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Le meilleur ou le pire
Il fallait bien qu'elle s'arrête un jour. La formidable série de dix-neuf matches sans défaite du Stade de Reims s'est interrompue dimanche dernier, face à une équipe de Marseille qui devrait terminer à coup sûr sur le podium de la Ligue 1.
Marshall Munetsi n'était pas loin d'égaliser face à Marseille. © l'Hebdo du Vendredi
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« Peut-être que je deviens un vrai entraîneur après avoir perdu, a lâché Will Still après la rencontre perdue 2-1, dans un mélange d'amertume et de fierté. La réalité du foot nous a frappé en pleine face. On a réussi à mettre en difficulté une très belle équipe de Marseille. Je ne peux qu’être fier parce que peu d’équipes vont jouer 19 matches sans perdre et vont mettre en difficulté cette équipe de Marseille. »
Dimanche dernier, devant 20 479 spectateurs, dont une large partie vibrait étonnamment pour les visiteurs, le Stade de Reims a livré une copie de qualité. Pris à deux reprises par un grand joueur, Alexis Sanchez, passé notamment par le Barça et Arsenal, les Champenois étaient pourtant proches de décrocher le match nul et de poursuivre leur série. Marshall Munetsi et Folarin Balogun ressasseront sans doute durant toute la trêve internationale les poteaux qu'ils ont touchés...
Désormais, quelle fin de saison pour le Stade de Reims, 9e, à sept points de la première place européenne ? « On ne s’est jamais focalisé sur l’Europe. On a envie de se pousser jusqu’au bout, de gagner le plus de matches possible », a sobrement répondu Will Still. Premier élément de réponse le 2 avril, lors du déplacement à Nantes.
D1F : les Rémoises doivent relancer la machine
Au repos le week-end passé en raison de la Coupe de France, dont la finale opposera Lyon au Paris SG, le 13 mai, les Rémoises reprennent le chemin du championnat. À la recherche d’une victoire en Division 1 depuis le 10 décembre, les Champenoises (7es) tenteront d’en décrocher une ce samedi 25 mars, lors de la réception de la lanterne rouge, Soyaux (12e), à 13 h 45, au stade Louis-Blériot.
Face à Saint‐Quentin, Marquis Jackson a marqué 20 points, dont le tir victorieux à la dernière seconde.
© l'Hebdo du Vendredi
Un tir magique au buzzer de Marquis Jackson a plongé les joueurs du Champagne Basket dans le plus grand des bonheurs et leurs hôtes axonais dans la stupeur. Invaincu à domicile et leader de la Pro B, Saint-Quentin est donc tombé à domicile, samedi 18 mars, au bout d'un match à suspense conclu par une action de génie du petit arrière américain (86-83). Un résultat presque improbable qui survient après une défaite tout aussi surprenante, concédée une semaine plus tôt, à domicile, lors de la réception de la lanterne rouge, Aix-Maurienne (72-76). Cette dernière n'a d'ailleurs pas réussi à surfer sur son exploit dans la Marne. Elle a été étrillée dans la foulée, chez elle, par La Rochelle (61-95).
Un résultat qui a de quoi laisser de grands regrets aux hommes de Thomas Andrieux. Néanmoins, grâce à leur victoire à Saint-Quentin, ils restent, à 10 journées de la fin de la saison régulière, dans la course aux premières places (5es). Et ce week-end, ils ont encore l'opportunité de marquer un peu plus leur territoire. Grismay Paumier et ses coéquipiers ont en effet rendez-vous ce samedi 25 mars sur le parquet de Chalon-sur-Saône, actuel 2e du classement. Restant sur un succès à Antibes (70-56), la redoutable formation bourguignonne représente un nouvel obstacle de taille pour des Champenois qui ne semblent visiblement pas avoir renoncé à leurs ambitions.
Basket-ball (LF2) : coup d'arrêt et coup dur pour les Pétillantes
Après trois succès de rang, le Champagne Basket féminin (6e) a perdu, samedi dernier, sur le parquet d'une autre équipe en forme, Aulnoye (63-51). Une défaite d'autant plus difficile à accepter qu'elle est marquée du sceau des blessures de Mathilde Domenger et Jill Townsend. Victime d'une rupture du tendon d'Achille, la première est out pour le reste de la saison, tandis que la seconde, touchée à la cheville, est incertaine pour la prochaine rencontre programmée ce vendredi 24 mars, exceptionnellement organisée à Châlons, (coup d'envoi à 20 h) à l'occasion de la venue de Monaco (9e)
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