Le_Bonbon_Janvier

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Modèle : Rosalie “Rosa” Ngom

Photographe : Yona Romet

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LE BON ÉDITO

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Benjamin Haddad benjamin.h@lebonbon.fr

Tél. : 06 20 23 54 49

Tél. : 01 48 78 15 64

15, rue du Delta – 9e 510 580 301 00040

L’année se termine dans un marasme cataclysmique. En France, l’instabilité politique et le trou béant des finances publiques, qui nous rapproche chaque jour un peu plus de la situation que la Grèce a connue, sont plus que préoccupants. Dans le monde, les mauvaises nouvelles s’accumulent comme des nuages noirs, n’augurant rien de bonbon ; le repli sur soi, la fermeture des frontières, la montée du populisme, la prolifération des dictateurs, la guerre en Ukraine, le conflit israélo-palestinien qui s’étend aujourd’hui au Liban et en Syrie, les catastrophes naturelles…

Néanmoins, au Bonbon, on garde espoir ! S’il reste quelques signes positifs, on s’y accroche ! Cherchons bien. Pensons par exemple à la chance que nous avons d’être encore libres dans une démocratie ; ou aux initiatives qui se créent autour d’hommes et de femmes héroïques consacrant leur vie à essayer de sauver les océans et la Terre.

Je ne crache pas sur l’existant car il a le mérite d’exister. J’aimerais simplement qu’il évolue vers une meilleure répartition des richesses. 1% de la population mondiale détient 50% de la richesse globale. Cette ineptie n’est  plus tenable !

Au Bonbon, nous défendons des valeurs qui nous semblent essentielles : la proximité, la dimension humaine, l’authenticité, la liberté, l’optimisme…

En attendant que le ciel nous tombe sur la tête – ou pas d’ailleurs –, je vous souhaite une joyeuse année pleine de bulles et de belles aventures.

¤  Le Confiseur

le bon timing

la bonne pratique

la bonne boutique

le bon verger

le bon sport

la bonne pause

le bon hotêl

les bonnes couleurs

la bonne étoile

la bonne culture

le bon astro

les bons

Yoga joyeux et décomplexé

Un souffle de couleurs sur Paris

Un zeste de perfection

Le coaching de tes rêves

4 cafés-librairies où se détendre cet hiver

Un havre bucolique où s’attabler

Une expo qui Pop

Le Paris de… Thomas Dutronc

4 sorties pour bien commencer l’année

Le bon horoscope

Le bon instantané Happy New Year

On profite d’un moment poétique au Théâtre

Silvia Monfort

Laissez-vous emporter par le binôme formé par Andrés Labarca et Sylvain Decure. De l’acrobatie, de la poésie, de la magie… Ce spectacle pluridisciplinaire propose un plongeon dans une réalité magnifiée.

Entre histoires de famille, mystères et traditions, Les quatre points cardinaux sont trois : le nord et le sud nous offre un voyage singulier en Amérique latine.

Les quatre points cardinaux sont trois : le nord et le sud

Théâtre Silvia Monfort 106, rue Brancion – 15e Du 17 au 25 janvier 2025

On remonte le temps avec Joséphine Baker le musical à Bobino

Elle a été l’icône parisienne des Années folles. Venue tout droit du Missouri, la jeune Joséphine rejoint la France où elle devient la femme aux multiples casquettes : résistante, danseuse, chanteuse… une personnalité libre et engagée. À travers ce spectacle musical aux nombreux tableaux merveilleusement chorégraphiés, Joséphine Baker reprend vie et nous raconte son histoire.

Joséphine Baker - Le musical au Théâtre Bobino 14-20, rue de la Gaîté – 14e Jusqu’au 29 janvier 2025

On s’émerveille avec le Festival Mondial du Cirque de Demain

C’est un véritable incontournable !

Du 23 au 26 janvier, le Festival Mondial du Cirque de Demain fait son retour dans la capitale pour une 47e édition. Clowns, acrobates, équilibristes, jongleurs, trapézistes, partagent avec vous leurs fabuleux talents et font de cette compétition un moment hors du temps.

Festival Mondial du Cirque de Demain

Cirque Phénix

Place du Cardinal-Lavigerie – 12e

Du 23 au 26 janvier 2025

© Laure Degroote
©
Julien Vachon

On se laisse émouvoir par Passeport au Théâtre de la Renaissance

Parmi les dramaturges français les plus acclamés, Alexis Michalik nous enchante une nouvelle fois avec Passeport. Issa, réfugié érythréen, se réveille un jour dans la Jungle, l’immense camp de migrants à Calais, sans aucun souvenir de son passé. Humanité, sincérité et émotions garanties, le tout dans une mise en scène parfaitement maîtrisée.

Passeport

Théâtre de la Renaissance 20, bd. Saint-Martin – 10e Jusqu’au 2 mars 2025

On plonge dans les profondeurs de l’intime au Musée des Arts Décoratifs Au détour de 470 œuvres, photographies, peintures et objets d’art décoratifs, la nouvelle exposition du MAD retrace l’histoire et l’évolution de l’intimité, depuis le XVIIIe siècle jusqu’à nos jours. En parcourant les époques, elle explore les notions de sphères publique et privée pour dresser le parallèle entre l’intime d’antan et d’aujourd’hui.

L’intime, de la chambre aux réseaux sociaux Musée des Arts Décoratifs 107, rue de Rivoli – 1er Jusqu’au 30 mars 2025

On voyage au Japon avec Chiharu Shiota au Grand Palais

L’art de Chiharu Shiota se reconnaît entre mille et pour cause : l’artiste japonaise est mondialement connue pour ses installations gigantesques faites de fils de laine entrelacés. Co-organisée avec le Mori Art Museum de Tokyo, cette exposition permet l’exploration du talent et de la carrière de l’artiste, dont les thématiques de prédilection sont le mouvement, la temporalité ou encore le rêve.

Chiharu Shiota, The Soul Trembles

Grand Palais

3, av. du Général-Eisenhower – 8e Jusqu’au 19 mars 2025

© Alejandro Guerrero

Yoga joyeux et décomplexé

Dans le 10e, Baba Club est une véritable bulle d’énergie et de couleurs. Fini les studios sans âme et intimidants : ici, place à une déco chaleureuse, des bonnes vibes et un coffee shop si cool qu’il rendrait accro les moins yogis d’entre nous.

Que les plus réticents se rassurent : chez Baba Club, pas question de viser la performance à tout prix. La discipline se pratique sans pression, avec une vingtaine de professeurs ultra bienveillants et à l’écoute. Que vous soyez novice ou yogi aguerri, il y a forcément un cours pour vous : runner, Pilates, prénatal… L’objectif ? Se reconnecter à soi et s’offrir une parenthèse de bonne humeur, avec une philosophie décomplexée. Car ici, « la notion d’erreur n’existe pas », affirme Louise, l’une des fondatrices passionnées du lieu. Depuis mai, Baba Club ne se contente plus

de nous faire bouger, il nous régale aussi. Le coffee shop, cœur vibrant du lieu, allie douceur et équilibre avec ses overnight oats maison, banana bread moelleux et autres délices. Côté boissons, on craque pour des flat whites parfaitement dosés, des latte crémeux ou encore des infusions bien-être. De quoi faire le plein d’énergie avant ou après une session.

Et pour une détente totale, pourquoi ne pas se laisser tenter par un massage ? Drainage lymphatique, Kobido, ou encore Deep Tissue pour les sportifs, ici, chaque massage est pensé pour répondre à vos besoins. Que vous optiez pour une pause express de 30 minutes ou une session longue pour tout oublier, vous repartirez zen et revitalisé. Mention spéciale au Belly Therapy, un soin spécialement conçu pour apaiser le ventre, qui fait l’unanimité.

Pour une immersion totale, Baba Club propose une expérience unique : la Retraite Urbaine. Au programme : un cours de yoga, un massage expert et une boisson maison. Cette routine est idéale pour se déconnecter de la frénésie parisienne et se recentrer en un rien de temps. Parfait aussi comme cadeau bien-être à offrir (ou à s’offrir).

Avec déjà des projets d’expansion, ce petit paradis pourrait bien fleurir ailleurs à Paris. En attendant, filez rue de Chabrol et laissez Baba faire le reste, vous nous remercierez. ¤ R.T.

Baba Yoga Social Club 53, rue de Chabrol – 10e www.babayogaclub.com

Communiqué

Prêt·es à dénicher des trésors inattendus ? Rendez-vous chez été 85, un joli concept store où créations originales et pièces vintage se mêlent harmonieusement pour ajouter une touche de couleur à votre quotidien.

Un souffle de couleurs sur Paris

Que faisiez-vous l’été de l’année 1985 ? Certain·es d’entre vous étaient peut-être déjà en train de danser sur les hits de Madonna ou de découvrir Retour vers le futur au cinéma, tandis que d’autres n’étaient probablement même pas encore nés. Si la question risque d’en démanger plus d’un·e à la vue de cette boutique, nous ne sommes néanmoins pas là pour ça. Située à deux pas de République, dans le Haut-Marais, été 85 réjouit tous les amateurs de jolis objets et de créations originales.

Fondé en 2019 par Céline et Yann, le concept store vient tout juste d’être repris par Frédérique, entrepreneure pétillante installée à Paris depuis une vingtaine d’années. Ancienne commerciale en informatique, elle a décidé de se lancer dans ce projet pour assouvrir sa passion pour la décoration et les beaux objets. « Quand je suis arrivée ici, ça a été un véritable coup de cœur. Cette boutique, c’est tout moi », confie-t-elle des étoiles plein les yeux.

Des bougies aux céramiques en passant par un puzzle, un porte-clés ou un beau livre,

été 85, c’est un peu l’endroit parfait pour faire un cadeau ou se faire plaisir sans se ruiner. On y trouve de la déco en tout genre, de jolis bijoux de créateur·rices indépendant·es, mais aussi de la petite maroquinerie, de la papeterie, un peu de textile avec des bonnets et des plaids en angora… Bref, le plus dur, c’est de choisir. Côté esthétique, attendez-vous à de la couleur ! À l’image de la gérante, tout ce qui se trouve ici dégage une véritable énergie

Communiqué

positive. Et si l’harmonie entre les objets se ressent certes en boutique, on vous garantit que vous ne serez pas déçu·es une fois rentré·es chez vous puisque chaque pièce a son propre style et sa personnalité unique.

Mais ce n’est pas tout. Frédérique chine aussi quelques pièces vintage à droite et à gauche, comme de jolis verres à cocktail ou des étoiles lumineuses qui appartenaient certainement à l’enseigne d’un club dans les années 80. La gérante a aussi à cœur de mettre à l’honneur des talents émergents avec un espace “galerie” situé au coin de la boutique. Tous les trois mois, elle y expose un nouvel artiste afin de mettre en lumière des univers différents, issus de la photo ou de

l’illustration. Jusqu’à la fin du mois de mars, on peut notamment admirer les tableaux de Stéphanie Bardy, des œuvres originales et colorées en papier découpé.

N’attendez plus pour pousser la porte de ce concept store unique et vous laisser emporter par l’énergie solaire de Frédérique ! ¤  A.C.

été 85

38, rue Notre-Dame-de-Nazareth – 3e Tél. : 01 45 30 08 71

Ouvert le lun. de 12h à 19h30, le mar. et du jeu. au sam. de 11h à 19h30, le mer. de 13h à 19h30 et le dim. de 12h à 18h ete85.fr • ete.85

Un zeste de perfection

Bienvenue au paradis des agrumes. Niché au cœur du 7e, rue de Sèvres, L’Agrumiste vous propose une sélection unique de fruits d’exception cultivés directement dans leur verger, à déguster frais, séchés, en confiture ou en sirop. Des agrumes d’une qualité remarquable alliant le beau, le bon et le bio, que l’on retrouve ici sous toutes leurs formes, couleurs et variétés, toujours en adéquation avec les saisons.

Pour découvrir l’histoire fascinante de L’Agrumiste, on vous propose de voyager dans l’espace et dans le temps, pour se rendre à Fez, en 2013, lorsque Laurent Boughaba décide de renouer avec ses racines d’arboriculteur. Il entreprend alors d’acheter un petit terrain mais, poussé par son amour des agrumes, décide de planter un immense verger de 100 hectares. Sur place, il cultive de manière biologique plus de 250 variétés de fruits, tous cueillis à maturité et conditionnés directement dans l’atelier sur place. En moins d’une semaine, ces clémentines, citrons et autres pomélos pas comme les autres se retrouvent dans les cuisines des plus grands chefs et artisans parisiens, et surtout dans la boutique du 7e, pour notre plus grand plaisir.

À peine le pas de la porte passé, pas de doute possible, ici, on parlera d’agrumes, d’agrumes, et surtout d’agrumes. Sur le comptoir, les bols se multiplient, remplis de fruits aux incroyables couleurs jaune, orange ou verte. Et si l’on reconnaît certains au premier coup d’œil, comme les clémentines ou les citrons, d’autres attirent un peu plus le regard. C’est le cas du “tangelolo”, création unique de la maison, qui résulte de la fusion entre la clémentine et le pomélo. Une espèce de pomélo de poche donc, jaune à la chair délicatement rosée, dont le goût subtil nous a bluffés, imaginé grâce au département innovation et recherche de la maison, qui n’a de cesse de créer

de nouvelles variétés originales et uniques. On s’attarde aussi devant le “dekotchin”, le “citron yuzu”, le “citron sudachi”, le “citron caviar noir”, ou encore la “main de bouddha”, des noms qui intriguent. Ici, aucune inquiétude, tous les produits sont ultra frais puisqu’ils viennent directement du producteur, qui nous propose une diversité unique.

Pour étendre son offre, L’Argumiste s’est allié aux meilleurs artisans de la région parisienne, et propose des collaborations uniques, réalisées avec les agrumes de la maison. Ainsi, on y profite des confitures extraordinaires de Christine Ferber, à la renommée internationale. Emmanuel Ryon, Meilleur Ouvrier de France, a élaboré des glaces à tomber par terre. Une dizaine de collaborations imaginées par les meilleurs dans leur domaine se succèdent aux murs, et on y retrouve même quelques merveilles produites par L’Agrumiste dans ses ateliers au verger, comme les huiles infusées aux écorces d’agrume extrêmement parfumées. En bref, L’Agrumiste, c’est du bon et du beau qui saura combler n’importe lequel de vos désirs d’agrumes. ¤  C.V

L’Agrumiste

82, rue de Sèvres – 7e

Tél. : 01 89 16 41 11 Du mardi au samedi de 11h à 19h www.lagrumiste.com lagrumiste

Pour tous ceux qui ont des résolutions sportives plein la tête en ce début d’année, voici un lieu qui vous aidera à les tenir. Avec le Club 66, salle de sport intimiste du 11e, Pauline va vous faire souffler et transpirer à gogo, mais avec le sourire s’il vous plaît !

Le coaching de tes rêves

Il faut bien le dire, à Paris, on a des clubs de sport à foison. Mais loin des salles sombres remplies d’inconnus où le chacun pour soi domine, on a trouvé une belle pépite pour vous accompagner au quotidien. Rendez-vous sur le boulevard Voltaire où Pauline, du haut de ses 12 ans d’expérience dans le coaching sportif, accueille tous les Parisiens en quête de dépassement de soi dans son club privé : le Club 66.

Ici, la bonne ambiance est au rendez-vous, au cœur d’un petit studio joliment décoré dans un style très seventies, et d’un salon cosy où tout le monde peut se poser avec canap’ design, tapis touffu et murs colorés. On y entre comme chez des copains, mais cette fois-ci, on troque notre bonne bouteille pour une bonne paire de baskets. Parce qu’ici, on vient pour se détendre, certes, mais surtout pour transpirer. Et il n’y a qu’à voir la salle tout équipée pour le comprendre.

Pour chaque session Pauline prépare un programme complet, entre renforcement musculaire, cardio, gym, boxing et étirements,

pour nous faire travailler nos muscles en profondeur et nous permette de nous dépasser le temps d’une heure. Mais ce qui fait la force de ce coaching pas comme les autres, c’est l’ultra personnalisation. En petit comité (maximum 5), en duo ou en solo, on profite d’une séance qui apporte une réelle attention à nos besoins et nos objectifs, avec des exercices adaptés à chacun et renouvelés

à chaque séance. On donne de sa personne tout en écoutant son corps, et c’est là qu’on voit les vrais résultats !

Car oui, le Club 66 va vous faire suer, mais il a surtout pour vocation de vous faire passer un bon moment. Ici, la bienveillance règne et l’entraide est au rendez-vous, si bien que les clients deviennent naturellement de bons amis. Entre deux abdos et quelques coups de pédales, on se raconte nos vies et on rigole un coup, tout en dépensant notre énergie. On en sort revigoré et de l’énergie plein

les pattes, avec une seule envie : y retourner. Pour réserver, rien de plus simple : une petite appli bien pensée vous donne accès au planning des cours de la semaine, ainsi qu’à des vidéos à suivre gratuitement, histoire de continuer à se renforcer même chez soi !

¤

Le Club 66

66, bd. Voltaire – 11e

Tél. : 06 59 73 60 33

Du lundi au vendredi de 9h à 21h leclub-66.com • leclub.66

4 cafés-librairies où se détendre cet hiver

Le Renard Café

Avis aux amateur·rices de mangas et de culture japonaise, *ou simplement aux curieux·ses : votre paradis se trouve dans le 5e ! Au Renard Café, on profite d’une large sélection de mangas qui sauront vous séduire quelles que soient vos thématiques de prédilection et vos envies. On accompagne le tout d’un bubble tea ou tout autre boisson et d’une pâtisserie aussi délicieuse que jolie, le tout dans un décor merveilleusement coloré. Moment hors du temps garanti !

57, rue du Cardinal-Lemoine – 5e

L’Eau et les Rêves

À la fois restaurant, café, bar et librairie botanique, L’Eau et les Rêves est sans l’ombre d’un doute l’un des endroits les plus singuliers de la capitale. Sur cette péniche, l’ambiance est à la détente dans un cadre doux et cosy qui rappellerait le salon d’un·e ami·e. On y vient pour profiter d’un cadre calme et chaleureux, trouver les dernières pépites littéraires et des ouvrages sur l’univers de la botanique et du voyage, ou encore pour enchanter nos papilles avec les boissons et gourmandises proposées !

9, quai de l’Oise – 19e

Après l’effervescence des fêtes de fin d’année et avec le froid ambiant qui a gagné la capitale, on ne dirait pas non à un peu de réconfort et de divertissement en ce mois de janvier. Ça tombe bien, on vous a sélectionné 4 cafés-librairies où vous pourrez laisser votre esprit s’évader tout en dégustant une délicieuse boisson chaude !

Book Nook

Des rangées de livres, des pâtisseries et boissons faites maison, des fauteuils où l’on se blottit volontiers… Book Nook a, incontestablement, tout pour plaire. Dans ce lieu convivial qui abrite la maison d’édition Beta Publisher, on profite de nombreux ouvrages prêts à transporter votre imaginaire vers de fabuleuses contrées. Pour lire, travailler ou se détendre, ce coffee shop littéraire vous accueille six jours par semaine.

11, rue Blanche – 9e

Violette and Co

Depuis octobre 2023, la librairie féministe et LGBTQIA + Violette and Co a rouvert ses portes, un an et demi après sa fermeture. Dans ce café-librairie à la façade rouge framboise, on profite de plus de 6 000 références littéraires allant du roman au livre pour enfants, en passant par des ouvrages plus pointus, des BD ou des mangas. On en profite pour déguster une boisson chaude dans la partie café et, pourquoi pas, s’informer sur les événements et rencontres à venir !

52, rue Jean-Pierre-Timbaud – 11e

Depuis un an et demi, l’hôtel cinq étoiles La Fantaisie héberge les âmes rêveuses de la capitale dans un cadre intime où les couleurs chaudes rencontrent un mobilier sophistiqué et floral. Une atmosphère singulière que l’on retrouve jusque dans ses espaces de détente, dont le restaurant des lieux, qui s’impose comme une nouvelle destination où suivre ses envies.

Un havre bucoliques’attableroù

Il est souvent présenté comme l’hôtel le plus végétal de Paris : La Fantaisie, nouveau-né de la rue Cadet, a su se distinguer de ses homologues de luxe grâce à un design empreint de nature et d’imaginaire signé Martin Brudnizki. Pensé comme une enclave luxuriante au cœur de la ville, l’hôtel abrite 63 chambres et 10 suites, une salle de sport, un spa, un rooftop en forme de jardin suspendu, mais aussi deux coins où prendre ses aises et se régaler. Si la brasserie est accessible depuis la rue, à l’arrière de l’hôtel se dissimule un restaurant verdoyant où découvrir une cuisine française soignée.

Intitulé Le Restaurant de la Fantaisie invite client·es comme passant·es à profiter d’une salle spacieuse et lumineuse. Tables en bois, vaisselle finement travaillée, fauteuils douillets, verrière ensoleillée : il ne vous manque plus qu’à vous attabler pour découvrir les secrets de ce restaurant entièrement réinventé.

Et pourquoi ne pas commencer un midi en semaine, alors que le restaurant propose un menu entrée-plat ou plat-dessert à 34€ ? On débute la razzia avec une entrée crue – on recommande le Tataki de thon – ou cuite – les poireaux, vinaigrette, œufs mimosa sont déjà un classique – puis on continue le festin avec

des plats qui illustrent l’attention particulière du chef aux sauces et cuissons. On ne passera pas par quatre chemins : le coup de cœur fut immédiat pour les Saint-Jacques aux épinards, la Volaille rôtie aux gnocchi et morilles, mais aussi la Poire Belle-Hélène, dessert signature du jeune chef pâtissier Rémi Guérin.

Plusieurs plats cachent également une “petite touche de Fantaisie” : on se laisse séduire par le Tartare de gambero rosso di mazara en entrée, puis le Chou-fleur aux épices sauce chimichurri, avant de faire couler le tout grâce

à la Pavlova grenade, hibiscus et thé vert. Une nouvelle carte aux inspirations française et internationale qui saura ravir une clientèle exigeante comme les habitué·es du quartier !

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F.G.

Hôtel La Fantaisie 24, rue Cadet – 9e Restaurant de La Fantaisie

Tél. : 01 55 07 85 07

De 12h à 14h et de 19h à 22h30 fr.lafantaisie.com • lafantaisieparis

Une expo qui Pop

Pour bien démarrer l’année, pourquoi ne pas découvrir l’expo la plus “bonbon” du moment ? Pour cela, rendez-vous à la Fondation Louis Vuitton, qui nous propose une incroyable rétrospective du mouvement pop art, centrée autour de l’œuvre du peintre Tom Wesselmann. Un moment coloré, démesuré et kitsch à souhait, ode à la société de consommation et à la folie des grandeurs.

À peine entré dans la première salle de cette immense exposition, pas de doute possible, ici, on va en prendre plein les yeux. Du sol au plafond s’étalent des toiles et des créations monumentales, qui jouent avec les codes de la publicité tout en dressant un portrait légèrement amer de l’Amérique des années 60. Et si l’on retrouve avec plaisir les plus grands classiques imaginés par Andy Warhol et Roy Lichtenstein, c’est tout un héritage et une façon de voir le monde que l’on découvre au fil des espaces d’exposition.

En première ligne, le travail de Tom Wesselmann, qui nous plonge littéralement dans des peintures aux dimensions impressionnantes, ou dans des créations en 3D bluffantes de réalisme, véritables décors de théâtre qui jouent avec

notre perception. Les couleurs et les formes se succèdent pour, assez paradoxalement, illustrer la puissance du vide et de la suggestion. De salle en salle, de thème en thème, on se laisse prendre au jeu et porter par ce portrait à la fois élogieux et sarcastique de la société de consommation.

Cette exposition, c’est aussi l’occasion de découvrir certains noms un peu plus méconnus, mais non moins talentueux, comme Jasper Johns, son amant Robert Rauschenberg, Martial Raysse, ou encore Rosalyn Drexler. Plus de 200 œuvres créées par une trentaine d’artistes sont ici rassemblées pour nous fournir une bonne dose de couleur, de plaisir, de sexe, et surtout de réflexion sur la société, illustrant à merveille l’importance du mouvement pop art encore aujourd’hui. À voir absolument.

Pop Forever, Tom Wesselmann &… Fondation Louis Vuitton 8, av. du Mahatma-Gandhi – 16e Jusqu’au 24 février 2024 fondationlouisvuitton.fr

Photo de profil de louisvuittonfoundation www.fondationlouisvuitton.fr louisvuittonfoundation

©
Yann
Orhan

Parisien de naissance, Thomas Dutronc a grandi et a fait ses armes près de Denfert Rochereau. Celui qui chantait en 2007 ne plus aimer Paris y réside toujours et, s’il avoue être nostalgique de la ville de son enfance, il trouve encore de la beauté dans un café, un club de jazz, une rencontre au coin d’un boulevard ou un coucher de soleil depuis un pont.

Le Paris de… Thomas Dutronc

Son arrondissement préféré

Le 6e. Si je pouvais faire un souhait, frotter une lampe et qu’un génie en sorte, je choisirais d’habiter dans un endroit calme du 6e. J’habite dans le Marais, et c’est très vivant, mais j’avoue qu’à mon âge je recherche un petit peu plus la tranquillité. C’est d’ailleurs ce qui me manque à Paris, l’espace, l’air, pouvoir respirer, comme quand je vais en Corse où mon père habite. J’aspire à la nature, à l’horizon, aux couchers de soleil…

Là où il a ses meilleurs souvenirs d’enfance

La maison où j’ai grandi dans le 14e, j’y ai vécu de 1 à 25 ans. Ma mère avait acheté une grande maison entre Denfert-Rochereau et le parc Montsouris, rue Hallé, et j’y suis resté aussi longtemps parce qu’il y avait trois étages et que j’avais le deuxième et le troisième rien que pour moi. Ce qui posait problème, c’est que je recevais plein de copains mais l’escalier grinçait beaucoup, il y avait des va-et-vient

toute la nuit et on réveillait tout le temps ma mère. Mon père et moi ne voulions pas déménager, mais ma mère a voulu, il y avait trop de travaux à faire. J’adorais cette maison, elle me manque beaucoup. J’ai aussi des souvenirs de jouer aux petites voitures dans le parc Montsouris dans un endroit avec des bosses qui me paraissait être fantastique alors qu’il fait à peine 2 mètres de long. Moi j’avais l’impression que c’était le Grand Canyon.

Parc Montsouris : 2, rue Gazan – 14e

Là où il a fait ses premières bêtises d’ado

On traînait beaucoup dans le 14e avec les copains, et puis un peu dans le 5e et le 6e, puis à l’adolescence on a commencé à pousser jusqu’au Marais. Je n’allais pas plus loin parce que je n’avais pas le droit d’avoir de scooter, contrairement à mes amis, j’étais en rollers, j’avais un gros casque et je roulais sur les trottoirs en écoutant du disco. C’était vraiment chouette.

« J’ai la nostalgie du Paris de mon enfance. »

Le lieu qui lui rappelle son premier amour

On allait dans un petit bar qui s’appelle le Rallye à côté de la Tour d’Argent, je ne sais pas pourquoi. On trainait dans le quartier, on errait le long des quais, et on finissait à la brasserie du pont Louis Philippe. En t’en parlant, j’ai la nostalgie du Paris de mon enfance.

Le Rallye : 11, quai de la Tournelle – 5e

Le Louis Philippe : 66, quai de l’Hôtel-de-Ville – 4e

Un endroit qui lui fait aimer Paris plus que les autres

Les ponts, tous les ponts de Paris. Traverser les ponts qui mènent à l’île Saint-Louis à l’heure du coucher de soleil, c’est magnifique. Ça me fait penser à la chanson de Brassens sur le pont des Arts, “Le vent”. Je suis un fou de Brassens.

Le lieu qui lui rappelle la Corse

Il y a un endroit que j’adorais mais qui a fermé malheureusement, un resto corse où se retrouvaient tous les nostalgiques, ça finissait toujours par de bonnes fêtes. Il me manque énormément. Pour compenser, il y en a un nouveau, A Cursita (11e). François, le patron, est un ami.

A Cursita : 255, rue du Faubourg-Saint-Antoine – 11e

Son club de jazz préféré

Impossible de choisir, je les aime tous ! Je sors un peu moins maintenant mais jusqu’à 35-40 ans, je n’arrêtais pas d’aller écouter de la musique, regarder des musiciens jouer dans des petits clubs. Il y a une scène jazz que j’adore, et il y a plein de bars super où l’on se retrouve entre copains. Pour commencer, dans la rue des Lombards tu trouves le Baiser Salé, le Duc des Lombards et le Sunset Sunside. Sur les trois clubs, il y a toujours un truc sublime le soir, tu vois

plein de jeunes venir faire le bœuf assez tard dans la nuit, c’est un bonheur. Et puis tu peux tomber sur des musiciens magiques. Il y a aussi une péniche qui s’appelle le Son de la Terre, juste à côté de Notre-Dame, le patron est très sympa et c’est tout neuf, en plus je suis parrain de la programmation. Et enfin le Monk, près de Saint-Michel, qui est vachement bien, tous les jeudis il y a du jazz manouche, ils jouent à deux ou trois et tous les mecs du milieu de 18 à 45 ans passent par ici. Ça m’est arrivé d’y jouer, plus beaucoup, plus assez. Mais il m’arrive de jouer dans des petits endroits sous un faux nom, je me régale.

Le Baiser Salé : 58, rue des Lombards – 1er

Le Duc des Lombards : 42, rue des Lombards – 1er Sunset Sunside : 60, rue des Lombards – 1er

Le Son de la Terre : 2, port de Montebello – 5e Monk la Taverne de Cluny : 51, rue de la Harpe  – 5e

© Yann Orhan

Son spot pour boire du bon vin

Récemment, avec un copain, on a découvert un resto qui s’appelle Les Fines Gueules, aux alentours de la place des Victoires. On a dégusté quelques bonnes bouteilles. J’ai aussi eu le bonheur d’aller plusieurs fois dîner au resto italien de Pierre Gagnaire qui s’appelle Piero TT, c’est l’adresse abordable du grand chef étoilé, on y mange et on y boit très bien, que demander de plus ?

Les Fines Gueules : 43, rue Croix-des-PetitsChamps – 1er Piero TT : 44, rue du Bac – 7e

Ses meilleurs souvenirs à Saint-Germain-des-Prés

Il y avait un tout petit resto qui s’appelait les Assassins, à côté de l’église, où ils ne chantaient que des chansons grivoises. Et puis on a bien rigolé

avec les copains quand on était jeunes, on a dû aller chez Castel une fois ou deux, dans les cinémas du quartier… Je pense souvent à cette chanson magnifique sur Saint-Germain de Guy Béart, ça fait « il n’y a plus d’après à Saint-Germain-des-Prés », et je sens les fantômes de Miles Davis, de Juliette Gréco et des jazzmen noirs américains qui venaient à Paris dans les années 50. Ils hallucinaient parce qu’ils étaient super bien reçus, les Français étaient ultra amateurs de jazz et les accueillaient avec plaisir dans tous les clubs et toutes les caves de Saint-Germain, tandis qu’à l’époque c’était encore la ségrégation aux États-Unis. Louis Armstrong venait jouer, Django Reinhardt venait jouer… Alors oui, aujourd’hui c’est plus chic, il y a plus de boutiques, mais il reste encore ces fantômes qu’on aime tant et qui ont fait la grandeur de Paris, de la même manière que les peintres sont encore présents à Montmartre. Il faut qu’on essaie de les conserver et de ne pas les chasser.

Ce qu’il aime le plus à Paris

Ce que je retient ici c’est la beauté, la culture, le théâtre, le cinéma, c’est fantastique, mais aussi les copains. Elle est là, la richesse de Paris : dans les amis et les personnages fabuleux. J’ai connu Paris dans ma jeunesse plus mixte socialement, dans mon école dans le 5e il y avait des gens de toutes les classes sociales et parfois les parents avaient des métiers très modestes. Le Paris de ma jeunesse ne ressemblait pas à ça, et c’est ce que je dénonçais dans ma chanson : « J’aime plus Paris, même plaqué or, Paris s’endort ». C’est devenu plus résidentiel, le 5e s’est calmé, le 14e est moins populaire, ça s’est gentrifié. Ce n’est pas qu’à Paris, c’est un phénomène des villes. D’ailleurs, pour te dire à quel point Paris a changé, je me souviens que la ville était remplie de merceries un peu partout. Près de chez moi, il y avait une maison à un seul étage avec de la tôle, c’était une vieille dame qui était marchande de quatre couleurs, une quincaillerie, c’était un bazar incroyable. Le Paris ancien m’émeut beaucoup.

Il n’est jamais trop tard / Barclay

Déjà disponible

¤ Sarah Sirel

4 sorties pour bien commencer l’année

Dans les petits papiers de Margerin de Franck Margerin

Le génial créateur de la BD Lucien, jeune loubard à banane un peu fragile, nous gratifie avec ce beau livre de ses croquis les plus inspirés et les plus emblématiques. Sur les plus de 200 dessins que le livre compte, plus d’un quart sont inédits, et tous nous replongent dans les années 80, une période où le rock, les motos et les copains étaient rois. Nostalgie, quand tu nous tiens…

En librairies depuis le 6 novembre 2024 Éditions Robinson

Jamais d’accord de Renard Tortue

Jamais d’accord marque les débuts de Renard Tortue, duo fusionnel mêlant rap, électro et chanson française. Louis (alias le renard) et Nils (alias la tortue) explorent leurs contrastes avec finesse : textes ciselés, compositions méticuleuses et ping-pong vocal inspiré. Formés au classique mais nourris de Brel, Barbara et L’Entourage, ces amis d’enfance transforment leurs oppositions en force créative. Entre ambivalence et harmonie, leur premier album est une fable moderne, vibrante d’authenticité et de métissage, qu’on vous recommande vivement d’écouter !

Sortie le 31 janvier 2025

Une aventure musicale audacieuse, un hommage à l’un des grands bédéistes français, une romance qui interroge le temps et une série explorant les complexités des relations humaines… Entre musique, littérature, cinéma et séries, voici nos coups de cœur pour démarrer 2025 en beauté.

We Live in Time (L’Amour au Présent) de John Crowley

Préparez-vous à sortir les mouchoirs. Porté par Andrew Garfield et Florence Pugh dans les rôles principaux, We Live in Time (L’Amour au Présent) raconte la rencontre fortuite entre Almut, étoile montante de la cuisine, et Tobias, employé dans le marketing pour une entreprise de céréales. Une comédie dramatique qui explore avec délicatesse ces instants fugaces qui bouleversent une vie et façonnent l’être. Une ode subtile à l’amour et à la transformation personnelle.

Sortie en salles le 1er janvier 2025

Amours solitaires – Saison 2

Après avoir exploré la romance épistolaire de Maud et Simon, Amours solitaires s’attaque cette fois aux tourments de Maëlle et Saïd dans sa saison 2. Deux ans après leur rupture, Maëlle revient, bien décidée à raviver la flamme avec son ex qui file désormais le parfait amour avec sa nouvelle copine. Inspirée du célèbre compte Instagram de Morgane Ortin, la série capture avec sensibilité les nuances complexes des relations modernes où passion, doutes et espoirs s’entrelacent avec finesse.

Disponible depuis le 22 novembre 2024 sur france.tv et arte.tv

Gémeaux

Bélier

C’est un peu le bordel et le chaos dans votre vie, mais Bélier que vous êtes, vous allez recycler les gravats en hôtel de luxe sur le bord de mer de votre nouvelle vie. Je vois quelqu’un qui s’éloigne de vous. Mais que du positif.

Enlevez-moi ce sourire niais qui agace tout le monde ! Votre problème mes amis Gémeaux n’est pas tellement que vous soyez heureux, mais que ça rend les autres complètement jaloux. Mais, entre nous, on peut le dire que vous le méritez, alors kiffez !

Lion

Vous allez bien vous marrer ! Quel début d’année de folie ! Bonnes nouvelles, perspectives d’avenir, plein de gens vous kiffent. What else ? Pour les célibataires, une personne qui vous kiffe depuis longtemps va faire son coming-out.

Janvier 2025

Taureau

Vous vous sentez jugé·es. Je ne dis pas que c’est forcément mal, surtout pour ceux qui sont assignés au tribunal, mais cessez de vous flageller pour la plupart, chacun fait du mieux qu’il peut, surtout vous. Allez, en février je vois le soleil, c’est promis !

Cancer

Vous êtes fatigué·es mes Cancer. Levez le pied en début 2025, une bonne nouvelle arrive. Bien sûr elle sera relative, allant de choper un mannequin à trouver une pièce de deux balles, mais comme disait je ne sais plus qui : « Il n’y a pas de petit bonheur ».

Vierge

Vous vous ouvrez enfin à la sérénité ! Je vois la fin philosophe d’une longue attente. Comme si vous étiez un fan de iPhone et que vous vous rendiez compte à 5 minutes de l’ouverture de l’Apple Store qu’en fait vous préférez Samsung.

Balance

Vous n’avez pas le contrôle sur une situation, et depuis longtemps. Mais vous semblez trouver la formule secrète, comme ça, d’un coup, sans raison. Pour certains vous serez chez Franprix et vous allez avoir un déclic. À ce moment-là, foncez ! Ça se passe en 2025 !

Sagittaire

Vous lâchez complètement prise avec une situation. Vous avez plein d’énergie venue d’on ne sait où. Mais elle est là et votre bonheur fatigue vos proches. Vous jonglez avec brio avec tous vos engagements, qu’ils soient sociaux, pros ou affectifs, bravo à vous !

Verseau

C’était pas la folie la fin d’année, maladie à répétition, peine de cœur, problèmes d’érection pour certains, rassurez-vous, 2025 sera revigorante ! Je ne vois que de la force et de la vigueur ! Et surtout rappelez-vous, on ne vous aime pas pour vos performances, mais pour votre cœur !

Salut mes petites loutres, c’est Miss Raph !
Je vous souhaite une délicieuse année 2025.

Spoiler :

¤ R.B.
elle va être incroyable !

Poissons

Scorpion

Vous êtes en paix, tranquille, peinard, décontracté·e du flan. Vous vous éloignez du feu, de la passion, mais vous vous sentez plus comblé·e, et c’est ça qui compte. Faites néanmoins attention à un pote qui prépare un sale coup !

Capricorne

Vous avez besoin de comprendre une situation en ce début d’année. Vous allez rester assez seul·e mais ce n’est pas forcément négatif. Vous prenez des TPV (temps pour vous), et cela vous fait du bien.

Oh là là comme ce début d’année est doux pour vous mes chers Poissons. J’en vois plein qui ont déjà pris plein de vacances ou de temps pour elleux. Regardez plein de films et de séries, c’est ça la vie, vous avez trop donné là.

Happy New Year

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Sac daily — Vanessa Bruno 345€
Casquette camel — Petite Mendigote 50€
Pullover — Guess 80€
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Gilet — Sézane 175€

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Pantalon — Maison Stella & Suzie 140€

Les b nnes annonces

Bon anniversaire à mes sœurs Aquarius, et particulièrement à la grande Loubi d’Angleterre

Bonne année 2025 les bonbecs !

Reviens vite de chez les Ouzbeks !

Saint-Gervais serre les fesses on arrive à toute vitesse !

Bravo pour ton courage mon ange

Ça va swinger en 2025 Bobby !

Bonne année mon doux Tahys ! T. P

Happy birthday to toi ma Gordichhhh

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Bonne continuation à Agathe, Guillaume, Margot et Romane

Bienvenue Marion

Ciao la team Bonbon !

Bon anniversaire au Confiseur et à son Consigliere

Vivement la fin des travaux

Bon Voyage Anthony Blaublomme !

Le Théâtre Lepic et Salomé Lelouch présentent

LE DESTIN SE MOQUE DES CHOIX

UNE PIÈCE ÉCRITE ET MISE EN SCÈNE PAR FABRICE TOSONI

AVEC

CARINE RIBERT ET LILY RUBENS

SCÉNOGRAPHIE : CAPUCINE GROU-RADENEZ - CRÉATION LUMIÈRE : JULIEN MÉNARD

MUSIQUE : MATHIAS LOUIS - ASSISTANTE À LA MISE EN SCÈNE : JESSICA BERTHE GODART

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