Portfolio d'architecture by Laure STADELMANN

PORTFOLIO D’ARCHITECTURE LAURE STADELMANN Etudiante en Master 2 (PFE et mémoire validés) École Nationale Supérieure d’Architecture Paris - Val de Seine

Laure Stadelmann NĂŠe le 27 avril 1994 +33 6 37 45 29 17 266, avenue Daumesnil 75012 Paris laure.stadelmann@gmail.com

FORMATION 2017 2018

MASTER 2 ENSA Paris Val-de-Seine PFE mention recherche avec les « félicitations » du jury Son refuge en partage - Penser l’hébergement citoyen à Grande -Synthe Mémoire de master en architecture Habiter l’inhabitable ? Analyse socio spatiale de la « jungle » de Calais

2016 2017

ANNÉE DE CÉSURE

2015 2016

MASTER 1 - ERASMUS EN FINLANDE University of Oulu

2012 2015

LICENCE D’ARCHITECTURE ENSA Paris Val-de-Seine

2012

BACCALAURÉAT SES Sciences économiques et sociales - Mention « bien »

EXPÉRIENCES PROFESSIONNELLES 2017

BÉNÉVOLAT ÉTÉ 2016 AUJD

Utopia 56

2015 2016

ESN Oulu (Finlande)

Paris, Nord : Camp de Grande-Synthe, « Jungle » de Calais

Organisation d’événements Accompagnement d’un voyage en Laponie

WORKSHOP ET CONCOURS JUIN 2015

3E PRIX CONCOURS « Construire en pierres structurelles » Extension d’une maison : abri pour piscine

2018 2017 2015 2013

WORKSHOPS Bellastock, France

SEPT 2014

WORKSHOP Bellastock, Wuhan, Chine

Construction d’abris : suspendus en tasseaux et gaine annelées, en bambous, en tiges de châtaigniers

Construction de structures flottantes en bambou avec des étudiants locaux

CDD MI-TEMPS - 6 MOIS Association « Yes We Camp » - Les Grands Voisins, Paris Service + aide à la conception et construction de mobiliers urbains 2013

2017

STAGE MI-TEMPS - 4 MOIS Association « Actes et cités », Paris

Construction de mobiliers urbains en bois de palettes pour l’association Notre Quartier 13

Assistance à la coordination sur la recherche « La ville accueillante » 2016 2017

2015

STAGE - 5 MOIS Association « Actes et cités », Paris Réunions d’associations, conception d’une centre de formation à Haïti, réalisation d’un siteinternet, concours

CDD - 1 MOIS Agence « Artefact décoration » (architecture d’intérieur), Paris Maquette 3D, perspectives informatiques, aide à la conception

2015

MISSION Agence « Sandrine Limal », Paris

WORKSHOP GVNG, Jouir, GMBA, Paris

COMPÉTENCES INFORMATIQUES

LINGUISTIQUES

Autocad,

Français

Sketchup, Illustrator, Photoshop, Indesign, Lightroom

Anglais

Réalisation d’une maquette 3D 2014

STAGE - 1 MOIS Atelier « Frank Salama », Paris Aide à la conception, perspectives à main levée, maquettes, suivi de chantier

2013

STAGE CHANTIER - 2 SEMAINES Le club du vieux manoir, Fort Vauban, Briançon Restauration d’une voûte, pose de bardeaux en toiture, pose d’étanchéité

2012

EMPLOI SAISONNIER Aide Sociale à l’Enfance (ASE), Paris 12e

CENTRES D’INTÉRÊTS DANSE

Pratique de la danse en école depuis 18 ans

PHOTOGRAPHIE

Photographie numérique (Canon 110 D)

VOYAGES

Europe, Amérique du Sud, Etats-Unis, Asie

MASTER 2

Habiter l’inhabitable ? Analyse socio-spatiale de la « jungle » de Calais

MÉMOIRE DE MASTER EN ARCHITECTURE

PROJET DE FIN D’ÉTUDES Mention Recherche, avec les « félicitations » du jury

Son refuge en partage, penser l’hébergement citoyen à Grande-Synthe

TRAVAUX D’ECOLES

TRAVAUX PERSONNELS

Un musée d’architecture - Master 1, Semestre 8 Un marché flottant - Master 1, Semestre 7 Renouer avec la densité - Master 1, semestre 7 Une école d’art - Licence 3, semestre 5 Une chapelle œcuménique - Licence 3, semestre 5 Habiter au bord du canal - Licence 2, semestre 4 Une halle à réhabiliter - Licence 2, semestre 3

Concours Dessins Photographies

22 26 32 36 40 44 48

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MASTER 2

PROJET DE FIN D’ÉTUDES Mention Recherche, avec les « félicitations » du jury

Son refuge en partage, penser l’hébergement citoyen à Grande-Synthe Rapport de PFE consultable sur : https://issuu.com/laure.sta/docs/stadelmann_rapport_de_pfe

MÉMOIRE DE MASTER EN ARCHITECTURE

Habiter l’inhabitable ? Analyse socio-spatiale de la « jungle » de Calais Mémoire au complet consultable sur : https://issuu.com/laure.sta/docs/memoire

« Human beings are members of a whole in creation of one essence and soul» Hamed, école laïque de la « jungle » de Calais, aout 2016

« Calais, Grande-Synthe. Depuis toujours contemplant la Flandre et l’Angleterre. Faut-il être carrefour ou citadelle ? Vous a-t-on dit que vous seriez des ombres ? Qu’il n’y aurait pour vous aucune terre ? Vous a-t-on dit qu’après la guerre, il y aurait la misère des terres battues par le vent ? Vous a-t-on dit que vous n’auriez plus de nom ? Nulle part ici, nulle part ailleurs. Vous a-t-on dit que vous auriez « nulle part » pour seule patrie ? » Yolande Moreau, Nulle part ailleurs

HABITER L’INHABITABLE ?

Analyse socio-spatiale de la « jungle » de Calais

Résumé. Bien qu’ils ne soient pas vêtus des outils de planification qui fabriquent aujourd’hui la ville occidentale, les camps, campements et bidonvilles représentent aujourd’hui de nouvelles formes urbaines qui se développent en marge de la ville traditionnelle et qui regroupent un tiers de la population urbaine mondiale (environ 900 000 000 de personnes). La France ne fait pas exception à ce paysage global puisque la DIHAL 1, dans son rapport d’avril 2017, en dénombrait 571 regroupant au total environ 160 000 personnes en France métropolitaine, sans tenir compte des camps de migrants qui se multiplient pourtant depuis deux décennies sur le territoire. Selon Michel Agier, sociologue et anthropologue, le camp serait même devenu un véritable mode de gouvernementalité des migrations contemporaines 2. Parallèlement, et alors que les Pouvoirs Publics tentent par tous les moyens de lutter contre leur prolifération, ceux qu’ils nomment « campements illicites » se multiplient. Au sein de paysage global s’est developpé à Calais, à partir de mars 2015, un espace hybride entre le camp et le campement, baptisé « new jungle » puis « LA jungle » par les associations et les médias.Il aura représenté une expérience inédite en termes d’ampleur et de durée en accueillant jusqu’à 10 000 migrants, pendant un an et demi. La « jungle » aura ainsi contribué à faire sortir de l’ombre, pour un temps au moins, un phénomène d’ « encampement » des migrants développé depuis la fin des années 90 dans le Nord de la France. Les campements qui s’y développent depuis lors sont tous le reflet d’une politique de dissuasion menée à l’échelle nationale, voire européenne, et qui vise à maintenir ceux que l’on considère comme « indésirables » dans la précarité. Alors que ces politiques avaient mené à la définition d’un espace supposé être inhabitable, les migrants, soutenus par une importante mobilisation citoyenne et associative, ont mené une lutte importante contre le désordre qui leur était imposé au sein de cet espace. La seconde partie du mémoire a consisté à l’analyser en s’appuyant sur une méthode forte et originale. En effet, la « jungle » de Calais ayant disparue au moment de la rédaction de ce mémoire, il aura fallu avant tout effectuer un important travail de regroupement et de trie de données secondaires multiples et diverses : textes, photographies, relevées, etc. Le nécessaire classement de ces données m’aura conduit à aller voir du côté de l’histoire de l’architecture pour découvrir les grilles réalisées (notamment par les futurs membre du groupe Team X) lors du neuvième Congrès International d’Architecture Moderne (CIAM IX) à Aix en Provence en 1953 et la critique qu’en a formulé Yona Friedman dans son livre « L’architecture de survie ». J’ai alors choisi de construire ma propre grille d’analyse, décomposée trois grandes échelles (la ville, les quartiers, les groupements d’habitation), et quatre grands thèmes (se

Délégation Interministérielle pour l’Hébergement et l’Accès au Logement des personnes sans abri ou mal logées

Amsellem, G. In : Meadows, F. (sous la direction de) (2016). Habiter le campement : nomades, voyageurs, contestataires, conquérants, infortunés, exilés. Paris : Actes Sud. 319 p.

protéger, se rassembler, répondre à ses besoins élémentaires, ornementer) comme des prismes au travers desquels regarder la « jungle » pour mieux organiser ma pensée et la comprendre. L'analyse de la « jungle », aura alors révélé l'émergence d'une réelle organisation sociale et spatiale au sein de cet espace qui a représenté, pour beaucoup, une forme de parenthèse dans un long parcours migratoire caractérisé par l’exil. Le temps accordé à l’édification de cet espace aura permis le développement de dispositifs spatiaux élaborés répondant aux besoins directement exprimés par les migrants et auxquels les pouvoirs publics n'avaient pas su ou voulu répondre. Ainsi, c'est paradoxalement au sein de cet zone de non droit que les migrants avaient construit une forme minimum de protection, notamment grâce à la mise en commun de leurs forces. La « jungle » avait alors été le témoin de la formation de communautés de l'instant, qui au delà des simples rassemblements ethniques avaient également pu être la manifestation d'une nouvelle présence au monde en rassemblant migrants et bénévoles. Ensemble, ils avaient imaginé des dispositifs permettant de répondre au manque de satisfaction des besoins élémentaires des migrants et avaient même participé à faire des leurs lieux de vie des objets d'appropriation, au sein de cet espace, reflet de la précarité la plus extrême.

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MÉMOIRE DE MASTER EN ARCHITECTURE. Habiter l’inhabitable ?

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SON REFUGE EN PARTAGE

Penser l’hébergement citoyen à Grande-Synthe

Dans un contexte de forts mouvements migratoires, le projet vise à la mise en place d'un dispositif d'accueil global à déployer sur la ville de Grande-Synthe, dans la banlieue de Dunkerque. Il se décompose en trois grandes échelles de travail, qui correspondent à trois temporalités d'actions : la ville, les quartiers, les logements. TEMPORALITÉ 1 : ÉCHELLE 1 - LA VILLE

TEMPORALITÉ 2 : ÉCHELLE 2 - LES QUARTIERS

TEMPORALITÉ 3 : ÉCHELLE 3 - LES LOGEMENTS

Répondre à l’urgence par la mise en place d’un centre d’hébergement dans une friche industrielle

Fédérer autour de petits équipements en coeur de quartiers : provoquer les rencontres et former

TEMPS 0

TEMPS 1: L’accueil

TEMPS 2 : La résilience

Au niveau de la ville, le projet est perçu comme une acupuncture pour mettre fin à la mise à l’écart territoriale ou l’ « extraterritorialité » auxquels les migrants doivent faire face au quotidien dans la région et au delà. Il propose la mise en place du centre d'hébergement souhaité par la mairie dans l'une des friches industrielles identifiées pour répondre à l'urgence de la mise à l'abri. Par ailleurs, on considère acquise la mise en place de la carte d’identité locale, souhaitée par le maire, et qui rendra accessible aux migrants tous les équipements de la ville. Celle ci participera aussi à la reconnaissance politique et juridique de ces êtres que l’on met souvent à la frontière d’un ordre social établi et à qui ont interdit toute reconnaissance d’une égalité politique avec les citoyens « ordinaires ». Le projet applique ensuite une réflexion sur deux types de quartiers typiques des années 1970 et de l'urbanisme de ville nouvelle développé à Grande-Synthe : les grands ensembles et les quartiers pavillonnaires. Dans les deux cas, il s'agit de privilégier la rénovation face à la destruction et de prévoir la densification de ces quartiers souvent considérés comme des masses figées intouchables. Ici, les interventions consistent surtout à implanter des petites cuisines collectives, des espaces communs pour recevoir, lorsque la taille de son logement ne le permet pas, que l'on soit Grande-Synhois ou de passage. Enfin, le plus gros du projet est développé au niveau des logements eux même. La réflexion se porte sur une forme d'accueil émergente : l'hébergement citoyen, rendu possible par la loi depuis 2002 pour les personnes en situation irrégulière. Il s'agit de s'interroger sur ce que la volonté d'accueillir d'un foyer peut provoquer spatialement, sur trois types d'habitat : l'individuel, l'intermédiaire et le collectif. Pour cela, des scénarios fictifs, mais réalistes, ont été mis en place. Il se décomposent en trois temps : le temps 0 actuel, le temps 1 de l'accueil, et le temps 2 de la résilience des projets produits au moment de l'accueil. Ils sont tous accompagnés d’une charte insiprée de celle déjà mise en place par l’association Singa, qui permet d’évaluer le degré d’intimité souhaité par les accueillants. Finalement, l'ensemble du projet cherche à inscrire la notion d'accueil dans une réflexion plus

large attachée au renouvellement urbain d'une ville nouvelle comme on en trouve beaucoup en France, sortie de terre en quelques années suite à l'implantation sur son territoire de l'industrie sidérurgique Usinor (Arcelor Mital). Le projet cherche à tirer partie d'une possible convergence d'intérêt entre les migrants, les Grande-Synthois et la Mairie qui fait déjà preuve d'une volonté politique forte allant dans le sens de l'accueil face aux dispositifs dissuasifs et répressifs mis en place ailleurs dans la région. L’accueil devient un prétexte pour faciliter la rénovation énergétique de logements anciens et leur adaptation à des modes de vie émergeant qui ne leur correspondent plus. Le projet cherche à proposer des projets sur mesure, qui s’adapte aux besoins et envies de chacun, et s’attache ainsi à prouver qu’une densification des tissus urbains des années 1970’ est possible.

ROYAUME UNI PORT AIRE D’AUTOROUTE

CENTRE DE DÉTENTION

CAMPEMENT Le�pRoJeT ReFuGe

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LeS EqUiPeMeNtS

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PROJET DE FIN D’ÉTUDES. Son refuge en partage.

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TEMPORALITÉ 2 : ÉCHELLE 2 - LES QUARTIERS PAVILLONNAIRES

64% DES LOGEMENTS

S’APPUYER SUR LES SAVOIRS FAIRE LOCAUX POUR FACILITER L’AUTO-CONSTRUCTION

UN CHANTIER PARTICIPATIF ET FORMATEUR COMME L’ANNONCE D’UN CHANGEMENT POSSIBLE DANS LE QUARTIER TUR STRUC

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TEMPORALITÉ 2 : ÉCHELLE 2 - LES GRANDS ENSEMBLES

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1.200

FAVORISER LA RÉNOVATION ET L’EXTENSION DES LOGEMENTS FACE À LA DESTRUCTION PRIVILÉGIÉE ACTUELLEMENT

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PROJET DE FIN D’ÉTUDES. Son refuge en partage.

TEMPORALITÉ 3 : ÉCHELLE 3 - UN EXEMPLE : LES PAVILLONS

TEMPS 0. AUJOURD'HUI. 1.200

Accueillant(s) :

Un homme séparé avec un petit garçon. La maison lui paraît maintenant bien vide sans sa compagne et les enfants de celui-ci.

TEMPS 1. L’ACCUEIL. 1.200 Accueilli(s) :

DEGRÉ D’INTIMITÉ : MOYEN

Un couple sans enfant accompagné d’une femme âgée (la mère veuve de l’homme). La femme âgée peut garder un œil sur l’enfant quand il rentre de l’école et que sa mère est encore au travail.

TEMPS 2. LA RÉSILIENCE. 1.200 L’homme décide de monter sa propre activité. Il récupère la nouvelle chambre en rez de chaussée et la transforme en bureau. Il y travaille seul et y reçoit du public extérieur, qu’il ne souhaite pas voir passer par les autres espaces plus intimes de la maison. L’extension au dessus du garage devient un studio avec son accès indépendant pour son fils qui est maintenant un jeune adulte débutant ses études.

PROJET DE FIN D’ÉTUDES. Son refuge en partage.

TEMPORALITÉ 3 : ÉCHELLE 3

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PROJET DE FIN D’ÉTUDES. Son refuge en partage.

TRAVAUX D’ECOLES

UN MUSÉE D’ARCHITECTURE Master 1 semestre 8. Solo.

• Lieu Helsinki, Finlande • Programme Un musée d’architecture • Durée Janvier 2016 - Mai 2016 • Professeurs Rainer MAHLAMÄKI Johan LINDFORS Ville-Pekka IKOLA

Pour ce second semestre à Oulu, il nous a été demandé de dessiner un musée d’architecture dans la capitale finlandaise. Situé en bord de mer, le site est emprunt d’une forte identité industrielle. Cette caractéristique est à la base du concept ayant mené à la conception de ce musée d’architecture. Perçu comme une machine, le bâtiment révèle tous les procédés qui s’y déroule pour le faire vivre. Ainsi, les visiteurs passeront par l’espace de travail avant d’accéder aux exposition et toutes les livraisons leur seront affichées, tel un spectacle. D’apparence simple, le bâtiment est constitué de trois volumes rectangulaires en polycarbonate et verre, matériaux laissant apparaître la structure restée apparente dans le musée et qui donne leur identité aux espaces.

UN MUSÉE D’ARCHITECTURE. Master 1 semestre 8.

Plan RDC dans son contexte - Ech. 1.2000

Coupe longitudinale - Ech. 1.2000 24

UN MUSÉE D’ARCHITECTURE. Master 1 semestre 8.

UN MARCHÉ FLOTTANT

Master 1 semestre 7. Travail en binôme.

• Lieu Oulu, Finlande • Programme Un stand de marché • Durée Octobre 2015 - Décembre 2015 • Professeurs Henrika Pihlajaniemi Piia Markkanen Aulikki Herneoja Tuomas Niemelä

Pour ce cours de design il nous a été demandé de projeter un stand de marché s’installant sur la place du marché à Oulu. Nous avons décidé d’installer un marché flottant sur la mer afin de dynamiser d’avantage un front de mer déjà très prisé par les habitants d’Oulu. Les stand sont apparentés à des icebergs pouvant librement se déplacer sur l’eau avant de se rattacher aux pontons installés. Leurs revêtements de polycarbonate n’en laissent voir que la forme épurée. A l’intérieur, une seconde peau, inspirée des Shojis japonais, apporte une ambiance plus chaleureuse. Enfin, les planches de bois au sol se soulèvent à la hauteur souhaitées et permettent ainsi l’accueil des différentes fonctions propres aux stands.

UN MARCHÃ&#x2030; FLOTTANT. Master 1 semestre 7.

Plan - Ech. 1.100

Coupe - Ech. 1.100 28

UN MARCHÃ&#x2030; FLOTTANT. Master 1 semestre 7.

RENOUER AVEC LA DENSITÉ Master 1 semestre 7. Travail en groupe.

• Lieu Oulu, Finlande • Programme Urbanisme • Durée Septembre 2015 - Décembre 2015 • Professeurs Hennu KJISIK Jari KUORELAHTI Kari NYKÄNEN 32

Plutôt que d’étendre la ville, nous avons choisi l’option de la densifier principalement par la création de deux nouveaux quartiers au Nord et au Sud. Ceux ci accueillent des logements et de nouveaux services dont la ville manque cruellement. Pour ce qui est de la place du marché nous avons développé une solution radicale : un toit habitable qui couvrira l’ensemble de la surface libre. La place est en effet actuellement trop grande pour l’usage que l’on en fait et se retrouve souvent désertée. Il était donc indispensable de ramener de nouvelles activités ici. Ainsi, le toit habitable abrite un centre de conférence, une RENOUER AVEC LA DENSITÉ. Master 1 semestre 7.

galerie commerciale et un centre de jeunes avec son sauna. Enfin, un nouveau musée a été ajouté derrière le grand théâtre et la bibliothèque de la ville. Il s’agit d’un repère visuel qui saura guider les habitants au cœur de la ville.

Coupe transversale - Ech. 1.2000

Façade de la place du marché - Ech. 1.2000

Façade de la place du marché de nuit - Ech. 1.2000

RENOUER AVEC LA DENSITÃ&#x2030;. Master 1 semestre 7.

UNE ÉCOLE D’ARTS Licence 3 semestre 5.

• Lieu Paris, Finlande • Programme Une école d’arts • Durée Novembre 2014 - Décembre 2014 • Professeurs Simon RODRIGUEZ PAGES Emanuelle SARRAZIN 36

L’école est organisée autour de trois patios reliant une nappe haute et une nappe basse. Ils ont pour rôle, à la fois d’alimenter en lumière cette dernière et de mettre en relation les ateliers, entre eux et avec le reste de l’école. La nappe haute est organisée selon trois modules chacun constitués de trois ateliers et une salle de cours disposés selon leur meilleure orientation lumineuse. Les trois ensembles sont reliés par une grande coursive, un lieu de rencontre ponctué de deux terrasses, l’une orientée à l’Est et l’autre à l’Ouest.

programme sont largement ouverts les uns sur les autres, et se regardent au travers des patios. Une rotation prenant en compte la géométrie de la parcelle a été opérée dans le bâtiment. Une dynamique s’instaure alors, et le décalage permet d’indiquer les deux entrées principales du bâtiment.

Dans la nappe basse, les éléments de UNE ÉCOLE D’ARTS. Licence 3 semestre 5.

Plan RDC dans son contexte

Plan R+2

UNE ÉCOLE D’ARTS. Licence 3 semestre 5.

UNE CHAPELLE ŒCUMÉNIQUE Licence 3 semestre 5.

• Lieu Paris, France • Programme Une chapelle œcuménique • Durée Octobre 2014 - Novembre 2014 • Professeurs Simon RODRIGUEZ PAGES Emanuelle SARRAZIN 40

’ai voulu créer deux espaces aux ambiances bien distinctes. Le premier est un espace en rapport avec la terre. On y pénètre par un mouvement descendant dans le site prolongé a l’intérieur par une rampe. Les échappées visuelles vers le ciel sont alors inexistantes et la lumière n’arrive que verticalement.

progressivement conduire le visiteur vers la chapelle et a intérioriser son espace par rapport au reste du cimetière par différents dispositifs.

Le second espace est en rapport avec le ciel, perceptible au travers de ses reflets dans le bassin accolé à la façade. La lumière, plus intense, ne vient plus seulement des parois verticales, mais également de façon zénithale. Le site a été travaillé de façon a UNE CHAPELLE ŒCUMÉNIQUE. Licence 3 semestre 5.

Plan RDC dans son contexte

Coupe 42

UNE CHAPELLE ŒCUMÉNIQUE. Licence 3 semestre 5.

HABITER AU BORD DU CANAL Licence 2 semestre 4.

• Lieu Paris, France • Programme Douze logements • Durée Mai 2014 - Juin 2014 • Professeurs Edouard GARDEBOIS Pascal SCHEFFER

Le canal étant au nord, les pièces a vivres sont traversantes pour bénéficier de la lumière et de la vue. Les chambres donnent sur le canal pour bénéficier de la lumière de l’est le matin et d’une vue sur un canal en lumière le soir. La façade sur canal se décompose en trois parties. Un rez de chaussée vitre, une partie intermédiaire en béton clair (maximise les reflets dans le canal) et une partie supérieure grise qui rappelle les toits du bâtiment voisins. La retombée de ce béton gris en pieds de façade au bout de la parcelle répond a une volonté «d’achever l’îlot». La partie intermédiaire est animée de «volets» créant intérieurement des spécialités particulières depuis lesquels se développe de longues percées visuelles dans l’axe du canal.

HABITER AU BORD DU CANAL. Licence 2 semestre 4.

Plan R+6 - 1.200

Plan R+1

HABITER AU BORD DU CANAL. Licence 2 semestre 4.

UNE HALLE À RÉHABILITER Licence 2 semestre 3. Solo.

• Lieu Paris, France • Programme Une halle de marché Sa réhabilitation en bibliothèque • Durée Septembre 2013 - Décembre2013 • Professeurs Edouard GARDEBOIS Pascal SCHEFFER

Sur une parcelle en longueur actuellement occupée par un parc, nous commençons par dessiner une halle de marché en structure bois. Elle doit être modulaire et répondre à des exigeance de lumière bien précise. La lumière directe doit être réduite au minimum avec des systèmes de réflexion et en maximisant les ouvertures au Nord. Dans la seconde partie du semestre, il nous est demandé de ré-investir la charpente précédemment imaginée pour y intégrer une bibliothèque publique. Le programme réclame la création de trois espaces complémentaires liés par des relations privilégiées : l’accueil, l’espace adulte et l’espace enfants, auxquels s’ajoutent les espaces de gestion Chaque espace ayant besoin de ses propres espaces de services, j’ai imaginé une paroi épaisse se développant sur toute la longueur du projet pour les accueillir. Au delà de son rôle servant, cette bande permet de guider les visiteurs le long d’un axe et d’articuler les différents espaces entre eux (passer d’espaces en double ou triple hauteur, a des espaces nécessitant une hauteur sous plafond plus basse).

UNE HALLE À RÉHBILITER. Licence 2 semestre 3.

Plan R+1 - - Ech. 1.500

Plan RDC - Ech. 1.500

Plan R-1 - Ech. 1.500 50

UNE HALLE À RÉHBILITER. Licence 2 semestre 3.

TRAVAUX PERSONNELS Concours Dessins Photographies

CONCOURS - 3E PRIX

Construire en pierre structurelle 2015, travail en binôme

• • •

Lieu Programme Durée

Drôme Ardèche, France Un abri de piscine et un studio Avril 2015

L’intitulé du concours m’a très rapidement interpellé «Construire en pierres structurelles». Au cours de ma scolarité, on m’a initié à de nombreux matériaux (béton, acier, bois, ...). Mais la pierre n’a jamais été évoquée, ou du moins, pas comme un matériau pouvant être appliqué à l’architecture contemporaine. Ce concours a donc été l’occasion de s’initier à un matériau, dont les propriétés sont parfaitement conformes aux exigences écologiques actuels. Ce travail en duo est situé en Drôme ardèche. Il s’agit d’une extension comportant un studio indépendant ainsi qu’un abris de piscine et son annexe. Le projet a été entièrement conçu selon un module de base, un bloc de pierre rectangulaire de 70x200x48 cm correspondant aux dimensions d’extraction de la carrière la plus proche. le concours a été l’occasion de rencontres avec des professionnels passionnés qui m’ont ensuite entraîné dans leur univers, notamment via la visite de la carrière de Noyant.

CONCOURS. Construire en pierre structurelle, 2015, binĂ´me.

DESSINS

Les dessins présentés ici sont réalisés sur calques épais au stylo bic noir. Cette technique m’a été enseignée en cours d’Arts Plastiques de licence 2, par l’artiste Yola Yolski . Elle permet d’obtenir des résultats assez précis sur la lumière en utilisant notamment une lame de cutter pour supprimer de la couleur.

DESSINS.

1. Chapelle Notre-Dame-de-la-Sagesse Arch. Pierre-Louis Faloci, Paris 13e, 2000 2. Bibliothèque de l’ENSA-Paris Val de Seine Arch. Frédéric Borel, Paris 13e, 2007 3. Eglise St Sulpice Paris 6e, 1870

PHOTOGRAPHIES

Série noir et blanc sud américaine

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1. Sao Paulo, Brésil Arch. Lina Bo Bardi, SESC Pompeia La lumière du béton

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2. La Paz, Bolivie Tête à tête

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3. Buenos Aires, Argentine Danseurs de Tango

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4. La Paz, Bolivie Contraste assumé

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5. Buenos Aires, Argentine Arch. Calatrava, Passerelle,

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6. La Paz, Bolivie Ville étoilée

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7. Sao Paulo, Brésil Attente au carrée

PHOTOGRAPHIES.