4+34 459400 400 1,2% %374 -358 +34%400 +34 1,2 % -6,6400 % 374 kg +8,4 -6,6 kg+34 400 641 000 000 2011 627 000 2011 19,6 % 5,5 %2 814 9 19,6 % 74 400 5,5+8,4 %2 % 814 900% 74 400 +34 400 -6,6 374 kg 374 kg +34 400 1,2 %900 4595,5 400 +34 400 1,2 % 4 459 789 400 +34 400 les 74 400 2 814 19,6 % 5,5 % 19,6 % 44400 2 814 900 % 427 000 641 000 000 627 00 2011 323 850 000 627 2 125 4 459 +34 400 789 1,2%% 4+34 459400 400 1,2kg %+34 +34 400 -6,6400 % -6,6 374 kg +8, 400 -6,6 % 374 +8,4 % +8,4% 000 000 50 000 627 000 2 125 641 2011 627 000 257 2010 74 400 90 2 814 19,6 % 5,5 % 74 400 2 814 900 9,6 % 5,5 % 641 000 000 kg +8,4 %%-6,6 %374 kg +34 400 +8,4 % -6,6 +34 400 19,6 %459 mis à nu 1,2 4 400 +34 400 -358 1,2 % 4374 459 400 +34 400 1,2 1982 89,5 90019,6 400 5,5000 %2 814 % % 641 000 5,5 %000201162719,6 000 627 000 2011 641 000 1,2 % 400 4 459 4+34 459 400 +34%400 1,2%% -358 +34 400 +34 400 -6,6 374 kg -6,6 % 374 kg +8,4 400 de 641 croissance cumulée sur 20 2011 000 000 627 000 2011 000 000 627 000 814 9 19,6 %74 400 5,5+8,4 %2 % 74 400 2% 814 900% 19,6 % 5,5 %ans: %+8,4 le coût des inégalités 374 kg +34 400 -6,6 +34 400 789 459 4005,5 +34 400 1,2 % 459 400+34 400 1,2 % 4000 44400 19,6 % 74 400 2 814 900 641 000 croissantes dans les% pays riches 323400 850 000 627 000 24125 627400 000 641 000 000 2011 1,2 % +34 1,2 % 4 459 459 400 +34 400 789 400+8,4 % -6,6 -6,6 % 374 kg+34 +34 400+8, %374 kg 2 125 50 000 627 000 2011 627 000 257 74 400 814 900% 9,6 % 5,5+8,4 %2 % 74 400 90 814 19,6 % 5,5+8,4 %2 % 374 kg -6,6 374 kg +34 400 +34 400 -6,6 4400 459 400 +34 400 1,2 % 4% 459 400 +34%400 1,2 900 % -358 5,5 % 2 814 900 19,6 74 400 5,5 2 814 19,6 % 641 000 000 627 000 2011 641 000 000 2011 627 000 1,2 % +34%400 1,2% %374 -358 +34 400 400 4+34 459400 +34 400 -6,6 % 374 kg +8,4 -6,6 kg 000 000 627 000 2011 641 000 0002011 627 0000,1 74 400 2 814 900 19,6 % 5,5 % 814 9 19,6 % 74 400 5,5 %2 % +34 400 374 kg +8,4 % +34 400 -6,6 % 374 kg +8,4 +34 400 4595,5 400 1,219,6 % 4 459 789 400 +34 400 1,2 %900 44400 2 814 900 74 400 2 814 % % % 5,5 % 19,6 323 850 000 2 125 627 000 2011 00 641 000 000 627 +34 400 1,2 %kg 4 459 400 +34 400 7894kg 1,2 %%374 459 400 -6,6 -6,6 % 374 +34 400 +8,4 % +34 400+ 3 19,6 850 000 627 000 2 125 641 000 000 2011 627 000 257 74 400 19,6 % 5,5+8,4 %2 % % 74 400 5,5+8,4 %219,6 814 900% 814 +34 400 -6 374 kg % % -6,6 374 kg +34 400 1,2 % 4 459 400 +34 400 1,2 % 4 459 400 +34 400 -358 74 400 90019,6 5,5000 %2 814 % 641 000 5,5 %000201162719,6 00 641 000 627 000 2011 +34 400 4 459 40 1,2 % 4 459 400 +34 400 1,2 % -358 400 +34 +34 400 -6,6 % 374 kg -6,6 % 374 kg +8,4 % 1 000 000 627 000 2011 641 000 0002011 627 000%2 814 74 400 74 400 2 814 900 19,6 % 5,5 19,6 % 5,5 % +8,4 % +34 400 374 kg +8,4 %%-6,6 +34 400 %400+34 4 459 400 4 459 400 +34 400 1,2 % 1,2 789 19,6 641 000 000 5,5 % 74 400 74 400 2 814 900 2011 62740 00 323400 850 000 627 000 24125 641 000 000 4 459 1,2 % +34 1,2 % 459 400 +34 400 789 +34 400 + -6,6 % 374 kg -6,6 % 374 kg +8,4 % +34 400 3 19,6 850 000 627%000 2 125 2011 6275,5 000 257 19,6 % % 74 400 74 400 2 814 900 2% 814 % 5,5 -6 374 kg +8,4 % -6,6 % 374 kg +34 400 +8,4 +34 400 1,2 % 4 459 400 +34 400 -358 1,2 % 4 459 400 +34 400 19,6 90019,6 74 400 5,5000 %2 814 %74641 4005,5 %000 2 814 900 000 627 00 2011 2011 627 000 641 000 40 +34 400 1,2 % 1,2 % -358 4 459 +34 400 +34 400 -6,6 % 374 kg -6,6 % 374 kg +34 400 +8,4 % 2011 627 0000,1 641 000 0002011 1 000 000 627 000 19,6 % 74 400 5,5 %2 814 19,6 % 74 400 5,5 % 2 814 900 374 kg +8,4 % -6,6 % 374 kg +8,4 % +34 400 +34 400 4 459 400 +34 400 1,2 % 4 459 400 +34 400 1,2 % 789 19,6 74 400 5,5850 %2000 814 900 814 90019,6 %74 400 5,5 %2000 2011 0 641 000 627 323 2 125 627 000 +34 4001,2 % 4 459 400+34 4001,2 % 7894 459 400
+5,5% chiffres 4 459 400 4 459 400
3 580 -358
1,2 %
2 814 900
+34 400
74 400
N°20 - juin 2015
4,7
L’OCDE estime que les systèmes fiscaux ne sont plus assez redistributifs et solidaires ; que, outre leur nombre, la qualité des emplois s’est détériorée de manière préoccupante ; que, en dépit d’améliorations, les inégalités entre femmes et hommes sont un frein à l’économie ; que le « rendement » que les enfants des parents moins diplômés retirent du système éducatif est insuffisant.
Certes, l’OCDE est un groupement de pays plus vaste que l’Union européenne. Elle intègre des pays où les inégalités sont plus criantes. Cependant, même si on faisait abstraction de ceux-ci, il est plus que vraisemblable que le coût des inégalités pour la seule Europe, sans atteindre ce pourcentage effrayant de 4,7 %, demeurerait significatif. 10% les plus pauvres
40% les plus pauvres dont classe moyenne
A titre de comparaison, le projet de traité transatlantique promu par la Commission, les chefs d’Etat et de gouvernement et une majorité de partis politiques amènerait – dans le scénario le plus optimiste – un gain de croissance de l’ordre de 0,5 % au terme d’une décennie. La mise en rapport de ces chiffres permet de comprendre que la majorité politique fait fausse route en essayant de grappiller de la croissance en jouant la carte d’un grand marché transatlantique. En effet, sans même parler des conséquences positives en termes de vigueur démocratique renouvelée, de confiance envers les institutions, d’estime de soi, de relations à autrui, etc. qui ne sont pas monétisables, se focaliser sur la réduction des inégalités serait beaucoup plus rentable sur le plan économique qu’un accord avec les Etats-Unis. D’autant que ces gains économiques retomberaient sur l’ensemble de la population et pas sur quelques multinationales qui exercent une influence insupportablement forte et croissante sur notre quotidien.
5,5 %
1,2 %
Espérons que la Commission Juncker qui ne s’est pas encore préoccupée des inégalités jusqu’à présent retrouve la raison et les mettent au cœur de la politique sociale qu’elle entend mener jusqu’en 2019…
50-90% les plus pauvres dont partie de classe moyenne
10% les plus riches
1.50 1.40 1.30 1.20 1.10 1.00
1985
1990
1995
2000
Une initiative de Philippe Lamberts, eurodéputé Ecolo - www.philippelamberts.eu
2005
2010
Référence : www.oecd.org/social/in-it-together-whyless-inequality-benefits-all-9789264235120-en.htm
Dans sa dernière importante étude sur les inégalités, l’OCDE estime que les inégalités qui se sont creusées entre 1985 et 2005 dans les 33 pays les plus riches de la Planète ont amputé leur croissance cumulée. L’organisation internationale considère que ce « manque à gagner » est imputable au décrochage des 40 % les moins nantis de la population. Ainsi, elle reconnaît qu’il ne faut pas s’occuper uniquement du sort des plus pauvres au sein de nos sociétés mais qu’il faut prendre en compte une frange plus large de la population et inclure une large proportion de ce que l’on appelle communément la « classe moyenne ».
5,5 %