de nouvelles dessertes sur le site pourraient impliquer une organisation différente des espaces et des usages. Conformément aux souhaits des élus, des lieux de détente et de promenade s'intégreront ainsi au projet de coulée verte le long des berges de la Vesle. Les possibilités étant nombreuses, il s'agira d'évoquer chacune d'elles en considérant les données du site et du programme. Pour ce qui est de l'urbanisation, les nouvelles occupations d'habitat devront fortement tenir compte des aléas d'inondation qui constitue un atout fort pour le projet.
Projet Projet urbain
Lieu
Date
L’inondation comme lecture du vide urbain
La Vesle et le canal, l’armature verte de l’agglomération
La mobilité en projet : déclassement autoroute A4, rocades, haltes ferroviaires
Équipements publics, lieux de culte Centre historique Faubourg / tissu pavillonnaire Activités Mixte : maraîchage /résidentiel Maraîchage 1.
Jardins ouvriers Parcs et jardins Friche Espace naturel (ripisylve) Autoroute A4 3.
2.
76.50
75.00
81.00
La Vesle
76.50
1.
2.
3.
Rocade intermédiaire interrompue Voie SNCF Tramway
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UTILISER LA TRAME PAYSAGÈRE POUR ORGANISER LE QUARTIER
1. CRÉER DES ESPACES PUBLICS ET BÂTIS
2. RE-LIER. S’ACCROCHER AUX QUARTIERS
Assurer la continuité urbaine du centreville en profitant du foncier du canal Profiter de la nouvelle halte ferroviaire pour créer un espace public central Développer la ville autour de la nouvelle rocade
Traverser le canal pour relier les deux rives Franchir la voie ferrée pour réunir le canal et la Vesle Rejoindre les jardins ouvriers séparés par l'autoroute
Urbaniser les franges de la poche agricole
Relier le nouveau quartier au centre-ville
Constituer un réseau d’espaces publics du canal jusqu’à la Vesle
3. REDONNER SA PLACE À LA VESLE Composer les emprises bâties et espaces publics avec l'inondation Profiter du risque d'inondation de la Vesle pour créer un vaste parc public modulable selon les saisons Accéder aux berges en aménageant une promenade Etirer les boisements dans le quartier
1. LES TRAVERSES JARDINÉES -
PARTAGER L’ESPACE ET LES CULTURES
Rue-jardins
Rue-jardi
ins
2. LA PROMENADE DU HALAGE. LES JARDINS SUR QUAI ENTRER DANS LE QUARTIER DU CANAL PAR LES JARDINS
Les jardins habités
du parvis restent hors d’eau Crue annuelle Le parvis de la halte ferroviaire
Crue décennale Crue centenale
3. LA PROMENADE DU BORD DE L’EAUENFIN S’APPROCHER DE LA VESLE !
Rue-jardins
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Recomposer la ville de Roubaix en tissant un maillage dense d’espaces publics : la place Carnot.
Roubaix est bien connue pour son passé industriel tourné vers le textile. Cette histoire se lit dans le tracé même de la ville : l’architecture de brique, les rues étroites, les maisons d’ouvriers. Repenser les places de la ville est avant tout un moyen d’intervenir sur l’espace public. Le projet questionne la place de la voiture dans la ville et son rapport au piéton. La proposition n’a pas le prétention de résoudre tous les maux de la ville du 21è siècle mais tente d’apporter quelques ouvertures.
Projet
Lieu
Date
0 10 20 30 40 m
Place Carnot
A’ ENJEUX :
SAMEDI, JOUR DE MARCHÉ
A’
ENJEUX :
SAMEDI, JOUR DE MARCHÉ
- Élargir l’îlot central
A’
A’ - Élargir l’îlot central
ENJEUX :
A
MARCHÉ
- Traiter les accès et les seuils
A
0
DIAGNOSTIC : - Stationnement insuffisant - Accès piéton A’ et exposant inadapté - Organisation confuse du marché - Îlot central restreint - Revêtements et mobiliers à l’encontre de l’usage DIAGNOSTIC : - Stationnement insuffisant - Accès piéton et exposant inadapté - Organisation confuse du marché A - Îlot central restreint - Revêtements et mobiliers à l’encontre de l’usage
A
20m 5 10 15
A
0
20m 20 5 10 15 ENJEUX 5 10 15 : 0
m
- Traiter les accès et les seuils
- Élargir l’îlot central
- Déporter le stationnement à l’extérieur de la place pour de nouveaux usages.
1/500è
A’ - Déporter le stationnement à l’extérieur de la place pour de nouveaux usages.
A
- Élargir l’îlot central
ENJEUX :
- Traiter les accès et les seuils 1/500è
0
A
- Élargir l’îlot central 0
A’
0
nt t inadapté u marché
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20m 5 10 15
20m 5 10 15
- Traiter les accès et les seuils
- Déporter le stationnement à l’extérieur de la place pour de nouveaux usages.
20m 5 10 15
1/500è
A’
Sur la place Carnot, l’enjeu majeur est d’attribuer de nouveaux usages à cet espace. Le marché hebdomadaire, nécessite une surface d’exposition convenable, accopagné d’accès pour les véhicules et les piétons. La place offre deux espaces : le parvis minéral du maché et le
Le marché s’aligne sur les bosquets du jardin humide
4
bis Recomposer la ville de Roubaix en tissant un maillage dense d’espaces publics : les places Amiens et Roussel.
A
A
Ces deux places sont proches l’unes de l’autres, seul un îlot les séparent. Cet îlot destructuré présente un jardin entouré d’immeubles HLM. La recomposition de cet ensemble permet d’élargir le périmètre d’étude et de connecter les places intérieur. Intégrer l’espace
A
privé des immeubles nécessite public/privé pour une lisibilité de l’espace public. Ce premier scénario favorise la traversée piétonné par l’intérieur de l’îlot en question.
Noue enherbée au pied des immeubles
A
Projet
Lieu
Date
B
B 10
Scénario 2 : le jardin privé des résidents, liaison des places par le boulevard planté
Bandes de graminées dans le jardin intérieur B
B
5
Redonner une unité à deux places dissociées
Les parvis des deux écoles dessinent un espace peu lisible. Les esplanades ont été pensées séparément, de ce fait ne 10 fonctionnent pas ensemble. Il faut alors trouver un moyen de les associer, pour que l’espace ne fasse plus qu’un et que le traitement du sol, du végétal soit davantage unitaire. Les colones de briques de la façade de l’école du paysage imposent un rythme au revêtement de sol. Des bandes pavées se calent sur ces verticales. Elles permettent l’installation de grands bacs plantés de Koelreuteria paniculata. La continuité entre les deux places se fait par un alignement de deux arbres guidant le piéton d’un espace à l’autre. Des bandes de graminées accentuent cet effet d’ouverture.
Projet
Lieu
Date
École des Ingénieurs
École du paysage 10
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Réaménagement des berges des biefs la centrale Urbanisation de délaissés agricoles en de préservant les continuités
La centrale nucléaire de Saint Laurent des Eaux est située 10
Le site présente 3 biefs accueillant les eaux. Depuis de graves dégradations. Le projet de paysage vise alors à stabiliser ces pentes érodées à l’aide du génie végétal. La tions paysagères.
Projet Atelier ENSNP// // Atelier 4 ENSNP // Grand2paysage
Lieu
Lieu (41) Vineuil St-Laurent-des-eaux (41)
Date
Date 2011 2008
Des branches de saules (Salix purpurea, Salix viminalis) sont allongées sur le sol et maintenues par des pieux en acacia.
Bandes d’hélophytes 10
et limitant le marnage.