Épernay, la plus accueillante selon Booking.com
Le site néerlandais de réservation Booking.com a dressé la liste des villes champardennaises les plus accueillantes, selon ses utilisateurs, et Épernay arrive en tête devant Châlons, Troyes, Charleville-Mézières et Reims. La capitale du champagne possède le plus haut pourcentage d’établissements primés à l’occasion des Traveller Review Awards de Booking.com, rendez-vous annuel qui distingue les partenaires de la plateforme ayant reçu les meilleurs avis vérifiés de voyageurs. En France, plus de 100 000 prestataires de voyages ont reçu une récompense, faisant de l’Hexagone la troisième destination la plus accueillante au monde. Les villes alsaciennes Kaysersberg, Eguisheim et Riquewihr occupent la tête de ce classement national.
Nuit des étoiles d'hiver à Reims et Beine-Nauroy
ÉDITO de Simon
Ksiazenicki, journalisteLe palais Bourbier
C'est la baisse du nombre d'élèves de primaire et de collège constatée depuis 2018 dans l'ancienne région Champagne-Ardenne. Jeudi matin, le rectorat de l'académie de Reims a présenté la répartition des moyens d’enseignement pour la rentrée 2023 et une nouvelle baisse d’effectifs est à prévoir dans le premier et le second degré, conformément à la baisse du nombre d’élèves. Le rectorat annonce ainsi une baisse de 58 équivalents temps plein (ETP) en primaire et de 52 ETP pour les collèges des quatre départements de l’ancienne région Champagne-Ardenne, soit, peu ou prou, 110 postes en moins. Un chiffre à mettre en relation avec la baisse des effectifs prévue à la rentrée prochaine : 1 663 élèves en moins dans le primaire (-1,6 %) et 939 collégiens en moins (-1 %). Depuis 2018, l’académie de Reims a perdu 10 110 élèves dans le primaire et 3 499 dans le secondaire.
Le planétarium de Reims et l'observatoire de BeineNauroy participent aux Nuits des étoiles d’hiver, déclinaison des célèbres Nuits des étoiles, organisées chaque été. Le top départ de cet événement sera lancé ce vendredi 10 février avec une soirée d’observation organisée à l’observatoire de Beine-Nauroy, de 20 h à 23 h. Le lendemain, également de 20 h à 23 h, l’aventure se poursuivra au planétarium de Reims (quiz sur des films de science-fiction, conférence sur le thème « La figure de l'extraterrestre au cinéma »...), avec pour les visiteurs la possibilité d’observer le ciel au télescope. Toutes les activités sont gratuites, sur réservation, pour l’observatoire de Beine-Nauroy et pour les séances du planétarium (nombre de places limité).
L’examen du projet de loi de réforme des retraites débuté lundi dans l’hémicycle du palais Bourbon a donné une piètre image de l’Assemblée nationale. Il y a d’abord le fond. Pour contrer les 20 508 amendements déposés par les oppositions (dont 13 000 pour La France insoumise !), le gouvernement a répondu par un tour de passe-passe constitutionnel qui limitera les débats au Parlement à 50 jours. Deux méthodes qui signifient assurément que le texte partira au Sénat le 17 février sans avoir été étudié dans sa globalité. Il y a ensuite la forme, avec cette ambiance de cour de récréation qui règne depuis lundi dans l’hémicycle, où invectives et brouhaha fusent sous l'œil des caméras. En plus, deux événements sporadiques sont venus entacher l’image des représentants de la nation. Toujours très bien informé, « Mediapart » a révélé que le ministre du Travail, Olivier Dussopt, était soupçonné de « favoritisme » dans le cadre d'un marché public conclu à la fin des années 2000 avec le groupe Saur, fournisseur d’eau potable privé. Clin d’œil de l’histoire, le haut-commissaire aux retraites Jean-Paul Delevoye, chargé de conduire la précédente réforme de 2019, avait dû démissionner face à la polémique sur son omission de mentionner plus de dix mandats dans sa déclaration d’intérêts… Quelques jours après le début de « l’affaire Dussopt », le député La France insoumise Adrien Quatennens a pris la parole pour la première fois depuis deux mois et sa condamnation pour violence conjugale. Bronca de ses opposants et applaudissements très malvenus de quelques-uns de ses compagnons… Heureusement, il reste quelques moments qui rehaussent l’image de la politique sous les dorures du palais Bourbon. Comme ce discours de François Ruffin, prononcé devant des bancs clairsemés lundi soir. Torpillant la réforme des retraites et le gouvernement, l’élu insoumis a aussi rappelé quelques vérités sur les inégalités galopantes qui minent notre société, faisant montre d'une verve certaine. Qu’on adhère ou non, ce discours de 9 minutes mérite d’être vu par quiconque s’intéresse à la chose publique. En tout cas, nombreux sont ceux qui partagent le constat liminaire du député de la Somme : sept actifs sur dix restent opposés à la réforme des retraites.
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d’Eau
Près de 20 M€ pour réorganiser le centre de tri de la Veuve
À l'horizon 2024, l'unité de valorisation des déchets implantée à La Veuve accueillera, en plus des collectes sélectives de 342 000 Marnais, celles de la Meuse et de la Haute-Marne. Sa restructuration, chiffrée à 19,6 M€, comprend aussi la modernisation de son process face aux nouvelles règles de tri.
Depuis le 1er janvier, tous les emballages ménagers, propres ou souillés, en plastique, en métal ou en carton, mais également tous les papiers, se jettent dans la poubelle jaune. Plus simple pour les citoyens, beaucoup moins pour les structures qui gèrent ensuite ces déchets. À la Veuve, le centre de tri des collectes sélectives du Syvalom (Syndicat de valorisation des ordures ménagères de la Marne) a investi 340 000 euros, dont 100 000 financés
Objectif : capter 95 % des matières valorisables
par l'éco-organisme Citeo, dans un système aspirant capable d'extraire les films plastiques souples et les opercules des déchets désormais triés ensemble. Il dispose aussi depuis 2016 de cinq trioptiques programmés et pilotés par ordinateur pour identifier, grâce à des faisceaux lumineux, les différents types d'emballages (bouteilles en plastique, briques alimentaires, cartonnettes) puis les séparer lorsqu'ils arrivent sur la ligne automatisée de tri. « Des bulles d'air comprimé soufflent les matières pour les diriger vers les goulottes qui leur correspondent, explique Etienne Anquetin, ingénieur au Syvalom. C'est très rapide. Sur un créneau de sept heures, on trie ainsi entre 40 et 50 tonnes de déchets. » Le tri manuel en cabine reste une étape obligatoire pour éviter les erreurs. Car malheureusement, on trouve encore de tout dans les sacs jaunes, y compris de la nourriture, des encombrants, de l'électronique, des carcasses d'animaux, etc. Contrairement aux idées reçues, les éventuels résidus de matières organiques présents sur les emballages jetés (graisse, sauce ou autres petites miettes) ne gênent en rien le bon déroulement du process. Les
éléments solides, en revanche, doivent impérativement être enlevés avant le tri. « Les morceaux de pizza ou les contenants encore pleins sont proscrits », illustre l'expert. Tout juste acté, un partenariat entre le Syvalom et les syndicats de la Meuse (SMET 55) et de la Haute-Marne (SDED 52) vise à mutualiser, en 2024, le tri de leurs collectes sélectives respectives sur le centre de La Veuve. Excepté le bassin rémois, qui possède sa propre infrastructure, les déchets de plus de 342 000 Marnais transitent sur place pour l'heure. Demain, ce site concernera environ 630 000 habitants des trois départements. D'où la vaste restructuration qui s'y dessine, estimée à 19,6 M€, dont la conception, la réalisation et la maintenance sont confiées au groupe Suez, nouvel exploitant des lieux. « Le centre va être repensé dans sa globalité, précise Julien Valentin, le président du Syvalom. L'objectif, c'est de moderniser l'outil, de l'adapter au nouveau geste de tri et de mutualiser nos coûts. » Au programme : la réorganisation des flux de circulation, l’extension de la zone de stockage aval des plastiques, qui passera de 500 à près de 1 500 m², le réaménagement du stockage amont et la mise en place d'un nouveau process. Avec à l'arrivée six tri-optiques supplémentaires et la capacité de
capter 95 % des matières valorisables parmi les déchets. Côté finances, l'Ademe (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie) du Grand Est financera le chantier à hauteur de 1,1 M€, dans le cadre du plan France relance, et Citeo apportera une pierre de 850 000 euros à l'édifice.
Le Syvalom compte amortir le reste à charge sur sept ans, moyennant logiquement une refacturation à ses confrères haut-marnais et meusiens, ainsi qu'aux collectivités avec lesquelles il traite. De quoi craindre une répercussion sur le porte-monnaie des habitants ? « Forcément, mais elle restera limitée, car la hausse des coûts sera partagée entre nous trois, répond Julien Valentin. L'optimisation du centre, notamment le fait de passer en auto-consommation électrique, nous permettra aussi de réaliser une économie annuelle de 200 000 euros pendant neuf ans. On a tablé sur 236 euros la tonne refacturée aux collectivités pour les sacs jaunes. On devrait donc arriver à environ 3 euros de plus par an et par habitant, nonobstant les choix politiques des collectivités. » Certaines pourraient opter pour des taxes – encore plus - incitatives.
Sonia LegendreDes déchets plus volumineux depuis l'extension
Depuis les nouvelles règles de tri, le Syvalom constate une augmentation de 30 à 50 % du volume des déchets issus des collectes sélectives. « Pour à peine 20 % de poids supplémentaire, complète son président, Julien Valentin. On passe de 44 à 51 kg de déchets par habitant, sachant que tout le monde n'a pas encore adopté les bons réflexes. Aujourd'hui, on trie ces déchets par taille. Demain, grâce au nouveau process, on sera en mesure de séparer les corps creux des corps plats, et donc de travailler sur cette volumétrie. »
Aucun déchet exporté à l'étranger
En écho au reportage diffusé sur M6 la veille de cette présentation aux partenaires et aux médias, qui dénonçait les pratiques illégales de certains exploitants consistant à déposer nos déchets à l'étranger, Julien Valentin a rappelé l'exemplarité de la Marne en la matière. « Nous avons, par le passé, envoyé des déchets en Belgique, concède-t-il. Mais ce n'est plus le cas et ce cercle vertueux est en place depuis déjà plusieurs années. Toutes les collectes sélectives prises en charge sont restées sur le territoire national. » De façon transitoire, le temps des travaux, une partie de ces déchets sera transportée au centre de Limeil-Brévannes (Val-de-Marne).
En chiffres
l Le centre de tri des collectes sélectives s'étend sur 7 000 m² et gère 30 000 tonnes de déchets par an issus de la Marne (excepté Reims).
l Jusqu'à 28 000 tonnes de biodéchets et 110 000 tonnes de déchets non recyclables peuvent transiter par le site de La Veuve chaque année.
l 37 personnes sur les 70 que compte actuellement l'unité de valorisation travailleront au sein du centre rénové, dont 14 trieurs en insertion, recrutés et formés via l'association Agicac.
l 5 créations d'emplois (équivalents temps plein) sont prévues d'ici 2024.
3 euros de plus par an et par habitant
Premières économies sur les bus de Châlons
En œuvre depuis l'été dernier, la diminution des bus circulant sur le réseau urbain du Sitac porte ses fruits d'un point de vue comptable. Du 2e semestre 2022 à la fin de l'année 2023, les économies réalisées avoisineront les 400 000 euros. De quoi financer d'autres dépenses.
La réduction de l'offre sur le réseau urbain du Service intercommunal des transports de l'agglomération châlonnaise (Sitac) en avait fait bondir plus d'un dès son annonce, poussant même la CGT à brandir la menace de la grève. A l'époque, les arguments de Châlons Agglo et du groupe Keolis, son délégataire, pour justifier ce plan de rigueur, tenaient plutôt la route : une baisse de la fréquentation évaluée à 30 %, la multiplication des travaux en ville et l'envolée du prix des carburants. Le déficit
47 000 euros de facture pour rouler au colza
de plus de 500 000 euros observé depuis trois ans sur les finances du Sitac a également pesé dans la balance. Les kilomètres parcourus par les bus ont ainsi été restreints de 43 % sur la période estivale et depuis septembre, d'autres mesures visent à limiter les coûts : moins de bus le samedi (à hauteur de 34 % des trajets habituels) et en période scolaire (1,3 %), suppression de la ligne « Cité soirée » le vendredi et diminution de l'amplitude horaire les autres soirs, dès 20 h. Les économies réalisées s'élèvent à 174 000 euros HT pour le 2e semestre 2022 et devraient dépasser les 200 000 euros en 2023. Sans surprise, le conseiller communautaire Dominique Vatel (PCF) a voté contre la délibération dédiée à modifier le contrat de délégation pour prendre en compte ces données. « Pense-t-on vraiment augmenter le nombre d'usagers dans les bus, et à hauteur de combien, en réduisant l'offre de transport ? », a-t-il interrogé. « Justement, la fréquentation connaît une belle remontée en janvier, répond Denis Fenat, vice-président de Châlons Agglo en charge des transports et des
mobilités. Et l'offre pourra être réaugmentée au fur et à mesure de la fin des chantiers. La Vallée Saint-Pierre, qui a énormément souffert des travaux, retrouvera aussi bientôt son offre de bus. » De quoi revoir à la baisse les gains espérés cette année ? « Il y a encore beaucoup d'incertitudes, tempère l'élu. On fera le bilan fin 2023. » D'autres sources d'économies s'ajoutent à cellesci, à commencer par la suppression des services affectés matin et soir à la commune de Fagnières pour ses écoles. Elle permet tout de même d'épargner 21 000 euros en 2022, puis 53 000 euros chaque année suivante. Epargner, pour mieux ab-
sorber les surcoûts de fonctionnement ou financer les investissements. L'expérimentation initiée il y a un an et demi avec le B100 par exemple, un carburant issu des résidus de colza cultivé en région, va perdurer. 13 bus sur les 31 du réseau urbain sont déjà convertis, sans doute davantage à moyen terme. Cette démarche écolo représente néanmoins la bagatelle de 47 000 euros de facture supplémentaire en 2023, 41 000 euros en 2024 et 37 000 en 2025. C'est bien connu, rouler propre a un prix.
Sonia LegendreS UBVENTION
Le partenariat avec la start-up Just AI fait débat
TOURISME
Châlons se la joue romantique pour la Saint-Valentin
'an passé, Châlons Agglo signait une convention de partenariat avec la startup Just AI, dont le siège social est situé en Normandie. Objectif, à l'époque : créer un master en alternance autour de l'intelligence artificielle à destination des bac+3 et le promouvoir auprès des entreprises du territoire, moyennant une subvention de 100 000 euros – dont la moitié est déjà versée - allouée par l'agglomération. En juin, un hackathon a réuni une quarantaine de participants à Châlons autour de cette thématique. Mais faute de fédérer les vingt candidats nécessaires pour ouvrir la formation et d'obtenir les agréments ad hoc, ce projet attendu à l'automne 2022 reste en stand-by. Lors du dernier conseil communautaire, les élus étaient invités à voter la prolongation de ladite convention jusqu'à la fin de l'année. « Je vous alertais déjà sur cette jeune entreprise fragile il y a un an, s'est offusqué le conseiller Christophe Collot. Elle n'a jamais eu d'implantation à l'Institut Mines-Télécom, comme prétendu. » Puis de suggérer le report de la délibération de sorte à « redéfinir les objectifs à atteindre et les moyens de contrôle pour s'assurer que ces 100 000 euros ne soient pas dépensés en vain. » L'assemblée a tout de même accepté de poursuivre le partenariat, après quelques précisions du vice-président délégué au développement économique, Jérôme Mat. « Convaincre les chefs d'entreprise de former leurs personnels a été plus difficile que prévu, concède-t-il. Mais des audits ont été réalisés auprès d'une quinzaine de structures. On ne verse pas d'argent en l'absence de justificatifs. Just AI a justifié ses frais de déplacement, le temps passé dans les entreprises, le marketing déployé pour le hackathon, etc. » A suivre. S.L
Le campus In&Ma pourrait accueillir la formation de Just AI dans ses locaux, si celle‐ci voit le jour. © l'Hebdo du Vendredi
PLrisées par les amoureux pour leur approche à la fois romantique et pétillante, les balades en barque spéciales « Saint-Valentin » de l'Office de tourisme de Châlons reviennent cette année. Elles proposent un parcours de 20 minutes en duo –discrétion du pilote assurée ! - le long du Nau, du pont des Viviers jusqu'à la collégiale Notre-Dame-en-Vaux. Idéal pour contempler le patrimoine local tout en dégustant une flûte de champagne, à condition d'être bien emmitouflé. Départs toutes les 20 minutes dès 14 h, samedi 18 février (tarif : 20 euros par couple avec une rose et deux coupes de champagne offerts). Toujours en clin d'œil à la Saint-Valentin, l'Office organise, au cœur des caves médiévales, une dégustation des cuvées du champagne H. Baty, implanté à Bassuet, en compagnie du chanteur et multi-instrumentiste châlonnais Romain Changenot. Une soirée conviviale et euphorisante en perspective, où les plus belles chansons d'amour seront reines. Rendez-vous le vendredi 17 février à 18 h 30 (tarif : 27 euros par personne). Infos et réservations : chalons-tourisme.com, 03 26 65 17 89.
EN BREF
La Jeune chambre économique recherche des ambassadeurs
Pour faire connaître les actions qu'elle mène sur le territoire depuis sa création en 1976, la Jeune chambre économique de Châlons Agglo (JCE CA) propose aux 18-40 ans une rencontre conviviale jeudi 16 février à 18 h 30, au Tiffany bar (place de la République). Elle espère également recruter de nouveaux adhérents et leur permettre, tout en bénéficiant de formations, de s'engager bénévolement dans des projets citoyens variés Infos : jcechalonsagglo.fr, chalonsagglo@jcef.asso.fr.
La diminution des bus sur le réseau Sitac s'accompagne de sacrées économies. © l'Hebdo du VendrediLe plein de chantiers en 2023
Le plan pluriannuel de la ville de Châlons prévoit d'investir 1,3 M€ dans la rénovation des voiries en 2023. Un peu plus que les années précédentes, réseau de chaleur oblige.
Les coups de pioches s'enchaînent aux quatre coins de Châlons, avec une particularité depuis 2021 : la cohabitation des chantiers liés à la construction du réseau de chaleur urbain, à la requalification de l'îlot Notre-Dame et aux interventions plus classiques sur les canalisations d'eau ou d'assainissement et les voiries. Ces dernières bénéficieront d'une enveloppe municipale d'1,3 M€ en 2023, actée dans le cadre du plan pluriannuel d'investissement de la mairie.
« On était plutôt à 1,1 M€ en moyenne les années précédentes », précise Matthieu Lefort, responsable de l'exploitation des voiries. Mais cette légère hausse de budget ne s'explique pas
forcément par l'évolution du coût des matières premières. « Les matériaux métalliques, qu'on utilise par exemple pour les garde-corps, ont grimpé d'environ 20 %. Le goudron ou les éléments pétroliers qu'on trouve dans les enrobés augmentent de 10 à 15 %. On a surtout réorganisé nos interventions en fonction du réseau de chaleur. On profite de ces travaux pour rénover les voiries dans la foulée et ne pas multiplier les chantiers. » Certains ont ainsi été réalisés l'an passé ou programmés cette année par anticipation, sur plusieurs secteurs : les rues Pierre-Musard, Gérard-Moulin ou encore Robert-Espagne. « On procède à la réfection du tapis d'enrobé, voire des trottoirs si besoin, explique le référent. Les travaux devraient se terminer fin avril sur la première partie du général Giraud, entre les allées Voltaire et la rue du général Abbé. Celle-ci sera ensuite entièrement rénovée. Sans doute l'intervention la plus conséquente. »
Au Verbeau, la rue du 8 mai 1945, déjà en cours de reprise, fait également l'objet d'une
La ville de Châlons consacrera 1,3 M€ à la réfection de ses voiries. © l'Hebdo du Vendredi
désimperméabilisation. « On favorise l'infiltration des eaux grâce à des interstices entre les pavés des places de stationnement. L'idée, c'est de diriger l'eau directement vers la nappe phréatique, sans l'envoyer dans le ruisseau en amont. » Les rues de Toussaints et de l'Abbaye seront intégralement refaites au printemps, lorsque la résidence pour personnes âgées qui s'y construit pourra être livrée. Fin 2023, les
par l'Agglo
Les élus de Chalons Agglo sont régulièrement invités, tout au long de l'année, à voter l'attribution de subventions aux acteurs locaux, le plus souvent associatifs. Celles actées lors du dernier conseil communautaire, le 2 février, représentent une enveloppe globale avoisinant les 2 M€ et concernent, de près ou de loin, les compétences de l'intercommunalité. Du côté des écoles, 16 718 euros abonderont les trésoreries des douze coopératives scolaires du territoire et permettront de financer leurs projets. Soit 13 euros par élève, ni plus ni moins que l'an passé. Pas d'évolution non plus pour l'Office de tourisme, qui recevra en 2023 quasiment 318 000 euros alloués à son fonctionnement. Au chapitre des associations œuvrant pour l'insertion et la jeunesse se trouvent la Mission locale (plus de 194 000 euros), l'ACCP (366 000 euros, comprenant une augmentation de
travaux s'installeront allée Saint-Martin, sur un tronçon de 125 mètres au départ de l'avenue Becquerel. Les études se poursuivent sur l'avenue de Sainte-Ménehould et l'avenir de son pont, ainsi que sur la rue du Lycée, dans la continuité de l'îlot Notre-Dame, pour une rénovation espérée l'an prochain.
Sonia Legendre20 000 euros au titre des revalorisations salariales liées au Ségur) et Unis-Cité. Cette structure avait vu sa subvention diminuer de moitié en 2020, faute de résultats et d'encadrement qualitatif de ses jeunes volontaires. La voici de nouveau soutenue à hauteur de 25 000 euros (contre 30 000 avant 2020), mais cette aide sera versée en deux fois, sous réserve que la convention d'objectifs signée avec l'agglomération autour de la transition écologique soit bien remplie. La Comète, quant à elle, remporte le trophée du coup de pouce le plus important avec 1,08 M€ pour ses activités cinéma, ses spectacles vivants et son adhésion au réseau 360°. La délibération présentée aux élus stipule que le festival War on Screen fera l'objet d'un vote ultérieur.
Jean-Louis Devaux, « un homme de conviction »
Agriculteur de métier et homme politique très impliqué sur le territoire châlonnais comme marnais, Jean-Louis Devaux est décédé le vendredi 3 février. Sa disparition brutale a donné lieu à de nombreux hommages, en premier lieu celui de Bruno Bourg-Broc, son mentor et ami de longue date.
Jean-Louis Devaux est décédé le 3 février à l'âge de 65 ans, emporté par une crise cardiaque. La veille, il participait au conseil communautaire de Châlons Agglo, en tant qu'élu conseiller, et s'exprimait en fin de séance sur la nécessité d'achever la construction du boulevard périphérique nord-ouest, dossier qu'il défendait de longue date, et plus récemment avec cinq autres conseillers départementaux. Par le passé, il fut vice-président délégué au développement économique de l'agglomération. Il a également siégé durant de nombreuses années à la mairie de
Châlons en tant qu'adjoint, successivement en charge du commerce, de l'urbanisme et du loge ment, puis de la santé et des affaires sociales de puis les dernières élections en 2020. Jean-Louis Devaux était aussi 3e vice-président du Conseil départemental, en charge de la voirie, et secrétaire départemental du parti Les Républicains. Il avait d'ailleurs été investi pour porter ses couleurs dans la 4e circonscription de la Marne, lors de l'élec tion législative de juin 2022. Une figure emblématique marnaise et un élu de terrain qui, au-delà de ses différentes casquettes politiques, s'engageait toujours pour l'intérêt général et au service des administrés. Bien sûr, les hommages de celles et ceux qui l'ont connu se sont multipliés sur la toile, ou de façon plus personnelle auprès de son épouse et de ses filles. Et il y avait foule, ce mercredi 8 février, lors de ses funérailles en la collégiale Notre-Dame-en-Vaux.
Bruno Bourg-Broc, ancien maire et président de l'agglomération de Châlons, ne peut contenir son émotion en évoquant l'allié politique et l'ami qu'était pour lui Jean-Louis Devaux. Leur pre-
mière rencontre, c'était en 1982. Une vie... « Il est venu faire campagne avec moi pour les législatives partielles, retrace-t-il. J'ai découvert un militant extraordinaire. Nous ne nous sommes plus quittés ensuite. J'ai été élu député cette année-là, mais nous avons aussi connu plusieurs défaites.
Jean-Louis était toujours à mes côtés. Il est resté loyal, fidèle à ses valeurs. » En 2008, BBB l'encourage à se présenter aux élections cantonales et lui assure un soutien sans faille. Naturellement, il l'embarque dans l'aventure municipale dès 1995, puis communautaire, en 2000. « D'une certaine façon, c'était un « bébé Bourg-Broc ». Je l'ai comme « enfanté » en politique. » À l'heure des adieux,
D ON DU SANG
Bruno Bourg-Broc se remémore les souvenirs heureux partagés avec Jean-Louis Devaux. Les fêtes d'anniversaire, leur rencontre avec les plus hautes autorités de l'Église lors d'un voyage au Vatican, les soirs de victoires électorales, etc.
« Son grand-père était lui aussi extrêmement combattif, glisse-t-il. Il fut l'un des adversaires de Pierre Schneiter (ancien ministre et maire de Reims) en 1955. Ça s'est même soldé par des procès. Jean-Louis était un homme de foi, de conviction, qui possédait un sens aigu de la famille et de l'action publique. Quelqu'un d'élégant et de respectueux. » L'Hebdo du vendredi adresse ses plus sincères condoléances à sa famille et à ses proches.
Sonia LegendreTrois collectes à Châlons, Suippes et Mourmelon
Avec l'aide logistique de l'Association des donneurs de sang bénévoles (ADSB) de Châlons, l'Établissement français du sang organise trois nouvelles collectes sur le bassin châlonnais : mercredi 15 février au palais des sports Pierre de Coubertin (de 10 h 30 à 13 h et de 14 h 30 à 18 h 30), jeudi 16 févrierau centre culturel Jean-Huguin de Suippes (de 16 h à 19 h 30) et mardi 21 février à la salle Louisiane de Mourmelon-le-Grand (de 15 h 30 à 19 h 30). Plusieurs conditions doivent être remplies pour donner son sang : avoir entre 18 à 70 ans, peser au moins 50 kg, être muni d'une pièce d'identité et reconnu apte par le médecin lors de l'entretien préalable réalisé sur place. La prise de rendez-vous en ligne (sur mon-rdv-dondesang.efs.sante.fr) reste conseillée, notamment pour réserver un créneau horaire spécifique, mais il est également possible de se rendre à l'une des collectes sans inscription.
EN BREF
Des permanences pour informer les entreprises sur les aides de l'Etat
En présence de Dominique Mari, conseiller « sortie de crise » rattaché aux Finances publiques de la Marne, plusieurs permanences sont organisées dans le département pour informer les entreprises sur les dispositifs d'aide mis en place par l'Etat. Prochains rendez-vous, de 14 h à 17 h : mercredi 15 février en sous-préfecture de Reims, lundi 20 février à la mairie de Fismes, mardi 21 février à la salle intercommunale d'Anglure et mercredi 22 février à la communauté de communes de Sainte-Ménehould. Infos : marne.gouv.fr.
Un « bébé Bourg-Broc »
Le député de la 4e circonscription de la Marne est élu depuis 1993. © l'Hebdo du Vendredi
Le député centriste de la Marne, Charles de Courson, a fait sensation en réclamant la fin des régimes spéciaux de retraite des parlementaires, que le texte actuel, qu'il récuse, ne prévoit pas.
Vous réclamez la suppression des régimes spéciaux de retraites, notamment pour les parlementaires. Pourquoi ?
Cela fait un tiers de siècle que je le réclame ! Je plaide pour la mise en extinction des régimes spéciaux, c’est-à-dire que ceux qui y sont, y restent, et que tous les nouveaux recrutés passent au régime général. La réforme ne propose de mettre en extinction que cinq des 17 régimes spéciaux, il en reste 12, dont celui de l’Assemblée nationale et du Sénat. L’Assemblée nationale a déjà réformé son système de retraite qui fait qu’on est assez proche de la fonction publique d’État. Un député qui a fait un mandat de cinq ans touche, à ses 62 ans, 684 € net de pension mensuelle. Un sénateur qui a fait un mandat de six ans a droit à 2 400 €. On gagnerait à passer au régime général.
Comment vos pairs jugent-ils cette demande ?
Ça n’a pas été accueilli à bras ouverts, mais les parlementaires doivent montrer l’exemple. On me traite de populiste, mais c’est cette non-réforme qui porte le populisme. On ne peut pas demander des efforts importants aux couches sociales les plus modestes, pendant que les parlementaires s’exonèrent de ces efforts. Ce n’est pas défendable de réformer les autres régimes et pas les nôtres. D’un point de vue de l’exemplarité et de la dignité du Parlement, ça aurait de la gueule.
L’examen du texte a débuté, lundi, dans un climat houleux. Quelle image cela donne-t-il de l’Assemblée nationale ?
Ça donne une image détestable. Certains groupes
Plus de 4 000 personnes mardi à Reims, combien samedi ?
participent plus que d’autres à cela, je pense à La France insoumise. Ces milliers d’amendements sont contre-productifs. Notre groupe (Libertés et territoires) a été raisonnable, avec 160 amendements déposés. Chacun sa stratégie.
Quelle va être la stratégie du gouvernement qui ne dispose que d’une majorité relative ?
Le gouvernement a failli être battu, mardi soir, lors du vote sur l’article liminaire. Il a été sauvé par les 27 Républicains qui ont voté pour, mais quinze ont voté contre et huit se sont abstenus… De toute façon, il n’y aura pas de vote sur l’ensemble du texte en première lecture puisqu’il y a 20 500 amendements et nous n’avons que huit jours (les débats s'achèveront le vendredi 17 février et le texte sera transmis au Sénat). On en examinera peut-être 2 500… Ce qui pose problème, c’est que la présidente a refusé la motion référendaire que nous avons déposée et de réunir la Conférence des présidents. Tout est fait pour qu’il n’y ait pas de débat sur le fond. Il y a un déni de démocratie.
Pensez-vous que l’exécutif doit écouter la rue ?
Le président de la République et les députés parlent d’une légitimité démocratique qu’ils n’ont pas. C’est un texte qui coupe le pays, avec des manifestations qu’on n'a pas vues depuis des années. Qui appuie le gouvernement ? Pas un syndicat, y compris les réformistes qui ont l’impression de s’être fait rouler dans la farine. Ils sont tous vent debout contre la réforme. Les organisations patronales sont extrêmement discrètes, ce n’est pas pour rien. Et dans les courants politiques, les seuls sur lesquels le gouvernement comptait, Les Républicains, se déchirent. Tant que le gouvernement ne renonce pas à l’article 7, qui prévoit le passage de l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans, nous voterons contre. C’est une situation très périlleuse.
Propos recueillis par Simon Ksiazenicki
Alors que les débats entre députés sur la réforme des retraites ont débuté, lundi, à l’Assemblée nationale, dans une ambiance extrêmement tendue, l’atmosphère était presque plus calme, mardi matin, dans les rues de Reims. Il faut dire que le consensus était de mise parmi les 4 000 manifestants (comptage syndicats + journalistes) qui réclamaient tous, en chœur, le retrait du projet de loi. Emmené par quelque 200 jeunes à l’avant, le cortège était un peu moins garni que lors des deux précédentes mobilisations, lorsque environ 6 000 personnes avaient défilé, le jeudi 19, puis le mardi 31 janvier, dans la cité des sacres. À Châlons comme à Épernay, la baisse de la fréquentation était du même ordre, avec approximativement 1 500 personnes mobilisées dans les deux villes ce mardi. Alors que l’inflation touche tout le monde, certains y ont sans doute réfléchi à deux fois avant de se déclarer en grève pour retourner battre le pavé. Gilles, retraité de la Sécurité sociale, n’a pas eu ce problème, mais ce militant de Force ouvrière (depuis 47 ans !) compatit : « C’est sûr que trois jours de retenue sur salaire, ça se ressent, concède-t-il. C’est pour cela que c’est une bonne chose que les prochaines manifestations aient lieu le week-end, pour ceux qui ne peuvent pas se permettre de se mettre à nouveau en grève. » Comme partout en France, la prochaine manifestation contre la réforme des retraites à Reims aura lieu ce samedi 11 février. Gilles sera à nouveau de la partie : « Sauver notre système de retraite vaut bien de sacrifier quelques heures de son week-end ! ». S.K
Les agriculteurs aussi en colère
Mercredi 8 février, au lendemain de la mobilisation nationale contre la réforme des retraites, les agriculteurs ont manifesté à Paris pour dénoncer l'interdiction des néonicotinoïdes dans la culture de la betterave sucrière. Plus d'un millier d'exploitants (3 000 et 622 tracteurs, selon la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles) ont convergé vers la capitale, dont 80 venus spécialement de Reims, Châlons, Vitry-le-François et Dormans grâce aux bus affrétés par la fédération départementale. « La Marne est le premier département betteravier de France, rappelle Didier Blanckaert, président de la section Cristal Union de la sucrerie de Sillery. Sur le secteur de la Champagne crayeuse, cette production représente 20 % de la superficie agricole utilisée. » La douceur de l'hiver pourrait favoriser les attaques précoces de pucerons et la transmission aux plantes de plusieurs virus de la jaunisse. Les betteraviers et d'autres filières impactées par le bannissement des insecticides pointent du doigt une décision prise sans aucune alternative, au détriment des productions françaises.
EN BREFLes médecins libéraux en grève le 14 février
Pour la troisième fois en un peu plus de deux mois, les médecins libéraux sont appelés à fermer leurs cabinets et à descendre dans la rue ce mardi 14 février. Ils réclament, notamment, un doublement du tarif de la consultation à 50 €, alors que l’Assurance maladie a récemment proposé une hausse de 1,50 €. Les médecins contestent également le projet de loi « visant à améliorer le système de santé par la confiance et la simplification ».
« Pour l’exemplarité du Parlement, ça aurait de la gueule »
T RAVAUX -É PERNAY
Pont de la rue de Reims : quel chantier !
Les travaux entamés au début du mois de février sur le pont ferroviaire de la rue de Reims entraînent déjà des perturbations pour les automobilistes. Et ce n'est que le début puisque le chantier, qui va durer un an, entrera dans une phase plus complexe au printemps.
Il va falloir s’armer de patience. Les travaux démarrés au début du mois sur le pont de la rue de Reims, en vue de la réfection de cet ouvrage vieux de 90 ans, vont durer jusqu’en décembre. Ce qui signifie que la circulation dans ce secteur et, par ricochet, dans les rues du centre-ville d’Épernay, sera chaotique durant toute l’année, surtout aux heures de pointe. « L’autre jour, à 18 h, j’ai mis 25 minutes pour me rendre de l’entrée de Magenta au collège Jean-Monnet. D’habitude, je mets moins de dix minutes », peste cette Sparnacienne. Des bouchons pénibles, mais qui disparaissent rapidement sitôt les quelques heures critiques du matin et du soir passées. Dans sa phase première, le chantier impose d’importantes déviations. D’abord pour les poids lourds de plus de 3,5 tonnes qui ne peuvent ainsi plus circuler sur ce pont de 55 mètres de long. Durant cette première phase de travaux, il n’est également plus possible, pour tous les véhicules, d’emprunter l’ouvrage lorsque l’on circule dans
PARTENARIAT
la rue de Verdun. Ils sont déviés vers la trémie qui ressort rue Pierre-Semard, aux abords de la gare d’Épernay. Il est prévu une réouverture pour les véhicules légers de cette voie de circulation, au moment de la deuxième phase de travaux, qui débutera à la mi-février. Sur l’ouvrage en lui-même, une des quatre voies
La circulation coupée le week-end du 1er Mai
de circulation est aussi condamnée, comme ce fut le cas pendant de très nombreux mois, à partir de l’été 2018, lorsque SNCF Réseau avait mené son premier diagnostic sur l’état de cette construction traversée quotidiennement par 7 000 véhicules. Plus de deux ans après, le pont était enfin rouvert pleinement aux autos, mais le revoilà frappé par des restrictions qui rappelleront donc des souvenirs récents aux automobilistes sparnaciens…
Reims envoie une délégation en Ukraine
Aors que la guerre continue en Ukraine, Reims intensifie ses liens avec Tchernihiv, cité située à 130 km de Kiev et peuplée, avant l'invasion russe, de 286 000 habitants.
Ainsi, après avoir accueilli le maire par intérim de la ville ukrainienne, Oleksandr Lomako, le 22 novembre dernier, la municipalité rémoise va à son tour envoyer une délégation. Composée de Dimitri Oudin, adjoint au maire de Reims délégué aux relations internationales, Rémi Grandemange, directeur adjoint du cabinet du maire de Reims et de la présidente du Grand Reims, et du street artiste Kusek, elle se rendra successivement à Kiev, Tchernihiv et Varsovie, du 11 au 15 février. Cette dernière étape en Pologne sera l'occasion de participer au forum « Rebuild Ukraine ». A Tchernihiv, la délégation visitera notamment une station de filtration de l’eau inactive, une école en partie démolie accueillant des élèves et un village « temporaire ». Kusek, dont le travail sur le conflit en Ukraine est visible sur les murs de la cité des sacres, sera aussi invité à s’exprimer via son art en divers lieux de la ville ukrainienne. « Il s'agit d'intensifier et de préciser dans quels domaines la ville de Reims et le Grand Reims vont répondre aux attentes d’une ville amie, désireuse à la fois d’organiser sa reconstruction, d’étudier des procédés dans des domaines techniques et de nourrir également des échanges entre universitaires, étudiants et artistes des deux villes », indique la municipalité rémoise. Ce rapprochement doit trouver un prolongement avec la signature d'un protocole d'accord à Reims, le 8 mai prochain.
D’autant que la situation risque de se compliquer à partir du mois de mars. Pour le moment circonscrit au trottoir sud du pont, dont l’accès est également interdit aux piétons, le chantier se déplacera ensuite au cœur de l'ouvrage. « Cette étape sera la plus importante et la plus délicate, car on va travailler sur les deux voies centrales, explique Christophe Legand, chef du service d’ingénierie routière du département de la Marne.
C’est toujours compliqué de travailler avec de la
circulation routière, mais c’était important de la maintenir, avec au moins une voie ouverte de chaque côté durant toute la durée du chantier. »
Cette phase devrait se dérouler entre le 20 mars et le 22 mai avec, en point d’orgue, la jonction des deux tabliers (structures porteuses), prévue vraisemblablement du 28 avril au 1er mai, qui nécessitera la coupure complète de la circulation.
« Il faudra couler le béton et le laisser sécher. On ne pourra pas se permettre d’avoir la moindre vibration », explique l’ingénieur du conseil départemental.
La moitié du chantier sera alors atteinte. Restera ensuite la reprise complète des superstructures (étanchéité, chaussée et trottoirs), le remplacement des grades-corps en béton par des gardecorps métalliques et le renouvellement du mobilier d’éclairage public. Mais ça, c’est une autre histoire…
Simon Ksiazenickià nouveau accessible fin février. © l'Hebdo du Vendredi
Des perturbations à prévoir en mars pour les trains
Si ce chantier d'ampleur se déroule à la surface du pont de la rue de Reims, certaines opérations qui seront menées lors de la deuxième phase vont bouleverser la circulation ferroviaire, sous l'ouvrage. Les perturbations auront lieu à partir du mois de mars pour les trains qui relient Épernay à Reims et pour les TER de la ligne Vallée de la Marne. Cette dernière, qui s'étend entre Paris à Bar-le-Duc en passant par Dormans, Épernay et Châlons, est déjà sujette aux retards et aux dysfonctionnements depuis de nombreuses années. La SNCF a décidé de privilégier les trains du matin et du soir, qui seront maintenus, si bien que ce sont les voyages de journée qui seront supprimés. Des trajets de substitution en autocar seront proposés aux utilisateurs.
Une serre à 8 M€ pour des vignes plus résistantes
C'est inédit, la Champagne, la Bourgogne et le Beaujolais s'associent pour la construction, à Oger, d'un bâtiment innovant qui servira à produire le matériel de base des plants de vigne certifiés.
C’est un projet absolument essentiel pour l’avenir de nos vignobles de Champagne, de Bourgogne et du Beaujolais. Trois régions et six départements qui participent à la création d’un équipement chez nous, c’est rarissime. » C'est ainsi que le président de l’agglomération d’Épernay, Franck Leroy, s’est réjoui de voir aboutir le projet Qanopee (Quart nord-est de prémultiplication collective), présenté lors du dernier conseil communautaire.
Pour la première fois en France, trois vignobles vont s’associer dans leur activité de prémultiplication, étape préliminaire et essentielle à la production de plants de vigne certifiés que les vignerons acquièrent auprès des pépiniéristes.
« Cette production stratégique est menacée pour des questions sanitaires, en lien avec le climat, en raison de l’extension ou de l’émergence de certaines maladies, a expliqué Pascal Desautels, vice-président en charge du tissu viticole. Le projet Qanopee consistera en la construction d’une serre bioclimatique « insect-proof » (anti-insectes) et d’un bâtiment d’exploitation. »
Ce chantier à 8 M€ doit démarrer en juin prochain sur un terrain de 5 000 m² de la zone d’activités d’Oger mis à disposition par le Comité Champagne. Une serre de haute technologie de 8 mètres de haut, accompagnée d’un bâtiment d’exploitation, sortiront de terre après douze mois de travaux. L’agglo espère un outil exemplaire en matière énergétique, avec notamment une autoconsommation collective grâce à des panneaux photovoltaïques. La construction d’une deuxième et d’une troisième tranche est d’ores et déjà envisagée pour agrandir cette serre, au fur et à me-
sure des besoins.
L’an passé, l’Institut français de la vigne et du vin (IFV), l'organisme de recherche de la filière vitivinicole, a publié un nouveau schéma de prémultiplication pour l’ensemble de la profession, afin « de préserver le matériel végétal des maladies actuelles, dont l’expansion est inquiétante, et des maladies émergentes », mais aussi « d’accélérer la mise à disposition de matériel végétal innovant ou à des fins d’adaptation ». L’enjeu est donc sanitaire et environnemental, les deux aspects étant inextricablement liés. « La rapidité du réchauf-
fement climatique amène l’ensemble des acteurs des vignobles français à se pencher sur l’impact des phénomènes climatiques sur la vigne et le vin, a détaillé Franck Leroy. On peut se réjouir que ces équipements voient le jour sur nos territoires, car ce projet nous assure une approche innovante sur les vignes du futur, ce qui est extrêmement important. »
Ce projet verra le jour grâce à une importante dotation européenne (4,8 M€), le reste étant apporté par différentes collectivités du Grand Est, mais aussi des régions Bourgogne-Franche-Comté et Auvergne-Rhône-Alpes. L’ambition du projet Qanopee est de produire des références technicoéconomiques pour l’ensemble de la filière de prémultiplication en France.
Simon Ksiazenicki
Vers un écosystème de la recherche et l'innovation ?
À 5 kilomètres du futur emplacement du projet Qanopee, le groupe Moët Hennessy a inauguré, en 2021, à Oiry, le centre de recherche Robert-Jean-deVogüé. En investissant 20 M€ dans la recherche et le développement, la filiale du groupe LVMH espère trouver des solutions pour réduire son impact environnemental et s’adapter au changement climatique. Franck Leroy, président de l’agglo, veut voir dans ces deux projets (et d’autres à venir) l’émergence d’un « écosystème ». Il a aussi ajouté que le Comité Champagne prévoyait d'augmenter son budget d’environ 50 % dans la décennie à venir afin de développer la recherche et l’innovation.
Le projet verra le jour dans la zone d'activités d'Oger. © October Ends CCette semaine LES NOTAIRES vous proposent
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SUR UN TERRAIN DE 550M2, MAISON TYPE 6 DE PLAIN-PIED DE 135M2 SITUÉE À CORMONTREUIL dans un quartier calme, proche commerces - Rue Gaston Planté. Composée d'une vaste entrée desservant une buanderie, WC, cuisine séparée et équipée (four, réfrigérateur, lave-vaisselles, plaque de cuisson et hotte), un salon/séjour d'environ 30m2 lumineux et équipée d'une cheminée fonctionnelle qui donne sur une grande terrasse partiellement couverte. Un couloir qui permet d'accéder à une salle de bains avec douche et baignoire, 4 chambres dont une avec salle de douche, un second WC ainsi qu'un placard. Grand garage faisant la superficie de la maison pouvant accueillir 2 voitures et propose de nombreux espaces de rangement. Maison dotée d'une alarme. Portail et porte de garage électriques. Chauffage individuel gaz.
Classe Energie D.
Loyer 1 425 €/mois
CC Dont TOM: 25 € Dépôt de garantie : 1 400€
Honoraires charge locataire: 1 027.50€
Dont 405 € TTC pour état des lieux
F4 À REIMS- RUE DU BARBÂTRE - Appt de 66.82m2 au 4ème étage sans ascenseur d'une résidence sécurisée - proche commerces. Comprenant une entrée avec placard, cuisine meublée et équipée (four, plaques et hotte), salon-séjour, deux chambres dont une avec placards, salle de douche, un rangement, WC. Chauffage individuel gaz. Classe énergie D.
Loyer: 795€/mois CC Dont charges: 60€ Dont TOM: 15€ Dépôt de garantie: 720€
Honoraires charge locataire: 576.41€ Dont 200.46€ TTC pour état des lieux.
F2 DE 55M2 - RUE DE CONTRAI REIMS. Appt au 3ème et dernier étage sans ascenseur d'une résidence proche tramway et commerces. Cpt: séjour avec rangement, cuisine séparée et équipée (plaques vitrocéramique, four et lavevaisselle), chambre, salle de bains avec WC, grande terrasse sans vis-à-vis. Un parking en sous-sol. Chauffage Individuel électrique.
Classe Energie E.
Loyer: 655.00€/mois CC Dont charges: 75€ Dont TOM: 15.00€ Dépôt de garantie: 565€
Honoraires charge locataire:447.21€ dont 165€ TTC pour état des lieux.
EXCLUSIVITE SECTEUR CHARLES ARNOULD, maison ancienne avec garage et jardin comprenant au RDC cuisine, séjour 23 m², SDD/wc et véranda chauffée sur jardin clos avec remise. A l'étage 3 chambres et SDB. CC au gaz. Fenêtres PVC. Rafraîchissements à prévoir. Secteur calme et agréable. Classe énergie : E. Honoraire charge vendeur. Prix : 222 000 €
TERRAINS A BATIR
PUISIEULX terrains à bâtir de 418 à 530 m², viabilisés. Grille tarifaire et plans : nous consulter
Barème des honoraires de négociation : Les honoraires de négociation sont réglés par le vendeur.
Tarification TTC : Prix inférieur ou égal à 50 000 € :
Montant forfaitaire maximum de 5 000 € TTC
Prix supérieur à 50 000 € : 4% TTC + forfait maximum de 4 000€ TTC
Tarification Location : (émoluments partagés par moitié bailleur et preneur)
Emoluments: ½ loyer HT
Emoluments cautions: ¼ de l’émolument HT
Emoluments de formalités:170 € HT environ (selon les caractéristiques du bien)
Etat des lieux : 5€ HT/m2
Honoraires : Négociation : ½ loyer HT à la charge du bailleur
Gestion mensuelle : 7% HT des encaissements (hors dépôt de garantie)
APPT, AU 3ÈME ÉTAGE SANS ASCENSEUR, DE 110.20M2 ENTIÈREMENT RÉNOVÉ. Cpt entrée, WC séparé, séjour, salon, cuisine séparée meublée et équipée (plaques, four, hotte, lave-vaisselles, réfrigérateur), une chambre, une seconde chambre attenante à la 3ème, salle de douche, un rangement aménagé avec étagères et penderie. Chauffage individuel gaz.
Classe Energie D.
Possibilité de louer un parking couvert rue des Elus pour 100€ par mois dont 10€ de charges.
Loyer: 1 300€/mois cc Dont Charges: 80.00€ Dépôt de Garantie: 1 300.00€
Honoraires
LOCAL
COMMERCIAL IMMEUBLE ENTIER MAISONF OOTBALL L1 (23 E J.) : R EIMS (10 E ) - T ROYES (16 E )
Un derby pour se relever
Ce ne sera pas encore cette année que le Stade de Reims ira au Stade de France. La série de quinze matches sans défaite a pris fin avec fracas pour les Rémois, sèchement sortis de la Coupe de France, mercredi soir, par une équipe toulousaine plus entreprenante et sans doute plus fraîche physiquement (3-1). Rapidement menés 2-0, les hommes de Will Still ne sont pas parvenus à revenir dans la partie, en manque « d’agressivité, d’intensité et peut-être un peu de courage, a regretté le coach belge. Quand on ne met pas ces ingrédients-là, on devient une équipe un peu moins bonne. » Le Stade de Reims n’a plus vu les quarts de finale de la Coupe de France depuis 2011.
En Ligue 1, en revanche, le club marnais reste invaincu depuis le mois de septembre. Les partenaires de Yunis Abdelhamid auront l’occasion de poursuivre leur dynamique face à Troyes, ce dimanche, mais ils devront mettre des ingrédients tout autres. Même si l’Estac, 16e, est en grande difficulté en ce moment (cinq défaites en six matches), la rencontre entre voisins champenois a toujours une saveur particulière. Pour les supporters des deux camps, avant tout, mais les joueurs la ressentent forcément un peu sur la pelouse, quand bien même cette ferveur n'atteint pas celle d’un « vrai » derby. D’autant que les Rémois ont toutes les peines du monde à s’imposer face à leur voisin aubois ces dernières années : ils n’ont réussi qu’une fois lors de leurs dix dernières confrontations.
Retour aux sources pour Jackson et Milosevic
Battu successivement par Chalon-sur-Saône (7879) et Orléans (82-61), le Champagne Basket a repris sa marche en avant, samedi dernier, à l'occasion de la réception à Reims de Quimper. Longtemps malmenés (56-58, 30e), les hommes entraînés par Thomas Andrieux ont fini très fort la rencontre pour l'emporter finalement 87-68, grâce notamment à la performance de Jean-Philippe Dally (21 points, dont 5 sur 6 à trois points). Une belle victoire qui permet à l'Union marnaise de rester dans le haut de tableau de la Pro B (6e) et qu'il faut maintenant confirmer, dimanche 12 février, sur le parquet d'Evreux. Modeste 14e du classement, avec un seul succès d'avance sur le premier relégable Saint-Vallier, la formation ébroïcienne, qui restait sur cinq défaites de rang depuis le début de l'année, a sorti un gros match pour s'imposer à Orléans (9786), portée par un grand Christian Lutete (25 points, dont 7 sur 11 à trois points). Ce duel, qui sera à suivre en direct sur France 3 Régions, promet d'être particulier puisque plusieurs joueurs du Champagne Basket ont porté le maillot d'Evreux. Si les souvenirs sont lointains pour Lamine Sambe et Mathis Keita, qui y ont joué respectivement en 2012/2013 et de 2014 à 2016, ils sont très récents pour Marquis Jackson et Djordje Milosevic. Les deux compères, qui découvraient alors la France, y ont brillé la saison dernière.
4 Evreux - Champagne Basket, dimanche 12 février, à 15 h 15 à Evreux. Prochain match à domicile : Champagne Basket - Boulazac, vendredi 3 mars à 20 h, à Châlons.
« Le bataillon perdu », un jeu historique dont vous êtes le héros
Le Centre d'interprétation
Marne 14-18 de Suippes dévoile son premier « serious game » sur tablette numérique. Un jeu d'énigmes immersif qui mêle histoire de la Grande Guerre, sens de l'observation et esprit d'équipe.
Le Centre Marne 14-18 a eu la bonne idée de créer un jeu d'énigmes numérique en lien avec l'histoire. « On souhaitait proposer une offre différente de celle qu'on trouve habituellement dans les musées ou les centres d'interprétation, explique Bérangère Gadret, médiatrice culturelle. Quelque chose de ludique et d'interactif avec des défis, qui permette de se plonger dans la peau des personnages. » En l'occurrence, une escouade de soldats de la Grande Guerre, missionnée pour retrouver un bataillon perdu et le sauver d'une embuscade allemande. L'équipe a d'abord rédigé en interne les bases du scénario, puis confié à la société strasbourgeoise Habile'Bill, spécialisée dans la création d'escape
Un univers proche de la BD
technique que graphique. « C'est ce qu'on appelle un « serious game ». L'objectif n'est pas de s'échapper d'une pièce, mais de résoudre les énigmes en 60 minutes chrono. »
quelques vidéos, l'intrigue se dévoile sur tablette et invite les participants à déambuler au gré des salles pour récolter les indices et trouver les solutions. « Le bataillon est fictif, mais on a veillé à respecter le contexte historique et géographique de l'époque. Le jeu évoque les ba-
Agenda
SPECTACLES
JEUDI 16 FÉVRIER
CIRQUE – VIOLENT
Aude Martos et Nanda Suc, de la compagnie
SPPI - Société protectrice de petites idées – accueillent le public dans leur « parc d’attraction à haut potentiel d’accidents domestiques », où se mêlent cirque, théâtre, musique, patin à roulettes, majorette, suspension buccale et même rodéo mécanique...
À 19 h, salle Rive gauche – Accès libre – Infos : furies.fr.
CONCERTS
VENDREDI 10 FÉVRIER
VARIÉTÉS – TRIO + SIXTIES
Hommage aux tubes d’ici et d’ailleurs avec l’orchestre Trio + Sixties.
À partir de 19 h, The Tiffany bar – Accès libre.
JEUDI 16 FÉVRIER
LE BOEUF BY DD AU SACOBRI
Chaque troisième jeudi du mois, le bassiste DD, ancien membre du groupe Natchez, invite les musiciens du coin à un boeuf convivial et expérimental. Ambiance rock et impros garanties.
À partir de 20 h 30, Shop & Bières Sacobri – Accès libre.
SAMEDI 18 FÉVRIER
REPRISES – BLENDY
Le trio acoustique guitare, chant et percussions
Blendy revisite les plus beaux tubes de la variété française et internationale.
À partir de 20 h 30, Shop & Bières Sacobri – Accès libre.
CONFÉRENCES
SAMEDI 25 FÉVRIER APÉRO AU MUSÉE
Une rencontre avec une personnalité culturelle suivie d’une dégustation pétillante.
À 18 h 30, musée des Beaux-arts Gratuit, sur inscriptions au 03 26 69 38 53.
LOISIRS SAMEDI 11 FÉVRIER CODE TA PREMIÈRE CARTE EN HTML
Atelier dès 8 ans pour apprendre à coder une carte virtuelle thématique en langage HTML.
À 15 h, médiathèque Pompidou - Entrée libre Infos : bm.chalonsenchampagne.fr.
MARDI 14 FÉVRIER SOIRÉE PYJAMA
Une soirée de jeux interdite aux parents pour la Saint Valentin. Dès 6 ans.
À 19 h, Kidoom Châlons - Tarifs : de 6 à 11 euros Sur réservation : chalons.kidoom.fr.
VENDREDI 17 FÉVRIER LA PEUR N’EST QU’UN JEU
Soirée spéciale « jeux vidéo » sur la thématique de la peur.
À 18 h, médiathèque Pompidou - Entrée libre Infos : bm.chalonsenchampagne.fr.
SAMEDI 18 FÉVRIER
BALADES EN BARQUE SPÉCIALES SAINT-VALENTIN
Spécialement concoctées pour les duos, ces balades en barque sur le Nau proposent de (re)découvrir le patrimoine châlonnais de façon romantique.
À partir de 14 h (départs toutes les 30 minutes), Office de tourisme - Tarif : 20 euros par couple, avec une rose et deux flûtes de champagne Réservations : chalons-tourisme.com, 03 26 65 17 89.
VENDREDI 24 FÉVRIER VISITE INSOLITE À LA LAMPE FRONTALE
Les bibliothécaires proposent de découvrir de nuit, muni d’une lampe frontale, les magasins de Pompidou et leurs ouvrages les plus effrayants...
À 18 h, bibliothèque Pompidou – Dès 14 ans Gratuit, sur réservation : bm.chalonsenchampagne.fr.
CINÉMA
VENDREDI 10 FÉVRIER
NUIT DE L’HORREUR
Avec la complicité des étudiants et des lycéens de Châlons, la Comète organise sa Nuit de l’horreur. 4 films à voir jusqu’à l’aube : Get Out (22 h), Midsommar (0 h 15), Sans un bruit (3 h 15) puis le premier volet de la saga Saw (5 h 15). Petits-déjeuners offerts, plaids à disposition, duvets et oreillers bienvenus !
De 22 h à l’aube, cinéma de la Comète - Tarifs : 5 euros la séance, 14 euros le pass « 4 films » Infos : page Facebook « cinemalacomete ».
Expositions
DU SAMEDI 11 AU SAMEDI 25 FÉVRIER
ERIC DELABY
Membre du collectif Art contemporain 51, Eric Delaby fait partie des artistes peintres amateurs et passionnés du cru. Il dévoile ses toiles colorées et ses clins d’oeil au patrimoine châlonnais grâce à une exposition originale. Du lundi au samedi, Office de tourisme - Accès libre.
JUSQU’AU SAMEDI 11 MARS
LES PRÉSIDENTS DE CABU
La Duduchothèque dévoile environ 200 dessins de Cabu qui illustrent sa façon de dénoncer, toujours avec humour, les petits et grands travers des présidents de la Ve République. Du mercredi au samedi de 14 h à 18 h, Duduchothèque Accès libre.
JUSQU’AU LUNDI 3 AVRIL DU SILEX À LA TOPKA
Un voyage à travers 5 000 ans d’art et d’histoire en Champagne grâce aux collections muséales et à celles de Pascal Jacob et Marika Maymard, historiens du cirque reconnus au niveau international.
Tous les jours sauf le mardi, Musée des Beaux-arts et d’archéologie - Tarif : 4 euros.
tailles de Champagne de 1915, par exemple. Il nous transporte de façon virtuelle dans les villages du territoire suippas et les lieux emblématiques où se sont déroulés les combats. » Ce projet innovant, dont le Centre préfère taire le budget global, a été financé en grande partie par les fonds européens du programme Leader. Il s'adresse principalement aux ados et adultes, du fait de son niveau de difficulté assez élevé.
« Les retours des bêta-testeurs sont positifs, souligne Bérangère Gadret, qui a elle-même testé le concept. On conseille aux joueurs de faire preuve de logique, d'un grand sens de l'observation et d'un esprit d'équipe. On prévoit un classement des meilleurs scores sur Facebook. Bien sûr, on peut aussi apprendre des choses sur la guerre 14-18 grâce au jeu. » Novices comme passionnés d'histoire et de jeux bienvenus, dès ce samedi.
Sonia Legendre4 « Le bataillon perdu », à partir du 11 février au Centre d'interprétation Marne 14-18 de Suippes, chaque mercredi et samedi Tarifs : 30 euros la tablette (de 2 à 3 joueurs) Sur réservation uniquement : 03 26 68 24 09, marne14-18.fr.
Chiner
SAMEDI 11 FÉVRIER
CORMONTREUIL - VIDE-POUSSETTES
9 h à 16 h - Salle polyvalente, 10, bld. Alsace-Lorraine
REIMS - BRADERIE SOLIDAIRE À partir de 8 h 30 - Service du vêtement, 19-25, rue du Jardin
DIMANCHE 12 FÉVRIER
MOURMELON-LE-GRAND - VIDE-GRENIERS
8 h à 18 h - Centre culturel Napoléon III
REIMS - MARCHÉ AUX LIVRES
8 h 30 à 18 h - Halles du Boulingrin
SAMEDI 18 FÉVRIER
CHÂLONS – BOURSE AUX LIVRES
9 h à 12 h – Salle CCT, Cité Tirlet
DIMANCHE 19 FÉVRIER
EPERNAY - VIDE-GRENIERS
À partir de 6 h - Esplanade Charles de Gaulle
REIMS – VIDE-GRENIERS
7 h30 à 17 h 30 – Salle Goulin, rue de la Neuvillette
REIMS - BOURSE MILITARIA
9 h à 18 h - Innovteam le showroom, 2, rue du Commerce
Arthur H ou la transe poétique
L'artiste est à Reims le 17 février, à la Cartonnerie, le jour de la sortie de son nouveau disque, « La Vie ». Rencontre.
Ala fois voyageur mystérieux et explorateur de l’âme, Arthur H. propose dans « La Vie », son 17e album, une expérience singulière, à la découverte d’autres contrées, tout en appelant à se délester du superflu, pour enfin se nourrir uniquement de l’essence et du plaisir d’être vivant. Aller simple en terre de Poésie.
Cet album, « La Vie », est-ce une ode à cette folle aventure du vivant ?
C’est ambitieux, mais oui. Une ode à la vie, dans le sens pulsion de vie, contre la pulsion de mort. Nous évoluons dans un climat d’anxiété générale et il me paraît important de célébrer la vie dans ses contradictions et ses paradoxes, afin de retrouver une confiance fondamentale en le vivant. Ça m’intéresse de chanter ça, plutôt que le côté obscur de la force.
C’est un album très cinématographique. Quelle place laissez-vous
Cinéma
MEGA CGR MAJESTIC
2 Rue A. Fresnel - Châlons
Du vendredi 10 au mardi 14 février 2023
ALIBI.COM 2 Tous les jours : 11h00 | 14h00 | 16h00 |
18h00 | 19h50 | 21h40
ASTERIX ET OBELIX ET L'EMPIRE DU MILIEU
Tous les jours : 11h00 | 13h40 | 15h50 | 18h00 | 20h30
AVATAR : LA VOIE DE L'EAU Tous les jours : 14h00 |
18h00
AVATAR : LA VOIE DE L'EAU - 3D Tous les jours : 16h00 | 20h00
BABYLON Tous les jours : 16h10 | 20h00
DOUNIA ET LA PRINCESSE D'ALEP Dim : 14h00
Sam : 11h00
KNOCK AT THE CABIN - VO Ven : 19h40
KNOCK AT THE CABIN Tous les jours sauf Ven : 19h40 | 21h40 Ven : 21h40
LA GUERRE DES LULUS Tous les jours : 13h40
LE CHAT POTTE 2 : LA DERNIERE QUETE Tous les jours : 11h00
LE PIRE VOISIN AU MONDE Tous les jours : 10h50 | 13h30 | 21h00
MAURICE LE CHAT FABULEUX Tous les jours :
11h00
MAYDAY Sam, Dim, Lun, Mar : 21h40 Ven : 13h35 |
21h40
MOI QUAND JE ME REINCARNE EN SLIME
LE FILM : SCARLET Ven, Mar : 17h45 | 19h30
Sam, Dim : 19h30 Lun : 17h45
MOI QUAND JE ME REINCARNE EN SLIME - LE
FILM : SCARLET Ven, Mar : 15h30 Lun : 15h30 | 19h30
PATTIE ET LA COLERE DE POSEIDON Sam, Dim, Lun, Mar : 11h00 | 13h45 | 15h45 | 17h40 Ven : 11h00 |
13h45 | 17h40
SACREES MOMIES Sam, Dim, Lun, Mar : 11h00 |
13h45 | 15h45 | 17h40 Ven : 11h00 | 15h45 | 17h40
TIRAILLEURS Tous les jours : 21h40
TITANIC - 3D Ven, Lun, Mar : 20h00 Sam, Dim : 16h00
| 20h00
TITINA Dim : 10h50 Ven : 10h50 | 13h35 Sam : 14h00
Lun, Mar : 10h50 | 13h30
à l’imaginaire de ceux qui vous écoutent ?
C’est le cœur du problème… J’écris pour faire voyager les gens. Mais l’imaginaire ne fonctionne que si les gens acceptent de s’en emparer, de faire le voyage avec moi. Je crée des moments poétiques, des moments suspendus, qui échappent au temps. Et si on me rejoint, c’est là que la cérémonie commence, comme disait Jim Morrison.
Que reste-t-il aux poètes, aujourd’hui, en 2023 ?
Les poètes restent et resteront à leur place habituelle, celle de l’invisibilité. Notre culture se croit rationnelle et laisse malheureusement peu d’espace à la poésie. Pourtant, je pense à ça : en ce moment, au Soudan, il y a une tentative de révolution pacifique contre le pouvoir militaire féroce qui y sévit. Les activistes utilisent la poésie comme moyen d’expression. Ils écrivent des poèmes que d’autres personnes apprennent par cœur et récitent, d’une voix forte, sur les places publiques. Si ça, ça se passait chez nous, on vibrerait autrement. Mais aujourd’hui, c’est tout pour le matérialisme. Et il y a peu de lumière dans le matérialisme.
Que va donner « La Vie » sur scène ? J’aimerais bien le savoir, moi aussi ! Pour l’instant,
VAINCRE OU MOURIR Ven : 15h40
ZODI ET TEHU FRERES DU DESERT Tous les jours : 10h50 | 13h40 | 15h50 | 18h00
LA COMÈTE
5 Rue des Fripiers - Châlons
Du vendredi 10 au jeudi 16 février 2023
BABYLON VOST Ven 10 : 18h Sam 11 : 20h15 Lun 13 : 16h45 Jeu 16 : 20h15
NOS SOLEILS VOST Sam 11 : 18h Lun 13 : 20h15 Jeu 16 : 18h
NOSTALGIA VOST Dim 12 : 18h Lun 13 : 14h30
LES SURVIVANTS Dim 12 : 20h15
ASHKAL, L’ENQUÊTE DE TUNIS VOST Mer 15 : 18h
LA FAMILLE ASADA VOST Mer 15 : 20h15
EN FAMILLE
POMPON OURS - DÈS 3 ANS Sam 11 : 16h
INTERDIT AUX CHIENS ET AUX ITALIENSDÈS 10 ANS Dim 12 : 16h Jeu 16 : 15h30
FESTIVAL TÉLÉRAMA ENFANTS
Tarif à 4€ avec le pass Télérama
TITINA - DÈS 8 ANS Mer 15 : 16h
PIRO PIRO - DÈS 3 ANS Jeu 16 : 17h
NOS RENDEZ-VOUS
NUIT DU CINÉMA : 2E ÉDITION !
1 nuit, 4 films d’horreur, animations et snacks entre les séances, petit déjeuner offert au matin ! Tarifs : 14€ la nuit (les 4 films) ou 5€ la séance.
GET OUT - INTERDIT AUX MOINS DE 12 ANS
VOST Ven 10 : 22h
MIDSOMMAR - INTERDIT AUX MOINS DE
12 ANS VOST Sam 11 : 0h15
SANS UN BRUIT - INTERDIT AUX MOINS DE
12 ANS VOST Sam 11 : 3h15
SAW - INTERDIT AUX MOINS DE 16 ANS
VOST Sam 11 : 5h15
Comme à son habitude, Arthur H chante toujours des mots profonds. © Yann Orhan
j’imagine… une tentative de magie. Je viens jouer avec des amis, et ensemble, nous allons créer un moment fragile, particulier, un moment de transe. La musique nourrit le cœur et le corps. Quelle meilleure opportunité qu’un concert pour déguster cette bonne cuisine ?
Propos recueillis par Agathe Cèbe
4 Arthur H (+ Arthur Ely en première partie), vendredi 17 février à 20 h à la Cartonnerie de Reims. Tarifs : 23 à 32€. Infos : cartonnerie.fr
T HÉÂTREETCIRQUE - S ALLE R IVEGAUCHE
Objet artistique non identifié en construction
Le public de Furies est un habitué des sorties de résidences artistiques. Mais celle qu'il partagera avec Aude Martos et Nanda Suc, de la compagnie SPPI - Société protectrice de petites idées - sort clairement des sentiers battus. Dans l'esprit burlesque du spectacle Heavy Motors (souvenezvous, l'ouverture du festival Furies en 2021, place du Marché), le duo travaille sur une création encore plus décalée, baptisée « Violent », et expérimente une pléiade d'approches, sans rien s'imposer ni rien s'interdire. Au cœur de ce terrain de jeu, que les artistes aiment comparer à un « parc d’attractions à haut potentiel d’accidents domestiques », cohabitent pas moins de quinze disciplines. Certaines plus classiques que d'autres, comme le théâtre, la danse, le cirque, le chant, la poésie ou l'orgue. Et d'autres plus improbables, qui réveilleront à coup sûr notre âme d'enfant : patin à roulettes, katana, majorette, carabine, toboggan, suspension buccale, etc. Ah, et il devrait aussi y avoir un rodéo mécanique, version canine. Touche-à-tout par nature, Nanda et Aude multiplient depuis une dizaine d'années les projets au sein de différents collectifs, parfois déjà accueillis à Châlons. On citera Galapiat Cirque ou encore 100 Issues, notamment. Comme souvent, les retours des spectateurs qui découvriront les prémices de cette nouvelle aventure nourriront leur démarche et les aideront à peaufiner leur création. Grande première espérée en mai de cette année.
Sonia Legendre4 Violent, par la compagnie SPPI (sortie de résidence artistique), jeudi 16 février à 19 h, salle Rive gauche (15, rue de Fagnières, Châlons) – Accès libre – Infos : furies.fr.
L’horoscope Météo
BÉLIER du 21.03 au 20.04
Les nouveautés se bousculeront dans votre vie, ce qui exigera aussi de nombreuses adaptations. Attention, vos nouveaux projets n’aboutiront que si vous tirez une leçon de vos expériences passées.
TAUREAU du 21.04 au 20.05
Aujourd’hui, ne vous laissez surtout pas griser par le succès et veillez à bien garder la tête sur les épaules. Côté cœur, que vous soyez seul(e) ou à deux, vous vous sentez "posé(e)".
GÉMEAUX du 21.05 au 21.06
Les nouvelles alliances contractées vous aideront à évoluer dans le bon sens et vous feront gagner du temps. Les astres seront avec vous et vous serez en situation de pleine visibilité.
CANCER du 22.06 au 22.07
Sur le plan relationnel, jouez à fond la carte de la sincérité et de la transparence. Vous voudrez tout voir, tout faire et pourrez profiter intensément de la vie, sans vous mettre en danger inutilement.
LION du 23.07 au 22.08
Cela fait déjà un certain moment que vous vivez à toute allure et ce n’est pas encore près de s’arrêter. Cela vous amènera à des dépenses imprévues au risque de vous chahuter un peu.
VIERGE du 23.08 au 22.09
Il faudra vous attendre à une augmentation des dépenses en matière de vie privée ou familiale. Assurez-vous d’avoir des rentrées financières à la hausse pour couvrir vos besoins.
BALANCE du 23.09 au 22.10
Même si vos actions suscitent des commentaires, suivez vos idées tout en vous adaptant à un environnement parfois hostile. Coté affectif, vous aurez besoin d'air frais et d'isolement.
SCORPION du 23.10 au 22.11
C’est le moment de ne plus vous mentir et de prendre conscience de ce que vous vivez. Cela fait longtemps que vous faites tout passer avant vous, et c’est justement cette tendance qu’il va falloir inverser durablement.
SAGITTAIRE du 23.11 au 22.12
C’est une période bien sérieuse. Sous l’influence des astres, vous devrez faire les choix qui s’imposent, qui durent, qui comptent. Complicité, intimité, la vie affective s’épanouira.
CAPRICORNE du 23.12 au 20.01
Vous serez en verve, vos mérites seront reconnus, mais vous verrez déjà plus loin : vers de nouveaux horizons. Le développement de vos réseaux, relationnels et sociaux, sera également l’un de vos fers de lance.
VERSEAU du 21.01 au 19.02
En raison de nombreux changements dans votre vie personnelle, les dépenses d’ordre courant auront tendance à augmenter. C’est pourquoi vous aurez intérêt à faire la chasse aux gaspillages.
POISSONS du 20.02 au 20.03
Vous entrez dans une période de renouvellement, aussi corrigez vos erreurs de manière à ne pas les reproduire. Et quelles que soient les raisons invoquées, n’éludez pas les vraies questions.
Benoît Melvhille
Qualité de l’air
La CLCV vous informe
Surface habitable, utile ou corrigée
La surface habitable d’un logement est la surface de plancher, après déduction des surfaces occupées par les murs, cloisons, marches et cages d’escalier, gaines, embrasures de portes et de fenêtres.
La surface utile est égale à la surface habitable augmentée de la moitié de la surface des annexes privatives (caves, sous-sols, remises, ateliers, combles et greniers aménageables, balcons, vérandas, à l’exception des garages, jardins et cours).
La surface corrigée est calculée à partir de la surface habitable augmentée de correctifs correspondant à des éléments d’équipements, tels que la nature des pièces, leur ensoleillement, la présence d’un ascenseur, d’une baignoire (4 m²), etc
Dans le secteur HLM, le mode de calcul de la surface dépend de la date de construction du logement. Pour les programmes de logements financés avant le 1er juillet 1996, il s'agit de la surface corrigée. Après cette date, c'est la surface utile qui sert de référence au calcul du loyer.
CLCV de la Marne – Reims - Contact : 03 26 05 03 88 ou clcv-marne.over-blog.com