Le_Bonbon_Mars_2025

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ELLE EST PAS BELLE LA VIE ?!

Modèle : Salomé Lanos

Photographe : Hugo Dominguez

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LE BON ÉDITO

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Contact

Tania Szpiczak

Pierre Echardour

Perla Amar

Jade Moiret

Benjamin Haddad

benjamin.h@lebonbon.fr

Tél. : 06 20 23 54 49

Tél. : 01 48 78 15 64

15, rue du Delta – 9e 510 580 301 00040

Il est tard, tu rentres de ton boulot en open space, tu en as plein le dos des tableaux Excel et tu te dis que tu as vraiment une existence futile. Sèche tes larmes, mon ami. Ouais, dis-toi qu’en matière de bullshit job, il y a eu bien pire sur l’échelle de Pôle emploi.

Imagine qu’à Paris, il a existé des métiers si insolites que le temps a fini par les faire disparaître.

Il y a quelques siècles encore, tu pouvais trouver dans les rues de la capitale des “loueuses de sangsues” : elles attendaient dans la Seine que ces petits monstres se collent à leurs cuisses, puis les revendaient aux pharmacies. Il y avait aussi le “marchand de feu”, un type sympa qui se trimballait avec un brasero. Tu voulais allumer ta clope, t’avais pas de feu ? Pas de problème, il te donnait du feu. Et puis “l’ange gardien”, lui, était payé par les patrons de bar pour ramener chez eux les clients éméchés.

Attends, c’est pas fini. Il y avait aussi le “cireur de pompes”, le “raccommodeur de porcelaine”, le “décrotteur”, la “loueuse de chaises”, les “hommes-sandwichs” et, last but not least, le “tapeur de vitre”, aussi connu sous le nom de “réveil vivant” : avant l’invention du réveil matin ou des smartphones, ces types avaient pour mission de vous lever en toquant à votre fenêtre ou en soufflant dans un sifflet. Une profession mal-aimée, mais nécessaire...

Voilà, j’espère que ce petit voyage dans le temps t’a fait relativiser ton présent.

Et si tu cherches d’autres anecdotes rafraîchissantes sur la Ville Lumière, demande au Bonbon, il sera toujours là pour t'aider.

Le printemps approche...

Bon mois de mars les Bonbons !

¤  Mikado

On se déhanche et on plane au Zénith de Paris

5 ans après son dernier passage à Paris, l’artiste britannique FKA Twigs sera de retour dans la capitale, l’occasion de découvrir en live son nouvel album Eusexua. Un condensé de musiques oniriques et planantes aux inspirations techno, pour atteindre un sentiment d’euphorie à la croisée des chemins entre art, musique, sexe et unité.

FKA Twigs en concert au Zénith de Paris

211, av. Jean-Jaurès – 19e Le 13 mars 2025

On révise ses comédies musicales au Grand Rex

Les plus grandes comédies musicales de Broadway n’ont aucun secret pour vous ? Vous connaissez la moindre parole de la moindre chanson  de ces spectacles incontournables ? Alors rendez-vous le 29 mars prochain pour deux concerts-expériences des plus “broadwayesques”. Pendant deux shows de 2h, profitez en live des plus belles chansons de comédies musicales cultes !

Broadway, le concert-expérience au Grand Rex 1, bd Poissonnière – 2e Le 29 mars 2025

On fait le plein de self-love au Théâtre du Gymnase

Ruby On The Nail, figure emblématique de la scène drag parisienne et finaliste de la saison 3 de Drag Race France, vous invite à découvrir sa première création théâtrale. Un spectacle vivant et vibrant entre  rêverie et hallucination collective. Sur scène, les comédiennes interrogent la quête de soi à travers l’humour, la poésie, et l’absurde. Une ode à la liberté, à ne pas manquer !

TOPCOAT au Théâtre du Gymnase

38, bd de Bonne-Nouvelle – 10e

Du 10 au 19 mars 2025

On parle féminisme au Pavillon des Canaux

Pendant tout le mois de mars, le plus stylé des festivals féministes reprend ses quartier au Pavillon des Canaux, et plus précisément dans la Maison Plur·iel. Au programme, 4 espaces thématiques autour de la politique, de la lutte ou encore de l’héritage, pour accueillir des rencontres, des conférences, des DJ sets, des projections, des expositions…

Pop Meufs 2024 au Pavillon des Canaux

39, quai de la Loire – 19e Du 1er au 31 mars 2025

On investit dans de belles fenêtres en bois

Brrr… c’est officiel, qu’on le veuille ou non : le froid est de retour dans la capitale. Avec la crise énergétique, pas question de rallumer le chauffage tout de suite ! Le meilleur bouclier pour lutter contre le froid ? Nos fenêtres. Spécialisé dans celles en bois, 1001 fenêtres sera votre meilleur allié cet hiver. Finitions parfaites, matériel de qualité, excellent rapport qualité-prix… n’hésitez plus ! 1001 fenêtres

71, rue Condorcet – 9e Tél. : 01 45 33 03 86

On plonge dans le monde magique de Wes Anderson à la Cinémathèque

C’est l’une des expos les plus attendues de l’année. Jusqu’au mois de juillet, la Cinémathèque française, véritable temple du 7e art, nous plonge dans le monde délicieusement pastel de l’un des plus grands réalisateurs du XXIe siècle : Wes Anderson. L’occasion de redécouvrir ce génie dont l’univers vintage, vibrant et excentrique est reconnaissable au premier coup d’œil.

Wes Anderson à Cinémathèque française

51, rue de Bercy – 12e Du 19 mars au 27 juillet 2025

LE CHARME À L’ITALIENNE

Cela fait maintenant 50 ans que Le Monteverdi régale les habitué·es de Saint-Germain-des-Prés avec des recettes réconfortantes autour des meilleurs produits de l’Italie. Un restaurant historique où l’amour du jazz se conjugue à celui du partage.

Si Claudio Monteverdi (1 567-1 643) était parmi nous aujourd’hui, nul doute qu’il saurait où s’attabler pour replonger dans le charme de son époque. Ce lieu porte d’ailleurs son nom ; ouvert il y a un demi-siècle par l’un de ses descendants, Le Monteverdi a su sauvegarder son identité grâce à une surface et une carte figées dans le temps. Ce faisant, il reste l’un des restaurants italiens les plus charmants du Quartier latin. Il n’est pourtant pas aisé de deviner ce qui se cache entre ses murs lorsque l’on longe sa devanture. Le restaurant se révèle tel un écrin préservé aux multiples espaces : un salon romantique sublimé par un piano pour recevoir des musicien·nes de jazz le soir, un refuge avec cheminée et plaids pour se sentir comme chez soi, une vaste salle aux grandes tablées pour célébrer un événement… Accueillant ainsi aussi bien les amoureux·ses que les ami·es et les familles,  chacun·e trouve son compte en termes d’ambiance et de gastronomie. Plutôt pizza, pâtes ou plat italien ? Bonne nouvelle, on y commande les trois. Ouvert tous les soirs, le restaurant propose une ribambelle

d’antipasti gourmands (burrata crémeuse au pesto maison, beignets de fleurs de courgette à la ricotta…) et met l’accent sur les pasta avec des spécialités traditionnelles (rigatoni alla carbonara, spaghetti aux palourdes fraîches) ou singulières, comme les paccheri farcies à la ricotta, viande de bœuf et scamorza. Un délice.

Un établissement emblématique qui parvient à se réinventer avec brio : après avoir lancé un brunch dominical (39€) mêlant une entrée, un plat et un dessert détonants, ses gérant·es s’apprêtent à inaugurer la petite sœur du Monteverdi, un restaurant italien aux accents plus estivaux, dans l’arrondissement voisin (5e). Une nouvelle perle à découvrir dans les prochains mois. ¤  F.G.

Le Monteverdi 5, rue Guisarde – 6e

Tél. : 01 42 34 55 90

Du lundi au samedi, de 19h à minuit

Le dimanche, de 12h à 16h et de 18h à 23h lemonteverdi.com @lemonteverdi

Saviez-vous qu’il existe, au cœur de Belleville, un lieu plein de vie caché derrière un immense portail ? L’Usine Spring Court, véritable témoignage de l’histoire du quartier, est une adresse familiale dans tous les sens du terme, qui allie création et détente. On vous emmène à la découverte de ce spot qui a su préserver son âme au fil des décennies.

LA QUALITÉ, EN TOUTE SIMPLICITÉ

Pour la famille Grimmeisen, tout commence en 1870, alors qu’elle décide d’acheter un terrain pour ouvrir une usine de tonnellerie. De fil en aiguille, des recherches sur l’étanchéité la poussent à s’orienter vers le caoutchouc. Il suffira ensuite d’une passion pour le tennis pour que la Spring Court, basket emblématique portée par les plus grands, comme John Lennon ou Jane Birkin, voie le jour en 1936. Une chaussure intemporelle et unisexe qui, à l’aube de ses 90 ans, et même si elle n’est plus produite sur place depuis 1984, porte encore en elle l’ADN de cette marque pas comme les autres : proposer un produit sobre, efficace, à la qualité incontestable.

C’est cet état d’esprit qui, depuis, règne en maître au sein de l’Usine Spring Court. Sur place, dans cette cour où l’ancienne balance d’origine trône encore comme une reine, on retrouve des studios de photo, des cours de yoga, une boutique Spring

Court où fidèles clients et nouveaux venus trouveront leur bonheur, mais aussi le Café de l’Usine, un restaurant chaleureux où l’on se retrouve comme à la maison pour prendre un café (dehors, si le soleil pointe le bout de son nez) ou pour déguster la cuisine de la cheffe Alice Arnoux qui, elle aussi, nous régale en toute simplicité grâce à des produits de qualité.

Ce petit trésor caché du 11e, aujourd’hui géré par la 5e génération de Grimmeisen à veiller sur le lieu, a donc tout ce qu’il faut pour devenir très rapidement votre nouveau spot préféré. Alors la prochaine fois que vous êtes dans le quartier, surtout, n’hésitez pas à passer le pas de la porte, promis, vous ne serez pas déçus ! ¤  C.V.

Usine Spring Court 5, passage Piver – 11e @usine.sc

LA JOIE DU JEU

En quête d’un spot convivial pour jouer et grignoter ?

Mi-décembre 2024, Jovial a ouvert près du bassin de la Villette, devenant le premier bar à jeux doublé d’une boutique dans le 19e.

Aux commandes de cette toute nouvelle adresse : Célia et Laurent, un couple passionné par les jeux mais avant tout par le plaisir de recevoir. Habitants du quartier, les deux gérants ont un seul mot d’ordre pour leur établissement : la convivialité. Loin des classiques bars à jeux un peu bondés et parfois trop étriqués, ici, la mode est à la luminosité et à l’espace. Avec une trentaine de places assises à l’étage – avec fauteuils et canapés – et bientôt une terrasse pour les journées ensoleillées, Jovial promet des parties endiablées dans un cadre où l’on peut enfin respirer.

Aux murs, plus de 300 références de jeux de tous types nous attendent : jeux de cartes, de stratégie, de réflexion, pour enfants, classiques… Que vous soyez novice ou expert, Célia et Laurent, qui ont tout testé, sauront vous guider. Et si un jeu vous fait craquer, il est dispo à la boutique au rez-de-chaussée ! Mais ce qui fait la particularité de cette adresse, c’est surtout l’attention portée à la carte. Ici, tout est fait maison ! Nachos au cheddar, frites cajun, tartinables, gâteau au chocolat, crumble… Des planches

aux desserts en passant par les tapas, tout est préparé avec soin pour régaler vos papilles. Côté boissons, priorité au local et au bio : bières BAPBAP, limonades de la Limonaderie de Paris et jus du Tarn signés La Bonne Énergie. Le clou du spectacle ? Un brunch va très bientôt faire son apparition au menu les dimanches. Au programme : du salé, du sucré et bien sûr, des jeux !

L’autre atout du lieu ? Les soirées tables ouvertes organisées plusieurs fois par mois pour inviter les joueurs à se mêler les uns aux autres. Côté tarifs, comptez 4€ pour 2 heures de jeu (2€ pour les enfants) avec conso obligatoire. Une boisson suffit pour repartir sur 2 heures supplémentaires. Alors, on lance une partie ? ¤  A.C.

Jovial

21, avenue Jean-Jaurès – 19e Tél. : 01 86 04 44 66

Ouvert du mar. au ven. de 17h à minuit, le sam. de 14h à 00h et le dim. de 14h à 19h jovialparis.fr · @jovial.paris

Amateurs de viande rouge à la recherche d’un casse-croûte à la française, vous n’avez qu’une seule adresse à retenir : la Baguette du Relais. Au menu ? Une bonne baguette, des tranches de bœuf bien grillées, des pommes allumettes croustillantes comme on les aime et une sauce légendaire des plus addictives. Suivez-nous !

L’ENTRECÔTE FAÇON BAGUETTE

Souvent copiée, jamais égalée, La Baguette du Relais s’inscrit comme une adresse incontournable de street food à Paris, annexe du Relais de Venise, et surtout de la fameuse Entrecôte de la Porte Maillot où depuis 65 ans on déguste un délicieux contre-filet bien grillé, accompagné de pommes allumettes dorées et croustillantes, le tout nappé de leur fameuse sauce secrète. L’affaire familiale, fondée en 1959 par le viticulteur tarnais Paul Gineste de Saurs, est aujourd’hui dirigée par plusieurs de ses petits-enfants. Parmi eux, Pauline, qui est à la tête du restaurant historique de la Porte Maillot et qui est à l’origine du nouveau concept La Baguette du Relais.

Ce concept novateur, le voici. La Baguette du Relais affiche toujours à la carte un seul plat : un sandwich baguette garni à l’entrecôte et aux pommes allumettes. Mais le point fort de ce plat réside toujours dans sa sauce, bien beurrée comme il le faut, dont la recette reste encore et toujours un grand secret de famille depuis plusieurs générations.

Un plat unique, mais tout de même déclinable. Vous aurez donc le choix entre la version classique, la XL avec deux fois plus de viande, ou la BIG avec 240g de viande, pour les (très) gros appétits, mais aussi une version sans gluten ou encore avec un pain noir au charbon végétal. Le tout avec des produits top qualité sourcés auprès des mêmes artisans depuis plus de 60 ans.

Côté desserts, du cheesecake maison au fondant au chocolat, tout est préparé soit en cuisine soit par le boulanger historique du Relais de Venise. On arrose tout ça d’un verre de vin de la propriété familiale et la boucle est bouclée. ¤ M.S.

La Baguette du Relais 10, rue des Archives – 4e Tél. : 01 40 09 72 11

Du lun. au jeu. de 12h à 15h et de 18h à 22h

Du ven. au dim. de 12h30 à 22h labaguette.relaisdevenise.fr @labaguettedurelais

VOYAGE EN AMÉRIQUE

LATINE

Artivistas, c’est un lieu aux identités multiples, à la fois galerie d’art, café, librairie et boutique. Un espace singulier où l’Amérique latine est mise à l’honneur, qui nous offre le plus beau des voyages en plein cœur du 9e.

Une explosion de couleurs, des œuvres d’art aux quatre coins de la pièce… Lorsque l’on passe la porte d’Artivistas, il y a de quoi captiver notre regard. Dans cette ancienne pharmacie dont les boiseries d’origine ont été conservées, c’est désormais une galerie d’art, mais aussi un café et une librairie portés par Paula, Inés et Melisa, qui ont pris place. Un « lieu hybride » authentiquement

latino-américain, né en 2023 sous l’impulsion de Paula Forteza, avec une ambition : utiliser l’art pour toucher le public et le sensibiliser aux causes sociales et sociétales majeures.

Chaque mois, une nouvelle exposition s’empare des murs d’Artivistas. Ici, les œuvres présentées sont plus que de simples tableaux ou photographies, elles sont des vecteurs de messages et de combats. Si les artistes exposés sont majoritairement latino-américains, les causes évoquées sont, elles, universelles : le féminisme, les droits humains, la démocratie ou encore la protection

de l’environnement. À partir du 8 mars prochain, c’est l’artiste Camila Eslava et ses méditations graphiques qui seront mises à l’honneur.

Côté café, là encore, l’immersion en Amérique latine est complète, avec du café colombien, des toasts de dulce de leche ou encore des alfajores, ces biscuits traditionnels argentins.

Et parce qu’Artivistas est un espace ouvert à la créativité et à toutes les disciplines artistiques, des événements et ateliers y sont régulièrement organisés : ateliers d’art, rencontres avec les artistes des expositions, cours de yoga ou encore

de tango… Dans ce temple de l’art et de l’engagement, petits et grands trouvent leur compte. Pour un café ou un atelier, pour profiter d’un moment d’évasion ou d’une pause dans le tumulte parisien, c’est incontestablement chez Artivistas que l’on se rend. ¤  L.G.

Artivistas

35, rue Blanche – 9e Tél. : 07 45 28 58 32

Du mardi au samedi de 10h à 19h

Dimanche de 11h à 18h artivistas.fr @artivistas.paris

Vous aviez peut-être manqué cet été l’ouverture d’Ekinox, pépite bistronomique située dans le 6e à deux pas de la Samaritaine. Heureusement, le Bonbon et ses papilles affûtées n’ont pas manqué de la noter, et on vous propose de découvrir ce mois-ci cet incroyable resto.

CUISINE DEVOLÉEHAUTE

Quand on arrive chez Ekinox, impossible de rester de marbre. Plantes vertes qui tombent en cascade du plafond, murs en pierre, mezzanine enchantée et terrasse chauffée à l’écart de l’agitation de la rue, l’adresse ne manque pas d’arguments pour nous séduire. Et une fois assis, on est loin d’être déçu, puisque la cuisine est largement à la hauteur. Au menu, des assiettes à partager imaginées autour du végétal, de la viande ou du poisson par le chef Alexandre Silva, le tout à des prix plus qu’abordables.

Sur la carte, simple mais très efficace, des marqueurs de la cuisine traditionnelle française retravaillés avec justesse et modernité. Notes asiatiques et influences méditerranéennes se mêlent dans des bouillons et des jus à l’équilibre bluffant, et le concept d’assiettes à partager risque de faire des heureux, puisqu’il permet aux personnes présentes autour de la table de tout goûter sans se priver. Pour accompagner le tout, on choisit un bon vin parmi l’immense sélection,

où l’on retrouve aussi bien des grands crus que des bouteilles aux prix tout doux.

De notre côté, on a adoré le nougat de foie gras et crème de datte, le saumon confit, jus de cresson acidulé, la raviole façon carbonara… Et que dire du riz au lait vanillé ultra léger, si ce n’est que c’est sans doute le meilleur que l’on ait jamais dégusté à Paris. Alors attention, on préfère vous prévenir, ici, la carte change régulièrement selon les humeurs du chef, la qualité des produits proposés et les saisons. Mais on vous rassure tout de suite, vu la cuisine haut de gamme qu’on vous propose, aucune chance d’être déçu, et puis ça permet d’y retourner encore et encore, sans se lasser. Avec tout ça, nous, on a trouvé notre nouveau QG de la Rive gauche ! ¤  C.V.

Ekinox 20, rue Dauphine – 6e

Tél. : 01 86 04 29 00 Du mardi au samedi de 12h à 22h30 restaurantekinox.fr @ekinox_restaurant6

LE BON EN ARRIÈRE

DU BITUME À LA SCÈNE

Une onde de choc s’apprête à déferler sur le Théâtre du Châtelet ! Les 25, 26 et 27 avril, la crème des arts urbains se donne rendez-vous pour OLLIE, une création hybride signée Nicolas Musin.

Avec OLLIE, Pavillon Noir signe un spectacle de danse, parkour et skateboard aussi brut qu'hypotique. Dans un décor dominé par une immense rampe de skateboard, les disciplines se croisent et s’entrechoquent : le parkour se frotte à la danse contemporaine, les figures dialoguent avec la musique, le tout sous la direction sonore de Pedro Winter. Une bande-son exclusive réunissant les talents de la French Touch, ponctuée de textes signés Kae Tempest, Mark Gonzales et Matt

Lloyd, vient ainsi amplifier l’élan poétique du spectacle. Parmi les 17 artistes en scène, le champion du monde de parkour 2024 Caryl Cordt-Moller et Maxime Renaud, figures marquantes des JO de Paris, repoussent les limites du mouvement. Sans oublier Meryt, prodige de la danse contemporaine, et quatre skateurs parisiens triés sur le volet pour enflammer la rampe centrale. Un show explosif et libérateur à ne pas manquer ! ¤  A.C.

OLLIE, Théâtre du Chatelet 1, place du Châtelet – 1er 5 représentations du 25 au 27 avril 2025 Infos et billetterie sur chatelet.com @theatrechatelet

LA BONNE

Avec La Très Catastrophique Visite du Zoo, Joël Dicker sort de sa zone de confort en proposant un roman jeunesse qui rend la lecture accessible à tous et traverse les générations. L’occasion pour l’écrivain aux millions de lecteurs dans le monde entier de se replonger dans les souvenirs du Paris familial de son adolescence.

LE PARIS DE… JOËL DICKER

Là où il a ses meilleurs souvenirs

J’ai de la famille à Paris, j’y ai beaucoup de souvenirs de mon enfance. Le grand-père de mes cousins habitait au 192, boulevard Saint-Germain, à la limite entre le 6e et le 7e. C’était un vieux monsieur qui s’appelait Florent, et à partir de mes 13-14 ans, j’allais dormir chez lui sous prétexte de lui rendre visite. C’était pour moi mes premiers voyages seul. Je prenais le train de Genève puis le bus de la gare de Lyon à chez lui, et ensuite je faisais ma vie, je visitais la ville, je prenais le métro… J’ai mes premiers souvenirs indépendants, partant de chez lui, allant à l’aventure. Je garde un souvenir très fort du moment où j’ai compris tout seul comment lire un plan de métro – avant ça, il devait m’expliquer quelle ligne prendre et où descendre. J’étais très fier. Ce sont des moments forts, pendant lesquels on se forme, on se construit.

Le lieu qui lui rappelle son année d’études à Paris

J’y ai vécu un an quand j’ai fait une année peu convaincante au Cours Florent en 20042005, il y a 20 ans. J’en garde un très bon souvenir. J’habitais au 26, rue Saint-Paul, il y avait cette dame que je connaissais bien qui partait pendant un an et qui m’a laissé

vivre dans son appartement. Je formais une coloc’ avec un Italien aux cheveux longs hyper sympathique qui étudiait la musique et dont je n’ai plus jamais eu de nouvelles. Cette année était vraiment géniale. Moi ce que j’aimais vraiment beaucoup, c’était descendre la rue Saint-Paul jusqu’à la Seine –à l’époque les voies sur berge fonctionnaient toujours et elles étaient réservées aux piétons le dimanche. J’aime beaucoup courir, je viens de Suisse et à Genève il y a de la place absolument partout pour courir sans être interrompu par le trafic, et c’était un peu frustrant à Paris de trouver un parc. Je me souviens du plaisir que j’avais le dimanche d’enfiler mes baskets et d’aller courir le long de la Seine.

Rue Saint-Paul – 4e

Là où il a ses quartiers Aujourd’hui, quand je reviens, je suis toujours à l’hôtel, et donc je garde avec Paris ce lien assez plaisant de touriste. Ça fait de moi un visiteur éternel. Je vais toujours au même endroit, le Brach dans le 16e, c’est un peu ma maison ici. C’est une petite structure où l’on croise toujours les mêmes personnes, on y est bien accueilli et je m’y sens hyper bien. La salle de sport, la piscine, le resto…

Tout est canon. Il faut aussi que je vous parle du marchand de fruits face au Brach. À chaque fois que j’y dors, un de mes buts dans la vie c’est d’aller chez ce primeur, le Printemps de la Pompe. Il vend des fruits incroyables qu’il coupe devant toi et te sert dans une barquette, j’achète toujours plein de fruits pour ma journée. En ce moment ils ont des mandarines tellement bonnes que je les ramène en Suisse et que je passe mes journées à les manger.

Le Brach – 1-7, rue Jean Richepin – 16e

Le Printemps de la Pompe – 41, rue de la Pompe – 16e

Là où il aime s’attabler Il y a ce resto que j’adore qui est Chez Georges, rue du Mail. Le personnel est génial, l’accueil est top, la nourriture est incroyable. Si vous y allez, il ne faut surtout pas rater le pavé du mail, c’est très léger, c’est de la viande en sauce avec des frites mais c’est fantastique.

Goûtez aussi les rillettes qui sont hyper bonnes et finissez sur une crème de marron –rien que d’en parler me donne faim ! Le patron qui s’appelle Jean Gabriel est incroyable et il connaît bien son vin. J’y vais depuis des années, c’est d’ailleurs là-bas que j’ai fêté la finale du Prix Goncourt il y a 13 ans, je n’avais pas gagné mais c’était un moment important de ma vie.

Chez Georges – 11, rue du Mail – 12e

Là où on trouve les meilleurs livres Il y a une librairie que j’aime beaucoup dans le 13e. La propriétaire, Nicole, a passé le flambeau à sa fille, c’est une histoire de famille, la boutique n’est pas très grande mais on y trouve absolument tout. Je l’aime beaucoup parce que c’est un lieu de quartier, on s’y sent très bien, il y a un charme particulier. Nicole m’a beaucoup soutenu depuis mes débuts, elle a toujours été là pour moi. J’ai un lien très particulier avec

© ANOUSH ABRAR

LA BONNE ÉTOILE

beaucoup de libraires, parce que ça fait treize ans que je voyage et que j’en rencontre, ce sont de belles histoires.

Librairie Maruani – 171, bd Vincent-Auriol – 13e

Son quartier préféré

Dans les quartiers chers à mon cœur, il y a la rue la Boétie, surtout le premier tronçon jusqu’à Miromesnil. C’est un endroit un  peu particulier pour moi puisqu’au numéro 22 se trouvaient les éditions de Fallois. Bernard a été mon premier et mon seul éditeur (j’ai maintenant ma propre maison d’édition à Genève), et lui qui était farouchement indépendant s’était installé dans le 8e, loin des autres maisons d’édition de Saint-Germain-des-Prés. De ce fait, à chaque fois que j’allais le voir, j’y passais énormément de temps, on s’installait à la table du café le Mesnil, depuis renommé le Melodia. À l’époque de Bernard, la patronne, Nathalie, nous accueillait du matin au soir, on pouvait y être du petit-déjeuner au dîner. J’ai plein de souvenirs de cette rue, de rendez-vous dans des cafés, des premières interviews…

rue la Boétie – 8e

Là où il aime se promener Près de l’église de Passy, où a eu lieu la messe pour l’enterrement de Bernard en janvier 2018, il y a, juste en contrebas, à peu près au niveau de la Maison de la Radio, des escaliers qui descendent. Quand tu les empruntes, tu as une vue sur la tour Eiffel que je trouve absolument incroyable. Tout à coup, entre deux immeubles, apparaît ce monstre de fer dont on ne voit qu’un seul bout, et je trouve que c’est là où on se rend compte du travail que ça représente. Elle n’est jamais aussi belle que de près.

Une source d’inspiration

Les petites places du Marais. Au détour d’une rue, on tombe sur une petite place qui a son propre écosystème, son petit café, son lampadaire, son organisation, des gens

en terrasse… Et vous êtes transporté dans un autre monde. Ça me ramène au vieux Paris un peu cliché, le temps donne l’impression de s’être arrêté. D’ailleurs, je pourrais voyager jusqu’à Paris juste pour aller manger un palmier chez Carette.

Un endroit où se retrouver en famille

J’ai emmené mes enfants sur les bateaux mouches et j’ai adoré. Je ne pensais pas que j’aurais autant de plaisir à voir Paris depuis la Seine. Ça change tout, ça donne une toute autre perspective. J’aime aussi beaucoup me promener en famille dans les Tuileries, que j’adore, et c’est hyper sympa d’y lire au soleil sur une chaise. Ça nous ramène au but de La Très Catastrophique Visite du Zoo : créer un moment de partage entre parents et enfants, proposer un ouvrage multi-générationnel qui peut se lire à tous les âges, qui crée du lien, qui construit des souvenirs.

Jardin des Tuileries – 1er ¤ Sarah Sirel

La Très Catastrophique Visite du Zoo éditions Rosie & Wolfe Parution le 5 mars 2025

NOS COUPS DE CŒUR CULTURELS DE MARS

De l’Italie aux États-Unis en passant par la Belgique et même l’espace, le moins que l’on puisse dire, c’est que ce mois-ci, on va voyager. Livre, BD, film et série, on vous a sélectionné nos quatre coups de cœur culturels du mois.

Mickey 17 par Bong Joon-ho

Après le succès planétaire de Parasite, Palme d’or au Festival de Cannes 2020, le réalisateur Bong Joon-ho revient avec une nouvelle satire sociale, cette fois dans la science-fiction et en langue anglaise. Dans cette aventure spatiale, Robert Pattinson est un personnage expendable envoyé dans des missions périlleuses et réimprimé dans un corps tout neuf dès qu’il meurt. Servi par un casting de haut vol –Mark Ruffalo, Toni Collette, Steven Yeun… –, l’ovni Mickey 17 s’annonce à la fois drôle, perturbant et (très) politique.

Au cinéma le 5 mars 2025

© Kate Street Picture Company

Dix secondes de Max de Radiguès

Dans une banlieue belge des années 90, Marco, jeune lycéen flemmard, s’ennuie. Alors, pour passer le temps et se sentir vivant, il boit, fume, et joue à des jeux dangereux avec ses potes. Mais tout pourrait bien basculer quand il rencontre Zoé. Avec humour et poésie, Max de Radiguès nous entraîne sur les pas d’un jeune à la dérive, qui se balance entre espoirs et désillusions. Une BD juste, qui nous plonge dans ce que l’humain a de plus touchant.

En librairie le 12 mars 2025

Villa Gloria de Serena Giuliano

Gloria et sa fille Iris dirigent une maison d’hôtes dans les Pouilles et cette semaine, des personnalités insolites ont réservé leur séjour à la Villa Gloria. De Gregorio à Doria en passant par Valentina et son adorable filleule Bianca, les histoires s’entremêlent pour nous offrir un récit plein d’humanité, des personnages attachants, et cette dose annuelle d’Italie contée par Serena Giuliano.

En librairie le 13 mars 2025

La Résidence de Shonda Rhimes

Après Grey’s Anatomy et La Chronique des Bridgerton, Shonda Rhimes est de retour avec une série qui promet de nous tenir en haleine. Le plot ? « 132 chambres. 157 suspects. 1 corps à la Maison-Blanche. » À la façon d’un Cluedo humoristique géant porté par Uzo Aduba et un casting grandiose, les huit épisodes nous transportent au cœur d’une affaire de meurtre mémorable.

Sur Netflix à partir du 20 mars 2025

N’Y VOIR QUE DU BLEU

EN MARS, DANSE AVEC LES DRUIDES

Saule · Bélier

21 mars – 19 avril

Tel·le un·e paladin·e, vous avez lustré votre armure magique en ce début d’hiver, vous tenant prêt·e à reprendre l’aventure au pas de course. Votre instinct bestial vous fera slalomer entre les obstacles du passé, mais attention à l’excès de vitesse : le Nitrolutin vous guette. Affrontez la tempête. Ancrez vos racines et mettez fin au siège de vos pensées. Faites une sieste sous un saule et écoutez The Ink Spots.

Aubepine · Taureau

20 avril – 20 mai

Il est temps de quitter le palais des édredons !

Vous avez fait le tour de votre introspection dans le multivers de Dionysos. Vous n’êtes plus le pêcheur qui attend, l’herbe au bec, que sa ligne vibre, mais vous êtes l’épuisette remplie d’amour et de projets ambitieux. Mars marque l’ouverture de votre citadelle aux belles aventures ! Reniflez du magnolia et écoutez de la Maquina.

Chêne · Gémeaux

21 mai – 21 juin

Ouh ouh ! Vous là-haut !?

Vous nous entendez ?

Vous êtes actuellement perché·e sur le plus haut séquoia de Yosemite Park, c’est dangereux ! Vous vous  êtes isolé·e pour vous préserver, mais la stratosphère n’était pas la solution. Comme un pissenlit soufflé, vous atterrirez dans une prairie  où les chenilles deviennent papillons. Installez votre nid en haut d’un chêne et écoutez Emmanuelle Parrenin.

Houx · Cancer 22 juin – 22 juillet

Difficile d’être l’héroïne de Lewis Carroll et de sombrer dans les sables mouvants du Mentalous vers le Pays des Merveilles. Les émotions sont lourdes depuis cet hiver, la nouvelle Lune en Poissons ne vous a pas épargné·e. Laissez votre sensibilité, telle une fée des bois, vous souffler le mantra dont vous avez besoin : “Cultivez votre bien-être”. Plantez les semis et écoutez du Marc Houle.

Noisetier · Lion 23 juillet – 22 août

Le doute n’est plus qu’un mauvais souvenir, tout vous sourit et vous le savez bien. C’est peut-être là votre brindille d’Achille. N’oubliez pas qu’il fait froid quand on profite du soleil tout·e seul·e. Optez pour un tapis magique assez grand pour accueillir les gens que vous aimez à bord de votre croisière sur le Sirocco du succès. Évitez les bouquets de Narcisse et écoutez du Tom Jones.

Vigne · Vierge 23 août – 22 septembre

Telle une éclipse, votre enfant intérieur et vous-même sont parfaitement alignés. Même si un Korrigan danse sur vos plates-bandes, votre vigne reste ancrée à vos désirs. Tel·le un menhir, vous brillez par votre sobriété, inébranlable face aux typhons de la réalité. Consommez une décoction de sauge Divinarum et écoutez du Sandy B.

Les druides de Walter Astral sont de passage à la rédac’ avant leur concert à la Cigale le 15 mars. C’est l’occasion de faire résonner leurs carillons magiques pour vous éclairer. Dés jetés, cartes tirées : que leur Tamo Astral vous guide dans le bobsleigh cosmique de mars ! @walter_astral

Lierre ·Balance

23 septembre – 23 octobre

Vous avez encore la tête dans les nuages ! Si bien que vous pouvez parler avec les oiseaux, attention à la solitude là-haut, il est facile de se perdre parmi les étoiles, mais ce voyage nourrira une créativité que les astres vous envieront. Vous brillerez tel·le un·e faune·sse en Y parmi les centaures. Fabriquez une couronne de lierre pour la cérémonie d’Ostara et  écoutez Dina Ögon.

Roseau · Scorpion 24 octobre – 22 novembre

Avec la nouvelle Lune en Poissons, vos humeurs seront bleues comme les cascades de Fondcombe. Écoutez vos voix intérieures : le passé est plaisir, l’avenir introspectif. Mettez le travail en pause et ouvrez-vous aux rencontres… Elfe, Arbre ou Nuage… Laissez-vous approcher. Jouez de la flûte dans une tige de roseau et écoutez du Luke Vibert.

Bouleau · Sagittaire 23 novembre – 22 décembre

Les planètes se sont alignées et pour l’aventurier·e que vous êtes, c’est un aboutissement porteur de leçons. Les flammes qui habitent votre corps ont trouvé la parfaite température pour nourrir votre soif d’exploration. Amour, travail et succès formeront un triangle des Bermudes adéquat à l’ouverture de vos chakras. Parlez à un bouleau et écoutez du Marvin Gaye.

Sorbier · Capricorne 23 décembre – 20 janvier

Souvent trop en contrôle, le Capricorne qui vous régit sera d’humeur nitrolutine ce mois-ci. Les cartes sont univoques, les lanternes magiques sont au vert et étincellent. Dormez plus et laissez-vous guider par le chant des sirènes forestières. Elles vous porteront au solstice de printemps avec brio. Évitez les légumes de couleur rouge et écoutez Roland Cristal.

Frêne · Verseau 21 janvier – 18 février

S’il fait froid dans votre lit, il fera chaud dans votre tête !

Des projets vont trouver leur forme parfaite ce mois-ci. Les collaborations pousseront comme des fougères sous les menhirs. Aucun obstacle ne vous ralentira, vous serez tel le rouge-gorge de Brocéliande, une flèche inarrêtable. Prenez le temps de regarder votre reflet dans un lac ou un étang et écoutez du Nick Drake.

Aulne · Poissons 19 février – 20 mars

Cet hiver a eu beaucoup d’impact sur votre cœur sensible, mais courage, c’est bientôt terminé ! Votre âme d’artiste vous enferme parfois, mais quand la passion rugit, vous devenez une cyberOndine. Butinez le plaisir de l’instant ! Vacances ?

Projet à l’étranger ?

Ou voyage astral dans votre salon ? Plantez du basilic et écoutez Flavien Berger.

Pour passer une annonce, rien de plus simple, envoyez un mail à : quentin.m@lebonbon.fr

Hugo tu me troubles l’esprit, les USA c’est pas pour toi. Le Sud-Ouest t’ouvre les bras…

Con amore

Cam et Antho, prochainement en mission à Florence ?!

Retrouvez-moi sur la scène de l’Olympique café tout les soirs que Dieu fait pour un spectacle sans concession.

OnlyFanch

Pour les déprimés du lundi

Streamez la nouvelle cover de pâle regard !

Bon anniversaire aux plus gentils

Poissons du bureau : Marin, Pierre, Maria et Sarah !

Félicitation Cyril pour ton augmentation, t’es un maxi crackkkkkk !

Merci Alice Moitié de me régaler avec ces TikTok incroyables.

Tout arrive à qui sait attendre le Confiseur

¡ Feliz cumpleaños

Carolina !

Monito (ton Lulu)

Happy You ma jolie

Eva <3

Les limites ont toujours des limites ! #1.3

À force de tirer sur la corde elle finira par casser.

Bon Anniversaire

mes amours

César, Sailor, Marine et Pierre

Mon Titi n’oublie pas : la picole, la picole, la picole

Vous êtes prêts pour le semi ? Ça va tartiner

Vi voglio bene Zio e Zia, siete il mio faro nella notte

Pour mes enfants si précieux Aaron et Anna. Merci d’être entrés dans ma vie, vous l’avez rendue si jolie… Je vous aime tant

Mammaaaaamissa

25, 26 & 27

AVRIL 2025

Un spectacle de NICOLAS MUSIN avec la compagnie UMA

Direction musicale de PEDRO WINTER

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