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TEOR, LISOR DU NEUF DANS LE TRANSPORT MENSUEL DE L’AGGLOMÉRATION ROUEN NORMANDIE NUMÉRO 00 / MAI 2002

DARNÉTAL

L’école d’architecture MONT-SAINT-AIGNAN

La Maison de l’Université

L’agglomération Mahler rouennaise illumine fait un malheur son patrimoine son patrimoine Accuellir les entreprises naturel et industriel ZÉNITH

ÉCONOMIE


Quel nom pour le 6e pont ? URBANISME.

le chiffre qui parle

86% DES FRANÇAIS

PLÉBISCITENT L’INTERCOMMUNALITÉ “C’est la fin de l’esprit de clocher” titrait récemment le quotidien Libération (22/1/02) à propos du sondage commandé par la DATAR (Délégation à l’aménagement du territoire et à l’action régionale) concernant de l’opinion des Français sur la coopération intercommunale. Et pour cause, plus de 2 Français sur 3 estiment que les communes ont intérêt à se regrouper car il est plus efficace de traiter en commun certains problèmes. 79% attendent une amélioration des transports en commun et des services publics, 72% un dynamisme culturel plus important, 70% un véritable développement économique. Seuls 12% des Français redoutent une perte d’autonomie de leur commune.

Voici quelques mois, la Communauté de l’agglomération rouennaise lançait un appel à propositions concernant le nom que pourrait adopter le 6e pont. Les habitants n’ont pas manqué d’imagination.

L’INVENTAIRE DU SPORT EN 176 PAGES Envie de pratiquer la musculation ou la natation synchronisée, d’endosser les habits de cavaliers ou ceux d’escrimeur, de tenir une raquette de ping-pong ou de squash, de maîtriser l’art subtile du nihon tai jitsu ou du kyudo ou de devenir un adepte du free style ou du bicross ? Et pourquoi pas tout simplement améliorer la silhouette de votre corps par un peu de gymnastique ou de stretching ? Tous ces sports et quelques centaines d’autres sont présents dans le premier Guide des sports de l’agglomération rouennaise. Réalisé par la Communauté d’Agglomération, celui-ci est consultable dans chacune mairies du territoire intercommunal et vous renseignera utilement sur tous les clubs et associations sportives qui vous intéressent.

EXEMPLE À SUIVRE. La Communauté favorise

aggloMag mai 2002

l’insertion des personnes en difficulté

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Signataire, en janvier dernier, de la charte visant à mettre en œuvre une politique d’insertion à l’occasion des marchés publics, la Communauté d’Agglomération permet à des personnes en situation de précarité de retrouver le chemin de l’emploi. Le principe est simple. Lors du choix des entreprises candidates à la réalisation d’un chantier d’agglomération suite à un appel d’offres, la Communauté choisit en priorité les entreprises qui s’engagent à promouvoir l’embauche de personnes touchées par le chômage de

longue durée ou traversant une situation sociale délicate. Ce partenariat exemplaire avec les entreprises de bâtiments et de travaux publics permet ainsi chaque année à plusieurs centaines de personnes de retrouver une vie normale.

Une légende de la photo en quelques lignes

Si l’inauguration du pont n’est pas prévu avant 2005, les habitants n’ont pas perdu une minute pour apporter leurs contributions au nom que celui-ci pourrait adopter. Plus de 250 réponses sont parvenues à la Communauté d’Agglomération. Sans vouloir opérer de classement tant les propositions sont diversifiées, imaginatives et originales, on retiendra ici* quelques-uns des noms les plus fréquemment cités. L’auteur de Madame Bovary, natif de Rouen, Gustave Flaubert

recueille naturellement de nombreux suffrages, tout comme Victor Hugo dont la présence à Villequier justifierait le choix. Le Duc de Normandie, ex chef de guerre norvégien Rollon, ne manque évidemment pas de partisans. Il en va de même pour l’aventurier intrépide du Mississipi que fut le Rouennais Cavelier de la Salle. L’anti-conformiste et inventeur de l’art moderne Marcel Duchamp ne pouvait naturellement pas manquer à l’appel. Quant aux frères Verrazano, qui partirent de Rouen pour

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découvrir New-York, ils ont aussi leur ardents défenseurs. Sur le plan sportif, Jacques Anquetil et David Douillet tiennent le haut du pavé. Dans la sphère politique Jean Lecanuet et François Mitterrand demeurent présents dans de nombreux esprits. Reste les symboles martimes et fluviaux ou synonyme d’union. Le pont des Bateliers ou le pont de l’Armada suscitent ainsi de nombreuses recommandations tout comme le Pont de L’Europe. A moins que le Pont Pidou ne parvienne à faire l’unanimité, le choix final par les collectivités qui financent l’ouvrage sera nécessairement compliqué. * Retrouvez la totalité des propositions et leur argumentaire sur le site de la Communauté : www.agglo-rouennaise.fr


le mot du président

Maison de l’Université rue Lavoisier 76130 Mont-SaintAignan Ligne T1 arrêt Lavoisier

À DECOUVRIR. La

Maison de l’Université donne des ailes à la vie étudiante

Longtemps critiquée par son manque d’animations et d’ouverture sur l’extérieur, l’Université de Rouen peut aujourd’hui respirer. La Maison de l’Université, ouverte en mars dernier, est l’équipement idéal pour donnder du souffle et de l’énergie au campus rouennais. Véritable vitrine de la vie étudiante,

lieu de rencontre et d’échange, ouverte aux artistes comme aux chercheurs, aux associations comme aux habitants, elle dispose notamment d’un espace forum, d’une salle de spectacle de 300 places, d’une salle de conférence de 200 places, de 8 salles informatiques, de 13 salles réser-

vées aux associations étudiantes et de très nombreux services. La Maison de l’Université a nécessité un budget de près de 10 millions d’euros. Elle est reliée directement au centre-ville rouennais par la ligne T1 de TEOR.

ÉCONOMIE. 34 communes unies

pour attirer les entreprises L’intercommunalité a franchi une nouvelle étape. A l’occasion du Conseil réuni le 25 mars, les 34 communes de l’Agglomération rouennaise ont approuvé le lancement d’études sans précédent concernant le développement ou la création de zones d’activités économiques d’intérêt communautaire. Plus de 200 hectares répartis sur 17 communes sont concernés. « Notre objectif, déclare le Président la Communauté François Zimeray, est de renforcer l’attractivité de notre agglomération qui manque cruellement de surfaces à offrir aux entreprises. » Diversification de l’offre, rééquilibrage géographique, respect de l’environnement animeront ce développement économique qui dis-

Madame, Monsieur Parce que l’agglomération rouennaise se transforme, évolue et se rapproche de ses concitoyens, le magazine de la Communauté adopte une nouvelle mise en page, un nouveau contenu et un nouveau rythme de parution. Désormais mensuel, il vous informera plus régulièrement sur l’avenir et les grands projets de notre agglomération. Plus clair, plus pédagogique, il vous permettra de mieux appréhender les véritables enjeux de l’intercommunalité. Plus vivant enfin, ce nouveau magazine vous fera découvrir les richesses des 34 communes qui composent son territoire. Environnement, transport, développement économique, culture, sport, urbanisme : tout ces domaines si déterminants pour la qualité de vie de chacun seront naturellement abordés. Mais ce magazine est également le vôtre. Nous vous invitons à nous communiquer toutes les informations susceptibles de l’enrichir et de le rendre toujours plus attractif. Je vous souhaite une excellente lecture.

Une légende de la photo en quelques lignes

tingue deux types de sites. D’une part les grands sites de développement : les quartiers Seine-Ouest, la Plaine de la Ronce/Coplanord, la Briqueterie de Oissel, la Vallée des 12 rivières (Aubette-Robec), le Val d’Eauplet/ Lescure, et enfin le Linoleum (Notre-Dame de Bondeville). D’autre part les sites de reconversion : le parc Biosciences à MontSaint-Aignan, la Caserne

Tallendier à Petit-Quevilly. Les études engagées ont pour but de définir les périmètres pertinents à l’intérieur de chaque zone et de définir le type d’activités (généraliste ou spécialisé) susceptibles de répondre au mieux aux besoins des entreprises.

François Zimeray Président de la Communauté de l’Agglomération Rouennaise

aggloMag Magazine de la Communauté de l’Agglomération Rouennaise 14, bis avenue Pasteur - Norwich House BP 589 - 76006 Rouen Cedex Tel : 02 32 76 44 30 / Fax : 02 35 71 25 95 E-mail : com@agglo-rouennaise.fr Directeur de la publication : Claude Avisse / Rédactrice en chef : Anne Questel / Rédaction : Vincent Lalire, Helene Di Nocera, Stephanie Gerbi, Olivier Ratieuville / Conception graphique : l’Atelier de communication / Mise en page : Stephanie Marc / Impression : onsaitpasencore / Crédit photo : Bruno Maurey ; CAR / Tirage : 200.000 ex / Dépôt légal : septembre 2002 / ISNN 1269-3855 / Tous droits de reproduction réservés

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Une légende de la photo en quelques lignes

questions directes BERNARD JEANNE

MAIRE DE RONCHEROLLES-SUR-LE-VIVIER Pour quelles raisons votre commune a-t-elle décidé d’adhérer à la Communauté de l’Agglomération Rouennaise ? Aujourd’hui, il paraît évident que les communes ont intérêt à se regrouper pour offrir à leur population des services qu’elle ne peuvent pas accomplir seule. Pour les transports en commun comme pour la collecte des déchets ou encore l’assainissement, l’échelle de l’agglomération est la plus pertinente et la plus efficace. La commune ne perd pas en autonomie mais gagne au contraire en responsabilité. Elle participe au sein de la Communauté à des décisions majeures pour l’avenir des 34 communes. De plus la Communauté d’Agglomération apporte une véritable aide aux petites communes, par exemple pour la rénovation de certaines voiries ou le financement d’équipements publics. Pouvez-vous nous présenter votre commune en quelques mots ? Roncherolles-sur-le-Vivier se situe à une dizaine de kilomètres au nord-ouest de Rouen. La commune compte aujourd’hui un peu plus de 1.000 habitants et s’étend sur 533 hectares. Elle domine un petit ruisseau “le Vivier”, modeste affluent du Robec, qui se jette dans la Seine. Comme tous les villages, Roncherolle a son église dédiée à la Sainte Trinité qui abrite un panneau du début du XVIIe siècle représentant Saint-Etienne-de-Muret. Face à elle, se trouve un monument construit en 1989, qui représente des ronces qui se solidarisent pour brandir le bonnet phrygien, emblême de la République. A proximité du centre, le manoir de Bimare, reconstruit au XVIII°, abrite encore quelques cellules des moines de l’Abbaye de Saint-Ouen, anciens seigneurs de la paroisse. A l’est, un château, bâti à la même époque, a été pendant deux siècles la propriété des Le Painturier de Guillerville.

Le mémorial du franc poursuit son chemin

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FRANQUEVILLE SAINT-PIERRE.

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Si l’euro est aujourd’hui dans toutes les poches, le franc n’a pas encore quitté tous les esprits. Particulièrement à Franqueville-Saint-Pierre où pourrait s’ériger un mémorial célébrant l’ancienne monnaie en cours de 1360 à 2002. L’association à l’origine du projet a retenu Franqueville, qui signifie ville franche, c’est à dire exempte de certains impôts. Le projet prévoit l’édification d’un monument en

forme de cône, orné de trois ailes bleu, blanc rouge, au milieu duquel serait suspendu une pièce de 1 franc de 4 mètres de diamètre. Celle-ci serait éclairée la nuit par des lasers. Cette initiative purement privée fait l’objet d’une souscription nationale. Le budget est estimé à 2,3 millions... d’euros.

ROUEN & OISSEL.

Des gares plus sûres et plus accueillantes pour les voyageurs Inaugurée en 1928, inscrite à l’inventaire des monuments historiques en 1975, figurant au 18e rang des gares française les plus fréquentées (près de 42.000 voyageurs quotidien) la gare SNCF de Rouen va faire l’objet de travaux de modernisation conséquents par la SNCF. Objectif : rendre celleci plus accueillante et plus

fonctionnelle. Neuf millions d’euros seront ainsi consacrés à la création d’une nouvelle galerie est-ouest, à la mise en valeur de l’entrée par la rue Verte, à l’installation de nouvelles boutiques dans la salle d’échange, à la création de nouvelles zones d’attentes confortables et chauffées. Bref,plus qu’un lifting, une véritable cure de

CONTRAT D’AGGLOMERATION

Un contrat d’avenir pour le développement de la Métropole Dans un peu plus d’un an, la Communauté de l’Agglomération Rouennaise signera avec l’Etat et la Région HauteNormandie un contrat d’agglomération. Ce document fixera les projets d’intérêt communautaire les plus déterminants pour l’avenir de notre agglomération auxquels l’Etat et la Région sont susceptibles d’apporter leur concours financiers. Sous l’impulsion de François Zimeray, un comité de pilotage et des groupes de travail thématiques se sont constitués. Ils réunissent les représentants des communes ainsi que les principaux acteurs économiques, sociaux et culturels présents sur le territoire intercommunal. Ils ont pour mission de définir les priorités de notre agglomération en matière de développement économique et de cohésion sociale, d’aménagement et d’urbanisme, de transport et de logement.

jeunesse dont l’achèvement est prévu pour l’Armada 2003. Outre la gare de Rouen, la SNCF investira également dans des travaux de modernisation et de sécurisation de gare de Oissel : système de vidéo-surveillance, clôture...

LA COLLECTE DES SERINGUES USAGÉES En collaboration avec l’Ordre des pharmaciens, la Communauté de l’Agglomération Rouennaise organise une collecte spécifique des seringues usagées auprès des particuliers. En conformité avec le décret de 1997 relatif à l’élimination des déchets d’activités de soins à risques infectieux ou assimilés, tous les habitants sont invités à rapporter les seringues, aiguilles et lancettes auprès de leurs pharmaciens. Une boîte spécifique de couleur jaune est à leur disposition. Un geste simple et hygiénique qui participe à la santé publique.


la Le sud-ouest de l’agglomération à vol d’oiseau communauté Prouvant que le territoire de l’agglomération rouennaise ne se les déchetteries résume pas à ses quatre points cardinaux, la nouvelle ligne LISOR LISOR.

permet désormais de relier rapidement les communes situées au sud-ouest de l’Agglomération. Arrivés au terminus du métro Georges Braque à Grand-Quevilly, les habitants de Petit-Couronne, Grand-Couronne, Moulineaux ou la Bouille peuvent désormais poursuivre leur itinéraire l’esprit tranquille. Au rythme 67 rotations quotidiennes, contre 42 auparavant, LISOR réduit considérablement le temps d’attente des voyageurs. Le réaménagement de la voirie sur la quasi-totalité du parcours, la création d’un site propre exclusivement réservé aux véhicules LISOR sous la sud III, permet de gagner de précieuses minutes lors du parcours. Confort enfin : les stations bénéficient de quais réhaus-

Une légende de la photo en quelques lignes

QUELS SONT LES DECHETS ACCEPTES ? sés, de bancs et de bandes podotactiles pour les nonvoyants. «Cette nouvelle ligne sud-ouest rapide est le témoignage d’une agglomération solidaire et dynamique qui s’attache à améliorer la vie quotidienne des habitants des grandes et des petites communes.» déclarait François Zimeray, président de la Communauté de

l’Agglomération Rouennaise. Un investissement conséquent de 11 millions d’Euros, financés par la Communauté d’Agglomération avec le concours de L’Europe, l’Etat, la Région et le Département aura été nécessaire.

à Mont-Saint-Aignan en un temps record !

Une légende de la photo en quelques lignes

moins de 15 minutes. Une prouesse rendue possible par la création d’un site propre sur la quasi-totalité du parcours. Comme les lignes T2 et T3 (ayant déjà accueilli plus de 3,5 millions de voyageurs), la ligne T1 bénéficie de tous les avantages de TEOR : stations modernes et accueillantes, quais rehaussés, bornes

• les gravats inertes : les tuiles, la terre, les agglos • les encombrants : canapés, meubles, literie, l’électroménager et le plâtre • les déchets verts : tontes et tailles de jardin • la ferraille : tous les métaux • le bois : planches, poutres, palettes • les pneus • les textiles

• les déchets toxiques : batteries, piles, huiles de vidange, aérosols pleins, peinture, solvants, produits phytosanitaires, liquide de refroidissement, amiante, colle. • les cartons d’emballage • le verre • le plastique • les journaux-magazines

OU SE TROUVENT-ELLES ?

TRANSPORTS. La ligne T1 relie Rouen Attendue depuis une vingtaine d’années, la liaison rapide Mont-Saint-Aignan/ Rouen est devenue une réalité depuis le 29 mars 2002. La mise en service de la ligne T1 du réseau TEOR permet en effet aux habitants de la commune universitaire de rejoindre le centre-ville de Rouen (station Théâtre des Arts) en

Pour préserver l’environnement et faciliter le recyclage des déchets, la Communauté d’Agglomération met à la disposition des habitants des déchetteries. Lieu gardienné et clos, les déchetteries sont spécialement aménagées pour que les particuliers puissent déposer leurs déchets en toute sécurité. Le dépôt est gratuit Les déchetteries sont ouvertes au particulier résidant dans l’une des 34 communes de la Communauté, sur présentation d’un justificatif de domicile (quittance EDF...)

d’information, billetteries automatiques. En attendant l’achèvement total de la ligne (qui a terme reliera Mont-Saint-Aignan à Bihorel, en passant par le centreville de Rouen), la TCAR propose sur le tracé MontSaint-Aignan/CHU une fréquence de véhicules toutes les 6 minutes en heures de pointe et toutes 10 minutes en heures creuses. De quoi convaincre les nombreux étudiants du campus de Mont-Saint-Aignan à venir profiter des terrasses du centre-ville Rouennais dès que soleil pointe le bout de son nez.

DÉCHETTERIE DE GRAND-COURONNE Allée Côte Mutel Lundi 10h-12h et 14h-18h Mardi, mercredi et samedi 9h-12h et 14h-18h / Vendredi 9h-12h

DÉCHETTERIE DE DÉVILLE-LÈS-ROUEN Impasse Barbet Lundi 10h-12h et 14h-18h Mardi, mercredi et samedi 9h-12h et 14h-18h / Jeudi 9h-12h

DÉCHETTERIE DE DARNÉTAL Sente de la Ravine Lundi 10h-12h et 14h-18h Mercredi, jeudi et samedi 9h-12h et 14h-18h / Vendredi 14h-18h

DÉCHETTERIE DE BOIS-GUILLAUME 2001, rue Herbeuse Mardi 10h-12h et 14h-18h Mercredi, jeudi et samedi 9h-12h et 14h-18h / Vendredi 9h-12h

DÉCHETTERIE DE ROUEN Quai du Pré aux Loups Ouverte 7j/7 de 8h à 19h (fermeture : les 25 déc., 1er janvier, lundi de Pâques, 1er mai, 14 juillet, 15 août et 11 novembre.)

DÉCHETTERIE DE MAROMME Côte de la Valette Ouverte 7j/7 de 8h-18h

DÉCHETTERIE DE SAINT-ÉTIENNE-DU-ROUVRAY Rue de Seine Lundi 14h-18h Mercredi, jeudi et samedi 9h-12h et 14h-18h / Vendredi 14h-18h Attention, la déchetterie de SaintÉtienne-du-Rouvray sera fermée pour travaux au cours de l’année 2002. Actuellement, la déchetterie n’accepte pas les déchets toxiques.

LES DÉCHETTERIES SONT FERMÉES tous les jours fériés (sauf celle de Rouen)

TOUT SAVOIR SUR LA COLLECTE DES DÉCHETS :

N°VERT 0800 021 021 DE 8H30 À 17H00 DU LUNDI AU VENDREDI 5


L’agglomération rouennaise illumine son patrimoine naturel et industriel L’agglomération rouennaise est magnifique de jour, pourquoi ne le serait-elle pas davantage la nuit tombée ? C’est tout l’objectif du “plan lumière” que la Communauté de l’Agglomération Rouennaise s’apprête à lancer.

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onts, falaises, immeubles, grues, silos, usines... le patrimoine naturel et industriel de l’agglomération rouennaise est riche et contrasté. Expression du présent ou témoignage du passé, il donne à notre environnement son identité et sa véritable personnalité. Si la lumière naturelle donne chaque jour à celui-ci l’occasion de renaître et de se fondre dans la globalité du paysage, ce patrimoine exceptionnel disparaît avec la nuit. Celle-ci engloutit inéluctablement notre décor dans l’obscurité et la pénombre. Pourquoi ne pas saisir cette opportunité diurne pour mettre en relief quel ques-uns des sites les plus emblématiques de notre histoire naturelle ou industrielle ? C ’est à cette question que le “Plan lumière” de la Communauté de l’Aggloméra-

tion Rouennaise apporte son éclairage. Et de belle façon! Il n’est pas question en effet dans celui-ci de vouloir braquer des centaines de projecteurs sur l’ensemble des ponts, falaises, grues et autres immeubles qui compose notre territoire. Il s’agit au contraire de composer un tableau, sculpter une œuvre, opérer une mise en scène en sélectionnant quelques sites spécifiques et de proposer pour chacun d’eux une mise en lumière totalement adaptée à leur identité. Celle-ci devra mettre en évidence les caractéristiques (formes et volumes singuliers), les atouts, les contrastes ou les potentiels de chaque éléments du décor. Pour réaliser cette performance et lui donner une parfaite cohérence, à la fois géographique et artistique, la Communauté a fait appel à un architecte spécialisé dans cette mise en lu-

mière. A charge pour ce dernier de proposer un projet qui participe à l’identité de l’agglomération en sélectionnant les sites à illuminer et en définissant l’éclairage le mieux adapté. C’est tout naturellement la Seine qui servira de fil conducteur à ce plan lumière. Le fleuve longe en effet plus de 15 communes sur les 34 que comptent l’ag-

glomération rouennaise. Il donne à admirer tout au long de son parcours des éléments naturels ou industriels les plus caractéristiques de notre territoire. Au terme de l’étude préliminaire, la Communauté investira près de 250.000 euros par an sur 3 ans pour faire en sorte que nos nuits soient aussi belles que nos jours.

A la différence de l’éclairage public, à dominante jaune, ont l’utilité est fonctionnelle, la mise en lumi


C’est tout naturellement la Seine qui servira de fil conducteur à ce plan lumière.

Le fil “bleu” d’Ariane A la différence de l’éclairage public, à dominante jaune, dont l’utilité est fonctionnelle, la mise en lumière vise un objectif artistique et symbolique. Le choix des sites comme celui de la teinte dominante sont donc primordiaux. L’idée retenue par l’agglomération rouennaise est de créer un fil bleu pour mettre en relation le cadre naturel, l’activité économique et la présence humaine qui longe la Seine. Ainsi la mise en lumière des ponts et notamment des tabliers - aujourd’hui plongés dans l’obscurité la nuit venue - permettra de souligner les liens qui existent entre les deux rives du fleuve. Tes tubes fluorescents fixés sous les corniches et petits projecteurs à faisceau orientés dans le sens des arrêtes pourront donner une nouvelle exis-

tence aux ouvrages. Les nombreux silos situés en bord de Seine offrent également des supports potentiels très intéressants. Constitués de cylindres accolés les uns aux autres, ils permettront à l’éclairage de jouer sur l’effet répétition en exploitant la verticalité, les creux et les arrondis des éléments. La mise en lumière des falaises enfin pourra valoriser le cadre naturel de l’agglomération. Ainsi l’éclairage subtil des crêtes et les grands pans de craie donneront tout leur relief à ce cadre naturel. Dans sa globalité, le plan lumière s’attache à l’aspect dynamique du jalonnement lumineux mais aussi à l’approche et à la durée des perceptions. Les différents sites illuminés devront être visibles de différents endroits.

UNE LUMIÈRE PAS SI ARTIFICIELLE La Tour Effeil à Paris, la Cathédrale Notre-Dame à Rouen... les monuments historiques en France et à l’étranger bénéficient depuis de nombreuses années du savoir-faire des architectes et des concepteurs lumière. Le patrimoine naturel ou industriel fait désormais lui aussi l’objet de toutes les attentions. La lumière artificielle permet à la population de se réapproprier ce que la lumière naturelle a rendu banal et finalement peu visible de jour. Lumière de fond ou de contre-jour, éclairage indirect ou de projection : les spécialistes disposent d’une panoplie complète pour révéler un détail, épouser une forme, supprimer une ombre, créer un relief. Ils domptent la nuit pour en tirer le meilleur. Preuve du succès : les circuits touristiques de nuit attirent de plus en plus d’amateurs. Les cartes postales de sites illuminés sont parmi les plus vendues. La fée électricité est certes coûteuse, mais elle participe aussi de façon lumineuse à la vie sociale, économique et touristique d’une ville ou d’une métropole.

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BALADES AU CŒUR DE L’AGGLOMÉRATION : DE RIVIÈRES EN MONUMENTS, CURIOSITÉS ET LIEUX INSOLITES… DÉCOUVREZ MILLE ET UNE SURPRISES, ETC…

DIEPPEDALLE. Ici, on est prié de se laver les pieds avant d’entrer. Au seuil de la grotte, le bassin de désinfection est un passage obligé pour tout ce qui vient de l’extérieur : véhicules de manutention, cueilleurs ou visiteurs.

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Les champignonnières de Juanito

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Juanito Martin, le maître des lieux ouvre le chemin et pointe sa torche sur les gros ballots de fumier de cheval, sagement ordonnés : « pour grandir, le champignon a besoin du noir complet, 100% d’humidité et une hygiène irréprochable » commente-t-il et il arrache d’un coup sec un beau pied, ferme et gorgé d’eau, à sa douce obscurité. Au pays des vaches et des vertes prairies, les champignonnières de Dieppedalle sont plutôt une curiosité. Installées dans d’anciennes carrières puis abandonnées pendant 50 ans, elles ont repris du service grâce à Juanito Martin. L’idée du champignon a germé... dans sa tête il y a 17 ans : « J’avais une petite entreprise dans le bâtiment et j’ai décidé d’acquérir un terrain pour stocker mes matériaux ». Sur le terrain en question, l’acte d’achat mentionne bien une “cave sous roche” de 6000 m2 mais Juanito n’en sait pas plus « J’ai acheté une champignonnière sans le savoir » affirme-t-il catégorique. Heureusement le hasard fait parfois bien les choses : « J’ai toujours été fasciné par le mystère des beaux champignons et j’avais envie de changer de métier ». Après un voyage initiatique en Maine-et-Loire, au pays du champignon, il se lance donc dans des essais de culture adaptée au climat normand. Finalement il retient sept variétés : le champignon de Paris, le blond d’Anjou, le gros à farcir, le pied bleu et trois variétés de pleurottes. Aujourd’hui, 50 à 80 kg de champignons sortent chaque jour de son antre et chaque dimanche, il accueille les visiteurs pour leur fait partager sa passion. On peut même repartir le panier plein pour la semaine... et prévoir enfin une sortie champignons qui ne tournera pas au fiasco ! Les champignonnières de Dieppedalle Cavée de Dieppedalle - rue Hardel Tel/fax. 02.35.36.61.82. Visites en semaine sur rv. Ouvert au public le dimanche de 15h à 18h. Fermé en déc, janv et août.

CANTE

VAL-DE LA-HAYE

Gran La Bouille Moulineaux Couro


DARNETAL.

Malaunay Le Houlme

Houppeville

Isneauville

Notre-Dame de Bondeville

Fontainess-Préaux BoisGuillaume St-Martin Mt-St DévilleBihorel du Vivier lès-Rouen Aignan

MAROMME

ELEU

ndonne

St-Jacques sur-Darnétal St-Léger-du PetitBonsecours Bourg-Denis Quevilly St-Aubin Le MesnilSotteville Epinay GrandEsnard lès-Rouen Quevilly Franqueville AmfrevilleSt-Pierre la-Mivoie

PetitCouronne

ROUEN

ST-ETIENNE DU ROUVRAY

DARNÉTAL

Belbeuf

Oissel

LE MONUMENT

VAL-DE-LA-HAYE

LA COLONNE NAPOLÉON Si les Rouennais ont Jeanne d’Arc, le Val-de-la-Haye a Napoléon. A la sortie du village en direction de Sahurs, une colonne surmontée de l’aigle impérial commémore le retour des cendres de Napoléon, de Sainte-Hélène à Paris sur la frégate BellePoule. Une embarcation certes prestigieuse mais un peu encombrante pour passer sous les ponts parisiens. De la Belle-Poule, les cendres ont donc dû être transférées sur la Dorade, un modèle en dessous, précisément.... au Val-de-la-Haye. Une maquette installée dans la mairie met en scène l’événement de 1840 qui désormais fait la fierté du village.

De la bretelle à l’architecture De l’ancienne usine de bretelles à Darnétal, il ne reste plus grand chose à dire vrai : trois bobines de fil et deux catalogues d’échantillon. Maigre trésor pour ce site qui a abrité jusqu’à 1200 ouvriers et au siècle dernier, rayonnait dans la France entière grâce au nom de Lucien Fromage. Accroché dans le hall d’entrée, un petit historique rappelle comment ce lexovien de 17 ans a grimpé quatre à quatre les échelons de la maison Huet, fabricant de bretelles à Darnétal. De contremaître à directeur 5 ans plus tard : il finit par racheter l’entreprise désormais connue sous le nom d’entreprise Fromage, spécialisée dans les bretelles, ceintures, jarretières, tissus et autres bandes élastiques. Et c’est en 1878 qu’il construit cette usine ultra moderne qui lui vaut un sacrifice

d’un million de francs or, soit la moitié du chiffre d’affaire de l’entreprise. Malheureusement, l’avenir des bretelles n’est pas celui du pantalon et à la veille de son centenaire, l’usine doit fermer définitivement ses portes. Depuis , le grand vaisseau de briques qui s’étire le le long de la rue des Petites Eaux du Robec, après avoir subi une cure de rajeunissement, est occupé pour partie par l’annexe des Archives Départementales, et pour l’autre partie par l’Ecole d’Architecture de Normandie. On

peut accéder librement au parc mais l’intérieur ne se visite en principe qu’au moment des journées du patrimoine. A défaut, on peut toujours y glisser un œil à l’occasion d’une des nombreuses expositions publiques organisées dans l’aile est par l’école, sur le thème de l’architecture. Si tout a été refait à l’intérieur, certains éléments rappellent encore sa voca-

VALLEE DU CAILLY.

Au fil de la rivière “ On l’appelait la petite vallée de Manchester “. Président de l’association Sylveison qui travaille sur l’histoire du canton de Notre-Dame-de-Bondeville, Alain Alexandre est un passionné de la vallée du Cailly. Une vallée qui pourtant n’a rien de bucolique même si Cailly -nom du village où la rivière prend sa source- voulait dire autrefois “cresson”. Berceau d’une intense activité industrielle, le Cailly qui circule sur 25 km est vite devenu le symbole du travail du coton. Un circuit du patrimoine industriel qui part de Deville-lesRouen nous emmène ainsi découvrir les derniers vestiges de cette époque et visiter quelques-uns des hauts-lieux : le pont roulant du “ Moulin à Plomb “ de Déville, témoignage d’une importante activité métallurgique, le roue Tifine à Maromme, l’une des dernières roues à eau de la vallée, qui alimentait une ancienne filature de coton , la cheminée d’usine Gresland et surtout la Corderie Valois qui abrite un musée départemental : une priorité à inscrire sur votre

tion industrielle antérieure : les poteaux en fonte, le double escalier central (qui n’est pas d’origine !), le marquage des niveaux ; Enfin, petit détail qui a son importance : le balcon visible de l’extérieur signale toujours la présence du bureau du directeur ! L’Ecole d’Architecture de Normandie 27, rue Lucien Fromage BP 04 / 76161 Darnétal cedex Tel : 02.32 83.42.00

SAINT-ETIENNE-DU-ROUVRAY.

Le rond-point vraiment vache ! Un jour ou l’autre, vous avez sûrement fait partie des 25 000 voitures qui traversent quotidiennement le rond-point aux vaches. On doit cette idée à l’ancien maire de Rouen, Jean Lecanuet, qui avait imaginé reconstituer à cet endroit un véritable clos normand, ouvrant les portes de l’agglomération. Malheureusement depuis, les pommiers vivotent dans l’air saturé de monoxyde de carbonne. Quant aux vaches, victimes de nombreux vandalismes et canulars, n’essayez plus de leur tirer la queue : elles sont désormais ren-

programme de visite. Pour organiser une visite guidée : Rens. Alain Alexandre, Association Sylveison / 11, impasse du vert pré / 76770 Le Houlme

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MUSIQUE

Les zigotos d’Agogô 141, rue des Martyrs de la Résistance - 76150 Maromme. Tél : 02 32 82 02 32 / e.mail : agogopercu@infonie.fr

TCAR

Concours photo Rens. TCAR : 02 35 52 52 52. Jusqu’au 15 octobre 2002, la TCAR organise la 2e édition de son concours photographique dont le thème retenu est cette année : “la modernité des transports en commun dans notre ville”. Tous les amateurs peuvent envoyer un tirage (30x40) avant le 15 octobre à la TCAR. Les 20 meilleurs clichés seront exposés à l’Espace Métrobus. Les auteurs des trois plus belles photos recevront un abonnement sur le réseau des transports en commun de l’agglomération rouennaise ainsi qu’un bon d’achat d’une valeur de 100 euros à dépenser au rayon photo de la FNAC, partenaire du concours.

Comme souvent, dans les aventures artistiques, tout a commencé par la réunion d’une bande de copains passionnés de musique brésilienne et africaine. Mais très vite, le désir de faire partager cette passion au plus grand nombre s’est imposé. Les onze musiciens- danseurs-chanteurs-percussionnistes des formations “Sewago”, “Dongilila” et “Songoé” ont donc décidé de se structurer dans le but de donner des cours, créer des ateliers, imaginer des spectacles. L’association compte au-

jourd’hui environ 150 adhérents (de 8 à 73 ans) venus de toute l’agglomération rouennaise pour apprendre à jouer du djembé, du balafons, du doum-doum, des calebasses, des kariyan ou bien danser la salsa, la rumba ou le samba-reggae. De fait, il n’est pas rare de croiser la joyeuse et “bruyante” troupe colorée “Samb’arts” au détour de fêtes, de carnavals ou de spectacles de rues.

GASTRONOMIE

La fête du Ventre Samedi 20 octobre de 8h à 19h

PUBLICATION

Petit normand deviendra grand

aggloMag mai 2002

Petit à Petit 7, cap Darnétal - 11 rue aux Juifs 76152 Darnétal - Tél : 02 35 08 22 15

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Grâce à ce trimestriel abondamment illustré, les enfants de 7 à 14 ans peuvent partir à l’aventure de la Normandie, à travers des histoires, des contes, des portraits, des bandes-dessinées et de nombreux jeux. Qui étaient les Gaulois ? Comment transformer une boîte à camembert en boîte à secrets ? Quels sont les oiseaux que l’on croise au-dessus des falaises normandes ? Voici quelques-unes des questions présentes au sommaire du 1er numéro, dans lequel on retrouve également l’adaptation BD d’une nouvelle de Guy de Maupassant, et plein d’autres surprises.

Jusque dans le milieu des années 30, pour la Saint-Romain se déroulait à Rouen un étrange rituel culinaro-gastronomique. Un monument dédié à Gargantua avait été dressé par le statuaire richard Dufour et les amateurs de bonne chère célébraient la “fête du ventre “, vaste invitation à la ripaille.... Depuis l’année dernière, cette manifestation revient au goût du jour à l’initiative de l’association Rouen Conquérant. Pantagruels confirmés ou simples amateurs de bonnes choses pourront hanter la place du vieux marché, la place de la pucelle et la rue Rollon, interdite à la circulation pour l’occasion, le samedi 20 octobre de 8 H à 19 H pour venir à la rencontre des producteurs normands mais aussi d’autre régions.Cette année, un invité de choix puisque c’est le Languedoc-Roussillon et ses producteurs


HISTOIRE

PUCES ROUENNAISES D’AUTOMNE Parc des Expositions, 13 et 15 septembre de 10h à 21h

À toute vapeur

Chaque année, le rendezvous attire la foule. Et les visiteurs repartent rarement les mains vides, sans pour autant se ruiner... enfin pour certains. Le principe est simple. Il suffit d’arpenter les allées des puces rouennaises pour découvrir l’objet, le meuble ou la babiole de ses rêves et décrocher ainsi un petit bout de bonheur.

Le chemin de fer dans l’agglomération rouennaise de 1843 à aujourd’hui. De Michel Croguennec.

AMICALE LAÏQUE Comité d’Organisation du Centenaire de l’Amicale Laïque - 319, route de Dieppe 76250 Déville-Lès-Rouen. Tel : 02 35 60 37 26 A l’occasion de son centenaire qu’elle fêtera le 17 janvier 2004, l’Amicale Laïque de Déville lance un avis de recherche afin de rassembler un maximum de documents relatifs aux activités passées de l’association. Si vous avez notamment conservé des souvenirs (photos, bulletins, affichettes) de la Fête des ombrelles ou encore du Groupe des éclaireurs Maufrais et pourquoi des différentes sections sportives (tir, de volley, ou de danse...) : n’hésitez pas à contacter l’Amicale.

L’HISTOIRE DE L’ALLAITEMENT Musée Flaubert et d’histoire de la Médecine - 51 rue de Lecat - Rouen - Tel : 02.35.15.59.95 Le musée Flaubert et d’histoire de la médecine qui fêtait son centenaire en 2001 propose depuis la rentrée des “pausesmusées” sur l’heure du déjeuner. Il s’agit de conférences d’une durée de 45 minutes environ à 12H30 et 14H30 sur des thèmes liés à la santé.

BROCANTE

LIRE

Festival du livre de jeunesse Les 30 novembre, 1er et 2 décembre, quai jean Moulin - Infos : 02.35.70.37.38 Le festival du livre de jeunesse est né en 1983 à l’initiative de l’Association des Amis de la Renaissance et de l’Union CGT de Rouen pour lutter contre l’illettrisme. Depuis son succès ne s’est jamais démenti, prenant un peu plus d ‘importance d’année en année. Plus de 23 000 visiteurs l’an denier et près de 90 % des éditeurs, soit près de 70 000 ouvrages présentés et 4200 m2 d’exposition consacrés au monde du livre. Cette année, le festival aura lieu les 30 novembre, 1er et 2 décembre, quai jean Moulin. Les débats, expositions et spectacles s’articuleront autour du thème “vous avez dit égalité ?”. Un thème qui permettra de mettre l’accent sur les tout petits éditeurs et qui ne manquera pas d’intéresser tous les publics.

Lorsque le 3 mai 1843, le duc de Nemours et l’Archevêque de Rouen inaugurent la première ligne Paris-Rouen, la foule est en liesse. A cette date, 3h50 sont nécessaires pour relier les gares Saint-Lazare et Saint-Sever. Rapidement les municipalités voisines comprennent les bénéfices à tirer de l’implantation de dessertes ferroviaires sur leur territoire. « La possession d’une gare devient dès lors un enjeu politique et chaque commune veut la sienne à son nom » écrit Michel Croquennec, docteur en histoire, auteur du fascicule. Oissel sera la première à posséder sa gare, suivie après 1847 (et l’extension de liaisons vers le Havre, Amiens ou Orléans) des villes de Maromme, Malaunay, Darnétal... et Sotteville-les-Rouen, Avec la disparition de la traction à vapeur dans les années 1960 et l’arrivée des locomotives diesel-électriques, le chemin de fer perd un peu de sa magie et de l’inspiration qu’il suscita chez de grands auteurs, notamment chez Zola qui écrivait en 1890 dans la Bête Humaine « La Lison, sifflante et fumante, traversa Sotteville à toute vapeur, ne s’arrêta qu’à Rouen, d’où elle repartit calmée un peu, montant avec plus de lenteur la rampe qui va jusqu’à Malaunay ».

SALON

Festival de Bande-dessinées Agogô Percussions 141, rue des Martyrs de la Résistance - 76150 Maromme. Tél : 02 32 82 02 32 / e.mail : agogopercu@infonie.fr

Parc des Expositions, 13 et 15 septembre de 10h à 21h Chaque année, le rendezvous attire la foule. Et les visiteurs repartent rarement les mains vides, sans pour autant se ruiner... enfin pour certains. Le principe est simple. Il suffit d’arpenter les allées des puces rouennaises pour découvrir l’objet, le meuble ou la babiole de ses rêves et décrocher ainsi un petit bout de bonheur.

Comme souvent, dans les aventures artistiques, tout a commencé par la réunion d’une bande de copains passionnés de musique brésilienne et africaine. Mais très vite, le désir de faire partager cette passion au plus grand nombre s’est imposé. Les onze musiciens- danseurs-chanteurs-percussionnistes des formations “Sewago”, “Dongilila” et “Songoé” ont donc décidé de se structurer dans le but de donner des cours, créer des ateliers, imaginer des spectacles. L’association compte aujourd’hui environ 150 adhérents (de 8 à 73 ans) venus de toute l’agglomération rouennaise pour apprendre à jouer du djembé, du balafons, du doum-doum, des calebasses, des kariyan ou bien danser la salsa, la rumba ou le samba-reggae. 11


TROIS PLUS UN Centre culturel Le Rive Gauche, 271 rue de Paris. Entrée libre du mardi au samedi de 14H30 à 18H30. L’union des arts plastiques de Saint-Étienne du Rouvray expose du 7 mai au 7 juin les œuvres de trois de ses membres ; Christine Granier, Marie-Odile Hillion et Bernard Vincent ainsi que celles d’une quatrième artiste, Petra Albrecht, invitée pour l’occasion.

DANSE

J’attendais que la pluie vienne PROJET LAGARCE Du 25 au 29 avril. Rens. 02 35 88 98 98

VIVEZ L’ÉTÉ DE SCÈNES EN SEINE THÉÂTRE

Artiste à domicile Premières Thatchades du 7 au 11 janvier. Contact : 02 35 74 18 70 De la rencontre”entre Jean-Luc Lagarce et la Compagnie Métro Mouvance est né “ le projet “ Lagarce. Entre théâtre, lectures et danse, Métro Mouvance joue les textes de cet auteur contemporain décédé en 1995 mais propose aussi un panorama plus complet de l’auteur à travers différentes initiatives : rencontres et ateliers thématiques, stages de formation, ateliers de recherches... Des rencontres proposées dans différents lieux dont certains insolites ; halls de gare, bistrots, friches ou couloirs de façon à rapprocher “lieu et formule”. La compagnie se produira donc dans différentes villes et dans différents lieux. A Rouen, une série de rencontres aura lieu à la Chapelle Saint-Louis en janvier et en février. Au programme, 3 spectacles ; “J’étais dans ma maison et j’attendais que la pluie vienne”, “Histoires d’amour” et “Les règles du savoir vivre dans la société moderne” du 11 janvier au 2 février et des lectures, le 27 février à l’Université de Rouen Du luxe et de l’impuissance “ et “ Histoire d’amour (repérages) “ et Histoire d’amour (derniers chapitres)

A l’initiative du centre d’art et d’essai de Mont-Saint-Aignan, une expérience insolite et inédite est proposée aux habitants de l’agglomération rouennaise. Il s’agit pour ces derniers de partager un moment privilégié avec des artistes, comédiens chanteurs, n’importe où et à n’importe quel moment (petit-déjeuner, déjeuner, goûter, apéro et dîner) mais justement pas au théâtre. L’essentiel est que ce soit convivial. A votre demande, Christian Mazzuchini, Alain CescoResia et Pascal Vincent seront présents pour accueillir vos invités et vous raconter des histoires avec leur bel accent méridional. Il s’agit donc d’une échange auquel vousmême et vos convives participerez en laissant libre cours, également à vos talents de conteur et d’orateur.

THÉÂTRE

Les nuits de Quadrille aggloMag mai 2002

Début des festivités le 5 octobre à Mont Saint Aignan. Rens : 02.35.88.74.44 ; www.cie-quadrille.com.

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Depuis 6 ans, la compagnie Quadrille a élu domicile à Mont-Saint-Aignan. Mais programmation de la compagnie ne s’arrête cependant pas aux limites de la ville. Elle s’est même considérablement élargi cette année pour se transporter à Dieppe, Yvetot et Forges-les-eaux. Cette année, les nuits de Quadrille accueillent Virginie Lemoine pour la soirée d’ouverture ainsi que Pascal Legitimus, invité d’honneur l’an dernier et qui interprètera “une demande en mariage” de Tchékhov. Egalement au programme “l’ex-femme de ma vie” de Josiane Balasko à Mont Saint Aignan, centre culturel Marc Sangnier les 5,6 et 7 octobre à 20H45, Saint- Martin du Vivier les 11,12,13 et 14 octobre salle du vivier Saint Martin à 20H45. et Franqueville-Saint-Pierre le 19 octobre à l’espace Bourvil à 20H45.

Hôtel de Région / 25 boulevard Gambetta - 76000 Rouen / 02 35 52 56 82 A l’initiative de la Région Haute-Normandie, ce programme d’animations invite Haut-Normands et touristes à redécouvrir le fleuve à travers des spectacles variés : le théâtre, la musique, les contes, les chansons ou encore la danse. Du Pont de Normandie à Vernon en passant par Jumièges, découvrez les méandres de la Seine et rencontrer les comédiens, danseurs, chanteurs et conteurs qui illumineront votre été.

L’HONNEUR DE DIEU Du 26 avril au 7 juin. Cathédrale Notre-Dame Tous les jours de 9H à 18H. La cathédrale de Rouen accueille une exposition intitulée “L’honneur de Dieu” et consacrée au père Pierre-Joseph de Clorivière, jésuite du XVIIIe siècle né à Saint-Malo. Il s’agit d’un parcours figuratif sur la vie et l’œuvre de l’homme au travers de prises de vues d’une photographe autodidacte, Chantal Reynier, fille du Cœur de Marie, la congrégation fondée par le père de Clorivière en pleine période révolutionnaire.

CIRQUE Du 10 au 17 septembre - Rens : 02 35 85 85 85 Pour la quinzième année consécutive, le festival des arts du cirque accueillera grands et petits, chemin de la poudrière, près du Zénith à Grand-Quevilly. Au programme tous les spectacles traditionnels mais aussi une trentaine d’ateliers ouverts aux plus jeunes afin de leur permettre de mieux appréhender les arts du cirque et qui sait ... de créer des vocations !


LIVRES

Les Trésors à la Page Bibliothèque François Villon - Tel : 02.35.71.28.82 ( Réservation indispensable.)

CLASSIQUE

Gustav Mahler enchante le Zénith 141, rue des Martyrs de la Résistance - 76150 Maromme. Tél : 02 32 82 02 32 / e.mail : agogopercu@infonie.fr Le pari était audacieux. Pour la pre- vulnérabilité humaine voulu par Mamière fois de son histoire, la plus hler. Les voix gracieuses de Nathalie grande scène artistique de l’agglomé- Stutzmann (mezzo soprano) et Ingeration rouennaise accueillait, le di- borg Herzog (soprano), soutenues par manche 24 mars, une grande œuvre du les plus talentueux ensembles vocaux répertoire classique. Répondant mas- régionaux ont véritablement “transsivement à l’invitation, le public s’est porté” le public. Les applaudissements plongé avec plaisir dans “La Résurrec- nourris ont permis aux artistes d’intertion” signée du compositeur autrichien préter une seconde fois le sublime final Gustav Mahler. Sous la conduite du de la symphonie, chef d’œuvre de grachef d’orchestre Oswald Sallaberger, vité et de puissance contenue. La réus240 musiciens, chœurs et solistes ont site de ce premier rendez-vous prouve interprété les cinq mouvements de combien le Zénith est une salle ouverte cette œuvre monumentale. Le tableau à tous les publics et à toutes les formes était imposant.Durant 90 minutes, les de spectacles. L’expérience a toutes les cuivres et les cordes ont donné toute chances d’être renouvelée. leur dimension à ce témoignage de la

THÉÂTRE

Yvonne princesse de Bourgogne Du 25 juin au 3 juillet à 21h, Musée de la Cérémique , rens : 02 35 88 99 88 L’histoire se passe en Pologne mais c’est dans la cour du musée de la céramique à Rouen que la Compagnie Catherine Delattres vous la racontera. Un cadre enchanteur pour une pièce que l’auteur a voulu comme un conte de fée avec roi, reine, prince, courtisans et princesse à marier mais qui n’est pas un conte de fée. Ils ne se marièrent pas et n’eurent pas beaucoup d’enfants.”Yvonne, princesse de Bourgogne” de l’écrivain polonais Witold Gombrowicz est tout sauf un roman à l’eau de rose. C’est une pièce insolente.

Après s’être attaqué à un monument de la vie culturelle rouennaise au travers de deux siècles d’histoire du Théâtre des Arts en Avril et après nous avoir fait goûter aux distractions de rois en mai, la bibliothèque Villon nous propose un sujet plus estival pour ses rencontres “Trésors à la page” de Juin et nous invite à un voyage le long de la côte normande. Cette promenade s’intitule “ Des calogues aux casinos “ et propose un panorama de la côte normande, ses villages de pêcheurs, ses estivants et ses attrayantes stations balnéaires d’hier et ... d’avant-hier..... Un avant-goût de vacances ....

EXPO

Maisons de vacances du 5 juillet au 5 septembre. Galerie photo du Pôle Image Haute-Normandie, 15 rue de la Chaîne, 76000 Rouen.. Renseignements : 02 35 89 36 96 Bord de mer et littoral, très présents dans notre région, offrent une grande diversité de villégiatures et d’aménagements et ouvrent ainsi à de larges champs d’expériences, de réflexions et de rêveries. C’est dans cet esprit que Götz Diergarten, jeune photographe allemand amené par sa famille à résider régulièrement en Normandie, a immortalisé à Ravenoville (50), non loin d’Utah Beach. Dans l’objectif de l’artiste s’immoortalisent les exemples d’une architecture balnéaire, modeste et populaire aperçue tout au long du littoral normand: les cabines de plages, en jouant sur l’ambiguïté de leurs statuts : cabines, cabanons, maisons ou résidences secondaires.

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métropôle

Bien préparer sa rentrée... Le mois de septembre sonne l’heure de la rentrée pour les 20.000 lycéens de l’agglomération rouennaise suivi dans quelques semaines de près de 25.000 étudiants. Si certains ont tout prévu, ils seront encore nombreux à chercher un logement, tenter décrocher une bourse, essayer de trouver un petit job... Trois acteurs de l’agglomération rouennaise particulièrement impliqués dans cette rentrée 2002 apportent leur conseil...

STÉPHANE CLÉMENCEAU DIRECTEUR DU CENTRE RÉGIONAL D’INFORMATION JEUNESSE Le mois de septembre sonne l’heure de la rentrée pour les 20.000 lycéens de l’agglomération rouennaise suivi dans quelques semaines de près de 25.000 étudiants. Si certains ont tout prévu, ils seront encore nombreux à chercher un logement, décrocher une bourse, tenter de trouver un petit job... Trois acteurs de l’agglomération rouennaise particulièrement impliqués dans cette rentrée 2002 apportent leur conseil... Le mois de septembre sonne l’heure de la rentrée pour les 20.000 lycéens de l’agglomération rouennaise suivi dans quelques se-

maines de près de 25.000 étudiants. Si certains ont tout prévu, ils seront encore nombreux à chercher un logement, décrocher une bourse, tenter de trouver un petit job... Trois acteurs de l’agglomération rouennaise particulièrement impliqués dans cette rentrée 2002 apportent leur conseil... Le mois de septembre sonne l’heure de la rentrée pour les 20.000 lycéens de l’agglomération rouennaise suivi dans quelques semaines de près de 25.000 étudiants. Si certains ont tout prévu, ils seront encore nombreux à chercher un logement, décrocher une bourse, tenter de trouver un petit job... Centre régional d’informations jeunesse 84, rue Beauvoisine 76000 Rouen / tel : 02 35 71 66 12

ISABELLE LEPICARD DIRECTRICE DU CROUS “Le Centre régional des œuvres universitaires et scolaires est naturellement à pied d’œuvre pour cette rentrée. Si les dossiers d’attribution de bourses et de logements sur critères sociaux sont pour la plupart déjà instruits, le Crous reste naturellement à disposition de tous les étudiants pour leur permettre d’aborder cette nouvelle année dans les meilleures conditions matérielles et psychologiques. Chaque année, le Centre attribue plus de 30 millions d’euros d’aides sociales. Les dispositifs tels que le Fond de solidarité universitaire ou les Allocations

d’études permettent notamment de répondre à certaines situations d’urgence. Tout au long de l’année, le Crous reste un centre de ressources précieux pour trouver un logement ou un petit job (environ 4.000/an) ou rencontrer des assistants sociaux qui orienteront les étudiants dans leurs démarches. N’oublions pas la restauration. Le Crous gère dans l’agglomération rouennaise 5 restaurants universitaires et 4 brasseries ou cafétéria. En matière logement, la nouveauté 2002 réside dans l’ouverture de 95 nouveaux logements “Les Jardins Saint-Paul” situés à proximité directe de la fac de médecine. CROUS DE HAUTE-NORMANDIE 3, rue d’Herbouville 76000 Rouen tel : 02 32 08 50 01 / www.crous-rouen.fr

aggloMag mai 2002

JEAN-LUC NAHEL PRÉSIDENT DE L’UNIVERSITÉ DE ROUEN

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Le mois de septembre sonne l’heure de la rentrée pour les 20.000 lycéens de l’agglomération rouennaise suivi dans quelques semaines de près de 25.000 étudiants. Si certains ont tout prévu, ils seront encore nombreux à chercher un logement, décrocher une bourse, tenter de trouver un petit job... Trois acteurs de l’agglomération rouennaise particulièrement impliqués dans cette rentrée 2002 apportent leur conseil... Le mois de septembre sonne l’heure de la rentrée pour les 20.000 lycéens de l’agglomération rouennaise suivi dans quelques semaines de près de 25.000 étudiants. Si certains ont tout prévu,

ils seront encore nombreux à chercher un logement, décrocher une bourse, tenter de trouver un petit job... Trois acteurs de l’agglomération rouennaise particulièrement impliqués dans cette rentrée 2002 apportent leur conseil... Le mois de septembre sonne l’heure de la rentrée pour les 20.000 lycéens de l’agglomération rouennaise suivi dans quelques semaines de près de 25.000 étudiants. Si certains ont tout prévu, ils seront encore nombreux à chercher un logement, décrocher une bourse, tenter de trouver un petit job... Centre régional d’informations jeunesse 84, rue Beauvoisine 76000 Rouen / tel : 02 35 71 66 12

va savoir VIVEZ L’ÉTÉ A l’initiative de la Région Haute-Normandie, ce programme d’animations invite Haut-Normands et touristes à redécouvrir le fleuve à travers des spectacles variés : le théâtre, la musique, les contes, les chansons ou encore la danse. Du Pont de Normandie à Vernon en passant par Jumièges, découvrez les méandres de la Seine et rencontrer les comédiens, danseurs, chanteurs et conteurs qui illumineront votre été.

TROIS PLUS UN L’union des arts plastiques de Saint-Étienne du Rouvray expose du 7 mai au 7 juin les œuvres de trois de ses membres ; Christine Granier, Marie-Odile Hillion et Bernard Vincent ainsi que celles d’une quatrième artiste, Petra Albrecht, invitée pour l’occasion.

TROIS PLUS UN L’union des arts plastiques de Saint-Étienne du Rouvray expose du 7 mai au 7 juin les œuvres de trois de ses membres ; Christine Granier, Marie-Odile Hillion et Bernard Vincent ainsi que celles d’une quatrième artiste, Petra Albrecht, invitée pour l’occasion.


Ils menacent toujours de tomber... mais gardent finalement leur équilibre. Suspendus à un fil, juchés sur un tonneau, accrochés à des échasses ou assis sur un monocycle, les élèves de la COMPAGNIE DU BARON PERCHÉ découvrent avec passion les arts du cirque...

ENTRE TERRE ET CIEL Est-ce l’envie de toucher les

gique original. L’association a

acrobatiques puis d’ateliers plus

touts les spectacles du nouveau

nuages ou le désir de quitter le

créé un atelier du cirque à Mont-

spécifiques. Au choix, les élèves

cirque en Haute-Normandie.

plancher des vaches qui mo-

Saint-Aignan qui ouvre chaque

amateurs pourront tester leur

Mais, à l’heure où s’achève en

tivent chaque année les étu-

semaines ses portes aux 11/16

équilibre sur une boule, des

France l’année du cirque, le

diants du campus à rejoindre le

ans. Les étudiants prennent éga-

échasses, ou un rouleau améri-

Baron Perché a un rêve ! Celui

Baron Perché ? Il faut simple-

lement régulièrement leur valise

cain ou encore apprendre à jon-

de posséder un lieu permanent

ment avoir l’envie d’apprendre

pour aller à la rencontre des sco-

gler, marcher sur un fil ou réali-

dans l’agglomération pour déve-

et d’échanger avec les autres “

laires, de personnes handicapées

ser une pyramide humaine. “ Les

lopper durablement ses activi-

témoigne l’animateur de la Com-

ou en difficulté dans l’agglomé-

enfants découvrent les bases de

tés... et rester longtemps encore

pagnie. Pas d’éléphants, de

ration rouennaise. “ Les disci-

ces disciplines et les notions de

au sommet des arbres comme le

tigres ou de tartes à la crème au

plines enseignées permettent

sécurité. Ils développent ainsi

héros de Calvino. Celui de pos-

Baron Perché. Le cirque contem-

aux jeunes élèves de canaliser

leur personnalité et leur sens de

séder un lieu permanent dans

porain préfère l’humain à l’ani-

leur énergie, de connaître et de

la responsabilité. “ En faisant

l’agglomération pour développer

mal, l’émotion au loufoque... la

maîtriser leur corps, de dévelop-

partager ainsi la passion du

durablement ses activités....

découverte de soi à l’exploit. De

per leur concentration et leur

cirque mais aussi son histoire et

fait, il n’est pas question ici de

motricité “ poursuit Yohann.

ses différents styles, le Baron

former des artistes profession-

Généralement, le travail en

Perché forme aussi le public de

nels mais d’utiliser les arts du

groupe débute par une séance

demain. Tous les deux mois, son

cirque comme un outil pédago-

d’échauffement suivie de portées

fanzine “Cirkulation” recense

LE BARON PERCHÉ 67, rue Jules Massenet / 76000 Rouen Tel : 02 35 60 57 68 www.lebaronperche@free.fr



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