Ezio Manzini est un designer italien, professeur à l’école politechnique de Milan, il dirige l’unité de recherche de design et d’innovation pour le développement durable. Ezio manzini travaille en étroite collaboration avec le designer enseignant françois Jégou pour l’élaboration de l’article étudié.
Le scénario du quotidien durable est présenté avec des habitats qui «s étalent» dans la ville mais aussi la décentralisation même de la ville et de ses fonctions au niveau local . L’accés aux services est préférée à la possesion d’objets. Les habitants, les sujets hypermodernes peuvent ainsi voyager et adopter des modes de vie fluides et durables . Quels sont les points essentiels pour mettre en place une forme de vie fluide et durable ? Ses besoins ? Quelles sont le perspectives ? Les Formes de vie fluides Un des cractères émergeants de la société contemporaine est la dissolution des liens rigides entre les fonctions quotidiennes et leurs contextes, presque tout peut être fait presque partout et de façons très différentes. Aussi, la société dans son ensemble semble perdre en solidité , les formes de vie sont fluides et les projets flexibles. Un monde fluide est un monde par définition qui promet de générer des expériences. La fluidité du monde apparait comme un potentiel multiplicateur d’expériences et donc une valeur à rechrecher . Attention, le mode de vie fluide ne peut être durable si les sujets hypermodernes essaient de vivre la fluidité comme opportunité d’accés à l’hyper consommation d’expériences.
Ce comportement de grands consommateurs nécéssite une grande quantité de produits et infrastructures ainsi le sujet paie la fluidité de sa vie par une croissante consommation environnementale. Le probléme se pose quand les limites apparaissent. Il faut savoir passer d’une consomation hyper elevée à une consommation hyper réduite. Pour conserver ce mode de vie durable il existe trois tendances: Le passage de la possesion à l’accés: on favorise la fluidité à la possesion d’objets. La redécouvrte des biens commun: on cherche le bien être libre tel que l’air et «les ser vices» communs en cohérence ave la recherche de la fluidité. Une écologie des temps : On prend en compte la valeur de la lenteur , la fluidité s’asso cie à des flux rapides et lents pour attendre à une qualité particulière de service.
Les besoins de l’individu hypermoderne : VOYAGER LÉGER :
SE DÉPLACER:
l’agence de la mobilité gère un système articulé de transports basé sur l’utilisation de moyens de transports différents . On y privilégie des formes de transport légères et des services collectifs . L’emploie de la voiture est évité . PRODUIRE ET UTILISER L’ÉNÉRGIE :
le laboratoire de l’énérgie permet une optimisation du système énérgétique. On cherche l’épargne d’énergie , une éventuelle auto-production ainsi que l’usage des sources renouvelables disponnibles localment . On gère les insatllations sur les bâtiments en éxterieurs un ingénieur de quartier donne des conseils technique et favorise le contacte avec les agences spécialisées . Voyager léger est une indiaction cohérente avec la tendance en cours , cependant aujourd’hui les services sont ajoutés à la multitude de produits. Il faudra un changement culturel. Plusieurs concepts ont été retennus lors de workshop internationnaux : quatre perspectives sont prommeteuses Libérer l’espace domestiqe : la maison étendue qui s étalle dans la ville. Se libérer de la mobilité imposée : les activités localisées doivent se décentraliser. Promouvoir les biens communs environnementaux. Un système écosensible. Promouvoir les biens commus sociaux : le voisinnage électif. Qualité sociale. Le sénario propose des formes de vie d’une société fluide qui leur conférent des propriétés plus amples et plus variées que celles traditionnement associées à un lieu c’est une rélité augmentée . Toute échelle peut ainsi influencer le global et activer une nouvelle forme de communauté et d’identité à une ville.
Ce dont les sujets fluides ont le plus besoin réside dans les caractéristiques des lieux dans lesquels ils s’arrêtent et non ce qu’ils ont dans leur baggage. L’individu peut voyager léger grace à la dotation des lieux d’arrêts, qualité et quantité . FAIRE À MANGER :
L’atelier alimentaire serait un veritable lieu propice à la culture alimentaire et la création de liens.On y traite des sujets liés à la production du terroire, la production biologique, l’équité des systèmes de distribution.
Au-delà de l’hyperconsommation Ezio Manzini 2006
Scénarios pour des formes de vie fluides et durables