À VOS MARQUES, PRÊTS, SKIEZ !
Modèle : Lionel Ponsin
Photographe : Yona Romet
Confiseur
Rédactrice en Chef
Directeur de Création
Rédactrice Adjointe
Rédacteur·rice·s
À VOS MARQUES, PRÊTS, SKIEZ !
Modèle : Lionel Ponsin
Photographe : Yona Romet
Confiseur
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Directeur de Création
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Sarah Sirel
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Flora Gendrault
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Evan Abramowicz
Lucas Gruber
Carla Aboudaya
Benjamin Haddad
benjamin.h@lebonbon.fr
Tél. : 06 20 23 54 49
Tél. : 01 48 78 15 64
15, rue du Delta – 9e 510 580 301 00040
Le repas dans ce resto était bien bon, hein ? Vous finissez votre café avec votre groupe d’amis quand vient l’addition. Ce n’est pas pour rien qu’on l’appelle la “douloureuse” – elle est longue comme un bras –et ce moment fatidique est l’occasion de mener une analyse sociologique fine.
Car l’heure de payer permet de dégager différents profils parmi l’échantillon que représente votre tablée. Il y a d’abord le scientifique économe, qui, à l’aide d’une calculette, évalue au dixième de centime près la part de chacun. Et puis il y a le filou, qui disparaît comme par hasard à cet instant-là aux toilettes, priant bien fort pour qu’on l’oublie. Le radin, lui, insiste pour ne payer que ce qu’il a commandé : un salade verte et un verre d’eau du robinet. L’ami fauché, comme à son habitude, n’a plus une thune, et implore qu’on l’invite. Et puis, il y a le pote super généreux, voire dépensier. Un peu éméché, il propose de tout régler, et même mieux, de reprendre une tournée à ses frais. S’il continue, il risque de finir le mois comme l’ami fauché…
Enfin, il y a le “bonbon”. Plutôt juste et magnanime, il épaule l’économe, va chercher le filou dans les toilettes, invite le radin, aide le fauché et raisonne le dépensier. De plus, toujours à l’affût des bons plans, c’est lui qui a déniché cette adresse et cerise sur le gâteau, il lâche un large pourboire au serveur.
Si vous tenez ce magazine entre les mains, il y a de fortes chances que vous soyez cette personne qui, quelles que soient les circonstances, maîtrise l’art subtil et délicat de la pensée positive…
¤ Mikado
On dégote de la vaisselle de chef à Césure
Les 8 et 9 février prochains, investissez dans de la vaisselle issue des plus grands restaurants, grâce à la 1ère édition de La Vaisselle des Chefs. Au total, plus de 10 000 pièces venues du Meurice, du Cheval Blanc, du Plaza Athénée ou encore des Deux Magots vous attendent. Mais attention, ne tardez pas à réserver, il n’y en aura pas pour tout le monde !
La Vaisselle des Chefs à Césure 13, rue Santeuil – 5e 8 et 9 février 2025
On se protège du froid avec 1001 fenêtres
On fête un anniversaire pas comme les autres au Consulat
Pour fêter les 1 an de la sortie de son premier album, le groupe Astral Baker vous donne rendez-vous pour une soirée pas comme les autres au Consulat. Au programme : un concert unique, avec des versions inédites de certains de leurs morceaux, mais aussi des extraits en avant-première de leur prochain album. Un must pour tous les Bakies !
The Whole Story par Astral Bakers au Consulat 14, av Parmentier – 11e 12 février 2025
On a la solution contre le retour du froid ! Les fenêtre à l’ancienne en bois de 1001 fenêtres. Meilleur matériau pour l’isolation thermique et acoustique, le bois est chaleureux et écologique. Alors pourquoi ne pas l’adopter immédiatement ? 1001 fenêtres vous propose également des portes, des volets et des stores, vous avez l’embarras du choix...
1001 fenêtres
71, rue Condorcet – 9e
Tél : 01 45 33 03 86 1001fenetresparis.com
On redécouvre son corps au Carreau du Temple
Le festival Everybody revient enchanter les corps. Au programme : des spectacles, un cabaret drag, un ball voguing, des cours de danse, des rencontres, des ateliers participatifs ou encore une soirée clubbing pour aborder la question des identités, et découvrir des artistes soudé·es par leur engagement autour de la question des corps multiples.
Festival Everybody au Carreau du Temple 4, rue Eugène-Spuller – 3e Du 14 au 18 février 2025
On se prend pour John Travolta à la Philharmonie —
Avis aux nostalgiques des années 80. La Philharmonie de Paris continue ses explorations musicales et passe en mode Saturday Night Fever pour une expo Disco. Autant dire que ça promet d’être coloré et festif ! L’occasion idéale de ressortir son plus beau pattes d’eph’, et surtout de tester ses plus incroyables moves de danse.
Disco à la Philharmonie de Paris 221, av Jean-Jaurès – 19e Du 14 février au 17 août 2025
On se laisse émouvoir par Changer l’eau des fleurs au Théâtre Lepic
Violette Toussaint est garde-cimetière, et consacre tout son temps à son travail. Mais lorsque Julien arrive en lui indiquant que sa mère souhaite être enterrée ici auprès d’un inconnu, tout bascule. Le passé ressurgit, les histoires se croisent, l’amour se dévoile. Une pièce pleine d’émotions et d’humanité, adaptée du roman de Valérie Perrin.
Changer l’eau des fleurs au Théâtre Lepic 1, av Junot – 18e Jusqu’au 30 mars 2025
À deux pas du joli square Montholon, un bistrot à vin discret chuchote aux curieux passants d’ouvrir sa porte. Une cachette aux allures de speakeasy où les quilles dansent, les assiettes se dévorent, et où le temps s’arrête.
Derrière le rideau vichy, c’est une bulle hors du temps rythmée par des musiques françaises des années 70/80. Des boiseries aux couleurs chaudes, un comptoir où se posent coudes et secrets, et une lumière douce comme un verre de blanc bien frais. On rit, on trinque, on parle fort. Parce qu’ici, Paris se vit !
Le secret de Bibou ? Sa carte des vins. Chaque bouteille est choisie avec le cœur et goûtée avec l’âme par JB, sommelier et directeur des lieux. Nature, classiques, petits vignerons ou grands terroirs, on se laisse porter par des arômes qui dansent, des noms qui chantent et des produits rares.
Et comme tout plaisir s’accompagne, les assiettes sont au diapason. On se délecte des poireaux mimosa, du pâté en croûte maison ou des bulots pour une dose iodée. Les gourmands pourront jeter leur dévolu sur le millefeuille de pomme de terre, l’os à mœlle,
ou le paleron de bœuf fondant. Enfin, la mousse au chocolat ou le cake à l’orange clôturent le repas en douceur. On n’oublie pas non plus le plateau de fromages et charcut’ à la qualité irréprochable : Brie de Meaux, Comté, Saint-Nectaire, mais aussi chorizo, jambon noir, jambon à la truffe et saucisson. Que du bonheur en bouche.
Mais ce qu’on aime le plus au Bibou, c’est l’âme de l’endroit : les gens de passage. Un cinéaste qui s’enflamme sur Truffaut, un voisin qui parle de sa dernière folie, deux amoureux qui refont le monde. Chez Bibou,
tout le monde se mélange, et c’est là que réside le vrai charme. Envie de partager l’expérience avec tous les copains ? Bibou se privatise pour des soirées où le vin coule à flots et les rires résonnent. Le temps file, mais on prolonge l’instant avec un dernier verre. On quitte Bibou en flottant, déjà prêts à y revenir. ¤ R.T.
Bibou
1, rue Pierre-Semard – 9e
Tél. : 06 32 36 65 37
Tous les jours sauf dimanche et lundi 18h-2h biboubistro.fr · @bibou.bistro
Une odeur, un mot, un son… Pour certain·es, la madeleine de Proust est une chanson d’enfance, pour d’autres, un parfum familier. Pour Imane, c’est ce petit gâteau typiquement français qu’elle a choisi de réinventer à travers Proost, son tout nouveau coffee shop situé dans le 11e. Inspirée par ses origines marocaines, elle propose des madeleines 100% artisanales aux saveurs uniques, invitant chacun à raviver ses souvenirs les plus doux, une bouchée après l’autre.
Quoi de plus simple en apparence qu’une madeleine ? Pourtant, chez Proost, ce petit gâteau en forme de coquillage cache un véritable trésor. Ici, Imane exprime toute sa créativité en revisitant la madeleine avec des saveurs inattendues inspirées de son histoire personnelle entre la France et le Maroc : praliné noisette, pistache, Amlou (une pâte à tartiner typiquement marocaine à base d’amandes et de miel), chocolat, matcha, rose, sésame noir, spéculoos… Une dizaine de parfums à découvrir et de nouveaux dévoilés toutes les deux semaines environ.
Ancienne consultante en stratégie, la gérante a tout quitté pour se consacrer à sa passion pour la pâtisserie. Ici, elle a imaginé un lieu de vie cosy et coloré, parfait pour travailler, lire un livre ou partager un moment avec ses proches. Avec une quinzaine de places assises, une décoration chaleureuse et un mur rempli de madeleines colorées, l’atmosphère
invite à la détente. Côté boissons, Proost accompagne ses douceurs avec des cafés de spécialité, des thés parfumés de la marque Kodama et surtout des latte originaux (pistache, matcha, rose, sésame noir…) dont les saveurs sont pensées pour sublimer les madeleines du moment. Ouvert en septembre 2024, Proost diversifie déjà son offre grâce à des collab’ avec d’autres coffee shops (comme sa madeleine peanut butter conçue avec BUDDY BUDDY) et des services BtoB sur-mesure (packagings personnalisés, coffrets d’entreprise…).
¤ A.C.
Proost
38, rue Popincourt – 11e
Tél. : 06 64 25 97 47
Du mar. au ven. de 9h30 à 19h, le sam. et dim. de 10h à 19h proost.fr @proost_paris
“ L’émerveillement du cirque
OUISTITI Paris, c’est le restaurant festif incontournable dont on ne peut plus se passer, à deux pas de Saint-Lazare !
Un lieu élégant et intimiste où les lampes tamisées rencontrent les boiseries, où l’authenticité côtoie la convivialité… Lorsque l’on passe la porte de OUISTITI Paris, nous voilà plongés dans un espace qui semble hors du temps, en plein centre du 8e. Plus qu’un simple restaurant, OUISTITI Paris, c’est un établissement aux deux facettes aussi complémentaires que les quatre associés qui l’ont fondé en janvier 2023.
Restaurant plus traditionnel le midi avec un menu qui change tous les jours, il revêt ses apparats de fête une fois le soir venu pour proposer des soirées pétillantes, festives et mémorables. Lorsque l’on vient y dîner
du mercredi au samedi, la généreuse cuisine bistronomique est assaisonnée d’un soupçon de musique jazzy en début de soirée, puis pop et disco au son des voix des chanteur·ses live ou des mélodies des DJs. Après s’être délecté de succulents mets, les tables sont poussées pour laisser la place à une piste de danse improvisée sur des chansons entraînantes. On s’amuse, on sourit et on planifie déjà la prochaine soirée que l’on passera à OUISTITI Paris, parce qu’on y est reçu comme chez des amis. ¤ L.G.
OUISTITI Paris
58, rue de l’Arcade – 8e
Tél. : 01 55 06 10 75 · 06 07 08 10 48
Ouvert du mardi au vendredi, midi et soir (fermé entre 14h30 et 19h)
Samedi de 19h à 2h ouistiti-restaurant.fr · @ouistiti_paris
Prêt·es à découvrir tous les secrets qui se cachent derrière les perles ? De leurs origines scientifiques à leur rôle central dans l’histoire de la joaillerie, l’exposition Paris, capitale de la perle nous embarque dans un voyage fascinant à travers l’art, l’histoire et le savoir-faire parisiens, d’hier à aujourd’hui.
Symbole d’élégance intemporel et bijou fétiche de Coco Chanel, la perle fascine aussi bien qu’elle éblouit depuis des siècles. Jusqu’au 1er juin 2025, elle est mise à l’honneur dans Paris, capitale de la perle, présentée par L’École des Arts Joailliers. Une exposition qui célèbre le lien unique entre Paris et cette gemme précieuse, à travers une collection exceptionnelle de bijoux et d’archives rares. La visite débute avec une exploration des origines de la perle, cassant des mythes bien ancrés comme l’idée que les perles naissent d’un grain de sable. Dès les premières vitrines, on découvre leur incroyable diversité de formes, de tailles et de couleurs : roses, dorées, baroques ou parfois gigantesques.
Si les perles sont aussi prisées, c’est en partie à cause de leur rareté ; seul un coquillage sur cent en moyenne forme une perle. C’est cette rareté extrême, associée à leur éclat unique, qui les a érigées en symbole de luxe dès la fin du XIXe siècle. Des années 1860 aux années 1930, les perles pêchées dans le golfe Persique arrivaient en majorité à Paris, où elles étaient montées par les grands noms de la place Vendôme. L’exposition nous montre comment des figures influentes, comme la famille Rosenthal ou encore Jacques Cartier,
ont contribué à faire de Paris une plaque tournante du commerce de perles.
Mais loin de simplement retracer son histoire, elle montre aussi comment la perle, qu’elle soit fine ou de culture, a inspiré les joailliers parisiens et les artistes de tous horizons. Près de 100 bijoux et une cinquantaine d’archives iconographiques précieuses offrent un aperçu de la domination des perles dans la mode parisienne : colliers, broches et ornements rivalisent d’élégance. Parmi les pièces phares, un collier à six rangs signé Van Cleef & Arpels et des créations d’Henri Vever, transformant des perles baroques en motifs floraux. Enfin, les vitrines concluent sur des œuvres plus contemporaines, comme les Fredy’s – broches ludiques des années 1990 –, montrant que l’utilisation de la perle en joaillerie continue d’évoluer aujourd’hui. Gratuite et ouverte jusqu’au 1er juin 2025, cette exposition séduira non seulement les passionnés de bijoux, mais aussi les curieux qui souhaitent découvrir toute l’histoire et le savoir-faire derrière la perle. Pensez à réserver ! ¤ A.C
Paris, capitale de la perle
L’École des Arts Joailliers (Paris - Hôtel de Mercy-Argenteau) 16 bis, bd Montmartre – 9e
Tél. : 0 1 70 70 37 50
Jusqu’au 1er juin 2025
Ouvert du mar. au dim. de 11h à 19h sauf jours fériés. Nocturne le jeudi jusqu’à 21h Entrée gratuite sur réservation lecolevancleefarpels.com @lecolevancleefarpels
Pur produit du 19e, Abou est un Parisien bien occupé. Entre séances de taekwondo et journées aux fourneaux, le chef à domicile parcourt la capitale au quotidien pour réaliser des assiettes bien ficelées pour qui veut bien les goûter.
Dès la 6e, il savait déjà ce qu’il voulait faire de sa vie : cuisiner. Et pour cause, Aboubakar Bamba, trentenaire parisien et fin gourmet, manie les casseroles depuis son plus jeune âge. Aîné d’une fratrie de trois garçons avec des parents qui travaillaient jusqu’à la nuit tombée, le désormais chef Abou cuisinait quotidiennement pour nourrir sa famille. Mais ce qui partait d’un simple besoin primaire est devenu une passion qui ne le quitte plus. Et après avoir saigné Oui Chef ! à la télévision et répété sans relâche à la maison, Abou a sauté dans le grand bain, celui de la restauration.
Amoureux du savoir-faire à la française, le chef Abou a affiné ses couteaux aux quatre coins de la capitale. Des classiques brasseries parisiennes aux grandes chaînes d’hôtels en passant par les cantines d’école, les salons d’une compagnie aérienne,
jusqu’au double étoilé Michelin… Le chef a fait ses armes des années durant avant de lancer sa propre entreprise en 2019, celle qui lui donnera la liberté de cuisiner ce qui lui plaît.
Aujourd’hui, Abou offre ses services au restaurateurs en tant que consultant, et surtout, cuisine à domicile pour une clientèle internationale de luxe. Des familles américaines, qatariennes ou même françaises, venues séjourner pour une petite ou longue durée à Paris, ainsi que des sportifs de haut niveau tels que les footballeurs du PSG. Après avoir fait le topo sur les besoins et les allergies des client·es, Abou compose son menu aux touches frenchy, enchaîne avec les courses et passe aux fourneaux. Du petit-déjeuner au dîner, de la recette jusqu’à l’assiette… Abou est un bosseur invétéré, et ça se traduit par une cuisine soignée, mais aussi à travers sa ceinture noire de taekwondo. Chapeau l’artiste. ¤ M.S.
Chef Abou
Tél. : 06 62 10 51 48 chefabou19@gmail.com @abou_bamba19
Avenue de l’Opéra – 11e 1887- 2024
Situé à l’angle de la rue d’Artois et de la rue la Boétie, Café Poète est le restaurant qui apporte une touche de gourmandise et de poésie dans nos vies.
Il réchauffe notre cœur, enchante nos papilles… Nul doute, le Café Poète a su créer le poème parfait. Depuis 9 mois, ce restaurant aux tons chauds et boisés, niché dans le 8e, a conquis une clientèle d’habitué·es comme de touristes de passage. Ouvert quotidiennement, on y vient se restaurer du petit-déjeuner au dîner, dans un cadre propice à la déconnexion tant souhaitée par Romain, propriétaire des lieux. Ici, on profite d’une carte variée changeant à chaque saison et qui diffère légèrement entre le midi et le soir. Si les classiques de la cuisine française tels que le tartare de bœuf, la salade César ou la bavette Aberdeen Angus sauce au
poivre y ont leur place, la clientèle peut se laisser surprendre par des saveurs originales avec le Curry Coco, les Arancini ou encore les Penne Siciliana, pour satisfaire également les végétariens. Côté sucré, on se laisse tenter par la crème au citron incroyablement légère ou l’assiette gourmande rassemblant un café, le tiramisu, le yaourt châtaigne et le fondant au chocolat, également disponibles à l’unité. Nous voilà repus et pleinement détendus ; une chose est sûre, au Café Poète, la poésie ne finit jamais. ¤ L.G.
Café Poète
98, rue la Boétie – 8e
Tél. : 01 43 59 87 61
Du lundi au vendredi de 8h à minuit
Le week-end de 10h à minuit cafepoete.fr @cafepoete
Une séance de yoga sous 30°C, ça vous dit ? Découvrez Mama Yoga, le nouveau spot bien-être en plein cœur de Paris. Avec son cours signature, le “dynamic flow” sous infrarouge, cet espace lumineux et chaleureux promet une expérience de yoga unique !
En plein cœur du quartier de Sentier, un tout nouveau studio vient d’ouvrir ses portes. Enfin tout nouveau, pas vraiment. L’histoire de Mama Yoga a commencé en 2019, dans l’appartement d’Anna, la fondatrice. Ancienne consultante en finance, la jeune femme décide de se reconvertir dans l’enseignement du yoga et commence à donner des cours chez elle. Cinq ans plus tard, elle est le cœur battant de trois studios de yoga : un premier à La Garenne-Colombes ouvert en 2022, un deuxième dans le quartier des Batignolles inauguré l’année suivante, et le plus récent
à Sentier, ouvert début novembre 2024. Pour ce dernier, Anna s’est accompagnée de Vanessa, amie, professeur·e de yoga mais également manager chez Mama depuis juin 2023. Ancienne architecte d’intérieur, Vanessa a donné une véritable identité au studio de Sentier. On adore la grande verrière baignée de lumière naturelle de la salle principale, qui confère au lieu un sentiment de sérénité et de bien-être.
Côté cours, il y en a pour tous les goûts : soft vinyasa, hatha flow, inversions, yin yoga… Chaque séance est une invitation à prendre soin de soi, dans une ambiance conviviale et énergisante. Mais ce qui fait la particularité de Mama Yoga, ce sont surtout ses cours de “dynamic flow” sous infrarouge. Le principe ? Des enchaînements fluides dans une salle chauffée à 30°C pour réchauffer les muscles en douceur
et dénouer les tensions. Que vous soyez débutant ou un yogi aguerri, chacun trouvera son bonheur. Des cours accessibles à tous les niveaux dans lesquels les professeur·es donnent une multitude de variations pour permettre à tous les élèves de suivre le cours à leur rythme ; mais aussi des sessions spéciales niveaux intermédiaires ou avancés au moins une fois par jour si vous souhaitez placer la barre un peu plus haut !
Plus qu’un studio de yoga, Mama Yoga est un véritable havre de bien-être. « Le yoga, c’est une philosophie de vie, une manière d’appréhender le quotidien, de se reconnecter à son moi intérieur et à des valeurs qui nous sont chères comme la bienveillance, l’humilité et le respect », explique Anna. Un état d’esprit généreux et bienveillant qui
se retrouve également chez les professeur·es des trois studios. Mama Yoga propose des abonnements ou des cartes de cours à tarifs dégressifs (à partir de 15€ la séance avec le carnet 100 cours). Vous pouvez aussi tester un cours avant de vous abonner avec une séance découverte gratuite jusqu’au 28 février 2025 dans le nouveau studio de Sentier, ou un pack découverte 7 jours illimités à 50€. Les studios sont également disponibles sur Gymlib et Classpass.
¤ A.C.
Mama Yoga 10, rue des Jeuneurs – 2e 60, rue Boursault – 17e 50, rue de l’Aigle – La Garenne-Colombes Tél. : 07 69 89 59 36 mamayoga.fr · @mamayoga_studio
à
Après le succès de ses adresses du 2e et du 9e, Le P’tit Breton, première crêperie à volonté de France, s’installe dans le 14e, à deux pas de Denfert-Rochereau, avec un seul objectif : moderniser l’image de la galette pour nous offrir des moments de convivialité en famille ou entre amis, comme à la maison.
C’est une nouvelle adresse plus grande mais toujours aussi gourmande que nous propose depuis quelques mois Le P’tit Breton. Au cœur du 14e, on découvre un endroit chaleureux, porté par une équipe souriante et à l’écoute. Plus de 10 ans après l’ouverture de sa première adresse, la maison continue de nous régaler avec une recette qui a su faire ses preuves : des formules conviviales à prix imbattables dont la crêpe party à volonté qui feront le bonheur des adeptes de la galette et de la crêpe !
Ici, pas question de tomber dans les clichés de la crêperie bretonne un peu vieillotte. De l’immense fresque à l’image du P’tit Breton sur le mur à la déco hyper moderne en passant par le nom des galettes revisitées, rien n’est laissé au hasard pour mettre en place une bonne ambiance. Il ne vous reste plus qu’à vous attabler, choisir la crêpe party la plus adaptée à vos envies (midi/salée/à emporter ou no limit, avec toujours la boisson comprise), et profiter du service rapide,
fluide, et très bien rythmé, et ce même si toute la table ne choisit pas la même formule !
Dans l’assiette, on retrouve cet esprit chaleureux et réconfortant. Les galettes sont généreuses, inventives, sans gluten, et avec une quinzaine de recettes différentes, tout le monde est sûr d’y trouver son compte. Même chose côté sucré, on rêve encore de l’incroyable caramel au beurre salé maison (on peut même en rapporter des pots à la maison). Alors à vous de choisir votre créneau parmi les 4 services quotidiens, mettre les pieds sous la table, et vous régaler. Bon appétit ! ¤ C.V.
Le P’tit Breton 6, rue Brézin – 14e Tél. : 01 88 61 16 26
Ouvert le midi du mardi au dimanche de 11h30 à 15h
Le soir du mardi au dimanche de 19h à 23h leptitbreton-creperie.com @leptitbreton.creperie
Véritable conteuse des temps modernes, Solann est une voix de sa génération. Reconnaissable à son timbre de cristal et à ses longs cheveux ébène, l’artiste un peu mystique de tout juste 25 ans, dont le tube “Rome” traverse la France depuis un an, est engagée, met des mots sur ses maux et n’a pas sa langue dans sa poche. Elle dévoile un premier album bourré de talent, fort en manifestes et en révolte, terriblement touchant… et rafle trois nominations aux Victoires de la Musique. 2025 sera l’année de Solann.
Tu as grandi sur les planches, à te faufiler entre les jambes des adultes pour voir ton papa jouer sur scène. C’est de là que te vient ton amour du drama ? Clairement ! J’ai hérité de mes deux parents à vrai dire, alors c’est encore pire. Ma mère, si elle n’était pas comédienne, avait une propension très forte au côté drama queen. Elle était styliste, costumière pour mon père, elle a fait de la comédie musicale, de la danse… Je suis la somme parfaite d’eux deux, c’est grâce à eux que j’ai développé l’envie de faire du théâtre, de la mise en scène, d’être traversée par cet aspect-là. Quand je me suis mise au théâtre, l’improvisation, c’était ce que je détestais le plus, et aujourd’hui ça m’a guérie. J’ai combattu quelques petits démons, j’ai l’impression de ne plus être la même personne, je suis plus libérée, je suis plus moi. Quel meilleur moyen que de prolonger
la tradition familiale en foulant l’Olympia cette année… J’aime bien le voir comme ça. J’aime l’idée que mes parents, parce qu’ils comprennent ce que c’est d’être sur scène, sont fiers. Mon père aime les textes et c’est lui qui, petite, me faisait écouter Aznavour, Brel, Barbara… J’ai récupéré mon amour de la musique par ma mère et ma grand-mère paternelle qui m’a fait découvrir Anne Sylvestre, mon grand amour de la chanson française.
Autre chose dont tu as hérité, c’est un amour du beau et des beaux costumes. Tout à fait d’accord. Ma mère avait je ne sais combien de bouquins d’art à la maison, que je lisais tout le temps, c’est comme ça que je suis tombée amoureuse de Modigliani. Je pense aussi à mes deux grand-mères, qui ont veillé à mon éducation culturelle, à m’emmener dans des expos, à me montrer
le plus de choses possible. Ça m’a beaucoup plu, et comme j’étais assez solitaire au lycée, je me réfugiais là-dedans. Je n’étais pas une ado heureuse, je passais beaucoup de temps dans ma tête et j’avais besoin de cette beauté, de voir le plus de films possible, de lire le plus de livres possible, de m’enivrer de la vie d’artistes, de voir comment ils avaient retranscrit leurs histoires d’amour dans des peintures…
Ton expérience au théâtre, ça t’aide à grimper sur scène aujourd’hui ?
Pas vraiment, parce que je me suis retrouvée à réaliser que jouer une pièce et chanter mes chansons sur scène, ça n’était pas du tout la même chose. Au théâtre, je me planque derrière mon personnage et son histoire qui est déjà construite, alors que quand je chante, j’arrive sur scène avec mes petites chansons et l’air de dire « bonjour, vous êtes obligés d’aimer absolument tout ce que je vous propose ». Et je ne peux me planquer
derrière personne puisque mon nom est affiché à l’entrée !
Les paroles de ta chanson “Rome” ont été énormément reprises en manif’ cette année. Tu sens que tu portes le flambeau d’une génération en colère ?
Je suis aussi en colère qu’elle, et j’ai cette envie de changer quelque chose dans le monde et de le rendre un peu meilleur, donc
je la représente bien. Je suis une femme qui a vécu ce qu’on peut vivre de désagréable quand on est une femme et qui n’a pas envie de se taire. Mon syndrome de l’imposteur est encore un peu trop présent pour que je m’affirme la voix de cette génération, mais si je peux continuer à voir mes chansons régulièrement en manif’, je serai très heureuse… En tout cas, je veux continuer à montrer les coupables du doigt. Quand, dans l’album, j’aborde la dégringolade écologique qui m’affecte énormément, c’est pour rappeler qu’on a tendance à se blâmer et à se faire culpabiliser entre nous alors que nous ne sommes pas les plus grands fautifs dans l’histoire. Ce serait dommage de l’oublier.
Le titre de ton album, Si on sombre ce sera beau, montre néanmoins une trace d’optimisme en toi. En général je suis plutôt pessimiste, je pense qu’on ne va pas vers le mieux et que ça va être le bordel. Mais je ne sais plus où j’ai lu ce petit conte, très récent, dont le scénario montrait des aliens qui s’apprêtaient à détruire la planète. Les humains le savaient, les aliens s’attendaient à ce qu’ils soient en pleurs ou dévastés, et finalement dans leurs derniers moments ils se sont mis à jouer de la musique. Ils mettaient des CDs, s’installaient derrière un piano, dansaient… Et je pense que c’est très humain de se tourner vers le beau dans les moments où on se sent condamné.
Tu dis aussi utiliser tes chansons comme des séances de psy. Chanter la violence avec douceur, ça permet de raconter l’indicible ? Ça fait plusieurs années que je travaille sur le fait de raconter les choses, de ne plus les garder pour moi, de les verbaliser. Chanter et écrire sur des sujets difficiles, ça ne les règle pas mais ça les apaise, ça me permet d’aller vers une respiration. J’ai aussi le sentiment que je ne peux pas écrire une chanson qui ne parle pas de sujets importants, je n’y verrais aucun intérêt. Dans ma chanson “Les Draps”, je dis les choses sans les dire. Quand je l’ai écrite,
je n’étais pas capable de mettre des mots crus dessus. Je me protégeais, je tournais autour du pot, j’enchainais les métaphores… J’aime les chansons très douces sur lesquelles il faut se pencher plus d’un instant.
Chanter la puissance féminine, c’est le plus gros flex pour une sorcière de notre époque ? Ça fait très, très plaisir de me dire que je peux représenter ça, que je peux l’incarner. Autre chose dont je suis fière, c’est d’avoir fait flipper les masculinistes qui m’ont envoyé une vague de harcèlement. Le fait d’avoir créé une telle réaction chez eux, qu’ils soient aussi mal… Ça a commencé avec les paroles de “Rome”, je me suis réveillée du jour au lendemain avec 1600 messages qui n’étaient pas des messages sympathiques. Depuis, dès qu’il y a un peu de pub autour de cette chanson, et je pense qu’avec les Victoires ça va revenir, ils reviennent dans mes DM. C’est une fierté de voir à quel point ça les dérange, ils étaient vraiment tendus. ¤ Sarah Sirel
Si on sombre ce sera beau
Faubourg26 / Cinq7 / Wagram Music
Déjà disponible
En concert à l’Olympia le 9 avril 2025
1. Drap de bain éponge — La Redoute 26€ 2. Porte-monnaie — Olivia Dar 95€ 3. Lady Blouse — Derhy 79€ 4. Sac Moon — Vanessa Bruno 335€ 5. Parfum Ambre Insomniaque — Antinomie 85€
6. Carré 100% cachemire — Bompard 295€
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9. Gilet Vitow — American Vintage 160€ 10. Collier personnalisé — Merci Maman 149€
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13. Jean rose poudré — Guess 120€
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15. Étole en voile — Bompard 140€
Bélier
21 mars – 19 avril
Le sentimental est en pause, et ce n’est pas forcément une mauvaise chose. Toute votre concentration sera portée sur le travail durant ce mois de février, ce qui peut paraître boring au premier abord mais lucky you, c’est le mois le plus court de l’année !
21 mai – 21 juin
Vous ne réfléchissez pas, ou peu, vous avancez tête baissée, et ça ne peut durer qu’un temps. Vous le savez en plus, ça fait combien de fois que je vous dis ça ? La solution c’est les autres, écoutez les autres, suivez les autres, mais séparez-vous de vous-même.
Lion
23 juillet – 22 août
Tiens tiens tiens, février seulement et le Lion s’ennuie déjà… Comme c’est étonnant. La solution à cet ennui sera sentimental évidemment, mais ne jouez pas trop avec les autres non plus, parce que comme dit l’adage : « qui fait le malin, tombe dans le ravin ».
Taureau
20 avril – 20 mai
Vous allez faire des placements financiers un peu pourris alors attention à ne pas vous laisser aller sur les dépenses inutiles, sauf si vous êtes milliardaire évidemment, dans ce caslà dépensez sans compter ça ne changera rien.
Cancer
22 juin – 22 juillet
Vous faites cavalier seul, et attendez l’aide des autres ! Alors remuez-vous le train et tâchez de vous rendre indépendant et désirable ! Je me permets de vous parler comme ça parce qu’au bout je vois l’âme sœur, là !
Donc allez hop hop hop.
23 août – 22 septembre
Vous avez une décision à prendre, je ne vais pas vous dire ce que c’est je ne suis pas non plus devin. Tout ce que je peux vous dire, c’est que pour la prendre, il va falloir écouter les autres, même si ça n’est pas votre spécialité surtout les têtus du fond du 2e décan !
¤ Miss Raph & Perlouz
Balance
23 septembre – 23 octobre
Vous faites un peu la gueule et restez sur vos positions ! La solution est de se détacher de ce schéma et de sortir un peu de votre zone de confort. Et là, gros soleil, tout vous sourira, j’ai même envie de parler d’amour. Eh oui, donc allez hop là !
Sagittaire
23 novembre – 22 décembre
Vous faites face à un problème qui vous empêche d’avancer et vous stresse. Ma boule vous conseille de faire votre paix intérieure et de voir ce qui est le mieux pour vous. Et de comprendre ainsi que la vie avance sans vous, et vous proposera sans que vous agissiez la solution.
Verseau
21 janvier – 18 février
Quelque chose va vous déstabiliser. Je vois un game changer. Il va falloir guérir et s’adapter car ce changement malgré son côté bouleversant ne va créer que du positif. Cela vous apportera de la confiance et de la… pizza. Ne me demandez pas pourquoi, c’est ce que je vois.
Scorpion 24 octobre – 22 novembre
Vous angoissez et ça vous fait trop réfléchir ! Pour pallier ce stress, vous foncez, sans réfléchir, au risque d’augmenter plus tard cette angoisse ! Attention attention mes amis, prenez le temps, soufflez, prenez le contrôle de vos peurs !
Capricorne 23 décembre – 20 janvier
Vous avez du mal à vous ouvrir aux autres. Classic shit. Vous allez trouver la solution dans l’alcool et surtout l’empathie envers les autres, ce qui vous manque cruellement. Les célibataires ne vont pas tant évoluer durant ce mois de février.
Poissons 19 février – 20 mars
Vous êtes trop utopique et idéalisez tout. Voyez les choses de manière atomique et réfléchie pour savoir ce qui serait vraiment le mieux pour vous. Une bonne nouvelle néanmoins en fin de mois qui va vous faire sourire ! Kiss
Pour passer une annonce, rien de plus simple, envoyez un mail à : quentin.m@lebonbon.fr
Joyeux anniversaire
Jean-Pierre Raffarin aka Mardo. 40 ans, ça pique.
Joyeuse
Saint-Valentin les Bonbecs !
Ma princesse adorée que j’aime de tout mon cœur
Pour les déprimés du lundi
Streamez la nouvelle cover de pâle regard !
Quand est-ce que je pourrais boire dans ma nouvelle tasse à café, le naze ?
Dodu lov
Le Bonbon FC peut encore être champion, on y croit
Et d’un mois perché ensemble Petit Chef
Notre ami Q est sacrément gourmand
Abonnez-vous à odbussy !
Oh fatche !
Bon anniversaire
Béa !!!
N’attendons pas trois mois pour remettre le couvert !
Hâte d’être invité à ta crêpe-ailière, très chère frangine. Ton Dougn !
Welcome on Board Capucine & Marion
Bientôt un Basil Smash à Rio avec Lara
À vos 26 l’équipe !
Tomich, Lukas et Gandhi