ELLE EST PAS BELLE LA VIE ?!
PARIS CENTRE
Janvier 2018 - n° 94 - www.lebonbon.fr
Photographe : Charlotte Gonzalez Modèle : MichaÍl
EDITO Confiseur
Jacques de la Chaise
Rédactrices en chef
Isaure Grudzinska Tiana Rafali-Clausse Coline de Silans Olivia Sorrel-Dejerine
Directeur Artistique
Joseph Feutrier
Coordinatrice
Coralie Bariot
Graphiste
Lara Silber
Secrétaire de rédaction
Louis Haeffner
Responsable digital
Antoine Viger
Rédactrice en chef digital
Cyrielle Balerdi
Rédacteurs
Isaure Grudzinska Camille Hispard Tiana Rafali-Clausse Coline de Silans Olivia Sorrel-Dejerine Rachel Thomas
Photographes
Mehdi Othmani-Thomas Lara Silber
Régie pub
Benjamin Alazard Léa Richy Aurélie Sans
Directeur des ventes
Lionel Ponsin
Chefs de publicité print
Élodie Gendron Benjamin Haddad Thomas Reka Victor Serres
Chef de projets
Dulien Serriere Florian Yebga
Vidéo maker
William Baudouin
Partenariats
Fanny Lebizay
Stagiaires
Manon Merrein Bénédicte Vicent
Contactez-nous
SAS Le Bonbon 15, rue du Delta 75009 Paris 01 48 78 15 64
Siret
510 580 301 00040
Ils s’appellent Jodi et Megan, Fabien et Alexandre, Célia, Sarah, ou encore Julie. Ils ont libéré la parole des femmes en dénonçant Harvey Weinstein dans un article retentissant, ont créé une start-up pour transformer les déchets organiques en compost, sont venus en aide aux migrants en leur proposant des hébergements, ont fabriqué des sacs de couchage sur-mesure pour les SDF, ou se sont battus contre les violences faites aux femmes. Autant de personnes dont les noms ne vous diront peut-être rien, mais qui ont contribué, chacun à leur échelle, à rendre cette année 2017 un peu plus belle. Et si, au lieu de prendre des résolutions du style se remettre au sport et arrêter de fumer (comme les dix années précédentes), vous profitiez de ce mois de janvier pour vous aussi vous transformer en héros sans cape ? Après tout, comme le disait notre regretté Jean d’Ormesson « ce qu'il y a de mieux dans ce monde, de plus beau, de plus excitant, ce sont les commencements ». Alors on compte sur vous pour donner à 2018 un coup d’envoi mémorable les bonbons. Il n’est jamais trop tard pour devenir un héros. Bonne année à tous ! Coline de Silans
Imprimé en France
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JANVIER 2018
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BON RESTAURANT
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BON ASIAT'
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BON BISTRO
Le Pavillon Baltard est mort, vive le Baltard au Louvre ! L’Asie du Sud-Est au bout de tes baguettes Le bar des copains
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BONNE ÉTOILE
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BON STUDIO
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BONNE THÉRAPIE
Pøle, l'institut qui soigne par le froid
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BONNE ENQUÊTE
Les poissonniers de Paris boivent la tasse
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BONNE INITIATIVE
Une asso pour recréer du lien social dans Paris Centre
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BONS SNAPSHOTS
Vos résolutions 2018
Félix Moati n'est pas qu'un fils de... Cocottes Studio, le cabinet d’architecture d’intérieur le plus tendance de Paris
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PARISIENNES D U P A L A I S - R O YA L A U P A L A C E
E X P O S I T I O N G R AT U I T E À L’ H Ô T E L D E V I L L E
SALLE SAINT-JEAN - 10H / 18H 30 - 25.11.2017 / 27 .01. 2018
Kenzo Birthday - Le Palace - 11 mars 1978 - © Philippe Heurtault
LES NUITS
BON TIMING On se marre au Grand Rex Dans le cadre de la 3e édition du Festival de l’Humour, du 10 au 22 janvier, les plus grands du stand-up vont venir faire vibrer le Grand Rex le mardi 16 janvier ! Au programme, des vannes, des punchlines, et surtout beaucoup de rires, dans l’une des salles les plus emblématiques de Paris. Une bonne façon d’entamer la nouvelle année avec le sourire ! Stand-Up Grand Rex - 1, bd Poissonnière – 2e Mardi 16 janvier 2018 à 20h00
@ Vincent Marcolla / DR / DR
On (re)découvre la Bibliothèque Historique de la Ville de Paris En travaux depuis plusieurs mois, la Bibliothèque Historique de la Ville de Paris a enfin rouvert ses portes au public. L’occasion de pénétrer dans le bel hôtel particulier de Lamoignon et de le découvrir de l’intérieur, avec ses poutres anciennes du XVIIe et ses rangées de livres anciens. Idéal pour faire le plein de culture, de calme, et d’Histoire ! Bibliothèque Historique de la Ville de Paris 24, rue Pavée - 4e
On va au Ciné club Sparring x le Bonbon A plus de 40 ans, Steve Landry (Mathieu Kassovitz) est un boxeur qui a perdu plus de combats qu’il n’en a gagnés. Avant de raccrocher les gants, il accepte une offre que beaucoup de boxeurs préfèrent refuser : devenir sparring partner d’un grand champion. Un film beau et sensible, qui nous cueille comme un crochet du droit au cœur, à voir en exclu dans notre ciné club ! Club de l’Etoile - 14, rue Troyon - 17e 22 janvier à partir de 20h Sortie en salles le 31 janvier
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LE BON RESTAURANT
Le Pavillon Baltard est mort, vive le Baltard au Louvre ! Au cœur des Halles, Le Baltard au Louvre a discrètement remplacé le Pavillon Baltard après sept ans de fermeture, et on préfère vous prévenir, nos papilles sont encore sous le charme. Dans un cadre magnifique, en plein cœur de Paris avec vue sur les jardins de la Canopée et Saint-Eustache, le restaurant a réutilisé les marquises d’époque du Pavillon Baltard
pour créer une ambiance mi-années trente, mi-contemporaine. A l’intérieur, la décoration fait la part belle au liège et au bois et la lumière entre à flots grâce aux grandes baies vitrées du jardin d’hiver. Pour déjeuner ou dîner, on s’installe donc avec plaisir sous la verrière, en terrasse si le temps le permet, dans la belle salle avec cuisine ouverte, ou planqué en bas, dans le speakeasy cosy, avec cheminée et canapés.
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Une pépite gastronomique en plein cœur de Paris Le midi, le lieu propose une formule imbattable à 22€ ou un menu découverte ou dégustation, en trois ou quatre temps pour 36€ ou 45€, que l’on retrouve aussi au dîner. Ici, pas d’obligation de passer par l’habituel parcours entrée/plat/dessert, mais libre à vous de piocher dans les envies salées ou sucrées comme bon vous semble. La carte est courte, car réalisée uniquement à base de produits saisonniers et locaux, et les assiettes mettent toutes en avant un produit phare, retravaillé et sublimé à l’aide de garnitures et d’assaisonnements bien pensés. Parmi nos coups de cœur, la kabocha, une courge confite au sirop d’érable et accompagnée de champignons acidulés, le foie gras poêlé à la betterave, crème de raifort et anguille fumée, les noisettes d’agneau rôties et aubergines "brûlées", ou encore les poires au beurre noisette au miel et fenouil
confit, une véritable petite bombe culinaire. L’homme à l’origine de ces délices aussi bons que beaux s’appelle Ewout Vranckx, et est passé par de nombreux étoilés (dont le Louis XV, Ledoyen, le George V ou encore le Meurice...), avant d’obtenir ici sa première place de chef. Car c’est aussi ça la philosophie du Baltard au Louvre, comme des autres restaurants de Laurent Fréchet d’ailleurs (Pirouette, Zebulon...) : faire éclore un talent et donner sa chance à un jeune chef et l’encourager à donner le meilleur de luimême. Une belle philosophie pour un résultat sans appel : pari réussi sur toute la ligne.
Le Baltard au Louvre 9, rue Coquillière – 1er Tél. : 09 83 32 01 29 www.baltardaulouvre.com
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LE BON ASIAT’
On a trouvé la perle qui va te faire redécouvrir le pad thaï comme en Thaïlande, et le bœuf lòc làc comme au Cambodge. Direction la rue Saint-Honoré. Mamatchai, qui veut dire "bon appétit" en dialecte, a été fondé par un couple de jeunes fondus de gastronomie d’Asie du Sud-Est, Mengshi et Johnny. Et ils savent de quoi ils parlent, puisqu’ils ont baigné dedans depuis tout petit. « Nous voulions un lieu qui permette vraiment de redécouvrir la cuisine asiatique, avec de vrais bons produits, frais et travaillés. » Pari réussi pour ce joli resto à la déco épurée, toute de blanc et de bambou. Au menu, on trouve des bún faits minute devant les clients
au bœuf, poulet, crevettes ou tofu, des bœufs lòc làc à tomber, des pad thaï, des soupes phò faites dans les règles de l’art, des pâtes de riz et des nouilles sautées. Presque tout se décline en version végétarienne, et le tofu utilisé est fumé aux cinq parfums pour donner plus de goût. Chaque jour, un plat du moment avec un accompagnement est proposé pour la modique somme de 8,80€ et en menu avec une boisson à 9,80€, midi et soir. Les desserts sont eux aussi tous faits maison, et pour l’avoir goûté on vous recommande fortement le chè chuoi, un dessert à base de lait de coco, de perles de tapioca et de bananes plantain, authentiquement délicieux. Le soir, on prend le temps et on profite des conseils de Mengshi pour apprendre à savourer ses plats comme il se doit. Une belle adresse pour voyager grâce à ses papilles !
Mamatchai 46, rue Saint-Honoré – 1er Tél. : 01 40 41 98 94
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Communiqué
L’Asie du Sud-Est au bout de tes baguettes
LE BON BISTROT
Le bar des copains
On vous a dégoté une nouvelle adresse au poil : de bons produits, des petits verres soigneusement sélectionnés, et surtout, un accueil super chaleureux de Cédric et Alexandra.
Le soir, l’ambiance se tamise et l’on vient prendre un plat ou siroter un bon verre de vin accompagné de l’incontournable planche mixte : cecina de bœuf, jambon matanza, coppa du Béarn, morbier, comté, cantal, légumes grillés et j’en passe, le tout pour 20€. Un super repaire de copains chaleureux comme tout, où l’on passerait bien toute la journée. Il paraîtrait même que Killian fait un super rhum arrangé… avis aux amateurs !
Le Parisien 337, rue Saint-Martin – 3e Tél. : 01 42 72 11 33
Communiqué
Derrière sa déco design un peu rétro, Le Parisien cache une âme d’authentique bistro, le sourire en plus. La carte est courte mais pointue, avec uniquement du fait maison et des produits sélectionnés avec amour par Cédric, qui privilégie les circuits courts : « ma charcuterie vient de Maison Seguin, mes champignons des crayères de Paris, et mes salades de maraîchers locaux », affirme-t-il
joyeusement. A la carte, on trouve des classiques revisités, à l’image du croque burrata/légumes grillés ou de l’œuf coque avec mouillettes frites au beurre, une véritable petite tuerie. Le matin, on vient profiter de l’offre petit-déj’ imbattable avec jus pressé, boisson chaude, viennoiserie et œufs pour 12,50€, tandis que l’après-midi, on savoure un bon chocolat chaud maison. Et que les gourmands se rassurent, ici on peut picorer dans toute la carte, de 11h30 à 23h !
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LA BONNE ÉTOILE
Félix Moati n’est pas qu’un fils de…
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FÉLIX MOATI Vous l’avez aperçu dans LOL, Télé Gaucho, Hippocrate ou encore À trois on y va. Fin janvier, Félix Moati, jeune acteur prometteur du cinéma français, sera à l’affiche de Gaspard va au mariage d’Antony Cordier, sorte d’ovni cinématographique où l’on suit une histoire de famille hors norme dans le décor singulier d’un zoo. Un film où conte et réalité s’entremêlent dans un tourbillon de désir, d’humour et de mélancolie. Entretien avec une figure qui vaut bien plus que sa belle gueule. Qu’est-ce qui t’as séduit dans ce film ? Antony Cordier est un cinéaste qui m’intéressait depuis longtemps, j’avais adoré Douche Froide et Happy Few, ses deux films précédents. J’étais ravi qu’il me propose de lire son nouveau scripte, et c’est vrai que les thèmes abordés me plaisaient ainsi que l’originalité du ton. Le fait de mettre un discours intime autour de la famille, des liens fraternels, du rapport au père dans un zoo, je trouvais ça très séduisant parce que ça permettait de protéger le spectateur par un décor d’enchantement comme dans un conte pour enfants, je trouvais ça très judicieux. Et puis l’écriture très délicate, le fait que dans le film on n’arrête pas de se dire des vacheries, mais avec le sourire. L’histoire se passe dans un zoo, si tu devais être un animal, lequel serais-tu ? Il y a quoi comme animal orgueilleux et qui prend beaucoup de place ? Le lion ? Un lion c’est trop. C’est majestueux et je n’ai aucune majesté, j’ai la petitesse de mon égo… Je serais une girafe ! D’ailleurs, j’ai eu un grand moment d’amitié avec une girafe
dans le zoo où on a tourné, elle s’appelait Paul, et j’ai vraiment eu un moment d’amitié, d’affection mutuelle… Je ne suis pas trop l’ami des animaux à la base, mais avec Paul ça s’est très bien passé. Quels sont tes points communs avec ton personnage, Gaspard ? Je ne sais pas si on se ressemble dans la vie, mais en tout cas je m’en sens proche, c’est quelqu’un que je comprends très bien, et je comprends très bien son désir d’éloignement, sa quête de liberté mais aussi le fait de retourner dans sa famille. Je suis aussi très sensible à sa vision selon laquelle il est possible d’aimer quelqu’un plus que sa propre famille. Il y a des scènes assez crues, voire même choquantes pour les plus puritains d’entre nous - les scènes de sexe notamment. Ont-elles été difficiles pour toi à jouer ? Toutes les scènes de nudité ont été compliquées pour moi. Je suis très mal à l’aise avec ça, et en l’occurrence dans ce film c’est essentiel. C’est un film sur les corps, sur l’animalité, sur la sensualité, sur le désir sexuel, évidemment si tu ne le fais pas, tu ne vas pas au bout de ton propos, donc c’est regrettable. Mais les scènes de nudité me mettent dans un état de tension. Je me sens laid. Je me sens nu comme un vers. J’ai remarqué que les actrices avaient beaucoup plus d’aplomb avec ça, elles n’en font pas tout une histoire alors que moi et mes camarades acteurs, on était beaucoup plus tendus. Le désir est un élément prégnant dans ce film, on y perçoit même un désir animal par le fait que cela prenne place dans un zoo, et en même temps les désirs sont
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FÉLIX MOATI confondus - Coline aime son frère Gaspard lui, la désire aussi… Pour toi, cela fait partie de la dimension réaliste du film ou plutôt fantastique ? Déjà le personnage de Coline, ma petite sœur dans le film, tire le film vers le conte, vers Peau d’âne, vers un truc d’enchantement, donc ça permet d’aborder ce genre de thèmes qui peuvent être un peu "border" parce qu’il y a quelque chose de très enfantin, de merveilleux, qui nous permet d’accepter ça, et on a raison de l’accepter, car comme le dit le personnage de Marina Foïs, « ça ne menace pas l’espèce », et c’est vrai.
Tu viens de finir ton premier long métrage, Deux Fils, peux-tu nous en dire un peu plus ? C’est une histoire de famille, d’héritage, de transmission, de fraternité où l’on découvre comment un petit perd l’admiration qu’il avait pour ses ainés, puis comment il la regagne au long du film.
Ton personnage vit les derniers jours de son enfance, est-ce que toi tu considères avoir quitté l’enfance ? Je ne sais pas pour moi mais en tout cas dès que je rencontre quelqu’un, j’essaye de l’imaginer enfant. Est-ce que c’était un enfant triste, joyeux, ennuyé, mélancolique… Il y a des gens dont je me suis rendu compte que je n’arrivais même pas à les imaginer enfant, et ça, ça me glace le sang. Sinon plus concrètement, depuis que j’ai 18 ans je gagne ma vie, je suis projeté dans un monde d’adultes depuis jeune… J’étais un enfant joyeux, très turbulent, je n’ai pas changé sur ça par exemple. Après ce sont plutôt les autres qui m’intéressent.
Du coup, tu as une tenue de camouflage ? Non, mais je me souviens qu’à la sortie de LOL j’avais créé des subterfuges, j’étais au lycée et les profs m’avaient demandé de trouver de quoi me grimer. Je mettais des lunettes, du papier sous mes lèvres, et ça marchait.
Ton meilleur souvenir du tournage ? J’ai adoré la scène de l’aquarium avec Johan Heldenbergh parce que je pense honnêtement avoir eu le plus gros fou rire de toute ma vie. (Johan Heldenbergh, le père de Gaspard dans le fim, plonge nu dans un immense aquarium pour se faire manger les bouts de peau morte par des milliers de poissons, ndlr). En voyant tous ces petits poissons lui bouffer le corps, je n’arrivais plus à m’arrêter de rire.
Et sinon, est-ce que les gens te reconnaissent dans la rue ? Tu m’aurais reconnu toi dans la rue ? Probablement. Bah voilà !
Ta drogue préférée ? Le whisky japonais. Je suis beaucoup trop paranoïaque pour me droguer. Ton fantasme du moment dans le cinéma français ? Je suis amoureux. Ça n’empêche pas d’avoir des fantasmes ! Je les connais toutes, je ne peux pas dire de nom, ce serait trop la honte… Si tu étais un bonbon ? Une Félix Chupa Chups.
Gaspard va au mariage, d’Antony Cordier Sortie le 31 janvier 2018
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“Dès que je rencontre quelqu’un, j’essaye de l’imaginer enfant.” 13
Communiqué
Cocottes Studio, le cabinet d’architecture d’intérieur le plus tendance de Paris.
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LE BON STUDIO
Mettez du pep’s dans votre appart’
Avec la nouvelle année, une furieuse envie de changement s’est emparée de vous. Et la première victime collatérale n’est autre que votre appart'. Ça tombe bien, c’est justement le boulot de Cocottes Studio, le cabinet d’architecture d’intérieur le plus tendance de Paris. A l’origine du projet, Morgane et Alexandra, deux amies qui se sont rencontrées dans les prestigieux ateliers Camondo, l’institution culturelle des Arts Déco. Dans leur studio, les deux "cocottes" proposent de rénover votre appart' de A à Z, qu’il s’agisse de restructurer des espaces ou tout simplement d’aménager la déco. Et autant vous dire que les demoiselles ont bon goût : univers coloré et féminin, mobilier cosy et matériaux trendy, il suffit de se balader sur leur site pour avoir envie de changer d’appart' illico ! Très à l’écoute si vous avez des idées mais aussi forces de proposition si vous séchez, Morgane et Alexandra sont à la fois là pour
guider leurs clients et les accompagner dans l’épreuve que peut être un chantier, tout en s’assurant que tout soit parfait jusqu’à l’aboutissement du projet. Pour ceux que l’envie de changement poursuivrait jusqu’au boulot, sachez que les deux cocottes développent également leur activité dans cette branche, ainsi que dans les restaurants, boutiques et hôtels qui voudraient se refaire une beauté. Et comme il paraît qu’on travaille toujours mieux dans de jolis lieux, ça tombe plutôt bien. Enfin, si vous voulez vous la raconter, dépêchezvous d’investir dans un sol en terrazzo et des luminaires globes, on nous a soufflé dans l’oreillette que c’était la nouvelle tendance 2018… A bon entendeur !
Cocottes Studio 5, rue Salneuve – 17e Tél. : 06 21 20 03 20 www.cocottestudio.com
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LA BONNE THÉRAPIE
L’institut qui te soigne par le froid On sait déjà ce que vous pensez. Vous détestez avoir froid, il fait d’ailleurs déjà bien assez froid dehors sans s’infliger en plus une dose de gel supplémentaire. Pour tout vous dire, on pensait comme vous. Mais ça, c’était avant qu’on mette les pieds chez Pøle. Cet institut chaleureux, tout en bois et blanc, est spécialisé en cryothérapie, a.k.a la thérapie par le froid. Et croyez-moi, vous allez aimer ça. Le but de cette thérapie d’un nouveau genre : régénérer le corps en stimulant la production d’endorphines, en relançant le flux sanguin et en favorisant le drainage. Et contrairement aux idées reçues, ces soins sont accessibles à tous ! Version corps entier pour les sportifs qui ont besoin d’une bonne récupération, les stressés qui désirent apaiser leurs tensions, ou ceux qui souffrent de problèmes de sommeil ; version plus localisée pour ceux qui souhaitent mincir, drainer et raffermir certaines zones. Dans le premier cas, la séance dure cinq minutes. Le principe est simple, on se glisse en entier dans une cabine, les pieds et les mains protégés pour ne pas avoir trop froid.
De l’air chaud est d’abord envoyé, puis la température baisse progressivement, jusqu’à être vraiment froide pendant trois minutes (on a bien dit QUE trois minutes, allez, courage). Dans le second cas, il faut compter une heure, photos et mesures à l’appui, et un petit appareil applique du froid uniquement sur la zone ciblée. Pour les frileux pas de panique, la plupart des gens ne ressentent même pas l’effet du froid car la main du praticien permet de réchauffer la zone, nous explique Aurèle, le gérant. Pour ceux que l’hiver a malmenés, vous penserez à tester le soin visage Polåar by Pøle, à base de cosmétiques issus de plantes poussant en Arctique et en Antarctique. Le must pour dire bye bye aux cernes et aux poches ! Une thérapie idéale pour remettre les compteurs à zéro après les fêtes. Enfin nous on dit ça, on ne dit rien…
Pøle 13, rue du Bouloi – 1er Tél. : 01 40 41 91 18 Rendez –vous sur www.polecryo.fr
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“Une thérapie idéale pour remettre les compteurs à zéro après les fêtes.”
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LE BON HUMOUR
Un festival pour te redonner le sourire ! #Fucklamorosité Pour sa troisième édition, l’événement revient du 10 au 22 janvier 2018, transformant une fois de plus Paris en capitale du rire ! Après avoir rassemblé plus de 200 artistes et 30 000 spectateurs lors de ses deux dernières éditions, le Festival d’Humour de Paris (FUP) revient pour une 3e édition haute en couleur. Pendant 12 jours, les plus grands humoristes du moment investiront différentes salles parisiennes pour nous faire rire aux éclats. Le 10 janvier, François-Xavier Demaison inaugurera ce grand bal de l’humour avec une représentation de son dernier spectacle à l’Olympia, entouré pour l’occasion d’invités surprises. À travers 14 soirées, le FUP nous a concocté une programmation inédite et éclectique avec au menu une carte blanche à Pierre-Emmanuel Barré au Théâtre Antoine. Le 11 janvier, les férus de foot se délecteront avec Hourra Football, la grande soirée de l’humour et du foot à l’Olympia, organisée à l’occasion de la Coupe du monde 2018. Le capitaine de l’évènement, Julien Cazarre, s’occupera d’animer la soirée ponctuée de
sketchs, vidéos et surprises, par des artistes tels qu’Arnaud Tsamere, Guillermo Guiz ou Baptiste Lecaplain. Les plus baroudeurs fonceront à Bobino le 15 janvier pour se faire embarquer dans La Grande soirée de l’Impro et découvriront le talent de la troupe du Grand Showtime et leurs invités : le duo musical Oldelaf et Alain Berthier ou encore l’immaîtrisable Kheiron. Quant aux fans de stand-up, le FUP vous donne rendez vous pour une soirée dédiée le 16 janvier au Grand Rex. Le temps de quelques heures, cette salle mythique deviendra le plus grand comedy club de France avec les plus grands noms du moment – Fary, Blanche Gardin, Panayotis ou encore Kevin Razy. Sans oublier les autres soirées qui elles aussi valent le détour ! Vous l’aurez compris, ce festival ne pourra que vous séduire en plus de vous redonner le sourire.
Festival d'Humour de Paris www.festivaldhumourdeparis.com Du 10 au 22 janvier 2018
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“Envie de dire bye bye à la morosité ambiante de l’hiver ? Le Festival d’Humour de Paris pourrait bien être la solution.”
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“De 2 millions en 1930 à quelques 800 000 aujourd’hui, selon le fameux rapport, les commerces de proximité ont bien quitté le navire.”
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LA BONNE ENQUÊTE
Les poissonniers de Paris boivent la tasse
Coquillages et raz-de-marée pour nos charmantes poissonneries de quartier. De moins en moins de Parisiens poussent leurs portes, comme celles des autres commerces de proximité, selon un rapport publié en octobre 2016 par l’Inspection générale des finances (IGF). Pourquoi ? Manque de temps, prix trop élevés, une industrialisation chaque jour plus intense… Au café du Commerce, chacun a son mot à dire. Alors on a passé du temps avec quelques illustres poissonniers pour en savoir plus sur ce que c’est de tenir la barre de ces adresses iodées. Un état des lieux aussi noir qu’il y paraît ? De 2 millions en 1930 à quelques 800 000 aujourd’hui, selon le fameux rapport, les commerces de proximité ont bien quitté le navire. Les traiteurs, ateliers, librairies, kiosquiers, bistrots d’antan sont délaissés au profit de rayons aseptisés à la taille monstrueuse illuminés de néons blancs, remplis à ras bord de produits industriels.
Pour Charly, notre illustre poissonnier de la rue Oberkampf, c’est « carrément scandaleux. Je suis l’un des seuls qui s’investit pour faire vivre mon quartier depuis 2003. Je mets tout mon cœur pour faire de ma poissonnerie un lieu de vie, de passage, le tout avec le sourire et une pêche d’enfer, et quoi ? Ce matin par exemple, j’ai eu une vingtaine de clients, c’est bien mais ça devrait être tellement plus ! ». Alors pourquoi les poissonneries n’attirent plus le chaland ? Pour Amaury*, poissonnier dans l’Est parisien qui préfère rester discret, « c’est une question de temps. Maintenant les gens préfèrent les plats cuisinés plutôt que de faire griller eux-mêmes un bon filet de daurade… » regrette-t-il. « Question de choix ou d’envie, il est vrai qu’en 10 ans notre clientèle a pas mal évolué et se dirige plus vers des plats cuisinés que vers une cuisine maison et des produits frais ». Ça vous parle ? Et quel est le paradis des flemmards et des surbookés ? Les supermarchés, bravo !
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LA BONNE ENQUÊTE Rien qu’aux alentours du commerce de Charly, il y en a sept, « sept de trop ». Le phénomène n’est pas exclusif au 11e puisque d’après une étude de Bonial en 2016, les commerces de plus de 100 m2 ont plus que doublé en dix ans dans la capitale. Plus qu’une question d’envie, Charly en est certain, « c’est une fatalité. Les clients délaissent la qualité, la proximité, le savoir-faire et les petites attentions pour des économies de bout de chandelle. Ils préfèrent se voiler la face sans penser à la pêche durable et française… c’est minable » conclut-il sans appel. Pour Smail, écailler de l’autre côté de la capitale, le problème est ailleurs : « peut-être que la fréquentation des poissonneries baisse parce que la manière de les gérer n’est pas bonne. Être commerçant de quartier, ça ne s’improvise pas, c’est un art. ». Soit. Alors pour faire sortir la tête de l’eau à nos poissonneries de quartier, il faudrait privilégier la qualité à la quantité, le frais au surgelé et bien sûr, tout ça a un coup évident. D’ailleurs, qu’en pensent les clients ? Rachid*, fervent amateur de fruits de mer, et plus particulièrement d’huîtres, avoue ne pas aller tant que ça dans les poissonneries mais "slurper" dans les bars, qui ferment plus tard… Lors de cette enquête, plusieurs poissonniers que nous avons approchés n’avaient presque pas le temps de nous en accorder. Grâce au rush des fêtes de fin d’année ? Peut-être, ou peut-être est-ce grâce à leur popularité dans le quartier, la qualité de leurs produits et la présence passionnée de leurs clients. * les prénoms ont été modifiés Charlotte
Tiana Rafali-Clausse
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LA BONNE INITIATIVE
Une asso pour recréer du lien social dans Paris Centre Vous avez peut-être déjà entendu parler des régies de quartier, ces associations qui visent à améliorer le cadre de vie des habitants tout en permettant à des salariés en situation de précarité de se réinsérer ? Pour renforcer la solidarité dans son quartier, la régie a notamment mis en place des activités ouvertes à tous les adhérents de l’association, permettant d’employer des salariés en réinsertion. C’est le cas des ateliers couture, qui cartonnent grâce au charismatique Mamadou, ex-couturier pour la haute couture, désormais à la tête d’une
activité de tailleur sur-mesure. Dans la nouvelle antenne de l’association, Mamadou transmet donc toutes les semaines son savoir-faire. Parmi les autres bonnes idées, un jardin partagé dans la cour du CNAM, dans lequel n’importe quel adhérent peut venir faire pousser ses plantes, et une bricothèque, qui ouvrira bientôt ses portes, permettant aux habitants d’emprunter des outils à moindre coût, avec ateliers dédiés et conseils à l’appui. Une belle asso, qu’on vous encourage fortement à soutenir si vous habitez dans le centre de Paris !
Régie de Quartier Paris Centre 58, rue du Vertbois – 3e 22, rue de Beauregard – 2e Tél. : 01 42 77 22 20 Adhésion 10€ ou 5€ (chômeurs ou RSA) Ateliers couture tous les mardis et jeudis de 14h30 à 17h30, mercredi de 18h à 21h et samedi de 10h à 13h. Cours d’essai gratuit puis 15€/cours ou 200€/an.
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LE BON HOROSCOPE
BÉLIER
GÉMEAUX
Pour une bonne année 2018, prenez un grand verre de potes, une rondelle de chance, un zeste d’amour et quelques gouttes d’espièglerie, mélangez le tout, shakez, laissez reposer cinq minutes puis foutezmoi tout ça au micro-ondes jusqu’à ébullition. Voilà, un bon grog de kiff, à servir dans une flûte à champagne pour le style.
Ne soyez pas triste, d’autres célébrités vont mourir cette année, Johnny ne restera pas seul longtemps au paradis des idôles des jeunes. Par contre, parier avec vos potes sur la prochaine victime célèbre de 2018, c’est pas très classe et niveau karma, c’est assez risqué. Pariez plutôt sur une victoire de la France à la Coupe du monde de football, ça c'est classe.
LION Que vous réserve cette nouvelle année ? C’est ça votre question ? Vous feriez mieux de vous demander comment trier correctement vos déchets ou comment recycler cette vieille chaîne hi-fi que vous trimballez depuis vos dix ans. L’économie circulaire vous connaissez ? Eh ben renseignez-vous svp, c’est le futur.
TAUREAU
CANCER
VIERGE
Ah les Taureau ! Depuis le temps qu’on vous dit de faire les choses dans l’ordre, il s’agirait de commencer à nous écouter. Donc cette année, c’est salé avant sucré, burger avant nuggets et after après petit-dej’. C’est pas bien compliqué, il suffit de baser votre vie sur le principe universel de la LOGIQUE. Voilà, c’est dit.
Vous avez commencé l’année sur les chapeaux de roue, littéralement, et c’était marrant de vous voir vous escrimer à faire tenir le vieux bob Ricard de votre grand-père sur la roue avant de votre VTT, tout ça pour pouvoir mettre une photo marrante sur Instagram. J’espère qu'au moins vous l’avez partagée sur Facebook.
En 2018, vous allez rencontrer l’âme frère. C’est comme l’âme sœur mais en plus vénère et en jogging Lacoste. Oui c’est un cliché et alors ? Je fais ce que je veux, c’est mon horoscope. Donc vers le mois de mars, en déambulant tranquille dans la Cité des Quatre Mille, un beau jeune homme croisera votre route ; chopez-le.
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BILL@LEBONBON.FR
BALANCE
Illustrations : Cécile Jaillard
Après une année 2017 pleine de rebondissements plutôt heureux, 2018 devrait vous apporter la stabilité. On n’a pas dit de quel côté de la force, mais en tout cas pour une fois vous aurez fait un choix et vous vous y tiendrez. C’est déjà un beau progrès, espérons simplement que ce choix soit le bon (faites confiance à vos amis pour ça).
SAGITTAIRE A l’image des Indiens d’Amérique, vous faites la danse de la pluie depuis le premier janvier. Alors c’est joli votre spectacle là, mais il s’agirait de redescendre un peu, et de se remettre au boulot, d’autant plus que votre boss commence à trouver votre comportement quelque peu étrange. Et en passant, la pluie, y’en a marre !
VERSEAU Cette nouvelle année qui commence s’annonce des plus prometteuses : vous avez perdu votre portable au Nouvel An, du coup impossible de savoir si vos contacts vous ont envoyé leurs meilleurs vœux. Quelle guigne ! Vous espérez donc secrètement avoir eu une trentaine de notifications, mais êtes dans l’expectative la plus totale.
SCORPION
CAPRICORNE
POISSONS
Enlevez-moi ce nœud papillon de votre front, vous ne ressemblez à rien et le Nouvel An, c’était y’a une semaine, il faut grandir un peu. Par grandir, j’entends prendre des bonnes résolutions, comme arrêter de laisser couler l’eau quand vous vous brossez les dents ou remplacer votre vieux balai par un aspirateur de marque française.
Vous avez la chance d’être plutôt pas mal de votre personne, mais du coup vous ne faites absolument aucun effort vestimentaire, vous croyant tout permis. Prenezvous en main s’il vous plaît, le col roulé n’est plus à la mode depuis Franck Dubosc et le gland de vos chaussures commence à se décrocher. Optez pour des Stan Smith.
La meilleure résolution que vous pouvez prendre cette année, c’est de vous mettre au piano. Le piano c’est beau, ça détend, ça plaît à tout le monde et en plus vous adorez le noir et blanc. Bon, ça prend un peu de place dans un appartement, mais allezvous vraiment vous laisser ennuyer par des contingences matérielles ?
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LE BON SHOPPING
r e i v n Ja
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Mobile l'alchimiste - Volta - 129€ Miroir asymétrique doré - Sandelin concept store - 150€ Bougie parfumée Andy Warhol - Ligne Blanche - 50€ Fauteuil Rietveld - Cassina - NC Pull en édition limitée - L’Exception - 149€ Singe tricoté en mohair - The Conran Shop - 105€ Vase Iris - Hay - 69€ Tote bag Le Bonbon - coralie@lebonbon.fr
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LES BONS SNAPSHOTS
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JANVIER 2018
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LE TOP DES GOÛTERS
Le + exotique Umami Matcha Café Vous avez sûrement déjà entendu parler de Umami Matcha Café, ce spot qui s’est spécialisé dans la poudre de thé vert ? Que ce soit sous forme de boissons chaudes et froides, de glaces ou de pâtisseries, ici le matcha est décliné sous toutes ses formes. A l’heure du goûter, on s’y presse pour déguster un succulent marbré au matcha, accompagné évidemment d’un bon latte verdoyant. Un régal !
22, rue Béranger – 3e
Le + american dream Stoney Clove Bakery Ouvert depuis peu, Stoney Clove Bakery fait le bonheur de tous les aficionados de pâtisseries américaines, avec ses brownies chocolatés, ses layer cakes à étages, ses sandwichs cookies et ses pecan pies…. Mention spéciale pour le cookie bacon caramélisé et chocolat noir, totalement régressif mais délicieux.
71, rue Greneta – 2e
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Le + frenchy Angelina Pour un goûter typiquement de chez nous, rendez-vous chez Angelina, le salon de thé incontournable de la rue de Rivoli. Idéal pour y déguster un chocolat chaud onctueux bien au chaud pendant l’hiver, on y va aussi pour le Mont-Blanc, le dessert emblématique de la maison, que l’on savoure bien calé dans un fauteuil moelleux. Attention, une fois installé, il est difficile d’en repartir…
226, rue de Rivoli – 1er
Le + régressif Le Loir dans la Théière Inspiré directement du conte d’Alice au pays des Merveilles, le Loir dans la Théière est devenu une institution du Marais. Il va falloir vous armer de patience pour y entrer, mais une fois installé, on s’empiffre sans vergogne de tarte au citron meringuée aux dimensions impressionnantes, de cheesecake maison, de fraisier crémeux, de millefeuille craquant, et j’en passe… Quand on vous dit que la patience est toujours récompensée !
3, rue des Rosiers – 4e
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LES BONNES ANNONCES
Je vais continuer à être amoureux de dudu. Florian
Je continuerai à mettre des taules au babyfoot. La Louise Un truc physique, avec une femme, voire plusieurs… Willos
Voyage voyage Plus loin que la nuit et le jour Dans l’espace inouï de l’amour Voyage voyage. Fanny
Moi je continuerai à dire aux gens que leurs blagues ne sont pas drôles. Manon Comme 2018 rime avec cuite, je vais continuer sur ma lancée. Alexis
En 2018 je vais continuer de faire des rêves de taré. Dulien
Qui a déjà fait croire qu’il allait arrêter de fumer ?
Sailor tellement fier de te voir grandir ! Papa Jack
OFFRE DÉCOUVERTE 1€ OFFERT SUR LA FORMULE DE VOTRE CHOIX Madame Croque-Monsieur Des croque-monsieurs généreux, des croque-monsieurs délicieux 100 % maison 45, rue Saint-Sauveur - 2e / Tél. : 01 42 36 91 38 Lun - sam : 10h00 - 22h00 / Dim : 10h00 - 15h00 Fb : Madame Croque Monsieur Insta: @madamecroquemonsieur
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